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�� Auteur :� Alain Terdit
Le r�cit complet, corrig� est d�pos�s � l'INPI par enveloppe SOLO,� ils restent la propri�t� de son auteur.
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A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonn�es et explications de d�but et de fin.
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��� 1 - Avertissement et mise en garde
��� 2 - Table des mati�res
��� 3 - Nadine
��� 6 - La pipe de Nadine
��� 9 - La pisse et l'enculage de Nadine
� 15 - La fellation et l'examen gyn�cologique
� 19 - Le d�pucelage de Nadine
� 24 - La levrette avec Nadine
� 30 - Les courses en ville et la promenade dans le bois
� 37 - la baise et l'orgasme de Nadine
� 40 - Dans le jardin avec Nadine
� 43 - La pipe de Nadine au cin�ma
� 47 - La rencontre de Jean Yves
� 48 - L'enculage de Nadine � trois
� 54 - La rencontre d'Audrey � la plage
� 60 - Les deux pipes de Nadine
� 67 - La casse de voiture et le ferrailleur I
� 71 - Le rapt d'Audrey
� 77 - La soumission et l'initiation d'Audrey
� 83 - L'enculage d'Audrey
� 85 - A quatre dans le lit
� 89 - Les courses et le god de Nadine
� 96 - la casse de voiture et le ferrailleur II
102 - Les tarifs
105 - Trois trous et trois bites pour Audrey
114 - Le rapt du petit Kevin
120 - L'enculage et l'initiation de Kevin
137 - Sandy
139 - Laura
155 - Mr Dupuis
165 - La visite m�dicale du CE 2
175 - La visite m�dicale du CM 1
182 - Le rapt d'Am�lie
196 - La livraison
202 - Notes sur l'inceste et la p�dophilie
204 - Violence et p�dophilie - Le plaisir du corps et l'origine de la violence -
���� ����Assistance aux personnes en prise avec des attirances
p�dophiliques
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La Fillette se nommait Nadine. Elle se laissait faire, debout, serr�e contre lui� A peine 11 ans. Presque consentante...
Il continua � palper ses v�tements. Comme la gamine ne disait rien, il apposa une main sur sa petite poitrine naissante, recherchant sur le tissu un de ses petits t�tons. Il plaqua l'autre au niveau d'une de ses fesses. Elle fr�mit�
Elle portait sur elle un tee-shirt moulant blanc et une adorable petite jupette de couleur jaune� Adorable enfant, cheveux blonds mi-longs, les yeux d�un bleu ciel transparent. Visage parfait, corps magnifique. L�absolu beaut�.
Ses doigts sculptaient avec d�licatesse ses fesses, les palpaient tout en suivant les coutures de la tr�s l�g�re petite culotte qu�il devinait sous le tissu.
La fi�vre montait en lui, il se raisonna, il avait tout le temps�
La petite repartirait de chez lui avec sa m�re en d�but de soir�e vers 20 heures,
il �tait seulement 10 heures du matin.
Sa maman l�avait amen� � 9 heures, comme convenu hier soir�
Au regard que lui avait lanc� Nadine d�s qu�ils furent seuls, il avait compris imm�diatement qu�une tr�s grande complicit� allait s��tablir entre eux.
Il avait ressenti dans son regard un besoin d�affection sp�cial, en m�me temps qu'une certaine interrogation sortant totalement de l�ordinaire�
Elle voulait peut �tre apprendre ce que beaucoup � son �ge ignoraient.
Sans un mot il lui prit la main, l�emmena � quelques m�tres sur un grand canap�. Il s�assirent l�un � cot� de l�autre. La petite �tait un peu tendue.
La prenant doucement par les �paules, il lui d�posa un bisou tr�s tendre dans le cou, puis remonta jusqu�� trouver sa bouche.
Il appuya doucement ses l�vres sur les siennes�
Sa langue se fraya un chemin. Nadine se laissa faire�
C��tait � son avis la premi�re fois, elle semblait aimer. La main droite de l'homme descendit doucement jusqu�� effleurer le genoux droite de la gamine. Elle se laissa �carter doucement les jambes, l�exploration commen�a. Ses doigts remont�rent doucement sur les cuisses, soulev�rent tr�s d�licatement la jupette.
Il avan�a encore un peu, effleura le tissu tr�s doux de la petite culotte, continua � remonter vers l�entrejambe. Le temple de la fillette �tait sous ses doigts�
Il chercha volontairement � situer la fente de son sexe en appuyant d�licatement sur le tissus. Nadine eu un l�ger soubresaut et chercha � refermer ses cuisses.
Il d�cida de ne pas aller plus loin, du moins pour l�instant, se contentant de faire na�tre en elle des envies quelle n�avait jamais encore connues.
Sans insister, il continua � l�embrasser, lui caressa le haut des cuisses longuement tout en titillant de temps en temps les bords de sa petite culotte.
Il valait mieux attendre que le tranquillisant tr�s sp�ciale et m�lang� au jus d'orange bu par Nadine trente minutes auparavant fasse son effet��
Nadine aimait ses caresses, elle �tait d�j� tr�s sensuelle pour ses 11 ans.
Oui c��tait bien �a, � sa fa�on de ressentir le moindre attouchement, on devinait une sensualit� naissante et exacerb�e.
Elle �tait faite pour le plaisir�
La fillette commen�ait � avoir sommeil, il lui proposa de s�allonger de tout son long sur le canap�, elle acquies�a. Il lui mis un petit coussin moelleux sous la t�te, remit sa jupette comme il fallait, tout en lui caressant son petit derri�re��
Elle �tait d�sirable, il avait envie de la regarder toute nue, de l�embrasser partout, de sentir son odeur de pucelle.
Ses jolis petits yeux se ferm�rent, sa respiration devint plus lente, elle dormait d�un sommeil bizarre. Il la contempla cinq minutes sans rien faire.
Le moment �tait venu�
La bouche � l�oreille de la petite, il se mit � lui parler "Nadine tu m�entends� ", plusieurs fois il r�p�ta cette phrase, aucune r�action, il continua, "Nadine tu m�entends�"
Elle tressaillit une premi�re fois, puis elle eut un autre sursaut plus petit quelques secondes apr�s� Les yeux toujours ferm�s il entendit distinctement : " Oui Monsieur ". Elle �tait dans un �tat de semi-conscience, cela allait lui permettre de faire beaucoup de chose. Ce m�lange de m�dicaments il l�avais d�j� test�, donnait des r�sultats stup�fiants.
Sans plus attendre il lui demanda de se retourner, de se mettre sur le ventre.
Ce quelle fit imm�diatement avec une passivit� d�concertante�
Elle n�avait plus aucune volont�
Il lui caressa doucement sa jupette, commen�a � lui peloter son post�rieur.
Tr�s ferme et d�une forme parfaite� De ses deux mains il releva sa jupette.
Le spectacle magnifique de ses deux petites fesses enrob�es dans la petite culotte rose lui apparut.� il fit glisser doucement le l�ger morceau de tissu sur ses cuisses, presque au genoux, il releva aussi le tee-shirt jusqu�au �paules.
Comme le regard et la palpation� lui avait pr�dit, ses fesses, sa chute de rein �taient parfaites, sa peau �tait d�une douceur fantastique.
Ses deux mains se promenaient sur toutes les parties du corps qu�il avait d�nud�.
La r�action fut imm�diate, son sexe commen�a � devenir tr�s dur et raide.
Il d�cida de profiter de tous ces instants au maximum, il savait ce qu�il pouvait faire. Il se d�v�tit enti�rement� Enfin presque, seul son slip resta sur lui.
Il bandait terriblement, le tissu d�form� dessinait une forme oblongue g�n�reuse.
Il lui restait � d�shabiller compl�tement la fillette, ce qu�il fit promptement, en douceur. Elle se laissa faire sans aucun probl�me, toujours � demie consciente.
Elle fut rapidement nue, les fesses toujours vers lui, couch�e sur le ventre.
Le coussin quelle avait sous la t�te tout � l�heure allait lui servir pour un autre usage, il voulait le mettre sous son ventre.
Ce qu�il r�ussit � faire sans probl�me� en soulevant doucement la petite fille.
Elle avait maintenant le bassin et les fesses sur�lev�es, le cul offert�
Le spectacle �tait super, aucun poil sur son minou bien visible, mais bien ferm�. L�anus et sa petite corolle frip�e en �toile �tait magnifique.
Ce n��tait pas suffisant pour lui, il ouvrit doucement mais compl�tement ses cuisses. " La petite grenouille " �tait offerte au maximum.� Il ne put r�sister, approchant sa bouche de la petite croupe, il d�posa� sur la ligne des fesses une grande quantit� de salive. Il avait calculer juste, celle-ci commen�a � couler directement sur son anus. Il se mit un doigt dans la bouche, le mouilla, l�approcha de l�anus de la gamine. Tr�s d�licatement, l'index for�a l'anus en faisant rentrer un maximum de salive.
Il fut surpris par le petit cri que Nadine �mit.
Tr�s lentement, il continua d�un mouvement de va et vient � rentrer toute la salive en attente sur sa croupe.
Il bandait de plus en plus, n�y tenant plus il sortit son sexe. Celui-ci se mit imm�diatement en position verticale, �rection maximum�
L'id�e lui vint de mettre sa bitte sur son anus. Il changea donc sa position, elle se laissa faire sans probl�me. Il la mit � genoux, cuisses tr�s �cart�es, son corps parall�le au divan et t�te en bas.
Il se glissa derri�re elle, entre ses cuisses, apr�s avoir inond� sa verge de salive,� approcha son gland du trou du cul de la petite. Chacune de ses mains �carta une de ses petites fesses, son gland commen�a � appuyer tr�s doucement sur la corolle du trou du cul de la gamine.
A chaque pression minime de sa bitte, il voyait la corolle �toil�e de la fillette se d�former pour �pouser la forme de son gland. Il ne voulait pas la p�n�trer, du moins pas maintenant�
Au bout de quelques minutes, il remarqua que l�anus de la petite changeait de couleur, il devenait un peu rouge violac� depuis qui lui martelait doucement son trou.
Elle �tait bien d�tendue, dans une position id�ale pour une sodomie.
Sans arr�ter son petit mart�lement, il d�cida de commencer � toucher sa fente. L�exploration de son sexe commen�a, ses l�vres �taient bien ferm�es.
Il parcourut la fente avec un doigt en exer�ant une pression tr�s l�g�re.�
A chaque parcourt de la petite fente il s�attardait � l�endroit ou devait se trouver son petit clitoris, il appuyait un peu plus fermement en faisant faire un petit cercle � son doigt.
Il fut r�compens�. Quelques minutes apr�s ce petit man�ge, il remarqua que les l�vres de son sexe commen�ait � s�ouvrir.
Il pouvait d�j� mettre son doigt � l�int�rieur, puis en ressortant jouer avec les petits morceaux de chair fragile. Il palpa sur le haut du sexe une toute petite boule qui gonflait de plus en plus, il la caressa� Le clitoris de la fillette.
������������������������������������������������ La pipe de Nadine
Il garda le rythme, son gland tamponnait le petit anus doucement, les doigts fouillaient son sexe, sans ignorer le clitoris. La gosse qui n�avait pas eu beaucoup de r�action jusqu�� maintenant commen�a � remuer doucement, ainsi qu�� �mettre des l�gers g�missements.
Il ressentit monter le plaisir en elle, ce qui fut v�rifi� par les doigts qui fouillaient sa fente et qui commenc�rent � �tre mouill�s d�un liquide ti�de.
La petite prenait du plaisir. Il voulait savoir jusqu�o� cela pourrait aller avec une fillette de onze ans ans, Il continua donc, de plus en plus la fillette se tordait, gesticulait en articulant des petits sons.
Il d�cida de s�octroyer un petit plaisir suppl�mentaire, il abandonna sa position derri�re son cul, s�allongea sous elle, la t�te � la hauteur de son minou. Juste en levant la t�te, en sortant la langue de sa bouche il devait pouvoir l�cher son sexe. De ses deux mains il descendit un peu son bassin, oui il �tait � la bonne hauteur�
Il commen�a � donner quelques petits coups de langue, goutta le liquide qui sortait d�elle. Tr�s rapidement il mit sa bouche sur les l�vres de son sexe assurant une �tanch�it� totale. Il ne voulait plus rien perdre de ce qui sortait de son vagin. C��tait bon�
Il resta dans cette position un long moment ne pensant qu�� l�cher enti�rement la petite fille, il rentrait sa langue avec d�licatesse en faisant bien attention de ne pas la blesser. Il n�oubliait jamais le clitoris donnant un petit coup de langue de temps en temps. Nadine bougeait maintenant tout le temps, les petits cris qui sortaient de sa bouche avec sa voix d�enfant lui faisait un effet terrible.
Sa bitte �tait terriblement gonfl�, pr�t � �clater� Ses testicules �taient pleins�
Il remonta sous la gamine de fa�on � mettre sa bitte � hauteur du visage de la fillette. Il �tait maintenant assis jambe tendues, la fillette �tait dans la m�me position qu�auparavant peut-�tre les jambes un peu plus fl�chit, cul offert en haut, le visage juste sur sa bitte. Il prit sa t�te avec ses deux mains, amena sa bouche � la hauteur de sa queue. Il lui demanda doucement mais fermement :
" Ouvre ta bouche Nadine s�il te pla�t ". La fillette attendit cinq secondes avant de s�ex�cuter tr�s doucement et d�ouvrir sa bouche. Il lui donna un autre ordre : " Ouvre plus grand s�il te pla�t Nadine ". La fillette lascivement s'ex�cuta � nouveau.
Il approcha de plus en plus sa bitte, ressentit la chaleur sortant de la bouche de la petite fille sur son gland� Il glissa son sexe dans la bouche de la petite�
La gamine n�eut aucune r�action. Il �tait bien dans sa bouche� La chaleur moite irradiait toute sa bitte, il ressentait la salive de Nadine sur toute sa queue.
Il lui demanda : " Ferme bien ta bouche Nadine et SUCE,SUCE longtemps�".
La petite enroba la bitte encore mieux� Il commen�a � effectuer un l�ger mouvement de va et vient avec sa queue dans sa bouche�
Il continua quelques minutes, puis� s�arr�ta� brusquement� La fillette prit la rel�ve aussit�t sans qu�il ait eu � lui dire quoi que ce soit�
Il l�aidait de temps en temps, poussant � fond la bitte dans sa bouche, jusqu�� toucher le fond de sa gorge, mais sans jamais lui procurer une g�ne respiratoire. La petite su�ait tr�s bien.
Elle �tait redevenue plus calme, ses deux mains �tant libre, il d�cida de s�occuper de sa petite poitrine naissante, pin�a chaque t�ton en faisant rouler les bouts avec deux doigts tout en tirant l�g�rement. La fillette g�mit doucement. Au bout de quelques minutes les deux t�tons �taient devenus plus rouges, ils avaient doubl� de volume.
La petite continuait � faire sa pipe, il se rendit compte que bient�t il allait lui juter dans la bouche. Il pr�vient la petite fille : " Nadine, il y a du jus chaud qui va rentrer dans ta bouche, c�est un m�dicament il va te faire du bien, il va falloir tout avaler... Sans en laisser� Il faudra tout avaler, tu as bien compris ".
Le : " Oui Monsieur " quelle r�pondit �tait compl�tement �touff� et d�form� par la bitte dans sa bouche, mais elle avait compris c��tait sur.
Il n�en pouvait plus, c��tait imminent, il tirait de plus en plus fort sur ses t�tons,� la petite devait commencer � avoir mal, son g�missement s�accentuait et devenait de plus en plus aigu et fort.
Il juta instantan�ment dans la bouche de la fillette, en s�arrangeant pour que la premi�re d�charge de sperme aille vers le haut du palais, et non au fond de sa gorge pour ne pas quelle s��trangle. Il y eu 5 ou 6 jets suivants, la bouche de la petite fille se remplissait de sperme. Il lui cria " Avale tout Nadine, avale tout ma puce�". Il vit la gorge de la gamine se contracter�, puis d�glutir.
Elle avalait bien, sans grimace. Bien sur tout n��tait pas ing�rer, il en ressortait de la bouche, elle en remettait sur la queue. Elle en avait plein les l�vres, ce qui ressortait �tait le fruit de la premi�re gicl�e, elle avait �t� surprise.
Les autres arrivant avec moins de pression �taient aval�es par la fillette.
Il r�pandit une derni�re gicl�e de semence dans sa petite bouche elle continua � avaler�
Il fallait maintenant lui apprendre � pomper une bitte, ne pas en laisser� "Nadine tu ne dois pas en laisser, l�che partout avec ta langue, avale tout, si tu n'en trouve presque plus tu aspires la queue � fond pour en faire remonter un peu".
La petite fille continua � avaler et commen�a � rechercher le pr�cieux m�dicament perdu. Elle sortit sa langue, la passa sur ses l�vres.
Elle ramena une bonne quantit� de sperme quel avala � nouveau.
Il se sentit aspirer plusieurs fois, la petite le vidait compl�tement�
Il restait la bitte � nettoyer, il lui dit : " Nadine sort ta langue et l�che tout le m�dicament, je ne veux pas qu�il en reste ". La gamine commen�a � nettoyer sa queue en la l�chant maladroitement.
Elle ramena plusieurs fois du sperme dans sa bouche, avala � nouveau.
Il lui dit : " Il faut que tu aspires encore une derni�re fois pour faire monter ce qui reste ".
La gamine s�ex�cuta, il ressentit une nouvelle fois sa bitte aspir�e.
Il commen�a � d�bander, son sexe devint plus mou dans la bouche de Nadine.
Elle continua � le pomper. Il lui dit : " Continue � aspirer jusqu�� ce que je te dise d�arr�ter ". Elle continua � aspirer assez fortement et r�guli�rement, il avait l�impression d��tre vid� compl�tement.
Son sexe �tait maintenant compl�tement mou, elle continuait � aspirer�
Il appr�ciait beaucoup, surtout au moment ou le peu de jute quelle trouvait encore se trouvait aval� en m�me temps que sa salive. Il rest�rent un moment comme �a. Il n�avait plus de force, il demanda � Nadine d�arr�ter.
Elle se d�gagea du sexe tout en gardant sa position. Il l�a redressa, l�assit sur le canap�, elle avait les yeux ouverts, son regard �tait lointain, pas du tout dans son �tat normal la m�me�
Elle avait encore du sperme � certain endroits du visage.
Il alla chercher un linge mouill�e, lui fit une toilette sommaire puis l�allongea sur le canap�, d�cida de la laisser se reposer, mais avant il lui dit : " Nadine ma ch�rie, maintenant tu vas dormir, lorsque tu te r�veillera tu seras en pleine forme,� tout ce que tu as v�cu ici, tu n�en parleras jamais � personne, sauf � moi si tu veux. A partir de maintenant tu auras toujours envie que je te caresse et t�apprenne de nouvelles choses, elles t�apporteront beaucoup de plaisir et de bonheur. Tu m�as bien compris ? ".
Il eut droit � un " Oui Monsieur ".
Il rajouta : " Dors maintenant ma ch�rie, � toute � l�heure ".
La gamine se r�veilla vers 16 heures, aussit�t il s�approcha d�elle, son visage �tait repos�e. Elle lui sourit, il lui rendit son sourire, lui demanda si tout allait bien. Un signe de la t�te de la fillette le rassura compl�tement.
J�ai faim dit elle�
Le reste de la journ�e se passa devant le poste de t�l�vision, sur le m�me canap� ou avait eu lieu leurs �bats. Tr�s vite une complicit� s��tablit entre eux.
La fillette se blottit contre lui, il la prit par les �paules tendrement, ils rest�rent longtemps comme �a�
����������� ������������� La Pisse et l'enculage de Nadine
Sa m�re sonna � 20 heures 15, elle demanda si tout s��tait bien pass�.
Il lui r�pondit que l�exp�rience s��tait d�roul�e comme pr�vue, que tout allait� bien. Il questionna ? : " on continue demain ? ".
D�accord on continue demain r�pondit la m�re�
Nadine et sa maman repartirent peu apr�s, non sans que la petite ait fait une bise au docteur.
Le lendemain la sonnette retentit � 8 heures, Il �tait encore en robe de chambre, alla ouvrir, fit rentrer Nadine et sa maman. La petite fille l�embrassa sur la joue.
La m�re avait l�air g�n�e. Docteur, j�ai un service � vous demander lui dit-elle, ce n��tait pas pr�vu mais je dois partir au Kosovo pour quelques semaines, cela ne vous d�range pas de garder Nadine pendant ce temps� Comme vous me l�avez propos� l�autre fois�
Le stratag�me avait �t� pr�par� de longues dates, tout avait �t� mis au point , ce qu'il fallait dire et faire croire � la petite fille...
Il r�pondit par l�affirmative, puis ajouta qu�il allait pouvoir poursuivre ses exp�riences et l��ducation de la fillette. Elle lui r�pondit qu�elle �tait d�accord.
La m�re prit cong� rapidement apr�s avoir laiss� un grand sac d�affaire de rechange pour Nadine et embrass� sa fille en lui recommandant d��tre tr�s sage.
Ce que la fillette lui promit aussit�t�
Ils se retrouv�rent seuls tous les deux, intimid�s, sans savoir qui allait parler le premier. Il alla chercher dans la cuisine deux verres de jus d�orange, il commen�a � boire le sien, tendit l�autre � Nadine. Elle lui dit merci et commen�a � boire�Bon tu veux faire quoi aujourd�hui ? La r�ponse lui parvint rapidement, je suis pas en forme�
J�ai encore sommeil, j�ai mal dormi cette nuit. Bon lui dit-il et bien on va aller se coucher, moi aussi j�ai "encore" sommeil�
Il lui prit la main, l�emmena dans la chambre � coucher, l�assit sur le lit,
lui demanda de finir son jus d�orange, pour ne pas le renverser �
Elle s�ex�cuta, il prit le verre vide, le d�posa sur la table de nuit.
Bon je vais te trouver une chemise de nuit, commence � te d�shabiller.
Il ouvrit l�armoire, lui trouva une petite nuisette rose tr�s l�g�re, presque transparente. Tiens lui dit-il en lui tendant le v�tement, tu vas �tre dr�lement mignonne la dedans. Elle rougit� Voyant qu�elle h�sitait � se d�shabiller, il lui proposa de l�aider, ce qu�il commen�a � faire aussit�t. Elle avait � peu pr�s les m�mes v�tement qu�hier, c�est � dire pas grand chose sur elle, c��tait les vacances de Juillet, il faisait chaud. Il l�a mit debout, d�boutonna la petite jupette qui glissa toute seule sur ses sandales et laissa appara�tre une tr�s belle petite culotte rose orn�e de petite dentelle sur les cot�s. Il retira le tee-shirt en lui faisant lever les bras, il remarqua que sa petite poitrine �tait rouge et gonfl�e.
Les petits t�tons rougis ressortaient nettement, alors qu�hier avant qu�il s�occupe d�elle, ils �taient compl�tement rentr�s. Il l�assit sur le lit et finit par retirer le reste de ses habits.
Son slip, il le trouva trop beau pour l�enlever maintenant�
Il lui glissa par la t�te, bras en l�air, la l�g�re petite nuisette, puis lui demanda de se remettre debout.
Magnifique� La tr�s courte chemise de nuit lui arrivait au ras de ses petites fesses, laissant d�voiler la petite dentelle de la culotte. C��tait tr�s mignon, �rotique � souhait, et aussi tr�s pratique�
Il l�a prit dans ses bras, la d�posa sur le lit du c�t� gauche, puis il la couvrit de l�unique drap. Il retira sa robe de chambre, garda son slip, se glissa dans le lit � c�t� de la fillette.
Il se tourna sur le c�t� gauche, vient aussit�t se blottir contre elle, mit sa main droite sur la nuisette juste � la hauteur de son ventre, sa main se soulevait au rythme de la respiration de la fillette.
Il palpa doucement, ressentit la dentelle de la petite culotte sous la chemise de nuit. Elle tourna sa t�te vers lui, � voir ses yeux il comprit qu�elle avait deviner ce qui allait se passer.
Dans quelques temps, il pourrait se passer de la tranquilliser et de l�endormir avec le m�dicament m�lang� dans le jus d�orange.
Il remonta sa nuisette l�g�rement au niveau du nombril, commen�a � descendre sa main sur le devant de la petite culotte,� mit ses doigts � la hauteur de sa fente, et commen�a � masser doucement. Voulant quelle s�habitue � sa bitte, il prit sa petite main droite, la posa juste sur son slip � la hauteur de sa queue en �rection. La curiosit� l�emporta, Nadine ne retira pas sa main, commen�a � palper maladroitement. Pour le moment elle n�avait pas du tout envie de dormir.
Il continua donc � lui caresser la fente de sa main droite. Avec sa main gauche il releva sa nuisette, remarqua ses t�tons gonfl�s.
Il se baissa l�g�rement dans le lit, la main de Nadine sur son slip avait suivi.
Il mit sa bouche � la hauteur du t�ton droit qu�il serra entre ses l�vres tout en le mouillant de salive, il continua en le titillant avec sa langue. Elle eu comme une d�charge �lectrique, elle se raidit, se re-d�tendit aussit�t.
Du cot� de sa petite culotte le massage qu�il lui faisait sur sa fente commen�ait � porter ses fruits.
Le tissus � l�endroit de la fente devenait humide� M�me plus il �tait mouill�
La d�charge qu�il avait remarqu� quelques instants auparavant avait certainement amen�e un peu de pipi. Il calma le jeu aussit�t, lui demanda : " Nadine tu a envie de faire pipi ? ". Elle r�pondit par l'affirmative aussit�t.
Bon et bien Tu va faire diff�remment de d�habitude, attends je reviens.
Il alla dans la salle de bain, ramena quatre serviettes assez grande, en d�posa trois � sa place sur le lit. Il s�allongea de tout son long � sa place, demanda � Nadine de retirer sa petite culotte pour faire pipi, puis de venir se placer � califourchon au dessus de sa t�te.
Quelques instants apr�s elle �tait en position culotte retir�e.
Le spectacle de sa petite chatte de fillette juste au dessus de sa t�te lui procura un ravissement incroyable. En levant sa t�te l�g�rement il devait pouvoir boire tout le pipi de la petite fille, si elle arrivait � uriner� La quatri�me serviette �tait � port�e de mains � c�t� de lui, pour s�essuyer en cas de probl�me. Il lui dit : " Nadine normalement le pipi on ne le boit pas, mais dans certains cas c�est un m�dicament qui gu�rit beaucoup de chose, hier c�est moi qui t�ai donn� mon m�dicament � boire, aujourd�hui c�est � toi de me donner ton m�dicament.
Il faut que tu fasses pipi et que je le boive ".
Etonn�e, elle sourit, pour La fillette s��tait un peu comme un jeu, s��tait tr�s bien qu�elle le prenne comme �a�
Bon tu peux commencer quand tu en a envie. Il vit son bas ventre se contracter.
Il attendit bouche grande ouverte, presque coll�e sur le sexe de la fillette.
L�urine jaillit d�un seul coup, un long jet continue, il fallait boire tout de suite, sinon la bouche serait vite pleine.
Il avala au fur et � mesure, c��tait ti�de et pas d�sagr�able du tout. Il ne bougeait surtout pas sa t�te de peur que le pipi change de direction.
Le jet continu dura � peine une minute, il savourait avec volupt� l'urine de la fillette.
La fin du pipi approcha, le jet devint moins r�gulier, puis s�arr�ta.
Quelques gouttes tomb�rent encore dans sa bouche, puis plus rien.
Il avait tout aval� Seuls quelques gouttes avaient gicl�es sur son menton et ses joues. Il prit la serviette rest�e en attente � c�t�, s�essuya avec. La fillette �tait� �tonn�e, contente en m�me temps d�avoir os�e faire �a.
Elle se d�tendit. Ses yeux commen�aient maintenant � se fermer de temps en temps, son attention diminuait vite. Elle �tait toujours offerte, la chatte � sa bouche.
Il d�cida de la sucer, nettoya sa fente, en m�me temps il titilla le petit clitoris � petit coup de langue. Elle soupira de plaisir. En quelques minutes le petit bouton grossit, sa couleur passa de rose � rose �carlate. La petite fille commen�a � onduler de la croupe. Il mit une main sous chaque fesse de la fillette, �carta pour ouvrir l�anus au maximum. Elle avait le cul ouvert en grand. Il changea une main de place, mit ses doigts sur l��toile de l�anus, ouvrit doucement ses doigts, le cul et les fesses s�ouvrirent � fond. D�un doigt il appuya sur la petite rondelle �toil�e de la fillette. Le cul s�ouvrit imm�diatement,� le doigt rentra�
Il amena un doigt de l'autre main sur l'entr�e de son vagin et for�a l'ouverture�
Elle mouillait copieusement, c'�tait agr�able chaud et moite en m�me temps.
Ses doigts la travaillait maintenant des deux cot�s�
Elle g�missait en gesticulant, � un moment donn� elle parla tout haut : " Oh c�est bon, oh c�est bon Monsieur� ".
Le doigt dans l�anus la fouillait compl�tement d�tendant compl�tement ses chairs. Comme elle mouillait aussi un peu du cul, il d�cida de passer � une grosseur sup�rieure, il introduit un deuxi�me doigt dans son cul.
Elle �mit un petit cri, continua � se tortiller en jouissant. Son minou coulait abondamment, il le l�chait toujours de temps en temps avec sa langue, avalant le liquide� qui sortait, puis remettait son doigt en continuant son va et vient.
A son avis Nadine aimait �norm�ment les doigts dans ses parties intimes, � sa fa�on de les faire rentrer elle m�me en bougeant ses fesses et son ventre�
Il fouillait pourtant assez profond�ment son trou du cul, en �cartant, elle aimait �a�
Il fallait qu�il sache si il pouvait l�enculer avec sa queue sans lui faire de mal�
Il d�cida de mettre un troisi�me doigt. L�anus �tait tellement d�tendu et souple qu�il n�y eu aucun probl�me. Elle continua � s�empaler sur ses doigts avec plaisir.
Il d�cida d�essayer de la sodomiser tout de suite. Arr�ta son travail, regarda la petite fille. A son avis le m�dicament faisait son effet, elle g�missait encore de plaisir. Il fallait faire vite, elle �tait chaude. Ses chairs de son cul �taient d�tendues il fallait en profiter. Il se releva rapidement, la mit en position, les genoux reposant sur le lit, t�te baiss�e, cul ouvert au maximum. Elle se laissa faire tr�s docilement.
Il prit un tube de pommade sur sa table de nuit, en mis un gros paquet sur l�orifice annale, rentra la pommade dans l�anus d�abord avec un doigt, puis deux, ceci tout en tournant. Il r�p�ta l'op�ration plusieurs fois.
Elle en eut rapidement une grosse quantit� dans son conduit annal.
Il s�occupa aussi de sa queue qu�il couvrit compl�tement de graisse.
Il se d�p�cha la petite ne g�missait plus, passa derri�re son cul sans perdre de temps, amena son gland juste sur l��toile de son anus, appuya doucement, la petite rondelle de son derri�re se d�forma s'ouvrant tr�s l�g�rement.
Il appuya nettement plus fort, d�un seul coup tout le gland de sa queue rentra dans le cul de la fillette. Elle n'avait rien dit�
Il ne voulait pas pousser, il resta sans bouger quelques secondes.
La petite fille �tait encul�e pour la premi�re fois de sa vie.
Il remit sa main droite sur la fente de son sexe, chercha le clitoris, il le trouva et comme il l�avait fait avant, recommen�a le travail avec ses doigts. De sa main gauche il lui prit le sein gauche, effectua un massage de celui-ci, de temps en temps il tirait sur le t�ton doucement. Il voulait la r�activer pour qu�elle sente bien son enculage. La fillette �tait � lui, il la poss�dait d�j� presque compl�tement,� elle �tait toujours vierge. Son pucelage il voulait qu�elle s�en souvienne, il verrait plus tard. Il la d�pucellerait dans d�excellente condition, si possible sans qu�elle dorme, sans m�dicament�
Pour l�instant il la besognait doucement, sa queue ne bougeait presque pas�
Son gland �tait enserr�e par son petit cul, il pouvait encore lui mettre plus de 10 centim�tres dans son petit ventre. Il contemplait ses fesses, aurait voulu les voir bouger. Comme si elle avait lu dans ses pens�es la petite g�mit doucement, il ressentit son petit clitoris grossir � nouveau, elle recommen�a � onduler de la croupe. Il tira fort sur son t�ton en maintenant la pression avec trois doigts.
Nadine cria fort, son derri�re bougea de plus en plus, mais ce coup ci, c�est elle qui appela la bitte � rentrer avec des petits coups de rein, elle prit quatre � cinq centim�tres d�un seul coup, les garda�
La bitte �tait � la moiti� de son chemin. Il ne voulait surtout pas lui d�foncer son petit cul, il voulait quand m�me l�enculer � fond. Le travail sur le clitoris donnait de bons r�sultats. Depuis un bon moment elle avait pris le rythme en bougeant ses fesses, tous les huit � dix coups de reins, elle en donnait un plus important pour faire rentrer la verge un peu plus loin dans son ventre. Elle avait regagn� deux ou trois centim�tres. L�id�al pour lui serait que les testicules arrivent � battre sur ses fesses� La elle serait bien encul�e.
Elle jouissait, les cris parfois forts qui sortaient de sa gorge ne risquaient pas d��tre entendu par quelqu�un. La maison de campagne �tait isol�e, loin de toute autre habitation. Il continua � la besogner. Encore une fois il se demanda si tout pourrait rentrer dans son petit cul. Il d�cida d�appuyer un peu plus pour gagner quelques centim�tres� Au m�me moment la fillette fit le m�me geste en sens contraire pour rentrer un peu plus de longueur.
La bitte rentra d�un seul coup � fond� Nadine poussa un grand cri.
Les couilles appuyaient maintenant sur ses fesses, elle �tait encul�e � fond�
Elle avait eu certainement un peu mal, mais maintenant � voir sa fa�on de bouger son cul en g�missant � nouveau de plaisir on pouvait supposer que la douleur s��tait envol�e.
Il sentait la pression mont�e dans sa bitte, il besognait la fillette violemment, ses couilles battaient sur sa croupe. Ne pouvant se retenir plus longtemps, il d�versa par saccade dans ses fesses toute le sperme qu�il avait en lui. La petite fille ressentit le liquide chaud rentrer dans son ventre, elle poussa un cri plus fort au moment ou il se vida. Il resta un instant sans force, mais il voulait voir sa jute.
Il ressortit sa bitte, s�aper�ut qu�elle �tait couverte de sperme et aussi d�un peu de caca de la fillette. D�un coup sec il rentra � nouveau sa bitte dans le cul de Nadine, poussa � fond. La gamine poussa un grand cri � nouveau, mais ses testicules appuyaient � nouveau sur les fesses de la petite fille� La bitte avait retrouv�e sa place � fond dans son cul.
Epuis� il se coucha sur le c�t�, entra�na la petite fille dans sa chute, coll�e contre lui, la bitte dans le fond du cul. Il resta dans cette position longtemps. La gamine dormait tranquillement, il ne tarda pas � s�assoupir aussi.
Lorsqu�il se r�veilla il sentit que son sexe �tait toujours dans les fesses de la fillette, il ne bandait plus mais sa queue �tait encore � l�int�rieur. Il regarda la pendule, elle indiquait quinze heures, il avait faim. Il se d�gagea de ses petites fesses rapidement, aussit�t Nadine commen�a � se r�veiller. Il lui sourit, elle �tait encore un peu dans les vaps�
- Ca va Nadine ?
- J�ai mal au derri�re�
�a va passer, on va aller prendre une douche, apr�s on mangera un morceau�
Il lui donna la main pour qu�elle puisse se lever plus facilement. En marchant, il remarqua que sa d�marche �tait bizarre. Elle devait vraiment avoir mal aux fesses.
La salle de bain �tait tr�s spacieuse, l�endroit lui servait aussi de salle de gymnastique. Des appareils de musculation, un solarium le rendait tr�s convivial, des carreaux verts recouvraient les murs. La lumi�re du soleil rendait cette pi�ce tr�s agr�able.
La fellation et l'examen
gyn�cologique
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Je vois � ta d�marche que tu as mal ma puce, il va falloir que je regarde �a�
Elle �tait toujours nue, il lui demanda de s�allonger � plat ventre sur le tapis du solarium, puis d��carter les jambes, ce qu�elle fit.
Il regarda mais ce n��tait pas suffisant pour voir si tout �tait normal.
Il lui demanda de changer de position, de se mettre � genoux jambes �cart�es.
La vue �tait toute diff�rente� Son anus �tait gonfl� et violac�, quelques heures d�abstinence, une bonne douche devait remettre tout �a dans l�ordre�
Ils se lav�rent mutuellement. Curieuse, g�n�e � la fois, elle regardait souvent la bitte qui pendait. Il lui demanda de la laver, il ressentit ses petits doigts dans le gant de toilette se promener sur sa verge et sur ses testicules. De son c�t� il s�appliqua sur toute les parties de son corps, sans trop frotter pour ne pas irriter ce qui �tait d�j� bien rouge�
Apr�s s��tre habill� puis restaur�, ils se d�tendirent, jou�rent avec l�ordinateur.
Il se demanda si il devait tout de suite se connecter � Internet pour lui montrer les choses assez sp�ciales qui lui r�servait pour parfaire son �ducation.
Il d�cida de lui parler : � Nadine il faut que tu saches que tu a �t� choisie parmi d�autres petite fille pour faire une exp�rience tr�s int�ressante, qui va changer ta vie actuelle et futur. Tu t�es certainement rendu compte autour de toi que tout le monde n�est pas heureux, ce manque de bonheur viendrait du fait que pendant leur enfance les petites filles comme toi on leur aurait cach� la v�rit� sur beaucoup de chose de la vie. On fait cette exp�rience avec toi, avec l'accord de ta maman pour que tu sois plus �panouie dans la vie, que tu puisse choisir ton v�ritable destin. On veut te faire rencontrer � ton �ge des situations que m�me des grands n�ont pas rencontrer ou refuse de rencontrer. C�est un peu compliqu�, tu comprendras tout au fur et � mesure que tu grandira. Ce qu�il faut savoir c�est si tu veux continuer � nous faire confiance ? � La gamine qui avait �t� s�lectionn� pour son intelligence, sa vivacit� d�esprit lui r�pondit qu�elle �tait d�accord et que sa maman lui avait d�j� expliqu� tout �a.
Il continua, tu sais � notre avis ce qui bloque le plus les adultes dans leur vie vient de leur sexualit�. C�est ce qui leur fait faire toutes les b�tises, ils se droguent, boivent de l�alcool, fument, mentent sans arr�t, tuent, violent . Ils veulent tous trouver le bonheur � l�ext�rieur, chez d�autres personnes. Ils oublient tous que le bonheur se trouve d�abord � l�int�rieur de soi. Pour le trouver, il faut se conna�tre � fond, ne plus avoir peur de rien. Nadine quand tu conna�tra tout ce qu�on va t�apprendre tu pourra s�lectionner, choisir ce que tu aimes vraiment. Les enfants que l�on instruit aujourd�hui passent � c�t� des v�ritables valeurs. Tout le monde veut du bonheur et du plaisir, mais combien de gens savent en donner ?.
Je vais te donner un exemple pour l��ducation sexuelle � l'�cole, il n�est pas normal de donner un minimum de bases th�oriques � un enfant, puis de le laisser se d�brouiller avec la pratique d�s qu�il commence � grandir. Il vaudrait mieux qu�il connaisse les deux en m�me temps si possible.
C�est compliqu� ma petite puce, mais c�est vrai�
Il l�embrassa tendrement sur la joue. Ils n�avaient pas vu passer la soir�e, entre la t�l�vision, l�ordinateur, le d�ner. Il �tait 20heures, ils �taient assis l'un � c�t� de l'autre sur le fameux canap�. Il faisait chaud pour un mois de Juillet, 22 degr�s dans la pi�ce. Il reluquait sa petit jupette de tissus l�ger, son tee-shirt en coton. Elle s'en aper�ue� Elle avait les cuisses l�g�rement �cart�es.
Lui, torse nu avait mis un short pour �tre plus � l'aise.
Elle eut envie de s'allonger sur le canap�, fit reposer sa t�te sur ses cuisses, son visage tourn� vers son ventre. Il posa sa main droite sur sa jupette au niveau du bassin, commen�a � descendre sa main vers ses cuisses, rencontra le bord de la jupette, glissa sa main dessous, remonta doucement entre les jambes jusqu'� la petite culotte. Il pin�a l�g�rement le tissus au niveau de sa fente. Elle comprit tout de suite, ouvrant ses cuisses un peu plus.
Elle se laisserait faire, c'�tait clair, sans m�dicament dans le jus de fruit.
Voyant sa r�action� il mit directement sa main dans sa petite culotte, appuya doucement sur la fente de son sexe, tra�ant le sillon d'un doigt, tapota plusieurs fois d�licatement l'entr�e de son vagin. Juste pour lui faire comprendre que par la, on pouvait rentrer beaucoup de chose�
Sa bouche �tait toujours tourn�e vers sa braguette. Il d�boutonna les 3 boutons, �carta pour laisser appara�tre le tissus de son slip,� prit la main de la petite fille, la mit directement dans son short. Elle �tait d'accord, mais elle ne savait pas quoi faire� Il mit sa main sur ses doigts, massa le tout.
Le massage de sa chatte qu'il effectuait depuis plusieurs minutes commen�ait � porter ses fruit, elle mouillait, sa petite fente s'humidifiait, il continua�
Avec sa main libre il r�ussit � d�gager sa bitte par le dessus, glissa son slip sous ses couilles. La queue se mit toute droite aussit�t. Il mit la main de Nadine dessus, lui montra comment le branler. Elle ne fut pas longue � comprendre, au bout de quelques minutes elle effectuait un branlage tr�s correct de sa bitte.
Sa bouche �tait toujours � cinq centim�tres de sa queue C'�tait trop tentant.
Il agrippa en douceur ses cheveux avec sa main, joua avec la hauteur de sa t�te de fa�on � ce que sa queue rencontre quelques fois ses narines, quelques fois sa bouche selon sa volont�. Il voulait quelle s'habitue � l'odeur de la bitte de l'homme, il lui laissa celle-ci sous les narines pendant quelques secondes.
Puis il lui demanda de sortir sa langue, de sucer sa bitte. Elle h�sita� Timidement� elle commen�a � donner des petits coups de langue sur sa verge.
Non ma ch�rie, il faut lui donner des grands coups de langue, en douceur, de bas en haut�Elle eut une mimique en secouant sa t�te qui voulait dire, quelle allait essayer. Au bout de quelques minutes il la f�licita : " c'est bien Nadine c'est comme �a qu'il faut faire ". En effet c'�tait bien.
Il pensait de plus en plus � sa chatte, sa principale pr�occupation �tait de savoir si il allait pouvoir la p�n�trer par devant, pour en m�me temps la d�puceler.
Il voulait v�rifier si c'�tait faisable sans que la fillette ait trop mal.
Il arr�ta ses caresses sexuels, dit doucement � Nadine d'arr�ter de le sucer.
Lui fit un baiser d'amoureux sur la bouche, lui demanda tr�s gentiment
de se d�shabiller, de remettre sa petite chemise de nuit rose, celle qui �tait jolie et qui lui plaisait�Peu de temps apr�s la petite fille �tait nue dans sa nuisette rose en tissus tr�s l�ger. Plus rien dessous. Elle �tait magnifique,� encore plus d�sirable dans cette tenue�
Sans rien lui dire, il lui prit la main, l'emmena dans un long couloir parmi un d�dale de pi�ces ou elle n'avait jamais mit les pieds.
Le pavillon �tait immense. Ils s'arr�t�rent devant une porte ferm�e recouverte de velours rouge. Il fit un code sur un clavier install� sur le mur, un d�clic se fit entendre, la porte s'ouvrit miraculeusement.
La fillette aussit�t rentr�e fut saisie, s'arr�ta net, elle venait de d�couvrir un cabinet de docteur avec tout son attirail, table d'examen, armoires vitr�es remplies de m�dicament, chariot � roulettes sur lequel reposait des instruments. Et cette dr�le de table� avec deux supports m�tallique de chaque c�t� .
Il la rassura aussit�t�
C'est mon cabinet de travail, il ne faut pas avoir peur�
Il se dirigea vers un porte manteau, d�crocha une blouse blanche, la passa sur son slip, se lava les mains au lavabo, revient vers elle en lui disant : " Il va falloir que je te fasse quelques examens avant que nous poursuivions, cela ne te fera aucun mal je te le promet ".
Pour commencer ma petite Nadine tu vas grimper ici. Il lui d�signa la table d'examen avec les deux �triers. Je vais t'aider, il l'a prit dans ses bras, la d�posa dessus, lui demanda de s'allonger, ce qu'elle fit.
Elle n'�tait pas rassur�, il d�cida de changer de tactique, se dirigea vers une armoire vitr�e, l'ouvrit, prit une petite seringue qu'il remplit avec le contenu d'un petit flacon. Il se saisit d'un morceau de coton qu'il imbiba d'un d�sinfectant.
Revint vers la fillette d'un air triomphant en lui disant : " Tu as de la chance je suis le roi de la piq�re, personne ne les fait aussi bien que moi ".
Il lui saisit le bras droit, prit un garrot sur la table d'instrument, le serra autour, d�sinfecta avec le coton,� piqua aussit�t d'un geste pr�cis une petite veine.
Il rel�cha le garrot. La petite n'avait pas sursaut� C'�tait vrai il faisait bien les piq�res. Il injecta doucement le produit�
Tr�s rapidement Nadine se d�tendit compl�tement. Bon on va pouvoir commencer lui dit-il.
Il r�gla les �triers pour la grandeur de la fillette, lui prit le pied gauche le posa dessus, immobilisa sa cheville avec une bande velcro. Il fit pareil pour l'autre jambe.
Il lui attacha les deux mains bras tendus avec des fixations identiques qui se situaient de chaque c�t� de la table.
Il voulut se faire un petit plaisir. Il glissa un tout petit coussin long et circulaire sous les reins de la fillette, c'�tait peut �tre moins confortable pour elle, mais elle serait encore plus offerte, il verrait encore mieux son anus et sa chatte�
Il mit sur son front une lampe m�dicale qu'il alluma, revint entre ses cuisses.
Le spectacle �tait fantastique. Elle �tait �cart�e au maximum, il pouvait contempler en m�me temps le sexe de la petite fille ainsi que son anus.
Le trou du cul �taient irrit�, la petite corolle de l'anus �tait violette et gonfl�e. Les l�vres de son sexe �taient ouvertes, il les toucha doucement, elles �taient tr�s souples. Ils les bougea et joua avec un court instant.
Il n'�tait jamais rentr� dans la chatte de la petite fille, se contentant toujours de la caresser, faisant attention de ne pas la p�n�trer.
Il tira doucement les l�vres de chaque c�t�, fit appara�tre le vagin. Sa muqueuse vaginale �tait d'une belle couleur rose vif.
Il distingua au milieu la collerette de l'hymen, toute mince, de forme semi-lunaire, transparente, barrant une partie de l'entr�e du vagin.
Il prit sur la table � instrument un sp�culum de vierge qui allait lui permettre de l'�carter, puis de la sonder. Il introduit l'appareil dans le vagin, passa l'instrument par le c�t� le permettant, l'autre c�t� �tant obstru� par� l'hymen.
Il commen�a � serrer la vis du sp�culum. Les deux broches commenc�rent � �carter son bas ventre. Le faisceau de lumi�re �clairait tr�s bien la cavit� qui commen�ait � s'ouvrir. Nadine �tait � demie-consciente, elle devait sentir son bas ventre s'ouvrir de plus en plus. Il serra au maximum la vis de l'appareil, son vagin �tant tr�s souple, il s'�tait ouvert d'un bon diam�tre. Certainement pas autant qu'il le ferait quand il introduirait sa verge dedans, mais il �tait maintenant certain qu'il pouvait p�n�trer la fillette sans qu'il y ait de probl�me majeur. La longueur et le diam�tre de son sexe �taient normaux ni trop long, ni trop gros, id�ale pour les fillettes, aucune femme ne s'en �tait jamais plaint� Bien sur � coup sur il d�chirerait l'hymen en la p�n�trant, elle saignerait peut �tre un peu, encore ce n'�tait pas sur, il l'avait remarqu� que la membrane de la collerette �tait tr�s fine, presque transparente.
������������������������������������ Le d�pucelage de Nadine
Il venait de d�cider de la d�puceler ce soir� Oui ici et maintenant, cela serait fait. Si il y avait un probl�me de saignement, �tant dans son cabinet m�dical il pourrait parer au plus press�. Au d�but il avait voulut qu�elle se souvienne de son d�pucelage. Au fond il n�en voyait pas la n�cessit�. Cette exp�rience pour toutes les gamines au monde devait �tre traumatisante, souvent faite maladroitement. Cela ne pouvait qu�apporter un choc psychologique important aux petites filles, peut �tre jouer un r�le d�terminant sur leur vie sexuelle � venir.
Pourquoi ne pas banaliser le d�pucelage, au m�me titre qu�un acte m�dical.
C��tait un simple point de vue, mais il lui semblait logique,� il laissait le d�bat entre les mains de la soci�t� qui actuellement faisait une majorit� de frustr�e, pas des gens �panouis�
Il commen�a les pr�paratifs, d�vissa, retira le sp�culum du vagin de la petite fille, la fente de son sexe se referma, puis il retira sa lampe frontale�
Nadine tu m�entends� Nadine tu m�entends ?
La r�ponse fut presque inaudible� " Oui Monsieur, c�est d�j� fini ? ".
Elle n�avait plus la notion du temps.
Non ma ch�rie, pas encore...Il faut faire encore des examens. Mais avant tu vas essayer de faire pipi. Il lui glissa rapidement une petite sonde muni d�un tuyau dans l�ur�tre. L�autre extr�mit� �tait reli� � un flacon servant � recueillir l'urine. Il lui demanda d�essayer de faire� Peu de temps apr�s le liquide d�un l�ger jaune transparent se r�pandit dans le bocal. Il y en avait pas mal. Sa vessie �tant maintenant vide, elle aurait moins mal pour la p�n�tration. Il retira la sonde, quelques gouttes de pipi perl�rent de sa fente en direction de l�anus. Il les laissa suivre leur chemin.
Il prit dans une boite sous la table � instrument un suppositoire d�opium qu�il enduit d�un peu de vaseline. Il n�eut aucune difficult� � le faire rentrer dans son petit derri�re. La petite fut surprise, elle essaya de bouger. Les attaches qui la maintenait ne lui permirent que de courber l�g�rement son bassin.
Maintenant il fallait attendre que le suppositoire remplisse son office�
Il faisait chaud aussi dans cette pi�ce, il alla entreb�iller la seule fen�tre du cabinet, un semblant d�air plus frais p�n�tra dans le local. Il se dirigea vers une petite chaine HI FI et l�alluma.
Le CD qu�il avait choisi faisait parti de sa collection de musique classique.
En sourdine un� fond sonore relaxant, apaisant, remplit la pi�ce.
Il alla s�asseoir � son bureau, celui qui lui servait � r�diger les ordonnances de ses clients, il attendit tout en contemplant la belle petite fillette allong�e.
Il se posa la question � savoir qu�il �tait peut-�tre un salaud�
A bien y r�fl�chir il repassa dans sa t�te toutes les situations qu�il voyait au cours d'une journ�e de travail� Il en voyait tous les jours des vrais salauds�
Pour en d�couvrir d'autres, il n�avait qu�� ouvrir son poste de t�l�vision�
Les enfants qu�on �gorgeait, ceux qu�on laissait mourir de faim, les autres qui �taient oblig�s de faire le trottoir pour survivre. Ceux que l�on conditionnaient pendant toute leur enfance pour qu�ils deviennent et restent toute leur vie des cons�
D'accord il profitait d'elle, c'�tait bon�
Mais si il n'avait rien fait, comme les autres enfants elle aurait peut �tre �t� d�pucel�e par un petit copain, maladroitement comme c'�tait souvent le cas�
Ou m�me peut �tre par quelqu'un de sa famille, un tonton, un cousin, le voisin de pallier� Ou pire encore violer par un sadique dans les pires circonstances. Ici elle allait apprendre � faire l'amour physique� Le vrai celui que tout le monde � envie de faire, mais que personne ne fait par manque de connaissance, par peur ou par frustration�
Apr�s�Si un gros salaud ou un petit puceau lui montait son zizi, elle ne se d�monterait m�me pas, elle rigolerait.
Elle aura des points de rep�re, pourra choisir en connaissance�
Le suppositoire avait du commencer � faire son effet.
La fillette avait un sommeil artificiel agit�. Il allait essayer de r�veiller ses sens,� lui donner du plaisir�
Tout d'abord il approcha sa bouche de la sienne, lui fit un long baiser sur les l�vres, for�a sa bouche, trouva sa langue, m�langea sa salive � la sienne, joua un bon moment avec sa langue.
Il revint entre les cuisses repli�es, ouvertes � fond. Il �tait juste � la bonne hauteur, � cinq centim�tres de sa chatte. Il retira sa blouse blanche, baissa son slip. Il prit sa bitte dans sa main droite, elle n'�tait pas en �rection compl�te,� mais d�j� de bonne taille. Il l'amena juste � hauteur du sexe de la petite fille, commen�a � promener sa verge de haut en bas sur la fente en appuyant un peu. Avec l'autre main il prit une tr�s grosse noisette de vaseline dans un petit pot sur la table � instrument, commen�a � enduire la chatte de la fillette, puis il en mit aussi copieusement sur sa bitte. Il lui restait de la pommade plein la main, d�licatement il l'�tala sur le trou du cul gonfl� et violac� de la petite fille, massa la rondelle de la gamine en effectuant une l�g�re pression au centre.
Le bout du doigt rentra d'un seul coup, la r�action de la petite fut imm�diate� Elle eut un soubresaut, son bassin tressauta, La fillette chercha � se d�gager en repliant ses jambes, mais tout son corps �tait solidement maintenu par les attaches� Il continua avec son doigt un mouvement de va et vient � l'int�rieur du post�rieur, poussant un peu plus loin � chaque fois.
Elle avait le trou du cul irrit�, mais le travail qu'il avait effectu� avant en la sodomisant avec sa queue lui avait prouv� qu'il pouvait rentrer par ce c�t� tout ce qu'il voulait sans probl�me�
Il fouillait � fond son cul avec un doigt, le repliant � l'int�rieur pour
distendre encore un peu plus son intimit� anale. De l'autre main il promenait toujours sa bitte en appuyant sur les l�vres ferm�es du sexe, titillant quelques fois son clitoris avec un doigt.
Il d�cida de laisser sa bitte seule appuy�e sur sa fente, prit la d�cision de s'occuper du clitoris uniquement, le caressa de plus en plus souvent, mis un peu de pommade dessus. Avec deux doigts, il fit rouler doucement le petit bourgeon qui se d�gagea de plus en plus de son capuchon.
Au bout de quelques minutes la gamine commen�a � g�mir doucement de plaisir. Il remarqua que les l�vres de son sexe commen�aient � s'ouvrir de plus en plus, les petits coups de reins qu'il donnait avec sa bitte pour entretenir le mouvement sur sa fente favorisaient ce ph�nom�ne. Il donna la priorit� � ses doigts, introduit son index dans son vagin, commen�a � la fouiller, s'aper�ut qu'elle mouillait abondamment.
Il prit imm�diatement la d�cision de la d�puceler, retira son doigt� mouill� du ventre de la petite fille,� remit sa verge sur son sexe, appuya doucement avec son gland, ce qui �carta les l�vres encore plus�
Il choisit le bon endroit pour appliquer le bout de sa verge, for�a doucement d'abord, ressentit une r�sistance, passa outre, continua � appuyer plus fort.
Les chairs de la gamine se distendirent encore plus, la pression sur le bout de son gland devenait importante, mais sa queue n'�tait pas encore rentr�e�
La fente de la fillette s'entrouvrit, se d�formant un maximum.
Il appuya encore plus fort avec ses reins, maintenant la pression au maximum sur le bout de son gland�
Le gland de sa bitte la p�n�tra d'un seul coup�
Un cri aigu, d�chirant de douleur sortit de la gorge de la fillette, puis plus rien�
Il regarda aussit�t de plus pr�s la gamine, elle respirait normalement, les yeux grands ouverts. Une expression de surprise, de ravissement �clairait son visage.
