Fous de la chirurgie par BlowMuP " Alors? Qu'est-ce que tu en penses ? " demanda Marie-Ève en sortant du bureau du chirurgien. " Je les adore, j'ai très hâte de les essayer " réponda Martin " Les essayer? Tu n'es qu'un pervers, Martin Fraser, indomptable petit cochon " le réprimanda-t-elle avec un sourire en coin. Martin Fraser et Marie-Ève Rivest s'étaient tout les deux trouvés une passion commune pour la chirurgie. Leurs salaires respectifs leur permettant, le couple se mit à jouer à ce jeu où un des deux partenaires emmene l'autre chez le chirurgien et lui fait refaire ce qu'il veut. À ce jeu, Marie-Ève avait commencé par faire enlever tout les poils de son amant par électrolyse, elle qui disait ne pas affectionner particulièrement les gens poilu. Elle lui avait également fait acheter des verres de contact vert émeraude. Au tour de Martin, il fit refaire les seins de sa copine. Elle sorti de la salle d'opération avec des implants gros comme des pamplemousses. Martin lui avait dit qu'il était possible qu'elle y retourne plus tard car il aurait idéalement voulu qu'ils soient plus gros encore. Marie-Ève, voyant que Martin avait saisi l'occasion pour faire un changement physique majeur, décida de lui faire mettre un implant péniale. Martin le prit assez bien, sortant de l'hôpital avec une verge de neuf pouces, il s'en senti plus homme. Ce qui nous mène au jour présent, étant trop tôt pour refaire grossir la poitrine de Marie-Ève, Martin décida de lui faire gonfler les lèvres. Elle venait tout juste de dévoiler ses nouvelles lèvres à son copain, des lèvres comparables à celle d'Angelina Jolie ou Lolo Ferrari, sans contredit des lèvres de suceuse. L'envie pressante pour Martin de les essayer était très compréhensible, Marie-Ève les adorait aussi, les lèchant séductivement pour Martin en lui fesant un clin d'oeil. " Donc c'est à mon tour maintenant, non? Et que me fait tu refaire? " demanda Martin, impatient comme un enfant qui attend ses cadeaux de Noël. " Tu sais très bien qu'on ne dit jamais ce que l'on a prévu avant la fin de l'opération, ça fait parti du jeu, j'ai déjà pris ton rendez-vous avec le docteur. On s'y rend la semaine prochaine et tu n'as qu'à patienter d'ici là " Cette soirée là, arrivés à la maison. " Tu voudrais t'occuper du souper, je vais prendre une douche et me changer. J'ai besoin de me mettre de quoi de plus confortable sur le dos " demanda-t-elle. " Vas-y, je m'occupe de tout " lui répondi Martin. Martin prépara un souper léger, histoire de ne pas avoir trop mangé quand le temps de performer viendra. Alors qu'il mit la salade sur la table, il entendit sa copine qui sortait de la douche. Il retourna à la cuisinière pour finir le plat principal. Il s'écoula deux minutes et les mains de Marie-Ève lui caressait les mamelons, qui étaient très sensibles, et elle le savait. Martin se retourna, il avait déjà vu Marie-Ève habillée de cette façon, seulement elle n'avait pas encore fait refaire ses lèvres la dernière fois. Sa tendre moitié se tenait debout devant lui, elle portait une mini-jupe et un chandail de latex gris argenté. Ses seins, dans leur prison de plastique, avait l'air encore plus gros qu'à l'habitude. " Wow... c'est çà ton quelquechose de plus confortable? " lui demanda-t-il. " Tu saura que le latex c'est vraiment le top du confort, tu le saurais si tu en portais " lui répondi Marie-Ève, sachant très bien que Martin adorait le latex, seulement il préferrait voir des femmes en porter et non lui; il prétendait que le latex n'allait pas bien aux hommes. " D'ailleurs, on m'aurait dit que tu as un membre de neuf pouces, et qu'en plus il brûle d'envie de dépuceler mes pulpeuses lèvres " dit-t-elle d'une voix basse et séductive entre deux profonds soupirs, frottant sa poitrine contre la sienne. Elle s'agenouilla devant lui et sorti sa queue de son pantalon. Ses yeux ne dérogeant jamais de son regard, elle ouvrit ses lèvres reluisantes de brillant à lèvres et engouffra le rigide membre de son copain. Ses lèvres coussinées épousaient délicatement le diamètre de son pénis. Ayant depuis longtemps appris à controler les réflexes de sa gorge, les neuf pouces obligeant, elle le pris profondément dans sa gorge et accelera la cadence. Martin lui caressait la tête et la tenait doucement de façon à lui faire comprendre qu'il n'était pas le temps de s'arreter. Comprenant le message, elle se mit à gémir et s'aggripa à ses fesses, lui donnant un mouvement de va et viens en le poussant et le tirant. Elle s'arreta l'espace d'un respire, sorti sa