RENAISSANCE � CHAPITRE IV Bien que ce soit moi qui ait pr�par� le repas, je suis incapable de me souvenir de ce que nous avons mang�. Avons-nous m�me mang� ? Nous nous �tions assises cote � cote, nous tenant par la main, les yeux dans les yeux, parlant � peine. Un seul souvenir me revient : la joie de Nancy quand, au moment du dessert, je sortis de mon sac les anneaux d�or que j�avais achet� dans l�apr�s midi et que je lui passais le sien � l�annulaire. Elle suffoquait presque d��tonnement, les yeux brillants de bonheur tant ce cadeau inattendu lui paraissait splendide. Et, quand elle comprit que ces anneaux symbolisaient notre amour et notre d�sir de toujours rester unies, les larmes jaillirent de ses yeux avant qu�elle se jette � mon cou pour m�embrasser avec passion. Nous mont�mes, comme la veille tendrement enlac�es, la d�marche un peu incertaine � cause du champagne que nous avions bu, mais l�esprit enfi�vr� par le d�sir. Quand nous f�mes au premier �tage, devant la porte de ma chambre, je demandais � Nancy de m�attendre une seconde, le temps pour moi d�allumer les veilleuses et de v�rifier que je n�avais rien oubli�. Puis, je revins vers elle et, la prenant dans mes bras, je lui fis franchir la porte ainsi que Phil l�avait fait pour moi et j�allais la d�poser doucement au milieu du grand lit, me redressant pour admirer la merveilleuse vision qu�elle m�offrait. Elle semblait si petite, si fragile, ainsi �tendue sur les draps brod�s et, en m�me temps si d�sirable. Elle me regardait, ses beaux yeux pleins de lumi�re, les joues rosies, ses longs cheveux blonds �tal�s sur les oreillers d�couvrant ses �paules � la fois graciles et rondes. Sa courte robe �tait largement remont�e sur ses hanches d�couvrant compl�tement ses jambes et ses cuisses, laissant voir la large bande de peau nue au dessus des bas. Je voyais m�me l��troite culotte de satin blanc qui moulait son sexe bomb� et, surtout, la l�g�re tache humide au niveau de sa fente. A cette vue, je fus envahie d�une telle pouss�e de d�sir que je ne pus me retenir de plaquer ma main, au travers de ma jupe, sur mon sexe, dont je sentais bien la chaleur et les pulsations, sachant que, lui aussi, mouillait abondamment. Un instant, je restais ainsi, crisp�e, d�mang�e par une envie folle de me trousser et de me branler avec sauvagerie, mais je me repris tr�s vite, pensant avec raison combien il serait plus agr�able de prendre une des petites mains de Nancy, de la conduire � ma chatte et de la laisser me branler, comme elle l�avait d�j� si bien fait. Je m�approchais du lit, m�assis � cot� d�elle et la vis alors se redresser en un clin d��il. Avant que je puisse faire ou dire quoi que ce soit, elle m�avait repouss� sur les oreillers, trouss� ma jupe, heureusement �vas�e, et elle attrapait l��lastique de mon slip. J�eus � peine le temps de soulever mes hanches qu�elle me d�culottait, le faisant prestement glisser jusqu�� mes chevilles et ouvrait largement mes cuisses. Sa t�te s�enfouit sous ma jupe retomb�e et je sentis son souffle chaud sur le haut de mes cuisses quelle couvrait de baisers, s�enfon�ant toujours plus avant entre elles. Ses petites mains avaient fermement agripp� mes fesses nues et sa bouche atteignit enfin mon sexe. Vaincue par la violence de son assaut, je m�abandonnais. Sa langue fourrageait, d�busquant dans ma fente b�ante mon clitoris raidi qu�elle se mit � sucer goul�ment me faisant presque d�faillir. Elle alternait pressions et succions de ses l�vres, s�affairant en m�me temps de la langue sur la tigelle dress�e. Sans m�me m�en rendre compte, j�avais pos� mes mains sur sa t�te pour la presser davantage contre moi et je g�missais de bonheur. A ce train l�, il ne me fallut gu�re de temps pour �prouver un fabuleux orgasme qui me convulsa toute tandis que je d�chargeais abondamment. J��tais an�antie par la violence de mon plaisir quand elle se redressa, la bouche et le menton barbouill�s de mes sucs, mais je trouvais encore