Pendant un long moment il ne bouge�t plus, se contenta d'appr�cier la chaleur moite du conduit vaginale de la petite. Il �tait serr� � souhait, le bout de sa bitte en feu�
Il reprit sa pouss�e dans son ventre, gagna quelques centim�tres, cela rentrait merveilleusement bien�
Il commen�a � la besogner en douceur, effectua un petit va et vient dans le ventre de la petite fille, elle mouillait normalement, tout allait bien�
Les petits coups de reins s'amplifi�rent pour devenir de plus longues passes dans son vagin. Il lui ramonait sa chatte avec sa bitte et son cul avec son doigt en m�me temps. Sa pinne coulissait bien mais il se gardait bien de la pousser � fond. Il en avait rentr� cinq ou six centim�tres au maximum, il en restait presque autant � rentrer�
A chaque coup de queue Nadine faisait entendre un petit gloussement venant de sa gorge, l'expression de son visage ne lui laissait plus aucun doute.
Elle commen�ait � jouir�
Il d�cida d'acc�l�rer le mouvement de va et vient dans sa chatte.
Il �tait serr� comme jamais il ne l'avait �t� par aucune fille. Il ressentait au plus profond les formes intimes de la petite fille, les parois stri�es de son vagin qui �pousaient parfaitement la forme de sa verge commen�aient � le faire jouir. Jamais il n'avait ressenti les sensations que Nadine lui faisait vivre, et cette gamine avait � peine onze ans�
Il d�cida de ne plus penser, il la besogna par devant c'�tait tout�
Il lui fallait essayer de la bitter correctement, compl�tement, tout lui rentrer�
Son bassin �tait profond, cela devait rentrer par devant, comme dans� son petit derri�re. La petite fille contractait son bassin � chaque coup de queue, commen�ait � faire tanguer ses hanches, � se tordre de plaisir de gauche � droite. Mais elle �tait trop bien attach� pour pouvoir bouger comme elle l'aurait voulue.
Ses mains elles aussi se contorsionnaient essayant par tous les moyens de se lib�rer, d'attraper quelque chose. Elle r�ussit quand m�me � saisir les barres m�tallique de chaque c�t� de la table d'examen. Elle s'y accrocha, personne n'aurait pu la faire l�cher prise. Elle g�missait de plus en plus fort, de temps en temps elle parlait tout haut en r�p�tant : " Maman, maman, c'est bon.., oh� c'est bon�". Excit� au maximum lui aussi commen�ait � d�lirer de jouissance, il lui demanda de r�p�ter plusieurs fois : " Nadine, dis tout haut que tu aimes�
Dis tout haut que tu aime ma bitte, dis le fort ma ch�rie�".
La gamine reprit aussit�t : " Oh oui, j'aime �,� oui, j'aime�, oh oui, j'aime la bitte� Oh oui�, c'est bon�".
Il retira son doigt de� l'anus, mit ses deux mains sur ses hanches.
Il avait d�cid� de pousser plus en avant dans son bassin, ses coups de buttoir �taient plus virulent, plus profond�
Il gagnait en longueur, � chaque fois. Tout �tait presque rentr�, ses couilles s'approchaient un peu plus de l'entrejambe � chaque coup de bitte.
Il poussa un tr�s grand coup�Il y �tait ses couilles battaient sur sa peau � chaque co�t de pinne, tout �tait rentr� dans sa chatte, elle gesticulait, hurlant encore plus fort.
Il voulait la sentir sur lui, la poss�der, comme il le d�sirait.
Il se courba, atteignit avec ses mains les fixation velcro qui attachaient ses poignets, arracha celles-ci. Elle avait les mains libres. Il fit de m�me pour les chevilles, elle put � nouveau bouger comme elle le voulait.
Ses cuisses s'enroul�rent imm�diatement autour de ses reins, serra ses bras tr�s fort autour de son cou� Elle �tait maintenant enti�rement empal�e sur sa bitte jusqu'aux couilles, il la besognait debout ses fesses appuy�es en partie sur la table d'examen.
Elle l'aidait � faire rentrer et sortir sa verge en tirant sur son cou � l'aide de ses bras. Il ressentit qu'il allait bient�t juter, r�ussit � se retenir encore un peu.
La bitte rentrait, ressortait de sa chatte � un rythme acc�l�r�. Tout � coup la fillette se crispa, se d�tendit aussit�t, plusieurs fois, dans un grand cri�
Il ressentit au m�me moment sur sa queue plusieurs crispation du bas ventre de la petite fille,� un liquide venait de lubrifier encore plus son vagin. Elle venait d'avoir un orgasme�
Elle n'arr�ta pas de bouger pour �a, mais elle le fit moins rapidement, elle g�missait moins fort. Il continua�La pression dans sa queue montait, il ne pourrait pas se retenir encore bien longtemps. Il se crispa une derni�re fois en �treignant la petite au maximum, et il l�cha tout�
La premi�re gicl�e de semence chaude et onctueuse jaillit dans le ventre de Nadine avec une pression importante.
Elle fut surprise, un cri unique, aigu et strident sortit de sa bouche�
Il l'inondait, remplissait son bas ventre de sperme. Il ne compta pas le nombre de fois� L'orgasme dura assez longtemps. Nadine avait les yeux brillants, une expression de reconnaissance sur son visage, elle attendait les cuisses ouvertes� les autres gicl�es� Il marcha en portant Nadine toujours empal�e sur lui jusqu'� une chaise devant son bureau, ils s'assirent�Lui sur la chaise�Elle sur sa bitte�
Ils �taient l'un contre l'autre, poitrine contre poitrine, bouche contre bouche.
Il l'embrassa longuement, elle aimait, se laissa faire. Il ressentit qu'elle commen�ait � se d�tendre, sa bitte bandait toujours � l'int�rieur de son bas ventre. De temps en temps il donnait encore un coup de rein, pour le plaisir de faire bouger la gamine, et d'aller butter au fond de son vagin.
Elle se laissait faire, cela avait �t� tr�s bon pour elle, elle serait pr�te � recommencer quand il le d�sirerait� Il en aurait mis sa main au feux.
Sa premi�re monte� Elle s'en souviendrait toute sa vie�
Il la caressa� longtemps, des attouchements sur tous le corps, son dos.
Elle adorait qu'il lui caresse le dos. Il commen�a � d�bander, prit la gamine sous ses cuisses avec ses deux mains, la souleva doucement. La bitte ressortit doucement, compl�tement du ventre de Nadine. Il regarda, de son sexe sortait plein de sperme qui coulait maintenant sur le haut de ses cuisses.
Il bandait encore un peu� Il mit la fillette � genoux, par terre entre ses cuisses, approcha doucement la bitte de son visage�
Elle comprit tout de suite, se souvenant de la marche � suivre, l'ayant d�j� fait.
Elle sortit sa langue, commen�a � nettoyer sa queue. Cela dura quelques longues minutes de plaisir intense, ce fut tr�s bien fait�
Apr�s comme il lui avait d�j� appris la premi�re fois, elle remit son gland dans sa bouche, le pompa en aspirant le sperme qui restait dans sa verge.
Elle avait encore sa queue dans la bouche lorsqu il lui dit : " Nadine je vais devoir t'examiner, il ne vas pas y en avoir pour longtemps".
Elle marqua un temps d'arr�t,� pensa aussit�t que m�me si elle n'�tait pas d'accord, cela ne changerait rien. elle se remit � sucer sa bitte. Il lui dit d'arr�ter, la releva.� Il remit son slip, rest� baiss� sous ses couilles pendant tout ce temps. Il la prit dans ses bras, la porta sur la table d'examen.
Il la mit dans la m�me position qu'auparavant, jambes sur les �triers. Il ne remit pas les attaches sachant d�j� qu'elle se laisserait examiner sans probl�me.
Il resta � c�t� d'elle du c�t� droit, essuya le sperme en exc�s sur ses jambes, sur son sexe avec un essuie tout, commen�a � regarder les l�vres de sa chatte, elles avaient chang� de couleur, elles �taient un peu irrit�es.
Il appuya doucement dessus, un liquide blanc sortit aussit�t. Son bas ventre �tait remplit de jutte. Il �carta les l�vres de sa chatte, le liquide cr�meux commen�a � couler, puis � descendre vers son petit cul. Il ne l'essuya pas, le laissa recouvrir doucement l'anus de la fillette. Il adorait ce spectacle, il ne put r�sister appuya sur l'anus pour faire rentrer un peu de sperme avec son doigt dans son petit cul.
Il continua doucement par un va et vient dans son trou du cul, �a l'excitait�
Il ressentit � nouveau sa bitte gonfl�e dans son slip�
����������������������� ������������ La levrette avec Nadine
La petite voyant son man�ge se douta qu'il allait � nouveau se passer une chose inattendue. Elle avait raison� Il lui dit : "Caresse mon slip avec ta main Nadine". La petite fille comprit pourquoi il lui disait �a maintenant�
Sa main droite allong�e �tait juste � port�e, � bonne hauteur. Timidement elle bougea ses doigts,� palpa doucement tout de suite ou il fallait, puis se mit � caresser la forme oblongue sous le tissus distendu . Il continuait le massage rectale de la fillette, il savait que la p�n�trer de cette fa�on lui procurait des sensations qu'elles appr�ciait beaucoup. Il eut subitement envie de la prendre encore comme �a�
Il lui dit de ne pas bouger, mit une main sous ses �paules, l'autre sous ses fesses, et sans retirer le doigt de son anus, la souleva sans probl�me, la posa par terre, puis l'obligea � se mettre � genoux, ses mains bien � plat.
Son doigt fouillant toujours l'int�rieur de son petit cul, il l'obligea � �carter ses cuisses au maximum, ce qu'elle fit�
Elle �tait maintenant offerte, cul ouvert� Il s'agenouilla derri�re ses fesses, fit sortir sa bitte de son slip par le c�t�. La main gauche alla fouiller le devant de Nadine, sa chatte� Ses doigts s'inond�rent du sperme du coup d'avant.
Il en avait besoin pour lubrifier son anus et sa verge. Il recommen�a une dizaine de fois� Lui vida compl�tement sa chatte,� prenant de la jute avec ses doigts,� la ramenant pour en enduire sa bitte, ou lui bourr� le cul de sperme avec les doigts de son autre main.
Elle �tait pr�te� Il amena sa bitte sur la rondelle de son trou du cul, appuya plusieurs fois.
Il� jouait avec l'�lasticit� de son anus, mettait son gland dessus, appuyait un peu, voyait ses chairs se d�former, �pousant la forme de son bout de bitte, juste avant que son trou n'avale le gland, il rel�chait la pression. Nadine ne disait rien,� soumise elle patientait, � la limite de l'�nervement et du d�sir�
Elle ne si attendait pas, il l'encula d'un seul coup lui d�collant les jambes de par terre, seules ses mains l'emp�ch�rent de ne pas tomber.
Il avan�ait maintenant doucement, la faisant marcher sur ses mains�
Surprise, elle n'avait pas eu le temps d'avoir mal ni de crier�
Elle avan�ait empal�e sur la bitte, encul�e � fond.
En "brouette", il lui fit faire magnifiquement le tour de la pi�ce, poussant de plus en plus vite, la dirigeant pour lui faire �viter les obstacles.
Il calma le jeu, l'amena au milieu de la pi�ce, la remit � quatre pattes, cuisses �cart�es au maximum�
Il continua � lui besogner le cul, mit ses mains sur ses deux t�tons, les massa � sa fa�on, tirant tr�s fort dessus pour les faire ressortir� Ils �taient encore tr�s sensible, il le savait� Elle se mit � hurler tr�s fort.
Il ne rel�cha pas la pression, les roulant avec ses doigts, tirant dessus un maximum.
Elle n'en pouvait plus, elle �clata en sanglot.
Ses pleurs entrecoup�s par ses cris de douleurs l'excitait encore plus.
Il redoubla d'ardeur, la besogna encore plus vite. L�cha un de ses t�ton, mit sa main libre entre ses cuisses, � la recherche de son clitoris, qu'il trouva aussit�t.
Il roula d�licatement le petit bouton avec ses doigts, continuant � tirer un t�ton avec vigueur tout en l'enculant.
Elle pleurait, hurlant de douleur�
Il la besogna ainsi un long moment. La fillette gesticulait �norm�ment.
Peu � peu ses pleurs, ses cris devinrent entrecoup�s de g�missements m�lang�s de gloussements. Il rel�cha le t�ton, palpant avec sa main ce qui dans quelques ann�es deviendrait ses seins, commen�a un massage de ses futurs glandes mammaires, malaxant sa poitrine sans aucun m�nagement, fouillant avec ses doigts, serrant, poings ferm�s pour emprisonner ce qu'il pouvait de chaque sein pour le tirer et le faire ressortir un maximum�
Il la trayait presque comme il l'aurait fait d'un animal�
Elle se crispait, gloussait de plaisir�
Elle allait certainement avoir un autre orgasme. Ses doigts devenaient de plus en plus mouill�es.
Il retira la main de sa chatte, se concentrant sur le travail de chaque sein�
La traite de la petite femelle continuait� Il �crasait par pression successive ses deux petites glandes mammaires, tirant dessus, exactement comme il aurait pratiqu� pour traire une ch�vre�
La petite encul�e adorait, creusait ses reins pour faire saillir sa croupe���
La souffrance de tout � l'heure s'�tait �vanouie, le plaisir commen�ait � s'installer de nouveau. De son c�t� il sentait la pression mont�e en lui�
Apr�s le vidage de ses couilles de tout � l'heure, il n'aurait certainement pas beaucoup de jute � lui mettre dans les fesses�
Comme elle l'avait fait au premier enculage, maintenant, c'est elle m�me qui bougeait ses fesses pour appeler la bitte, se tr�moussant, g�missant de plus en plus�
Elle commen�a � nouveau � parler tout haut, les g�missements ne lui suffisaient plus, elle reprit : " C'est bon�Monsieur�c'est bon�! " Tout � coup, elle se contracta � fond, puis se d�tendit � nouveau par saccade�
Elle s'apaisa compl�tement. Son orgasme n'avait pas dur� aussi longtemps que la premi�re fois�Quelques instants apr�s, il jouit dans le cul de Nadine, l'inonda du peu de jute qui lui restait dans les couilles.
Ils �taient �puis�s, tous les deux� Ils rest�rent un bon moment sans bouger.
Il retira doucement sa bitte du post�rieur de Nadine, se releva. Laissa un peu la gamine le cul ouvert en grand, contempla. Cette position flattait sa croupe�
Quelques instant apr�s il la prit dans ses bras, la d�posa sur la table d'examen. Elle avait les yeux ferm�s, elle dormait peut �tre�
Il d�cida de lui attacher les bras et les pieds avec les velcros. Il ne savait pas du tout quelle r�action allait avoir la petite�
En profita pour faire tous les examens qu'il d�sirait. Le contr�le de sa chatte fit appara�tre qu'elle �tait d�pucel�e� Sa bitte avait d�chir� l'hymen, elle n'�tait plus vierge�
L'int�rieur de son cul �tait irrit�, mais tout �tait normal aussi de ce c�t� la.
Sa poitrine l'obs�dait� Le malaxage qui avait fait sur sa poitrine, sur ses t�tons avaient pr�par�s ses glandes � leur futur d�veloppement, mais ce n'�tait pas assez, il voulait que dans quelques semaines au maximum elle ait de v�ritables mamelles biens remplies, en tant que docteur il savait comment faire�
Il alla chercher dans son armoire � pharmacie une boite d'ampoule � injecter, remplit une petite seringue avec, puis s�lectionna une aiguille, la plus fine possible�
Les hormones qu'il allait lui injecter directement dans ses glandes mammaires allaient avoir des effets spectaculaires, d'ici quelques jours cela commencerait � se faire ressentir, la fillette qui avait � peine 11 ans allait se retrouver avec les seins d'une jeune fille de 15 ans au minimum�
Il piqua une dizaine de fois chaque sein, � chaque fois l'aiguille rentra de plus de deux centim�tres dans chaque mamelle. A chaque piq�re Nadine g�missait un peu. Le docteur injectait tr�s lentement, il fallait que le produit se r�pande dans toutes les glandes uniform�ment, surtout ne pas se presser�
Il utilisa quatre ampoules en tout, mit plus de trente minutes pour saturer les mamelles d'hormones. Contempla la petite poitrine presque plate, qui allait en quelques semaines s'�panouir pour former de beaux petits seins, bien palpables.
Il malaxa, bien faire circuler le produit �tait primordial�
Il voulait que cette petite femelle puisse le faire jouir un maximum, ainsi que les hommes qui allaient la monter, tous ceux que le docteur lui pr�senterait�
C'�tait la finalit� de la chose, former Nadine pour qu'elle devienne � 11 ans, non pas une petite putte, mais une vrai professionnelle du sexe�
Pendant pr�s d'un quart d'heure il massa ses seins, tira sur ses t�tons un maximum, la fillette compl�tement dans les vaps g�missait de temps � autre, mais ne ressentait pas grand chose, le suppositoire d'opium faisait son effet. Lorsqu'il fut sur que le produit eut bien irrigu� toutes ses glandes mammaires, il arr�ta enfin.��
Il retira les attaches velcro, la prit d�licatement dans ses bras, sortit de son cabinet m�dical, rejoignit sa chambre, la d�posa dans le grand lit, la recouvrit seulement d'un drap, puis d�cida de la laisser se reposer.
Il �tait d�j� une heure du matin. Il se coucha � c�t� d'elle, se blottit au plus pr�s de la fillette, puis s'endormit tr�s rapidement�
Il se r�veilla surpris d'avoir dans ses bras une petite fille qui dormait. Jeta un coup d'�il sur le r�veil qui indiquait onze heures.
Il avait fait fort hier� Il �tait m�me un peu honteux d'avoir br�l� les �tapes.
Trop rapide tout �a� Il appr�hendait le moment ou la gamine allait se r�veiller, elle allait se souvenir de tout c'�tait sur, Il allait lui dire quoi�?
Il allait se justifier comment ?
Toutes ses questions lui couraient dans la t�te.
Il voulut r�cup�rer son bras gauche, celui sur lequel la t�te de Nadine reposait si bien. Il avait � peine boug� que la fillette commen�a � remuer.
Elle ouvrit ses paupi�res.
Ils se regard�rent un long moment dans les yeux... En silence.
Elle dut comprendre qu'il �tait g�n� et qu'il ne savait pas quoi dire.
C'�tait bon, lui dit-elle�
Il s'attendait � tout sauf � cette r�flexion de la part de la petite fille qu'elle �tait.
Il ne pouvait plus parler. En quelques secondes elle avait tout compris, ses angoisses, sa hantise de la situation, les remords qu'il avait.
Il se rapprocha d'elle, la serra tr�s fort contre lui�
Elle lui fit comprendre qu'elle ne lui en voulait pas, en l'embrassant tendrement sur la joue.
Tu as bien dormi ma ch�rie ?
Oui mais j'ai mal au dos et � la poitrine...
Rapidement il releva sa chemise de nuit, regarda ses seins, tout �tait normal, aucune r�action ni rougeur, les hormones avaient �t� re�ues sans probl�me par l'organisme, il n'y avait plus qu'� attendre.
Tourne toi ma puce, je vais te masser le dos�
Doucement elle se lib�ra de son �treinte, se mit sur le ventre.
Il retira sa petite nuisette en la passant d�licatement par sa t�te, se mit � califourchon sur le haut de ses Jambes. Ses cuisses reposant de chaque c�t� d'elle. Il commen�a � la masser tr�s doucement avec ses deux mains.
Il avait d�j� pris la d�cision, Il la masserait seulement�
Il fit �a tr�s bien, il l'enduit m�me d'une huile parfum� qu'il prit sur la table de nuit. Elle se d�tendit un maximum. Il faisait aller et venir ses mains sur elle,
trouvant son corps parfait, tout �tait gracile en elle, le galbe de sa chute de reins, la courbure de ses fesses, ses jambes fines, faisaient d'elle un objet d'art pr�cieux et unique. Il oignit d'huile avec une attention particuli�re pour le creux de ses reins, ne put r�sister � en recouvrir ses petites fesses bien fermes, en m�me temps si tendre � souhait. Il ne les ouvrit pas�
J'ai faim lui dit-elle�
������� Les courses en ville et la promenade dans le bois
Le petit d�jeuner fut copieux, il avait pr�par� tout ce qu'elle aimait� Sauf les biscottes il n'en avait pas, � la place il lui pr�para du pain grill�.
De bonne humeur, elle mangea de tr�s bonne app�tit.
Rechercha sur le poste de radio sa fr�quence pr�f�r�e. La musique qu'elle aimait n'�tait pourtant pas de sa g�n�ration, mais il s'aper�ut qu'elle avait bon go�t, son sens critique �tait d�j� tr�s d�velopp�e.
Ils discut�rent de pas mal de choses en mangeant et en sirotant leur chocolat chaud. Ils furent interrompu par la sonnerie du t�l�phone. Il d�crocha.
C'�tait sa m�re, elle t�l�phonait de Belgrade� Aussit�t il mit l'amplificateur pour que la petite puisse entendre� Je fais vite, car on pourrait �tre coup� rapidement, ici la situation est catastrophique, on est bombard� tous les jours� Nadine tu est l� ?. La petite prit aussit�t le combin�Oui Maman �a va le docteur est gentil avec moi, et j'apprends beaucoup de chose �
Bon tu es tr�s gentille avec lui, surtout tu fais tout ce qu'il te dit� Tu as bien compris Nadine� Oui maman� Je t'embrasse ma ch�rie�� bient�t�
Repasse moi le docteur, s'il te pla�t� All� Oui �Docteur�Quoi qu'il arrive promettez moi de vous occuper de ma fille� Ne vous inqui�tez pas�je vous le promet� Merci� Et je voulais vous dire�. La ligne fut coup�e net, plus rien. La fillette reprit le combin�, essaya �.Maman�maman�tu m'entends�?.
D�pit�e, elle raccrocha le t�l�phone, ils rest�rent sans parler un bon bout de temps.
Le silence s'imposa pendant un bon quart d'heure, il alluma la t�l�vision pour lui changer les id�es, s'install�rent dans le grand fauteuil, sa t�te reposait sur son �paule. Elle �tait triste�
Il fallait s'organiser, il avait tout son temps � consacrer � la gamine. Son cabinet m�dicale �tant ferm� pendant toutes les vacances. Si Nadine devait rester quelques jours, voir quelques mois chez lui il allait devoir lui procurer le n�cessaire indispensable, et un peu plus peut �tre�
Sa m�re n'ayant pas amener grand chose dans le sac d'affaires de rechange, ils iraient faire des courses tout � l'heure�
Arriv� en ville ils laiss�rent la voiture au parking. Apr�s avoir d�jeun� dans le centre ville ils firent des emplettes dans un grand magasin.
Il lui acheta des habits de rechange, cela alla des petites culottes, chaussettes, aux pantalons� C'�tait le moment de choisir des mod�les de petites jupette.
La dame guida le "papa" et sa fille vers une cabine d'essayage au bout du rayon, les laissant seul pour le choix, elle alla s'occuper d'autres clients�
La fillette prit une des deux jupette, essaya une bleue ciel assez moderne, tr�s courte et moulante. Elle se regarda dans la glace, demanda au "papa" ce qu'il en pensait�
Il commen�a par palper le tissu au niveau de son ventre� Pour voir si elle n'�tait pas trop serr�,, mit sa main dans la ceinture, la fit glisser de haut en bas sur sa petite culotte, jusqu'� ce que ses doigts atteignent son bas ventre et sa fente� Il massa l'ensemble quelques minutes�
Cela allait pour la taille. Il s'agenouilla pr�s de la petite fille pour voir de plus pr�s, lui demanda de se tourner pour qu'il regarde derri�re si rien ne clochait. Il contempla ses deux belles petites fesses serr�es, prisonni�re du tissus, mit ses deux mains dessus en palpant � fond ses formes arrondis. Elle se laissa faire sans broncher. Il passa une main sous la minijupe, acc�da � ses dessous�
La petite culotte �tait faite d'un tissu tr�s doux, il massa ses fesses, puis il dirigea sa main vers l'�lastique, tirant dessus, il baissa sa culotte� Jusqu'aux pieds de la gamine.
Il remit ses mains sur la jupette, massa son post�rieur � nouveau, tout en faisant rentrer l�g�rement le tissu dans la raie de ses fesses. Il toucha aussi le devant, chercha � situer la fente de son sexe avec ses doigts.
La dame pouvait revenir d'un moment � l'autre, il remit la petite culotte avec une maladresse qui lui fit toucher bien involontairement ses parties intimes�
Ils achet�rent les deux jupettes.
Sur le chemin du retour il arr�ta sa voiture � proximit� d'un sexe-shop, laissa la fillette pendant une bonne demie heure seule dans la voiture. Il revint avec un sac rempli dans chaque main, les d�posa sur le si�ge arri�re du v�hicule.
Il faisait beau et chaud, il �tait � peine 15 heures, sur le chemin du retour ils s'arr�t�rent dans une for�t pour faire une petite ballade� Il ouvrit et franchit une des barri�res en bois qui normalement �taient interdites d'acc�s, continua un bon kilom�tre puis arr�ta son v�hicule � l'ombre dans un endroit d�sert et presque inaccessible.
Ils �taient tranquille� Ils descendirent, prit dans la voiture divers choses sans oublier les deux sacs qu'il avait ramen� toute � l'heure. Il installa dans l'herbe, sous un arbre � l'abri du soleil une grande couverture �paisse.
Il avait achet� une dizaine de g�teaux � la cr�me, ils y firent honneur tous les deux. Puis il d�boucha une bouteille de jus de pamplemousse, en remplit deux verres en plastique. Elle� ne remarqua pas la petite fiole qu'il d�boucha avant d'en verser le contenu dans sa boisson.
Nadine � ta sant� ma puce� Elle trinqua, bue tout de suite� Il lui dit � Nadine on va s'allonger tous les deux, on va faire des choses ensembles.
Tu veux bien que je t'apprenne de nouvelles choses ?. La fillette ne r�pondit pas. Elle finit son verre compl�tement, s'allongea � c�t� de lui, ce fut sa r�ponse�
Il la contempla ... Elle ne portait qu'un l�ger tee-shirt blanc avec des motifs imprim�s en couleur, une jupette en soie jaune canari.
Il lui dit : " On va jouer � un jeu, tu vas fermer tes yeux Nadine, te laisser caresser, si tu triches tu seras punies ".
Il commen�a par effleurer sa petite� poitrine naissante, le bout �tait rougi, la corolle s'�tait �largie, les hormones commen�aient � faire de l'effet�
Il s'aventura un peu plus, amena sa langue sur un des bout, commen�a � l�cher, puis � mouiller le tissu, tandis qu'une main malaxait doucement l'autre petite glande mammaire.
Au bout de quelques minutes ses t�tons saillaient beaucoup plus.
Il promena l'autre main sur sa minijupe, caressa le haut de sa cuisse juste � l'entrejambe. Il adorait jouer sur son v�tements, ressentir sous ses doigts les coutures de la petite culotte. Il rendit libre ses deux mains, releva la jupette sur son ventre, regarda le slip blanc avec des petites fleurs bleues.
Nadine tricha et ouvrit ses yeux.
Tu n'aurais pas du ouvrir les yeux. Je vais �tre oblig� de te punir�
Tout d'abord je vais te d�shabiller enti�rement, te mettre d'autres habits que j'ai achet� sp�cialement pour toi. Il ne mit que quelques minutes pour retirer le peu de v�tement qu'elle avait sur elle. Ouvrit un des sacs rempli de gadgets qu'il avait achet� au sex-shop, extirpa un bustier rouge avec des dentelles noires sur un fond bleu ciel, commen�a � lui enfiler l'ensemble sans probl�me.
La fillette se laissait faire, savourant m�me qu'on l'habille d'une fa�on si bizarre. Ce bustier �tait fait d'une fa�on tr�s sp�ciale�
Le haut �tait tenu par des lani�res noirs qui se croisaient derri�re le dos en passaient sur les �paules. A la place des seins 2 trous b�ants�
La gu�pi�re pouvait �tre r�gl� par des lacets, il les serra le plus fort qu'il put au niveau de son ventre pour faire ressortir son bassin ainsi que sa cage thoracique.
Sa� petite poitrine et ses deux t�tons sortaient par les deux trous.
Le bas du bustier laissait para�tre � la hauteur du sexe et de l'anus un passage ouvrable � volont� par des boutons pression. Elle �tait maintenant allong�e sur le dos.
Elle faisait vraiment petite salope dans son accoutrement.
La drogue qu'il avait mis dans son verre devait commencer � faire effet, ses pupilles commen�aient � se dilater� Juste pour voir il se mit entre ses jambes,� lui �carta les cuisses en l'air en tenant ses bras tendus. Le spectacle l'�mut, il n'avait qu'� d�grafer les trois pressions, il pourrait lui rentrer ce qu'il voulait dans sa chatte, ou bien dans son cul�Il en profita pour caresser longuement ses deux t�tons qui ressortaient tr�s bien du bustier.
Son ventre d�j� plat naturellement �tait vraiment serr� a maximum par la gu�pi�re, il comprenait mieux maintenant l'expression taille de gu�pe�
Il fouilla dans un des deux sacs, trouva ce qu'il cherchait� Il sortit deux pinces � sein� Fixa la premi�re sur un t�ton, la fillette eu mal tout de suite, criant instantan�ment�
Pour la suite il fallait que la petite garde le silence, on ne sait jamais�
Il lui fourra dans sa bouche un mouchoir, prit un b�illon dans un des sacs, en couvrit la bouche de Nadine, fit un n�ud par derri�re sa nuque.
Elle se demanda un peu ce qui lui arrivait, mais la drogue faisant son effet elle se laissa b�illonner. Il se dit qu'elle pouvait le retirer facilement, il prit une paire de menottes, enserra les poignets de la petite fille par le devant. Ses mains prisonni�res reposaient maintenant sur son ventre. Il mit la deuxi�me pince � sein sur l'autre t�ton, elle se cambra aussit�t en hurlant de douleur� Heureusement presque rien ne sortit de sa bouche, juste un petit cri �touff�,� presque inaudible, le b�illon remplissait bien son office.
Elle commen�ait � d�lirer, bougeant sa t�te de droite � gauche�
Ses pupilles �taient presque compl�tement dilat�es. Le m�dicament remplissait son office, elle pourrait supporter la douleur, elle ne se souviendrait pas de ce qu'il allait lui faire�
Il d�cida de s'occuper de son anus, sortit du sac un god en caoutchouc, de belle taille en forme de bitte termin� d'une belle paire de couilles. Il allait lui rentrer dans le cul cet appareil,� mais il allait la pr�parer comme il le voulait.
Il trouva dans un sac deux bracelets en cuirs, en attacha un � chaque cheville de la petite. Un petit anneau de fixation d�passait de chaque morceau de cuir.
Il avait pens� � tout, il avait pr�par� des piquets de tente, un maillet, ainsi que de la cordelette en Nylon, une pince pour couper la corde � la bonne dimension. Avec le maillet il fixa solidement deux piquets de un m�tre vingt dans la terre au niveau de la t�te de Nadine, � cinquante centim�tre de chaque oreille.
Il fit rentrer dans la terre un plus petit piquet juste dix centim�tres derri�re sa t�te. Il fit le premier n�ud sur le bracelet de la cheville droite, coupa la corde � environ un m�tre cinquante. Il fit pareillement avec l'autre cheville, passa les deux cordes dans chaque trou des deux grands piquets,� tira sur les deux cordes�
Les deux jambes de la fillette mont�rent en m�me temps jusque qu'� soulever ses fesses et son bassin. Il attacha les deux cordes au petit piquet central, fit un n�ud. Elle avait maintenant les jambes et cuisses �cart�es en l'air. Il retira la paire de menottes de ses poignets, prit une deuxi�me paire de menotte dans le sac. Remit l'extr�mit� d'une menotte � chaque poignet, accrocha l'autre bout de chaque menotte � l'anneau de chaque piquet qui se trouvait � gauche et � droite de Nadine. Elle se trouvait maintenant dans l'impossibilit� de bouger, bras et cuisses �cart�es en hauteur. Il se mit � genoux entre ses cuisses, contempla son �uvre. Elle �tait soumise comme il le souhaitait. Il d�grafa au niveau du bas des reins les trois boutons pression du bustier, une partie du tissu retomba dans le vide, il releva l'autre sur son bas ventre, arrangea l'ensemble � souhaits.
Elle avait sa chatte et son anus offert en m�me temps. Il saisit dans un sac le flacon de gel intime, en enduit la bitte en caoutchouc pr�par� tout � l'heure, elle avait � peu pr�s la dimension de sa queue. Il en mit plein sa main, commen�a � en r�pandre sur l'anus de la fillette, continua � lui bourrer le cul � l'aide de ses doigts. Il voulut voir si Nadine �tait encore sensible, il tira un peu sur les deux cordes des pinces � seins qui servaient � resserrer la pression de l'engin.
Il la vit faire un soubresaut incroyable Elle dut crier tr�s fort, mais le mouchoir plus le b�illon devant sa bouche firent leur office, il ne sortit qu'un son sourd et �touff�.
Voyant qu'elle r�agissait, il commen�a � appuyer le god sur son anus.
L'enculage commen�a � lui ouvrir ses chaires. Il rentra le bout du gland assez facilement, elle g�mit de douleur�
Il continua � pousser l'engin dans son trou du cul. La moiti� du god �tait maintenant rentr�e, il continua � forcer�
L'autre moiti� rentra plus difficilement, elle secouait tout son bassin en g�missant, tirait sur les cordes, mais les piquets tenaient bon.
Il arriva jusqu'aux couilles du god. Elle �tait encul�e � fond�
Il se remit � genoux entre ses cuisses, commen�a d'abord par � lui l�cher sa chatte � petits coup de langue, puis tr�s rapidement l'enfouit compl�tement � fond, puis revint sur son clitoris, tr�s rapidement la petite boule de chaire se d�veloppa sous sa langue� Nadine �tait dans un �tat second, mais r�ceptive � ce qu'il lui faisait. Il retira son short, sortit sa bitte de son slip.
Il bandait �norm�ment� Il fouilla la gamine avec ses doigts, elle commen�ait � mouiller copieusement. Il continua � titiller sa petite boule sans arr�ter.
Elle �tait chaude maintenant, elle g�missait en bougeant son ventre, la bitte en caoutchouc dans son cul, les pinces � seins, le travail sur son clitoris faisaient leur effet. Les piquets qui lui maintenaient les jambes �cart�es en hauteur remuaient de plus en plus.
Avec une main il prit d�licatement les deux ficelles des pinces � seins, les approchant de son visage il les bloqua avec ses dents� Il tirerait dessus quand bon lui semblerait� Il approcha sa verge de la chatte de la petite fille, commen�a � appuyer� Les l�vres de son sexe s'�cart�rent. Il �tait sur qu'en donnant un seul coup de reins il la p�n�trerait facilement�
Il commen�a � tendre les ficelles des pinces � seins de plus en plus�
Elle se cambra compl�tement, il en profita, donna un grand coup de reins dans son ventre�
La bitte rentra � fond dans son vagin, au m�me moment il tira la corde � fond�
Nadine eut un cri terrifiant, heureusement compl�tement �touff� par le b�illon. Des spasmes secouaient tous son corps. Il attendit, ne bougea plus sa bitte.
Elle �tait rentr�e presque enti�rement. Il commen�a � la besogner.
Lorsqu'il poussait la petite s'ouvrait compl�tement. Les piquets qui la maintenaient ployaient sous la traction. La fillette d�lirait compl�tement entre� souffrance et plaisir. Elle tirait sur les menottes maintenues par les piquets, les cordes tenaient bon�� Il continua son travail pendant plus d'un quart d'heure. Maintenant la gamine gloussait de plaisir, les yeux grands ouverts. Il remarqua sur son visage cette expression d'�tonnement m�lang� � du vrai plaisir.
Cela le consolait, le r�confortait un peu, il remarquait encore une fois que� souffrance et plaisir n'�taient pas ennemi mais compl�mentaire dans la jouissance.
La pression montait dans sa queue, il allait bient�t la remplir de sperme.
Il redoubla son besognage, se crispa enti�rement, �clata dans le ventre de la petite fille� Elle ressentit la jutte rentrer au plus profond de son ventre, contracta son vagin � chaque gicl�e qui l'inondait, c'�tait chaud et onctueux, c'�tait bon, tr�s bon� Tout son bas ventre ressentait cette chaleur, puis il y avait cette chose dans son derri�re qui l'�cartait, lui donnait de dr�les de sensations plaisantes. Et sa poitrine en feu, �a lui faisait des choses aussi�
Elle ne savait pas ou elle �tait, ni ce qu'elle faisait, elle �tait loin.
Dans sa t�te, des couleurs, des formes bizarres. Elle n'entendait plus rien que le chant des oiseaux, elle devait �tre dans un bois peut �tre �?
Il resta � l'int�rieur de la gamine pendant de nombreuses minutes.
Lorsqu'il d�cida de se retirer de son ventre elle dormait profond�ment.
Sa respiration avait chang�e de rythme, elle ne donnait plus aucun signe d'�veil. Il contempla le sperme qui coulait de sa chatte, ne nettoya rien, sortit d�licatement la bitte en plastique de son cul, remit les trois pression du bustier.
Il retira les n�uds des piquets, la petite redescendit sur la couverture.
Il lui retira son b�illon, les menottes, les bracelets en cuirs. Il rangea tous ses accessoires dans le coffre de la voiture.
Avant de partir il lui remit sa jupette et son tee-shirt, la porta sur le si�ge avant de la voiture, accrocha sa ceinture de s�curit�. Sa nuque reposait sur l'appuie t�te. Elle n'avait pas bronch�, elle dormait toujours profond�ment.
Il d�marra la voiture, roula doucement dans le sous bois. Quelques instants apr�s il rejoignait la route principale. La fillette avait l'air d'une petite fille qui rentrait chez elle avec son papa, apr�s une longue ballade, elle �tait fatigu�e et� dormait�
Il roulait depuis un petit moment. De temps en temps, il contemplait les cuisses de Nadine sous sa minijupe. Tout en conduisant il mit sa main droite sous la jupette, il caressa le bustier, les trois boutons pression�
Il les d�grafa un par un. Aussit�t ses doigts s'enduirent du sperme qui coulait de son ventre, commen�ant � remplir le bas du bustier. Il le laissa couler, la jutte commen�ait � se r�pandre sur la banquette de la voiture.
Il trouva le spectacle plaisant, laissa sa chatte se vider doucement sur le tissu.
De temps en temps il touchait les l�vres du sexe de la fillette, s'humidifiait avec le liquide blanc et onctueux qui ressortait�
Il arriva chez lui, la premi�re chose qu'il fit, fut de transporter d�licatement Nadine dans sa chambre, de la d�poser sur le grand lit.
Il lui retira sa jupette, son tee-shirt, s'attaqua au bustier, le plus difficile fut de desserrer les lacets. Il fit tr�s doucement pour ne pas la r�veiller.
Elle �tait maintenant enti�rement nue. Le travail qui lui avait fait endur� avait laiss� des traces sur sa� poitrine, ses t�tons �taient tr�s gonfl�s, tout violac�s.
Il alla chercher dans son cabinet un tube de pommade contre les h�matomes, en enduit copieusement ses t�tons , les massa doucement.
Il entrouvrit ses cuisses, contempla sa chatte, une belle petite moule avec en son milieu le liquide blanc qui suintait�
Il lui remit sa petite nuisette. Il �tait content de lui, il avait assouvi un fantasme qui lui trottait dans la t�te depuis son adolescence. Il en avait plein d'autres, il esp�rait que la petite pourrait lui permettre de les satisfaire.
Il �tait d�j� 20 heures, il la laissa dormir seule dans sa chambre.
Il partit se restaurer, regarda la t�l�vision dans le salon toute la soir�e.
A 23 heures il d�cida d'aller se coucher, rejoignit sa chambre. Nadine dormait d'un sommeil paisible. Il se glissa en slip dans le lit � c�t� d'elle, s'endormit assez rapidement.
�� La baise et l'orgasme de Nadine
Les cris de la fillette le r�veill�rent en sursaut, il regarda l'heure sur le radio r�veil � affichage digital mis bien en �vidence sur la chemin�e, quatre heures du matin�
Il alluma la lumi�re de sa table de chevet. Nadine �tait assise dans le lit.
Elle �tait r�veill�e les yeux grands ouverts, elle pleurait doucement.
Il lui parla : " Nadine ma ch�rie�il y a quelque chose qui ne vas pas�? ".
J'ai froid dit elle en pleurnichant. En effet il remarqua sa blancheur. Elle avait la chaire de poule, tremblant sans arr�t. Il se leva, revint quelques minutes apr�s avec une grande tasse de chocolat chaud. Elle ingurgita rapidement la boisson, se remit dans le drap. Il se recoucha, se blottit contre elle, la serrant tr�s fort dans ses bras. Ses jambes se m�lang�rent aux siennes, son bassin appuyant sur son slip.
Ils rest�rent comme �a sans bouger un long moment. Elle se r�chauffa peu � peu au contact de son corps, puis l'un et l'autre se rendormirent rapidement.
Il se r�veilla le premier, il �tait 7 heures du matin. Nadine dormait paisiblement. Il bandait comme tous les matin � son r�veil. Il se dit qu'il serait b�te de ne pas en profiter�Une gamine de moins de 11 ans dans son lit�
Il mit d�licatement sa main sur la nuisette de la petite au niveau de son ventre, descendit sur le tissu � la recherche de sa petite fente, trouva l'entrejambe tout de suite, ne put r�sister longtemps, rapidement il passa sa main sous sa chemise de nuit, se mit � la caresser�
Elle se r�veilla doucement. Il se mit � la palper d�licatement de ses deux mains, ressentit sous ses doigts les deux petits t�tons qui avaient doubl� de volume par rapport � la premi�re fois�
Elle ne fut pas insensible � ses caresses longtemps, �carta les cuisses d'elle m�me. Il lui prit une main, la mit directement dans son slip, lui fit masser ses couilles. Elle le fit avec beaucoup d'attention, lui tira une par une en les faisant rouler tout doucement avec ses petits doigts, comme il lui avait appris�
Il avait os� un doigt dans sa chatte, il la fouilla � fond, remarqua que son vagin �tait beaucoup plus souple et d�tendu que la derni�re fois.
Le travail qu'il avait pratiqu� sur elle hier en lui bourrant la chatte � coup de bitte avait fait son effet�
Retourne toi, met toi sur le ventre Nadine� La gamine s'ex�cuta lascivement.
Elle �tait offerte, les jambes l�g�rement �cart�es, sa nuisette au ras des fesses�
Il prit dans sa main une de ses fesses, commen�a � la malaxer doucement en prenant soin d'�carter son cul, touchant son anus avec un doigt. De l'autre main il lui caressait sa nuque ainsi que son dos.
Ses caresses dur�rent quelques minutes, contente, elle ouvrit ses cuisses � fond, commen�a � faire onduler sa croupe.
Il lui demanda de se mettre accroupi � genoux�
Elle avait maintenant son post�rieur en hauteur, la t�te �cras�e dans� l'oreiller.
Il caressa le cul offert, lui �cartant les cuisses au maximum.
Continue � bouger tes fesses, lui dit-il� Elle entreprit � nouveau un mouvement de rotation de son post�rieur.
Il prenait son pied, bandant comme un turc rien qu'� voir la petite faire ce qu'il lui demandait. Il se mit juste derri�re, amena sa langue sur le trou de son derri�re, commen�a � lui l�cher l'anus. La fillette fut surprise, arr�ta d'onduler, mais ouvrit ses cuisses au maximum. Il for�a le petit cul� d'un coup de langue,� fouillant son post�rieur� Nadine fit un "oh�" d'�tonnement et de satisfaction. Une main titillait par devant son clitoris, la petite commen�a au bout d'un certain temps � avoir tr�s chaud... Elle g�missait doucement, entrecoup� de " c'est bon�oh que c'est bon�". Il d�cida de la faire travailler un peu, se retira,� s'allongea sur le dos � cot� d'elle.
Lui donna tr�s gentiment un ordre : " Suce moi la bitte Nadine ".
Elle resta dans sa position pendant un instant, comprit que plus rien pour l'instant ne viendrait de ce c�t� l��
Elle d�cida de bouger, descendit son corps, se mit en position entre ses cuisses, sa bouche � la hauteur de son p�nis.
Elle su�a tout de suite sa queue de la fa�on qu'il lui avait appris.
Avec de longs coups de langue elle r�pa sa bitte, tournant autour de son gland plusieurs fois. Il lui demanda de la mettre compl�tement dans sa bouche, puis de la pousser au maximum dans sa gorge. Elle faillit s'�trangler plusieurs fois�
La fellation dura un bon moment, la gamine commen�ait � d�velopper une technique personnelle� Elle le su�ait comme aucune fille ne l'avait faite auparavant, avec application, sans aucun d'�gout. Elle aimait donner du plaisir � sa bitte. Il sentit la pression monter dans sa queue, pr�f�ra garder la jutte pour sa chatte� Il lui demanda de s'allonger, de se mettre sur le dos�
Elle s'ex�cuta aussit�t, compris tout de suite qu'elle allait �tre prise � nouveau�
Il se mit entre ses cuisses, souleva compl�tement ses deux jambes, les tenant �cart� avec ses deux mains. Il pouvait l'ouvrir ou la refermer � volont�.
Il l�cha ses jambes, lui demanda de les laisser en hauteur sans bouger.
Pendant ce temps il descendit sa bouche � la hauteur du sexe de la fillette, commen�a � lui sucer la chatte, en profondeur� Il inonda son vagin de salive, la gamine prenait son pied, elle adorait, g�missant de plus en plus�
Il se dit qu'elle �tait assez lubrifi� comme �a, revint � sa position d'avant, en lui tenant � nouveau les cuisses �cart�es en hauteur.
Il fit un essais, lui ferma compl�tement les cuisses,� les rouvrit � fond�
Les l�vres de son sexe ruisselant de salive suivaient le mouvement, sa moule s'ouvrait, puis se refermait�
Il lui demanda � nouveau de laisser toute seule ses jambes en l'air �cart�es � fond. Sa queue toute raide �tait sortie de son slip depuis longtemps, il la prit dans sa main droite, la balada sur toute la longueur de sa fente en appuyant.
Il jouait avec sa chatte, ouvrant l�g�rement les l�vres avec son p�nis, tra�ant la fente de la petite fille�
Toujours le travail sur son clitoris� Juste une pression d'un doigt en titillant de temps en temps. Elle criait de plaisir, assez fort... Elle �tait pr�te � �tre "saillie" � nouveau. Il remit ses mains sur ses chevilles, �carta � nouveau ses cuisses, mais � fond � La fillette cria de douleur.
Son bassin �tant �cart� en grand, il en profita pour appuyer sa bitte au maximum sur sa fente. Le bout du gland fut "aval�" par le joint de la fillette. La bitte connaissait d�j� le chemin�
Il continua � pousser � fond, le reste de sa verge disparut d'un seul coup dans la petite chatte. La fillette hurla� Un grand cri strident, puis plus rien.
Sa respiration �tait haletante, il regarda son visage, remarqua comme la premi�re fois une expression de bonheur et de surprise m�lang�e. La p�n�tration avait �t� totale, jusqu'au couilles. Il fit quelques contraction avec sa bitte, appuya � fond pour bien sentir ses parties sur la paroi de la gamine. C'�tait bon� Ressentir la fillette autour de sa queue, offerte, soumise � tous ses d�sirs, quel cadeau�
Il commen�a � la besogner doucement. Sa bitte rentrait et ressortait de son trou� lubrifi� La petite mouillait abondamment.
Elle recommen�ait � g�mir doucement. Plus la bitte acc�l�rait son va et vient, plus les sons qui sortaient de sa bouche devenaient forts. Elle se mit rapidement � hurler de jouissance, secouant sa t�te dans tous les sens.
Lorsqu'elle ressentit la jutte toute chaude inonder� par saccade le fond de son ventre, elle s'ouvrit encore plus. Il l'aspergea longuement d'un grand nombre de coups, se vidant les couilles compl�tement. Elle �tait rempli de sperme, il continua � la besogner�
Tout � coup la gamine vibra, se d�chargea par saccades, eut un cri plus fort et plus long que les autres.
Il ressentit une s�rie de crispation sur sa queue � l'int�rieur du vagin de la petite. Elle venait d'avoir un orgasme� Il continua le va et vient dans son ventre pendant un moment. La gamine redevenait calme maintenant, elle avait les yeux p�tillants, plein de reconnaissance envers le Monsieur qui lui donnait autant de plaisir. Jamais personne ne s'�tait occup� d'elle comme ca�
Il se reposa un peu, resta dans la fillette un long moment. Lorsqu'il se retira de sa chatte, elle eut comme une expression de regret sur son visage�
Elle n'eut pas le temps d'analyser, il mit aussit�t sa bitte au niveau de sa bouche� Comprenant tout de suite ce qu'elle avait � faire, elle avala docilement la bitte dans sa� bouche, effectuant un va et vient avec sa t�te.
La bitte coulissait bien, la fillette le pompait �nergiquement, avalant le peu de sperme qu'elle trouvait encore
������������������������������������ � Dans le jardin avec Nadine
Il se retira de sa bouche lorsque sa queue fut redevenue enti�rement molle.
La gamine regardait son sexe avec �tonnement, ne comprenant pas comment sa bitte aussi grosse � certain moments, pouvait redevenir comme �a�
Ils se lev�rent, prirent leur douche ensemble, d�jeun�rent. La complicit� qui maintenant les unissaient sonnait vraie, la gamine commen�ait � se sentir chez elle. Elle se baladait dans toute la maison ayant pour seuls v�tements une nuisette rose agr�ment�e de dentelles blanches, ainsi qu'une petite culotte bleue, elle aussi � dentelles�
A 12 heures il faisait d�j� tr�s chaud pour un mois de Juillet, lui aussi �tait en tenue l�g�re, slip et tee-shirt. Nadine d�couvrait un nouvel univers, posait des questions sans arr�t sur des objets, les photos qu'elle remarquaient sur des meubles. Il lui expliqua sans s'�tendre qu'il s'�tait mari�, ayant eu trois enfants,
sa femme ainsi que sa petite fille n'avait pas surv�cue � un accident de voiture. St�phanie avait disparue � l'�ge de 10 ans�, ses deux gar�ons �taient maintenant mari�s, vivant � l'�tranger.
Il ne s'�tait jamais remis de l'accident, � pr�s de 45 ans seul son travail lui donnait encore une raison de vivre�
Ils d�jeun�rent sur la table de jardin. A l'ombre sous un grand marronnier, ils n'eurent pas � souffrir trop de la chaleur.
Il se mit dans une grande chaise longue, lu une partie de l'apr�s-midi.
Nadine joua toute seule, s'occupa, d�couvrant le monde du jardin. De temps en temps elle faisait de la balan�oire, il pouvait contempler � nouveau sa nuisette et sa petite culotte. Il adorait surtout quand elle �cartait les jambes en donnant un coup de rein pour se donner de l'�lan.
Il voyait tr�s clairement sa petite fente sous le tissus, � chaque fois cela le faisait bander � nouveau� Elle remarqua son regard, prit un certain plaisir � �carter ses cuisses � chaque passage�
Apr�s un long moment de ce man�ge, il lui fit signe avec son doigt de venir le rejoindre. Elle descendit de la balan�oire, se dirigea vers lui. Il laissa tomber son livre par terre, lui tendit la main, l'invita � s'asseoir � califourchon sur lui�
Elle le chevaucha� Il la tira sur lui, l'embrassa longuement sur la nuque...
Elle ressentit sa bitte enroul�e dans son slip appuyer sur sa culotte, juste � la raie des fesses, elle les ouvrit l�g�rement�
Avec ses mains sur sa taille, il la faisait bouger juste pour qu'elle ressente au mieux sa bitte. Ils jou�rent � ce petit jeux pendant un certain temps�
En tournant la t�te elle pouvait le regarder dans les yeux, elle comprit ce qu'il voulait, lui donna d'un timide regard son accord�
Il tira assez fortement sur les bords �lastiques en dentelle du derri�re de sa petite culotte, la fit coulisser compl�tement. Elle comprit qu'il voulait la lui retirer. Nadine se cambra compl�tement en arri�re, jambes en l'air pour que celle-ci puisse passer facilement.
La culotte glissa du bassin � ses genoux, puis finalement � ses pieds. Il la retira d'un geste, remit la gamine � califourchon sur son slip. D'une main il sortit sa queue qui se mit toute droite, glissa son slip sous ses couilles.
Il pressa la fillette contre lui. En jouant sur ses jambes, avec une main il la d�colla d'une dizaine de centim�tres. Il prit sa queue avec l'autre main, l'amena juste sous sons anus, fit redescendre Nadine doucement�
La gamine ne pouvait pas s'agripper, elle ressentit la pression de la bitte sur l'�toile de son anus, ne chercha pas � se d�gager. Au contraire elle �carta ses cuisses un peu plus encore. Le gland de sa pinne rentra doucement dans son post�rieur� Son poids aidant, la fillette s'encula toute seule sur sa verge.
Il n'avait pas mis de cr�me, tr�s rapidement il s'aper�ut que son cul �tait assez lubrifi�. La moiteur de l'�t� aidant Nadine se retrouva� empal�e jusqu'aux couilles tr�s rapidement. Ils rest�rent ainsi sans bouger un tr�s long moment�
Elle �tait sodomis�e � fond, � la voir d�tendue comme elle �tait, il �tait certain quelle aimait �a. Ce coup ci elle n'avait m�me pas cri�
Il ne la besogna pas, ils rest�rent coll�s l'un � l'autre un tr�s long moment.
Il l'embrassait dans le dos, la caressait partout sur son corps. Ses t�tons �taient tr�s sensible et douloureux, il les honora tr�s doucement au d�part, puis intensifia le massage de ses seins�
Il en �tait sur, en quelques heures sa poitrine s'�tait d�velopp�e d'une mani�re fulgurante, les hormones agissaient. Il se remit � la traire comme il l'avait fait, rentrant ses doigts � fond dans ses glandes mammaires, tirant en m�me temps sur les bouts pour faire sortir un liquide imaginaire, mais au combien �rotique�
Elle se laissait faire, flatt�e qu'il s'occupe de sa poitrine� La traite dura une bonne dizaine de minutes, elle adorait, g�missant de plaisir�
Puis il s'occupa un peu de sa chatte, de son clitoris, l'effleura d�licatement.
Il �tait content de la poss�der comme �a� Il voulait d�velopper en elle une sensualit� exacerb�e�
Selon lui c'�tait la meilleur fa�on d'y arriver. Laisser son plaisir, ses sens se d�velopper. Elle deviendrait diff�rente, ne serait pas toute sa vie uniquement qu'un trou � recevoir du sperme.
Toutes les �tapes qu'il allait lui faire franchir ne seraient pas toutes marrantes,
ni � son go�t, mais elle les conna�traient, par la suite elle pourrait choisir�
Il n'avait plus envie de penser, il avait envie de l'enculer, c'�tait tout...
Il y avait d�j� plus d'une heure que la fillette �tait empal�e sur sa bitte, Il la d�colla, se retira de la gamine doucement. Il bandait toujours, mais il voulait absolument que la fillette fasse autre chose de sa journ�e�
Il lui dit de ne pas remettre sa petite culotte, qu'il voulait quelle joue dehors comme �a toute la journ�e�
Nadine passa donc son apr�s-midi dans le jardin, cul nu. Son seul v�tement, sa nuisette lui arrivant juste au ras des fesses, laissait entrevoir de temps � autre le plus beau spectacle de l'univers�
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������������������� ����������� �������� �Nadine au cin�ma
Elle jouait � attraper des petits animaux�Papillons, mouches, araign�es, tout y passait�Parfois, elle essayait de l'aguicher. Passant, repassant � c�t� de lui, tout en montrant bien volontairement, ce qui selon elle l'int�ressait au plus haut point�� A onze ans, elle avait d�j� compris le plus important�
Ils d�n�rent vers 19 heures, parl�rent de tout et de rien.
A la fin du repas il lui demanda si elle voulait aller au cin�ma en ville�
La gamine se r�jouit aussit�t.