verge de sa bouche pour lui murmurer ces mots de la plus totale perversion. " Surtout ne t'arrête pas, baise ma gorge, fais moi tout avaler! " lui dit-elle avec un regard vorace, trainant ses ongles sur ses fesses, lui écorchant quasiment la peau. Aussitôt les mots sortis de sa bouche, il posa ses deux mains de chaque côté de sa tête et reprit son mouvement de bassin, augmentant d'intensité au même rythme que les gémissements de Marie-Ève. Jamais auparavant avait-il été caressé de pareil façon par les lèvres de sa copine. Il ne pourrait jamais plus les regarder autrement que comme des lèvres de suceuse de bite. Elles semblaient décidément avoir été gonflées dans le seul but de donner du plaisir. De tels pensées à propos de sa propre petite amie et l'enthousiasme qu'elle mettait à pomper sa semence ne firent que donner le coup de grâce. Il vint en elle, tremblant de plaisir alors qu'il déchargea dans sa bouche. Elle esquissa ce qu'elle pouvait d'un sourire alors qu'elle sentit sa chaude semence couler le long de sa gorge. Croyant avoir fini, Martin voulu se retirer de Marie-Ève. Toutefois, en retirant les neuf pouces que mesurait sa verge, la délicieuse caresse de sa langue et de ses lèvres volumineuses furent assez pour soutirer une dernière giclée. " Mmmmmmhhhhh! " lui gémit Marie-Ève, souriante, les lèvres reluisantes de son sperme qui lui coulait jusqu'au menton d'où quelques gouttes fesait le plongeon jusque dans son décolleté. Elle lècha ce qu'elle avait aux lèvres et prit avec ses doigts ce qui lui pendait du menton. Elle étira le col de son chandail de caoutchouc et sorti ses pamplemousses, massant ensuite ses seins avec la semence de son amant comme si ce n'était que de la vulgaire huile à massage. Enfin, elle remit ses lolos dans son chandail et se releva, embrassant passionément l'homme qu'elle n'aurait jamais cru pouvoir trouver. " T'as encore faim après tout çà ? " lui demanda-t-il. " Une faim insatiable... " lui réponda-t-elle avec un clin d'oeil. Une fois à table pour le souper, Marie-Ève exprima un peu de frustration. " As-tu une idée à quel point tu es chanceux ? " lui demanda Marie-Ève. " Euh.... j'imagine, j'ai une petite amie qui est aussi accro à la chirurgie que moi et qui est plus que ravie de se faire transformer en bombe sexuelle " " Ben justement, regarde mes lèvres; un vrai garage à bite. Je pari qu'elles viennent de te donner une pipe d'enfer, vrai ? " lui demande-t-elle. " D'enfer ! " répondit-il. " C'est ce que je croyait. Tu savais que beaucoup de filles aimeraient avoir un pénis, je me suis tout le temps demandé ce que ce serait d'en avoir un, de se faire sucer la queue. Désolé, je te dégoute peut-être ? " avoua-t-elle. " Je te sucerais sans même y réfléchir deux fois, je dois t'avouer que quand tu me pompe, je trouve difficilement quelque chose de plus érotique que ta bouche glissant le long de mon membre et tes yeux qui me regardent. Si tu avais un pénis, tu n'aurais pas à me prier pour avoir des pipes. Je te pomperais minimum une fois par jour " expliqua-t-il sans la moindre gène. Après tout, c'était entre eux deux, Martin se disait tout simplement que c'était du sexe; Il adorait sa blonde et pour autant qu'il sache, c'était une des plus belles filles qu'ils connaissait et en plus elle ne fesait que devenir de plus en plus artificielle et plastique de chirurgie en chirurgie, donc pour lui, le fait qu'elle aie un pénis ne le dérangeais en rien. " Non... tu me sucerais la queue ??? ", elle n'en croyait pas ses oreilles. " Ouais, enfin pourquoi je dirais non. Une queue c'est une queue, je suis pas homosexuel, c'est pas parce que tu aurais un pénis que tu serais moins femme... en fait je dois dire que ce serait assez excitant de pouvoir te satisfaire de plus d'une façon " lui expliqua-t-il. " Wow... alors je me lamente pour rien, jamais j'aurais cru que tu en serais capable " " T'as pas idée... si tu étais l'homme et j'étais la femme, tu n'as vraiment pas idée comme je serais salope " lui avoua-t-il. Marie-Ève, abasourdi, ne pu en dire plus, elle trouvait seulement la force de sourire et de rougir. Le souper fini, Martin décida de retourner la faveur à Marie-Ève. Il l'aida à se lever de table, s'agenouilla devant elle et releva sa jupe de latex. Un orgasme plus tard et les deux se sont retrouvés au lit à baiser le restant de la soirée, voir même la fin de semaine. La semaine qui suivi fut la routine pour les deux, côté boulot. Enfin, la fin de semaine arrivée, il était temps pour Martin de passer sous le bistouri. Étant