la force de l�attirer � moi pour l�embrasser et partager avec elle le go�t de ma jouissance. Quand nos l�vres se s�par�rent, elle me demanda avec un peu d�anxi�t� : - Tu as aim� ? - J�ai ador�. D�ailleurs tu t�en es bien rendue compte, lui dis je en montrant les traces de mon plaisir qui restaient sur sa figure� - C�est vrai, je sentais ton minou se crisper et �a coulait dans ma bouche et sur mon menton� et j�aime ton go�t� - Tu l�aimes vraiment ? - Bien sur, Je te boirais tout le temps�et je vais pouvoir le faire, n�est-ce pas, maintenant que nous sommes mari�es� - Pas encore, ma ch�rie� Elle me regarda avec stupeur avant que je continue en souriant : - �pas encore, pas compl�tement : tu m�as fait l�amour, c�est vrai, mais moi, je ne te l�ais pas encore fait. Nous ne sommes qu�� moiti� mari�es� Sa figure s��claira comme elle me r�pondait vivement : - Alors qu�attends tu ? - �que tu me le demande, tout simplement� - M�chante, tu sais bien que j�en meurs d�envie� - Alors� Et je me jetais sur elle, la renversant sur le lit, bras en croix et jambes ouvertes. Sa robe s��tait, � nouveau remont�e jusqu�� sa taille et, sans attendre, je posais ma main sur son entre jambes, mon doigt s�incrustant dans sa fente � travers le l�ger tissu. Elle fr�mit toute enti�re sous sa pression, le mouillant abondamment des sucs qui en sourdaient. Mais, � sa grande d�ception, je l�abandonnais aussit�t pour remonter sa robe jusqu�� la faire passer par-dessus sa t�te. Elle ne portait plus que ses bas, sa culotte et une sorte d��troit bandeau blanc qui cachait sa poitrine. Je glissais mes mains dessous pour caresser � loisir ses minuscules seins dont j�avais cru sentir, la veille, qu�ils �taient d�une sensibilit� presque aussi exacerb�e que les miens. Je trouvais imm�diatement les pointes roses d�j� dress�es et durcies que je taquinais du bout du doigt avant de les pincer l�g�rement entre le pouce et l�index. Nancy se cabra aussit�t, sa t�te roulant sur l�oreiller, tandis qu�un doux g�missement s��chappait de ses l�vres disjointes. Et, comble de bonheur, je pus voir, en me jetant un coup d�oeil en arri�re, que la tache d�humidit� s�agrandissait sur sa culotte. Elle �tait aussi sensible que je l�avais pens�. J�achevais alors d��ter son bustier et, apr�s avoir pris le temps d�admirer � loisir son buste gracile, je me penchais sur elle, mes l�vres prenant le relais de mes mains. Quel d�lice de sucer ses adorables t�tons et de faire na�tre des plaintes extasi�es dans sa gorge. Je su�ais et su�ais encore pendant que mes mains descendaient sans h�te le long de ses flancs, ma bouche prenant leur suite. Quand j�arrivais au nombril, je le cerclais de ma langue avant de me redresser pour saisir � deux mains le bord de son slip que j�entrepris de faire glisser lentement vers le bas. Bien qu�elle eut des hanches �troites de fillette, elles �taient suffisamment larges pour m�emp�cher de lui �ter facilement sa culotte. Mais cela ne me chagrinait pas de prendre mon temps, au contraire. Je voyais se d�gager petit � petit son ventre plat et bient�t apparut le bomb� de son pubis. Je fis alors une l�g�re pause, passant mes mains derri�re ses reins pour d�gager ses fesses du slip. Le haut de sa fente m�apparaissait maintenant, ses l�vres gonfl�es s��cartant l�g�rement pour laisser entrevoir ses muqueuses roses luisantes de cyprine. Encore un effort et elle fut enti�rement d�gag�e, le slip glissant ensuite d�un trait jusqu�� ses chevilles. Nancy replia alors ses jambes, ouvrant ses cuisses � l��querre pour m�offrir son sexe. �blouie, � moiti� folle de d�sir, les reins crisp�s et la chatte en feu, je me jetais sur lui, l��cartelant encore davantage de mes mains f�briles en rabattant ses jambes sur sa t�te. Ma bouche se colla � l�ouverture b�ante que ma langue avait envahie. Je la parcourait de haut en bas et de bas en haut, d�busquant le petit clitoris, pointant � l�entr�e de l��troit vagin, me laissant envahir par les suaves parfums