Il ajouta qu�il ne savait pas ce qu�il y avait comme film, ils verraient bien�
Il s�habill�rent de v�tements plus conventionnels. Rev�tit un ensemble jean, tee-shirt. A Nadine, il imposa une petite minijupe en tissu l�ger, ainsi que la petite culotte de dentelles rose achet�e la veille dans le sex-shop�
L'accessoire �rotique ne faisait pas vraiment petite fille�
Il lui choisit aussi un chemisier blanc ayant la particularit� de se d�grafer facilement�
Pendant tout le trajet, roulant doucement, il lui expliqua qu�il allait proc�der � une exp�rience. Quoi qu�il arrive il fallait qu�elle se laisse faire, de toute mani�re elle ne craignait rien, il �tait l��
Il insista, lui demandant si elle avait bien compris�
Puis il lui fit promettre de faire ce qu�il avait dit sans aucune restriction.
La gosse promit, ne comprenant vraiment pas pourquoi il insistait autant�
Il choisit sa salle de cin�ma favorite... Pas question de l�emmener dans un cin�ma pornographique ou X. De toute fa�on on ne l�aurait pas laisser rentrer, m�me si il avait put prouver qu�il �tait son p�re...
Cette salle projetait des films normaux� La particularit� de l'endroit �tant qu'une population assez marginale si donnait rendez vous le soir�
De plus il faisait tr�s noir aux derniers rangs.
Bon nombre de couples " homos ou h�t�ros " pouvaient laisser libre cours � leurs fantasmes.
Il acheta les billets�
L�ouvreuse les emmena sans se poser de questions au dernier rang.
Il se gliss�rent � t�tons parmi les fauteuils en d�rangeant un couple au d�but de la rang�e. s�assirent � l'oppos� pr�s du mur. Nadine se pla�a � c�t� de lui, laissant un grand nombre de fauteuils vides � c�t� d�elle�
Ils ne distinguaient plus rien des gens autour d�eux.
Il fallait que leurs yeux s�habituent � l�obscurit�.
Au bout de quelques minutes ils commenc�rent � y voir plus claire�
Leur venue n�avait pas laiss� tout le monde indiff�rent.
Un homme brun d�environ 35 ans, � deux rangs devant n�arr�tait pas de tourner la t�te vers eux. Le docteur s�en aper�ut, regarda ce monsieur tr�s gentiment, sans aucune animosit�.
Le jeu de leur regard dura un certain temps� L�homme reluquait sans arr�t la fillette et le docteur, sans vraiment savoir ce qu�il attendait en retour.
Il n�en crut pas ses yeux lorsque celui-ci lui fit un petit signe discret avec son indexe, l�invitant � venir les rejoindre. En m�me temps il� remua la t�te affirmativement tout en la tournant vers la fillette.
Le message �tait on ne peut plus claire, le monsieur pouvait y aller��
L�homme �tonn� ne savait plus quoi faire. Il ne s��tait certainement jamais trouv� dans une telle situation.
Il attendit un peu, puis se leva, d�rangeant les spectateurs � ses c�t�s.
Il prit la direction des toilettes, s'y engouffra�
Quelques minutes apr�s il r�apparut puis remonta l'all�e centrale.
Il s'arr�ta � la rang�e ou il �tait pr�c�demment, h�sita un instant, d�cida de ne pas d�ranger � nouveau les spectateurs assis, continua deux rang�es plus loin.
Il demanda pardon au couple. Les amoureux le laiss�rent passer sans arr�ter leurs �bats. Il continua sur sa lanc�e, s'assit juste � c�t� de Nadine�
Anxieuse elle regarda le docteur. Il approcha sa t�te, lui dit � l'oreille :
" Ne crains rien, fais ce que je t'ai dit tout � l'heure, tu te laisses faire�".
L'homme regardait � nouveau le docteur, n'osant m�me plus jeter un regard sur la fillette. Il �tait venu les rejoindre c'�tait d�j� assez courageux�
Il attendait pour aller plus loin une certaine autorisation du monsieur qui accompagnait la fillette. Celle-ci vint rapidement. Le docteur commen�a � caresser la cuisse gauche de Nadine, sa main glissa sous la jupette de la fillette.
L'homme ne perdit rien de l'action, regardant intens�ment les yeux du docteur. Celui-ci lui donna la permission qu'il attendait par un l�ger hochement de t�te. Tout en guettant un signe de d�sapprobation, l'homme mit sa main gauche sur le genou de Nadine� Elle fut surprise, regarda aussit�t le docteur.
Il acquies�a par un petit signe de t�te de haut en bas. L'homme fut rassur�, commen�a � faire remonter sa main sur la cuisse de la fillette. Nadine resserra ses jambes aussit�t. Le docteur regarda autour de lui si personne n'avait remarqu� le man�ge� Tout allait bien, personne n'observait ce qu'ils faisaient. Il mit une main sur chaque genoux de Nadine, lui �carta d'autorit� les cuisses� La gamine comprit qu'il fallait qu'elle se laisse faire�
La main de l'homme �tait pass�e sous la jupette de la fillette, lui massant doucement le haut de la cuisse. Elle fut rejointe par la main droite du docteur�
Le contact figea l'homme un instant. Le docteur lui prit doucement les doigts de la main, les emmena directement sur la petite culotte de Nadine.
Il lui prit un doigt, le passa sous la dentelle, commen�a � lui faire toucher la chatte de la petite fille�
Le monsieur comprit vite, il commen�a � toucher le sexe de la fillette.
Nadine avait maintenant dans sa culotte deux mains qui la caressaient.
C'�tait bizarre comme sensation mais pas d�sagr�able.
Elle avait d�cid� de se laisser faire�
Ils �taient tranquille le film venait de commencer,� c'�tait un jour de semaine.
Il n'y avait pas beaucoup de monde dans la salle.
Le docteur d�cida d'aller plus loin. Il tira assez fort sur le c�t� de la petite culotte qui lui �tait accessible. commen�ant � faire glisser celle-ci sous une fesse.
De toute �vidence il voulait la baisser...
L'homme comprenant son message, fit pareil de son c�t�
La petite culotte de Nadine glissa sous son post�rieur et se retrouva rapidement sur ses cuisses.
L'homme s'enhardi. Lui ouvrant d�licatement les l�vres de son sexe, il rentra un doigt dans son vagin, le fit coulisser d�licatement dedans�
La fillette aimait les caresses du monsieur, il �tait aussi doux que le docteur.
Celui-ci s'�tait tourn� un peu plus vers la gamine utilisant ses deux mains� L'une lui caressait un de ses t�ton, un doigt de l'autre �tait rentr� dans son anus, l'enculant doucement.
Ils la travaill�rent comme �a un bon moment.� Nadine appr�ciait, elle se crispait� compl�tement, puis se d�tendait � nouveau.
Il fallait calmer le jeux, sinon comme il la connaissait, la gamine allait "exploser" de jouissance, avec des cris et gloussements pas vraiment cin�philes�
Le docteur voulut en savoir un peu plus sur le Monsieur qui avait sa main dans la culotte de Nadine. En tendant compl�tement son bras droit il atteint son pantalon, toucha le tissu au niveau de la braguette, ressentit imm�diatement que l'homme bandait. Il massa, sur le tissu�
Voyant qu'il se laissait faire, il s'attaqua � la fermeture qu'il commen�a � baisser doucement. Introduisant sa main dans la braguette, il massa longuement son slip.
La forme oblongue et dure de sa bitte se contracta, pulsa sous ses doigts.
L'homme jouait avec sa verge, faisant ressentir son accord tacite.
Le docteur devina tout de suite que l'homme �tait d'une propret� exemplaire. M�me dans la p�nombre les signes ne trompaient pas. Il avait des chaussures de luxe, ses v�tements n'�taient pas ceux de n'importe qui.
La propret� de ce qui y avait dans la culotte devait aller de paire�
( Deux paires c'est mieux, la nature n'a pas tout pr�vue�) .
Il d�boutonna son pantalon, eut un acc�s plus facile � sa queue.
Il tira sur l'�lastique de son slip, mit directement sa main dedans, massa doucement. Il avait une queue bien droite, belle, normale.
Ni trop grosse, ni trop longue� Pour baiser les petites filles, c'�tait l'id�al.
Il alla jusqu'au testicules, les massa comme il aimait qu'on lui fasse. Fit rouler avec ses doigts une couille en tirant doucement dessus, fit l'autre apr�s.
Il voulut aller plus loin, glissa son slip sous ses couilles.
Tout son appareil g�nital �tait maintenant d�gag�, accessible facilement�
L'homme continuait � caresser Nadine, la p�n�trant d'un doigt.
La gamine �tait au bord de la jouissance. Le docteur approcha ses l�vres de l'oreille de la fillette, lui demanda tout bas de sucer la bitte du monsieur� L'homme avait entendu aussi� Il retira son doigt du vagin de la gamine, se mit en attente sur son fauteuil les jambes bien �cart�es, la bitte tendue au maximum�
Nadine allait s'ex�cuter, cherchant comment faire�
Le docteur la bougea� Avec autorit�, il la fit se mettre � genoux par terre entre les deux si�ges. La gamine coinc�, ne pouvait plus bouger ses jambes. Cela ne posait pas de probl�me pour ce qu'elle avait � faire. Le docteur courba Nadine� Il appuya sur la t�te de la petite fille pour faire descendre celle-ci sur la bitte de l'homme.
�������������� �� La
rencontre de Jean Yves
Nadine ouvrit la bouche tout de suite, la comblant avec le sexe de l'homme�
Remarquant que la coquine ne bougeait pas sa t�te, le docteur l'obligea � piper normalement en tirant et poussant sur ses cheveux.
Bient�t la bitte du monsieur coulissa normalement dans l'orifice buccale�
La pipe fut longue� elle allait bient�t devenir g�n�reuse.
L'homme commen�ait � se contracter un maximum, �tirant ses cuisses, bougeant ses fesses�
Il �jacula d'un seul coup dans la petite bouche�
Le docteur compta approximativement� le nombre de gicl�es quelle re�ut.
Il en d�nombra six ou sept� La fillette savait comment faire.
Ils entendirent le doux bruit de la jutte dans sa bouche, puis celui de la d�glutition de la gorge. Elle avalait tout � chaque fois�
L'homme se d�tendit enti�rement, la petite continuait � le pomper�
Il fit comprendre au docteur qu'il fallait qu'elle arr�te. Celui-ci tapa sur l'�paule de Nadine. Elle se redressa, releva sa culotte, se remit dans son fauteuil�
Tout d'apparence sur la derni�re rang�e de la salle �tait redevenu normale.
Un couple, qui d'ailleurs ne s'�tait aper�u de rien, s'embrassait tout en se caressant. Deux messieurs avec une petite fille regardaient leur film�
Le docteur observa Nadine. Elle avait plein de sperme sur le bas du visage et sur les l�vres. Parlant doucement, il lui demanda de se nettoyer.
La fillette sortit sa langue de sa bouche, s'essuyant � sa fa�on�
Pour finir, elle s'aida aussi d'un doigt de sa main droite �
Le docteur �tait maintenant plus que certain que Nadine aimait le sperme�
C'�tait un v�ritable plaisir de se laisser faire une fellation par une petite femelle qui aimait vraiment la jutte�
Le docteur proposa en parlant doucement : " Apr�s tout �a, si on allait boire quelque chose ? ". L'homme h�sita un peu, puis d'un signe de t�te accepta�
Ils se lev�rent tous ensemble, salu�rent le coupe en le d�rangeant, puis se dirig�rent vers la porte de sortie.
Dehors le docteur se pr�senta imm�diatement, lui tendant la main�
Charles Fort�, docteur en m�decine. L�homme impressionn� h�sita un peu, lui tendit enfin la main. D�une voix timide il se pr�senta�
Jean Yves Lefort, Informaticien, au ch�mage, dit-il avec regret�
Le docteur lui pr�senta Nadine. Il la contempla� Encore tout �mu, la salua :
�" Bonjour Nadine, je suis vraiment tr�s heureux de te conna�tre ".
La gamine baissant les yeux n'osa pas r�pondre.
Ils s'assirent � la terrasse d'un caf�, command�rent des boissons rafra�chissantes. L'homme �tait un peu rassur�, il se d�tendit, parla un peu de lui, de sa vie.
La premi�re impression du docteur avait �t� la bonne, ce n'�tait pas n'importe qui� Il avait vingt huit ans, beaucoup de personnalit�, une finesse d'esprit, une logique qui le surprenait. Ils discut�rent pendant une bonne heure.
Le docteur venait de lui proposer de travailler pour lui, de l'aider pendant un certain temps d'abord, apr�s on verrait�
Il lui parla sommairement de son travail sur l'�tude du comportement des enfants. Le sien si il l'acceptait consisterait � l'aider dans ce domaine�
Ils feraient des tests ensemble. Il prit l'exemple de ce qui s'�tait pass� au cin�ma, lui dit que �a aussi c'�tait un test�
Jean Yves �tait de plus en plus int�ress�.
L'homme se dit qu'il n'avait rien � perdre, puis il y avait Nadine�
Il aurait beaucoup aim� que la gamine recommence�
En plus il �tait disponible de suite n'ayant rien � faire.
Une p�riode de la vie ou tout s'�croule, amours, boulot, etc �
Le Docteur Charles lui proposa de l'h�berger chez lui tant qu'il le voudrait.
Jean Yves accepta,� ils partirent tous les trois chercher la voiture.
Nadine marchait au milieu d'eux, leur donnant une main � chacun�
Lorsqu'ils arriv�rent � la maison, il �tait d�j� vingt trois heures. Il pr�para la chambre d'amis pour Jean Yves, non sans l'avoir pr�venu qu'il �tait tr�s large d'esprit, si il le d�sirait il pouvait venir dans la chambre ou lui m�me dormait avec Nadine. Il lui fit comprendre qu'il �tait bisexuel. Jean Yves devant sa franchise lui r�pondit que lui aussi ca ne le d�rangeait pas non plus�
Le docteur et Nadine se couch�rent donc peu apr�s. Il avait, c'est on jamais rajout� un troisi�me oreiller. La fillette �tait fatigu�e, elle tombait presque de sommeil. En rentrant le docteur lui avait pr�par� un verre de jus d'orange � sa fa�on, elle avait tout bu� Jean Yves ne tarda pas � franchir la porte de leur chambre qui d'ailleurs �tait rest�e ouverte. Le docteur le mit � l'aise aussit�t en le tutoyant directement : " Viens avec nous dans le lit, Nadine va te faire une place � c�t� d'elle�". Il �tait lui aussi en slip sans rien d'autre sur le corps.
Il fit le tour du lit, se glissa dans les draps. La fillette lui fit une place en bougeant l�g�rement. Elle �tait �tendue entre eux deux, commen�ant � somnoler. Le docteur fit signe � jean Yves que Nadine commen�ait � s'endormir, qu'il fallait attendre. Au bout d'un quart d'heure le docteur souleva une des paupi�res de Nadine, vit tout de suite son �il dilat�.
Je lui ait donn� un hypnotique, dit il � Jean Yves� C'est un m�dicament qui a la particularit� de provoquer le sommeil d'une fa�on tr�s sp�ciale. Si on sait bien l'utiliser la personne dors, mais reste r�ceptive aux ordres qu'on lui donne.
Elle peut donc faire des actions dans son sommeil. Particularit� de ce m�dicament le patient ne se souvient absolument pas � son r�veil des actions qu'il a fait�
On va essayer quelque chose. Il approcha sa bouche de l'oreille de la petite fille,� lui murmura : " Nadine tu m'entends ?, Nadine tu m'entends ? ". Sa petite t�te bougea, ils entendirent un : " Oui docteur ".
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������ L'enculage de Nadine � trois
Nadine tu vas faire ce que je te dis, d�tend toi compl�tement, �carte tes jambes au maximum, en mettre une sur chacun de nous.
A partir de maintenant tu vas te laisser faire compl�tement, demain� � ton r�veil tu ne te souviendra pas ce que tu as fait cette nuit. Tu as bien compris Nadine, r�pond moi ?. Elle r�pondit un : " oui " tr�s lointain, bougea ses jambes et ses main, puis s'installa dans la position demand�e. Le docteur retira le drap, ils contempl�rent Nadine les cuisses ouvertes. Elle �tait offerte en nuisette et petite culotte. Chacune de ses jambe reposait sur une cuisse de chacun, ses bras �taient perpendiculaires � son corps, reposant sur les oreillers.
Le docteur mit une main sous la nuisette, ses doigts se dirig�rent vers sa petite poitrine naissante, commenc�rent � titiller un t�ton. Le docteur dit � jean Yves de s'occuper de sa petite chatte. Il ne se fit pas prier longtemps, sa main descendit sur le ventre de Nadine, s'aventura dans la petite culotte de la gamine. Il prit un pied fantastique � caresser sa chatte, le docteur s'en rendit compte en voyant la bosse grossir sur son slip. Il la caress�rent pendant plus d'un quart d'heure. Comme les fois pr�c�dentes la fillette commen�ait � s'agiter en fr�missant. Le docteur demanda � Nadine de changer de position, de se mettre � genoux sur le lit cuisses �cart�es, la t�te en bas. La fillette s'ex�cuta.
Elle avait les fesses offertes en hauteur, la petite culotte en dentelles mettaient ses formes en valeur. Le docteur posa la question � jean Yves : " Tu veux l'enculer ou la monter par devant ? ".
Il ne r�pondit pas, mais se mit aussit�t � genoux derri�re elle, entre ses fesses.
Il contempla le magnifique spectacle de ce petit cul de fillette offert, emball� dans une belle petite culotte rose en dentelle. Il mit ses mains dessus, palpa le tissu tr�s fin, doux, rugueux en m�me temps, �carta doucement chaque petite fesse. Elles �taient si fermes, en m�me temps si souples.
Il mit une main de chaque c�t� de sa taille, rentra ses doigts sous l'�lastique maintenant la petite culotte, la fit glisser tr�s doucement vers le bas.
Son beau petit cul apparut � ses yeux�
Le docteur bandait aussi, il ne bougeait plus, le regardant faire.
Il d�cida de rejoindre Jean Yves, se mit juste derri�re ses fesses�
Le docteur commen�a � caresser Jean Yves par devant, sur son slip.
Il revint sur ses fesses, les palpa, comme d'ailleurs Jean Yves �tait entrain de� faire � Nadine. Jean Yves ne dit rien, il venait de comprendre qu'il pourrait tout faire avec la fillette, si lui aussi se laissait enculer, il �carta un peu plus les cuisses�
Nadine �tait � demie-consciente, elle ne savait plus ou elle �tait, �prouvant un certain plaisir� Un monsieur lui caressait son minou, juste � l'endroit ou il y avait une petite boule qui ressortait, c'�tait bon�
Elle ressentait aussi une chose appuy�e sur son derri�re, juste au milieu�
Elle savait que cela ne lui ferait pas mal. Il fallait faire tout ce que le docteur avait dit, c'�tait �a le plus important�
Le docteur baissa le slip de Jean Yves, lui mit de la pommade sur l'anus, s'en mit sur sa verge. Puis il lui passa le tube � Jean Yves. Il comprit tout de suite, en enduit copieusement sa bitte, puis l'anus de la fillette.
Ils �taient pr�ts � �tre enfil�s� Au moment m�me ou jean Yves commen�a � appuyer son gland sur l'anus de Nadine, il ressentit aussi son cul s'ouvrir doucement�
Il continua quand m�me la p�n�tration de la petite fille jusqu'� ce que le bout de son gland soit rentr� compl�tement dans ses fesses. L'anus de Jean Yves fut combl� en m�me temps, le bout de la bitte du docteur venait de le p�n�trer�
Il l'avait encul� en faisant tr�s doucement, mais sa verge n'�tait pas petite�
Ses doigts lui massaient les testicules, les prenant un par un, les faisant rouler,� tirant d�licatement dessus�
Il adorait ce que le docteur lui faisait. Il �tait d�j� certain qu'il ne regretterait jamais de� l'avoir rencontr�. Se faire enculer en enculant une petite fille�
M�me ses fantasmes les plus d�lirants n'�taient jamais aller aussi loin, il n'aurait jamais imagin� �a� La fillette s'�tait crisp� un peu, elle avait �mis un petit cri lorsque la pinne �tait rentr�e dans ses fesses. Maintenant il la besognait presque � fond, son ventre recevait d�j� une bonne longueur. De son c�t� quel plaisir il ressentait� Sa bitte et son cul �tait travaill�s en m�me temps, c'�tait tr�s bon�
Il n'avait rien connu d'�quivalent avant. La bitte du docteur �tait rentr�e � fond, ses couilles battaient sur ses fesses. Il n'avait pas eu mal du tout, la pommade y �tait certainement pour quelque chose. D'habitude lorsqu'il se faisait enculer par des copains de passage cela se passait souvent pas tr�s bien. Depuis ce soir il envisageait la sodomie sous un jour nouveau, il recommencerait c'�tait sur, encore fallait il trouver quelqu'un qui encule aussi bien�
Il besognait et se faisait besogner de plus en plus vite. La gamine avait pris le rythme aussi, donnant des grands coups de fesses pour rentrer la bitte plus loin, au plus profond d'elle m�me. C'�tait sur elle aimait se faire enculer�
Elle g�missait maintenant tr�s fort. Il lui massa sa poitrine, tirant tr�s fort sur les bouts des t�tons. Jean Yves ne put se retenir plus longtemps, il explosa dans le cul de la gamine�
Il r�pandit sa semence par jet successif, il y en avait beaucoup moins que tout � l'heure, quand il lui avait jut� dans la bouche� Il avait tir� deux coups � quelques heures d'intervalle�
La petite ressentit la jutte rentrer dans son petit cul, elle fit un petit : " ho�" de surprise lorsque le sperme rentra, puis elle continua � s'empaler sur la bitte � grand coup de reins et de fesses�
Le docteur lui aussi �tait tellement excit� que dans quelques secondes Jean Yves aurait sa dose au plus profond de lui m�me . La d�charge fut longue et g�n�reuse. Jean Yves ressentit la chaleur de la gicl�e� Ils laiss�rent leur bitte au fond du trou pendant un long moment. Ils �taient �puis�s tous les deux.
Seule Nadine continuait son petit travail d'enculage, elle n'avait pas encore jouie elle� Jean Louis se retira pourtant du cul de Nadine.
A regret la petite fille arr�ta d'onduler de la croupe. Jean louis admirait l'anus de la petite fille, tout blanc de la jutte qui ressortait de la petite rondelle.
Le docteur retira sa pinne peu� apr�s. Pareillement il contempla le sperme qui sortait du cul de Jean Yves. Ils �taient tellement fatigu�s, qu'ils couch�rent Nadine sur le dos, se blottirent contre elle et s'endormirent rapidement.
Le docteur Fort� se r�veilla le premier, il �tait huit heures du matin. Nadine et Jean Yves dormaient. La gamine �tait allong�e sur le dos entre eux deux.
Il �ta le mince drap qui les recouvraient. Ils �taient beaux� Nadine sans culotte en nuisette au ras des fesses, Jean Yves enti�rement nu, comme lui d'ailleurs�
Il avait un corps magnifique, une belle bitte passe partout�
Il resta pr�s de cinq minutes � les regarder, s'aper�ut qu'il commen�ait � bander. Il eut subitement l'id�e que Jean Yves le baise et l'encule. Hier soir il avait d�charg� tout son sperme dans son cul, il aurait bien aim� qui lui rende la pareille. Il en avait une envie folle. Bient�t peut �tre �?.
Quelques minutes apr�s se fut au tour de Jean Yves de se r�veiller� Il �mergea tout doucement de son r�ve, il� venait de faire l'amour avec une gamine tr�s jeune qu'un monsieur rencontr� au cin�ma lui avait pr�sent�e.
Dr�le de r�ve� Il ouvrit les yeux doucement. En une seconde la m�moire lui revint. Il contempla Nadine � c�t� de lui, s'aper�ut que le docteur la regardait aussi. Pour tester sa r�action le docteur Fort� d�cida d'entamer la conversation : " Elle est belle non ? ".
Elle est magnifique r�pondit Jean Yves�
Ca allait, ils �taient toujours sur la m�me longueur d'onde.
Il rajouta : " On est toujours d'accord, tu veux toujours travailler avec moi et en m�me temps t'occuper de Nadine�? ".
Il lui fit un signe de t�te affirmatif en baissant l�g�rement celle-ci.�
Un instant apr�s les yeux de Jean Yves se promen�rent sur sa queue en �rection� Le docteur se leva, fit le tour du lit, s'agenouilla � la hauteur du bassin de jean Yves, approcha doucement sa bouche, embrassa son bas ventre et son sexe. Quelques secondes apr�s il engouffrait goul�ment la bitte toute molle. Il le pipa d'abord tr�s doucement, tirant son bout avec ses l�vres au maximum. En m�me temps il rentra ses doigts dans ses couilles, fit exactement le m�me massage testiculaire qui lui avait prodigu� hier soir.
�L'effet ne se fit pas attendre longtemps. Sa queue se d�veloppa tr�s rapidement. Jean Yves ferma les yeux, se laissa faire. Il appr�ciait �norm�ment cette fellation. La technique employ�e lui paraissait g�niale. Il rentrait la bitte � fond dans sa gorge, la faisait ressortir, tournait sa langue fois autour de son gland.
Se remettait � l�cher de haut en bas tout son appareil g�nital, il s'employait � le piper longtemps, puis recommen�ait sans arr�t le cycle.
Il interrompit sa pipe, car Nadine s'�tait mise � bouger dans le lit, elle n'allait pas tarder � se r�veiller� Le docteur dit � Jean Yves : " Je vais l'endormir � ma fa�on, on va s'occuper d'elle �". Il se leva rapidement, partit dans son cabinet m�dical, revint quelques minutes apr�s avec une petite seringue rempli d'un liquide orang�. Il ne fit m�me pas de garrot � la petite, nettoya juste son avant bras, choisit une veine, lui injecta le produit. La piq�re r�veilla la fillette, elle ouvrit les yeux quelques secondes, se demandant ce qui lui arrivait.
Elle n'eut pas le temps de r�aliser� Le produit coulait d�j� dans ses veines, elle se d�tendit aussit�t d'une dr�le de mani�re. C'est une drogue puissante dit-il � jean Yves, on devrait pas mal s'amuser� Jean Yves �tait surpris, mais il se dit que le docteur savait ce qu'il faisait, apr�s tout il �tait docteur.
Il posa la seringue sur sa table de chevet, prit dans le tiroir le tube de vaseline,� dit � Jean Yves : " Tiens tu lui met de la pommade doucement partout ou il faut, tu vois ce que je veux dire�". Jean Yves releva la petite chemise de nuit de Nadine, mit une noisette de pommade sur le con de la petite fille. En rentrant� d�licatement la vaseline dans son vagin, il se dit qu'il aimerait bien que sa queue rentre par la. Ca devait �tre tr�s serr�, tr�s bon � rentrer�
Il enduit aussi l'anus de la gamine, rentra beaucoup plus de pommade dans le conduit anal qu'il en aurait fallu. Il l'avait d�j� enculer, il savait qu'il pouvait y aller, il mit deux doigts pour bourrer son cul� Pendant ce temps le docteur avait �t� cherch� dans le frigo un petit pot contenant une mati�re �paisse et rouge, cela ressemblait � de l'harissa. Il remua le tout avec une petite cuill�re, le m�lange �tait onctueux et huileux � souhait�
Il le posa sur la commode, il allait en avoir besoin tr�s bient�t�
Il ouvrit une armoire, fouilla dans un grand sac en sortit des accessoires de lingerie f�minine, dont un string de couleur rouge et un tout petit soutien gorge de couleur rouge lui aussi. Il revint vers le lit, demanda � jean Yves de l'aider � d�shabiller la fillette. Il l'assirent sur le lit, Jean Yves la maintenait pendant que le docteur lui retirait sa nuisette. Il prit le soutient gorge, l'essaya � la petite. C'�tait la plus petite taille, ses petits t�tons nageaient un peu dedans. Il passa les bretelles charg�es de le maintenir, accrocha l'attache derri�re son dos.
Il essaya de bouger le tissu pour voir si il tenait bien. Il �tait bien fix�.
Le principal pour lui �tant que les t�tons restent dans tous les cas bien en contact avec le tissu� La fillette ouvrit les yeux, ses pupilles �taient compl�tement dilat�es, elle bredouilla quelque chose d'incompr�hensible. Elle n'avait pas la m�me voix que d'habitude, elle �tait compl�tement cam�e, se laissa faire�
�������������� La harissa dans le string de Nadine
Il lui passa la petite culotte, ou plut�t le string� La ficelle passant derri�re appuyait juste sur son anus. Sur le devant le petit triangle en tissu rouge couvrait juste sa petite chatte.
Il sortit d'une boite sous le lit une paire de menottes, lui attacha les mains dans le dos. La petite fille n'avait plus aucune possibilit� de toucher sa chatte, ses seins, ou encore ses fesses�
La deuxi�me partie pouvait du supplice pouvait commencer. Il l'assit � nouveau, d�grafa le soutien gorge, le retira, le posa sur le lit. Il prit le pot contenant la mati�re onctueuse et rouge, en d�posa le contenu d'une petite cuill�re pleine au fond de chaque bonnet. Il remit le soutien gorge � Nadine, l'agrafa, appuya l�g�rement sur le tissu pour bien mettre en contact ses t�tons avec le produit, massa l'ensemble pendant un petit moment.
Nadine n'avait pas bronch�, juste un petit sursaut lorsqu'il avait remit les bonnets, c'�tait froid� Il allongea La fillette � nouveau sur le lit, baissa le string, remplit la toute petite culotte de "confiture rouge". Il en badigeonna sur toute sa fente, insistant particuli�rement au niveau de son clitoris�
Pour ses petites fesses, il mit la harissa sur une petite compresse circulaire�
Il remit le string en massant sa chatte, remit bien la ficelle derri�re en s'assurant qu'elle appuyait bien, comme la compresse sur la raie des fesses.
Il demanda � jean Yves de s'allonger sur le lit, mit Nadine � califourchon sur lui. Le docteur se mit derri�re Nadine, la tenant sous ses bras par les seins qu'ils massaient vigoureusement. La petite fille sortit de sa l�thargie tr�s rapidement.
Le produit sur ses parties intimes commen�ait � la chauffer. La bitte de Jean Yves �tait en �rection, toute droite, il lui fit toucher le petit triangle rouge du string, sa queue appuyait sur le tissu, il ressentait les formes de la gamine dessous�
Il d�cida de faire glisser sa bitte sous le tissu, passa sa queue par un c�t�.
Il sentit aussit�t la "confiture" �paisse sous le string� Nadine avait de plus en plus chaud, ondulant de la croupe sur jean Yves.
Le docteur lui caressait toujours les seins, tirait sur les bouts du soutien gorge en massant doucement pour que la pommade rouge fasse son effet�
Peu de temps apr�s la fillette �mit son premier petit cri de douleur et de jouissance, le docteur allongea compl�tement la fillette sur Jean Yves, retira le string de la gamine en le faisant glisser sur ses jambes. Maintenant elle �tait allong�e sur lui, sur sa queue. Le docteur voulut qu'il la baise par devant, il descendit l�g�rement la petite pour que la bitte de Jean Yves appuie sur sa fente. Jean Yves guida sa verge pour qu'elle �carta doucement les l�vres de son sexe.
Elle �tait pr�te � �tre enfil�e par devant. De son c�t� le docteur fit appuyer sa queue sur l'anus de la fillette et commen�a � appuyer sensiblement.
La fillette �tait prise en sandwich, la pression s'accentuait des deux c�t�s en m�me temps. Les bittes rentr�rent � peu pr�s en m�me temps�
La petite fille se mit � hurler de douleur, ses muqueuses �taient en feu, elle �tait fouill�e par les deux chibres qui l'�cartaient un maximum. Elle bougeait �norm�ment, essayant de d�tacher les menottes, la seule chose qu'elle arrivait � faire en gesticulant c'�tait de faire rentrer les bittes un peu plus dans son ventre. Jean Yves et le docteur la besognait maintenant avec fougue, les cris de la gamine �tait � la limite du supportable�
Il fallut plus de cinq minutes de travail pour que les cris de douleurs commencent � �tre remplac�s par des r�les de jouissance qui sortaient enfin de la gorge de la fillette. Nadine avait les yeux ferm�s, elle aidait les bittes � trouver leur chemin par des petits coups de reins rapides. La souffrance de la gamine s'�tait transform�e en extr�me jouissance, les cris lancinants qui �manaient d'elle �tait un r�confort pour les deux hommes qui redoublaient d'ardeur. Ils jut�rent � peu pr�s en m�me temps, la gamine fut asperg�e des deux c�t�s par une grosse quantit� de sperme.
Le docteur se retira le premier, put contempler une partie de son sperme qui sortait de cul de Nadine. Jean Yves resta dans sa chatte cinq bonne minutes.
Le docteur aida Jean Yves, souleva Nadine pour sortir sa queue du ventre de la fillette, puis il retira les menottes, lui enleva son soutien gorges, ses seins �taient tr�s rouges, irrit�es, il la prit dans ses bras, se dirigea rapidement vers la salle de bain. La petite �tait toujours dans un �tat comateux, elle d�lirait�
Il la posa d�licatement dans la baignoire, mit le flexible de la douche dans l'�vier, ouvrit les robinets, r�gla la temp�rature de l'eau, remit le flexible dans la baignoire et commen�a � doucher tr�s progressivement la fillette en commen�ant par les jambes�
Nadine se r�veilla un peu, cela devait lui faire du bien de sentir l'eau rafra�chir toutes les parties de son corps endolories par la harissa�
Il la rin�a ainsi pendant quelques minutes. La fillette maintenant dormait paisiblement. Il la ramena sur le lit, d�cida de la laisser se reposer�
Jean Yves et le docteur se lev�rent, s'habill�rent, d�jeun�rent ensemble�
Ils �taient visiblement sur la m�me longueur d'onde, tous les deux �taient pr�ts � sacrifier beaucoup pour avoir d'autre moments comme ceux qu'ils avaient v�cus. Le docteur commen�a � lui parler d'un projet qu'il avait depuis tr�s longtemps�
�La rencontre d'Audrey � la plage
Jean Yves l'�couta attentivement� Il lui parla d'une tr�s jeune fille, environ 9 � 10 ans. Il l'avait remarqu� un jour en allant d�jeuner au restaurant que son p�re tenait pr�s de la plage. Elle �tait vraiment tr�s bien faite, bien proportionn�e, comme ils les aimaient� Tr�s fine de visage et de corps, son bassin, ses fesses �taient d�j� d�velopp�es, faisant penser � une petite femme.
L'aper�u qu'il en avait eu dans son jean moulant l'avait laiss� r�veur. Son visage �tait gracile mais emprunt d'une grande tristesse, elle �tait malheureuse c'�tait sur. Il avait vu comment son p�re lui parlait m�chamment.
Un jour en discutant un peu devant un verre, l'homme qui buvait �norm�ment lui avait confi� que la petite n'avait plus de m�re, il lui avait fait comprendre qu'elle le g�nait plut�t dans son travail. La gamine �tait plut�t livr�e � elle m�me�
Le docteur parla longtemps� De Nadine aussi, comment il l'avait achet� � sa m�re pour une somme importante. La petite ignorait tout de la transaction, il lui expliqua la com�die qu'ils avaient jou� ensemble pour trouver l'excuse de la laisser chez lui. Nadine �tait � lui maintenant, officieusement bien sur, mais il avait fait signer des papiers � sa m�re, si elle n'honorait pas sa parole, elle pourrait avoir des probl�mes juridiques tr�s graves. Il avait autoris� sa m�re � lui t�l�phoner de temps en temps, c'�tait tout. Elle reverrait sa fille bien plus tard, quand elle serait plus grande. Sa m�re par contre �tait au courant de l'�ducation propos� par le docteur, elle �tait d'accord�
Mais pour l'instant ce n'�tait pas le propos, la petite de la plage qui l'int�ressait pour ses exp�riences se nommait Audrey�
Il en vint au fait, lui parla pour la premi�re fois de kidnapping�
Il fut surpris par le manque de r�action de Jean Yves. Aucun mot ne sortit de sa bouche pour le contredire, il eut m�me un rictus de satisfaction sur son visage.
Le docteur lui demanda si il �tait d'accord pour lui donner un coup de main�
Jean Yves regarda le docteur dans les yeux, lui fit un signe de t�te, rajouta :
�" C'est d'accord, mais il faut tr�s bien pr�parer notre coup�". Jean Yves sentait que sa vie venait de basculer, il n'y pouvait rien, une force irr�sistible l'attirait
vers les occupations au combien douteuses du docteur, mais il suivrait �
La Gamine se r�veilla vers midi, on ne peut vraiment pas dire qu'elle �tait en forme. Elle avait chaud et mal partout. Le docteur lui pr�para une potion pour la requinquer. Elle se souvenait vaguement avoir fait l'amour avec les deux hommes mais ses souvenirs �taient tr�s flous. Elle s'habilla difficilement, il lui fallut pr�s d'une heure pour retrouver enfin ses facult�s.
Tous les trois all�rent dans le salon pour discuter un peu. Le docteur leur proposa d'aller d�jeuner au restaurant de la plage, tout le restant de l'apr�s-midi ils iraient se baigner ou jouer sur le sable.
A cette �ventualit� Nadine alla mieux tout de suite, elle se r�jouit de passer la journ�e � la plage. Ils prirent le n�cessaire pour se baigner, si il manquait quelque chose il l'ach�terait sur place.
On �tait au mois de juillet, le temps �tait magnifique, tous les commerces qui s'alignaient en bord de plage �taient bond�s de touriste. Apr�s avoir gar� la voiture avec difficult�s dans une petite ruelle, ils se dirig�rent vers la rue principale, s'arr�t�rent devant le bar restaurant " La rotonde ".
C'est l� fit remarquer le docteur � Jean Yves�
Ils s'assirent � la terrasse, attendirent� Le gar�on vint leur demander ce qu'ils d�siraient. Ils choisirent de manger � la carte, command�rent de suite.
Le patron buvait en servant au bar une rang�e de consommateurs qui devaient �tre des habitu�s de l'endroit. Le docteur remarqua une fillette assise seule � la premi�re table juste � c�t� des portes donnant aux cuisines
Elle finissait de d�jeuner. C'�tait Audrey, elle �tait magnifique, rayonnante de gracilit�. Le gar�on revint avec les plats, ils commenc�rent � d�jeuner.
Les deux hommes ne pouvait pas s'arr�ter de lorgner le plus discr�tement possible la gamine assise. Nadine s'en aper�ut, leur dit :
" vous voulez que je fasse connaissance avec elle et que je vous la pr�sente ? ".
Ils furent suffoqu�s par le culot de la gamine, mais l'id�e n'�tait pas idiote� D'accord lui dit le docteur, si tu veux essayer de jouer avec elle apr�s manger c'est O.K �
Ce fut Audrey qui finit de d�jeuner la premi�re, elle d�barrassa sa table elle m�me, commen�a � se promener dans les all�es du restaurant. De temps en temps elle se mettait aussi sur le pas de la porte pour regarder la plage.
A un moment Audrey passa juste � c�t� d'eux, Nadine en profita pour lui dire :
" Salut je m'appelle Nadine et toi c'est comment ? ".
Audrey devait �tre contente qu'une fille un peu plus grande qu'elle lui parle, peut �tre une futur copine� Moi c'est Audrey lui r�pondit elle.
Nadine entretint la conversation, lui disant qu'on allait se baigner � la mer.
Elle r�pondit qu'elle y allait tous les apr�s-midi. Nadine r�torqua que peut �tre ils se verraient � la plage, ou mieux qu'ils pourraient y aller ensemble.
Le visage d'Audrey se mit � rayonner, elle lui dit qu'il fallait qu'elle en parle � son p�re, elle partit illico presto demander � son charmant p�re la permission�
La gamine revint cinq minutes apr�s.
J'ai demand� � papa il verra �a tout � l'heure.
Pendant tout le restant du repas Audrey et Nadine firent connaissance dans la bonne humeur. Ils n'eurent pas de nouvelle du papa avant la fin du repas, l'homme vint leur amener l'addition, leur parla : " Je vous reconnais, on a discut� l'autre fois, vous �tes docteur�".
C'est exacte, voici ma fille et un ami, nous sommes en vacances � l'h�tel. Je suis docteur � Paris, Docteur Landier g�n�raliste. Naturellement il �prouva un malin plaisir � ne pas dire la v�rit�, l'homme ne devait pas conna�tre son nom, surtout ne pas savoir qu'il �tait docteur dans un village proche � 50 kilom�tres d'ici.
Ma fille m'a parl�, si vous voulez l'emmener avec vous � la plage c'est d'accord, enfin si vous voulez bien.
Bien sur que nous sommes d'accord, les deux enfants on l'air de tr�s bien s'entendre�C'est le principale �
Ils discut�rent ensemble pendant un bon moment, puis Audrey alla mettre son maillot de bain, prit le n�cessaire. Ils se lev�rent, prirent cong�s du patron, affirmant qu'ils prendraient soin de la gamine, la ram�nerait vers 19 heures.
Ils achet�rent le mat�riel de plage qui leur manquait, les petites craqu�rent pour un petit bateau pneumatique qui fut rapidement emmen�s par les deux enfants. Audrey et Nadine marchaient devant eux en parlant.
Ils contemplait le corps de chaque gamine, elles �taient magnifiques.
Nadine �tait un peu plus grande qu'Audrey, elle avait la m�me gracilit�, le galbe de leur chute de reins �tait parfait, leurs petites fesses �taient d�sirables � souhaits. Ils install�rent leur serviette sur le sable juste au bord de l'eau, c'est la qu'il y avait le moins de monde. Le docteur sortit d'un sac un pot de cr�me solaire �cran total, demanda � Audrey de s'allonger sur sa serviette, il en prit une tr�s grosse noisette dans sa main, commen�a � enduire doucement le dos de la fillette.
Jean Yves prit le pot de cr�me solaire, fit pareille avec Nadine. Les deux petites filles portaient un maillot de bain deux pi�ces, aucune partie de leurs corps �tait vraiment cach�e, si ce n'est les deux petits t�tons, le bas de leur ventre�
Le docteur savourait le massage, il s'appliquait longuement, faisant rentrer ses doigts dans la peau ferme de la gamine. Il s'aventurait jusque en haut des cuisses � la limite des fesses, touchaient les coutures du maillot de bain. Pour le bas du dos il mit un peu trop de cr�me � la limite de l'�lastique de la culotte, trouva cette excuse pour �taler l'exc�s de produit sous le tissus. Audrey se laissait faire sans broncher, elle ne trouva rien � redire quand il lui demanda de se retourner pour faire l'autre c�t�.
Il massa ses cuisses, remonta ensuite sur son ventre, s'attarda sur celui-ci, il �tait ferme et plat, � chaque respiration de la fillette la ceinture de son maillot se creusait, il pouvait entrevoir un peu de son intimit�. La gamine fut recouverte de produit de la t�te aux pieds, � sa fa�on de se lever � regret, sans se presser, il aurait pari� que la fillette avait aimer �a, qu'elle aurait envie de recommencer� Les gamines en rigolant se dirig�rent aussit�t vers la mer avec leur bateau en plastique, commenc�rent� � jouer dans l'eau.
Le docteur parla � Jean Yves, lui fit remarquer qu'ils auraient pu kidnapper la fillette aujourd'hui sans probl�me, mais bien sur ils auraient �t� recherch�s, leurs signalements auraient �t� donn�s � toutes les polices.
Le but de la man�uvre �tant que personne ne sache qui avait kidnapp� la gamine, ou m�me mieux que personne ne sache si c'�tait une fugue ou un accident qui avait provoqu� la disparition.�
Ils d�cid�rent de rejoindre les fillettes dans l'eau, commenc�rent � s'amuser avec le bateau. Pendant que Jean Yves jouait avec Audrey, le docteur sous pr�texte d'apprendre � nager � Nadine lui prit la taille avec ses mains, la mit en position horizontale pendant qu'il lui demandait de faire des mouvements de brasse.
Tr�s rapidement la main gauche du docteur se pla�a sous le ventre de Nadine, il lui demanda tout bas de se laisser faire� La gamine ne broncha pas lorsqu'elle sentit sa main rentrer � l'int�rieur du maillot et ses doigts masser sa petite chatte.
Il lui rentra un doigt dans son vagin, un autre dans son anus. La petite �tait empal�e, il la maintenait en position horizontale avec sa main, juste en la faisant avancer avec ses deux doigts� La fillette continuait pour la convenance � faire des mouvements de nage avec ses bras, mais dans son ventre une r�action bizarre, la p�n�tration commen�ait � lui faire de l'effet, son vagin se lubrifiait de plus en plus. Elle commen�ait � donner des signes de jouissance �vident.
Il d�cida de l'emmener un peu � l'�cart, un peu plus loin derri�re les rochers.
Ils n'�taient pas enti�rement cach�s, mais assez �loign� de la baignade g�n�rale, de loin personne ne pourrait voir ce qu'il faisait.
Il avait encore pied de justesse, redressant Nadine, il la fit s'appuyer sur son ventre tout en la maintenant avec ses mains par les hanches. De sa main droite il baissa son slip de bain, fit glisser aussi la culotte de la gamine. La fillette pour ne pas couler enroula ses jambes autour de sa taille, mit ses bras autour de son cou. Elle ressentit la bitte appuyer sur son minou, aussit�t apr�s elle eut l'impression que le bas de son ventre �tait �cart� et fouill� par un objet dur et chaud. C'�tait tr�s bon, faisant un contraste �tonnant avec l'eau froide de la mer, cela lui faisait du bien. Elle savait que la bitte du docteur �tait rentr�e dans son minou, cela ne faisait pas mal contrairement � ce que ses copines lui avaient dit � l'�cole.
Elle avait l'impression qu'elle pourrait rester toujours comme �a, dans la m�me position d'attente. L'int�rieur de son ventre devenait tr�s chaud, elle ressentait la bitte aller et venir dans son ventre, la chauffant de plus en plus. Il la besogna pendant un long moment. Elle mordit ses l�vres tellement c'�tait bon, elle ne put se retenir de g�mir tout en parlant au docteur : " Oh docteur c'est bon, continuer, oh�C'est bon�Encore�Encore�". Tout � coup elle se crispa, griffa le docteur avec ses ongles, tout son corps fut secou�e de d�charge�
Le docteur ressentit dans le ventre de la fillette des contractions sur sa verge au rythme des d�charges de la petite, puis comme une inondation dans son bas ventre, un liquide c'�tait mis � couler � l'int�rieur du vagin de Nadine. Il ne put r�sister longtemps, � son tour il inonda de sperme le bas ventre de la gamine.
La premi�re gicl�e surprit la petite, elle �mit un petit cri. Les autres furent attendus une par une par Nadine qui se contenta de fermer les yeux, en pronon�ant tout haut : " Oh comme c'est bon, encore�".
Elle bougeait ses jambes, contractant son bas ventre � chaque d�charge pour faire rentrer un peu mieux le liquide chaud qui lui faisait tant de bien.
Elle gesticula, se tordit sur lui bien apr�s que le derni�re goutte de sperme fut sortie�
Ils rest�rent coll�s l'un � l'autre pendant un long moment.
Lorsqu'elle elle rouvrit ses paupi�res, il s'aper�ut qu'elle avait de tout petits yeux p�tillants, sur son visage illumin� des larmes coulaient, elle souriait�
Il lui remit sa culotte tout en caressant sa chatte, lui nettoya le minou, frottant, �cartant son vagin avec deux doigts, l'eau de mer p�n�tra � l'int�rieur de son conduit vaginal. Il continua son lavage, rentrant un doigt dans son vagin, le fit aller et venir�
Il lui fit faire la planche, la soutenant d'une main sous la nuque, l'autre maintenait ses petites fesses. Lentement ils se rapproch�rent de la plage.
Au bout de quelques minutes ils se retrouv�rent hors de l'eau assis sur les serviettes de plage, regardant au loin Jean Yves et Audrey jouer dans l'eau.
Il d�cida de parler un peu avec Nadine : Ma ch�rie, ce qu'on fait ensemble pas beaucoup de petites filles le font, pourtant tu vois c'est pas m�chant, bien sur toutes les petites filles ne sont pas pr�tes � faire l'amour, il ne faut rien forcer� Mais elle doivent bien commencer un jour ou l'autre, il vaut mieux que cela soit dans de bonnes conditions.
Toi Nadine, tu aimes bien faire l'amour, tu ne voudrais pas qu'on arr�te de t'apprendre � bien le faire non ?. La fillette fit un signe de t�te, elle se demandait ou il voulait en venir�
Je voudrais faire une exp�rience avec Audrey, il faudrait qu'elle vienne chez nous pendant un certain temps, tu m'aiderais � lui apprendre beaucoup de chose, j'ai besoin de ton aide, si tu es d'accord c'est toi qui fera le plus d'exp�riences avec elle, tu l'�duqueras, c'est toi qui sera charg� de t'occuper d'elle.
Nous avec Jean Yves on s'occupera toujours de toi, on continuera � s'amuser ensemble, des fois on s'amusera tous les quatre ensemble. Quelques fois tu t'amuseras toute seule avec Audrey, dans tous les cas elle devra t'ob�ir au doigt et � l'�il.
Nadine se sentit un peu attir�e par cette perspective, elle ne comprenait pas tout, mais elle trouvait au fond d'elle m�me que ca pouvait �tre marrant.
Il continua; Audrey est malheureuse, tu le sais non ?.
Nadine lui avoua ce qu'Audrey lui avait dit, son p�re la tapait tous les soirs, lui faisait faire des choses bizarres, quant elle �tait couch�e, il la rejoignait dans son lit, la touchait�
C'est bien ce que je craignais lui dit le docteur� Nadine es tu d'accord pour nous aider � la faire venir chez nous et t'occuper d'elle ?.
La gamine dit oui tout de suite� Il rajouta, surtout il ne faut rien lui dire du tout, on va lui faire croire que l'on rentre ce soir � paris, que l'on ne pourra pas revenir avant une semaine. le succ�s de l'op�ration repose sur ton silence, tu fais exactement comme si je ne t'avais rien dit.
La gamine secoua la t�te affirmativement comme elle adorait le faire.
Jean Yves et Audrey revinrent les rejoindre peu apr�s sur les serviettes, la bonne humeur r�gna une bonne partie de l'apr�s-midi, ils all�rent se baigner plusieurs fois ensemble, jou�rent avec le petit bateau, achet�rent des glaces � un marchand ambulant� Audrey et Nadine s'entendaient tr�s bien et devenaient de bonnes copines.
����� �� Les deux pipes de Nadine
Ils raccompagn�rent Audrey vers dix huit heures trente, le docteur discuta un peu avec son p�re, l'informant de leur d�part ce soir pour Paris.
Il rentrait pour aller chercher sa femme, ils allaient prendre quelques jours de vacances ensemble avec leur fille.
Il lui confirma que Nadine et sa fille s'entendaient tr�s bien. Si son travail le permettait ils reviendraient pour le 14 Juillet. Nadine et Audrey se retrouveraient alors, elles pourraient peut-�tre � nouveau jouer ensemble�
Le p�re acquies�a, salua le groupe, retourna boire avec les habitu�s du comptoir, il �tait d�j� pas mal �m�ch�
Ils prirent cong�s, s'aper�urent de la d�tresse de la petite Audrey, elle aurait bien voulu que Nadine reviennent demain pour jouer avec elle.
Jean Yves conduit la voiture pour rentrer, le docteur et Nadine sur la banquette arri�re, la t�te de la gamine reposant sur son �paule. Ils gard�rent le silence pendant tout le trajet, au fond d'eux m�me ils se doutaient bien que quelque chose d'irr�m�diable allait arriver�
La soir�e passa rapidement, ils d�n�rent vers vingt heures, regard�rent un peu la t�l�vision, se couch�rent vers vingt deux heures, bien sur se retrouv�rent tous dans le m�me lit. Nadine �tait au milieu d'eux, ils l'embrass�rent sur la bouche,� fatigu�s, ils s'endormirent rapidement tous les trois.
Ils se r�veill�rent � peu pr�s en m�me temps, vers huit heures. Nadine mit un peu plus de temps � �merger. Ils se blottirent contre elle en la caressant doucement, la fillette sortie peu � peu de son sommeil. Elle se laissa faire, se d�tendit un maximum. Les deux hommes avaient gard�s leur slip pour la nuit,� Nadine avait toujours sa petite nuisette rose sans rien dessous.
Le docteur rabattit l'unique drap au pied du lit, la fillette jeta respectivement un coup d'�il sur chaque slip. Voyant cela le docteur lui dit qu'elle pouvait toucher. La petite approcha chacune de ses mains sur les slips, commen�a � palper et caresser. Elle n'osait pas mettre ses mains dans les slips, se contentant de palper les grosses bosses qui d�formaient le tissu. Elle commen�ait � �tre un peu excit� par les caresses que les deux hommes lui prodiguaient.
Le docteur demanda � la gamine d'approcher sa bouche du slip de Jean Yves, de lui sortir la bitte, puis de lui faire une pipe. La fillette connaissait d�j� l'expression " faire une pipe ", mais elle h�sita un peu avant de s'ex�cuter, puis elle bougea son corps, se retrouva la bouche juste au dessus du slip de Jean Yves. Ses doigts �cart�rent l'�lastique, la queue sortie toute droite. Elle h�sita encore un peu. Le docteur lui donna l'ordre de sucer, sinon elle allait avoir une fess�e� La petite fille ouvrit sa bouche, enveloppa le bout de la bitte. Quelques secondes apr�s la gamine pipait avec application�
Pendant ce temps le docteur avait un acc�s direct au petite fesse de Nadine, avec sa main il lui caressa son minou et son anus. Le man�ge dura un certain temps jusqu'� ce que le docteur dise � Nadine : " Et moi Nadine tu m'oublies un peu, fais moi pareille�". La fillette interloqu� s'arr�ta de piper Jean Yves, tourna sa t�te vers lui, avec son doigt il lui montra la grosse bosse dans son slip.
Elle comprit imm�diatement, changea de position, sortit la queue du docteur, pipa directement celui-ci sans aucune h�sitation. Il fit comprendre � Jean Yves qu'il devait se rapprocher pour permettre � la Petite de sucer l'une ou l'autre bitte � volont� Il se rapprocha d'une fa�on telle que les deux bittes l'une � c�t� de l'autre puissent se toucher. Nadine continua sa fellation jusqu'au moment ou le docteur lui dit de changer de bitte�
Elle avait saisi le jeu, "avala" � nouveau la bitte de Jean Yves, continua sa pipe sur lui. Elle avait compris d'elle m�me, toutes les deux ou trois minutes elle changeait de queue. La fillette savait d�j� qu'en pratiquant ce petit jeux elle n'allait pas tarder � se faire remplir la bouche de liquide ti�de, le docteur ne permettrait pas qu'il en reste, elle le savait, il faudrait qu'elle avale tout, comme elle l'avait d�j� fait�
Ce fut Jean Yves qui lui remplit sa bouche en premier� Au bruit de la jutte dans la bouche de la fillette, les gicl�es furent longues et onctueuses.
Ils regardaient avec un plaisir indescriptible la petite fille avaler. A chaque d�glutition, en �coutant le bruit que sa petite gorge faisait ils prenaient encore plus de plaisir. Elle absorbait tout, presque rien ne sortait de sa bouche, elle avait� les l�vres recouvertes de sperme�
Elle continua � vider ses couilles compl�tement, le pompa en� aspirant au maximum comme le docteur lui avait montr�
Voyant qu'elle ne pouvait plus rien tirer, le docteur ordonna � Nadine de faire sa bitte. Elle passa � nouveau � l'autre queue, il ressentit dans la bouche de la fillette le reste de la jutte de Jean Yves qui impr�gnait sa verge.
Elle pompait tr�s bien, ses l�vres enveloppaient tr�s bien son sexe, le mouvement de va et vient qu'elle faisait pour faire coulisser l'ensemble dans sa bouche �tait juste ce qu'il fallait pour arriver � une �jaculation rapide.
Il ressentit qu'il n'allait pas pouvoir se retenir longtemps, il dit � Nadine :
" Au lieu d'avaler, tu vas garder le tout dans ta bouche, tu vas tourner la jutte avec ta langue, la passer partout dedans, mais surtout tu n'avales pas avant que je te le dise�".
Tu as bien compris Nadine ?.
La gamine avait saisit, elle confirma pas un hochement de t�te.
La jutte ne tarda pas � sortir, ils virent la fillette recevoir le sperme, ils entendait le liquide dans la bouche de la petite, aucune d�glutition ne se faisait, elle bloquait tout dans sa bouche. Elle re�ut sept � huit gicl�es bien fournis, pas mal de sperme ressortait de sa bouche, coulant sur le bas de son visage, sur ses joues. Le docteur lui dit de faire tourner la jutte dans sa bouche avec sa langue, la gamine s'ex�cuta, l'on entendit le bruit du liquide dans sa bouche.