donné l'opération, Martin fut mit sous anesthésie lors de son entrée à l'hopital. À son réveil, il était un peu étourdi, se sentait engourdi partout à cause des anti-douleurs et de l'anesthésie. " Comment vas-tu, chéri ? " lui demanda Marie-Ève avant de le serrer dans ses bras. " Je me sens un peu désorienté... est-ce que j'ai été opéré ? " Martin se secouait la tête, espèrant remettre ses idées en place. " Bien sur, et je peux t'assurer que c'est un franc succès " Marie-Ève lui dit en lui pointant la poitrine. Martin baissa le regard pour regarder sa cage thoracique. Il y senti deux corps étrangers. " Des implants pectoraux ? Wow, j'ai l'air de monsieur muscle... tu ne m'as jamais dit que tu aimais les hommes musclés, petite cachotière " Martin était surpris, il ne s'attendait pas à cela. Il en riait un peu car il savait très bien que sa copine serait encore plus surprise dans deux semaines lors de son propre rendez-vous. Les deux semaines suivantes furent encore très routinières, si ce n'est du fait que Martin se fit demander à plus d'une reprise comment il avait développé ses pectoraux si rapidement. Marie-Ève, de son côté, préparait déjà la prochaine opération de Martin. Elle rendit visite à un vieil ami qui était chimiste pour lui faire préparer un liquide aux propriétés spéciales. Enfin, deux semaines plus tard, Marie-Ève et Martin revinrent à la clinique voir leur chirurgien préféré. Marie-Ève se fit mettre sous anesthésie pendant que Martin expliqua ce qu'il voulait à son chirurgien. Le lendemain, Martin était de retour à la clinique juste à temps pour le réveil de son amoureuse. Elle ouvrit ses yeux et ne vit rien de différent, elle qui s'attendait à ouvrir les yeux et voir sa poitrine encore plus grosse qu'avant. Elle fronça, un peu par surprise car elle se demandait vraiment ce qu'il lui avait fait refaire mais aussi un peu par déception; elle qui s'attendait et qui souhaitait même se faire grossir la poitrine pour son amant mais aussi pour elle, qui avait pris goût à la vie avec des gros lolos. Martin fit son entrée juste à temps, vêtu de nouveaux vêtements moulants pour mieux afficher ses pectoraux. Marie-Ève sourit et sentit cette habituelle sensation au niveau de sa chatte quand son petit ami la mettait dans un tel état, il était vraiment beau, si elle ne s'était pas senti aussi faible, elle lui aurait sauté dessus. Bizarrement, la sensation devenait de plus en plus inconfortable, elle sentait sa petite culotte devenir de plus en plus serré. Elle descendit sa main pour replacer sa culotte, elle ouvrit grand ses yeux quand elle se rendit compte qu'il y avait une bosse au dessus de sa chatte. " Non ? " se demanda-t-elle. Martin ferma la porte de la chambre et hocha de la tête. " Hé oui! Tu l'aimes ? " lui demanda Martin. Marie-Ève pris son pénis dans sa main et toucha son érection, fasciné par la nouvelle sensation. Martin alla au pied du lit et leva les couvertes; glissant sa tête sous les couvertes, il lècha le long du membre érigé de sa copine et plongea sa tête dessus. Il se mit à sucer sa copine pour une bonne minute avant de resortir de sous les draps. " Alors ? Réponds, tu l'aimes ? " insista-t-il. " N'arrêtes pas ! J'adore ! " lui avoua-t-elle en continuant à se masturber elle-même. " Ce n'était qu'un aperçu, si tu te tiens calme et que tu le laisse un peu tranquille, ce soir je te pomperai jusqu'à ce que tu vienne en moi ou sur moi si ça te chante, mais là tu la range " lui dit Martin, pointant sa verge. Marie-Ève fit la moue et remit difficilement sa petite culotte. Le soir venu, Marie-Ève eu de la misère à tenir tout le long du souper, il s'en venait de plus en plus insoutenable d'avoir une érection à la moindre stimulation tactile ou visuelle, elle allait devoir faire quelquechose rapidement avant de craquer. Une fois son assiette finie, elle se leva de table et se dirigea vers la douche. " Je vais prendre une douche, je risque d'accorder une attention particulière à une certaine nouvelle partie de mon corps si je te retrouve pas au bout de ma queue d'ici 5 minutes, ciao! " lui dit-elle avant de fermer la porte de la salle de bain. L'ultimatum était lancé. Martin vida la table et empila la vaisselle sur le comptoir avant d'accourir à la salle de bain. En ouvrant la porte, il vit sa copine en train d'enlever sa petite culotte devant lui. Elle était déjà en érection, une perle de lubrifiant naturel sur la tête de sa verge était visible, rien de surprenant considérant qu'elle avait pratiquement passé la journée en constante