qui en sourdaient et, tr�s loin, au dessus de moi, j�entendais mon bel ange d�lirer de plaisir avec des sanglots de bonheur. Revenue dans mes bras, elle resta longtemps frissonnante et extasi�e, me regardant avec une infinie tendresse avant de me demander : - Nous sommes vraiment mari�es, maintenant ? - Oui, mon ange, vraiment et compl�tement� - Je suis si heureuse� Il y eut un long silence, puis elle reprit : - Tu sais ce que je voudrais, Ellen ? - Pas encore, mais je suis d�accord d�avance� - Tant mieux. Tu vois, je t�ais mang� le minou et tu as joui - c�est bien comme �a qu�on dit ?� Et puis tu m�as mang�, � ton tour, et j�ai joui, moi aussi - hummm� que c��tait bon ! Mais j�aimerais qu�on jouisse en m�me temps, toutes les deux, comme on l�a fait hier au soir, tu te souviens ? - Je me souviens Tu veux qu�on fasse un soixante neuf ? - �a s�appelle comme �a ? - Oui. Quand on se met comme �a, les jambes repli�es pour mieux se faire minette, �a ressemble � un 69, c�est pour �a qu�on l�appelle comme �a� - Ah, je comprends ! Tu as raison, on ressemble bien � un 69... Tu veux bien qu�on le fasse : j�ai envie de te l�cher pendant que tu me l�cheras, c�est tellement bon. Mais il faudra que tu me montres bien comment on le fait� Je lui souris en acquiescant et me levais pour me d�shabiller. Mais j�eus � peine le temps d�enlever ma veste et ma jupe que Nancy m�arr�ta : - Non, reste comme �a, tu es tellement belle� Machinalement, je me regardais dans le grand miroir et je me vis telle qu�elle me voyait : j��tais plus nue que nue. Le soutien gorge que j�avais choisi d�couvrait enti�rement mes seins, se bornant � les pr�senter sur un lit de dentelle noire. Je n�avais plus de culotte et mon porte jarretelles, noir �galement, encadrait mon sexe dont la toison soigneusement taill�e tranchait de ses reflets roux sur la peau laiteuse de mon ventre et de mes cuisses, au dessus de mes bas fum�s. La vision �tait telle que je me surpris � me d�sirer moi-m�me� Je m��tendis sur le lit, � cot� de Nancy, mais en sens inverse. Elle me regardait intens�ment, appuy�e sur un coude, pendant que je lui expliquais comment nous allions faire : - Restons couch�es sur le cot�, face � face, ou, plus exactement, t�te b�che. Rapproche toi bien de moi et pose ta t�te sur ma cuisse. Je ferais la m�me chose avec toi et ensuite nous replierons nos jambes libres pour que chacune puisse bien s�occuper du minou de l�autre� Ma petite amante suivait mes instructions, les anticipant m�me avec un sur instinct de ce qu�elle devait faire. Et quand nous f�mes bien install�es et toutes fr�missantes d�anticipation, elle releva la t�te pour me dire : - Je peux faire ce que j�ai envie� - Oui, ma ch�rie, je suis � toi, comme tu es � moi� - Tu aimerais que je mette mes doigts dans ton minou ? Pour toute r�ponse, j��tendis le bras et, prenant sa main, je l�amenais � mon vagin et, d�un geste rapide, je l�y introduisis en lui disant d�une voix rauque de d�sir : - Va, ma ch�rie, va maintenant� Je la sentis s�enfoncer dans mon sexe ruisselant et je retrouvais avec d�lices les merveilleuses sensations que m�avaient donn� son fistage improvis� de la veille. En m�me temps, sa boche, de plus en plus habile, s�emparait de mon clitoris. De mon cot�, j�avais agripp� ses fesses et, les ouvrant largement, j�avais entrepris de l�cher la raie de son cul en tentant de le p�n�trer de ma langue. Comme j�y parvenais mal, ce fut mon doigt qui s�y engagea profond�ment, le pistonnant avec force, pendant que ma bouche se collait � son sexe. Nous nous affairions maintenant toutes les deux, chacune l�chant, su�ant et branlant le con et le cul de l�autre avec d�autant plus de force que, d�une part, elle ressentait le plaisir qui lui �tait donn� et, d�autre part, le corps qu�elle serrait contre elle pour mieux le f�ter se tordait de jouissance sous ses assauts. J�aurais aim� que cela dure une �ternit�, mais, h�las, tout a une fin, m�me les moments les plus d�licieux. Nancy