Il attendit pour qu'elle soit bien impr�gn�e de la saveur du sperme, puis il lui demanda de m�langer sa salive � la jutte, tout en faisant bouger ses m�choires.
Il lui dit :" Je veux qu'on entende le bruit de la jutte dans ta bouche encore plus fort". Il rajouta avec autorit� : " Et que cela dure longtemps ".
Elle s'ex�cuta�
Pendant quelques minutes, ils appr�ci�rent le spectacle, le bruit �tait magique, irr�el, un raffinement pour leurs oreilles�
Il lui demanda d'arr�ter un instant, d'ouvrir sa bouche en grand pour qu'ils puissent regarder dedans, il rajouta : " Attention, sans en faire ressortir ".
Elle ouvrit en grand, inclina l�g�rement sa t�te en arri�re pour que le sperme ne ressorte pas�
Ils s'approch�rent, contempl�rent la bouche pleine de liquide blanc, onctueux, m�lang�e � la salive, jusqu'au fond de la gorge, elle en avait partout� Ses dents, sa langue en �tait recouvert�
Il lui ordonna de faire tourner sa langue doucement, ce qu'elle fit aussit�t�
La cr�me onctueuse se mit en mouvement, des fils de sperme tr�s fins se form�rent, s'accrochant aux dents�
Ils contempl�rent encore quelques instant, lui donn�rent l'autorisation d'avaler. Nadine se mit � d�glutire, ingurgita le sperme, � chaque fois on entendait la jutte descendre dans sa gorge.
Elle avala le tout sans probl�me, r�introduit la queue dans sa bouche, pompant, aspirant la bitte pour la nettoyer�
Quand elle eut fini, elle se d�gagea de la queue, continua � essuyer ses l�vres avec sa langue, avala de nouveau le peu qu'elle avait trouv�
Jean Yves allongea Nadine sur le dos, il entreprit de lui sucer la chatte, lui �carta les cuisses au maximum, commen�a son travail de l�che�
Il rentrait sa langue profond�ment, La fillette adorait, elle le disait tout haut�
De son c�t� le docteur remonta compl�tement la nuisette, remarqua tout de suite que ses seins avaient grossis l�g�rement, les hormones inject�s agissaient de plus en plus. Il pratiqua une nouvelle "traite" sur ses mamelles pendant quelques minutes, puis se mit � lui sucer les t�tons, ils les mordaient doucement� la gamine commen�ait � se tordre de plaisir. Ils l'excit�rent tellement qu'en quelques minutes la gamine eut un orgasme d'une extr�me violence.
Jean Yves put appr�cier, l�cha tout le liquide qui sortit du bas ventre de la fillette. Ils la laiss�rent se reposer sans rien dire pendant un bon quart d'heure�
Ce fut le docteur qui rompit le silence en premier : " Bon j'ai faim moi, si on allait d�jeuner �? ".La matin�e passa, Nadine alla jouer dans le jardin pendant que Le docteur et Jean Yves mettait leur plan au point. L'enl�vement d'Audrey serait pour demain. Le docteur pr�voyait de la kidnapper � l'aide de la camionnette qu'il poss�dait. Elle avait servi pendant des ann�es � transporter les mat�riaux utilis�s pour r�nover son pavillon. Ils auraient aussi besoin de la voiture. Il fallait changer les plaques min�ralogique des deux v�hicules, en mettre de fausses, pour �a, deux solutions, ou les piquer, ou bien� aller dans une casse de voiture en r�cup�rer sans se faire remarquer�
Il s'occuperait de ce d�tail tout seul dans l'apr�s-midi. Jean Yves devait retourner � son h�tel prendre ses bagages�
Probl�mes Nadine allait rester seule au pavillon toute l'apr�s-midi, il �tait souhaitable que la gamine ne fasse pas de b�tises en s'en allant par exemple, en les d�non�ant aux flics ou � quelqu'un� Elle �tait tellement int�gr�e maintenant avec eux que cela l'aurait �tonn�, de plus il la faisait tellement jouir�
Ils d�jeun�rent rapidement. Le docteur confia la voiture � Jean Yves � quatorze heures, il en avait pour toute l'apr�s-midi selon lui. Le docteur se retrouva seule avec Nadine, lui demanda si cela ne la d�rangeait pas de rester seule � les attendre. Nadine R�torqua aussit�t qu'elle pr�f�rait aller avec lui, selon elle, la fillette pourrait peut �tre lui rendre service�
Il conduit la camionnette avec prudence, il n'avait pas l'habitude de ce long "tube" dont les portes s'ouvraient sur le c�t�, en faisant un vacarme m�tallique assourdissant. Nadine �tait � c�t� de lui sur l'unique longue banquette en cuir du devant. Elle s'�tait habill�e d'une minijupe et de son �ternel tee-shirt.
Il faisait tr�s chaud, le litre d'eau plate en plastique plac� un peu en �quilibre sur le tableau de bord se vidait au fur et � mesure des kilom�tres. Lorsque le docteur voyait Nadine porter � sa bouche le goulot de la bouteille, il ne pensait plus qu'� une sp�cialit� que lui faisait la petite�
Elle s'en aper�ut d'ailleurs, se rapprocha encore plus de lui, fit toucher sa cuisse sur la sienne. Au bout de quelques instant il lui massait doucement le haut de sa jambe avec sa main droite� Elle remarqua la bosse sur le short, sans fausse pudeur elle mit sa petite main sur la pro�minence, commen�a � palper.
La fillette �tait excit�e, elle comprit rapidement ce qu'elle pouvait lui faire pendant qu'il conduisait, se mit � genoux sur le tapis de sol, dirigea son visage au dessus du short du docteur, puis de ses doigts agiles elle ouvrit sa braguette, sortit d�licatement sa verge qu'elle engouffra aussit�t dans la bouche.
Elle le pipa rapidement, il fut oblig� de la calmer, lui disant que si elle continuait � ce rythme il juterait tout de suite, il avait envie que cela dure longtemps�
Il lui demanda de calmer son ardeur, de lui l�cher la bitte � grands coups de langue, la petite s'ex�cuta.
Le docteur d�grafa compl�tement son short, baissa son slip sous ses couilles, la fillette pouvait lui travailler la queue dans les meilleurs conditions.
Il lui demanda aussi de masser ses testicules comme il lui avait montr�, en les s�parant et en les faisant rouler une par une�
La petite fille adorait ce jeux, en le pratiquant elle regardait le visage du docteur, elle aimait voire les mimiques qu'il faisait, des fois il criait de bonheur se tordant de plaisir. Cela ne manqua pas d'arriver rapidement, la gamine �tait presque fier d'arriver � ce r�sultat, c'est elle qui commandait�
Le docteur de sa main droite lui caressait les seins, la gamine tordait ses fesses, �cartant ses cuisses au maximum, elle avait envie de se faire prendre par le cul ou par la chatte c'�tait sur. Il arr�ta le v�hicule � l'entr�e d'un bois dans un petit sentier de terre. Il releva Nadine, lui dit d'aller � l'int�rieur de la camionnette.
En pr�vision du rapt il avait install� ce matin deux fauteuils, plus un grand matelas par terre. Le docteur retira son short, s'assit, demanda � Nadine de retirer sa petite culotte, il la tira vers lui, l'assit � califourchon, la petite fille empala sa chatte imm�diatement sur lui, elle �tait tr�s lubrifi�e, elle n'attendait que �a�
Il la rentra compl�tement sur toute sa longueur, il entendit juste un petit gloussement de bonheur. Il lui retira son tee-shirt, l'embrassa longuement sur la bouche, la fouilla avec sa langue, tout en caressant sa petite poitrine et en lui tirant ses t�tons�
Elle adorait, ses yeux p�tillaient de bonheur. Elle l'appuyait jusqu'aux couilles. Ils rest�rent sans bouger un petit moment, elle �tait combl�e et heureuse�
Ce ne fut pas suffisant, elle avait besoin que la bitte coulisse dans son bas ventre. Elle mit ses bras autour de son cou, tira de toute ses forces pour que la queue ressorte un peu. Elle arriva � se soulever d'une dizaine de centim�tres, puis se laissa retomber d'un seul coup, la jouissance pour les deux fut extr�me. Elle attendit � nouveau quelques instants pour recommencer son man�ge, mais ce coup ci elle ne marqua pas de pose, continua � faire coulisser la verge en va et vient sans s'arr�ter, elle s'aidait de ses bras et du bout de ses pieds qui touchaient � peine le planch� m�tallique. Elle acc�l�ra le mouvement, la petite voulait sa dose de jutte. La coquine g�missait de plus en plus fort, surtout � chaque pincement du bout de ses t�tons.
Il pensa � Jean Yves, si il avait �t� la, il aurait pu la prendre par derri�re en m�me temps, la fillette n'aurait rien dit� Il explosa dans son vagin, la petite salope cria au m�me moment tr�s fort, juste pour dire que le message liquide �tait bien arriv� � destination au fond de son ventre. Elle n'arr�ta pas de tirer sur son cou pour faire monter, puis descendre la bitte, elle en voulait encore, voulant tout vider, qu'il ne reste plus rien dans ses couilles�
Il ne d�sirait absolument pas qu'elle commence � prendre le dessus sur lui, il saisit la gamine par les hanches, la souleva pour que la pinne ressorte de son trou. Il la remit par terre, sans rien lui demander l'obligea � se mettre � quatre pattes les cuisses �cart�es, se pla�a � genoux derri�re elle. Il bandait encore tr�s fort, sa bitte appuya aussit�t sur la corolle de son anus, il ressentit la petite fleur s'ouvrir, sa tige encore pleine de sperme la p�n�tra aussit�t.
Au cris per�ant qu'elle �mit elle dut avoir mal, il continua sa p�n�tration jusqu'� sentir ses couilles battre sur elle� Elle �tait encul�e � fond, il l'avait soumise comme il voulait. Avec sa main gauche il fouilla sa chatte, ses doigts s'enduirent de sperme, il ramena sa main sur sa bouche, lui demanda de l�cher ses doigts.
La petite nettoya sa main sans rousp�ter. Elle avait compris que tout irait bien tant qu'elle ferait tout ce qu'il disait, d'ailleurs elle aimait �tre soumise, cela la faisait agir sans trop r�fl�chir, tout ce qu'il lui faisait c'�tait pour apprendre, alors� En plus elle adorait, elle lui faisait confiance�
Ce n'�tait pas fini, il ressortit sa bitte de son cul, s'assit � nouveau sur le si�ge, lui demanda de le sucer. La petite fille se retourna, happa la verge encore tr�s dure et commen�a son travail de nettoyage, elle l�cha comme il lui avait appris�
Au bout de quelques minutes il lui demanda de pomper, elle aspira aussi fort qu'elle le put, fit ressortir quelques gouttes de spermes qu'elle avala aussit�t.
Il d�banda rapidement, compl�tement, il voulut faire une petite g�terie � la fillette, lui demanda de s'allonger sur le matelas, releva ses jambes en l'air, intimant l'ordre de les laisser dans cette position.
Il mit sa langue sur son clitoris, titilla pendant quelques minutes, elle �tait encore chaude et ne demandait qu'� repartir, ce qui fut fait quelques instants apr�s, elle jouit rapidement� Il savoura le parfum du liquide qui coulait de la petite fille m�lang�e � son sperme, goutta l'ensemble, avala plusieurs fois le m�lange, c'�tait sal�, �pic� en m�me temps, un go�t inimitable, le go�t de la virginit�
La casse de voiture et le
ferrailleur I
Ils �taient heureux tous les deux, s'embrass�rent longuement sur la bouche pour se remercier mutuellement de s'�tre donn� du plaisir�
Ils se relev�rent, se rhabill�rent. Il interdit � Nadine de remettre sa petite culotte, elle s'assit cul nu sur le cuir de la banquette � c�t� de lui, il d�marra aussit�t.
Quelques minutes apr�s ils arriv�rent � la casse de voiture, l'homme qui les re�ut� le reconnut tout de suite, le docteur avait d�j� eu besoin de son d�potoir pour r�parer sa camionnette.
Le docteur lui expliqua qu'il cherchait des pi�ces pour lui et pour un ami� Comme d'habitude l'homme lui demanda de fouiller lui m�me. Il commen�a son travail � la� recherche d'une plaque min�ralogique, si possible d'une autre camionnette. Il ne mit pas longtemps pour trouver son bonheur, m�me mod�le que la sienne et aussi pourri�
La diff�rence �tant que celle-ci ne roulerait plus jamais, le moteur avait �t� retir�, l'arri�re �tait compl�tement caboss�. Il prit dans une valise sa perceuse autonome � batterie, retira les rivets, la premi�re plaque tomba. Il fit pareille avec la deuxi�me, en moins de trois minutes les plaques min�ralogique se retrouv�rent cach�es sous le tapis de sol. Il trouva les deux plaques pour l'autre voiture un peu plus loin, le v�hicule rendu inutilisable par un grave accident �tait de la m�me �poque que sa voiture, il pratiqua la m�me m�thode utilis�e quelques instants plus t�t, retira les deux plaques min�ralogique.
L'homme de la casse n'avait pas pu entendre la mini-perceuse faire son travail, il �tait trop loin, occuper � d�sosser une vieille bagnole.
Il continua un petit peu sa recherche pour ne pas �veiller les soup�ons, fit mine d'avoir trouver ce qu'il cherchait, rentra dans la camionnette deux phares de voiture plus une vieille galerie. Il retourna voir l'homme, celui-ci regarda � l'int�rieur du fourgon, d'un air professionnel lui dit : " cent francs pour le tout ca va ? ".
le docteur ramena la somme � quatre vingt francs, le march� fut conclu.
Ils se dirig�rent avec la fillette dans la petite cabane, l'homme �tait oblig� de lui faire un re�u. Nadine et le docteur s'assirent sur les deux chaises devant le petit bureau, l'homme r�digea sa facture, expliquant qu'il �tait oblig� � cause du fisc. Il venait de d�visager la gamine, selon le docteur il la trouvait assez � son go�t. Encore un qui " n'aimait absolument pas les fillettes, trouvant m�me �a d�gueulasse d'en toucher une ".
L'homme continua � discuter avec le docteur, vint le moment ou le deuxi�me regard s'attarda bien innocemment sur la minijupe de la gamine.
Il n'en crut pas ses yeux, la fillette ne portait pas de petite culotte�
Le gars ne put s'emp�cher de rougir�
Pour dissimuler sa g�ne, il continua � d�blat�rer des futilit�s au docteur.
Nadine avait envi de se marrer, bien sur elle �carta un peu plus ses jambes��
Le type semblait beaucoup moins press�, cherchant � continuer la discussion sur d'autres sujets : " Elle est mignonne votre petite fille, elle a quelle �ge ? ".
La r�ponse fut imm�diate : " Si elle vous int�resse faut me le dire, moi je suis d'accord, elle aussi �".
Le gars fr�la la crise cardiaque, mais en quelques secondes il se ressaisit, murmurant, mais assez fort pour �tre entendu : " c'est degueu, mais j'aime bien ". Ce qui sous-entendait: " je un suis salaud, mais d'accord, je veux bien la baiser ".�
Le docteur lui dit : " Je suis d'accord on va ou ? ".
L'homme le visage tout rouge se leva, leur dit de le suivre.
Il march�rent parmi les carcasses de voitures. Il s'arr�ta devant une grande caravane pas trop d�labr�e, les invita � rentrer, ferma la porte � clefs derri�re eux. Il montra le grand lit au docteur�
D'accord fit celui-ci� Nadine avait tout compris, elle se rendit compte qu'elle allait y passer une seconde fois, ils �taient deux � nouveaux�
Il parla � Nadine tout haut : " Nadine, tu vas faire tout ce que le monsieur te dit, tu as compris ? ". Elle r�pondit un " oui " presque inaudible. Le docteur ajouta: "Bon tu t'allonges sur le lit et tu attends ".
Pour d�tendre l'homme, le docteur commen�a � se d�shabiller, retira son short, voyant cela l'homme en fit autant, se retrouva en slip. Il avait environ cinquante ans, paraissait� propre, du moins son slip l'�tait.
Les deux hommes mont�rent sur le lit de chaque c�t� de la petite fille.
Le docteur rassura Nadine, lui parla � l'oreille : " N'ai pas peur ma puce, c'est une exp�rience fantastique pour toi, tu t'en souviendra toute ta vie, fais moi confiance ma petite ch�rie, tu te laisse faire, je m'occupe de tout ".
Il lui fit un baiser sur la bouche. L'homme commen�a � relever la minijupe de Nadine, aper�ut le beau spectacle impub�re, toucha les l�vres de son sexe, Nadine fr�m�t�
Il voulait s'occuper de sa chatte, le docteur s'occuperait du reste�
Le Papa mit sa queue � la hauteur de la bouche de sa fille, la gamine comprit�
Trois secondes apr�s, elle engouffra son sexe, commen�ant sa pipe�
L'homme vit que ce n'�tait pas du pipeau, il pouvait y aller�
Il leva en l'air les jambes de la petite fille, les �carta � fond.
D'une main il sortit sa bitte, la promena sur la fente de la fillette, appuya doucement pour l'ouvrir� le docteur �tait rassur� sa queue �tait tr�s moyenne, plus petite que la sienne, le bas ventre de Nadine pourrait la recevoir sans probl�me.
L'homme venait de s'apercevoir que la petite avait �t� remplie de jutte avant lui. Du sperme coulait encore de sa chatte, tombant sur le haut de ses cuisses.
Cela l'excita encore plus, il poussa sa queue dans le vagin de Nadine, la bitte rentra imm�diatement�
Le docteur l'aida � maintenir les jambes de Nadine en hauteur, l'homme pouvait la besogner � sa convenance� La fillette se laissait faire, comme � chaque fois ses yeux p�tillaient. De l'avis du docteur, elle �tait faite pour �tre bais�e�
Cela ne dura pas tr�s longtemps, les couilles de l'homme �taient pleines.
Il �jacula dans la petite moule, poussant de gros soupirs, soufflant tr�s fort.
Nadine �mit son petit cri, tout juste pour dire qu'elle avait re�u le message� L'homme se retira de Nadine, aussit�t elle voulut se lever et faire ce que le docteur lui avait appris c'est � dire le sucer� Il l'en dissuada aussit�t.
La petite ne comprit pas pourquoi, mais elle s'arr�ta net...
Ils sortirent de la caravane sans dire un mot, l'homme �tait tout penaud.
Le docteur le rassura, lui dit que personne ne le saurait. Que de son c�t�, si il ne voulait pas se retrouver en taule, il valait mieux qu'il la boucle� L'homme fit un signe de t�te affirmatif, puis sans un mot ils se dirig�rent vers la fourgonnette du docteur. Lorsqu'il d�marra l'homme leur fit un petit mouvement amical de la main, comme pour dire � bient�t�
Ils roul�rent sans rien dire pendant un bon moment. Le docteur rompit le silence en disant � Nadine : " Tu as �t� super ma puce, � partir de demain j'ai besoin de toi, on va s'occuper d'Audrey, tu as un grand r�le � jouer".
Tu es toujours d'accord Nadine ? : " Elle r�pondit oui aussit�t�".
Lorsqu'ils rentr�rent Jean Yves �tait d�j� la, dans le jardin en maillot de bain, torse nu, il prenait un bain de soleil sur les serviettes de plage. Le docteur lui demanda si tout allait bien.
Celui-ci le rassura aussit�t, il avait ramen� toutes ses affaires, je suis enti�rement disponible dit-il, il rajouta qu'aucun de ses amis ne savait ou il �tait parti�
Le docteur emmena Nadine prendre une douche, lui montra comment se laver le minou, en m�me temps comment laver le sexe de son partenaire masculin avant des rapports sexuels. Elle comprit tout �a � la perfection, d�cida de le faire pour sa vie enti�re.
Par acquis de conscience il emmena Nadine dans son cabinet, l'ausculta, glissa dans son vagin un suppositoire antiseptique.
L'homme devait �tre sain, mais il valait mieux �tre prudent.
Il donna cong� � Nadine, la laissa se dorer au soleil avec Jean Yves.
Pendant ce temps il s'occupa des plaques d'immatriculation des deux v�hicules.
Cela lui demanda une bonne demi-heure pour retirer les plaques, refixer les fausses avec des rivets, c'�tait magique, un coup de perceuse, on retirait les plaques, on remettait les autres, deux nouveaux rivets, et hop, ni vu ni connu�
Dans son cabinet, il prit tout le n�cessaire pour endormir Audrey, demain�
Par pr�voyance, il prit aussi bon nombre de produits qui pouvaient lui servir en cas de probl�me. Il remonta du garage, aper�ut Nadine jouer avec Jean Yves au ballon. Il pensa � leur insouciance, se dit que si tout allait bien demain � cette heure ils seraient quatre, une gamine pour chacun�
Ils d�n�rent vers vingt heures, puis comme d'habitude regard�rent un peu la t�l�vision. En fin de soir�e apr�s une ballade dans le jardin ils all�rent se coucher. A onze heure trente Nadine dormait d�j� d'un profond sommeil.
Tous deux n'arrivaient pas � s'endormir, ils �taient �nerv�s��
Le docteur proposa � Jean Yves d'aller boire quelque chose dans le salon, ils se lev�rent, prirent un verre ensemble assis sur le canap�. Ils �taient en slip, tous deux n'avaient qu'une id�e, faire l'amour� La main de Jean Yves se posa sur le slip du docteur. Celui-ci se leva, prit Jean Yves par la main, l'emmena dans la chambre d'amis. Le lit �tait d�j� fait, ils n'eurent qu'� se glisser sous le drap.
Le docteur se mit sur le ventre aussit�t, le message �tait claire, il avait envie de se faire enculer� Jean Yves caressa d�licatement le tissu au niveau des fesses, puis ils devint plus audacieux, baissa le slip sur ses cuisses.
Jean Yves lui demanda gentiment de se mettre � genoux, ce qu'il fit aussit�t.
Il fit glisser le slip du docteur, le retira. Ses fesses �taient offertes, il lui fit ouvrir les jambes au maximum, se pla�a derri�re lui, fit appuyer sa verge sur son anus. Il l'encula presque sans aucune r�sistance, son cul avait l'habitude de prendre des bittes� Il le tringla tout de suite. Le docteur avait la t�te dans l'oreiller, les bras repli�s. Jean Yves passa une main par devant, trouva le sexe du docteur en �rection, il bandait dur� Il commen�a � le masturber, le travailla ainsi pendant de longues minutes� Jean Yves ne put se retenir tr�s longtemps, �jacula dans son ventre. Le docteur adora, remua son cul comme Nadine le faisait, en se tordant. Les couilles de Jean Yves �taient pleines, chaque gicl�es au fond de son cul lui faisait du bien. Au plus profond de lui le sperme chaud irradiait jusqu'� sa prostate, il se sentait rempli et combl�. Il resta encul� par lui un long moment. Lorsque le docteur demanda � Jean Yves si il voulait bien qu'il l'encule aussi, il appr�henda la r�ponse� Il fut rassur�, Jean Yves lui dit qu'il n'avait plus de force, mais qu'il se laisserait faire, si il le d�sirait�
Quelques instants apr�s le docteur se retrouva derri�re le cul de Jean Yves, il le p�n�tra le plus doucement qu'il put, le travailla un peu, juta rapidement dans ses fesses. Quelques instants apr�s il se retira de lui. Ils �taient tous les deux �puis�s et ne tard�rent pas � s'endormir, il �tait environ minuit trente�
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������������������������������������������������ �� Le rapt d'Audrey
La gamine se r�veilla la premi�re, toute �tonn�e de se retrouver toute� seule dans le lit. Il �tait huit heures du matin. Elle se leva, se rendit dans le salon, puis aper�ut la� porte de la chambre d'amis entrouverte, d'habitude elle �tait toujours ferm�e. Intrigu�e, elle la poussa, les vit, ils dormaient� Elle se dit qu'il fallait les laisser se reposer, repartit dans la cuisine pour pr�parer le petit d�jeuner.
Elle revint trente minutes apr�s, les bras charg�s d'un immense plateau sur lequel tr�nait le petit d�jeuner si gentiment pr�par�. Elle d�posa les caf�s sur une petite commode, disposa les diff�rents mets � sa convenance autour. Le bruit commen�a � les r�veiller, ils �merg�rent doucement�
La gamine continua son petit bordel en tirant les rideaux. Ils ouvrirent les yeux tout surpris, comprirent vite la situation� Le docteur f�licita tout de suite Nadine pour sa gentillesse, se leva, lui fit un petit bisou sur la bouche pour lui dire bonjour. Il prit une chaise, la d�posa devant la commode, commen�a � d�guster caf� et pain grill�. Il proposa � Nadine de se coucher en attendant� Elle acquies�a, se retrouva rapidement � c�t� de jean Yves dans le grand lit. Lui aussi �tait r�veill� compl�tement, il lui fit aussi un petit bisou sur les l�vres. La gamine se d�tendit lascivement en prenant beaucoup de place. Jean Yves se leva, fit comme le docteur, s'assit sur une chaise, d�gusta son petit d�jeuner.
La fillette les regardait, ils �taient tous deux en slip, torse nu.
Nadine portait sa petite nuisette et une petite culotte � fleurs, elle �tait en plein milieu du lit, le seul drap �tait rabattu au pied, tombant sur le parquet.
La fillette jouait � la petite femme, bras �cart�s, cuisses repli�es l�g�rement.
Sa nuisette laissait appara�tre la petite culotte rose � fleurs sur laquelle se dessinaient l'empreinte de sa petite fente l�g�rement entrouverte.
Sur que la gamine cherchaient � les aguicher. Les deux hommes s'aper�urent de son man�ge, firent presque semblant de rien, mise � part la bosse dans leur slip qui grossissait � vue d'�il et n'avait rien d'imaginaire�
Le petit d�jeuner fut envoy� rapidement.� Le Docteur et Jean Yves se regard�rent un moment, lanc�rent un regard � la fillette qui pas g�n� du tout les fixa sans baisser les yeux et leur dit:
"vous n'auriez pas encore un peu sommeil ? ".
Le docteur et Jean Yves se marr�rent, rejoignent aussit�t la gamine dans le lit.
Ils se blottirent contre elle de chaque c�t�. Elle �tait tourn�e de sorte que ses fesses soient du c�t� de Jean Yves, le minou tourn� vers le docteur.
Elle ressentit aussit�t des deux c�t�s la pression des deux bittes sur le tissu de sa petite culotte. Jean Yves la lui retira en la faisant glisser pas les pieds.
La petite fille �tait anxieuse, les bittes appuyaient sur son minou ainsi que sur son derri�re. Elle avait envi que les gar�ons lui donnent du plaisir, en m�me temps elle avait un peu peur d'avoir mal�
Les deux m�les n'appuyaient pas trop, une l�g�re pression sur l'anus et la fente de la gamine, c'�tait tout. Le docteur lui dit : " Il faut que les bittes rentrent presque toutes seules, c'est toi qui les fera rentrer quand tu en aura envie� Quand tu sera bien mouill�e, elle rentreront tu verras�".
Le docteur embrassa Nadine sur la bouche, la fouilla avec sa langue, de l'autre c�t� Jean Yves caressa toutes les parties de son corps.
La fillette fondit rapidement comme neige au soleil� Elle ressentit une dr�le de sensation l'envahir, un m�canisme automatique �tait entrain de se mettre en route, elle avait chaud, mais pas une chaleur habituelle, celle la venait de son ventre et de son c�ur, sa t�te tournait doucement de l'int�rieur, impression bizarre, enivrante, plaisante et d�rangeante� Elle avait envie de se laisser faire, de se donner � eux. C'�tait d�j� tr�s bon, tout � l'heure ils la prendrait comme ils l'avaient d�j� fait, �a serait encore meilleur�
Juste se laisser faire, c'�tait tout� Jean Yves devait appuyer un peu plus fort que le docteur, elle ressentit son petit trou du cul s'ouvrir, le bout de la bitte rentra dans l'intimit� de la petite fille. Elle mordit l'un de ses doigts en criant.
Le docteur comprit tout de suite qu'elle commen�ait � �tre encul�, il poussa un peu plus sa bitte sur la chatte de la gamine. Celle-ci trouva le chemin aussit�t, son vagin re�u le bout de la verge, elle �tait assez lubrifi�, il contr�la quand m�me, mit un doigt � l'intersection de sa fente et de sa bitte, elle mouillait bien� Comme � chaque fois la fillette avait les yeux grands ouverts, il pouvait appr�cier le p�tillement de ses yeux bleus. Ils rest�rent un moment sans bouger. Jean Yves lui �carta les fesses avec ses deux mains pour faciliter l'enculage,
le docteur fit rouler le bout de ses seins avec ses doigts.
La petite fille �tait en �moi, ils pouvaient remarquer tous les signes de la jouissance qui se d�clenchaient en elle. Ses deux trous commen�aient � �tre combl�e, comme au plus profond d'elle m�me elle le d�sirait, sa respiration changea de rythme, devint haletante, bient�t, son premier g�missement les remplit de bonheur.
La fillette bougea une premi�re fois ses reins pour sentir mieux les pinnes dans son bas ventre et ses fesses. Elle acc�l�ra le mouvement, ce qui aida les deux chibres � rentrer un peu plus. A chaque fois qu'elle bougeait, les gars accentuaient un peu plus leur pouss�e.
De la gorge de la gamine sortaient des cri langoureux et voluptueux.
Ils faisaient attention � ne pas lui d�chirer le bas ventre, elle avait d�j� �t� prise comme �a une fois, techniquement cela collait tr�s bien, mais ils faisaient doucement quand m�me�
Maintenant elle criait tr�s fort, se tordant sur les bittes, elle devenait folle de plaisir, suppliant tout haut pour que cela ne s'arr�te pas : " Continuez, encore, encore� � Oui� C'est bon, oh comme c'est bon� ".
Ils la besognaient hardiment, presque toute leur longueur coulissait dans ses trous� La fillette �clata son orgasme en spasme r�p�t�e,
il ressentirent les contractions de son int�rieur sur leur queue.
Les deux hommes redoubl�rent leur assaut, bient�t chaque bitte lib�ra sa cr�me chaude dans le fondement de Nadine� Elle gloussa litt�ralement de plaisir, chaque jet de sperme des deux c�t�s lui procuraient des sensations paradisiaques, il y en eut beaucoup�
La fillette pensa un instant qu'elle ne pourrait plus vivre sans faire l'amour comme �a� Ils se repos�rent un bon moment, Nadine �tait en nage, suant �norm�ment, de son front perlaient des gouttes de jouissance�
La fillette retrouva ses esprits peu � peu, son visage �tait expressif, il lui restait une impression de bien �tre, elle �tait d�tendue et contente.
Seul l'amour bien fait laissait des stigmates identiques sur un visage�
Ils se retir�rent de ses trous �� peu pr�s en m�me temps. Le docteur se mit entre ses cuisses, lui leva les jambes en l'air en les maintenant �cart�es, contempla le spectacle, elle �tait pleine de sperme, le liquide ressortait en abondance de ses deux trous, coulant sur son bas ventre et ses cuisses.
Il la remit comme il fallait, lui fit un bisou sur la bouche, comme pour lui dire qu'elle avait �t� terrible, ce qui �tait vrai d'ailleurs�
Ils se lev�rent vers onze heures, se lav�rent, d�jeun�rent rapidement.
Vers douze heures trente ils �taient pr�ts � partir. Nadine et Jean Yves passeraient devant en voiture, le docteur suivrait avec la camionnette.
Il avait �quip� les deux v�hicules d'�metteur r�cepteur cibi, ils pourraient correspondre sans probl�me, confidentiellement. La technique aidant, il avait invers� les quartz fr�quence des appareils, il avait appris la combine en faisant son service militaire, personne ne pourrait les �couter.
Ils avaient aussi chacun en leur possession un portable dans leur poche qui leur permettrait de correspondre en cas de probl�me de liaison avec la cibi.
En roulant ils essay�rent la liaison radio, ils avaient d�fini un nom de code : " coucou 1 pour le docteur, coucou 2 pour Jean Yves, colibri 1 pour Nadine, enfin colibri 2 pour Audrey ". Ils avaient convenu d'un commun accord de parler le moins possible, de ne rien divulguer qui aurait pu mettre quelqu'un sur une piste, deux pr�cautions valaient mieux qu'une.
Ils arriv�rent aux abords de la plage vers treize heure trente, ils leurs fallaient une heure pour aller de chez eux � ici, donc autant pour revenir. Le docteur avait tout pr�par�, tout minut�
Il tourna un quart d'heure pour trouver une place de stationnement valable dans une rue adjacente, perpendiculaire � la plage et au restaurant la Rotonde.
Cent m�tres s�parait la camionnette du restaurant. Il �tait bien gar�, la porte coulissante s'ouvrait du c�t� du trottoir, un grand mur gris devant, tout �tait parfait.
Il contacta jean Yves par radio, qui r�pondit aussit�t. Il venait de passer devant la Rotonde, il avait aper�u le patron, mais pas de trace d'Audrey�
Jean Yves trouva � se garer � cinquante m�tre du restaurant.
De leur poste d'observation ils contemplaient tout ce qui se passait � l'int�rieur,� ne risquant pas de se faire rep�rer, le patron et Audrey ne connaissaient pas leur voiture, de plus avec le changement de plaques, ils ne craignaient m�me pas une contravention�
Ils attendirent pr�s d'une heure, furent enfin r�compens�s de leur patience�
Audrey sortit seule avec son n�cessaire de baignade, se dirigeant vers la plage. Aussit�t Jean Yves communiqua la nouvelle au docteur par l'�metteur.
Celui-ci demanda � Jean Yves de lui passer Colibri 1 par radio�
Il lui dit : " ma puce c'est � toi de jouer, tu fonces � la plage, tu rep�res colibri 2, tu lui dis bonjour, qu'avant de te baigner avec elle tu dois aller prendre tes affaires de bain, tu lui demandes si elle veut t'accompagner�
Tu lui dit d'emmener ses affaires avec elle, car on pourrait lui voler, Je pari n'importe quoi qu'elle sera d'accord�
Arriv� devant la camionnette, tu attends qu'il y ait personne.
Tu frappes � la porte quatre coups, j'ouvrirai aussit�t, me saisirais d'Audrey, puis refermerais la porte tout de suite derri�re elle�
Tu attendras le temps qu'il faut � l'ext�rieur, sans te faire remarquer.
Si tout va bien, je te ferais signe par le pare brise avant, tu rejoindra la voiture de Jean Yves, nous repartirons ".
Tu as bien compris ma puce ? .
Il attendit la r�ponse� Aucun son ne sortit du haut parleur de la cibi�
Il demanda si le message �tait bien pass�, si Colibri 1 avait compris.
La voix de Jean Yves se fit entendre :
" Colibri 1 est d�j� partie, tout est ok coucou 1 ".
Il r�pondit : "ok coucou 2, tu me pr�viens aussit�t que tu vois les deux colibris ". Un dernier ok de coucou 2 le rassura pleinement, il n'y avait plus qu'� attendre.
Le docteur pr�para son n�cessaire, le plus important �tant le flacon de chloroforme, ainsi que le gros morceau de coton.
Il pr�para aussi des bandes de ruban adh�sif larges, qui coll�es sur la bouche l'emp�cherait de crier et �toufferaient les sons.
Il fit l'inventaire, piq�re de tranquillisant, menottes, cordes, �
Il ne manquait rien, si ce n'�tait la petite Audrey.
L'attente fut longue, pendant plus de trente minutes, l'angoisse l'�treignit.
Il sursauta lorsque le haut parleur de la cibi cria : " Attention coucou 1, les deux colibris sortent de la plage, colibri 2 � ses affaires dans ses bras, tout va bien ".
Le docteur r�pondit aussit�t : " Ok coucou 2, je r�ceptionne colibri 2 et je te rappelle ".
Il calcula� Dans � peu pr�s deux minutes, Nadine frapperait quatre fois � la porte, il ouvrirait�
Il regarda par le pare brise, les deux gamines approchaient, elles riaient�
Il regarda une derni�re fois si quelqu'un venait dans la rue, aucune trace de vie�
Elles y �taient presque, les deux gamines arrivaient � la hauteur du capot avant. Il prit le flacon de chloroforme, imbiba au maximum le grand morceau de coton. Cela puait un maximum, il n'avait jamais support� cette odeur�
Il entendit tr�s distinctement les quatre coups frapp�s � la porte.
A partir de cet instant tout fut automatique, la porte s'ouvrit tr�s rapidement dans un grand bruit m�tallique. Audrey �tait juste devant, elle n'eut pas le temps d'�tre surprise, il l'agrippa, la souleva en la tirant � l'int�rieur.
Il la retourna aussit�t, elle l�cha son sac d'affaires, la serviette de bain tomba sur le plancher de la camionnette, elle ne cria pas, int�rieurement elle se demandait ce qui se passait. Il referma la porte aussit�t, plaqua sur le visage de la fillette le coton imbib� de chloroforme.
En une seconde la fillette venait de comprendre, elle se d�battit aussit�t�
Il la maintenait serr� contre lui, la soulevant pour que ses pieds ne touchent plus le sol, ses bras �taient immobilis�s par ceux puissant du docteur.
Le coton appuyait tr�s fort sur sa bouche et son nez, l'emp�chant de crier.
Elle se d�battit plus d'une minute, mais ce qui devait arriver, arriva�
La petite rel�cha ses efforts, rapidement elle s'affaiblit, puis devint toute molle�
Le docteur laissa encore le coton pendant dix secondes sur son visage.
C'�tait fini, il l'avait fait� Il retira le coton du visage de la gamine, l'installa sur le matelas, prit son st�thoscope dans sa valise m�dicale, contr�la son c�ur�
Il battait tr�s vite, trop vite pour son go�t. Il lui fit la piq�re qu'il avait pr�par� d'avance dans l'avant bras, il n'avait m�me pas nettoy� celui-ci.
Il reprit son st�thoscope, contr�la � nouveau.
Le rythme cardiaque redevenait bon. Il respira un peu mieux, se dirigea vers l'avant de la camionnette, Nadine l'aper�ut.
Il leva son pouce en signe de victoire, la fillette avait une dr�le d'expression�
Il d�cida de changer un peu ses plans, rouvrit doucement la porte m�tallique, lui parla doucement, la rassura sur l'�tat de sant� d'Audrey.
Elle va bien, elle dort lui dit-il.
Va rejoindre Jean Yves ma ch�rie, en marchant doucement�
La petite �tait rassur�e, il avait eu raison de faire �a, elle aurait pu craquer, aller peut-�tre pr�venir quelqu'un�
Il ne la croyait pas capable de �a, mais tout �tait envisageable.
Il referma la porte, vit par la vitre avant Nadine se diriger paisiblement vers l'endroit ou �tait gar� Jean Yves.
Le docteur attendit trois longues minutes, prit le micro de la cibi, appela :
" Coucou 2, coucou 2, tu m'entends ? ". la r�ponse ne mit pas deux secondes � lui parvenir : " Oui coucou 1, alors ? "
Le docteur reprit : " C'est ok, tout est ok, colibri 2 dors tranquillement, je voudrais d�poser quelque part les accessoires de colibri 2, je m'absente une quinzaine de minutes, je te rappelle aussit�t que j'ai fini. Au fait colibri 1 est d�j� rentr� chez toi ?".
Jean Yves confirma, Nadine venait juste de rentrer dans la voiture.
Ouf� Il respira � fond, regarda Audrey, la pauvre m�me �tait dans les vaps, mais respirait normalement.
Fouillant dans le sac, il �num�ra les affaire de la gamine, serviette de plage, short, tee-shirt, un petit porte-monnaie contenant trente francs, une brosse � cheveux�
Il attacha Audrey solidement avec du cordage, lui mis un morceau de sparadrap sur la bouche, il ne voulait surtout pas qu'elle fasse du bruit ou qu'elle puisse bouger. Il sortit, ferma les porti�res � clefs, jeta un coup d'�il � droite et � gauche, personne�
Il se dirigea d'un pas rapide mais tranquille vers la deuxi�me plage.
Il marcha environ dix minutes avant d'atteindre l'endroit souhait�. il y avait beaucoup moins de monde, la baignade �tait non surveill�e, c'�tait un peu le c�t� poubelle qui rebutait les gens, la municipalit� avait ax� son d�veloppement juste sur la plage principale, certainement a cause du budget�
Il longea la mer pendant un certain temps, les pieds dans l'eau. Plus personne autour de lui� Il laissa tomber les affaires d'Audrey, tout �tait maintenant r�partis, �tal�s sur le sable sur une cinquantaine de centim�tres.
Il revint en coupant par les dunes, regagna l'emplacement ou �tait gar� le v�hicule, ouvrit rapidement la porti�re, rentra rapidement � l'int�rieur.
Il fit un ouf de soulagement, la fillette dormait d'un sommeil paisible, la piq�re faisant son effet environ trois heures, elle commencerait � se r�veiller dans environ deux heures et demie. Il s'�tait absent� trente minutes pour aller � la plage, il avait le temps de rentrer haut la main. Il s'agenouilla � c�t� de la petite fille, la contempla. Elle portait juste sur elle les deux pi�ces de son maillot de bain rose et vert, elle �tait sublime, des formes parfaites.
C'�tait trop tentant, il ne put r�sister, baissa son slip, contempla son sexe, aucun duvet. Son bassin �tait parfait. Elle �tait plus jeune que Nadine, pourtant son bassin �tait d�j� form�, plus ouvert.� Il remit le slip, il verrait plus tard�
Il prit le micro de la cibi, appela jean Yves, la r�ponse fut imm�diate.
Le docteur lui dit qu'il partait dans quelques instant, lui demanda de passer devant� Quelques minutes apr�s les deux voitures quittaient la plage, l'une derri�re l'autre. Ils rentraient � la maison�
Les cinquante kilom�tres furent parcourus sans emb�che ni probl�me d'aucune sorte, tout allait � la perfection. Jean Yves descendit de la voiture, ouvrit le portail et la porte des garages. Tout �tait fini��
Il d�tacha Audrey, retira le sparadrap de sa bouche, la prit dans ses bras, sortit dehors avec elle. Jean Yves et Nadine aper�urent Audrey. Le docteur leur dit qu'il fallait qu'il s'occupe de la petite avant toute chose, c'�tait le plus important. Il les laissa � vaquer � leur occupation, il emmena Audrey dans son cabinet m�dical, la d�posa sur la table d'examen.
Pas question de la laisser libre, du moins pendant le temps que durerait l'adaptation. Il lui bloqua les mains le long de la table d'examen avec les attaches velcro, retira son slip de bain, lui �carta les jambes, grandes ouvertes, les d�posa� sur les �triers, immobilisa ses chevilles avec les attaches, comme il l'avait fait pour Nadine.
La fillette dormait encore profond�ment. Il d�grafa le haut du maillot de bain,
il fut surpris de constater qu'elle avait d�j� une poitrine qui ressortait, les mamelons �taient tout rouges, un peu irrit�s��
A son avis elle avait d�j� �t� travaill� par ce c�t�, on devait lui faire les seins assez souvent pour obtenir un r�sultat pareil sur une fillette de neuf ans.
����������� ��������� La
soumission et l'initiation d'Audrey
Il voulut regarder en premier si la petite fille �tait toujours vierge, il prit son sp�culum sur la tablette, mit une noisette de vaseline sur sa fente, explora l'intimit� de la gamine avec son doigt, les l�vres de son sexe �taient ouvertes, il remplit l'int�rieur du vagin. D'un geste pr�cis il rentra l'extr�mit� du sp�culum sur cinq centim�tres, serra la vis. Les parois de l'engin s'ouvrirent, �cartant le col de l'ut�rus de la gamine. Il serra la vis au maximum�
Il prit une lampe, regarda l'int�rieur� C'�tait bien se qu'il redoutait la petite n'�tait plus vierge, elle avait d�j� �t� d�pucel�e, la corolle �tait compl�tement ouverte, la dentelle tout autour de l'hymen �tait d�chir�e compl�tement.
Il regarda le fond du vagin, elle �tait tr�s profonde et pouvait recevoir des bittes� Elle allait en recevoir une tr�s rapidement, m�me imm�diatement�
Il desserra la vis du sp�culum, ressortit l'engin. Il se mit entre ses cuisses, sortit son sexe.
Il commen�a � bander rapidement, appuya son gland sur la fente �cart�e de la petite, juste au niveau du vagin. Il avait envie d'elle, elle ne sentirait rien, mais il voulait la baiser tout de suite. Il appuya sur sa fente, elle �tait d�j� lubrifi�e par la vaseline, sa bitte devait rentr�e sans probl�me�
Quelques instants apr�s il bandait tr�s dur.� Appuyant de plus en plus, Il vit l'entr�e de son vagin se d�former, puis s'�carter sous la pression, le bout de sa bitte rentra d'un seul coup�
Quels d�lices, quelles sensations de chaleur et de douceur sur sa queue�
Il la tringla tout de suite, poussant sa queue au maximum dans le trou.
Il n'avait pas tout rentr�, il continua � pousser encore plus fort.
La petite fille bougea doucement ses fesses.
Ses couilles n'appuyaient pas encore sur l'entrejambe, il voulut aller plus loin, plus au fond dans son vagin, donna un coup de rein plus puissant que les autres�
Il fut surpris, la gamine se mit � crier, un son aigu sortit de sa gorge. Elle ouvrit les yeux en grand, la douleur venait de la r�veiller. Il ne savait plus quoi faire�
Il d�cida de continuer de la tringler doucement, en m�me temps il chercha son clitoris, trouva la petite boule de chaire, commen�a � la caresser doucement.
Audrey �tait compl�tement dans les vaps, mais r�veill�e et consciente.
De toute fa�on il voulait l'initier, autant commencer le plus t�t possible.
Elle passerait par diff�rents stades pas marrant pour elle. En premier d'abord la soumission, on ne pouvait rien apprendre sans se soumettre � une discipline.
En deuxi�me phase il y aurait l'initiation, il fallait lui apprendre tout ce qui se faisait en amour�
Ce qu'elle ferait plus tard avec ses partenaires d�pendrait de son initiation� Combien de femmes restent frustr�es toute leur vie pour n'avoir jamais oser faire ce dont elles avaient eu envies.�
Si petites filles, on les avaient initi�s sur tout ce qui �tait faisable, elles auraient put choisir,� leurs d�sirs seraient devenus r�alit�, de plus leurs partenaires n'auraient pas eu � s'en plaindre, � quand l'�cole de l'amour�
Pour Audrey en ce moment c'�tait le plus dur, elle venait de se r�veiller, un monsieur, qui plus est le p�re d'une de ses copines rencontr� � la plage lui faisait l'amour, plus exactement l'obligeait � faire l'amour�
La seule solution, arriver � la faire jouir�
il pouvait lui faire oublier les attouchements, les jeux de touche pipi, minou et autres qu'elle pratiquait avec son papa, en la faisant� jouir r�ellement, en lui donnant une sexualit� �panouie� Le mal par le m�le, ou le bien par le m�le�
Il continua � la besogner doucement, elle n'avait pas envie de crier ni de se d�battre mais � son avis plut�t envie de pleurer. Elle se laissait faire, de toute fa�on que pouvait-elle faire d'autres ?.
Il d�cida de changer de tactique, retira sa pinne de la fillette, s'agenouilla entre ses cuisses, commen�a � lui l�cher doucement son sexe.
Il insista surtout sur le clitoris, lui donna des petits coups de langue en le titillant, tourna autour de la minuscule boule de chaire rose, rentra sa langue plusieurs fois dans le vagin de la gamine, la fit tourner dedans.
Son man�ge dura une bonne dizaine de minutes, il s'aper�ut bient�t que la petite fille n'avait plus le m�me expression qu'avant, elle �tait plus d�tendue, en m�me temps plus attentive � ce qu'il lui faisait. Il en profita pour commencer � effleurer son anus, il prit un peu de salive, la d�posa sur sa petite corolle �toil�e, tenta timidement de pousser l�g�rement son index dans le petit trou du cul de la gamine, le bout de son doigt rentra doucement. Elle se crispa un tout petit peu, puis se re-d�tendit aussit�t. Elle ne disait toujours rien, aucun g�missement ne sortait de sa gorge. Il se leva, alla chercher dans une armoire vitr�e une petite ampoule d'opium, remplit une seringue � moiti� avec le produit.
Il nettoya l'avant bras d'Audrey avec un coton imbib� d'alcool, lui injecta le produit dans les veines, attendit deux minutes qu'il agisse�
L'effet ne se fit pas attendre plus longtemps, la petite fille se d�tendit compl�tement. Au bout de quelques minutes suppl�mentaires elle commen�a � raconter n'importe quoi, des mots incompr�hensibles, elle d�lirait�
Il revint entre ses cuisses, la p�n�tra � nouveau avec sa bitte, remit un doigt dans son anus, fit un mouvement de va et vient avec. De l'autre main il prit un de ses t�tons, le tira assez fort en le faisant rouler. La fillette g�mit, essaya de se lib�rer les mains et les pieds, les attaches tenaient� bon. Il augmenta la rapidit� de son besognage.
Elle� remuait son cul et ses cuisses, elle eut un premier cri de jouissance�
Il �tait sur le bon chemin�
Quelques minutes plus tard elle g�missait sans arr�t, remuant son bassin, le faisant onduler. Les mains du docteur se promenaient maintenant sur son clitoris et son cul en m�me temps. Elle adorait ce qu'il lui faisait, son visage rayonnait, l'opium faisait son effet, sa chatte �tait de plus en plus lubrifi�e. Elle cherchait � faire rentrer la queue d'elle m�me, venant � sa rencontre � chaque coup de buttoir qu'il lui donnait. Le premier orgasme de sa vie se d�clencha apr�s qu'elle eut soulev� ses reins et son bassin tr�s haut. Elle fut secou�e de l'int�rieur par une s�rie de d�charges, de spasmes vaginaux. Il ressentit sur sa bitte, venant du ventre de la fillette, une s�rie de contractions qui le secouait, pendant qu'au m�me moment un liquide ti�de se r�partissait sur le gland de sa verge.
Il continua � la besogner, se dit qu'il n'allait pas tarder � la remplir de jutte, en effet quelques secondes apr�s il l'inonda de sperme�
La petite se crispa lorsque elle ressentit les gicl�es chaudes lui transpercer le bas ventre. A chaque jet de sperme qui l'inondait ses yeux s'ouvraient plus grands, la gamine se demandait si il y en aurait� d'autres�
Elle resta attentive quelques secondes, puis ferma ses paupi�res�
Quelques instant apr�s Audrey dormait profond�ment, l'important �tant pour lui qu'il l'ait fait jouir, certainement pour la premi�re fois de sa vie�
Il se retira d'elle, d�crocha les attaches qui la maintenait, la prit dans ses bras, l'emmena dans la chambre � coucher, puis la d�posa dans le grand lit.
Il l'habilla d'une nuisette, lui passa une petite culotte rouge � dentelle. Il voulut se faire un dernier petit plaisir, appuya sur celle-ci au niveau du bas ventre�
Le sperme se mit � couler sur la dentelle, mouillant le tissu. Elle �tait pleine de jutte, rempli de sperme, il voulait qu'elle le garde� Il alla chercher dans un tiroir de la commode une paire de menottes,� fixa les poignets d'Audrey aux barreaux du lit, bras tendus en l'air de chaque c�t� de ses oreilles. Pr�te � �tre supplici�e, soumise, il adorait�
Il sortit de la chambre, alla rejoindre Jean Yves et Nadine.
Il �tait dix sept heures, il les retrouva dans la cuisine, devant un th� au lait.
Leur premi�re r�action fut de savoir comment allait Audrey. Le docteur les rassura, leur dit qu'elle dormait, il lui avait donn� un m�dicament pour la tranquilliser, maintenant il fallait attendre son r�veil.
Il pensait qu'en ce moment, son p�re peut �tre, commen�ait � se demander ou �tait sa fille� Les recherches ne commencerait pas avant quelques heures, apr�s il auraient certainement des nouvelles par la radio ou la t�l�vision.
Il leur expliqua que pour l'instant Audrey devait �tre consid�r�e comme une prisonni�re, il se trouva ainsi une bonne raison pour justifier l'encha�nement de la fillette. Tous les deux trouv�rent qu'il avait eu raison de l'attacher�
Il fallait l'�duquer, ce que la gamine apprendrait ici lui servirait pour sa vie enti�re�
Il comptait surtout sur Nadine pour la raisonner, lui demanda si elle voulait �tre � ses c�t�s lorsqu'elle se r�veillerait. Nadine sauta sur l'occasion, lui dit qu'elle y allait tout de suite�
Le docteur mod�ra son ardeur, lui expliqua que c'�tait elle qui devait la commander, qu'il ne fallait pas qu'elle se laisse mener par le bout du nez.
Si elle le d�sirait elle pouvait faire ce qu'elle voulait avec elle pour qu'elle lui ob�isse, m�me �tre s�v�re si il le fallait. Nadine lui assura qu'elle allait s'occuper d'elle � sa fa�on� Le docteur l'accompagna dans la chambre ou reposait Audrey. Nadine la regarda dormir, s'approcha doucement du lit, se pencha et lui fit un bisou sur la bouche. Le docteur fut surpris par son acte, lui demanda si elle la trouvait � son go�t et si elle avait envie de lui faire des caresses ou de faire l'amour avec elle ?. Nadine lui dit qu'elle essaierait bien �
Le docteur laissa Nadine la surveiller, alla dans son cabinet, pr�para un verre de jus d'orange, ajouta le fameux m�dicament hypnotique qui avait fait tant de miracles avec Nadine, il doubla la dose. Pendant quelques jour il d�sirait qu'Audrey soit enti�rement soumise, pas trop consciente, ainsi elle s'habituerait peu � peu, sans choc psychologique important. Il retourna dans la chambre, confia le verre � Nadine, "d�s qu'elle se r�veille tu lui donnera � boire le jus d'orange", lui dit-il. Nadine posa le verre sur la table de nuit.
Il s'assit au bord du lit, avec sa main il �carta la dentelle rose de la petite culotte d'Audrey, ce qui laissa appara�tre sa mignonne petite chatte. Il demanda � Nadine de regarder. La gamine approcha ses yeux du minou, vit le liquide blanc suinter� Au m�me moment le docteur appuya sur le bas ventre d'Audrey, du sperme sortit de sa petite moule. Nadine savait maintenant que le docteur avait fait l'amour avec Audrey. Cela ne la d�monta pas, elle dit aussit�t au docteur : " j'esp�re qu'elle aime �a autant que moi ". le docteur lui dit qu'elle pouvait la goutter si elle voulait�� Nadine remua la t�te affirmativement pour dire qu'elle �tait d'accord. Le docteur prit la petite main de Nadine, lui fit caresser les t�tons d'Audrey, puis il descendit sa main, fit passer les doigts sous l'�lastique en dentelle de la petite culotte. Nadine entreprit l'exploration du sous-v�tement et s'aventura dans le fente mouill�e d'Audrey. Le docteur aper�u sous le tissu rouge le man�ge de sa main, elle explorait sa petite chatte, la fouillant m�ticuleusement. Ses doigts ressortirent quelques secondes apr�s tout enduit de sperme, Nadine les mit � sa bouche, les l�cha un par un. Voyant cela le docteur baissa la culotte d'Audrey, la retira, �carta ses cuisses et dit � Nadine que si elle voulait la nettoyer avec sa langue elle le pouvait� Elle s'allongea sur le lit entre ses cuisses, commen�a � lui l�cher doucement son minou, avalant toute la jutte qu'elle pouvait ramasser avec sa langue. Le docteur regardait la fillette, �prouvant un certain contentement � satisfaire ses souhaits. Elle lui montrait qu'elle aussi pouvait faire des tas de choses� C'�tait surtout un jeu pour elle, elle adorait que le docteur la regarde faire des choses comme �a� En plus le liquide blanc, elle trouvait �a plut�t bon� Mais elle pr�f�rait quand il �tait plus chaud, quand il sortait directement d'un monsieur, c'�tait meilleur�
Le docteur l'aida, ouvrant un peu plus les l�vres de la chatte d'Audrey, appuyant aussi l�g�rement sur le bas ventre. La gamine mit sa langue � fond dans l'orifice vaginale, ramena le sperme en exc�s� Elle continua jusqu'� ce que le minou d'Audrey soit bien nettoy�, qu'il ne reste plus aucune trace de jutte.