érection. Martin alla rejoindre Marie-Ève dans la douche sans même prendre le temps d'enlever ses vêtements. La vision de sa petite amie nue, sa grosse poitrine ruisselante d'eau se faufilant entre ses nichons jusqu'à sa queue. Martin l'embrassa passionément, caressant son cul ferme d'une main alors qu'il saisit sa verge de l'autre. Il la masturba un peu avant de s'agenouiller devant elle pour enfoncer son membre dans sa bouche au plus profond qu'il pouvait, prenant sa main libre pour pénétrer sa chatte et stimuler son point G. Martin sentit un chatouillement à l'arrière de son cou alors qu'il pompait Marie-Ève mais n'y prêta pas attention. Marie-Ève se mit à lui caresser les cheveux qui poussaient à vue d'oeil par dessus ses mains, jusqu'au milieu du dos de Martin. " Ça fonctionne ! Wow, je l'aurais jamais cru " s'exclama Marie-Ève. Martin eu du mal à arreter tellement il était pris dans le moment. Il leva la tête et demanda à son amoureuse de quoi elle s'étonnait. " Ne le prend surtout pas mal, ce n'est pas permanent, ça dure seulement le temps d'une journée, tu pourras aller travailler demain sans problème " avertissa-t-elle. " Mais de quoi tu cause ? " Martin avait décidément perdu le fil, croyait-il. " Mais qu'est-ce qui se passe avec ma voix " demanda-t-il en se clairant la gorge. " Ben voilà, constate-toi même " lui dit-elle en lui passant un petit miroir. Ce que Martin vit lui était inexplicable, il ne comprenait tout simplement pas. Voyant son regard perplexe, Marie-Ève décida de lui expliquer. " Tu vois, j'ai mélangé une formule chimique liquide à ton breuvage pendant le souper. Je vois qu'elle agit rapidement et c'est mieux de cette façon pour que tu puisse aller travailler demain. C'est un vieil ami chimiste à moi qui l'a préparer. Ça change ton métabolisme pendant une durée déterminé... autrement dit, à part pour tes implants pectoraux et ton pénis qui n'est plus tout à fait naturel, donc ne fait plus parti de ton métabolisme et de ton ADN, tu es maintenant une fille. À mesure que tu me suçait j'ai vu tes cheveux allonger et tes traits se raffiner, c'est pourquoi tu viens de voir une nana top cannon dans le miroir... cette fille, c'est toi jusqu'à demain. Pas trop contrarié ? " lui expliqua-t-elle, un peu gênée de lui avoir gardé comme surprise malgré qu'elle pensait sincèrement qu'il allait aimer. " Contrarié ? Tu veux dire qu'on peut me transformer en fille pendant le temps que l'on veut et que je redeviens un mec par après ? " Martin cherchait réponse à toutes les questions qui lui venait. " Je n'ai qu'à demander à mon ami de faire durer plus longtemps et çà durera plus longtemps... un jour, deux... une semaine, un mois, c'est à toi d'y voir " " Sans dec... ? et tu croyais que j'allais être fâché ? " Martin riait un peu du malaise qu'éprouvait Marie-Ève car ce qu'elle avait fait l'excitait au plus haut point. Il poussa ses nouveaux cheveux long hors de son visage et posa ses lèvres roses sur celles de sa partenaire. " J'ai l'air fâchée ? " lui demanda-t-il/elle avec un sourire en coin. Marie-Ève lui sourit. " Alors, c'est ta première expérience lesbienne ? " lui demanda Martin, qui était tout trempe dans ses vêtements. " Oui, c'est ma première fois " lui avoua Marie-Ève. " Moi aussi " lui dit Martin qui avait toujours le mot pour détendre l'atmosphère. Après les confessions et sachant comme il/elle était belle, il/elle redescendit mettre l'objet de son désir actuel dans sa bouche. Il/elle reprit son mouvement avec encore plus d'ardeur, prenant encore plus de plaisir à s'entendre lui même gémir d'excitation. Marie-Ève lui caressait les cheveux en gémissant en unison avec lui. Martin avait la ferme intention de faire de sa première pipe une expérience inoubliable autant pour lui/elle que pour sa copine. Jusqu'à maintenant, nul n'avait à se plaindre car Marie-Ève était à deux poils de l'orgasme et Martin avait une érection dure comme elles l'avaient rarement été. Soudainement, Marie-Ève qui criait de plus en plus fort s'arreta et tira doucement sur la tête de Martin pour qu'il/elle la regarde. " Pas tout de suite, je ne veux pas venir tout de suite, j'ai une autre surprise pour toi avant de venir " Martin la regardait bizarrement, se demandant bien ce qu'elle pouvait encore lui cacher. " Je sais ce que tu penses à propos de ta forme féminine en ce moment... je te trouve belle et ta peau est douce, tes cheveux sont superbe, tes fesses et tes épaules se sont arrondies... mais tu as toujours ton pénis et tes implants pectoraux. Je trouve ton