me fistait tellement violemment, sa petite main s�enfon�ant jusqu�au poignet dans mon vagin dilat�, que je crus presque que Phil �tait en train de me baiser. Cette id�e effa�ant toutes mes r�sistances, l�orgasme m�envahit d�autant plus facilement qu�au m�me moment elle se mit � mordiller tendrement mon clitoris turgescent. Mon vagin se contracta avec un force incroyable et je sentis que je d�chargeais abondamment, tant sur la main qui me fouillait que dans la bouche qui me l�chait. J��tais tellement tordue par mes spasmes de jouissance que je dus faire un effort surhumain pour continuer de baiser Nancy et l�amener, elle aussi, � l�orgasme. Heureusement, l�exc�s m�me de mon plaisir rendant mes gestes plus brutaux, je for�ais mon doigt dans son cul en le tournant et le retournant avec force pendant que je me mettais, moi aussi, � mordiller les tendres muqueuses de sa chatte, d�clenchant ainsi sa jouissance. Comble de bonheur - et chose que je n�aurais m�me pas pu imaginer auparavant - non seulement ma petite amante d�chargea dans ma bouche, mais, tant secou�e qu�elle �tait par son orgasme, elle cessa de se contr�ler et se mit � pisser dans ma bouche. Je ne sais si je m�en rendis vraiment compte sur le moment mais j��tais tellement hors de moi, les spasmes succ�dant aux spasmes dans nos deux corps emm�l�s, que, mes l�vres coll�es � son sexe, je la bus avec d�lices, jusqu�� la derni�re goutte, et avec encore plus de plaisir que le champagne de notre repas. Nous ne cess�mes pas tout de suite de nous caresser, chacune s�acharnant � caresser son amante pour lui donner le plus de plaisir possible. Il fallut enfin cesser et nous rest�mes un long moment dans la position o� nous �tions, admirant mutuellement nos corps ou, plus exactement, ce que nous en avions sous les yeux, c�est-�-dire, pour l�essentiel, nos sexes et caressant l�g�rement ce qui �tait � notre port�e, hanches, cuisses, fesses� Mais chacune avait tant faim de l��treinte de l�autre que nous fin�mes par nous retrouver embrass�es, Nancy me renversant sur le dos pour se coucher sur moi, enfourchant une de mes cuisses pendant qu�une des siennes se pressait contre ma fente et posant, avec un long soupir de bonheur, sa t�te au creux de mes seins. - Je crois que nous sommes bien mari�es, maintenant ! - Je le crois aussi, r�pondis je avec le plus grand s�rieux Tout � coup, elle redressa la t�te et, me regardant droit dans les yeux, me demanda : - Mais alors, qui est le mari et qui est la femme de nous deux ? J�h�sitais un moment, ne sachant pas trop que r�pondre, puis : - Tu sais, mon amour, je crois que �a ne marche pas comme �a entre deux filles. D�abord par ce que nous n�avons pas de p�nis, ni l�une, ni l�autre� - �pas de quoi ? - �de p�nis, de bite, de zizi, si tu pr�f�res, ce que le gar�on a, � la place du minou. Il grossit et durcit et le gar�on l�enfonce dans le vagin de la fille - comme tu as enfonc� ta main dans le mien - pour lui faire l�amour� - �alors je t�ais fait l�amour avec ma main ? Comme un gar�on ? - �oui� et �non. Attends, je vais t�expliquer : tout ce que nous avons fait, toutes les caresses, tout, tout, tout, c�est cela faire l�amour. Tu le fais pour donner du plaisir � celui ou � celle que tu aimes. En plus, entre gar�on et fille, on peut faire des enfants, mais pour cela il faut que le gar�on enfonce son sexe dans celui de la fille et qu�en jouissant il envoie son sperme dans son ventre o� il rencontre l�ovule de la fille et les deux se m�langent pour faire un b�b� Je la voyais pensive devant cette avalanche d�informations, dont beaucoup lui �taient connues, mais qu�elle devait envisager dans un nouvelle perspective. - �c�est pour cela, mon amour, que nous sommes bien mari�es, mais que nous ne sommes pas mari et femme. Je suis ton amante et tu es mon amante. Nous sommes �gales, toutes les deux et, tout ce qui compte c�est que nous nous aimons et que nous allons �tre tr�s heureuses ensemble. Post A Comment |