Le docteur l'embrassa sur la bouche pour la r�compenser, lui caressa la croupe, lui dit que c'�tait bien, qu'elle �tait super�
La fillette �tait fi�re, enti�rement � sa botte�
Le docteur ressortit de la chambre, sans oublier de dire � Nadine qu'elle le pr�vienne lorsqu'Audrey se r�veillerait.
Jean Yves regardait la t�l�vision dans le salon, il attendirent les actualit�s r�gionales, d�j� dix neuf heures� Ils regard�rent ensemble le journal, aucune nouvelle sur la disparition de la gamine, c'�tait beaucoup trop t�t.
De l'avis du docteur il faudrait attendre au minimum le lendemain midi pour commencer � avoir des �chos sur l'affaire. Ils furent interrompus par Nadine qui arriva en courant dans le salon, elle �tait toute �nerv�e et leur fit savoir de suite� qu'Audrey venait de se r�veiller. Ils accoururent dans la chambre aussit�t�
Audrey �tait toujours allong�e, les yeux grands ouverts, elle les observaient...
Bonjour Audrey lui dit le docteur, tu nous reconnais ?.
La gamine d'une petite voix peureuse lui dit : " Vous �tes les monsieurs de l'autre fois, � la plage ". Le docteur lui r�pondit par l'affirmatif, commen�ant � lui expliquer pourquoi elle avait �t� amen� ici. Il lui dit quelle n'�tait pas heureuse, son p�re �tant m�chant avec elle, il avait �t� choisi en tant que docteur pour s'occuper d'elle, pour faire son �ducation. Elle reverrait son p�re plus tard, mais pour l'instant, pendant quelques temps elle vivrait avec eux.
Il lui dit qu'elle allait �tre heureuse ici, mais qu'il fallait qu'elle fasse tout ce qu'ils disaient.
La gamine resta perplexe, ne trouva rien � dire. Le docteur demanda � Nadine de donner le jus d'orange � Audrey, ce qu'elle fit aussit�t. Audrey bu tout le contenu sans probl�me, elle devait avoir soif. Voyant que la gamine n'allait pas cr�er de probl�me, le docteur d�cida de lui retirer les menottes, ouvrit les serrures et rendit la libert� de mouvement � la petite fille. Il justifia la mesure qu'il avait prise pour l'attacher, il avait peur qu'elle tombe du lit�
Il ajouta que tant qu'elle serait sage, ils seraient tous gentils avec elle, par contre si elle d�sob�issait, ils seraient oblig�s de la punir s�v�rement. Il lui expliqua qu'il ne fallait pas qu'elle mange ce soir, il allait lui mettre un suppositoire qui allait l'aider � aller aux toilettes, il fallait que ses intestins soient lib�r�s compl�tement. Il se garda bien de lui expliquer pourquoi�
Il ouvrit un tiroir de la commode rempli de m�dicaments, trouva rapidement ce qu'il cherchait. La fillette �tait toujours nu, il lui leva les jambes, introduit le "suppo" dans son anus. La gamine �tait un peu g�n� de montrer son intimit� "� tout le monde", mais elle se laissa faire sans probl�me. Il lui remit la petite culotte en dentelle rouge, elle �tait souill�e par son sperme, mais cela ne servait � rien de lui en donner une propre maintenant�
Il lui trouva une petite nuisette bleue � fleurs toute mignonne, l'en rev�tit. Elle �tait d�sirable, il avait h�te de l'initier�
Il confia la garde d'Audrey � Nadine, les deux hommes sortirent de la chambre. Jean Yves lui donna un coup de main pour remettre les plaques min�ralogique des voitures, cach�rent celles qu'ils avaient utilis�es dans un grand bac � fleurs, elles pourraient encore leur servir un jour�
������������������������������������ ������ L'enculage d'Audrey
Ils d�n�rent rapidement, regard�rent ensemble les actualit�s r�gionale � la t�l�, personne ne relatait encore la disparition d'Audrey�
A vingt heures le docteur prit cong�s de Jean Yves, lui demanda de faire manger Nadine, de s'occuper d'elle comme il le d�sirait, surtout de ne pas de ne pas l'attendre pour se coucher.
Il lui fit comprendre qu'il allait faire l'amour � Audrey,� pour voir sa r�action, Jean Yves sourit�
Le docteur retourna aussit�t dans la chambre, Audrey dormait. La gamine lisait � c�t� d�elle sur le lit, elle lui fit remarquer que la petite avait demand� d'aller aux toilettes deux fois avant de s'endormir, elle avait fait en diarrh�e�
Le suppositoire avait agit� Il remercia Nadine d'avoir aussi bien gard� Audrey, lui demanda d'aller retrouver Jean Yves, d'�tre tr�s gentille avec lui, surtout de se laisser faire si il lui demandait des chose�
La fillette comprit tout de suite, referma la porte derri�re elle�
Il �tait seul avec Audrey� Il se d�shabilla enti�rement,� resta assis � c�t� de la gamine, la contemplant. Sa respiration �tait presque normal, son pouls, son c�ur battait un peu au ralenti, le tranquillisant m�lang� au jus d'orange faisait son effet. Il la secoua l�g�rement pour la r�veiller, la gamine sortit de sa l�thargie peu � peu. Ses pupilles �taient dilat�es, il releva sa nuisette, avec ses mains caressa sa petite poitrine, Les mamelons �tait rougis, irrit�es, il �tait � peu pr�s certain que son salaud de p�re les lui travaillaient r�guli�rement.
Lui il allait lui donner du plaisir � la gamine, mais avant il fallait qu'elle passe par toutes les �tapes��
L'�tape num�ro un �tant la souffrance. Selon sa th�orie, seule la souffrance physique extr�me pouvait faire oublier la souffrance morale de la fillette.
Apr�s il y aurait la jouissance qui remplacerait et balaierait tout ce qu'elle avait v�cu. Il prit deux paires de menottes, immobilisa ses deux bras en croix aux barreaux du lit.� Il commen�a �� parler � la fillette, lui dit qu'il �tait docteur, que tout ce qu'il allait lui faire c'�tait pour son bien, qu'il allait la gu�rir.
Il fallait qu'elle se laisse faire� Lui demanda si elle avait bien compris.
Le jus d'orange m�lang� � l'hypnotique, plus la piq�re d'opium faisait qu'elle n'avait plus aucune r�sistance ni volont�, elle bredouilla un oui presque inaudible.
Il prit les pinces � sein dans un� tiroir, les fixa sur ses deux t�tons, elle se raidit instantan�ment. Il tira doucement sur les ficelles, la petite fille hurla, un son strident et aigu sortit de sa gorge�
Le docteur prit imm�diatement la d�cision de la b�illonner. Il ne voulait pas que Nadine et Jean Yves puissent entendre les cris de la petite supplici�e.
Il alla chercher une compresse l'introduit dans la bouche d'Audrey, fixa un foulard de soie derri�re sa t�te, celui-ci maintenait la grosse compresse dans la bouche. Il essaya de retirer doucement les ficelles des pinces � seins, la petite se contorsionna, un cri compl�tement �touff� sortit de sa gorge�
Il �tait rassur�, il pouvait faire ce qu'il voulait, personne n'entendrait.
Il tira de plus en plus fort sur les ficelles des pinces, la gamine se tordait en g�missant de plus, soulevant ses reins au maximum. Il retira son slip rouge, souleva ses jambes en hauteur en lui �cartant les cuisses � fond, sa chatte et ses fesses �taient maintenant offerts � sa queue. Il choisit l'orifice du cul, pla�a son gland sur son anus, appuya assez fort. A voir son trou du cul rougi, il �tait � peu pr�s certain que son p�re l'enculait, il ne devrait pas avoir de probl�me pour rentrer sa bitte, m�me sans vaseline. En plus ses intestin �taient vid�s par le suppositoire, le chemin �tait libre� Il appuya encore plus fort, son gland rentra d'un seul coup dans le derri�re de la petite fille� Elle eut tr�s mal, bougea son cul pour essayer de se d�gager. A chaque fois involontairement la fillette s'enculait d'elle m�me un peu plus, sans le vouloir� La moiti� de sa queue �tait dans son post�rieur, il commen�a � la tringler, effectuant un mouvement de va et vient dans son ventre. Il s'aper�ut tr�s rapidement qu'il pouvait tout rentrer sans probl�me, continua de pousser, bient�t elle fut encul�e � fond, les couilles battaient sur ses fesses au rythme de ses coups de butoirs. Il� l�cha ses cuisses qu'ils tenaient �cart�es en hauteur depuis un bon moment, miracle de l�enculage, elle laissa d'elle m�me ses jambes en l'air dans la m�me position�
Il caressa son petit clitoris d'une main, de l'autre il s'attarda sur les pinces � sein, tirant m�thodiquement sur les ficelles, de temps en temps, par plaisir�
Ses bouts de seins �taient devenus violac�s, saillant �norm�ment. Il continua son besognage, ressentit la pression mont�e dans ses couilles� Il ne put se retenir plus longtemps, �jacula dans son petit derri�re.
Quel cul elle avait�il ne pensa plus, se vida par saccade dans son post�rieur.
Il la remplissait avec de longs jets de jutte chaude, � chaque gicl�e la petite fille se d�tendait un peu plus. Elle ne jouissait pas, mais aimait qu'on lui �jacule dans les fesses, cela se remarquait � l'expression de son visage�
Il �tait �puis�, retira sa queue de l'anus de la petite, se reposa quelques minutes allong� � c�t� d'elle. Puis il se leva, lui retira les pinces � seins, le foulard ainsi que la compresse qui immobilisait sa bouche.
Il contemplait son travail, elle avait les t�tons compl�tement tum�fi�s�
Il alla chercher dans la commode de la pommade pour les h�matomes, en recouvrit g�n�reusement les bouts de sa petite poitrine, les massa longuement. La gamine avait les yeux ouverts, elle �tait consciente.
Il savait pertinemment qu'elle ne se souviendrait de rien � son r�veil�
������������������������������������������������ A quatre dans le lit
Il lui releva les cuisses en l'air, contempla la jutte qui ruisselait de ses petites fesses, essuya son trou du cul avec un essuie-tout. Maintenant, il fallait laisser la fillette r�cup�rer. Il v�rifia les fermetures des portes et fen�tres, la fillette ne pourrait pas s'�chapper toute seule, d�cida de ne pas l'attacher, sortit de la chambre, puis ferma la porte � clefs.
L'enculage d'Audrey n'avait pas dur� aussi longtemps qu'il l'avait pr�vu , il n'avait pas utiliser les ustensiles qui auraient pu prolonger la s�ance pendant des heures. Il avait �t� �mu par Audrey, il l'avait bais�e par devant et par derri�re sans r�el plaisir, pour une fois sa conscience le travaillait, il avait pens� sans arr�t � la fillette sans d�fense qu'il avait kidnapp�, un reste d�humanit� �tait encore pr�sent en lui, mais sa logique personnelle lui disait qu'il n'avait pas eu tord de faire �a� Il lui referait l'amour dans de bien meilleur conditions, elle prendrait certainement son pied�
Il alla dans la cuisine se faire une petite collation. D�j� vingt deux heures, l'�pisode de l'enculage d'Audrey l'avait rendu vorace, il se fit un grand sandwich l'engouffra rapidement, termina par un reste de g�teau, s'enfila un grand verre de jus d'orange par dessus tout �a� Il allait nettement mieux, ses forces �taient revenues. Il se demanda ou Jean Yves et Nadine pouvaient bien �tre, �jeta un coup d'�il dans le salon, rien de ce c�t� La porte de la chambre d'ami �tait ouverte, il la franchit, contempla le spectacle.
Ils �taient nus, dormant profond�ment, seule la position portait � �quivoque, Nadine avait la bitte de Jean Yves dans la bouche, sa t�te reposait sur son ventre. Il fixa du regard la chatte de la fillette, un liquide blanc coulait sur ses cuisses et ressortait de son bas ventre, Jean Yves lui avait donn� sa dose� Il les laissa dormir, se glissa dans le lit � c�t� de Nadine, il avait une petite place sur le c�t�, pour l'instant cela lui suffirait. Il �tait tr�s fatigu�, la tension nerveuse toute la journ�e avait �t� horrible et continue, il ferma les yeux, s'endormit aussit�t.
Ils furent r�veill�s le matin de bonne heure � cinq heures� Des cris et des pleurs, c'�tait Audrey, Ils se rendirent tous les trois dans la chambre apr�s que le docteur eu trouv� la clef�
Le spectacle �tait d�solant la fillette �tait recroquevill�e sur le lit, des spasmes de sanglots la secouait. Jean Yves et Nadine all�rent aussit�t vers elle pour la consoler. Le docteur lui pr�para imm�diatement une potion pour la calmer.
Il lui firent avaler le calmant puis d�cid�rent d'un commun accord de la faire coucher avec eux dans la chambre du docteur. Jean Yves la prit dans ses bras, l'emmena dans le grand lit, la d�posa au milieu. Nadine se blottit aussit�t contre elle en la cajolant, Jean Yves et le docteur se couch�rent chacun � c�t� d'une fillette.
Audrey mit un certain temps pour se calmer. Au bout d'une heure tout le monde redormait, la fin du petit matin continua�
Le docteur se r�veilla le premier, il �tait neuf heures. Il avait le corps d'Audrey serr� contre lui, il respira son odeur de tr�s pr�s, ce parfum �tait propre au fillette de son �ge. M�lang�e avec celle du sperme, sublime odeur, douce, acide, �pic�e en m�me temps�
La fillette ne portait que sa nuisette, il descendit sa main sur son sexe, la laissa � l'emplacement du clitoris, chercha le petit bouton, le trouva avec difficult�,
il �tait compl�tement rentr�. Il remit sa main � sa bouche prit de la salive avec ses doigts, retourna sur le con de la gamine, recouvra le petit bouton de salive.
Il appuya tr�s l�g�rement, massa celui-ci pendant de tr�s longues minutes.
Audrey dormait paisiblement, mais l'expression de son visage changeait peu � peu, se d�crispant lentement, un sourire de contentement apparut m�me sur celui-ci. Jean Yves commen�a � �merger doucement de son sommeil.
Nadine dormait toujours le visage sur son ventre, mais elle n'avait plus la bitte dans sa bouche�
Quelques minutes apr�s il bandait fort, la premi�re chose qu'il fit fut de rouvrir la bouche de Nadine pour y remettre son sexe�
Il s'aper�ut du man�ge du docteur titillant le clitoris de la nouvelle petite �lue, cela lui donna envie de r�activer Nadine, il se mit � lui caresser le bout des t�tons, fit coulisser sa pinne dans sa bouche. La fillette se r�veilla en quelques minutes, toute surprise d'avoir un grand morceau dans la bouche�
La petite Audrey aussi se r�veillait tout doucement, le docteur continuait son petit man�ge sur son clitoris depuis d�j� une dizaine de minutes, il ressentait depuis d�j� quelques temps la petite boule de chaire grossir sous ses doigts.
Elle ouvrit les yeux, aper�ut Nadine avec la bitte de Jean Yves dans sa bouche. Audrey �tait consciente mais le calmant que lui avait donn� le docteur quelques heures auparavant faisait encore son effet, elle �tait encore un peu dans les vaps� Le docteur d�cida d'exciter encore plus Audrey, se retourna, mis sa bouche au niveau du sexe de la gamine, elle m�me se retrouva avec la bitte du docteur au niveau de sa bouche. Le 69 �tait presque r�ussi, il se mit � lui sucer la chatte d�licatement, sans oublier les petits coups de langue sur son clitoris.
Audrey fut surprise, mais c'�tait trop bon, elle venait de prendre la d�cision de se laisser faire, elle �carta les cuisses pour laisser rentrer la langue un peu plus loin.
Au bout de quelques minutes la fillette commen�a � tr�mousser le bassin et les fesses en g�missant tout doucement. Mais la bitte� �tait toujours offerte � la bouche de la gamine, le docteur appuyait, cherchant � lui entrouvrir celle-ci avec sa bitte, rien n'y faisait� Avec sa main il lui massa sa poitrine, tira fort le bout d'un de ses seins, la fillette cria, ouvrit la bouche� Le docteur en profita pour rentrer sa verge dans la petite bouche, la comblant aussit�t�
Elle ne pouvait plus la retirer, ne chercha pas non plus�
Il lui excitait trop la chatte et son clitoris pour qu'elle pense � autre chose.
Il la fouillait assez profond�ment avec sa langue, la petite adorait, son clitoris n'�tait jamais oubli�, la fillette maintenant ondulait de la croupe, g�missant de plaisir, jamais elle n'aurait imagin� que cela aurait pu �tre aussi bon. La bitte du docteur �tait bien rentr�e, coulissant dans la bouche d'Audrey. Il n'allait pas � fond dans la gorge, laissant la petite s'habituer � la fellation. Il demanda � Jean Yves si il pouvait mettre un doigt dans l'anus d'Audrey, pour l'exciter aussi par la� Le docteur aper�u en regardant par le c�t�, la main de Jean Yves se replier puis se diriger vers le soubassement de la petite fille, quelques secondes apr�s la gamine �tait aussi combl� par son derri�re. Le docteur pr�vint Audrey que quelque chose de liquide et de chaud allait sortir de sa bitte, qu'il fallait qu'elle boive tout sans en laisser, sinon elle serait punie tr�s gravement. Il lui demanda si elle avait compris.
Entre deux g�missements il y eut une pose, ils entendirent comme un ronchonnement �touff�, c'�tait la r�ponse d'Audrey. Le docteur continua � lui l�cher son minou et son clitoris, mais la pression dans ses couilles devenait insupportable, il lui dit tout haut et assez fort que la jutte allait sortir dans pas longtemps�
Il jeta tout dans la bouche d'Audrey, elle fut surprise, mais n'ayant pas le choix, elle avala le liquide chaud et onctueux. Nadine en entendant le bruit de la jutte mit son visage � c�t� de celui d'Audrey, regarda si sa petite copine avalait tout.
Nadine donna quelques coups de langue sur la bouche d'Audrey�
Le docteur comprit � temps que Nadine en d�sirait aussi, se retira d'Audrey.
Il avait vu juste car aussit�t Nadine lui happa la verge la mettant dans sa bouche. Elle eut quand m�me une ou deux gicl�es qu'elle avala de suite. Le docteur se remit sur le dos, demanda � Nadine de montrer � Audrey comment on nettoyait la bitte. La gamine instruisit la petite, les deux petites filles s'appliquaient maintenant � lui l�cher sa verge pour la nettoyer.
Audrey en avait encore plein sur ses l�vres, Nadine lui dit de passer sa langue dessus pour tout l�cher, tout avaler sans rien laisser�
Jean Yves avait une trique � tout casser, il fit comprendre au docteur qu'il se paierait bien Nadine. La fillette avait entendue, elle se mit tout de suite sur le dos en� attente. Jean Yves vint sur elle rapidement, la p�n�trant par devant. Audrey regarda sa copine se faire besogner, elle n'en manquait pas une. L'�ducation d'Audrey �tait commenc�e et pas mal partie du tout.
Jean Yves �jacula dans le vagin de Nadine, peu apr�s et la fillette s'�clata, jouit en criant assez fort. Ils se repos�rent tous ensemble pendant un bon quart d'heure dans le lit, puis d�cid�rent de se lever pour aller d�jeuner.
Nadine et Jean Yves pr�par�rent le chocolat, Audrey n'avait pas le moral, le docteur pr�f�ra lui donner un tranquillisant dans son jus d'orange�
Ils auraient bien �couter les informations, mais bien sur avec la petite � c�t�, cela posait un probl�me� Il d�jeun�rent donc sur un fond musical choisit par Nadine, bonjour les CD� Vint le moment ou Le docteur confia Audrey � Nadine, elle allait s'occuper d'elle sans arr�t, il ne fallait surtout pas qu'elle la laisse seule un seul moment de la journ�e. Il lui rappela discr�tement ce qu'elle lui avait promis, elle �tait toujours d'accord�
Les enfants all�rent se laver, apr�s ils iraient jouer dans le jardin.
Le docteur et Jean Yves d�cid�rent chacun de leur c�t� d'�couter les diff�rentes radio et flashs d'informations relatant peut-�tre la disparition d'Audrey.
Ils n'eurent pas longtemps � attendre� A onze heures pile Une radio locale relata la disparition de la gamine, elle avait disparue en allant se baigner, on avait retrouv� une partie de ses affaires sur la plage. Aucune �ventualit� n'�tait �cart�e, mais les enqu�teurs privil�giaient la th�se de la noyade accidentelle, ils recherchaient le corps de la fillette. La mise en sc�ne du docteur avait r�ussi, il faudrait attendre quelques jours pour �tre sur qu'il n'y ait pas de probl�me.
Ils continu�rent � �couter les diff�rentes informations, toutes relataient l'affaire comme une trag�die de la mer, aucune ne parlait d'enl�vement. Jean Yves et le docteur se mirent d'accord pour qu'Audrey n'�coute pas la radio pendant quelques jours, jusqu'� ce que l'affaire soit oubli�e par les m�dias.
Ils all�rent pr�venir discr�tement Nadine, le mieux �tait de d�brancher toutes les radios et t�l�vision, eux seules pourraient les allumer quand ils le d�sireraient.
Nadine fut d'accord pour les aider, elle ferait attention pour la radio�
La matin�e passa rapidement,� les enfants s'ennuyaient un peu, il est vrai qu'il n'y avait pas beaucoup de jeux dans le pavillon, � part la balan�oire dans le jardin, rien n'�tait vraiment pr�vu pour les enfants. Le docteur eut l'id�e d'aller acheter des jouets dans un magasin, il en parla � Jean Yves qui rench�rit et lui dit qu'il faudrait aussi une piscine, pour les gamines se serait super�
L'id�e lui plut aussi. Le seul probl�me �tant qu'il ne pouvait pas y aller tous les quatre. Il n'�tait pas question de faire sortir Audrey, du moins pour l'instant.
����������������������� ��� Les courses et le god de Nadine
Le docteur demanda � Jean Yves si il voulait bien garder Audrey, pendant ce temps il ferait des emplettes avec Nadine. Il faudrait aussi acheter des provisions, car elles s'amenuisaient� Jean Yves lui assura qu'il �tait d'accord , qu'il n'y aurait pas de probl�mes.
Le docteur alla pr�parer quelques accessoires, pr�vint Nadine qu'ensemble ils iraient acheter des jouets et faire des courses en d�but d'apr�s-midi.
La gamine se r�jouit aussit�t, il crut voir un rictus de contentement sur le visage d'Audrey.
Vers treize heures le docteur et Nadine mont�rent dans la voiture, la grande ville �tait distante d'environ cinquante kilom�tres� Il faisait tr�s chaud, le soleil tapait fort, sa voiture n'avait malheureusement pas la climatisation.
Nadine portait sur elle son �ternelle jupette, tee-shirt, lui en short blanc,� chemisette l�g�re. Cette tenue l�g�re ne les emp�chaient pas de transpirer�
En roulant il discut�rent de choses et d'autres. Au bout de cinq minutes, il lui dit qu'il essaierait bien sur elle un accessoire qui lui permettrait de corriger sa fa�on de marcher, beaucoup de femme utilisait cette m�thode qui donnait de l'allure � la d�marche ainsi que beaucoup de plaisir. La gamine fut intrigu�e, lui demanda ce que c'�tait.
Il s'arr�ta � l'or�e d'un bois, prit le sac qu'il avait emmen� avec lui, en sortit un god. Il avait la forme d'un phallus sans couilles d'environ dix� centim�tres se terminant par un morceau de caoutchouc �pousant la forme de l'entrejambe, cette derni�re particularit�, l'emp�chait de rentrer plus � fond dans le trou du cul�� Plus petit qu'un god, l'anus piquet �tait pr�vu pour rester dans le fondement tout en vaquant � ses occupations. Le diam�tre de l'engin �tait quand m�me assez cons�quent, environ quatre centim�tres. Pour le trou du cul d'une petite fille de neuf ans, celai faisait beaucoup�
Il lui expliqua qu'avec cette bitte dans le post�rieur, les femmes �taient oblig�es de marcher plus droite en cambrant les reins, ce qui leur donnaient une allure super, flattant leur croupe, en plus cela leur donnait du plaisir pendant de longues heures, car la bitte les excitaient pendant qu'elles marchaient.
La fillette comprit tout de suite que le docteur voulait lui faire essayer la bitte�
Il lui proposa d'aller s'�tendre sur la banquette arri�re, de l'attendre en repliant ses jambes. Nadine descendit de voiture, ouvrit la porti�re, s'�tendit sur la banquette arri�re. Il vint la rejoindre avec son god, la gamine avait� les jambes en hauteur reposant� sur le haut des si�ges.
Il fit glisser sa petite culotte sous ses fesses�
Elle avait les cuisses compl�tement �cart�es, sa chatte et son cul offerts.
Il sortit de sa poche un tube de vaseline, en recouvrit le god, puis en mit une petite noisette sur l'orifice de son anus, fit p�n�trer la pommade dans le conduit � l'aide d'un doigt. Il amena le god sur l'orifice �toil�e de la fillette, commen�a � forcer son petit trou du cul. Ses chairs se distendirent un maximum, l'engin cherchait son chemin, s�parant de plus en plus les deux magnifiques petites fesses, appuyant � fond sur la petite corolle�
Le bout de l'engin fut aval� d'un coup�
Nadine, les stigmates de la douleur sur son visage avait mis une main dans sa bouche, la serrant tr�s fort avec ses dents pour ne pas hurler de douleur�
La petite encul�e avait eu tr�s mal, sa respiration s'�tait acc�l�r�e, elle fixait intens�ment les yeux du docteur, il s'en aper�ut. Il lui dit aussit�t que le plus dur �tait pass� mais qu'il fallait qu'elle soit encul�e � fond pour pouvoir jouir un maximum�
Il poussa l'appareil dans son fondement, jusqu'� la gorge pr�vue � cette effet qui,� se refermant sur l'anus, vint �pouser parfaitement les formes de celui-ci, l'emp�chant de ressortir.
Il tira un peu sur l'engin en caoutchouc, le sphincter de son trou du cul remplissait bien son office, emp�chant le god de ressortir. M�me en marchant il ne pouvait pas se retirer tout seul�
Il l'embrassa, la r�conforta pour son courage, lui remit sa petite culotte, puis lui demanda de se lever et de marcher un peu. Nadine se redressa doucement, se remettant sur ses deux pieds elle fit quelques pas maladroitement. La queue l'�cartait un maximum, elle �tait oblig�e de tirer sur ses fesses pour avancer d'une fa�on correcte. Il lui demanda de se rasseoir sur le si�ge avant.
Avec pr�caution elle se glissa � c�t� de lui, raidit ses jambes pour ne pas appuyer compl�tement ses fesses sur la banquette. Le docteur l'en dissuada, lui donna l'ordre de s'asseoir normalement pour bien ressentir l'engin dans son petit cul, ce qu'elle fit tout de suite� La petite ouvrit les yeux plus grand lorsque l'anus piquet rentra encore plus profond�ment dans son derri�re�
Par peur elle maintenait ses cuisses serr�es, il lui demanda de les �carter en grand� Elle le fit et fut empal�e � fond par le machiavel engin�
Pour finir, il lui demanda de faire onduler ses petites fesses doucement en levant ses jambes, les �cartant au maximum, que ses pieds ne reposent plus sur rien�
Il la regarda ex�cuter ses ordres, la petite fille �tait dans la position la plus �rotique qui soit, encul�e � fond, assise, cuisses en l'air �cart�es et soumise�
Que pouvait il demander de plus�?.
Il trouva la r�ponse rapidement. La faire jouir�
Amener sa main droite sur sa petite culotte fut un jeu d'enfant. Son doigt parcourut le sillon de sa fente, rentrant d�licatement un peu de tissu dans son intimit�, s'attardant sur le petit clitoris, le titillant d�licatement, redessinant sa fente de haut en bas, puis de bas en haut�
Ses jambes grandes ouvertes en hauteur durent la fatiguer un peu, elle calla ses pieds, l'un sur le c�te de la porti�re, l'autre sur le tableau de bord.
Elle appr�ciait tellement les caresses qu'elle ferma les yeux�
Les caresses dur�rent plus de cinq minutes, ce qui devait arriver arriva. Sa fente s'humidifia, mouillant le devant de sa petite culotte. Il redoubla d'attention pour les titillement de son clitoris qui devint de plus en plus volumineux.
Elle g�mit une premi�re fois. Il choisit cet instant pour glisser ses doigts sous le tissu de la petite culotte, c'�tait ti�de et humide � souhait� Il rentra un doigt dans son vagin, c'�tait chaud et tout mouill�
Il l'excita encore pendant pr�s de cinq minutes, elle jouissait�
Il retira son doigt sans pr�venir, il ne voulait pas qu'elle ait un orgasme maintenant� Il lui dit simplement : " Tu vois c'est bon ma puce, on continuera tout � l'heure�".
La petite un peu frustr�e remit ses jambes dans une position plus ad�quate pour une petite fille de neuf ans passag�re d'une voiture�
Ils reprirent la route, arriv�rent au parking des Fleur�als vers quatorze heures.
Prirent un caddie. Nadine marchait � ses c�t�s remuant son bassin avec un certain charme, de l'�rotisme �manait de sa d�marche. Certains hommes la d�visageait et regardaient sa croupe onduler, se demandant pourquoi la fillette avait cette d�marche�
Au d�but Nadine semblait un peu ennuy�e par le god, au bout d'une demi-heure de marche elle s'y �tait fait. Lorsque le docteur lui demanda si cela allait, la fillette agac�e mit un point d'honneur � lui confirmer que tout allait bien.
Il regarda ses yeux, s'aper�ut que ses pupilles �taient brillantes, elle devait ressentir une certaine jouissance, elle �tait compl�tement en �moi�
Ils trouv�rent tout ce qu'ils d�siraient, m�me une piscine de cinq m�tres de diam�tre en t�le galvanis�e. Les jouets, ainsi que diff�rents jeux de soci�t� furent� choisis par Nadine. Il n'y avait pas assez de place dans le caddie, Nadine partit rechercher un autre.
Le docteur s'arr�ta au rayon sous-v�tement f�minin, choisit trois ensembles assez coquin. Il prit la plus petite taille possible, demanda si cela plaisait � Nadine. La fillette rougit un peu, avant de lui faire un signe de t�te affirmatif...
Il s�lectionna aussi trois petites nuisette tr�s courtes de couleur diff�rentes.
Au rayon enfant, il n'oublia pas deux maillots de bain, taille 10 et 12 ans.
Vers seize heures ils ressortirent du magasin, le docteur avait pay� une sacr�e addition, mais il s'en foutait un peu, le bonheur de ses filles passait avant tout�
Il t�l�phona � la maison � l'aide de son portable, Jean Yves d�crocha tout de suite, tout allait bien, Audrey pour l'instant dormait tranquillement dans un hamac du jardin, il la surveillait sans arr�t. Le docteur lui dit qu'il serait l� dans la soir�e, sans pr�ciser d'heure. Ils charg�rent les courses dans le coffre et repartirent de suite. Pas besoin d'un magasin de jouets, ils avaient tout trouv� au super march�.
Ils roulaient depuis un bon moment, commen�ant � reluquer la minijupe de Nadine. Tout en conduisant il mit sa main sous la jupette de la gamine, glissa sous ses fesses jusqu'� ressentir la partie du god qui rentrait dans l'anus.
Il chercha � rentrer un doigt entre le god et son trou du cul d�j� ouvert de quatre centim�tres, c'�tait serr� au maximum, mais il r�ussit en for�ant � distendre ses chairs et � introduire le bout de son indexe�
Elle grima�a de douleur en l'implorant des yeux, il lui lan�a un regard de d�fi, comme pour montrer qu'elle �tait � lui, qu'il pouvait faire ce qu'il voulait avec�
Nadine se ressaisit rapidement, ne restant pas en reste, de sa main gauche elle palpa le tissu de son short au niveau de sa bitte de ses couilles.
Il bandait, ressentant une envie folle de lui rentrer sa queue dans son intimit�.
Il chercha un coin pour s'arr�ter en rase campagne, prit un petit chemin de terre, c'�tait calme, en plein milieu des champs. Il stoppa la voiture, ouvrit sa porti�re, demanda � Nadine de descendre, puis de venir le rejoindre de son c�t�.
Elle fit le tour, passa devant la voiture, se planta debout devant lui.
Il �tait toujours assis � sa place de conducteur, les pieds sur les p�dales�
Sans rien lui dire, il la for�a � se plier en deux, de sorte qu'elle soit en position de fess�e sur ses deux genoux, sa t�te reposant sur le si�ge c�t� passager�
Ses jambes pendait perpendiculairement � son corps, en dehors de la voiture�
Il lui releva sa minijupe. Les deux mignonnes petites fesses enrob�es par la petite culotte en dentelle apparurent � ses yeux, d�licieux spectacle. Il baissa le petit morceau de tissu� Il contempla les deux belles petites pommes galb�es et sculpt�es par Dame Nature� Et au milieu le gros god qui comblait le trou du petit cul...
Il n'en revenait pas, spectacle �rotique, l'engin �cartait ses toutes petites fesses, les faisant saillir encore un peu plus�
Il poussa un peu plus sur l'engin, � fond, puis tira l�g�rement dessus, juste pour le faire ressortir un peu. La gorge �troite de l'appareil redevint visible, il restait dans le cul un long morceau oblongue d'un diam�tre de quatre centim�tre � faire ressortir� Il jouit du spectacle, retirant tr�s doucement le chibre en latex.
Il contempla l'anus se d�former, s'ouvrir petit � petit, deux, trois, puis le diam�tre maximum de l'anus piquet, quatre centim�tre. Avec sa main il le retenait pour que l'anus reste ouvert au maximum. Aussit�t qu'il le rel�chait un peu le god rentrait � nouveau, ou cherchait � ressortir tout seul�
La petite encul�e g�missait doucement, elle avait mal� Il s'en foutait, il ne se lassait pas du spectacle du trou du cul ouvert � la dimension d'une grosse pi�ce de monnaie. Il s'amusa de longues minutes, presque sans bouger l'appareil.
Puis subitement il le ressortit presque compl�tement, le rentra � nouveau jusqu'au diam�tre maximum, l'enculage recommen�ait�
La fillette se mit � pleurer de douleur� Il continua le va et vient du chibre en latex de sa main droite, positionna ses doigts de la main gauche sur sa chatte offerte, l'index directement dans son vagin, la salope mouillait �norm�ment�
Il besogna les deux c�t�s en m�me temps, titillant son clitoris � chaque passage.
Au bout de quelques minutes ses pleurs furent entrecoup�s de g�missements de plaisir, il retira compl�tement le god de son trou du cul. Aussit�t la gamine respira � fond de soulagement. Cela ne dura pas longtemps, l'engin se mit en position � l'ouverture de son vagin� Il le poussa � fond�
Sa chatte fut combl�e � fond tout de suite, sans douleur, les l�vres de son sexe se referm�rent et emprisonn�rent l'engin�
Il remit Nadine debout, lui demanda de s'asseoir sur ses jambes, le visage vers la vitre. Elle l'enjamba, � califourchon, se pla�a juste au dessus de sa bitte en �rection. La gamine fit attention, posa son anus juste sur l'extr�mit� de sa verge.� Elle redescendit doucement son corps, se laissant empaler le trou du cul.
De sa main droite le docteur toucha doucement le god enfouit dans sa chatte.
Il commen�a � le d�placer pour le faire aller et venir dans son vagin.
La fillette g�mit plus fort, puis se laissa aller de tout son poids, son petit cul s'ouvrit encore plus, elle s'empala sur sa queue. La petite fille �tait encul�e � fond, appuyant sur ses couilles.
Il continua le besognage de son minou avec le god, ressentit que la gamine avait envie de jouir, elle �tait trop excit�e. Pendant une heures son trou du cul avait �t� combl� par la verge en latex. Maintenant sa chatte, elle n'en pouvait plus� La petite salope s'aidait d'elle m�me avec ses bras, s'accrochant, tirant sur le volant de la voiture, elle montait et descendait, coulissant sur la queue�
Elle adorait �tre sodomis�e, surtout quand en m�me temps on lui travaillait sa petite chatte. Avec sa main libre il lui travailla les seins, tirant fortement sur les t�tons, la petite perdit toute notion de r�alit� g�missant tr�s fort.
L'orgasme qu'elle eut la fit jouir avec une extr�me violence, elle hurla en m�me temps qu'elle fut secou� par des d�charges dans son bas ventre.
Voyant cela il ne put se retenir, il �jacula et jouit aussi dans son petit cul.
La petite encul�e se fit irriguer l'int�rieur par de longs jets chauds de sperme.
Elle adorait, remuant son bassin, le faisant onduler, cambrant ses reins au maximum pour mieux ressentir les d�charges de sperme�
Vid�, il attendit quelques minutes, savourant ces instants paradisiaques, retira le god de sa chatte, souleva la petite, lui demanda de se retourner vers lui.
Elle changea de position, se retourna, comprit d'elle m�me s'empalant la chatte sur sa queue. Il l'embrassa longuement, lui fouilla la bouche avec sa langue. Nadine fondit de plaisir, s'abandonna, ouvrit � fond les cuisses,� poussa de tout son corps pour ne pas perdre un centim�tre de queue dans son bas ventre.
Avec ses deux main il �carta ses petites fesses, son trou du cul s'ouvrit� laissant ressortir une bonne partie de la jutte qu'il lui avait mise quelques minutes auparavant.
Il en ramassa le plus possible avec ses doigts, la ramena sur le visage de la petite fille, lui fit l�cher toute le sperme qu'il avait ramass�
Elle savourait m�ticuleusement, sans en laisser, d�cid�ment elle adorait la jutte.
Il lui demanda de sucer sa queue pour la nettoyer. Elle se d�gagea, s'agenouilla entre ses cuisses pour commencer son travail de l�che.
Pendant cinq bonnes minutes elle lui "prodigua ses soins", ne fut satisfaite que lorsqu'elle ressentit sa bitte toute molle dans sa bouche, elle n'avait plus rien � avaler.
Le docteur en gros d�gueulasse qu'il �tait eu un phantasme, il pensa lui faire goutter le sperme d'une dizaine de mec, l'un apr�s l'autre. Il adorerait regarder le spectacle, la voire leur vider les couilles, elle se goinfrant de jutte pendant qu'ils la mettrait dans toutes les positions. Il faudrait qu'il l'am�ne un jour sur un chantier de travailleur pour la faire besogner par tous, c'�tait faisable, il y penserait�
Il reprirent la route pour rentrer � la maison. Nadine �tait �puis�e, elle dormit pendant une bonne partie du trajet, se r�veillant juste lorsque la voiture s'arr�ta. Ils �taient arriv�s, rejoignirent Jean Yves et Audrey dans la cuisine, ils finissaient de d�ner en �coutant un C.D. de musique.
Nadine mit tout de suite sur la table les jouets et diff�rents jeux de soci�t� achet�s l'apr�s-midi. Audrey n'�tait pas encore tr�s �panouie, mais cela allait quand m�me un peu mieux qu'hier. Elle participa, aidant � retirer les papiers et rubans des paquets cadeaux. Un petit quart d'heure apr�s, le docteur et Nadine se mirent � table aussi pour se restaurer un peu.
Le d�ner fut rapidement envoy�, Le docteur demanda � Nadine de jouer un peu avec Audrey dans le salon. La premi�re chose qu'ils firent d�s qu'ils furent seuls fut d'allumer la t�l�vision. Il �tait 19h 30, les actualit�s r�gionales n'allait pas tarder � commencer. Ils attendirent 10 minutes avant que l'affaire soit relat� comme un fait divers atroce, une fillette s'�tait noy�e en se baignant, on recherchait toujours son corps, � en croire le pr�sentateur, un autre gamin du m�me �ge avait disparue dans les m�mes circonstances 3 ans auparavant, on ne l'avait jamais retrouv� Le pr�sentateur termina en pr�cisant que la mar�e � l'endroit de la disparition avait tendance � emmener tout objet vers le grand large. Selon l'avis des enqu�teurs le corps de la gamine ne serait peut �tre jamais retrouv�
Le docteur poussa un ouf de soulagement, dans quelques jours l'enqu�te serait class�e, ils pourraient respirer un peu mieux.
Souriant ils rejoignirent les gamines dans le salon. La soir�e passa entre les jeux, la lecture et les questions des enfants. Le docteur leur dit que demain ils monteraient la piscine avec Jean Yves, qu'ils allaient pouvoir s'amuser � barboter dans l'eau. Vers vingt trois heures trente il ordonna aux filles d'aller se coucher, cette nuit elles dormiraient dans la chambre d'amie, du moins tant qu'ils n'auraient pas besoin d'elles� Il demanda � Nadine de bien surveiller Audrey,� lui dit doucement � l'oreille que si elle en avait envie, elle pouvait l'�duquer et faire ce qu'elle voulait avec, mais surtout pas lui faire du mal�
Nadine sourit, s'empressa de dire bonsoir. Ils leurs firent � toutes deux un bisous sur la bouche, les fillettes all�rent se coucher.
La casse de voiture et le ferrailleur II
Le docteur parla � jean Yves d'un autre projet qui lui tenait � c�ur, lui expliqua comment le ferrailleur avait bais� Nadine�
Selon lui il y avait certainement beaucoup d'autres mec qui paierait tr�s cher pour baiser une fillette, ou seulement se laisser faire une pipe par une petite fille.
En plus cela pourrait� perfectionner l'�ducation des gamines�
Jean Yves donna son avis, au point ou ils en �taient,� apr�s le rapt, ils ne craignaient rien de plus. Et puis si cela pouvait ramener beaucoup d'argent�
Le docteur continua � Si c'est bien fait, nous pouvons cr�er un r�seau par Internet, les gens viendront de tr�s loin pour goutter nos gamines, et pourquoi pas nos gamins�
Ce qui voudrait dire, lui r�pondit Jean Yves, kidnapper d'autres enfants ?.
Pourquoi pas lui r�torqua le docteur� Oui pourquoi pas ajouta Jean Yves�
Bon on va d�j� essayer de faire venir quelques personnes, d�j� propose Nadine et Audrey, on verra bien si elles veulent se laisser faire et prendre beaucoup de bittes. De toute fa�on r�pondit Jean Yves, si une fillette ne veut pas faire la petite putte, on l'obligera bien � se laisser faire�
Ils discut�rent un bon moment, de toute fa�on ils �taient d'accord pour monter leur bordel�
Quelques temps apr�s, fatigu�s d'avoir fait autant de projets ils all�rent se coucher. Il �tait 0h 30, ils �teignirent la lumi�re, s'endormirent rapidement.
Ils furent r�veill�s vers 7 heures du matin par Nadine et Audrey, les gamines tenaient � rentrer dans leur lit pour s'amuser� Nadine �tait toute contente, elle avait r�ussi en une nuit � convaincre Audrey qui fallait �tre docile, ceci pour apprendre beaucoup de chose� Les gar�ons leurs firent une place au milieu du lit. Les deux hommes demand�rent � Audrey si elle voulait se laisser faire sans probl�me, la fillette regarda Nadine en rigolant, baissa aussit�t les yeux en rougissant un peu. Elle avait d�j� prit des pinnes dans la chatte et dans le cul,�� elle voulait certainement en apprendre un peu plus, elle savait d�j� comme c'�tait bon quand la bitte rentrait... Nadine lui avait parl�, ils le voyaient bien�
Le docteur demanda � Jean Yves et Nadine, si ils �taient d'accord pour honorer et faire jouir Audrey ensemble, c'est � dire la baiser � trois�
Bien sur ils n'attendaient que �a�
Ils commenc�rent � soulever la nuisette d'Audrey, les six mains caress�rent son petit corps, aucune partie ne fut oubli�e. Elle avait les seins sensibles, ses t�tons �taient encore tr�s rougis par l'�pisode des pinces � seins de la derni�re s�ance.
Le docteur se mit entre ses cuisses, lui l�cha longuement son petit minou.
Jean Yves ne put r�sister, lui mit sa bitte dans sa bouche, tandis que Nadine trouvait beaucoup de plaisir � lui caresser le bout des seins, surtout ou c'�tait un peu irrit� et rougis� Peu apr�s le docteur lui demanda de se retourner, puis de se mettre � genoux, il entreprit de lui l�cher son petit trou du cul, rentrant sa langue dans son anus. Jean Yves se mit devant elle, rentra � nouveau sa queue dans sa bouche. Elle se laissait faire avec une certaine satisfaction, en aucun cas elle n'aurait voulu que cela cesse, mais elle �tait maladroite et su�ait mal la bitte.
Le docteur demanda � Nadine de montrer � Audrey comment on faisait une fellation � un mec, aussit�t la fillette dit � Audrey d'arr�ter et de regarder comment il fallait faire. Nadine s'approcha de la pinne de Jean Yves, l'engouffra dans sa petite bouche. Elle lui travailla la queue en experte pendant quelques minutes, s'arr�ta, puis dit � Audrey, � toi maintenant�
La fillette avait compris et fit honneur � la belle bitte bien droite qui �tait dans sa bouche. De son c�t�, le docteur retira sa langue de son cul, changea sa position, appuya sa queue sur la petite corolle de son anus, la petite fille s'ouvrit compl�tement d'elle m�me. Le gland rentra doucement �cartant le trou du cul de la gamine. Elle se mordit les l�vres mais se laissa enculer� Elle avait un post�rieur magnifique, il mit une main sur chaque fesse �cartant assez fortement chaque c�t�, les deux lobes s'ouvrirent encore plus, il en profita pour pousser sa bitte plus � fond dans l'orifice anale. Elle g�mit fortement�
Le docteur adorait enculer des fillettes, il fallait les initier tr�s t�t � la sodomie, une fois suffisait, apr�s les gamines en redemandaient toute leur vie�
Jean Yves faisait toujours coulisser sa queue dans sa bouche, � voir les g�missements qu'il faisait, il allait bient�t juter dans la bouche d'Audrey.
Nadine comprit qu'il ne pouvait plus se retenir, elle pr�vint Audrey qu'elle allait recevoir son jus dans sa bouche, elle lui dit aussi qu'il faudrait qu'elle avale tout, comme elle m�me le faisait. Et comme le docteur lui avait dit de faire�
Jean Yves explosa dans sa bouche, la petite fille fut surprise, chercha � se lib�rer de la queue, voyant cela il lui poussa un peu plus sa verge au fond de la bouche en continuant � la remplir. Elle n'avalait pas, la jutte restait dans sa bouche. Nadine lui fit remarquer qu'il fallait qu'elle avale tout au fur et � mesure.
Sa bouche �tait pleine, elle comprit qu'il fallait qu'elle ingurgite tout sinon elle allait s'�trangler� Elle d�glutit enfin, les gorg�es se succ�d�rent, son estomac re�ut une bonne dose de liquide chaud. Il fallait lui apprendre � aimer la jutte, le docteur en profita pour lui dire de savourer la liqueur, de la faire tourner avec sa langue avant de l'avaler. La petite Audrey s'ex�cuta, elle deviendrait comme Nadine, c'�tait sur une bonne petite pompeuse de jutte�
Le docteur l'enculait toujours, lui aussi arrivait au summum de la jouissance, il �jacula aussi, la petite ressenti la jutte chaude se r�pandre par jets successifs dans son derri�re. Elle bougea son petit cul, le fit se tr�mousser pour faire comprendre � tous qu'elle avait bien senti� C'�tait id�al, la petite fille avait re�u ses deux jutes, ceci sans qu'on touche � sa chatte. Elle aimait recevoir par le cul et par la bouche, ce qui voulait dire qu'elle allait devenir une petite vicieuse au m�me titre que Nadine. Ils allaient pouvoir les faire remplir de jutte par beaucoup d'hommes, par le trou qu'ils choisiraient eux m�mes� Ils se lev�rent, d�jeun�rent vers 9 heures. Une partie de la matin�e fut occup�e par Jean Yves et les deux gamines � monter la piscine. De son c�t� le docteur s'occupa de ses affaires, donna quelques coups de t�l�phone, dont un au ferrailleur qu'il connaissait :
-��
All�, Mr Lantier,�
-�� Oui, lui m�me
-�� Bonjour Monsieur, Vous ne me connaissez pas r�ellement, enfin nous nous sommes vu l'autre fois � votre casse� La petite fille serait d'accord pour recommencer et m�me faire mieux, �a vous int�resse ?
L'homme resta silencieux une bonne dizaine de secondes.
-�� Faut voir, si c'est faisable pourquoi pas�
L'homme avait saisi la perche, de l'avis du docteur il ne la l�cherait pas de sit�t.
Le docteur continua :
-�� On est en train de cr�er un petit club, des Monsieurs qui aiment ��� Si vous �tiez int�ress�, on vous ferait des conditions exceptionnels� M�me qu'� chaque fois que vous am�neriez un adh�rent nouveau vous auriez un super bonus gratuit pendant quelques semaines� D�j� comme vous avez �t� tr�s correcte, vous avez droit � une deuxi�me fois gratuite, disons 2 heures gratuites, �a vous va ?.
Il continua, vous voulez qu'on vous l'am�ne quand ? .
L'homme saisit la balle au bond :
-�� Cet apr�s midi, j'ai rien � faire, c'est faisable ?
- C'est d'accord pour cet apr�s-midi ok, vers 14 heures. Le docteur pr�cisa : "
- Attention fringues propre, comme tous nos clients, lav� et sentant bon ".
- On sera donc trois avec moi, cela vous d�range ?.
-�� Non mais je pourrai faire ce que je veux ?
-�� Tout ce que vous d�sirez� ok.
- Vous aurez des amis qui seraient int�ress�s pour d'autres fois ?.
- Faut que j'en parle, mais j'en connais un qui attend que �a
- Bon en en reparlera tout � l'heure, au fait on fera �a dans la caravane ?
- Oui comme l'autre fois
- Bon je vous laisse � tout � l'heure Mr Lantier
Le docteur raccrocha. Il �tait heureux, il allait refaire monter Nadine par ce mec encore une fois, cela l'excitait bigrement.
Il alla les rejoindre dans le jardin, la piscine �tait mont�e, un tuyau d'arrosage �tait en train de la remplir. Il dit � Jean Yves: " on a notre premier client, le ferrailleur veut recommencer avec Nadine ". Jean Yves se marra�
Il appel�rent Nadine qui accourut aussit�t, le docteur lui dit : " Nadine on a un client ferrailleur qui veut recoucher avec toi cet apr�s-midi, tu vois qui ? ".
Nadine sut tout de suite qui c'�tait et dit : " Mais il a un tout petit zizi lui ! ".
Ils pouff�rent de rire� Ils continu�rent � lire le descriptif de la nouvelle piscine.
Il faudrait attendre pour l'utiliser, le remplissage de 15 m�tre cube d'eau demandait un certain temps�
Le docteur partit avec Nadine � 13h30, il laiss�rent seuls Jean Yves et Audrey, se dirig�rent vers la casse de voiture, il fallait faire environ 30 Kilom�tres.
Il avait fait mettre � la petite fille un slip de dentelles rouge, une minijupe en tissu tr�s l�ger. Il avait prit dans un petit sac le parfait n�cessaire de la petite salope. Une des petites tenue de soir�e qu'ils avaient achet�s ensemble l'autre fois. Une petite nuisette, un anus-picket gonflable, Un petit fouet � lani�res en cuir, de la vaseline, un god vibrant, une paire de menottes, et bien sur sa petite trousse m�dical contenant son mat�riel indispensable pour faire des piq�res�Avec une petite ampoule d'opium, et une autre d'un tranquillisant il �tait par� � toutes �ventualit�s.
Ils arriv�rent sans encombre, le gars les attendaient, il referma le portail � clefs derri�re eux d�s qu'ils les eut fait rentrer dans la cour.
L'homme n'�tait plus en bleu de travail, il portait un short bleu et un tee-shirt blanc � motifs orange et vert. Sans rien dire, il serra la main du docteur, puis celle de Nadine. La gosse baissa les yeux en rougissant un peu. Ils les emmena directement dans la caravane, referma la porte � clefs derri�re lui. Il ouvrit la bouche pour dire qu'il �tait d'accord. L'homme s'�tait assis sur un canap�, Nadine se trouvait en face de lui. C'�tait normalement un emplacement qui servait pour d�jeuner dans la caravane, mais la table avait �t� d�viss� du sol , il restait les deux banquettes l'une en face de l'autre. Le docteur dit � Nadine d'aller s'asseoir � c�t� du Monsieur, elle h�sita un instant, puis rapidement se retrouva � c�t� de lui. L'homme n'h�sita pas un instant, il mit sa main droite sur le tissu de la minijupe au niveau de sa cuisse et la caressa doucement. Nadine savait qu'elle devait se laisser faire, dans tous les cas,� lui avait dit le docteur� Puis sa main passa d�licatement sous le tissu,� se dirigeant vers l'entrejambe de la petite fille. Nadine d'elle m�me �carta ses cuisses pour que l'homme puisse toucher mieux sa petite culotte.
Il caressa sa petite fente sur le tissu un moment, il retira sa main et demanda � Nadine de se mettre debout, ce qu'elle fit aussit�t. Il la fit se retourner, lui demanda d'�carter les jambes au maximum, la petite se mit dans la position souhait�e. Il caressa son petit cul avec une main, l'autre passa par devant et entreprit de masser sa petite culotte et par la m�me sa petite fente. Le man�ge dura quelques minutes, puis s'aidant de ses deux mains, il baissa sa petite culotte jusqu'au milieu de ses cuisses, puis lui demanda de se retourner.
Nadine �tait maintenant serr� contre lui, les yeux baiss�s, elle n'osait pas le regarder, elle ressentait sa petite culotte qui la serrait aux milieu des cuisses, elle ne savait pas ou il voulait en arriver.
Il lui dit de s'agenouiller entre ses jambes, ce qu'elle fit imm�diatement, lui demanda de retirer les boutons de son short puis de baisser celui-ci. Il l'aida dans sa besogne, le slip blanc � bandes bleues lui apparut� Le docteur regardait, de plus en plus l'excitation montait en lui, il retira son short aussi, se caressa la bitte devant eux. Le slip �tait juste devant la bouche de la petite fille. L'homme lui prit la t�te dans ses mains, amena sa bouche sur le tissu, en lui demandant de sortir sa langue et de l�cher. Nadine �tait volontaire, la gamine ne mit aucune mauvaise volont�. Il laissa mouiller compl�tement le devant du tissu par sa salive pendant quelques minutes, tout � coup il lui demanda d'ouvrir sa bouche en grand. Elle ouvrit ses l�vres, une seconde apr�s la gamine recevait la bitte du Monsieur. La petite fut un peu surprise, mais pas longtemps, elle se mit � piper l'homme avec une technique que des puttes professionnels auraient envi�es.
Elle faisait �a tr�s bien, lui caressant les couilles avec ses doigts en m�me temps. L'homme assis se d�tendit, allongea ses jambes pendant que Nadine lui faisait la plus belle fellation qu'il n'ait jamais eu. Le docteur vint s'agenouiller derri�re la fillette, d'une main il commen�a � fouiller le sac ramener de la voiture, mit tous les accessoires par terre. L'homme fut tout de suite attir� par un objet qu'il ne l�chait plus du regard. Le petit fouet aux 5 lani�res en cuir, ce gros "con de salaud" avait envie de fouetter la petite fille. Le docteur r�fl�chit, apr�s tout une bonne correction bien appliqu�e �tait assez �rotique, cela ne ferait pas trop de mal � Nadine, encore que�Vaudrait mieux qu'elle ne s'en souvienne pas. Nadine ne remarqua pas le docteur pr�parer la seringue de somnif�re hypnotique derri�re elle, elle ne vit pas non plus l'aiguille rentrer dans une veine de sa jambe droite. Elle ressentit juste la piq�re, retourna son visage vers le docteur qui la rassura, et lui dit aussit�t de se laisser faire. Tout se brouilla rapidement dans sa t�te, ses forces l'abandonn�rent en une minute� Il en profita pour lui retirer compl�tement sa petite culotte.
Nadine �tait consciente, elle le resterait pendant tout la s�ance, en �tat de l�thargie, elle serait soumise ressentant tout ce qu'ils allaient lui faire.
Apr�s elle dormirait, � son r�veil tout serait oubli�, ou presque�
L'homme ne savait pas que le docteur avait anticip� ses d�sirs et allait lui permettre de r�aliser ses fantasmes. Il remit sa bitte dans la bouche de Nadine. Le docteur lui donna le fouet dans la main, lui dit qu'il pouvait y aller� L'homme n'en crut pas ses yeux, prit le manche, jongla avec l'objet, de contentement pendant quelques instants. Il retira sa queue de la bouche de la gamine, se leva. Nadine �tait toujours � quatre pattes, il regarda fixement son petit cul. Il leva le bras tenant le fouet, le rabattit d'un geste vif.