pénis plutôt sexy sur ton corps mais les implants pectoraux sont un peu de trop, surtout avec ce chandail serré. C'est pourquoi je veux te montrer ce que j'ai attendu impatiemment pendant deux semaines avant de te montrer " lui dit Marie-Ève avant de s'agenouiller devant lui/elle et de mettre son membre rigide entre ses lèvres. Elle le lècha sensuellement en le regardant dans les yeux, se massant les seins pour son plaisir visuel. " Tu sais, tes implants pectoraux... " lui dit-elle en lèchant une autre fois ses neuf pouces de pur plaisir, " ...en fait ce sont des implants mammaires vide ". Elle brisa le regard et repris sa verge entre ses deux lèvres. Martin eu a peine le temps de réagir que sa petite amie avait recommencer à le sucer tout en soufflant dans l'urètre. Il se mit à la regarder en essayant de comprendre comment il avait pu se faire cacher de telles choses, lui qui était très au courrant de se qui se développe dans le domaine des implants et de la chirurgie. Il n'eu le temps de trop s'y attarder car il vit son chandail moulant se mettre à lever. Effectivement, comme Marie-Ève venait tout juste de le dire, à mesure qu'elle soufflait, Martin pouvait voir ses propres nichons gonfler. Un peu plus lentement qu'un ballon, il vit ses seins atteindre la grosseur d'une pomme. " Mais qu'est-ce que tu fait... comment est-ce possible ? " lui demanda-t-il/elle. Elle sorti la queue de sa bouche assez longtemps pour lui expliquer qu'un système de tuyau reliait son pénis à ses implants et qu'elle pouvait les gonfler aussi gros qu'elle voulait. Une fois les explications faites, elle retourna à sa tâche, gonflant ainsi la poitrine de son amant jusqu'à ce qu'ils soient gros comme des cantaloups. Voyant cela, Marie-Ève s'arreta de souffler et revint face à face avec sa partenaire. La poitrine de Martin était ferme et sphérique, pratiquement parfaite. Il/elle commençait à avoir du mal à respirer tellement son chandail trempe était serré contre ses gros lolos. Marie-Ève mit son bras autour du cou de Martin et le/la tira vers elle pour l'embrasser pendant qu'elle jouait avec ses seins. Martin ne pu croire le sentiment incroyable de plaisir alors que sa copine jouait avec ses seins. Il/elle ne pu s'empêcher de se frotter seins contre seins pendant qu'il/elle embrassait sa partenaire. Dans un moment digne de télépathie, les deux amoureux se sont mit à masturber le membre de l'autre. Après un moment, Marie-Ève repoussa Martin. " Je veux baiser tes nichons, enlève ce chandail, je veux les voir " demanda-t-elle d'un ton très autoritaire. Avec frénésie, Martin enleva son chandail rapidement dévoilant sa voluptueuse poitrine nue. " Mon dieu ! Je les ai gonflé plus gros que les miens ! " Marie-Ève vint les yeux tout gros et avant même que Martin puisse descendre sa poitrine au niveau du bassin de sa petite amie, elle pris un sein et le mit dans sa bouche, suçant et lèchant les mamelons. Les yeux fermés dû au plaisir intense, il arqua sa tête vers l'arrière et tena les lèvres de Marie-Ève fermement contre son sein alors qu'il/elle caressait son autre sein de sa main libre. S'il/elle avait pu, il/elle n'aurait jamais arreté cela mais il/elle avait du pain sur la planche. Marie-Ève s'en rendit compte et laissa la poitrine de son amant pour le/la laisser lui faire sa pipe. Martin descendit lentement en frottant ses seins contre la peau de Marie-Ève et logea la verge de Marie-Ève entre ses seins mouillés. " MMMmmmmmmhhhhh ! Tes seins sont divins, mon amour... suce moi... suce ma queue entre tes lolos " lui gémissa-t-elle. Martin fut on ne peu plus content d'obéir. Il fallu un peu plus de deux minutes de ce traitement avant que Marie-Ève se mit à trembler. Martin savait exactement ce que cela voulait dire et se retira. " Décharge dans ma figure, bébé! Décharge tout dans ma figure! " se mit-il/elle à lui supplier en la masturbant vigoureusement. Marie-Ève essayait de se retenir le plus possible pour faire grimper la pression. Elle retenu sa respiration et se mit à trembler de plus en plus fort et expira fortement alors qu'elle éjacula giclée après giclée dans la figure de son copain, sans contredit une des plus belles femmes qu'elle aie jamais vue, qui attendait sous elle la bouche ouverte. Martin senti le sperme chaud attérir sur toutes parts de son visage, dégoulinant du front jusqu'à son menton et sur sa généreuse poitrine. Il/elle lècha et avala chacune des gouttes qui passait devant sa bouche qu'il/elle n'avait pas encore avalé au vol. " MmMmmmmmmmhhhh ! C'est tout chaud " lui dit-il/elle. Martin se releva, la figure et la poitrine encore couverte de sperme. Martin s'appuya contre Marie-Ève, lui collant ainsi le dos et les fesses contre la céramique froide de la douche. Elle arqua le dos par surprise, frottant ainsi ses seins contre ceux de Martin qui l'embrassa frénétiquement tout en laissant quelques traces de son propre sperme sur ses lèvres. Alors que la bite de Marie-Ève était en train de redevenir flasque, Martin qui était encore dure comme du roc enfoui sa queue dans la chatte de sa petite amie qui se mit à gémir à l'instant même où il éffleura son clitoris, ce qui la fit bander quasi-instantanément. Toujours debout, les deux filles étaient collées l'une sur l'autre, leurs seins en contact constant alors que Martin baisait Marie-Ève avec une ferveure animale. Accolée contre le mur, Marie-Ève accrocha ses jambes à la taille de Martin pour le chevaucher sauvagement. Son corps était tellement différent, si sensible que Martin ne puit s'empêcher beaucoup plus longtemps. Il/elle se tendit brusquement et se mit à gémir fortement, entendre ses propres gémissements féminin à un orgasme définitivement masculin le poussa à bout. Il/elle serra Marie-Ève par la taille en la levant et l'abaissant sur sa queue alors qu'il/elle la remplissait de sa semence. Marie-Ève parvint à l'orgasme quelques secondes après, elle aussi excité par les cris soprano de son amant mélangés aux siens. Le visage et la peau toujours couverte de sperme, elles optèrent finalement pour prendre un bain, leurs corps entortillés l'un dans l'autre, ils étaient inséparables. Après leur bain, Martin retourna laver la vaisselle avec sa copine et son énergie sexuelle plafonnant toujours, il/elle prit la main de Marie-Ève pour l'emmener au lit et faire un 69 avec elle. Les deux filles se pompant la bite alors que Martin masturbait la chatte de Marie-Ève en même temps. Après un dernier orgasme rétentissant, elles se sont couchées. Le lendemain matin, tout comme Marie-Ève le lui avait prédit, Martin était redevenu un homme... exception faite des cantaloups qu'il avait sur la poitrine. Il prit sa douche comme tout les matins, accordant une attention particulière à ses seins. Après une ou deux minutes à se savonner et se caresser les lolos, il lui vint une idée. Il prit le tube qui mène généralement l'eau du robinet jusqu'à la pomme de douche et le mit sur son pénis. Sans même y réfléchir, il souffla dans le tube. Martin qui avait un fétiche prononcé pour le "BE" était en trance devant sa propre poitrine qu'il gonflait à vu d'oeil. Ne voulant pas trop exagérer, il arrêta de souffler une fois que ses nichons fut gros comme des ballons de volleyball et recommencea à les caresser et les savonner pour le plaisir des sens que ça lui apportait après avoir remis le tube en place. Une fois la douche finie, il s'essuya et pris son petit-déjeuner comme à tout les matins, après lequel il retourna à la chambre pour s'habiller. Après avoir essayé trois des camisoles de Marie-Ève qui lui fesait comme un gant, en fait elles étaient un peu plus serrées que sur sa copine mais c'est ce qui fesait leur charme; Martin raffolait des filles en vêtements serrées. Après avoir finalement réalisé qu'il n'était pas femme ce matin là, il retourna à son garde-robe et choisit son complet pour la journée. Il mit son pantalon et tout ce qui lui manquait excepté sa chemise et son veston. " Euh, chérie? " lui demanda-t-il en la brassant un peu pour la réveiller. Marie-Ève se leva, les yeux grand ouverts, en voyant son petit ami la poitrine gonflée comme des volleyballs. " Ahem.... on a oublié de me dégonfler hier soir... et tu ne m'as jamais montré comment " lui expliqua Martin. " Mais apparement mon petit cochon d'amour n'a pas oublié comment on fait pour les gonfler " lui dit-elle en se retenant pour ne pas rire. Martin regardait ailleurs, un peu humilié qu'il aie du reveiller sa copine et qu'elle sache qu'il les avait gonflé encore plus gros qu'elle n'avait daigné l'avoir fait elle même la soirée précédente. Le message était clair pour elle : Martin avait aimé son expérience et en plus il voulait ses seins plus gros la prochaine fois. Elle appuya sur un point de pression près de son bassin et ses seins se sont dégonfler en une bonne minute. Martin mit sa chemise et son veston et parti travailler. Marie-Ève, qui était danseuse nue, dû démissioner ce soir là car le patron ne croyait plus faire autant d'argent avec une fille qui avait très probablement une plus grosse queue que lui. N'empêche, elle