Les lani�res cingl�rent en s'abattant sur les belles petites fesses roses de la fillette�
Elle ne s'y attendait pas et eut tr�s mal, cria tr�s fort, mais sans r�ellement vouloir bouger, elle �tait presque paralys� par le produit inject�.
L'homme en voulait plus, le docteur allait l'aider, il releva Nadine, la mit sur ses genoux, la t�te en bas, les cuisses �cart�es.
Il fit signe � l'homme de recommencer�L'homme frappa nettement plus fort que la premi�res fois, visant le bas du bassin de la gamine. Les lani�res s'abattirent sur le cul et une partie seulement du bas ventre de Nadine, elle hurla de douleur. Le docteur avait compris, l'homme cherchait � la fouetter sur sa chatte, si possible dans le sens de l'ouverture des grandes l�vres de son sexe. Mais pour cela il fallait changer de position, lui ouvrir les jambes, les tenir �cart�es. Il d�pla�a donc Nadine, l'allongea sur le dos dans le grand lit de la caravane, il se mit � califourchon sur elle. Ses pieds immobilisaient ses mains,
il lui releva les jambes en hauteur, �cartant ses cuisses au maximum, la chatte offerte, ouverte en grand� Les lani�res s'abattirent juste � l'endroit qu'il fallait, elles cingl�rent ses l�vres dans le bon sens avec une force incroyable.
La petite fille hurla de douleur, l'homme �tait de plus en plus excit�, cela le faisait bander tr�s dur, sa queue �tait devenue beaucoup plus grosse que la fois pr�c�dente.
Le docteur regarda la chatte de Nadine, rien de bizarre encore, ses chaires �taient rougis mais normales, il autorisa l'homme � recommencer. L'homme s'appliqua � viser juste, il frappa ou il fallait, les lani�res cingl�rent sur sa fente, ouvrant les grandes l�vres de sa chatte. La fillette hurla de douleur, elle n'arr�tait plus de crier, des hurlements entrecoup�s de sanglots�
Le docteur regarda l'�tat de ses l�vres, elles �taient rougis et tum�fi�s, de grandes marbrures violettes �taient apparus sur son bas ventre.
Le docteur joua un peu avec ses morceaux de chairs, les bougeant avec un doigt. Une des grandes l�vres de son sexe �tait presque � vif�
Il prit avec deux doigts de chaque main chacune de ses l�vres, les tira au maximum de chaque c�t�, laissant d�couvert compl�tement le vagin et sa belle couleur rose, puis il retira ses mains�
Il lan�a un regard � l'homme, lui dit calmement :
" Encore cinq coups moyennement fort, l�vres ouvertes, l� elle va jouir�".
L'homme exultait� Le coup arriva avec une violence inou�e.
Les cinq lani�res avaient lac�r�s l'intimit� de la petite fille, l'entr�e du vagin, le clitoris, les l�vres du sexe �taient devenus tout rouges�
La gamine ce criait plus, elle g�missait � la limite de l'�vanouissement.
Les quatre coups suivants n'arrang�rent rien� Avant chaque coup de fouet, le docteur tirait � nouveau sur les l�vres du sexe pour bien d�gager l'orifice vaginal.
Ils contempl�rent leur travail� Ses l�vres �taient boursoufl�es, elle saignait un peu, le liquide rouge rentrait � l'int�rieur du vagin�
Le docteur fit signe � l'homme d'arr�ter avec le fouet, il lui dit que si il voulait il pouvait la p�n�trer. L'homme ne se fit pas prier, vint entre ses cuisses.
Le docteur la maintenait toujours �cart� en grand. Le type appuya le gland de son sexe sur les l�vres tum�fi�es et sanguinolentes de Nadine.
Il appuya � peine, le con de la fillette avala la pinne du con de mec�
Le sang lubrifiait tr�s bien, le bruit de la bitte rentrant puis ressortant du vagin �tait unique, la petite chatte �tait gorg�e de sang�
Nadine devait �tre �vanouie, elle ne r�agissait plus du tout, se laissant bitter.
Le docteur prit son pouls, le c�ur battait vite mais normalement.
L'homme la travailla cinq bonnes minutes avant d'�jaculer en elle.
Nadine ne bougeait toujours pas. Le docteur fit comprendre � l'homme que c'�tait � son tour de la remplir. Le mec laissa la place au docteur qui la prit par le m�me trou.
Il adorait mettre sa bitte dans une petite chatte qui �tait d�j� remplie de jutte, cela rentrait mieux, on ressentait des sensations bizarres, l'odeur du sperme l'excitait encore plus� Mais l� c'�tait encore meilleur, le sang faisait ventouse encore mieux, c'�tait g�nial�
Il juta cinq minutes apr�s, le vagin de Nadine �tait tellement plein de sperme et de sang qu'il voyait le m�lange ros� ressortir de son vagin en m�me temps qu'il la remplissait�Il resta quelques temps en elle pour goutter toutes les sensations puis se retira enfin, �puis� mais ravis�
L'homme fit du caf�, en proposa au docteur, ils s'assirent et discut�rent pendant que la fillette gisait inconsciente sur le lit.
������������������������������������������������ Les tarifs
Le docteur lui fit lire une feuille sur laquelle �taient indiqu�s les tarifs de l'association :
Pour une fillette :
-�� 500 Fr pour une pipe et caresses ( maximum � heure )
-�� 1000 Fr pour le baisage par la chatte ou pour l'enculage ( maximum 1 heure )
-�� Forfait pour 2 heures, comprenant toutes les sp�cialit�s en haut 2000 Fr
- Forfait sado-maso 4 heures comprenant les accessoires + le fouet� 3000 Fr
- Forfait 1 nuit comprenant toutes les sp�cialit�s en haut� 5000 Fr
- Forfait fantasmes + 1000 Fr dans tous les cas.
-��� Location d'une maison une nuit minimum + 1000 Fr + 1000 Fr jour suppl�mentaire.
- Pour deux fillettes en m�me temps :
- Tous les forfaits d'en haut major� de 1000 Fr
- + 1000 Fr par enfant suppl�mentaire.
Dans tous les vacations et forfait du haut� une personne de l'association sera pr�sente pendant les �bats. Si obligation de laisser seule la personne + 1000 Fr
Pour les forfaits d'en bas, l'enfant est confi� � la personne sous sa responsabilit�, une caution de 50000 Fr en esp�ce sera demand� et restitu� lors de la reprise de l'enfant.
- Pour le Week-end forfait un enfant 10000 Fr
- Pour une semaine forfait un enfant 20000 Fr
- Pour un mois forfait un enfant 30000 Fr
Pour les gar�onnets m�me tarif ( ou panachage fillette gar�onnets )
Vente de fillettes ou gar�onnets cession d�finitive ( �ge � pr�ciser ) :
100000 Fr.�
Pour le parrainage : Chaque personne amenant un client aura droit au demi-tarif sur tout le catalogue pendant 1 an. ( ou �quivalent en esp�ce ).
Pour toutes les demandes autres et sp�cifiques, une �tude sera effectu�e, les tarifs vous seront communiqu�s.
Tous les r�glements se font en esp�ce avant la vacation.���
Le type parut tr�s int�ress� par les offres, il demanda comment on pouvait le contacter, au cas ou il aurait des demandes, ou si lui m�me�
Le docteur lui donna son num�ro de portable, lui assura qu'il pouvait laisser un message si personne ne r�pondait. L'homme se dirigea une derni�re fois vers le lit ou reposait Nadine, la caressa partout, lui �carta les cuisses, contempla son �uvre. Elle �tait bien marqu�e des stries rouges recouvraient son bas ventre.
Les saignements s'�taient arr�t�s, juste des �corchures��
Il la retourna, regarda intens�ment ses fesses blanches et sa chute de rein. Le galbe �tait parfait, il passa sa main sur son petit cul, elle avait la peau extr�mement douce. Il lui aurait bien fouett� se c�t� la aussi�
Le docteur prit Nadine dans ses bras, repartit vers la voiture. L'homme ouvrit le portail, regarda le v�hicule s'�loigner avec un peu de nostalgie. Il venait de se rendre compte qu'il ne pourrait plus se passer de ces petits moments de folie et de saloperie. Bien sur il recommencerait, il ne savait pas quand, mais il �t� d�j� sur qu'il t�l�phonerait pour avoir un autre rendez vous.
Le docteur rentra sans probl�me, la fillette �tait toujours dans les vaps.
Jean Yves s'�tonna de voir la fillette dans cet �tat, le docteur lui r�pondit que ce n'�tait pas grave et qu'elle avait en un client difficile� Il l'emmena dans la salle de bain et lui fit prendre un bain, cela ramena doucement Nadine � la raison, elle se r�veilla et eut �norm�ment de mal � bouger, elle avait mal. Il l'installa sur le lit, lui fit une piq�re contre la douleur puis lui appliqua sur son bas ventre une pommade contre les h�matomes, le saignement avait �t� occasionn� par une �corchure � l'entr�e du vagin, pas si grave que �a�
il d�cida de la laisser se reposer un peu, alla rejoindre Jean Yves et Audrey.
Il r�suma la situation � Jean Yves qui ne trouva rien � redire,� m�me excit� de savoir que la petite avait re�u une correction avec un fouet entre les cuisses�
Il l'informa que durant son absence Audrey s'�tait laiss� caress�, qu'elle lui avait fait une pipe. La gamine commen�ait � se d�vergonder, ils allaient bient�t la faire monter par des mecs aussi.
Nadine vint les rejoindre vers 19 heures, elle marchait tr�s difficilement, son bas ventre �tait compl�tement endolori, elle demanda ce qui s'�tait pass�, pourquoi elle avait des marques sur le ventre et sur son minou. Le docteur l'informa sur ce qui s'�tait pass�, sans rien oublier. Il lui expliqua que certaines pratiques sexuelles �taient li�es � la soumission, aux jeux �rotiques sado-maso.
De toute fa�on elle ne craignait rien, le docteur �tait rest� avec elle pendant toute la s�ance et il la prot�geait.
La gamine ne fut pas du tout convaincu, elle lui dit qu'elle n'aimait pas �a�
Peut-�tre lui dit le docteur, mais si tu veux devenir diff�rente et �tre heureuse quand tu sera grande, il faut que tu passes par l� et que tu me fasses confiance.
Il lui fit un bisou sur la bouche puis changea de conversation�
A la prochaine s�ance, il ferait pire, elle aurait encore plus mal.
Il la droguerait encore plus, il voulait que petit � petit elle devienne soumise,� compl�tement, qu'elle accepte tout ce qu'il lui demanderait�
�
La soir�e passa rapidement. Apr�s le repas, les gamines essay�rent la piscine, elle barbot�rent, s'amusant jusqu'� 23 heures, moment ou tout le monde alla se coucher, dans le m�me lit� Ils s'amus�rent � se caresser pendant quelques minutes. Pas longtemps, tout le monde avait sommeil, les paupi�res se ferm�rent, ils s'endormirent rapidement.
Le lendemain fut une journ�e presque normal pour les enfants, ils jou�rent toute la journ�e dans le jardin. Les adultes �taient occup�s � d�finir une strat�gie pour leur futur bordel d'enfants. Jean Yves lui donna de bonnes id�es, il d�cida de les mettre en application imm�diatement, il voulait en plus qu'on passe directement au stade sup�rieur, c'est � dire louer aussi des gar�onnets pour les prostituer. Cela n'aurait pas �tonn� le docteur qu'il ait envie de s'en payer un. Fallait-il s'en procurer maintenant ou attendre les premi�res commandes ?.
Le docteur savait qu'il partait dans un truc compl�tement fou, bien au del� de ce qu'il avait d�cid� au d�but. Cela finirait peut-�tre mal, cela aussi il le savait, mais l'excitation que lui procurait tout �a �tait tellement forte que pour rien au monde il aurait abandonner son projet. Il pouvait prolonger ses vacances jusqu'� fin Ao�t si il le d�sirait, peut �tre plus il verrait�
Ils allum�rent l'ordinateur, cherch�rent des services sur Internet capable de faire passer leur petites annonces tr�s sp�ciales. Le docteur donna les coordonn�es de carte bancaire d'une de ses clientes, ouvrit un service � son nom.
Impossible donc de remonter � eux, ils changeraient de service et de nom tous les deux mois par prudence�
Le docteur alla chercher un nouveau t�l�phone portable, il ouvrit le service avec le nom de sa cliente, donnant le m�me num�ro de carte bleu que pour Internet pour r�gler l'abonnement. La correspondante qu'il eut au bout du fils lui donna son nouveau num�ro imm�diatement. C'�tait beau le progr�s�
Avec un peu de chance ils seraient tranquille pendant deux mois minimum, avant que la femme qu'il connaissait comme une de ses clientes, pour �tre tr�s brouillon et avoir des pertes de m�moires ne s'en aper�oive. Et encore si elle s'en rendait compte� De plus elle �tait tr�s ais�e, partant souvent en croisi�re.
Il y avait peu de chance pour qu'elle ne soit pas en vacances en plein mois de Juillet�
Les annonces qu'ils d�pos�rent sur Internet �taient ambigus, mais ne laissaient aucun doute sur la finalit� de la chose, ils faisaient du racolage, recherchant des clients pour des petites filles et des petits gar�ons� Ils s'�taient donn�s un rayon d'action de 200 Km au tour de leur r�gion.
Ils
se procur�rent des journaux, �cout�rent la radio pour l'affaire d'Audrey, tout
�tait class� de ce c�t� l�. Les flics n'avaient rien trouv�s, la petite s'�tait
officiellement noy�e, la fillette n'aurait pas du aller se baigner dans une
zone non surveill�e interdite � la baignade�
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Trois trous et trois bittes
pour Audrey
Ils d�n�rent vers 19h30, d�cid�rent � la fin du repas d'aller se promener.
Le docteur prit la voiture, se dirigea vers le bord de mer. Naturellement il fallait qu'ils �vitent la plage ou s'�tait pass� l'enl�vement. Ils se retrouv�rent donc � une trentaine de kilom�tre du restaurant la Rotonde. C'�tait assez loin du lieu du rapt, avec tout ce monde, et en pleine saison touristique ils n'y avait pas beaucoup de risque pour qu'on reconnaisse Audrey. Cet plage le docteur la connaissait pour l'avoir pratiqu� avec sa femme et sa fille il y a quelques ann�es.
Les souvenirs resurgissaient de sa m�moire, le d�chirant int�rieurement�
Il se ressaisit, proposa � Jean Yves et aux deux fillettes d'aller manger une glace dans un bistro en face de la plage. Ils s'assirent � la terrasse. Autour d'eux les touristes grouillaient, vivant leur vacances pleinement. Personne ne se souciait d'eux, ils discut�rent de chose et d'autres pendant un bon moment, d�gustant leur glace tranquillement.
La plage �tait magnifique, les filles voulurent aller faire un tour au bord de la mer. Ils se retrouv�rent donc rapidement les pieds dans le sable, longeant le bord des dunes. Jean Yves et le docteur s'assirent dans les dunes, tandis que les filles all�rent jouer beaucoup plus loin au bord de l'eau. Ils discutaient depuis un bon moment lorsqu'ils aper�urent un type qui tournait autour des gamines et leurs parlaient. Ils �taient trop loin pour savoir comment �tait le gars, mais ils remarquaient bien qu'il s'attardait autour des petites, discutant avec elles.
Cela dura une dizaine de minutes, ils se gard�rent bien d'aller les interrompre� Tout � coup ils virent les deux fillettes et le type se diriger vers eux.
Cinq minutes apr�s le jeune homme, environ 22 ou 25 ans maximum �tait devant eux�Il les salua, tr�s g�n�, leur dit qu'il n'avait rien � faire ce soir, que les petites lui avait parl� de la possibilit� de s'amuser un peu�
Il n'�tait vraiment pas sur de lui, ils auraient pari�s que le gars �tait pr�t � prendre ses jambes � son cou en cavalant tr�s vite au cas ou le docteur ou Jean Yves auraient eu l'id�e de lui casser la gueule. Le docteur comprit vite la situation, le type avait presque �t� racol� par l'une ou l'autre des deux fillettes, peut �tre les deux� Naturellement comme il aimait �a, il aurait vraiment �t� tr�s con de ne pas dire que �a l'int�ressait. Le docteur le rassura aussit�t, lui parlant gentiment.
Le gars se d�tendit, respirant un bon coup� Le cr�puscule s'installait doucement, la plage commen�ait � �tre d�serte, seules quelques couples enlac�s se promenaient au loin. Le docteur lui demanda si il �tait d'accord pour qu'on participe tous en m�me temps� Le jeune homme h�sita, puis int�rieurement se dit que si il disait non, il n'aurait certainement pas deux offres comme �a dans sa vie, il r�fl�chit un peu, puis donna son accord. Jean Yves fit remarquer qu'ils pourraient aller dans les dunes juste derri�re. L'id�e �tait bonne�
Ils se lev�rent, all�rent quelques dizaine de m�tres dans un renfoncement de dune, ils s'assirent les uns � c�t� des autres. le docteur demanda aux deux petites filles de s'allonger dans le sable et de se laisser faire� A ces mots le jeune homme se d�contracta r�ellement, il commen�a � s'approcher d'Audrey, lui prit la main. Les deux fillettes s'allong�rent l'une � c�t� de l'autre.
L'homme se coucha � c�t� d'Audrey, lui caressa le bras. Il n'osait pas encore, attendant que les deux hommes lui donne le feu vert pour la suite�
Le docteur s'allongea � c�t� de Nadine, mit sa main directement sous sa jupette, descendit sa petite culotte � mi-cuisses, releva la minijupe sur son ventre et commen�a � pratiquer des attouchements au niveau de son bas ventre.
Le jeune homme comprit qu'il pouvait y aller, il mit sa main sur la jupette d'Audrey, au niveau des cuisses, massa doucement et timidement le tissu.
Tr�s rapidement sa main passa en dessous, ses doigts en contact avec la petite culotte �cart�rent les coutures du bord de l'entrejambe, puis gliss�rent jusqu'� toucher la fente de son sexe�
Il caressa de nombreuses minutes la fente de la petite, la massant tr�s doucement. La fillette aimait bien et ne disait rien... Le docteur remarqua qu'une bosse se dessinait sur le jean de l'homme au niveau de la braguette, il le fit remarquer � Nadine, lui demanda de s'occuper de la bitte du Monsieur.
Elle se remit debout, toujours la petite culotte baiss�e � mi-cuisses, contourna l'homme, s'allongea � c�t� de lui et commen�a � toucher son jean.
Elle palpa,� c'�tait tr�s dure � l'int�rieur, elle entreprit de d�boutonner son jean, e faisant� appara�tre son slip.
La fillette connaissait le fonctionnement d'une bitte, elle avait le mode d'emploi� Nadine approcha son visage, souleva l'�lastique de son slip.
Comme par magie sa bitte se redressa toute droite trouvant la sortie d'elle m�me. En une seconde la fillette l'avait happ�e et introduit dans sa bouche. L'homme �tait heureux, il g�mit de plaisir pendant que Nadine commen�ait � le piper avec m�thode et application. En m�me temps il continuait toujours son massage sur Audrey, introduisant d�licatement un doigt dans son vagin, le faisant aller et venir dedans.
La fillette g�mit, �carta ses petites jambes un peu plus pour faciliter la p�n�tration. Jean Yves d�cida d'agir, il se mit entre les cuisses d'Audrey, retira sa petite culotte, lui �carta les jambes, les souleva en hauteur, tout en les maintenant� en l'air � l'aide de ses mains. Le doigt de l'homme avait suivi et s'�tait remis imm�diatement dans le vagin d'Audrey.
Le docteur parla � l'homme, lui dit que si il voulait baiser la plus petite des filles il pouvait� Il ne si fit pas prier plus longtemps, se mit � genoux entre les cuisses de la fillette, sa verge � la hauteur de l'entr�e de son vagin�
Il appuya doucement sa queue sur sa chatte, puis commen�a � pousser un peu plus fort sur l'ouverture de son intimit�
Le docteur demanda � Nadine qui ne faisait plus rien que regarder sa copine se faire travailler, de prendre et de masser les couilles de l'homme par derri�re.
Elle se mit � genoux, mit sa main, prit les deux testicules, les travailla comme le docteur lui avait montr�, les tirant l�g�rement, les faisant rouler avec ses petits doigts.
L'homme poussait de plus en plus, cherchant � ouvrir le bas ventre de la gamine.
Il prit un peu de sa salive, inonda l'entr�e de sa chatte avec, cela rentrerait mieux� En effet il remit sa bitte sur son trou, appuya � nouveau assez fort,
le gland de sa pinne rentra imm�diatement, �cartant le bassin de la petite fille�
Elle eut mal, un petit g�missement sortit de sa gorge�
L'homme la travailla bien, cherchant � rentrer � chaque coup de rein un peu plus de longueur dans la fillette. Sa bitte �tait belle, la longueur �tait moyenne, mais son diam�tre �tait assez cons�quent, la fillette �tait �cart�e comme jamais elle ne l'avait �t�, m�me par eux� Le docteur n'avait pas envie qu'elle crie trop fort, il s'approcha d'Audrey d�boutonna sa braguette, sortit sa bitte, l'introduit dans sa bouche. Si la fillette se mettait � crier, le son serait att�nu�.
Jean Yves se mit derri�re Nadine, sortit sa queue, l'encula tout en lui caressant la chatte� Le jeune homme besognait Audrey doucement mais fermement en poussant un peu plus � chaque fois son chibre dans son bas ventre.
Les cuisses tenues �cart�es en hauteur facilitait la p�n�tration, le gars avait les bras tr�s ouverts ce qui faisait que les Jambes D'Audrey �taient �cartel�es au maximum. Le docteur contemplait la grosse bitte rentrer dans le vagin de la petite fille, il lui manquait encore environ cinq centim�tres pour qu'elle soit bais�e enti�rement par la queue. La fillette g�missait de plaisir et de douleur en m�me temps. L'homme donna un plus grand coup de rein que les autres, la bitte rentra � fond dans le vagin, ses couilles battaient maintenant sur le con de la petite fille. C'�tait impressionnant � regarder, le gros chibre �tait rentr� dans la petite chatte� La bitte rentrait, puis ressortait � un rythme effr�n� de sa chatte� lui d�tendant les chairs un peu plus � chaque fois.
Le docteur faisait toujours coulisser sa bitte dans la petite bouche d'Audrey, presque pr�t � la remplir de jutte� Le gars aussi donnait des signes qui ne trompaient pas, il g�missait de plus en plus fort et n'allait pas tarder � remplir le ventre de la fillette. Il explosa� L'orgasme du jeune homme fut long et g�n�reux, la gamine re�ue une dizaine de gicl�es qui lui inond�rent son intimit�. Le docteur lui jutta dans la bouche un tout petit peu apr�s� Les yeux de la petite fille ne trompaient pas, elle jouissait et fut surprise d'�tre mouill�e des deux c�t�s en m�me temps.
Audrey attendait les gicl�es les une apr�s les autres, elle ne savait pas quand cela aller s'arr�ter. Jamais elle n'avait connu des sensations aussi fortes. Tout son corps �tait envahi d'une sensation de chaleur �trange et bienfaisante.
A l'int�rieur dans sa t�te, c'�tait comme-ci des petites aiguilles la chatouillaient, lui procurant beaucoup de plaisir. Elle avait tellement eu mal au bassin que maintenant elle ne ressentait plus aucune douleur�
Seul le liquide chaud qui lui entrait dans son petit trou lui faisait un bien intense� au plus profond de son ventre, c'�tait bon et chaud� Le liquide dans la bouche venait de rentrer aussi, il fallait l'avaler, comme les autres fois� Sinon Nadine, le docteur et Jean Yves ne seraient pas content�
Et puis au fond, ce n'�tait pas mauvais du tout, c'�tait un peu trop sal�, mais c'�tait onctueux comme de la cr�me�
Elle adorait qu'on s'occupe d'elle comme �a, elle aimait beaucoup� Il fallait faire tout ce que le docteur avait dit, il savait lui�
Le type se retira d'Audrey quelques instants apr�s. Le docteur demanda � la petite de se retourner et de se mettre sur les genoux cuisses �cart�es. Comme un automate, Audrey s'ex�cuta. Il demanda � Jean Yves de se retirer du cul de Nadine et de bien vouloir enculer Audrey, ses trois trous seraient remplis, la fillette aura �t� soumise � fond� Avec satisfaction il s'ex�cuta, mouilla de sa salive l'anus de la petite fille, appuya sa bitte sur le trou de son derri�re et lui rentra le bout de sa queue sur cinq centim�tres. Le docteur demanda � Audrey qu'elle continue � lui nettoyer la pinne, la fillette l�cha et aspira tout ce qui restait�
Sa bouche �tait toujours combl�, en cas de cris, le bruit serait att�nu� par la pinne dans la bouche. Jean Yves poussa plus profond�ment, sa bitte d�fon�a le petit cul de la fillette, elle g�mit tr�s fort. Bient�t toute la longueur fut rentr�e dans son post�rieur. Elle �tait encul�e a fond, les belles couilles battaient sur son derri�re � chaque ramonage de son conduit anal. La bitte du docteur �tait propre maintenant, il demanda au jeune homme de venir � sa place, il vint au niveau de la bouche d'Audrey et fit rentrer sa grosse bitte dans sa bouche. Audrey nettoya sa pinne comme celle du docteur, sans rien laisser, en aspirant � fond. L'enculage d'Audrey �tait � son paroxysme, Jean Yves �jacula dans ses fesses.
Il jutta en �cartant avec ses deux mains les fesses de la petite fille. Elle se contracta lorsque la premi�re gicl�e arriva dans son trou. Elle avait ressentie le jet chaud dans son ventre et remua un petit peu son cul de chaque c�t�, en faisant onduler son post�rieur.
C'�tait fini, les trois m�les s'�taient vid�s les couilles dans la m�me petite fille, par les trois trous de la fillette�
Jean Yves se retira du cul d'Audrey, se fut Nadine qui lui l�cha la bitte et nettoya sa queue. La gamine �tait un peu frustr�e, elle n'avait re�u aucune dose de sperme, ni par derri�re, ni par devant�
Il rassura Nadine, lui dit qu'elle avait d�j� fait ses preuves, qu'il ne l'oubliait pas, il avait besoin d'elle, elle serait la prochaine, et elle ferait tr�s certainement encore mieux qu'Audrey�
Tout le monde se rhabilla, sauf Audrey. Elle �tait compl�tement �puis�e par les bittes qu'elle avait re�ue. Le docteur l'essuya un peu, du sperme lui sortait par tous les trous, m�me sa bouche d�goulinait de jutte�
L'organisation du bordel
Il la rhabilla, la prit dans ses bras et s'en retourn�rent vers les habitations.
Le docteur dit au jeune homme que si il �tait int�ress� pour tirer un coup de temps en temps dans les gamines, il fallait qu'il lui passe un coup de t�l�phone. Il lui donna le nouveau num�ro du t�l�phone portable. Le jeune homme le nota avec pr�caution sur son petit calepin, ils se salu�rent, puis se s�par�rent rapidement. Dire qu'il ne connaissait m�me pas son pr�nom�
Ils rentr�rent directement au pavillon, Audrey dormit pendant tout le trajet, Nadine resta silencieuse. Jean Yves lui donna d'autres id�es qu'ils pourraient mettre en application, puis il ressentit aussi la fatigue et s'assoupit un peu.
Ils arriv�rent � 1 heure du matin. Il donna un bain � Audrey et tout le monde alla se coucher. Les fillettes dans leur chambre, les adultes dans la leur�
Ils s'endormirent rapidement, la journ�e, et surtout la soir�e avait �t� tr�s chaude�
C'est le bruit que les gamines faisaient en jouant dans la piscine qui les r�veilla. Elles s'en donnaient � c�ur joie, rien n'aurait fait croire, qu'hier soir encore, les deux petites filles mod�les �taient devenues pour quelques heures des petites puttes professionnelles. Ils se lev�rent, d�jeun�rent � quatre dans le jardin, tout le monde �tait en forme, il �tait d�j� onze heure du matin.
Tout le monde� avait bien r�cup�r�. C'�tait selon le docteur une journ�e de repos, il ne sortirait pas de la journ�e. Les deux gamines joueraient ensemble, pendant que les deux hommes mettraient une touche finale � leur projet.
Il avait donn� l'ordre � Nadine de s'occuper d'Audrey. Apr�s le d�jeuner vers 13h30 les deux gamines commenc�rent � inventer des jeux, qui pour une fois rest�rent des jeux d'enfants�
Le docteur et Jean Yves s'isol�rent, branch�rent l'ordinateur�Le modem cr�pita, la connexion Internet s'�tablit. 17 messages en quelques heures.
A�e, A�e, A�e,� 13 messages d'insultes: Honteux, vous cherchez quoi?, vous faire la peau, les gens comme vous�, on aura tout vu �, des salauds�, ordures�, impuissants�, la guillotine�si, si�, moi si j'�tais�, J'vous cr�verais�, couper les couilles�, l'innocence faut pas toucher�
Les quatre messages les plus int�ressants voulaient en savoir un peu plus, mais leurs assuraient d�j� de la complaisance de leur exp�diteur.
Le docteur leur r�pondit, donnant son num�ro de t�l�phone portable et en joignant les tarifs, tout en leur assurant une tr�s grande confidentialit�.
Il leur demandait de leur c�t� de faire de m�me.
L'hame�on et l'app�t �tait dans la rivi�re de la vie, il ne restait plus qu'� attendre.
Le docteur parla � Jean Yves d'une maison de campagne � cinq kilom�tres d'ici, encore plus isol�e que celle-ci. Il l'avait achet� au nom de sa fille dans l'espoir de la voire habiter � c�t� de chez lui lorsqu'elle elle serait plus grande.
La vie en avait d�cid� tout autrement� Il voulait l'utiliser maintenant, en cas de coups durs, cela pourrait leur servir d'abri, ou m�me pour isoler des enfants pendant quelques temps�
Lui restait le dilemme de savoir si il allait �tre d'accord pour les petits gar�ons�
Il en reparla � Jean Yves qui lui assura que de toute fa�on, fillette ou petit gar�on le tarif �tait le m�me�Et puis selon lui c'�tait bigrement bon � enculer. Leur faire une petite branlette pour avaler leur jutte, apr�s les avoir sodomiser �tait un raffinement des plus fantastique�
Jean Yves l'avait peu � peu convaincu, il restait � trouver un gamin, quel �ge devait-il avoir ?. Il lui r�pondit qu'un gamin de 10 ans pouvait �tre sodomiser sans probl�me et facilement rendu docile par le fouet ou la drogue�
Vraiment assez d�gueulasse ce Jean Yves� M�me plus que lui peut �tre�
En pratique il fallait kidnapper un gar�onnet, puis peu � peu le former � devenir un petit p�d�. Pour que des mecs puissent le sodomiser comme ils le voudraient, il faudrait l'enculer progressivement, l'ouvrir de plus en plus chaque jour�
Tout un programme d'initiation sous m�dicaments pendant les premiers temps.
Et le kidnapper ou ?, il n'�tait pas question de faire le m�me coup qu'avec �Audrey. Les flics pourraient faire le rapprochement�
Jean Yves lui assura que ce n'�tait pas �vident du tout, en pleine saison pas mal d'enfants se noyaient, la faute souvent � la connerie de leurs parents ou accompagnateurs, et puis la fameuse loi des s�ries existait aussi�
Le docteur pr�f�ra la solution de l'enl�vement, �videment ce ne serait pas la m�me plage, il faudrait au moins 100 Kilom�tres de distance entre les deux rapts. Le docteur sorti une carte routi�re, ils examin�rent les grandes plages qui se trouvaient � 100 kilom�tres minimum de l'endroit ou ils avaient kidnapp� Audrey. Une convenait tr�s bien. En pleine saison elle �tait r�put�e pour son engorgement de touristes, elle �tait situ�e � 150 kilom�tres de la villa�
Il ne restait plus qu'� mettre le projet au point. Pour Audrey, ils avaient s�lectionn� la gamine. Pour le gamin il faudrait agir diff�remment, rep�rer sur une plage un gamin de 9 � 10 ans, tr�s beau de visage et de corps, qui ne soit pas con, et si possible qui aime jouer � touche pipi�
De l'avis du docteur Nadine et pourquoi pas Audrey allaient leur rendre un sacr� service. Le coup de la camionnette dans une rue adjacente devait fonctionner � tous les coups. Si Nadine rabattait le m�me pour eux c'�tait bon�
A dix sept heures Il demanda � Nadine de venir le voir, Audrey serait gard� par jean Yves pendant quelques heures. La gamine suivit le docteur dans son cabinet m�dical, il voulait faire un examen de contr�le...
Il installa Nadine sur la table d'examen, sans l'attacher, lui relava sa jupette, retira sa petite culotte. Il �carta sa petite fente, ses l�vres encore rougis par les coups de fouets �taient beaucoup plus ouvertes et dessin�es que lorsqu'il l'avait connu�
On devinait que son sexe avait d�j� �t� travaill� et ouvert par de nombreuses bittes, pareil pour sa petite poitrine, ses glandes mammaires s'�taient d�velopp�es, bient�t le port d'un tout petit soutien gorge la flatterait et lui ferait tr�s plaisir.
Il lui demanda de se retourner, de se mettre � plat ventre sur la table d'examen.
Il �carta ses cuisses, d�couvrit son anus, rentra facilement un doigt dedans, ses chaires �taient d�tendus, elle �tait pr�te pour toutes les sodomies qu'il d�sirerait.�
Il la rhabilla d�licatement, la caressant un peu, la fit descendre de la table, puis lui demanda de s'asseoir sur une des chaise qui �tait normalement r�serv�e � ses patients, il s'assit � son tour devant son bureau et commen�a � lui parler.
Il lui demanda si elle voulait continuer � l'aider, lui dit qu'il la consid�rait comme sa fille, que si elle ne le d�cevait pas, un jour c'est elle qui h�riterait de toute sa fortune. Maintenant elle devrait le consid�rer comme son p�re�
De son c�t� il s'engageait � ne jamais la laisser tomber ni l'abandonner pour toute sa vie. Il lui dit qu'en plus, il l'aimait plus qu'un p�re, car il la trouvait tr�s jolie, qu'il avait envie de faire l'amour tr�s souvent avec elle�
La fillette �tait flatt�e de tout ses compliments, contente en m�me temps que pour une fois on lui parle comme une adulte.
Nadine j'ai besoin de toi lui dit il, je suis certain que tu sais ce qu'on va faire.
Je sais que tu n'es pas b�te, tu as compris pas mal de choses. Si cela fonctionne comme on le d�sire, toute ta vie tu n'auras jamais de probl�me d'argent, tu deviendra tr�s riche.
Il nous faudra de temps en temps des enfants, pour les avoir il faudrait faire comme on � fait pour Audrey. Tu nous a bien aid� l'autre fois, il faudrait recommencer. Il nous faudrait un petit gar�on de l'�ge d'Audrey.
Tu veux nous aider ?.
La fillette ne mit pas longtemps � prendre sa d�cision, elle demanda tout de suite au docteur : "Et je pourrai m'en occuper comme je m'occupe d'Audrey ".
Le docteur vit tout de suite que c'�tait gagn�, il lui dit oui tout de suite.
La gamine r�pondit :" Dans ces conditions oui je suis d'accord ".
Le docteur poursuivit� Super, alors on va mettre �a au point comme on l'a fait pour Audrey.
Il ajouta : " Naturellement pas un mot � Audrey, du moins pour l'instant, c'est un secret entre toi, Jean Yves et moi ".
O.K. r�pondit la gamine. Ils rejoignirent Jean Yves et Audrey sans plus attendre. Les gamines repartirent jouer aussit�t dans le jardin en criant et gesticulant.
Le docteur parla aussit�t � Jean Yves, lui dit que c'�tait gagn�, Nadine voulait bien les aider � racoler un petit gar�on pour eux�
Jean Yves s'en r�jouit, il allait pouvoir bient�t d�foncer le cul d'un petit puceau.
La fin de la journ�e se d�roula rapidement, ils d�n�rent vers 20 heures. Pour une fois la soir�e se passa dans le jardin � jouer � un jeu de soci�t� achet� quelques jour auparavant. Ils all�rent tous se coucher vers 23 heures.
Les gamines rejoignirent leur chambre, Jean Yves et le docteur la leur.
Apr�s un peu de lecture et de caresses, ils s'endormirent rapidement�
Un jour avant la f�te nationale� Le docteur se r�veilla � 8 heures du matin avec cette id�e dans la t�te. Il voulait profiter de cette occasion pour kidnapper le gar�onnet. Demain il y aurait beaucoup de monde, �norm�ment de gens dans les rues, c'�tait le jour id�al� Jean Yves commen�a � se r�veiller, ce fut la premi�re chose que le docteur lui dit. Il �mergea doucement, se retourna sur le c�t�, salua la bonne id�e du docteur. Il ferait donc �a demain�
Ils se lev�rent, pr�par�rent le petit d�jeuner, l'odeur du chocolat chaud dut r�veiller les gamines, elles accoururent peu de temps apr�s.
Le temps �tait magnifique, il allait faire tr�s chaud. Le docteur pr�para le planning de la journ�e. Ce matin les filles allaient rester seuls, les deux hommes se rendraient � la petite maison de campagne du docteur�Cet apr�s midi il pr�pareraient les deux voitures, sans oublier le mat�riel qui leur serviraient � kidnapper le gamin� Ils partirent en voiture vers 10 heures.
Les cinq kilom�tres qui s�paraient les deux maisons furent effectu�s rapidement. La difficult� majeure pour acc�der � cette maison �tant le petit chemin de terre qu'il fallait emprunter, recouvert d'herbe assez haute et de ronces de chaque c�t�s, il fallait rouler tr�s doucement. La baraque situ�e en plein milieu de prairie �tait vraiment isol�e de tout.
Le docteur l'avait fait cl�turer, un seul grand et haut portail d'acc�s barrait l'entr�e de la propri�t�. La maison �tait ancienne, l'ensemble avait �t� en partie r�nov�e. Au Rez-de-chauss�e, 1 salon, 1 cuisine, 2 chambres, 1 WC. Un escalier en bois donnait sur un grand grenier am�nag�. La maison de campagne typique et banale. Il redescendirent, Jean Yves voulut savoir ce qui se cachait derri�re une vieille porte en bois tr�s �paisse. Le docteur lui r�pondit que c'�tait la cave, ils descendirent une trentaine de marches pour y acc�der.
Elle �tait vo�t�e, compartiment�e, s�par�e par trois portes �paisses, le sol avait �t� ciment�. On pouvait dire que la cave �tait relativement propre et saine, pas trop humide. Il avait investi en 10 ans une somme colossale pour refaire petit � petit cette maison. Elle �tait meubl�e sommairement, la d�coration manquait compl�tement de go�t, mais tout �tait fonctionnel et op�rationnel.
D�s maintenant, ils pouvaient amener un ou plusieurs enfants, m�me les clo�trer si ils le d�siraient�
Ils repartirent 1 heure apr�s. En rentrant Jean Yves pr�para le d�jeuner avec les filles. Le docteur alla dans le garage, commen�a � pr�parer la voiture et la camionnette, il ne lui restait plus qu'� changer les plaques min�ralogique, il le ferait au dernier moment. Sa trousse m�dical �tait pr�te, tous les m�dicaments, le chloroforme, des seringues, du ruban adh�sif, rien ne manquait�
Il revint d�jeuner avec Jean Yves et les enfants, toute l'apr�s-midi serait disponible pour se reposer et se d�tendre�
Apr�s d�jeuner, ils s'install�rent dans le jardin, bouquinant un peu. Vers 15 heures la sonnerie du t�l�phone portable les ramena � la r�alit� de leur projet.
Le docteur r�pondit imm�diatement :
- Oui, all�, bonjour�
- Bonjour c'est au sujet de votre annonce sur Internet
- La voix �tait masculine, l'interlocuteur devait avoir dans les quarante ans.
- Oui bonjour Monsieur, je peux vous renseigner ?
- Je voudrais bien savoir comment �a se passe, je serai int�ress�
- Fille ou gar�on, demanda le docteur
- Fille�
- Quel �ge ?
- Et bien disons�environ 8 ou 10 ans�
- Le docteur lui demanda son adresse Internet, v�rifia sur une liste qu'il prit dans sa poche, c'�tait bien un des quatre type qui �tait int�ress� et � qui il avait donn� le num�ro du portable.
- Vous �tes int�ress� par quelle formule ?
- �Et bien le forfait 1 nuit + 1 enfant suppl�mentaire + les fantasmes + la location d'une maison.
- Ce qui ferait 5000 + 1000 + 1000 + 1000� = 8000 Fr, Bon c'est disponible vous voulez r�server pour quand�
- Le week-end � venir�
- A quel nom on r�serve ?
- Mr Dupuis�
- C'est donc Samedi � venir, vous allez recevoir par courrier sur Internet l'adresse du point de rencontre, les vacations commencent � 21 heures jusqu'au lendemain matin 9 heures.
- Au revoir Mr Dupuis, � bient�t.
- Au revoir.
L'homme raccrocha, la premi�re "vacation" �tait pour dans 5 jours�.
La journ�e se continua entre les jeux des enfants et la lecture.
Jean Yves et Nadine s'absent�rent pendant une bonne heure, ils all�rent faire la sieste dans leur chambre� Audrey vint se blottir contre le docteur, il la caressa pendant un long moment. Elle �tait encore un peu triste, elle pensait s�rement � son p�re�
Le d�ner du soir fut envoy� rapidement, tous furent couch�s � 21 heures, le d�part demain matin �tait pr�vu � 5 h 30 du matin�
������������������������������������ � Le rapt du petit Kevin
Le r�veil sonna � 5 h 30, ils se lev�rent, r�veill�rent les gamines difficilement.
Le petit d�jeuner fut envoy� rapidement, � 6h 15 ils �taient pr�ts � partir.
Jean Yves prendrait Audrey dans la voiture, le docteur et Nadine suivrait dans la camionnette. Ils seraient reli�s comme l'autre fois par une liaison cibi, en cas de non fonctionnement, ils avaient chacun leur t�l�phone portable.
Jean Yves partit en premier, la camionnette suivit aussit�t� Ils avaient tout calcul�, il y avait environ 150 km pour se rendre � la plage. Le jour de la f�te nationale il y aurait �norm�ment de monde. Le docteur voulait arriver de bonne heure pour pouvoir garer la camionnette facilement, il devait trouver un endroit super pour pouvoir �clipser l'enfant sans probl�me. Il essaya la liaison radio, tout fonctionnait � merveille. Jean Yves lui dit qu'Audrey dormait �
Le docteur lui confirma que Nadine s'�tait assoupie aussi�
Ils firent le plein d'essence � mi-chemin, arriv�rent aux abords de la plage vers 8 h 45. Il y r�gnait d�j� une forte animation, elle �tait beaucoup plus grande que celle ou ils avaient kidnapp� Audrey, beaucoup de voiture circulaient. Il firent 5 fois le tour des petites rues pour situer un peu l'endroit. La porti�re coulissante de la camionnette �tant situ� sur la droite du v�hicule, il lui fallait trouver une place du c�t� droit dans le sens de la circulation. Il n'en trouvait pas.
Au bout de 30 minutes de recherche infructueuse il se demandait ce qu'il allait bien pouvoir faire. Ce fut la CIBI qui trouva la solution, ou plut�t Jean Yves qui par radio lui dit qu'il avait trouv� une place qui � son avis pourrait convenir, il le guida par radio. En effet en plein milieu d'une rue perpendiculaire � la grande avenue de la plage, une place qui aurait pu contenir 2 voitures lui tendait les bras�En plus juste devant, une grande palissade de bois masquait le chantier en construction d'un pavillon.
Id�al� Personne ne verrait la porti�re s'ouvrir. Il se gara rapidement, se mettant bien au milieu, ne laissant aucune place pour qu'un v�hicule puise se garer devant ou derri�re la camionnette.
Jean Yves trouva une place un peu plus loin dans une autre rue.
Par radio le docteur leur dit qu'il aimerait bien prendre un autre petit d�jeuner, il se donn�rent rendez vous devant l'embarcad�re�
Avant de sortir le docteur prit les serviettes de bain et les accessoires de plage.
Ils se retrouv�rent donc comme convenu, et d�gust�rent un autre petit d�jeuner, nettement plus copieux qu'� 5 h 30 ce matin�
Le docteur et Jean Yves firent tr�s attention � ce qu'ils disaient, assis � la terrasse, beaucoup de gens �taient autour d'eux, il valait mieux �tre discret�
Trente minutes apr�s, ils se baladaient, suivant l'all�e commer�ante de la plage. Le docteur en profita pour acheter aux gamines un cerf volant, se procura aussi un grand parasol, plus quelques jeux divers. Avec tout ce fatras ils se dirig�rent vers la plage, s'install�rent sur le sable, l� ou toute � l'heure il y aurait plein de monde. Pour l'instant ce n'�tait pas l'affolement, juste devant eux des enfants jouaient � faire des ch�teaux de sable, une fillette d'une douzaine d'ann�e et un petit gar�on d'environ 11 ans. Nadine et Audrey voulurent essayer leur cerf volant, elle mont�rent l'engin, d�roul�rent la ficelle. Nadine tirait dessus, pendant qu'Audrey essayait par tous les moyens de lui faire prendre le peu de vent qu'il y avait. Le gamin et la gamine qui faisait leur ch�teau de sable furent int�ress�s par leurs nombreuses tentatives, surtout le gar�on qui s'approcha et leur dit qu'� son avis il n'y avait pas assez de vent�
Le courant passa rapidement entre eux, le gar�on invita les deux fillettes � leur donner un coup de main pour la construction de leur ch�teau. Elles s'essay�rent donc au m�tier de constructeur architecte de ch�teau de sable. Tout alla pour le mieux pendant une dizaine de minutes, jusqu'au moment ou la fillette qui �tait avec le gar�on s'�nerva, disant tout haut qu'elle en avait marre, que ces deux connes faisaient vraiment n'importe quoi�
La gamine jeta un regard m�chant � Audrey et Nadine, puis partit en maugr�ant� Le petit gar�on se retrouva seul avec les deux fillettes, il chercha � l'excuser, disant qu'avec elle c'�tait toujours comme �a, qu'elle s'entendait avec personne. Il rajouta que ce n'�tait pas sa copine, qu'ils se voyaient seulement � la plage le matin, et rare �taient les fois ou cela ne se terminait pas comme �a�
Le docteur n'en avait naturellement pas perdu une�Il avait tout entendu, tout suivi de la situation. Il essaya de d�tendre l'atmosph�re en pr�sentant les gamines aux petits gar�ons. Nadine, Audrey, et toi c'est comment ?.
Il r�pondit aussit�t : Moi c'est Kevin� Le docteur continua, lui expliqua qu'ils �taient venu � la plage pour une journ�e, pour se baigner et jouer dans le sable. Le gar�on eut les yeux qui s'allum�rent.
Il dit au docteur : " Mais alors on va pouvoir rester ensemble une partie de la journ�e�". Le docteur voulut en savoir plus, l'interrogea sans en avoir l'air� Oui c'est faisable, mais tes parents vont bien venir te rejoindre, ce midi tu vas bien manger quelque part non ?.
Le m�me baissa la t�te� Ma m�re elle est morte, je l'ai jamais connu�
Mon p�re travaille toute la journ�e sur un chantier � la construction d'immeuble. L'�t� il me fait venir pour les vacances, sinon toute l'ann�e je suis en pension.
De toute fa�on mon p�re il se fiche bien de ce que je fais�
Le docteur n'insista pas, d�cid�ment le hasard le laissait perplexe. Il �tait � peu pr�s certain que tout �tait orchestr� de la haut, de notre naissance � notre mort, tous les gens qu'on rencontrait, tous les coups de chance, toute la vie, tout �tait �crit�
Les enfants s'amusaient �norm�ment. Le docteur regarda Jean Yves dans les yeux, il avait tout compris. Ce n'�tait pas la peine de chercher ailleurs�
Le m�me �tait tr�s beau, loin d'�tre con, la preuve en �tait le contact qu'il avait �tablit tout de suite, et il n'�tait pas particuli�rement heureux.
Il y avait d�j� beaucoup de conditions r�unis pour qu'il devienne l'�lu�
Les enfants s'amus�rent comme des fous toute la matin�e, all�rent se baigner vers midi. Le docteur et jean Yves les rejoignirent peu apr�s. Il jou�rent au ballon ensemble dans l'eau� Le docteur voulut savoir si le petit pouvait �tre pris � l'hame�on, dr�le de p�che au petit gar�on�
Les enfants dit-il vous avez demand� � Kevin si il voulait d�jeuner avec nous ce midi ?. Le petit gar�on avait de la sensibilit�, il fit semblant de n'avoir rien entendu. Bien sur les gamines avait entendu, elle n'arr�t�rent plus de demander � Kevin si il voulait d�jeuner avec nous�
Le docteur ne laissa pas le petit gar�on plus longtemps dans cette situation g�nante pour lui, il reprit la parole, leur dit qu'on pourrait d�jeuner sur la plage tous ensemble, il suffisait qu'on aille chercher des frites et des saucisses, plus des glaces bien sur�
Il n'�tait pas question d'aller au restaurant ou d'emmener manger l'enfant quelque part, dans quelques heures toute le pays le rechercherait peut-�tre�
Les filles insist�rent tellement que Kevin s'avoua vaincu�
Jean Yves fit remarquer discr�tement au docteur que Nadine n'arr�tait pas de se coller et de se frotter sur le jeune gar�on, cela n'avait pas l'air de lui d�plaire du tout d'ailleurs. Nadine lui demanda quel �ge il avait,� timidement il r�pondit qu'il allait bient�t avoir 11 ans, enfin dans 6 mois�
Le docteur redemanda par acquis de conscience � Kevin si il n'�tait pas attendu par quelqu'un, dans l'apr�s-midi, ou la soir�e�. Le petit gar�on lui dit que seul son p�re l'attendait � la maison vers 19 heures pour aller d�ner en ville.
Ce fut Jean Yves qui fut de corv�e pour aller chercher le d�jeuner, il mit une vingtaine de minutes pour ramener les saucisses frittes et les boissons.
Le docteur estima qu'il y avait beaucoup trop de monde autour d'eux pour manger, les enfants cherch�rent avec lui une place beaucoup plus tranquille� Ils march�rent cinq minutes, s'�loign�rent un peu de la cohue des baigneurs, tout en restant au bord de la mer.
Quelques minutes apr�s, Kevin r�installa sa serviette de bain sur le sable juste au milieu de celle des filles�
Le principal pour le docteur �tant qu'ils aient chang� de place, ils brouillaient ainsi un peu plus les pistes.
Le d�jeuner fut ingurgit� dans la bonne humeur. Nadine et le docteur furent d�sign�s pour aller chercher les glaces.
En chemin le docteur demanda � Nadine ce qu'elle pensait de Kevin�
Elle lui r�pondit qu'elle le trouvait super et mignon � croquer.
Elle continua en rigolant : " Et il y en a la dedans, en montrant le devant du� slip de bain du docteur ". Tu veux dire quoi lui demanda le docteur ?.
Nadine r�torqua : " Et bien j'ai touch�, elle est d�j� tr�s belle�".
Le docteur reprit : " tu veux dire que tu as touch� sa bitte ? ".
Nadine reprit : " oui et il aime �a ".
Suffoqu� Le docteur �tait suffoqu� par le culot de la m�me�
Le docteur reprit s�rieusement, il va falloir trouver une excuse vers 16 heures pour que le petit monte dans la camionnette�
Il faudra que je monte quelques minutes avant lui pour pr�parer mes accessoires. Tu feras comme l'autre fois tu frappera 4 fois � la porte. Je pr�texterai un bateau en caoutchouc � gonfler, j'irai � la camionnette cinq minutes avant toi.
Tu demanderas � Kevin si il veut te donner un coup de main pour ramener le bateau sur la plage, il ne devrait pas te dire non�
Tu as bien compris Nadine ?
Oui, c'est facile�
Ils ramen�rent les glaces, tous les attendaient avec impatience, il faisait tr�s chaud, c'�tait le rafra�chissement tant attendu�
Le docteur en profita pour contempler le slip de bain de Kevin, en effet il put remarquer que la forme de sa bitte �tait d�j� bien dessin�e, ses bourses �taient form�es, sous le tissu tendu apparaissait une charmante petite bosse oblongue...
Le docteur et Jean Yves prirent un bain de soleil, les deux filles et Kevin jouaient � c�t�. Les deux hommes remarquaient plus particuli�rement de temps en temps les jeux de bagarre de Kevin et Nadine, la petite laissait se balader sa main sur le devant de son maillot de bain, quelques fois elle s'aventurait � caresser. La bitte du gosse ne mettait pas longtemps � se redresser dans son slip et � se mettre en �rection, cela plaisait �norm�ment � Nadine, qui en continuant � faire semblant de jouer s'int�ressait uniquement au zizi du petit gar�on.
Le pauvre m�me avait peur qu'on s'en aper�oive, il s'arrangeait pour se tourner de l'autre c�t�. Bien sur le docteur et Jean Yves fassent beaucoup d'effort pour faire semblant de ne rien voir�
La journ�e passait, il �tait 15 heures trente, le docteur dit � Nadine qu'il devrait aller chercher le bateau dans la camionnette. La fillette saisit la balle au bond et demanda � Kevin si il voulait aller l'aider � ramener le bateau. Bien sur le petit gars ne vit aucune objection. Le docteur fit remarquer qu'il ferait bien d'aller le regonfler un peu avant qu'il ne s'en serve� Avant de partir le docteur demanda � Jean Yves d'allumer son portable et de rester en veille.
Il dit � Nadine et Kevin d'attendre son coup de t�l�phone, cela lui donnerait le temps de regonfler les boudins en caoutchouc. Il se leva, prit le sac ou se trouvaient les clefs de la voiture et parti d'un pas alerte� La camionnette �tait en plein soleil, il faisait une temp�rature de plus de pr�s 40 degr� � l'int�rieur, le docteur laissa la porte coulissante ouverte pour faire rentrer un peu d'air frais.
Il attendit plus de 5 minutes que l'air chaud s'�vacue. Il regarda dans la rue, quelques rares voitures circulaient, essayant de trouver une place pour se garer. A cette heure, tout le monde se trouvait � la plage, ou en train de se pr�parer � regarder le d�fil� de chars fleuris. Il avait vu sur une affiche que le d�fil� commencerait � 16 heures, c'est � dire dans cinq minutes�
Il prit son portable, fit le num�ro, moins de 10 secondes apr�s Jean Yves r�pondit. Il fut bref, il lui dit que les enfants pouvaient venir chercher le bateau. Il savait bien que Kevin ne pouvait pas entendre la communication, il en profita pour redonner la marche � suivre � Jean Yves� Dans 5 minutes il devrait rentrer � la voiture, il lui pr�cisa qu'il fallait laisser la serviette de bain de Kevin sur la plage, il raccrocha�
Jean Yves dit aussit�t aux deux enfants qu'ils pouvaient y aller.
Tout content Kevin� se leva et accompagna Nadine d'un pas alerte�
Jean Yves attendit quelques minutes que les enfants soient hors de vue, il ramassa les affaires de plage, laissa la serviette de Kevin bien en �vidence sur le sable. Il prit Audrey par la main, au lieu de rentrer directement et de couper par la plage, il se dirigea vers la mer, suivit celle-ci sur la gauche pendant une cinquantaine de m�tres, puis remonta sur le sable en coupant tout droit.
Il se retourna, � sa gauche il aper�u la serviette de plage de Kevin.
Les couples qui se doraient au soleil� et les quelques enfants qui jouaient aux alentours ne s'�taient � son avis rendu compte de rien�
Le docteur referma la porte coulissante, ouvrit sa sacoche m�dicale, pr�para la seringue qu'il remplit d'un somnif�re, d�boucha le flacon de chloroforme et pr�para une grande compresse de coton.
Il attendit impatiemment. D�j� cinq minutes depuis le coup de t�l�phone, toujours rien� Il regardait par le pare-brise, jetait aussi un coup d'�il par le petit hublot de la camionnette. Rien, toujours rien� Sa montre affichait un retard de d�j� 10 minutes sur ses pr�visions�
Il appela Jean Yves par cibi qui, toujours fid�le au poste, lui demanda ce qui se passait. Le docteur lui expliqua son angoisse...
Jean Yves lui dit qu'ils n'allaient pas tarder, qu'il fallait attendre�
Il avait raison, il n'y avait plus qu'� attendre�
Il n'en crut pas ses yeux, � l'embouchure oppos� sur le trottoir d'en face ils les vit enfin arriver� Ils venaient par l'autre c�t� de la rue�
Il venait de comprendre, Kevin avait certainement eut envie de regarder les premiers chars de fleurs et de se m�ler� � la foule. Il vit Nadine et Kevin traverser la rue, arriver doucement vers la camionnette. Le docteur se rassura, apr�s tout, qu'ils viennent de l'autre c�t� ne changeait rien�
Il regarda si personne d'autres �tait � proximit�, il ne vit personne, seuls les deux enfants� A 10 m�tres de la camionnette� Il ne les vit plus. Il attendit�
Les 4 coups furent frapp�s. Le docteur inonda le morceau de coton de chloroforme puis referma calmement le flacon�
La porte s'ouvrit brutalement, Kevin vit le docteur, lui sourit, le docteur lui tendit les bras pour le faire monter dans la camionnette. En confiance il les saisit� Aussit�t dedans, le docteur referma la porte laissant Nadine � l'ext�rieur, elle savait ce qu'elle avait � faire.
Le docteur n'attendit pas plus longtemps, il retourna le petit gar�on en le soulevant, lui appuya la compresse sur le nez et la bouche en m�me temps.
Le petit se d�battait diablement, il avait beaucoup plus de force qu'Audrey�
Le docteur lui immobilisait les bras, le gosse ne pouvait que remuer les jambes, il n'arr�tait pas et le docteur recevait quelques coups de pieds.
La compresse �touffait compl�tement ses hurlements�
Il se d�battit environ 2 minutes. L'enfant de 10 ans ne pouvait rien faire de plus� Il se d�tendit peu � peu, le chloroforme agit, quelques petites secondes apr�s l'enfant �tait tout mou et n'avait plus aucune r�sistance. Le docteur laissa le coton une dizaine de secondes, puis la retira. Il d�posa Kevin sur le matelas, mit la compresse dans un petit sac poubelle herm�tique, cela sentirait moins fort que l'autre fois.
Il ouvrit sa sacoche, prit son st�thoscope, examina son c�ur, tout allait bien, au bout de deux minutes les battements �taient redevenus normaux.
Il fit la piq�re de somnif�re au gamin, lui entrouvrit la bouche un peu pour qu'il respire mieux.
Il retourna vers le devant de la camionnette, appuya sur le micro de la cibi.
Il eut aussit�t Jean Yves qui lui confirma que Nadine �tait bien rentr�e.
Le docteur de son c�t� aussi le rassura, l'affaire �tait dans le sac� On pouvait repartir.
Il retourna une derni�re fois voir Kevin, s'agenouilla � c�t�. Il contempla le petit gar�on en maillot de bain et ne put r�sister � toucher le devant de son maillot de bain. Il palpa ses formes, puis baissa son slip de bain jusqu'au milieu de ses cuisses et vit appara�tre sa bitte et ses deux petits testicules, il t�ta l'ensemble quelques temps. Il �tait bien fait. Il le retourna sur le ventre, admira ses belles petites fesses, ils les �carta avec ses deux mains et vit l'anus du gamin�
Il se dit que son beau petit cul allait recevoir un grand nombre de bitte et qu'il allait �tre �duqu� pour �a� Son petit contr�le n'avait pris que quelques secondes� Il d�marra la camionnette, retrouva un peu plus loin la voiture que conduisait Jean Yves. Tous les trois l'attendaient impatiemment �
Ils sortirent du village � la queue leu leu sans probl�me, reprirent la nationale pour rentrer chez eux. Le retour fut p�nible et long, ils ne voulaient absolument pas se faire remarquer et roul�rent normalement. Deux heures et demie apr�s ils arriv�rent dans la cour de la villa. Le docteur prit le petit gar�on dans ses bras, les deux filles ne dirent rien, et le regard�rent dormir. Il dit � Jean Yves qu'il allait lui faire quelques examens dans son cabinet m�dical, lui demanda de s'occuper des gamines. Jean Yves lui rappela que si il avait besoin de lui ou des filles, il fallait qu'il appelle par son portable.
Arriv� dans son cabinet, il d�posa Kevin sur la table d'examen, lui attacha les chevilles et les poignets avec les fixations velcro. Le petit gar�on avait les jambes ouvertes en grand, le docteur contemplait son corps. Il avait l'intention de v�rifier si le petit gar�on pouvait r�ellement �tre encul�, pour avaler des jutes c'�tait diff�rent, il n'y avait pas de probl�me� Mais pour une sodomie�
Le bassin des femelles, m�me petite �tait pr�vu pour s'�carter depuis la nuit des temps, mais le bassin d'un petit gar�on de 11 ans�
Pendant quelques heures il ne sentirait rien, c'est maintenant qu'il fallait essayer.
����������������������� L'enculage et l'initiation de Kevin
Le slip ne lui plaisait pas� Il retourna dans sa chambre et prit une des petite nuisette qu'il avait achet� l'autre fois. Pour une petite fille s'�tait d�j� assez �rotique, alors pour un petit gar�on� Il retourna dans son cabinet, retira les attaches de la table d'examen qui entravaient le gamin. Il lui passa la nuisette bleue � dentelle, puis retira son slip� Kevin avait une toute autre allure, il �tait d�sirable � souhait. C'�tait certainement cette tenue qu'il lui ferait mettre pour le faire monter par des m�les� Il le rattacha sur la table d'examen, caressa son corps partout sur la nuisette, il palpa sa queue, puis ses couilles pendant de nombreuses minutes sur la dentelle, n'y tenant plus il releva le tissu de la nuisette sur sa poitrine et se mit entre ses jambes. Son visage �tait juste � la hauteur de son sexe, il donna un petit coup de langue sur sa petite queue toute molle. Sa bitte sentait bon, il la glissa dans sa bouche et commen�a � la sucer doucement. Il joua avec le pr�puce, le remonta avec ses l�vres et fit tourner sa langue autour de son gland. Il s'appliqua ensuite � le piper d�licatement en serrant doucement sa pinne avec ses l�vres. Faire une fellation � un petit gar�on lui avait toujours plu. D'habitude les petits puceau ne se laissait jamais faire longtemps, dans sa vie il avait pu avaler seulement 2 ou 3 jutes de petits gar�on, les autres n'avaient pas voulu aller � la fin... Pareille pour les sodomies� Naturellement il dormait, il aurait bien voulu le voir se tordre de plaisir � l'�tat de veille. De toute mani�re tout ce qu'il allait lui faire maintenant serait refait lorsqu'il serait r�veill�, m�me si il fallait l'attacher pour qu'il se laisse faire...
Sa queue se raidissait un peu, il en �tait sur elle grandissait l�g�rement.
Au bout de quelques minutes de pipe, l'enfant �tait en �rection et un sourire de contentement se dessinait sur son visage. Il activa son travail de bouche et � l'aide de ses deux mains il �carta ses petites fesses, laissant un doigt dans la raie du cul, il appuya sur la corolle de l'anus et essaya d'entrer.
C'�tait trop serr�, personne, ni aucun objet n'�tait jamais rentr� par l�, � part les suppositoires� Il fallait l'ouvrir, ne fusse qu'un petit peu, juste pour voir�
Il prit le tube de vaseline sur sa table mobile, en recouvrit l'anus du petit.
Son doigt revint � la charge, appuyant � nouveau sur l'entr�e du trou du cul.
Ce fut diff�rent, le bout de son doigt rentra tout de suite. Il chercha � le sonder un maximum, ce n'�tait pas encore assez lubrifi� � son go�t, il remit de la pommade en quantit� sur l'anus et reprit son travail de pipe avec sa bouche et d'enculage avec son doigt. Cela coulissait nettement mieux, il for�a un deuxi�me doigt qui eut beaucoup de difficult� � rentrer, mais la vaseline aidant il y arriva�
Son cul enserrait fortement ses deux doigts, il les bougeait � l'int�rieur pour distendre un peu ses chaires, le mouvement de va et vient qu'il op�rait � l'int�rieur de son trou faisait bouger l�g�rement le corps du petit gar�on.
Il bourra une troisi�me fois son post�rieur de vaseline et remit ses deux doigts dans son intimit�, cela rentrait de mieux en mieux, il poussa un peu plus loin ses doigts, presque � fond�
Le va et vient dans son cul s'acc�l�rait, les deux doigts rentraient maintenant compl�tement. Il fallait qu'il sache� Le troisi�me doigt vint appuyer avec les deux autres, son petit cul s'ouvrit encore plus, les trois doigts �taient rentr�s� L'exp�rience �tait concluante, le diam�tre de sa bitte pouvait rentrer, et il venait de prendre la d�cision d'enculer Kevin imm�diatement . Il retira ses doigts, sortit sa bitte de sa bouche, puis il se releva, baissa son short, fit glisser son slip sous ses couilles.
Il bandait tr�s dure, sa pinne en �rection �tait bien droite, il la recouvrit de vaseline, en remit une derni�re fois sur le derri�re du petit gar�on.
Avec la position jambes �cart�e sur la table d'examen le petit gar�on �tait dans une position id�ale pour se faire enculer, juste � la bonne hauteur�
Mais ce n'�tait pas la position qu'il pr�f�rait� Il prit sa bitte avec sa main droite et l'amena sur l'anus du petit gars, il poussa d'abord son petit trou l�g�rement, puis le gland se sa bitte appuya plus fortement, ouvrant l'anus compl�tement.
Le bout du gland rentra dans le petit cul, le petit gar�on �tait encul� pour la premi�re fois de sa vie. Le docteur resta sans bouger en gouttant les sensations, le bout de sa queue �tait bien au chaud, son int�rieur �tait tr�s doux.
Il poussa tr�s doucement, rentra centim�tre par centim�tre dans son derri�re, puis commen�a sans brusquerie son va et vient d'enculage�
Sa sodomie se passait plut�t bien, pendant quelques semaines il faudrait l'enculer plusieurs fois par jour pour habituer son conduit annale � recevoir les pinnes des gars. Apr�s cela rentrerait tout seul, l'id�al serait qu'il aime �a et qu'il en redemande� Le gosse �tait toujours en �rection, pourtant il dormait et n'avait pas conscience de se faire enculer. La moiti� de la longueur �tait rentr�e, c'�tait tr�s bon, il �tait beaucoup plus serr� que dans le vagin d'une fillette.
Il lui caressa la poitrine, lui roula et tira assez fortement ses t�tons. Le petit gar�on eut sa premi�re r�action, il eut mal et g�mit assez fortement. Cela excita encore plus le docteur qui poussa encore un peu plus sa pinne dans son petit cul. Il pr�f�rait enculer les petits m�le lorsqu'ils �taient retourn�s le cul offert et � genoux, ici le gamin recevait la bitte dans l'autre sens, comme une femelle, les sensations d'enculage �taient diff�rentes.
Dans la pi�ce il y avait toujours le pouf sur lequel il avait encul� Nadine�
Il retira sa bitte de l'enfant, d�grafa toutes les fixations qui retenaient ses membres, puis il le prit dans ses bras, et le posa directement sur le gros coussin.� Son ventre reposant sur le gros pouf, le gosse avait les fesses sur�lev�es.
Il lui �carta les jambes � fond. Il �tait enfin dans la position qu'il pr�f�rait pour un enculage�Il remit sa bitte sur son anus et poussa directement, la pinne ouvrit son cul � nouveau et retrouva son chemin rapidement.
Il regagna tous les centim�tres un par un, l'enfant g�mit un peu, il devait commencer � ressentir le douleur�
Plus de la moiti� de son chibre �tait d�j� rentr� dans le petit cul et il continuait � pousser, son besognage �tait efficace, il ramonait son int�rieur rapidement et gagnait un peu plus de longueur � chaque aller retour� Il fut satisfait quelques minutes apr�s, ses couilles battaient sur les fesses du petit gar�on, le m�me �tait encul� � fond� Il n'en avait plus pour longtemps, il sentait la pression mont�e dans sa queue et ne put se retenir plus longtemps, son sperme inonda l'int�rieur du ventre du gamin� Il ne compta pas les gicl�es, l'enfant ne ressentait rien, il dormait et c'�tait mieux, pour la premi�re fois�Le docteur s'affala sur le cul et le dos du petit, il �tait �puis�, vid� compl�tement.
Il se retira d�licatement de son post�rieur, Avec ses deux mains il �carta ses petites fesses et contempla son anus, presque rien ne ressortait, juste un tout petit peu de liquide blanc suintait dessus. Tout son sperme �tait dans son ventre et y resterait�Il contourna le puceau, prit l'autre pouf qui se trouvait dans la pi�ce et le d�posa juste devant la t�te du gamin. Il s'assit dessus, prit sa t�te dans ses mains et la dirigea pour que sa verge mouill�e soit � la hauteur de sa bouche, il entreprit de jouer avec, passant sa bitte sur ses l�vres. Elles se recouvrirent aussit�t des quelques gouttes de sperme qui ressortaient encore de son membre viril. A l'aide de ses deux mains il ouvrit sa bouche en grand et y introduit son sexe, ses l�vres se referm�rent, �pousant aussit�t la forme de la pinne. C'�tait bon, humide et chaud�
Il resta dedans un bon moment, contemplant le petit gar�on qui dormait avec sa bitte dans sa bouche. Il se retira enfin, prit Kevin dans ses bras, quitta son bureau et l'emmena dans la chambre d'ami, puis le d�posa sur le grand lit.
Il alla chercher dans sa chambre des menottes, revint et immobilisa un de ses poignets, l'autre bracelet m�tallique �tant fix� � un des barreaux du lit.
Il essuya d�licatement avec une serviette sa petite bouche et d�cida de le laisser se reposer, il quitta la pi�ce et referma la porte derri�re lui.
Jean Yves et les petites d�naient dans la cuisine en �coutant des disques.
Il rassura tout le monde en disant que tout allait bien pour Kevin et qu'il dormait dans la chambre d'ami. Il demanda � Nadine si elle voulait bien coucher avec lui cette nuit, il lui expliqua que lorsque qu'il se r�veillerait il faudrait lui faire comprendre tout de suite pourquoi il �tait ici�
Il comptait sur elle et sur ses caresses pour qu'il ne fasse pas de probl�me.�
Nadine fut aussit�t d'accord et demanda si elle pouvait y aller maintenant.
Le docteur lui r�pondit favorablement en la pr�venant qu'il �tait attach� par des menottes, que pour l'instant il fallait les lui laisser. La gamine ne sembla pas surprise et quitta rapidement la cuisine pour se rendre dans la chambre d'ami.
Audrey press�e, voulut aller voir Kevin aussi,� le docteur lui dit qu'elle pouvait y aller, mais apr�s il faudrait qu'elle aille se coucher avec le docteur et Jean Yves. La gosse contente courut rejoindre Nadine et Kevin aussit�t.
Tout en d�nant, le docteur parla � Jean Yves, il lui dit que pour les bittes cela irait tr�s bien� Celui-ci comprit imm�diatement que le docteur avait encul� le petit gar�on.
Il continua en l'informant que demain il faudrait s'occuper de l'am�nagement de l'autre maison de campagne, se procurer tout le n�cessaire, des lits suppl�mentaires, au frigo, en passant par l'am�nagement tr�s sp�cial qu'il voulait apporter � la cave. Il voulait fixer des attaches aux murs, et insonoriser le local avec de la laine de verre. Jean Yves lui dit qu'il pouvait s'occuper de �a sans probl�me, qu'il en aurait pour au minimum 3 ou 4 jours.
Le docteur lui rappela qu'il fallait imp�rativement que tout soit pr�t avant que leur premier clients arrive, c'est � dire dans 4 jours�
Demain le docteur lui donnerait de l'argent en esp�ce pour acheter tout ce qu'il avait besoin, pas question de payer par ch�que ou par carte bleue�
Des pleurs interrompirent leur discussion, ils se pr�cipit�rent dans la chambre, Kevin venait de se r�veiller et se d�battait sur le lit. Les filles essayaient en vain de le raisonner, rien n'y faisait� Le docteur pr�para rapidement une seringue et injecta le contenu du produit dans les veines, l'effet fut imm�diat, ils purent remarquer l'efficacit� Au bout de cinq minutes, Kevin planait compl�tement. Il �tait conscient, les yeux ouverts, mais l'expression de son visage avait chang�, on aurait pu croire qu'il �tait heureux. Le docteur demanda � Nadine et � Audrey si elles voulaient bien le caresser. Nadine fut la premi�re � effleurer son zizi� Audrey trouva �a amusant, elle se mit � lui embrasser les t�tons�
Le petit gar�on �tait d�sirable dans sa petite nuisette bleue, le docteur d�boutonna sa braguette, sortit sa bitte et se mit � califourchon sur la t�te du petit gar�on, sa queue � la hauteur de sa bouche, il la for�a�
L'enfant le regardait, il n'avait plus aucune volont�, il ne comprenait plus rien, enfin presque� Seules les caresses que lui prodiguaient les filles lui donnaient un peu de plaisir, c'�tait agr�able, surtout lorsque Nadine se pencha sur son sexe et " l'avala " compl�tement avec sa bouche. C'�tait bon et chaud, sa petite bitte �tait toute droite et Nadine s'empressa de faire coulisser son petit p�nis avec ses l�vres. Le docteur demanda � Jean Yves si il voulait le remplacer�
Celui-ci accepta et le petit se retrouva avec un autre sexe dans la bouche.
Kevin � demi-conscient venait de comprendre qu'il �tait leur jouet, qu'il devrait faire tout ce qu'ils voulaient, tout ce qu'ils d�siraient, sinon�
Le docteur se pla�a derri�re Nadine qui �tait en train de faire sa pipe � Kevin, elle �tait dans la bonne position, la t�te baiss�e sur le sexe du petit et le cul relev�, elle ressentit sa petite culotte gliss�e sur ses fesses�
Le docteur lui �carta un peu plus les jambes et une chose tr�s dure appuya sur l'entr�e de son petit trou du cul. La gamine comprit tout de suite, elle �carta un peu plus ses cuisses, maintenant elle avait l'habitude, elle savait se mettre dans la position qui lui ferait le moins mal possible. Le gland appuya sur l'anus de la petite fille. Le docteur appr�ciait cet instant � chaque fois, juste avant l'enculage�Il faisait jouer l'�lasticit� des tissus de l'anus; son p�nis n'entrait pas tout de suite, mais appuyait assez fortement pour d�former son intimit�.
Les gamines n'appr�ciaient pas cet instant, elles savaient qu'elles allaient �tre encul�, mais sans conna�tre le moment exacte ou la bitte rentrerait�
Cela dura plusieurs minutes, au moment ou Nadine fut distraite par une r�action de Kevin, il poussa et encula la petite qui ne si attendait plus� Elle cria et l�cha le sexe du petit gar�on� Il lui ordonna de remettre sa bouche sur le sexe du petit� Elle s'ex�cuta aussit�t, le docteur ne plaisantait pas�
Il besogna la fillette par le trou du cul et demanda � la petite Audrey de lui masser les couilles pendant qu'il enculait Nadine, la fillette s'approcha et lui massa ses testicules avec ses petits doigts�
Kevin terrifi� ne perdait rien de la sc�ne, sa bouche d�form�e par la bitte il se laissait faire� Jean Yves exulta, le sperme jaillit, le gamin eut des yeux horrifi�s ne comprenant pas ce qui remplissait sa bouche� Il lui ordonna d'avaler et poussa sa queue � fond dans l'orifice� Le m�me forc� d�glutit sans arr�ter, le sperme ressortait de sa bouche et coulait sur le bas de son visage.
Jean Yves l'�tala sur son cou et sa poitrine, puis il demanda � Audrey de l�cher le sperme qui ressortait, la petite abandonna son massage de couilles et elle s'appliqua � nettoyer et � l�cher les t�tons de Kevin enduit de jutte. Nadine encul�e par le docteur continuait sa fellation sur le petit gar�on, la petite bitte �tait toute droite et bien dure. Le gosse avalait en m�me temps un maximum de jutte, il allait falloir qu'il apprenne a aimer �a, et autant commencer le plus t�t possible�
Les couilles du docteur �taient pleines, la jutte gicla dans le post�rieur de Nadine qui se mit � se tr�mousser des hanches, elle aimait �tre inond�, et elle le montrait�
La fellation que continuait � faire Nadine sur Kevin fut r�compens�e, la bouche de la petite fille se remplit du sperme du petit gar�on. La fillette venait de faire juter le m�me pour la premi�re fois. Kevin avait sur le visage une expression de bonheur et de satisfaction. En quelques heures il avait �t� encul�, puis avait aval� sa premi�re jute, et pour finir il avait eu son premier orgasme�
Il �tait pr�t � se faire soumettre et � devenir leur petite putte.
Le docteur demanda � Audrey de nettoyer sa bitte, la fillette dut s'ex�cuter, elle l�cha et nettoya la queue du ma�tre�����
Le lendemain fut un jour de pr�paratifs, Jean Yves commen�a � acheter le n�cessaire pour la petite maison, il emmena les deux filles pour qu'elles lui donnent un coup de main. Kevin resta dans la chambre, attach� au lit et sous tranquillisant. Il �tait conscient, le docteur lui apporta � manger le midi, mais avant de lui donner le plateau, il demanda au petit gar�on de lui sucer la bitte,
ce qui fut fait malgr� ses protestations� Le docteur continua et lui demanda se mettre en position d'enculage, il l'aida, et apr�s lui avoir enduit l'anus de pommade il le p�n�tra sans trop de probl�me, tout en le masturbant il �jacula dans son petit cul� Le gamin n'aimait pas encore �a, mais il se laissait besogner�
Il voulait l'habituer � �carter ses petites fesses quand le m�le le voulait.
Il fallait que le petit soit op�rationnel tr�s rapidement, il allait devenir leurs vides couilles plusieurs fois par jour.
Il �couta les flashs d'information, Kevin �tait recherch� dans toute la r�gion, la derni�re fois qu'on l'avait vu il �tait en compagnie d'une petite fille� Aucune �ventualit� n'�tait �cart�e, la fugue ou la noyade semblait probable, ses affaires ayant �t� retrouv�es sur la plage cette derni�re hypoth�se semblait l'emporter�
Un peu anxieux le docteur alla se promener sur Internet et ramassa une quantit� de messages, seuls trois ou quatre �taient vraiment int�ressants. Il r�pondit comme il l'avait fait auparavant en laissant son num�ro de t�l�phone portable.
Vers seize heures il rendit de nouveau visite � Kevin, apportant son goutter il lui fit une piq�re d'opium. Il attendit quelques minutes, puis recommen�a � abuser du petit gar�on, il se fit sucer et l'encula de nouveau, � genoux, l'enfant �carta ses cuisses de lui m�me, il semblait se r�signer � son sort.
Il g�missait � chaque p�n�tration, la pommade et l'opium ne l'emp�chait pas d'avoir mal, la bitte rentrait � fond dans son petit cul et les couilles battaient sur ses fesses, preuve d'un enculage efficace. Le petit bandait, le docteur le masturbait intens�ment, ce dernier se demanda si le petit n'appr�ciait pas un peu l'enculage et la masturbation en effet quelques signes de jouissance faisaient leurs apparitions�
Il repartit apr�s avoir joui � nouveau dans son petit cul, le m�me avait les yeux ouverts, il semblait lointain et absent.
Le docteur s'occupa dans son bureau pendant quelques heures, il fut interrompu par la sonnerie du portable, il reconn�t aussit�t la voix du ferrailleur�
- Bonjour, on serait int�ress� par une nouvelle s�ance, mais d'un genre un peu sp�cial�
- Cela consiste en quoi �questionna le docteur.
- Et bien on est plusieurs � organiser une petite soir�e et on aurait bien aimer pouvoir s'amuser un peu. On sera six et �
- L'homme h�sita un peu, le docteur lui facilita la t�che� Combien de gamines et de gamins lui dit-il�
- Je ne savais pas que vous faisiez dans les gamins, mais pourquoi pas� une autre fois peut �tre�
- Pour six hommes cela fera en tout un forfait de 10000 francs, remise d�duite et si je peux participer, sinon c'est plus cher�
- Oh la�. bon enfin�.
- Deux fillettes �a va ?
- Ok �a ira�. Pour demain soir c'est bon ?
- D'accord mais on fait �a dans un local � nous, un pavillon expr�s avec tous les accessoires, je vous t�l�phone demain pour vous donner l'adresse�
- Ok � demain�.
Le sourire aux l�vres il raccrocha, il avait pr�f�r� ne pas insister pour les petits gar�ons� Kevin n'�tait pas encore tout � fait pr�t pour participer � une partouze de ce genre.
Jean Yves et les gamines rentr�rent vers 19 heures, il leur apprit la bonne nouvelle pour demain. Jean Yves rousp�ta un peu, affirmant que le local n'�tait pas encore pr�t. Le docteur le rassura, il faudrait principalement une bonne quantit� de boissons alcoolis�s, l'id�e de fabriquer une sangria assez sp�ciale leur permettant d'atteindre des sommets lui plut, m�me si le "pavillon des tortures " n'�taient pas tout � fait pr�t�
La matin�e du lendemain passa rapidement, Jean Yves et les deux gamines firent la grasse matin�e, vers 9 heures ils partirent s'occuper du pavillon des tortures, tandis le docteur s'occupa un peu de Kevin. Jean Yves l'avait encul� deux fois dans la nuit, le docteur l'avait aussi honor� de sa bitte deux fois dans la matin�e. Le petit s'ouvrait de plus en plus facilement, les m�dicaments aidant il se laissait soumettre sans probl�me. Le docteur lui avait promis que si il continuait � �tre sage, il ne serait plus encha�ner, il pourrait se promener avec les filles comme il le d�sirerait.
Le gosse su�ait bien, avalant tout ce qu'on lui demandait, il ferait une petite putte parfaite�
Le docteur t�l�phona au ferrailleur pour lui indiquer la route � suivre pour arriver � la petite maison, le rendez vous �tait fix� � 18 heures, ce qui voulait dire que les fillettes allaient se prendre des bittes toute la nuit.
Jean Yves et les deux gamines rentr�rent � 14 heures pour d�jeuner. Les petites �taient toutes excit�es, elles savaient qu'elles allaient rencontrer des messieurs et qu'il faudrait qu'elles se laissent faire.
Elles n'avaient aucune id�e de ce qu'elles allaient endurer��
Vers seize heure, le docteur leur donna � avale deux comprim�s�
Il leur demanda d'aller s'habiller, de mettre ce qu'il avait pr�par�. Chacune une minijupe, culotte rose petit bateau, petite chaussette blanche et sandalette,
un tee-shirt moulant mettait en valeur leur gracilit� et leur tr�s jeune �ge�
Le docteur les contempla, il leur demanda de s'allonger sur le lit l'une � c�t� de l'autre, les filles obtemp�r�rent� L'une apr�s l'autre il baissa leur petite culotte et remplit leur chatte, puis leur cul de pommade antiseptique, il termina par de la vaseline� Elles �taient pr�te � �tre remplis de jutte par tous les trous�
�������������������������� La partouze 1
Il leur fit ingurgiter deux grands verres de porto chacune, le r�sultat fut telle qu'� 17h 30, les comprim�s et l'alcool aidant, les deux fillettes �taient dans un �tat d'euphorie et de soumission totale. Juste avant de partir, au dernier moment, le docteur se ravisa et d�cida d'emmener Kevin aussi, il verrait bien si les clients acceptaient, ce serait la cerise sur le g�teau�
Il fit une piq�re au petit gar�on. Les trois enfants s'install�rent � l'arri�re de la voiture. Les dix minutes de trajet qui s�paraient les deux pavillons s'effectu�rent � allure mod�r�e, il valait mieux �tre prudent�
Deux voitures �taient gar�es juste devant la maison de campagne. Ils avaient bien trouv� l'adresse. les porti�res des deux v�hicules s'ouvrirent laissant descendre les participants� Il y avait le ferrailleur, plus cinq autres mecs et une jeune femme�
Le docteur les rejoignit, leur serra la main, il se mit � discuter avec le ferrailleur; celui-ci lui remit une enveloppe�
La porte du pavillon s'ouvrit, tous furent invit�s � faire comme chez eux.
Jean Yves et les filles avaient bien fait les choses, un buffet froid avait �t� pr�par�, de nombreuses boissons alcoolis�es �taient � leur disposition. Il y avait aussi le grand bocal de sangria, m�lang� � des excitants, amen� le matin par Jean Yves.
Le docteur ressortit, puis revint quelques minutes apr�s avec les enfants� accompagn� de Jean Yves. Toutes les discussions s'arr�t�rent, les participants contempl�rent les gamines� Il fit les pr�sentations, chacun des m�mes fut rapidement entour� et choy�. Nadine re�ut sa premi�re main aux fesses�
Jean Yves installa Kevin sur un lit dans une des chambres am�nag�e dans la cave, le m�me �tait � la limite de la conscience et somnolait.
Les travaux du pavillon n'�tait pas termin�s, mais le principal �tait fait.
Au sous-sol, la cave �tait d�j� insonoris�e par de la laine de verre, des anneaux �taient d�j� fix�s aux murs, des cha�nes pendaient par terre, pr�tes � recevoir leur proies� C'�tait propre et tr�s bien fait, un lit dans chaque partie de la cave avait �t� mont�, les portes de s�paration avaient �t� recouvertes de laine de verre et de moquette. Le docteur essaya de s'enfermer dans la cellule ou reposait Kevin� Aucun bruit ne pouvait s'�chapper, seuls quelques petits trous perc�s dans une chemin�e laissaient passer un peu d'air frais pour assurer l'�vacuation du gaz carbonique, d�cid�ment Jean Yves �tait loin d'�tre un con, c'�tait le partenaire id�al pour ce genre de truc�
Une grande armoire dans chaque cellule renfermait quantit� d'accessoires, du fouet au martinet, en passant pas des menottes et des godes sans oublier la vaseline, plus une quantit� de tenues vestimentaires �rotiques.
Une seule salle de bain �tait disponible au sous-sol, cela ne devait pas �tre un probl�me majeur.
Le docteur remonta l'escalier, l'ambiance �tait bonne, quatre mecs �taient en train de picoler la sangria en discutant avec Jean Yves. Les deux autres plus press�s assis dans un fauteuil enla�aient chacun une gamine par les �paules et commen�aient � peloter les fillettes qui se laissaient faire.
La jeune femme �tait rest�e toute seule assise sur un canap�, sirotant un verre de porto. Le docteur se dirigea aussit�t vers elle� Elle �tait encore tr�s jeune, maximum 18 ou 20 ans, elle lui parut superbement belle, il s'approcha, en effet elle l'�tait�
Son visage �tait encore celui d'une tr�s jeune fille, son corps fr�le et gracile accentuait l'impression de puret� qui �manait d'elle. Ses v�tement ne pr�taient � aucune confusion, elle �tait l� pour participer aux �bats�
Il engagea la conversation, essayant de la mettre � l'aise, elle lui sourit aussit�t. Il comprit en un instant� Dans la nuit elle serait � lui, plus aucun doute n'�tait permis, il la d�sirait... Elle rougissait � chacune de ses questions, son c�t� fausse pucelle l'attirait �norm�ment. Il lui demanda directement si tout � l'heure elle voulait faire l'amour avec lui, elle le regarda timidement dans les yeux en laissant �chapper un : " pourquoi pas "�
Le docteur sourit, puis l'air d�sol�, lui fit comprendre qu'il devait s'absenter, il la quitta en lui lan�ant un : " A tout � l'heure ", prometteur�
Un des types avait d�j� sa main dans la culotte de Nadine, l'autre mec avait agenouill� Audrey entre ses jambes, sa braguette ouverte�
Le docteur intervint gentiment, leur rappela que des lits et accessoires �taient en bas � leur disposition, les types comprirent le message et descendirent aussit�t l'escalier, les gamines marchant devant eux�
Le docteur les suivit, il leur dit qu'ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient, que le local �taient insonoris� Les deux mecs qui �taient certainement plus que copains choisirent la m�me cellule, les deux fillettes se retrouv�rent dans un coin de la pi�ce l'une � c�t� de l'autre. Le docteur ouvrit l'armoire et fit contempler les instruments. Le plus �g� des types prit pour s'amuser un martinet dans sa main et balan�a aux gamines : " si vous n'�tes pas sage voil� ce qui vous attend�" . Il regard�rent avec satisfaction les instruments, puis se d�cid�rent rapidement. Ils harnach�rent autour du cou un collier en cuir � Audrey et le cadenass�rent, la fillette de 9 ans avait maintenant une laisse d'environ 3 m�tres. Pour Nadine ils lui fix�rent des cha�nes � chaque poign�e, la gamine de 11 ans se retrouva attach� aux deux anneaux fix�s au mur, les trois m�tres de cha�nes lui permettait d'atteindre sans probl�me le lit � elle s'assit par terre et attendit.
Le ferrailleur avait du pr�venir que le docteur pouvait rester pendant la s�ance, et �tre ou bon lui semblerait, car aucun des deux hommes ne parut �tonner de voir le docteur s'asseoir dans un fauteuil et contempler la sc�ne avec raffinement� Il avait �t� convenu par contrat verbal que tout pouvait �tre fait aux fillette, sauf attenter � leur vie, le docteur restait l� pour constater ce fait�
L'homme plus jeune s'assit sur un des fauteuils et demanda � Audrey de venir le rejoindre � quatre pattes, la fillette le cou enserr� dans son collier, tra�nant sa petite cha�ne rampa jusqu'� ses genoux. L'homme �carta ses jambes, fit approcher la petite fille au maximum, il fit reposer sa joue sur sa braguette et d'une main fit glisser sa fermeture �claire, il �carta le tissu et demanda � la petite de sentir et de renifler fort� La nymphette s'ex�cuta, l'homme dirigea sa t�te et la for�a � mettre son nez dans l'ouverture, pendant ce temps il commen�a � lui palper d�licatement son petit cul.
L'autre homme ne resta pas en reste, il demanda � Nadine de se mettre � genoux. Il se planta debout devant elle et demanda � la fillette de sortir sa bitte et ses couilles. La grande fille de onze ans d�grafa la braguette, introduit sa petite main � l'int�rieur, quelques secondes apr�s elle la ressortit tenant la grosse bitte de l'homme entre ses doigts. Avec plus de pr�caution elle alla rechercher les couilles et les fit appara�tre aussi. Nadine avait l'habitude�
Le type lui saisit la t�te avec ses deux mains, amena la bouche de Nadine sur sa verge. L'homme lui ordonna : " suce petite salope " . La petite engouffra son chibre dans sa bouche et commen�a sa fellation�
Audrey avait maintenant elle aussi, la bitte dans la bouche�
Les deux hommes se laissaient travailler la bitte par les gamines qui s'appliquaient, le docteur et Jean Yves les avaient bien �duqu�s.
A voir le contentement des deux hommes et leur cris de jouissance elles n'allaient pas tarder � �tre combl� de jutte par la bouche�
L'homme le plus jeune �jacula dans la bouche d'Audrey en premier, la petite de 9 ans avala le mieux quelle put les nombreuses gorg�es. Quel spectacle� le docteur prenait son pied, il regardait d�glutire la petite fille, elle avalait presque tout, les yeux exorbit�s de surprise� Le peu de liquide qui ressortait de sa bouche maculait ses l�vres et le bas de son visage, sublime soumission, inoubliable pour une fillette et enti�re satisfaction pour l'homme, rien n'�tait incompatible�
L'homme se d�tendit compl�tement � la renverse dans son fauteuil, la petite resta sans bouger la bitte dans la bouche pendant de longues minutes.
Nadine re�ut sa dose de sperme aussi, la d�charge fut plus courte mais g�n�reuse, la grande fillette de onze ans avala goul�ment, elle adorait la jutte et pompa le monsieur jusqu'� la derni�re goutte�
Les deux hommes rentr�rent leur bitte et d�cid�rent de garder uniquement leur slip, cela serait plus pratique pour tout � l'heure.
Leur imagination �taient sans bornes, ils eurent l'id�es de vouloir trimbaler les fillettes en les tenant encha�n�es� Ce qui fut aussit�t fait, les cha�nes c�t�s murs furent ouvertes, les petites furent oblig�es de remonter l'escalier � quatre pattes, les deux hommes tenaient en m�me temps chacun leur cha�ne et fouettaient leur croupe avec le martinet, l'effet �tait radical, les fillettes ob�issaient au doigt et � l'�il.
Les fillettes arriv�rent dans la salle principale, tous se retourn�rent pour contempler le spectacle�
Leur bouche encore recouvertes de sperme ne pr�taient � aucune confusion, tout le monde dans la salle savait maintenant qu'elles avaient aval� leur premi�re jutte de la soir�e. Un homme de petites tailles s'approcha des gamines, releva leur jupette sur le dos, laissant appara�tre leur beau petit cul bien enrob� dans les culottes roses � dentelles� Un autre plus grand voulut retirer les tee-shirt, il fallut retirer les cha�nes, puis les remettre l'op�ration accompli. Les gamines �taient maintenant torse nu. Le tissu � dentelles rose, �lastique faisaient saillir leur petites fesses. Le ferrailleur prit le martinet d'une des main d'un des hommes et fit semblant d'en donner un coup sur le cul de Nadine et d'Audrey, c'�tait sans compter sur l'assembl�e qui dans un toll� g�n�ral demanda l'application r�elle et imm�diate de la sentence. Le ferrailleur demanda que l'on tienne les fillettes et qu'on les b�illonne. La jeune femme qui n'avait rien dit jusqu'� maintenant sortit deux foulards de son sac, elle ouvrit la bouche de chaque gamine, y introduit un morceau de tissu qu'elle roula en boule, puis elle recouvrit avec le foulard, et serra tr�s fort le n�ud derri�re chaque t�te.
Deux hommes les saisirent comme une plume , les install�rent cambr�es sur le bord d'un grand canap� en velours noir, la t�te et le torse renvers�s sur le dossier, les mains pendantes. Seuls leur cul et leurs jambes �taient tenus �cart�s� en hauteur, chaque homme pouvait r�gler l'�cartement de leurs cuisses.
Tous les hommes caress�rent leur petit cul, le docteur et jean Yves preuve de leur accord firent de m�me. Quelle douceur fantastique, quel ravissement pour les yeux, chaque homme mit sa main dans leur petite culotte, caressant comme il le souhaitait, des mains s'aventur�rent sur leur devant, parcoururent leur petite fente. La jeune femme ne fut pas en reste, elle baissa l'un apr�s l'autre les deux petits slips et introduisit un doigt dans l'anus de chaque fillette. Le ferrailleur demanda � la jeune femme de se retirer. Il remit les petites culottes en place et souleva en l'air le martinet. R�alisant qu'il ne pourrait en fouetter qu'une � la fois, il demanda au plus vieux de l'aider, et lui confia l'autre martinet�
Les deux hommes avaient maintenant leur fouet en l'air pr�t � cingler les petits culs, les hommes tenaient �cart�es les cuisses des gamines, le ferrailleur voulait absolument les fouetter sur la fente, et non sur les fesses elles m�mes.
Le premier coup s'abattit en claquant sur la petite culotte d'Audrey, il avait vis� juste, en plein sur la raie du cul, les deux hommes maintenait chaque petite et corrigeaient l'angle pour que le coup arrive juste sur la raie et sur l'anus�
La fillette hurla de douleur, heureusement le b�illon faisait son effet, les cris furent compl�tement �touff�s.
Une seconde apr�s se fut au tour de Nadine, le coup fut rat� et bifurqua sur une des fesses, le ferrailleur pas content d�cida de s'occuper tout seul de la punition, il se remit entre les cuisses de Nadine et frappa�� Juste ou il fallait, la fillette se tordit en g�missant de douleur.
Trois coup furent donn�s � chaque fillette, d'une tr�s grande violence, avec une pr�cision extr�me.
Le ferrailleur baissa leur culotte l'une apr�s l'autre� Beau travail aucune trace sur les fesses, juste la raie du cul et l'anus tout rougis par les coups�
Il demanda que l'on retourne les fillettes, il allait faire pareille sur leur chatte�
Le corps de chaque gamine fut retourn� et maintenus par les hommes, maintenant les petites offraient leur devant au lieu de leur derri�re.
Chacun pouvait contempler l'expression du visage des fillettes, elles pleuraient, des spasmes de sanglots secouaient tout leur corps.
Le ferrailleur fit une petite pose et baissa leur petite culotte.
L'une apr�s l'autre, il mit sa t�te entre leur cuisse, l�cha leur chatte en rentrant sa langue assez profond�ment. Les fillettes se calm�rent assez rapidement.
Toute l'assistance �tait en extase, presque tous les hommes se masturbaient devant les gamines. Le ferrailleur d�cida de continuer sa punition avant de laisser les fillettes aux bittes des mecs. Leur petites culottes furent remises, les hommes �cart�rent les cuisses des petites au maximum, elles �taient � nouveau offertes aux coup de martinet.
Le premier coup cingla Audrey sur son slip en plein milieu de l'entrecuisse, juste ou il fallait, en plein sur les grandes l�vres de la fillette.
Elle hurla, gesticulant comme jamais elle ne l'avait faite. L'autre coup cingla Nadine avec encore plus de force, pareillement la fillette se tordit de douleur�
Les deux autres coups port�s � chaque gamine le furent sans m�nagement, donnant le m�me r�sultat � chaque fois, les petites d�liraient de douleur�
Le ferrailleur admira son �uvre, baissa leur culotte et contempla, le docteur jeta un �il aussi, le minou �tait rouge, irrit�, mais rien d'irr�parable n'avait �t� accompli. Le ferrailleur resta entre les cuisses d'Audrey, il sortit sa bitte, bandant tr�s fort, il appuya sur le trou de chatte de la plus petite. La m�me �tait dans les vaps, elle ne ressentit pas la grosse pinne rentrer dans son bas ventre.
Il la besogna durement pour une petite fille de 9 ans, sauvagement�
La jeune femme avec une bassine d'eau, humecta le visage d'Audrey, elle voulait que la gamine regarde sa p�n�tration. Le fait est que la fillette se r�veilla, ouvrit les yeux et comprit imm�diatement qu'elle �tait mont�e par une grosse bitte.
La jeune femme ne se contenta pas de �a, elle retira le b�illon et le morceau de tissu de la bouche d'Audrey, puis elle invita un gar�on � lui rentrer sa bitte dans la bouche. Les hommes qui soutenaient la fillette la baiss�rent l�g�rement, la bouche d'Audrey vint au contact de la pinne d'un m�le qui, appuyant p�n�tra la bouche de la petite fille.
Le ferrailleur la besognait sans m�nagement, � chaque coup de bitte la fillette bougeait et g�missait de douleur. Les deux hommes lui tenaient les cuisses et �cartaient son bassin au maximum avec force. Toute l'assistance pouvait remarquer que la bitte rentrait � fond dans le bas ventre de la petite fille, les testicules appuyaient � fond sur l'entrejambe. Il explosa, lui remplissant la chatte de jutte, une grande dose de sperme inonda le ventre d'Audrey.
A chaque gicl�e elle g�missait en gloussant, on aurait dit que sa souffrance s'estompait, peut �tre que le sperme chaud lubrifiait son int�rieur, apaisant son mal ?. Peut �tre aussi qu'un d�but de jouissance l'envahissait�?.
Le ferrailleur sortit du ventre d'Audrey en gueulant tr�s fort : " Au suivant � ",
Il changea de place avec l'un des mec qui soutenait Audrey, ce dernier vint entre ses cuisses, parlant � la petite, il lui dit : " Je vais t'enculer ma petite puce, je vais rentrer ma bitte dans ton tout petit trou du cul et tu vas aimer �a�".
Il demanda au deux porteur de retourner la fillette, les souteneurs durent replier les jambes de la petite et les �carter diff�remment� pour la mettre dans une bonne position d'enculage.
Le type derri�re le cul d'Audrey appuya sa grosse pinne sur l'anus de la petite, il avait vraiment une grosse bitte, l'enculage n'allait pas �tre facile.
Le docteur voyant ceci pr�f�ra mettre de la vaseline � nouveau dans son post�rieur, il lui remplit le cul compl�tement, en recouvrit aussi la grosse bitte de l'homme, qui se laissa faire avec d�lectation. Pendant tout ce temps la jeune femme caressait Nadine, se faisant l�cher la chatte par elle�
L'homme appuya � nouveau son gland sur l'anus d'Audrey, les deux mecs �cartaient ses cuisses au maximum. Un autre mit ses mains sur les deux petites fesses de la petite fille, les �cartant au maximum.
L'homme � la grosse bitte poussa son gros gland sur l'anus de la fillette, les chairs se distendirent un maximum, Audrey g�mit de douleur�
L'enculage continuait, la bitte cherchait son chemin, l'homme poussa encore plus fort, d'un seul coup la r�sistance fut vaincue, le gros gland rentra dans l'anus de la petite. Audrey se mit � hurler comme jamais elle ne l'avait fait, puis plus rien elle s'�tait �vanouie�
C'�tait surr�aliste� Un tout petit cul de fillette de neufs ans, avec en plein milieu un pieu de six centim�tres de diam�tre qui distendait incroyablement son anus� La nature �tait bien faite, chez une femelle, m�me tr�s jeune, la chatte et le cul �tait pr�vu pour recevoir le m�le des deux c�t�s� Depuis des centaines de milliers d'ann�es, l'habitude avait �t� prise�
Le docteur vint aussit�t avec son st�thoscope, le c�ur battait vite mais r�guli�rement. Le docteur demanda � l'homme de patienter un peu avant de continuer son besognage, il sortit sa trousse m�dicale, fit une piq�re dans le bras de la gamine. Elle revint � elle rapidement, le docteur fit signe � l'homme qu'il pouvait continuer doucement� Il reprit son enculage tr�s doucement, la gamine se remit � g�mir de souffrance�
L'homme lui caressa en m�me temps son clitoris par devant, lui fouilla sa chatte avec ses doigts, au bout de quelques minutes il ressentit la petite boule de chaire sous ses doigts, la protub�rance s'accentuait, devenant de plus en plus palpable au toucher. L'homme caressa son clitoris pendant de longues minutes, la gamine ne g�missait plus. L'homme d�cida de pousser un peu plus sa queue dans le cul de la petite fille. L'enculage continua doucement mais m�ticuleusement, l'homme s'enfon�ait un peu plus � chaque coup de rein, la petite n'avait plus l'air d'avoir mal, le titillement de son clitoris y �tait certainement pour quelque chose.
Son bourgeon devenait de plus en plus gros sous les doigts de l'homme, la fillette �tait de plus en plus lubrifi�e par devant.
Tous les yeux se portaient sur le petit cul rentr� par la tr�s grosse bitte, personne ne comprenait comment un si petit trou pouvait recevoir un aussi gros morceau.
Le gars qui mettait sa bitte dans sa bouche au d�but avait arr�t� et regardait subjugu� comme les autres l'enculage.
La fillette se mit � g�mir d'une autre fa�on, le plaisir montait en elle, les r�les qui sortaient maintenant de sa gorge n'avaient plus rien de commun avec ceux de douleur de tout � l'heure. La gamine commen�ait � prendre son pied, l'homme redoubla sa cadence d'enculage, la fillette avait mal au cul, mais le plaisir de l'excitation de son clitoris prenait le dessus�
Le gars devant la fillette remis sa queue dans sa bouche, et demanda � la fillette de bien le sucer, la petite de 9 ans recevait l'engin � fond dans sa gorge et paraissait accepter la fellation, ses yeux n'�taient plus horrifi�s, mais tout p�tillants, son visage avait une expression d'extase�
La grosse bitte de l'homme �tait rentr� presque � fond dans les fesses de la fillette. Il continuait sa pouss�e, appr�ciant beaucoup la douceur du conduit annale, sa chaleur lui donnait des sensations jamais connues jusqu'� pr�sent.
Il �tait tr�s serr�, comme jamais il ne l'avait �t�
Il poussa encore un grand coup, il y �tait, la petite fille �tait encul�e � fond, jamais plus la gamine ne serait �cart�e comme elle l'�tait, elle se souviendrait toute sa vie de cet enculage. Il jouit copieusement dans son post�rieur, la jutte par pression successive lui remplit son ventre. La fillette ressentait tout, un monsieur lui avait mis son gros zizi par derri�re, elle avait eu tr�s mal,� maintenant tout son corps �tait rempli d'une �trange chaleur. C'�tait agr�able, son minou �tait caress�, d'�tranges sensations rayonnaient dans son bas ventre. En plus maintenant dans son derri�re elle ressentait des jets de liquide qui rentraient, c'�tait chaud et tr�s bon, cela retirait tout le mal de tout � l'heure�
"Ah encore le liquide chaud qui rentre dans ma bouche, comme tout � l'heure, il faut que j'avale, le docteur m'a dit qu'il me punirait si je le faisais pas�
C'est sal�, mais c'est pas mauvais du tout, Nadine aime bien �a aussi�
Le docteur dit que c'est �a qui fait grandir les petites filles�".
Les comprim�s de tranquillisant, plus la piq�re d'opium faisaient leurs effets,
la gamine �tait consciente mais d�tach� de tout, elle �tait soumise et n'avaient plus r�ellement mal. Ses fesses, son bas ventre �taient tellement endoloris et meurtris. Ses sens �taient exacerb�s, un d�but de jouissance l'envahissait, elle n'avait jamais connue cette exquise confusion qui troublait ses pens�es et tout son �tre�
L'homme resta dans son post�rieur quelques minutes, lorsqu'il ressortit sa grosse pinne, elle �tait couverte du caca de la petite fille. Il partit se laver, la gosse put enfin se reposer, elle s'affala par terre dans un coin de la pi�ce sans bouger.
Les autres mecs rejoignirent Nadine et la jeune femme, elle se faisait l�cher la chatte par la petite fille depuis pas mal de temps� Les hommes commenc�rent � les caresser toutes les deux. Le docteur profita de cet instant pour s'approcher, il mordilla les seins de la jeune femme. Les autres ne trouv�rent rien � redire, invitant le docteur � la monter comme il le voulait�
Nadine se fit enculer rapidement par un des hommes, un autre lui mit sa bitte dans la bouche, un troisi�me lui massa sa poitrine en lui mordillant ses t�tons.
Le docteur s'�tait d�shabill�, sa bitte vint effleurer la con de la jeune femme,
elle comprit imm�diatement, �carta ses cuisses aussit�t, elle mouillait, le docteur n'eut aucun mal � la p�n�trer� Un autre type vint � la hauteur de sa t�te et se mit � califourchon dessus, il fit appuyer sa queue et ses couilles sur sa bouche,
la jeune femme se mit � l�cher m�ticuleusement les testicules de l'homme...
La partouze dura longtemps, toutes les couilles se vid�rent, toutes les chattes se remplirent�.
Les hommes avaient amen� un jeu de carte, vers minuit une partie de poker assez sp�cial commen�a. Les petites filles oblig�es de rester sous la table de jeux allaient de bitte en bitte en restant environ une dizaine de minutes sur chaque queue� Lorsque la fellation n'�tait pas correcte, l'homme se saisissait du martinet rest� en permanence sur la table, amenait la gamine au centre de la pi�ce et lui administrait une correction tr�s s�v�re, toujours des coups port�s sur le sexe ou les fesses des gamines. Chaque fillette apr�s deux punitions chacune, savait que les mecs ne plaisantaient pas et vidaient leurs couilles sans en laisser une goutte�
Jean Yves avait pr�f�r� rejoindre Kevin, il l'avait d�j� encul� plusieurs fois dans la nuit, et cela n'�tait pas fini, toutes les heures il mettait le petit gar�on dans la position qu'il souhaitait, toujours diff�rente � chaque fois et il le sodomisait � nouveau.
Le docteur parla longuement avec la jeune femme, elle se nommait Sandy. Difficile de trouver plus perverse� Elle avait 21 ans, le docteur crut comprendre qu'elle avait des probl�mes avec la justice. Elle avait �t� ramass� quatre jours plus t�t par un des mecs, qui l'avait pr�sent� aussit�t � ses amis, depuis elle leur servait de vide couilles�
La jeune femme fut tr�s int�ress� par la proposition du docteur. Ils allaient devoir s'agrandir, une salope comme elle pouvait surveiller les m�mes, et de surcro�t int�resser aussi beaucoup de mecs. De plus elle �tait tr�s mignonne, avec son visage innocent on aurait pu lui filer le bon dieu sans confession�
Il fallait qu'elle quitte les autres mecs, c'�tait le probl�me�
Il lui dit de revenir une heure apr�s leur d�part, ils ne sauraient jamais ou elle �tait parti, il valait mieux �tre prudent, au cas ou un des mecs la revendique. Preuve de leur futur collaboration il lui fila discr�tement 1000 balles, la jeune femme n'avait pas vu autant d'argent depuis longtemps.
Vers quatre heures du matin, deux mecs un peu �m�ch�s vinrent trouver le docteur, ils se rappelaient avoir aper�u un petit gar�on� Ils aimeraient bien s'amuser avec l'enfant. Le docteur r�fl�chit vite, et pr�f�ra dire oui, pour la suite ce n'�tait pas le moment de faire de la r�sistance.
Il les emmena dans la cellule ou reposait Kevin, le gosse dormait sur le ventre cuisses �cart�es, du sperme coulait de ses fesses, le travail de Jean Yves avait laisse des traces�
Tr�s rapidement un des hommes se retrouva derri�re l'enfant, ils le firent tenir � genoux cuisses �cart�es, la bitte de l'homme l'empala rapidement. Le sperme dans le cul du petit facilita la tache grandement, il �tait d�j� lubrifi�, la queue rentra facilement dans l'anus de Kevin. La p�n�tration r�veilla l'enfant qui se mit � pleurer, l'autre homme �touffa aussit�t ses pleurs en lui mettant sa queue dans la bouche�
Ils l'encul�rent chacun � leur tour sans probl�me, le petit gar�on de 9 ans �cartaient de lui m�me ses cuisses en grand, il savait d�j� que plus il ouvrirait ses fesses, moins il aurait mal.
Les d�bats avec le gosse dur�rent une bonne demie heure, il re�ut deux doses de sperme� Les types remont�rent dans la pi�ce du haut, peut de temps apr�s l'enfant �puis� s'�croula sur le lit et s'endormit aussit�t.
La partie de poker �tait fini, les mecs tous crev� sirotaient leur verre en discutant. Audrey dormait sur un fauteuil, seul Nadine �tait assise sur les cuisses d'un type, bien sur la fillette �tait empal� sur sa bitte. Il tira un dernier coup dans les fesses de la fillette.
Tous d'un commun accord, d�cid�rent vu l'heure de rentrer chez eux.
La jeune Sandy fut la premi�re � se lever, les autres suivirent, ils serr�rent la main � Jean Yves et au docteur en leur pr�cisant qu'ils feraient bient�t � nouveau appel � leur service. Cela leur avait plu�
Le docteur et Jean Yves se retrouv�rent seuls, tout s'�tait bien d�roul�.
Ils laiss�rent les m�mes dormirent, ils avaient bien m�rit� un peu de repos.
Le docteur informa Jean Yves que Sandy devait revenir. D�s son retour ils feraient vite et retourneraient � la villa. Il le mit au courant de tout ce qu'ils avaient convenu ensemble, cela ne sembla pas d�ranger Jean Yves qui fut m�me content que le docteur ait une nouvelle recrue de charme...
Ils attendirent deux heures avant d'entendre du bruit au dehors. Ils sortirent dans la cour et virent Sandy assise dans l'herbe, en pleurs.
Ils la relev�rent, constatant tout de suite que la jeune femme avait �t� tabass�, elle portait sur le bas du corps de nombreux h�matomes.
Ils firent vite, Jean Yves et le docteur all�rent chercher les enfants, tous mont�rent dans la voiture qui d�marra rapidement.
En roulant la jeune femme leur expliqua qu'ils ne voulaient pas qu'elle parte. Elle s'�tait sauv�e en courant apr�s un bon quart d'heure de passage � tabac.
Elle n'avait pas parler de la discussion avec le docteur, les types pouvaient tr�s bien imaginer que Sandy en avait eu marre de voir les types se comporter de la sorte avec des enfants. De l'avis du docteur ils ne devraient pas la rechercher longtemps, ni lui faire d'histoire, elle en savait trop� Ils �taient con mais pas assassins.
Ils arriv�rent tr�s rapidement, les premiers soins furent donner � la jeune femme, rien de grave, seulement quelques coups port�s au visage et sur le corps qui ne laisseraient aucune s�quelle.