réussit à se trouver un autre emploi comme danseuse dans un autre club plus spécialisé dans ce genre de fétiche. Martin, de son côté, alla magasiner après le boulot. Il/elle n'eu pas de trouble à trouver ce qu'il/elle cherchait car il/elle avait bu de son liquide qui le transformait en femme. Martin s'acheta pour 3000$ de vêtements et lingerie pour femme, sans compter qu'il/elle a dû faire une razia de 1500$ de plus pour se payer des vêtements de latex qu'il avait toujours rêvé voir une femme porter. Maintenant ce serait à lui-même de les porter. Une fois sa conjointe revenue à la maison après avoir dansé, Martin était déjà redevenu un homme et il avait caché tout ses nouveaux vêtements. Après la surprise que Martin eu de pouvoir se transformer en femme à volonté grâce à la 'potion' de Marie-Ève, il se demandait vraiment ce qu'elle allait lui faire cette fin de semaine car comme à chaque semaine, le couple était de retour chez le chirurgien. C'était justement au tour de Martin de passer au bistouri. La chirurgie fut un succès; encore une fois, Marie-Ève doutait de la réaction de son copain lorsqu'il découvrirait ce qu'elle lui avait fait faire. Martin se sentait un peu dans les vappes après son opération et se foutait un peu de savoir exactement ce qui se passait. Une fois rendu à la maison, il demanda à sa copine de lui servir un verre de lait, ce qu'elle s'empressa de faire. Il but son verre et alla faire une sieste pour enfin retrouver la forme. Martin se réveilla enfin un peu plus d'une heure après. Marie-Ève avait de toute évidence mit une dose de sérum dans son lait car Martin se réveilla en femme. Il alla rejoindre sa copine qui préparait le souper. " Allo chérie, merci pour la transformation. Qu'est-ce que tu nous prépare ? " lui demanda Martin qui la serra dans ses bras délicats. " Je nous prépare des linguine aux quatres fromages. À propos de la transformation... tu aimes vraiment ? " Marie-Ève prit un air sérieux sur cette question, le regardant tout droit dans les yeux. " Parce que je m'en voudrais tellement si tu trouvais cela trop bizarre ou fou de ma part de t'avoir fait passer à travers tout cela " dit-elle, ne sachant pas que Martin n'avait pas encore prit connaissance des tout derniers changements faits sur son corps. " Et si je te disais que je songe quitter mon emploi et demander à ton ami de faire une formule durant six mois, j'aime tellement mon corps de femme que j'aimerais essayer de vivre ainsi pendant au moins six mois pour voir si j'aime cela et je prendrais peut-être une formule plus forte par après si j'ai aimé. Je pensais pouvoir travailler au même endroit que toi " lui annonça-t-il/elle. " Vraiment ? Wow... jamais j'aurais cru avoir une si bonne réaction. Par contre, c'est long six mois. T'es sur que t'en es capable ? Et comment tu vas t'habiller ? " lui demanda-t-elle. " Tu m'attends un peu et je te montre " lui dit Martin, qui s'éclipsa dans son bureau et en resorta pour aller s'enfermer dans la salle de bain. Quelques minutes plus tard, Martin resorti de la salle de bain, tout de latex vêtue. Il/elle portait une paire de bas de latex noir qui lui montaient jusqu'aux cuisses, le tout recouvert d'une robe décolleté de latex rouge. Martin prit avantage de l'élasticité de ses vêtements pour se gonfler une paire de volleyballs. " Disons que j'ai été coquin. Hier, en finissant de travailler, je me suis pris un verre d'eau avec un peu de sérum. Comme tu travaillais tard, j'en ai profité pour allez magasiner. En tout je me suis payé 3000$ de vêtements plus 1500$ seulement en latex pour me faire ma garde-robe de rêve... alors ? Qu'est-ce que t'en dis ? " Martin était plutôt fier de son coup et croyait bien que Marie-Ève allait aimer. " Qu'est-ce que j'en dis ? Mmmmmmhhhh... j'en dis que je suis soulagé que tu aimes ton corps de femme à ce point..." lui dit-elle en pointant l'érection qui étirait le plastique recouvrant ses parties génitales. "...car j'aimerais le voir un peu plus féminin. Tu vois tes seins sont, à mon goût, beaucoup trop... petits " lui dit-elle sensuellement dans le creux de l'oreille avant de descendre lascivement vers sa verge. À genoux devant lui/elle, elle releva sa jupe pour mettre sa queue dans sa bouche et se mit à souffler tout en le/la suçant. Il/elle arqua le dos d'extase alors qu'il/elle vit sa poitrine grossir à vue d'oeil. Moins d'une minute plus tard, ses lolos étaient rendus aussi gros que des ballons de basket et la robe se fesait serrée mais toujours très comfortable. " Tu les aimes si gros mes nichons ? Gros comme des ballons de basket ? " réussit-il/elle à dire entre deux gémissements. " Oh hoho! Qu'est-ce qui te fait penser que j'ai fini de te gonfler ? Nous savons très bien, toi et moi, qu'avant d'être satisfaits tout les deux, ils devront être au moins gros comme des ballons de plage " lui expliqua Marie-Ève à la surprise de Martin. " Des ballons de plage??? Ma robe ne tiendra jamais le coup ! " s'exclama-t-il/elle. Marie-Ève ne s'empêcha tout de même pas de continuer à gonfler sa nouvelle petite amie. " Et alors ? On en achètera une nouvelle. T'as qu'à t'assurer qu'elle soit plus ample au niveau des seins " lui dit-elle avant de prendre au complet les neuf pouces de Martin sans même s'étouffer. Rendu à la base de sa verge, elle étendit la langue pour lècher ce qui normalement aurait été ses couilles. Martin ne pu s'empêcher de gémir violament. " OOOOHHHH! Mais qu'est-ce que tu viens de faire ? J'ai jamais eu cette sensation avant quand tu me lèchait les couilles " . Sur ce Marie-Ève releva la tête, fesant réapparaitre la queue de Martin petit à petit. " Mmmmmhh, t'aimes ? En fait, je lèchait pas tes couilles... c'est ta petite chatte que je lèchait, et je vais devoir féliciter le docteur, elle est délicieuse " lui dit-elle. " J'ai une CHATTE ?!?! " cria Martin, plus par surprise que par mécontentement. En fait, çà l'excitait encore plus et c'était vraiment la prochaine étape logique de sa transformation. Lui et Marie-Ève ne prévoyait pas avoir d'enfants et au cas où ils changeraient d'idée, elle avait fait congeler un peu de son sperme. Martin laissa ses seins qu'il caressait sans relâche depuis que tout cela avait commencé pour vérifier par lui-même. Un autre gémissement s'échapa de ses lèvres alors que ses doigts cherchaient ses couilles et qu'à la place y trouverent son clitoris. " Wow... les miracles de la chirurgie " s'exclama-t-il/elle. " Tu aimes ? " lui demanda-t-elle. Martin lui sourit et hocha de la tête, lui caressa les cheveux avant de lui pousser la tête doucement vers sa verge pour qu'elle la reprenne dans sa bouche. Elle recommença à lui lècher la chatte quand elle avait sa bite profondément dans sa gorge. Elle se remit à souffler de plus belle, gonflant les lolos de sa tendre moitié. Martin était en extase, se caressant les seins sans relâche alors qu'ils grossissaient à vue d'oeil. Il/elle était près de l'orgasme quand Marie-Ève s'est arrêtée; ouvrant ses yeux, il/elle vit que ses nichons étaient effectivement rendus gros comme des ballons de plage. " T'arrêtes pas! J'y était presque " lui dit-il/elle, un peu déçu. " Et tu crois que je te laisserais venir comme çà, dans ma bouche... le jour où j'inaugure ta chatte ? N'y pense même pas, c'est ma queue qui va te faire jouir ce soir " lui annonça-t-elle, l'acollant au mur , sa modeste (!) poitrine contre l'énormité de celle de son copain. Martin failli jouir à ce moment alors que Marie-Ève testait la sensibilité de ceux-ci. Elle releva sa jupe et pénétra son copain qui mouillait depuis qu'il/elle s'était habillé ainsi. Martin, ne voulant pas se satisfaire d'un orgasme vaginale, décida de sortir ses globes de chair de leur nid de latex, la robe ayant réussi à tenir jusque là. Il/elle logea alors sa queue entre ses propres melons et les serra fort, allant et venant dans le précipice qu'était son décolleté. Il/elle maintenait ses yeux ouvert avec peine tellement c'était bon. La sensation simultanée de sa verge entre la douceur de ses immenses seins et sa copine qui, de toute évidence savait se servir de son nouveau pénis, était de trop. Il ne se passa pas trois minutes que les deux amoureux se mirent à orgasmer simultanément. Marie-Ève s'agrippa fortement aux nichons de Martin, les serrant encore plus fort contre sa queue. Elle vint dans sa chatte alors que lui/elle s'éjaculait giclée après giclée de sperme chaud sur son visage angélique. " Appel ton mec généticien ou je ne sais quoi... dit lui de préparer une injection de six mois, je crois pas avoir l'intention d'utiliser mon corps de mec pour un bon moment " lui dit-elle finalement, essuyant son visage de ses doigts qu'elle lècha par après. Sa décision était prise, elle décida de se défaire de son prénom masculin et choisit Mellony. Moins de trois mois plus tard, on pouvait lire sur certains sites internet spécialisés qu'il y avait une toute nouvelle danseuse incroyable qui dansait au plus grand club transsexuel de Montréal. Plusieurs articles décrivait cette nouvelle Mellony comme une véritable poupée gonflable...