Jean Yves coucha les enfants, une chambre fut donn�e � Sandy, tout le monde �tait crev�, il �tait 8 heures du matin�
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������������������������������������������������������������ Sandy
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Le lendemain, tous firent connaissance un peu plus avec Sandy. Elle �tait d'un temp�rament assez bizarre, tant�t tr�s gaie� Quelques minutes apr�s elle s'asseyait, ne formulant plus un mot pendant une bonne heure. Peut-�tre le r�sultat du passage � tabac et de la partouze d'hier, ils verraient bien � la longue�
Les fillettes faisaient une de ses tronches� Elle avaient mal partout et n'avaient pas du tout imagin� que faire les petites puttes comme elle l'avaient fait hier �tait aussi dur.
Le docteur les rassura un peu et leur donna quartier libre pour la journ�e.
Kevin avait mal au cul, le docteur apr�s l'avoir encul�, lui prodigua des soins pour calmer la douleur Il resterait sous tranquillisant et attach� toute la journ�e dans sa chambre.
Le docteur donna les r�les, Jean Yves et Sandy surveilleraient les enfants et les corrigeraient si n�cessaire, ils avaient carte blanche, bien sur ils pouvaient profiter des avantages en nature quand ils le d�siraient, et autant de fois qu'ils le jugeait n�cessaire. Plus les gamines et le gamin auraient de l'exp�rience, plus cela attirerait les clients�
La jeune femme avait des go�ts tr�s sp�ciales, elle leur expliqua franchement ses fantasmes, pour qu'elle jouisse vraiment il fallait que son ou ses partenaires la soumette compl�tement et lui fasse mal. Ou alors c'est elle qui appliquait les corrections, elle adorait, selon ses dires l'ing�niosit� ne lui manquait pas.
Ils avaient deux jours pour pr�parer la r�ception de Mr Dupuis, le type l'avait contacter sur Internet, l'homme serait tout seul. Il y aurait certainement moins de probl�me � r�soudre que pour la partouze d'hier. Le docteur confia cette mission � Jean Yves, lui allait s�occuper de la nouvelle recrue�
Le docteur s�occupa de Sandy � sa fa�on toute la nuit, il put s�apercevoir qu�elle fonctionnait d�une fa�on bizarre, elle s�abandonnait compl�tement, intens�ment dans la plaisir, son investissement �tait total. Il lui fit faire toutes les choses les plus d�gueulasses, la jeune fille �tait partante pour tout.
Elle adorait �tre encul�e, s��cartant au maximum en attendant la pinne avec ravissement, elle su�ait d�licieusement et avalait le sperme avec gourmandise.
Entre deux coups de bitte elle lui expliqua qu�il pouvait lui demander n�importe quoi, m�me tuer quelqu�un� Selon ses dires elle n�aurait aucun scrupule.
Il pressentit qu�elle avait envi de faire ses preuves, de lui montrer ce qu�elle pouvait faire, il allait lui en donner l�occasion� Il lui expliqua que les deux fillettes et le gar�onnet qu�ils faisaient travailler n�allait pas suffire, eux �taient r�serv�s � la consommation des clients.
Il d�sirait rentrer dans une situation de logique sans retour, pousser au maximum ses th�ories sur la jouissance dans la souffrance, pour cela il avait besoin de sacrifier quelques enfants, des gamines qui seraient uniquement l� pour souffrir et se plier � tous " ses jeux "�Jusqu�� l�extr�me�
Il attendit la r�action de Sandy, elle avait les yeux p�tillants� Elle le reprit et dit : " � tous nos jeux ?� ". d�un signe de t�te il acquies�a, comprenant instantan�ment qu�elle serait d�accord pour la suite�
Il continua � lui expliquer� Une chambre du petit pavillon serait r�serv�e � la torture, une fillette serait soumise aux pratiques les plus cruelles et ceci jusqu�� la souffrance extr�me� Sandy �tait compl�tement excit� � l�id�e de pratiquer les s�vices les plus ineffables possibles et de satisfaire ainsi ses fantasmes les plus secrets.
Le docteur avait bien compris que la jeune femme �tait dans une p�riode de bouleversements psychologique et de grande instabilit� mentale, il fallait profiter au maximum de cette possibilit�
Le lendemain matin de tr�s bonne heure Sandy et le docteur prirent la camionnette. Les ordres avaient �t� laiss�s � Jean Yves� Ils seraient absent quelques heures, peut �tre plus, au cas ou il ne serait pas de retour � temps il s�occuperait tout seul de recevoir Mr Dupuis �
Ils se rapprochaient des plages, ils ne pensaient qu�� �a� trouver une petite salope de 9 � 11 ans, bien sur avec elle aucune gentillesse� Elle �tait d�j� programm� pour en chier et souffrir un maximum, peut importe le reste. Elle allait devenir leur jouet sexuel, les s�vices qu�elle allait endurer ne laissait place � aucun sentiment.
A dix heures la mer �tait en vue, ils gar�rent la camionnette dans une rue secondaire. Ils �tait en tenue de plage et ne d�paraient pas avec l�environnement.
Ils ne voulaient pas perdre de temps, ils leur fallait une fillette en urgence, belles, fines, vierge bien sur�
������������������������������������ ����������������������� Laura
Un �tablissement attira leur attention, une salle de jeux ou d�j� pas mal d�adolescents et d�enfants s�affairait autour de flippers ou consoles vid�o. Normalement ces jeux �taient interdit aux enfant non accompagn�s, mais le g�rant devait pas mal s�en foutre � voir la client�le de m�mes.
Une fillette d�environ 11 ans regardaient jouer les plus grands. Le docteur et Sandy s�approch�rent, invit�rent directement la fillette � faire une partie avec eux, elle accepta aussit�t� La petite jouait tr�s correctement, avec passion, elle ne remarqua pas les deux adultes se reculer doucement et la contempler de haut en bas� Pas de toute ses formes �taient parfaites, rien ne clochait, elle avait un corps d�ange et des petites fesses de r�ves� Son pantalon en jean et son maillot la moulait tr�s bien, laissant appara�tre un corps fantastique d'enfant.
Ils jou�rent une bonne demi-heure, le docteur trouva tr�s naturel de l�inviter � boire quelque chose�
La fillette accepta� Aussit�t dit, aussit�t fait, ils choisirent des boissons � un distributeur automatique, puis ils s�assirent � la terrasse en d�gustant leur jus de fruit. Le docteur la d�sirait, il se voyait d�j�, lui mordillant ses petits t�tons, elle implorant de ne pas lui faire mal�
Ils sympathis�rent tr�s rapidement, la petite Laura leur avoua avoir 10 ans et demie, elle ne trouva rien � redire lorsqu�il lui propos�rent de leur montrer leur petit chien, qui devait d�ailleurs avoir une envie folle de faire pipi�
Ils se dirig�rent tous ensemble vers le v�hicule gar�, rien se sembla suspect � la fillette� La porte coulissante s�ouvrit, elle fut invit�e cordialement � monter, elle h�sita� Le docteur et Sandy, eux n�h�sit�rent pas une seconde et pouss�rent la petite proie dans le fourgon� La porte se referma brusquement, la petite Laura se retrouva aussit�t entrav�e dans ses gestes par des liens serr�s, tandis qu�une grosse boule de tissu fut fourr� dans sa bouche, un b�illon tr�s serr� vint parfaire le dispositif� La fillette n�avait m�me pas eu le temps de crier ni de se d�battre�
Le docteur ressortit, dehors tout �tait tranquille, personne selon lui ne s��tait aper�u de quelque chose, il remonta� La fillette �tait allong�e sur un matelas, elle �tait pitoyable, immobilis�e par des liens, les yeux horrifi�s, elle venait de comprendre�
Les deux adultes �taient tout excit�s, la facilit� du rapt les avaient surpris.
Sandy caressa la poitrine naissante de la petite et ne put r�sister � lui tirer tr�s fort un de ses petits t�tons� Le docteur comprit qu�il ne pouvait pas en rester la, il d�fit aussit�t la corde qui maintenant les jambes de Laura. Elle avait les bras enlac� par une cordelette, lib�rer ses jambes ne posait pas de probl�me.
Il �carta ses cuisses et commen�a � ausculter sa proie, puis caressa son ventre, et ses cuisses, les �carta, lui leva les jambes en l�air, les ouvrit�
Il d�boutonna le petit jean bleu et fit glisser celui-ci jusqu�au mollet�
La belle petite culotte rose en dentelles apparue. Il retira ses sandales, puis le pantalon compl�tement. Il demanda � Sandy de lui tenir les jambes �cart�s tr�s haut en l�air, ce qu�elle fit. Le docteur s�allongea, mit sa bouche � la hauteur de l�entrejambe, quelle odeur sublime� Il commen�a � donner des coups de langue sur la petite culotte au niveau du minou de la petite, il l�cha longtemps�
La fillette le regardait faire horrifi�e, les yeux exorbit�s, aucun son ni g�missement, elle avait compris que cela n�aurait servi � rien. La culotte �tait maintenant abondamment� mouill�e. Il avait pris un malin plaisir � donner des coups de langue, mouillant juste � l�endroit du sexe de la petite, la forme de ses l�vres se dessinaient sous la petite culotte.
Il voulait voir ses fesses� Il demanda � Sandy de la retourner, elle la mit en position sur ses genoux, le corps fl�chit sur un gros coffre � outils, fesses offertes� Quel spectacle, un si beau petit cul moul� par une si belle petite culotte rose� Le docteur refit le m�me man�ge, il mouilla abondamment au niveau de l�anus, rentrant sa langue ou il fallait�.
Il redemanda � Sandy de la retourner � nouveau, cuisses ouvertes, �cart�es et tenues en hauteur par Sandy. Ce coup ci, le docteur s�aventura dans la petite culotte, quel plaisir� Il fouilla longuement la petite fente de son sexe, sans oublier de titiller le tout petit bouton juste en haut� Peu de temps apr�s il fit glisser la culotte compl�tement, la retirant� Le docteur d�boutonna son short et sortit sa bitte� Il �tait en �rection, Sandy comprit qu�il allait la prendre.
Elle �carta � fond les cuisses de la gamine. La pinne appuya sur les l�vres du sexe de la fillette, sans aucun lubrifiant, � sec� Il voulait violer sa proie�
Il appuya tr�s fort� Laura essayait de se d�battre, rien ni faisait, les mains attach�es restaient immobilis�es derri�re le dos�
Sandy� lui maintenait les cuisses �cart�es emp�chant tous mouvement.
Le docteur appuya, il se ravisa un instant, inonda de salive le creux de sa main droite, aussit�t apr�s le contenu liquide se retrouva sur la chatte de la petite�
Il essaya d�en faire rentrer un peu� Il remit sa pinne sur l�entr�e de la fente et appuya tr�s fort� C'�tait tr�s serr�, jamais personne, ni quoi que ce soit n'�tait rentr� dans ce joli petit temple.
Le gland de sa bitte rentra d�un seul coup dans le petit trou�
La fillette eut tr�s mal, elle pleurait, des saccades secouaient tout son corps, heureusement aucun son ne sortait de sa bouche obstru�e par la boule de tissu maintenue par le b�illon serr�.
Il laissa le gland dedans sans bouger, contemplant son �uvre intens�ment.
Le bout de sa bitte avait disparue dans la fente de la petite, le joint �tait parfait� Il essaya plusieurs fois de retirer doucement son gland pour voir� la chatte de la m�me �tait coll�e � sa bitte, �pousant son bout parfaitement.
Il demanda � Sandy de s�occuper de ses t�tons, celle-ci releva le maillot et commen�a � l�cher les bouts chacun leur tour, elle n�oublia pas le petit mordillement du mamelon qui secoua compl�tement la gosse � chaque fois���
Il commen�a son besognage, mais sans faire coulisser, jouant juste avec son gland sur le joint de la petite� Tirer, pousser, tirer, pousser�.
Contempler l�expression de terreur du visage de la gamine �tait un ravissement pour lui. Il lui massa son clitoris longtemps, tout en continuant � jouer avec son gland. Le bout de ses t�tons �tait devenu tout violet et avait doubl� de volume.
Tout � coup, il en fut sur� Le clitoris de la fillette avait grossi, il put remarquer� une certaine lubrification de la fente de la petite, ainsi qu�un p�tillement des yeux de la m�me�
Il en �tait sur la petite fille commen�ait � prendre son pied�
Il savait depuis longtemps que toutes les fillettes pouvaient �tre activ�e de la sorte, m�me tr�s jeune, il suffisait d��tre patient et de savoir travailler la chatte des gamines.
Il pensa � ses fesses, son petit trou du cul, n�avait pas �t� travaill�, il fallait y rem�dier. Il demanda � Sandy de lui mettre un doigts dans l�anus, ce qu�elle fit aussit�t� Laura eut un fr�missement lorsque le doigt commen�a son va et vient dans le conduit anal. Sandy eut une surprise lors de la p�n�tration, elle ne put que constater la douceur et la tr�s grande �lasticit� du conduit anal� Elle le confirma au docteur qui d�cida aussit�t d�essayer de la prendre par son derri�re.
Il se retira d�un coup sec de sa chatte, il y eut comme un bruit de bouchon retir� � l'ouverture d�une bouteille pleine� La fillette se retrouva tr�s rapidement sur les genoux cuisses ouvertes, le visage sur le planch� de la camionnette, les mains toujours attach�es derri�re le dos. Quel beau petit cul offert, la perfection m�me,� tout rose, si doux au toucher. Il joua avec l��lasticit� de l�anus et continua de l�autre main � travailler son clitoris. Comme lui avait dit Sandy, il put constater apr�s avoir rentr� un doigt dans son cul que la gosse avait une corolle tr�s souple, l�enculage ne devait pas poser de probl�me.
Il fit couler de la salive sur la raie des fesses, contempla le liquide descendre doucement vers son trou du cul. Il ne ratait jamais ces moment� Le liquide alla � la rencontre de la petite rondelle, d�cida de s�arr�ter l�, recouvrant toute la superficie de l�anus. Le docteur mit de la salive aussi sur le bout de sa pinne.
La fillette ressentit rapidement quelque chose de dur juste � l�entr�e de son petit cul. Elle avait compris ce que le docteur voulait faire et r�sistait en ondulant sa croupe de gauche � droite. Elle �tait � sa merci, rien ne pouvait l�emp�cher d��tre encul� Il la fouillait toujours avec ses doigts par devant, activant son clitoris. Il lui fit ressentir la pression de sa queue sur son anus pendant au moins 5 minutes, appuyant l�g�rement juste au milieu du trou, la martelant doucement, jouant avec l'�lasticit� de sa petite corolle�
Peu de temps apr�s la petite se d�tendit compl�tement� Les doigts du docteur �tait remplis de liquide ti�de, son petit clitoris avait doubl� de volume.
La fillette �tait belle et bien en "chaleur"�
Le docteur demanda � Sandy de la caresser avant l�enculage, ce qu�elle fit aussit�t en lui griffant les fesses et le dos. Puis il donna l'ordre � la petite Laura de bouger sa croupe pour ressentir le plaisir au maximum.
La gamine ne n�ex�cuta pas tout de suite. Elle mit 2 ou 3 minutes pour �tre au summum de son plaisir. Elle n�y pouvait rien, elle jouissait, ondulant de la croupe comme certainement sa maman le faisait� Le docteur en profita pour pousser le gland de sa bitte un peu plus fort sur l�anus de la m�me, son conduit anal se d�forma sous la pression de la pinne. La fillette avait mal mais continuait � remuer son post�rieur. Les doigts magiques du docteur continuaient leur travail sur son clitoris. Il poussa un coup plus fort que les autres, le bout de son gland rentra dans le post�rieur de la fillette. Elle g�mit imm�diatement et arr�ta de bouger sa croupe, il y �tait, la gamine �tait encul�e�
Le docteur ne bougea plus, profitant de l�instant au maximum. C��tait chaud et tr�s serr�, comme il aimait� La petite r�lait de plaisir ou de douleur, peut �tre les deux en m�me temps ?.
Au bout de quelque minutes, le docteur d�cida de la ramoner doucement.
Il commen�a un petit va et vient dans son conduit annal.
En temps que docteur il connaissait la grandeur et le diam�tre des merdes que faisaient les petites gamines de dix ans, il avait vu des fillettes de six ans faire des colombins d�une longueur et d�un diam�tre sup�rieur � celui de sa queue. Par exp�rience il savait bien qu�une bitte de 12 centim�tres et d�un bon diam�tre n�avait aucun probl�me pour rentrer dans un trou du cul d'une petite fille.
Son conduit annal �tait stri�, il le ressentait bien. Avan�ant un peu plus � chaque coup de bitte, son plaisir devenait extr�me. La chaleur de son trou du cul, les stries internes lui donnaient des sensations inconnues � ce jour.
C��tait g�nial, quel beau petit cul� Il la besognait maintenant plus violemment,� la petite encul�e avait prit toute la dimension de la bitte, les couilles du docteur battaient sur son post�rieur, la jutte n�allait pas tarder � asperger son int�rieur�
Il l�inonda d�une dizaine de doses de sperme, la gamine ressentit le liquide chaud, se crispant � chaque d�charge. Le docteur retira enfin ses doigts de l�int�rieur de son vagin, il �tait aussi mouill�e qu'une chatte d�une jeune fille. Son clitoris avait l�aspect au toucher de celui d�une femelle beaucoup plus �g�. Ah la belle petite encul�e dit il � Sandy, on a trouv� notre recrue�
Sandy acquies�a, elle n�avait pas dit grand chose, ayant �t� subjugu� par toute l�op�ration, ses yeux �taient comme hypnotis�es. Elle avait d�gust� toute l�op�ration avec d�lectation�
Il se retira de l�encul�, sa bitte �tait pleine de merde. il s�essuya, puis retourna la petite fille sur le dos et l�allongea � nouveau sur le matelas. Toujours immobilis� par ses mains derri�re le dos, son b�illon sur la bouche, la petite avait un regard de peur. Mais elle avait aussi les yeux tous p�tillants et un visage d�apr�s l�amour.
Ses traits �taient d�tendus, mais c��tait vrai elle crevait de peur�
Elle avait joui, certainement pour la premi�re fois. Soumise comme elle l�avait �t�, plus question pour elle de jouir banalement, il faudrait qu�elle soit prise de force par ses partenaires�
Enfin si le docteur et Sandy lui pr�tait vie, et lui donnait un avenir�
Ils rhabill�rent la fillette, l�attach�rent solidement, puis la camoufl�re sous des vieux cartons, elle respirerait normalement et serait invisible en cas de contr�le.
Le docteur avait d�cid� de ne pas maquiller la disparition en noyade, l�espoir fait vivre� Il verrait bien, � son avis personne n�avait du les reconna�tre ni faire attention � eux, si ce n�est le mec du bar, mais il �tait tellement occup�, et puis les boissons avaient �t� prises � un distributeur automatique. Cela ne devait pas poser de probl�me.
Il d�marra la camionnette et prirent la route du retour, il �tait 11h30, c��tait du rapide, 45 minutes pour faire connaissance avec la petite, et 45 minutes pour la kidnapper la baiser et l�enculer��
Le retour se passa sans anicroche, Jean Yves ne fut pas du tout surpris lorsque Sandy et le docteur d�m�nag�rent de la camionnette l�encombrant colis�
En attendant le transfert dans la maison des supplices, il mirent la fillette dans une chambre de la maison principale, attach�e par des menottes et b�illonn�e.
Le docteur lui fit une piq�re, la M�me se mit � ronfler aussit�t�
Audrey Nadine jouaient ensemble, K�vin �tait toujours attach� dans sa chambre. Les trois adultes improvis�rent une r�union, tr�s rapidement ils se mirent d�accord, la petite Laura servirait pour le moment � r�aliser des exp�riences sur la douleur et la souffrance. Elle ne serait pas offerte aux clients, du moins pour l�instant�
Le supplice de Laura
En fin d�apr�s-midi Laura fut emmen� � la petite maison et encha�n�e nue au mur dans une des chambre de la cave insonoris�e par Jean Yves. Le d�cor �tait lugubre, un lit avec matelas, une armoire rempli d�instrument m�dical et de flacons de m�dicament. Un syst�me de poulies et de treuil avait �t� am�nag� au plafond, permettant d�immobiliser et d��carter dans toutes les positions un corps humain, ceci pour proc�der � toutes les interventions d�sir�es.
Le docteur d�cida d�essayer le m�canisme de suite, il rev�tit la petite fille qui dormait encore de bracelets de cuir aux poignets et mollets, puis il l�habilla d�un harnais qui ceinturait son bassin et ses hanches. Il fixa les cordes du treuil aux 5 crochets qui d�passaient des bracelets et du harnais et activa la m�canisme�
Le corps de la fillette monta doucement � 1 m�tre du sol, bras et cuisses �cart�es au maximum en position horizontale, il en profita pour contempler sa chatte et son anus, remarquant aussi l��tat de rougeur des t�tons gonfl�s et tum�fi�s�
Il essaya le m�canisme dans une autre position, Laura se retrouva � la verticale, bras tendus en l�air, jambes �cart�es, pieds � 20 centim�tres du sol.
Il pouvait tout faire, la mettre dans toutes les positions. Il pr�f�ra une pose interm�diaire, entre verticale et horizontale, bras et cuisses �cart�es.
Le bassin �tait tir� vers le mur, devant elle. Ce qui lui donnait une dr�le de position. Elle avait les bras et les jambes �cart�s derri�re elle, son bassin courb� vers l�avant.
Tout son corps faisait un l�ger arc de cercle. Il alla chercher dans l�armoire un flacon qu�il d�boucha et qu�il pla�a sous le nez de la petite fille, l�effet ne se fit pas attendre longtemps, Laura commen�a � retrouver ses esprits et ouvrit ses paupi�res.
La petite fille sortait d�un mauvais r�ve et rentra imm�diatement dans un vrai cauchemar. Reconnaissant instantan�ment le docteur et Sandy, elle voulut bouger, mais ses bras et ses jambes �taient maintenus en arri�re, le harnais et les bracelets de cuir remplissaient bien leur office. La fillette ne put que se mettre �� pleurer, le b�illon avait �t� retir� et la fillette exprimait sa d�tresse�
Ils sortirent de la chambre, referm�rent la porte, et purent constater que le bruit des sanglots �taient compl�tement �touff�s, presque inaudible de l�autre c�t�.
Ils attendirent un bon quart d�heure, rentr�rent � nouveau, la petite �tait calm�e, bien sur toujours dans la m�me position cambr�e dans l�espace.
Le docteur prit une chaise et d�cida d�expliquer � la fillette les r�gles du jeux�
Laura si tu fais tout ce qu�on te dit, tout ira bien, tu mangeras et boira � volont�, sinon rien � manger et � boire, tu seras fouett� et on te fera encore plus mal�
Si tu fais tout ce qu�on te dis, dans quelques semaines tu seras libre.
Tu as bien compris ? � oui ou non� ?.
De la gorge de la fillette sortit un oui presque inaudible�
Bon on va voir si tu a compris, le docteur pla�a sa chaise juste sous la t�te de Laura. Il demanda � Sandy de descendre la fillette d�un bon m�tre et d�orienter sa t�te vers le bas, ce qu�elle fit. Le docteur retira son pantalon et son slip, il se repla�a cuisses �cart�es sur sa chaise� Sandy avait compris, elle man�uvra le treuil jusqu�� ce que la bouche de la petite fille touche le sexe du docteur�
Il demanda avec autorit� que la fillette ouvre la bouche�
Les l�vres de sa bouche touchaient la bitte encore m�le, mais la gamine refusait pour l�instant d�ouvrir� S�adressant � Sandy, il lui demanda de prendre la martinet dans l�armoire, ce qu�elle fit. Il dit seulement 5 coups entre les cuisses�
Sandy se mit en position derri�re les fesses ouvertes, le premier coup s�abattit juste ou il fallait, en plein milieu de l�entrejambe� Elle tressaillit et hurla de douleur. La position cambr�e, cuisses �cart�es �tait parfaite pour la punition.
Les quatre autres coups furent de la souffrance � l��tat pur, elle pleurait en hurlant de douleur�
Le docteur attendit 5 minutes qu�elle se calme� On recommence�
Je t�ai demand� de me sucer la bitte, petite salope, tu as compris ce coup-ci � ?
La fillette ouvrit la bouche et happa la queue tr�s rapidement�
La bitte fut tr�s rapidement en �rection et le docteur commen�a � aller et venir dans sa bouche, il ordonnait � la m�me de serrer plus fort ou de mouiller avec de la salive, La fillette s�ex�cuta �
Met lui un godmichet dans le cul, ordonna t�il � Sandy. L�apprentie revint de l�armoire avec une belle bitte en latex, puis se pla�ant derri�re Laura, elle lubrifia l�anus en rentrant sa langue � fond� Quelques instants apr�s elle commen�a � faire rentrer le god dans le petit cul de r�ve.
Le docteur avait le visage de la fillette devant lui, il put contempler la souffrance de la gamine lors de l�enculage de l�engin�
Le chibre en latex rentra enti�rement dans le derri�re de la petite fille,
elle souffrait horriblement. Le docteur prenait un malin plaisir � rentrer sa bitte au fond de sa gorge, � la limite de l��touffement�
Sandy se dirigea vers l�armoire, elle y prit deux pinces � sein, une ficelle pendait � chaque bout, permettant d�y accrocher des poids ou ce qu�on voulait de lourd� Elle se positionna sous la gamine, accrocha les pinces � chaque t�tons d�j� bien tum�fi�s� L�horreur et la souffrance remplirent les yeux de Laura�
Sandy n�en resta pas la et accrocha au bout de chaque ficelle un poids d�environ 100 grammes. La petite poitrine naissante fut d�form�e et tir�e par le bas.
En quelques secondes la gamine parut avoir des petits seins de 12 ou 13 ans�
Elle g�missait de plus en plus, seule la queue dans la bouche l�emp�chait de hurler.
Le docteur abandonna sa position assise, modifia compl�tement le r�glage pour qu'elle se retrouva � horizontale, yeux et poitrine vers le haut, bras et jambes tendus �cart�s au maximum. Il releva le haut de son corps, puis descendit son bas ventre juste � la hauteur de sa queue.
C'�tait parfait pour �tre "saillie" par la chatte�
Comme son buste� �tait l�g�rement sur�lev�, la fillette pourrait contempler ce qu�on lui faisait, m�me voir la bitte rentrer�
Elle pleurait tr�s fort, plus rien n�obstruait son gosier. Les poids des pinces � seins glissant de chaque c�t� de son corps, tiraient moins qu�avant sur les mamelons, elle devait avoir moins mal aux t�tons.
Le god l�enculait toujours autant, le docteur demanda � Sandy de le retirer, ce qu�elle fit de suite, sans m�nagement. Le docteur voulait que la m�me prenne sa pinne � fond dans son vagin, rien d�autre ne devait la g�ner dans son ventre�
Il donna l�ordre � Sandy de lui retirer les pinces � sein et de lui sucer et rouler doucement ses t�tons. Les bouts �taient tout violac�s, pas beau � voir�
Sandy s�ex�cuta, trop contente de faire plaisir au docteur.
Il se mit � genoux entre les cuisses de la petite fille, sa langue commen�a � faire un travail d�investigation et d�humidification du petit vagin. Elle �tait juste � la bonne hauteur, aussi bien pour la sucer que pour la prendre lorsqu�il se rel�verait� Il tourna, retourna sa langue dans le petit trou, mouilla, inonda un maximum avec sa salive, titilla pendant un long moment le clitoris de la fillette, tr�s long moment� Jusqu�� ressentir le petit bourgeon se d�velopper et grossir sous sa langue... La fillette n'y pouvait rien, le clitoris �tait fait pour la jouissance, m�me celui d�une petite fille.
Beaucoup de cons l�ignoraient ou feignaient de l�ignorer�
Il continua son man�ge encore une bonne dizaine de minutes, la petite ne disait plus rien, d�tendue elle se laissait faire, sa chatte s�humidifiait doucement, son clitoris gonflait toujours, ses yeux devenaient p�tillants.
Le docteur gouttait � la petite fille, le liquide qui suintait de sa chatte �tait sacr�, quelle saveur, quel bouquet� Quel met de Roi, et ils si connaissaient les rois, depuis le temps qu�ils pratiquaient�
Laura commen�ait � perdre la t�te en g�missant doucement, le travail du clitoris, plus le l�chage des t�tons faisaient leurs effets.
Le docteur se releva, toujours en �rection sa bitte se trouva aussit�t sur le minou de la petite fille. Elle �tait d�j� �cart�e, la pinne vint se poser juste � l�entr�e de la petite fente de 10 ans et demie.
Il l�avait d�j� prise par devant tout � l�heure, seul le bout de son gland �tait rentr�, il en gardait des sensation de bien �tre incroyable, serr� et envelopp� comme il ne l�avait jamais �t�.
L'envie d�aller plus loin dans son petit ventre le d�mangeait �
La petite fille regardait la bitte les yeux p�tillants, grands ouverts, g�missant doucement. Des r�les de plaisir incontr�lables l�envahissaient, le travail sur sa chatte avait dur� plus d�une demi-heure et portait ses fruits�
Elle �tait offerte sans comprendre. Apr�s la souffrance autant de plaisir, elle se laissait faire, sa soumission �tait totale. La r�bellion n�aurait servie � rien.
Il fallait qu�elle se laisse faire, elle le savait.
Maintenant c��tait bon, tout son corps avait chaud, des p�tillements partout�
Il promenait sa bitte de haut en bas sur la fente, sans oublier le clitoris charg� de maintenir son d�sir au paroxysme. Ses mains caressaient ses c�tes, son ventre, ses fesses, les palpant, les �cartant au maximum.
La bitte tra�ait seule son chemin, parcourant la petite fente, appuyant l� ou il fallait, les petites l�vres commen�aient � s�ouvrir l�g�rement et � se colorer d�un beau rose vif�
Il appuya plus fort. Ensemble ils purent contempler la pinne d�former la petite fente encore ferm�e. La fillette fit une grimace, serra les dents.
Il appuya � fond, les l�vres de sa chatte s��cart�rent. D'un coup sec et humide en m�me temps, le bout de la queue rentra compl�tement. Tout le gland avait disparut dans le bas ventre de l'enfant�
A nouveau le joint �tait parfait, sensation magique. La petite avait tressailli de tout son �tre, un l�ger cri aigu �tait sorti de sa bouche lors de la p�n�tration.
Il �tait serr� � souhaits, la chaleur de la fillette irradiait le bout de sa queue.
A l'aide de tr�s l�gers coups de reins, il la balan�ait doucement d�arri�re en avant, les cordages suivaient le mouvement de la bitte.
Sans chercher � rentrer plus dans son ventre, il rejoua comme il l�avait fait la premi�re fois, pendant plus de cinq minutes, elle gloussait de plaisir�
Belle petite enfant femelle� Il bougea de plus en plus, ressentit une humidification dans son vagin, la petite salope mouillait de plus en plus, elle �tait pr�te pour la saillie compl�te�
Il accrocha ses mains de chaque c�t� du harnais, l�immobilisa tout en continua son va et vient. La gamine prit aussit�t cinq centim�tres de longueur dans sa chatte, elle fut surprise, eut un petit cri.
Les cinq centim�tres repartirent aussi vite, puis reprirent leur place aussit�t� Cela coulissait merveilleusement bien, il lui restait � rentrer sept ou huit centim�tres dans une chatte de r�ve�
Centim�tre par centim�tre, son engin rentrait, elle mouillait abondamment, prenant du plaisir. La gaminette contemplait sa premi�re p�n�tration avec attention et stupeur, se demandant comment cela pouvait rentrer dans son ventre, sans vraiment faire mal, et m�me procurer un certain plaisir�
Cette chaleur qui montait de plus en plus, cette sensation quelle n�avait jamais ressentie avant, elle ne pouvait pas l'expliquer�
Se laisser faire, il fallait se laisser faire, elle verrait bien apr�s.
Il la besognait avec ardeur, rentrant centim�tre par centim�tre. Sandy qui jouait toujours avec le bout des t�tons de la m�me depuis le d�but abandonna son occupation. Elle vint se mettre � genoux derri�re le docteur, mit une main entre ses cuisses, entreprit un massage de ses testicules�
Elle caressa en m�me temps la chatte de la gosse, et put constater que presque toute la longueur �tait rentr�e dans son bas ventre.
La petite femelle de 10 ans 1/2 g�missait, se tordant de plaisir. Peu de temps apr�s les couilles battaient sur son entrejambe, prise � fond, il la besognait maintenant comme il aurait fait avec une putte professionnelle, sans aucun m�nagement, � grands coups de bitte.
Il la travailla cinq bonnes minutes avant d�exploser dans son ventre�
A chaque gicl�e de jutte la petite fille se crispait un maximum en hurlant de bonheur. A chaque jet, elle vibrait de plaisir en parlant tout haut : " hoo oui,� hoo oui�"
Il la remplit copieusement jusqu�� ce que ses couilles soient vid�es � fond.
La fillette ne bougeait plus, ses yeux �tait tout p�tillant, son visage d�tendu avait une vague expression de bonheur. Il resta assez longtemps sans force, puis d�cida de se retirer. Il ressortit sa pinne doucement, laissant uniquement le gland. Il �tait serr� un maximum, il tira doucement, le ventre de la petite �tait comme soud�e � sa bitte, faisant comme une ventouse. Il essaya encore, � chaque fois le m�me ph�nom�ne se produisait, la bitte et la petite chatte �tait comme soud�es l�un � l�autre� Il attendit quelques minutes.
Il d�banda un peu, d�un coup sec il souleva ses reins et ses fesses. La bitte se retira du vagin en faisant un bruit d�air. La petite fut surprise, le manifesta en faisant sortir de sa bouche un petit� " oh�".
Il redescendit les cordes, la fillette se retrouva allong�e par terre. Il la d�tacha, puis la d�posa sur le lit, demanda � Sandy d'aller chercher une bassine d'eau puis de nettoyer un peu la gosse. Il �carta ses cuisses, contempla son sperme ressortir du vagin. Elle �tait remplie au maximum, avec sa main il appuya sur son bas ventre,� le sperme s'�chappa encore un peu plus de sa petite moule...
Ses doigts recueillirent le pr�cieux liquide blanc, qu'il s'empressa d'�taler sur la bouche de la petite. Il lui demanda d'ouvrir sa bouche et d'avaler ce qu'il lui donnait� la fillette toute tremblante �tait revenue � la r�alit�, elle s'ex�cuta aussit�t�
Ils attach�rent une cheville de Laura avec une menotte. Une grande cha�nette de trois m�tres lui laissait une certaine libert�
On va revenir Laura, dans quelques heures� On en profitera pour t'amener � manger et � boire, mais je te pr�viens tout de suite, il faudra que tu sois tr�s gentille, que tu fasses tout ce qu'on te dira, sinon rien�
Bon on va chercher du mat�riel qui nous manque et on revient�
Ils referm�rent la porte de la chambre � clefs et discut�rent un peu sur les m�thodes � employer sur Laura. Sandy venait de lui donner une id�e�
Il �tait 21 heures lorsque ils regagn�rent le pavillon. Jean Yves �tait nu dans le grand fauteuil du salon� Regardant la t�l�vision, Audrey et Nadine s'occupaient de lui, caressant ses parties g�nitales, elles �taient juste habill�es d'une petite culotte en dentelles rose �
Le docteur salua Jean Yves, lui dit de ne pas interrompre ce qu'il faisait.
Rapidement il lui expliqua que Sandy et lui dormiraient dans le pavillon des tortures, ils �taient venus chercher du mat�riel�
Ils mirent une bonne heure � trouver tout ce qu'ils leurs manquaient, nourriture incluse. Le docteur d�cida au dernier moment d'emmener K�vin , le petit gar�on allait aussi leur servir pour quelques exp�riences�
Vers 23 heures ils furent de retour au pavillon des tortures. Ils rouvrirent la porte de la pi�ce ou �tait enferm�e Laura. La gamine dormait, Sandy la r�veilla, lui pr�senta K�vin. Les deux m�mes se seraient bien passer de faire connaissance, ils �taient tous les deux transis par la peur�
Le docteur leur expliqua� Vous allez faire tout ce qu'on vous dit et tout ira bien. En cas de contestation ou de mauvaise volont�, vous serez fouett�s.
Pas de nourriture ni boisson avant, apr�s si tout c'est bien pass�
La fillette avait pour seul habit son harnais lui ceinturant la taille, et les bracelets aux extr�mit�s des membres. Le docteur amena les cordes qui pendaient du plafond, les rattacha sur la fillette. Peu de temps apr�s la petite fille �tait � nouveau en suspension � un m�tre cinquante du sol, cuisses et bras �cart�s en position horizontale.
Sandy habilla le petit K�vin avec des habits de fillette, slip en dentelle rose,� soutien gorge, minijupe� Le petit gar�on de 9 ans se retrouva attach� en croix aux murs, �cartel�s, maintenus par des attaches aux extr�mit�s des quatre membres. Sandy redescendit la petite culotte rose en dentelles sur ses genoux�
Le gamin et la fillette �taient � leurs merci. Ils avaient acc�s � leurs parties g�nitales comme ils le d�siraient�
Le docteur sortit d'un sac, un appareil de stimulation �lectrique, servant d'habitude � faire perdre du ventre ou des fesses.
L'�lectricit� donnait des impulsions aux muscles, qui eux se contractaient sous l'effet de la d�charge, l'appareil �tait r�glable en temps et en intensit�.
L'engin professionnel, pouvait �tre command� en manuel ou automatique, avec s�lection des quatre sondes�
Ils avaient pens� l'utiliser d'une autre mani�re� Le docteur d�coupa le surplus des cercles des �lectrodes, ne gardant qu'une bande de un centim�tre de large sur trois centim�tre de long. Il disposait maintenant de quatre �lectrode double, en tout huit endroits qui diffuseraient du courant �lectrique sur les parties sensibles du corps de la petite fille� Bien sur, il choisit en premier, le clitoris�
il maintint� l'�lectrode � l'endroit du petit bourgeon avec un bout se sparadrap, la deuxi�me qui allait de paire avec la premi�re fut plac� � l'int�rieur du vagin de la petite�
Deux autres sondes furent plac�s sur chaque t�tons tum�fi�s de la gosse.
Il en rentra une autre dans l'anus, celle qui allait de paire fut fix�e entre le trou du cul et la chatte.
Il se demandait bien ou fixer la quatri�me paire, il r�fl�chit�
La longueur de chaque sonde �tant de pr�s de trois m�tre, il se d�cida pour le petit gar�on, K�vin se vit placer une sonde sur les testicules et une autre dans son anus�
Il s'assit sur une chaise, le bo�tier de commande sur les genoux, il alluma l'appareil, il �tait pr�t � faire joujoux�
Sandy n'en perdait pas une, elle vint se placer par terre � c�t� du docteur, commen�a lui sortir la bitte, puis lui massa les couilles doucement.
Il r�gla les quatre interrupteurs � Z�ro, baissa l'intensit� au minimum�
Il ouvrir l'interrupteur 1, celui qui commandait le clitoris et la chatte, mit la puissance sur 5. Il appuya en manuel une fois sur le bouton. Laura fut secou�e par la d�charge, elle tressaillit, les cordes boug�rent, elle se mit � crier�
L'appareil �tait en position cinq, il pouvait monter jusqu'� cinquante�
Il mit l'anus en fonctionnement, il appuya� Secousse identique de la gosse et commencement des pleurs. Il essaya les t�tons�
La encore la r�action fut violente�
Il ne manqua pas d'essayer le petit K�vin, la d�charge fut identique, il se secoua �nergiquement pour essayer d'avoir moins mal.
La petite fille et le gamin les regardaient, implorant du regard, rien n'y fit,�
Le docteur mit l'appareil en automatique, � la puissance vingt.
Toutes les dix secondes les huit sondes enverraient leur d�charge �lectrique pendant cinq longues secondes� Il appuya.
C'�tait horrible, leurs corps se tendit au maximum pendant la d�charge, ils hurl�rent de souffrance, les sondes �taient pos�s � vif sur leurs parties intimes.
Ils avaient comme des convulsions et se tordaient de tous les c�t�s.
Cinq secondes horribles, dix secondes suivantes de soulagement, dans un silence profond, puis � nouveau le supplice des cinq secondes�
Le docteur baissa l�g�rement la puissance � quinze. Ils allaient s'habituer progressivement aux d�charges, il monterait l'intensit� tout � l'heure�
Pendant cinq minutes ils contempl�rent sans rien dire les petits corps se convulsionner � chaque secousse. Les gosses ne pleuraient plus, les impulsions �lectrique les en emp�chaient.
Le docteur bandait fortement, il s'approcha de l'aura, mit sa queue � la hauteur de sa chatte. Il retira d'abord la sonde du clitoris, puis celle de son vagin, appuya sa pinne sur les l�vres de son sexe. Incroyable, elle mouillait �norm�ment�
Il enfon�a sans probl�me la moiti� de la longueur de sa queue et attendit la secousse� Elle vint rapidement, c'�tait g�nial, le petit trou du sexe tr�s serr�, plus l'�lectricit� venant de son anus, avec en m�me temps les contractions involontaires que la petite fille faisait avec tout son corps, lui procuraient des sensations encore inconnues � ce jour� Il fit coulisser sa bitte, la besognant � fond. Il ressentait l'�lectricit� aussi sur sa verge, il toucha ses seins, retira sa main aussit�t, l� aussi le courant passait� La fillette avait les yeux grands ouverts, une expression d'horreur dominait son visage, elle n'avait plus la force de crier, elle mouillait �norm�ment du sexe, elle ne jouissait pas, mais le courant lui procurait cette r�action bizarre.
Sandy contemplait le petit gar�on, sa petite bitte �tait en �rection, belle dimension pour un petit de neuf ans, elle ne r�sista pas longtemps, se mit � genoux entre ses cuisses et commen�a � lui faire une belle petite fellation.
Elle ressentait les contractions de sa verge � travers sa bouche ainsi qu'un petit picotement du � l'�lectricit�
Le docteur continuait son besognage, de sa main droite il tira le bo�tier de commande qui se trouvait sur la chaise, mit le bouton sur la position maximum�
Ce fut horrible, cinq secondes apr�s la d�charge �lectrique secoua incroyablement les petits corps, il ressentit sur sa verge les contractions involontaires du vagin de la fillette, elle avait tressailli d'une dr�le de mani�re, des secousses inhumaines la parcourait.
Mais que c'�tait bon pour lui, elle n'arr�tait plus de contracter son vagin, m�me entre les secousses �lectriques�
Son petit c�ur battait � une vitesse incroyable, elle �tait en sueur. Il d�cida de r�duire en urgence l'intensit� de l'appareil, il attendit deux minutes que la petite se calme un peu, ce fut mieux�
Il continua son va et vient dans son ventre, elle �tait consciente, g�missante de douleur. Les secousses �taient certes moins fortes, l'appareil �tant r�gl� � la moiti�, mais elles faisaient cambrer le corps de la gosse � chaque fois.
Jamais il n'avait �t� aussi serr� dans une petite chatte, aucune femelle ne l'avait fait jouir de cette fa�on, c'�tait sublime. Il attendit le d�but d'un cycle �lectrique pour d�charger le peu de jutte qui lui restait dans les couilles dans le bas ventre de Laura. Il g�mit de bonheur, elle g�missait de douleur.
Epuis� il se retira d'elle, arr�ta le g�n�rateur de courant. Il regarda Sandy, elle souriait. Le petit K�vin �tait �vanoui, respirant calmement. Il n'avait pas support�. Il retourna la t�te vers la petite Laura, elle aussi venait de fermer les yeux, �puis� elle dormait�
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Ils dormirent dans la maison des supplices, se lev�rent � 10 heures du matin.
La premi�re chose qu'ils firent fut d'aller voir les enfants. Ils �taient dans un dr�le d'�tat, prostr�s, � genoux dans un coin de la pi�ce, l'un contre l'autre.
Le docteur leur parla gentiment, peu de temps apr�s Sandy leur amena un copieux petit d�jeuner. Ils aval�rent tout rapidement et burent beaucoup�
Le docteur les invita � faire un peu de toilette, les emmena dans la petite salle de bain am�nag� par Jean Yves, il s'occupa particuli�rement de la petite Laura, la doucha compl�tement, prit un malin plaisir � la savonner partout. Il insista sur ses parties intimes, ses t�tons. Lorsqu'il eut finit il voulut savoir si la petite fille avait bien compris ce qu'il attendait d'elle, il la mit � genoux, retira sa robe de chambre, s'assit sur une chaise jambes �cart�es. Il �tait en slip, il la tira vers de lui. Il parla doucement : " Dans trois semaines au maximum tu sera lib�r�. Si tu fais tout ce qu'on te demande, tu retrouvera tes parents, tes amis, tout comme avant, tu es d'accord ? ".
La petite en signe d'accord fit un signe de t�te. Bon tu n'est pas attach�, je vais te demander de me sucer la bitte, � toi de jouer�
La petite fillette baissa les yeux en rougissant. Il lui mit la t�te sur son slip, sa bouche � hauteur de son sexe, lui prit les deux mains, les glissa sous le coton. Elle fouilla quelques temps, il baissa son slip, l'engin apparut�
La fillette regarda longuement la grande tige. Le docteur lui demanda d'ouvrir la bouche en grand. Doucement elle �carta ses l�vres, d'une main il lui tira la t�te par ses cheveux, de l'autre dirigea sa queue vers l'entr�e b�ante, sa bitte rentra doucement dans la cavit� buccale. Il lui dit de mouiller un maximum avec sa salive en tournant doucement avec sa langue pour donner du plaisir.
Elle s'ex�cuta�C'�tait maladroit mais elle le faisait.
Il ressortit sa pinne, lui demanda de la l�cher � petits coups de langue.
Il lui expliqua ce qu'il attendait d'elle. Elle comprit rapidement�
Il lui caressa la croupe sur son slip, la flatta en lui donnant des petites claques amicales sur les fesses, elle se cambra un peu, d�j� fi�re de son beau petit cul. La fellation dura cinq bonnes minutes, il bandait dur.
Il releva la petite, lui baissa sa petite culotte sur les mollets, la retourna et lui demanda de venir s'asseoir sur lui, elle ne disait plus rien, elle savait que ce qu'elle vivait actuellement n'�tait pas le pire. Elle ferait tout pour ne plus souffrir comme cette nuit. Elle s'assit maladroitement sur la bitte, il l'aida pour que son anus ressente le bout de sa queue� Elle se tenait par les bras, les pieds par terre, ceci pour �viter la p�n�tration. Il �carta ses cuisses, ce qui eut pour effet de lui mettre les jambes sur�lev�es. Il lui maintint aussi les bras pour qu'ils ne reposent sur rien. L'effet fut imm�diat, son anus reposa juste sur sa bitte, la fillette commen�a � glisser doucement sur la verge, son petit trou du cul recevait tout le poids de son corps, la petite corolle de l'anus s'ouvrit de plus en plus, l'enculage commen�ait�
Elle glissa doucement sur le chibre. C'est lui qui d�ciderait du moment ou sa petite corolle s'ouvrirait, il avait dans chaque main un de ses minuscules seins . Il l'emp�cha de glisser trop vite en s'agrippant aux petits mamelons. Lorsqu'il la trouva juste au milieu, il l�cha ses petites mamelles� Le bout de son gland ouvrit le petit cul qui fut aval� par� l'anus. Elle cria de douleur, il s'empressa de mettre ses doigts sur son sexe, ils explor�rent son vagin et son clitoris�
Elle continua � s'enculer doucement, sans pouvoir rien faire d'autre que de s'empaler. A un certain moment il lui souleva encore plus les jambes, les ouvrant au maximum, ils les maintint ouvertes fermement � l'aide de ses bras. La bitte en profita pour rentrer d'une bonne longueur dans son post�rieur, il secoua son bassin de tous les c�t�s, elle g�mit de douleur pendant quelques minutes.
Il y �tait, les treize centim�tres de son membre viril �tait au plus profond de son intimit� anale, ses couilles appuyaient � fond sur ses fesses, la fillette �tait encul�e � fond�
Il lui parla : " tu vois petite fille, c'est pas si terrible que �a, m�me que tu vas commencer � aimer �a, tu verras, tu auras envie de recommencer ".
Il resta pr�s d'un quart d'heure sans bouger, tout en lui caressant son minou�
Elle mouillait doucement, ses doigts la fouillaient, lui procurant un certain plaisir, son petit clitoris grossissait sous ses caresses. Il le roulait, appuyant dessus, � chaque fois la petite gloussait, faisant sortir de sa gorge un petit g�missement languissant et �rotique. Il en profita pour lui parler, lui demanda si elle voulait faire partie de l'�quipe et rester quelques temps avec eux, il lui expliqua qu'apr�s, dans un certain temps elle serait libre, s'�tait promis, il lui demanda si elle �tait d'accord�
Dans un r�le de plaisir il entendit un "oui Monsieur je suis d'accord ".
Il resta assis longtemps ainsi, sa bitte dans les fesses de la gamine, tout � coup il voulut la voir � quatre pattes� Toujours sa queue dedans il la for�a � se mettre � genoux, la position qu'il pr�f�rait pour enculer les petites filles, l'id�ale, la soumission compl�te. Il la besogna un long moment dans cette position, tout en caressant et tirant les t�tons de sa toute nouvelle poitrine.
Il ne juta pas, se retira d'elle quelques temps apr�s, allongea la petite sur le dos, lui �carta et replia ses jambes, lui levant au maximum, chatte ouverte�
Il appuya sa queue sur l'entr�e du vagin� Tr�s fort� La pinne rentra dans son bas ventre sans probl�me. Elle cria et eut � nouveau certainement tr�s mal� C'�tait toujours aussi g�nial pour lui, son bas ventre serr� comme il l'�tait, l'int�rieur de son vagin, la chaleur qui irradiait tout son membre, tout �tait la pour lui dire que c'�tait le plus magique des petits trous de fillette qu'il avait poss�d� jusqu'� ce jour�
M�me Audrey et Nadine ne lui avait pas procur� cette sensation, le cul de K�vin non plus� Il voulait faire de Laura sa pr�f�r�e pendant quelques temps, il en �tait sur. Donc pas question de lui faire trop de mal, il fallait la laisser en bonne �tat pour la suite.
Il la tringla cinq bonnes minutes, sans juter, il �tait vide et commen�ait � �tre vraiment fatigu�. Il se retira d'elle, la releva, et lui dit :" J'esp�re que tu as compris Laura et que tu vas faire tout ce qu'on te dis sans probl�me, tes parents tu les reverras dans quelques semaines". Il lui mit une claque sur les fesses, elle se voulait amicale pour sceller un soit disant pact.
Apr�s avoir attach� Laura et K�vin, ils repartirent � la grande maison, c'�tait le jour de Mr Dupuis, Jean Yves lui proposerait la saillie� de Nadine et d'Audrey, il se d�brouillerait bien tout seul.
Sur l'ordinateur, les demandes s�rieuses de p�dophiles commen�aient � se multiplier. Une retint plus particuli�rement son attention, elle �manait d'un groupement de travailleurs �trangers qui s'occupaient de la construction d'un barrage � une cinquantaine de kilom�tre d'ici, ils �taient une vingtaine selon le "chef" de chantier � rechercher de gamines pour une �jaculation de groupe et plus�
Une autre demande formul�e par un Monsieur tr�s riche, il voulait acheter une fillette de 9 ans et une de 10 ans, les conditions �tant que toutes les deux soient tr�s belles. Il offrait une somme de deux cent mille francs.
Il retint aussi la demande d'une soci�t� qui cherchait une jeune fille de douze ans pour envoi � l'�tranger�
Le camp de travailleur �migr� serait pour son plaisir personnel, il en bavait d�j� de contempler ses gamines se faire soumettre et monter � la file, ou piper les bittes des mecs � la suite l'un de l'autre. La suite serait juste une op�ration bancaire "juteuse", ce qui ne l'emp�cherait pas de monter les gamines avant la livraison�
Il informa Jean Yves et Sandy du travail qui les attendaient dans les semaines � venir, tout �tait possible � condition de changer de r�gion pour kidnapper les m�mes.
Il pr�f�rait de loin vendre des gamines, ce serait beaucoup plus lucratif et moins dangereux que de recevoir des mecs qui � la longue pourrait les d�noncer�
Il changea donc l'interpr�tation des annonces sur Internet dans se sens, il pourrait toujours s'amuser avec les proies pendant quelques jours avant la livraison.
Mr Dupuis serait le dernier client � venir au pavillon, apr�s ils allaient revoir tous ensemble la proc�dure pour se procurer de la chaire fra�che. Ils venaient de se rendre compte qu'ils avaient un march� colossal en main, qu'il fallait en profiter et surtout ne pas se faire piquer par les flics� Donc plus de b�tises.
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Jean Yves alla chercher Mr Dupuis � la gare de la ville la plus proche, il �tait 19h 30. Apr�s le signe de reconnaissance ils se serr�rent la main, Jean Yves l'invita � monter dans la voiture. Le trajet fut assez silencieux, pourtant le courant avait l'air de bien passer entre les deux hommes, mais la situation n'aidait pas aux dialogues. Le nouveau client �tait plut�t bien foutu, 1,75 m�tre, soixante dix kilo, yeux marrons, costard de toile bleue, chemisette blanche ouverte sur un torse nu et poilu. Ils arriv�rent � la maison des supplices rapidement. Tout �tait pr�t, le docteur l'accueillit chaleureusement, lui pr�senta Sandy, et surtout Nadine et Audrey l'objet de ses d�sirs. Les fillettes �taient en minijupe et tee-shirt, il faisait encore une chaleur � crever, l'homme se vit offrir des rafra�chissements, une collation lui fut servit. Le docteur et Jean Yves le mirent � l'aise compl�tement si bien qu'une heure apr�s, et avec l'aide de nombreux Whisky, Mr Dupuis de son pr�nom Alain se retrouva assis sur un canap� avec de chaque c�t� une petite fille qu'il tenait par les �paules. Jean Yves et Sandy jug�rent qu'il �tait temps de s'�clipser et en profit�rent pour rendre visite � Laura et K�vin attach�s dans la chambre des supplices�
Nadine et Audrey se laissaient caresser les �paules, le docteur leur demanda avec autorit� de faire tout ce que le Monsieur voulait, il s'�clipsa � son tour et alla rejoindre son �quipe.�
L'homme se retrouva seul avec les deux petites filles, le pelotage commen�a, rapidement l'homme se mit � perdre beaucoup de tenue. Bien sur il ignorait que le petit tableau miroir fix� au mur �tait en r�alit� une glace sans teint permettant aux trois acolytes de contempler et de surveiller toute la sc�ne sans se faire remarquer�
Il mit rapidement une de ses mains sous chaque minijupes, caressa longuement chaque petite culotte, puis il demanda � Nadine de se mettre entre ses cuisses� La petite connaissait la marche � suivre, elle d�boutonna le pantalon qui glissa rapidement sur les genoux. Il prit la t�te de Nadine entre ses mains, l'amena juste � hauteur de son slip. Il bandait dur, la gamine n'eut pas grand chose � faire pour sortir la bitte toute droite et l'engouffrer dans sa petite bouche.
En m�me temps d'une main il massait consciencieusement les t�tons de Laura, s'appliquant de l'autre � fouiller sa petite culotte, rentrant un doigt dans son vagin.
Ce man�ge dura une dizaine de minute, il changea de position, obligeant la petite Audrey � s'allonger sur le canap� cuisses �cart�es.
La petite culotte de la gosse fut rapidement retir�e, elle ressentit rapidement sur la fente de son bas ventre la pression de la bitte de l'homme. Son gland rentra d'un seul coup dans le ventre de la petite Audrey�
Heureusement le docteur avait pr�vu de lubrifier les int�rieurs des filles � la vaseline et l'engin n'eut aucune difficult� � p�n�trer le bas ventre de la petite gamine. Miracle de la nature, chaque femelle, m�me petite s'adaptait juste � la taille de la bitte, le tissu du vagin �tait d'une souplesse incroyable, l'ut�rus, le bassin s'�cartaient comme il le fallait, se resserrant pour enlacer le membre virile. Le docteur savait bien qu'une petite fille d�s l'�ge d'environ sept ou huit ans pouvait techniquement s'ouvrir pour recevoir le m�le sans trop de probl�me. Bien sur il fallait ouvrir le col de l'ut�rus sans faire de d�chirure, d'ou la lubrification, et faire �carter les cuisses de la m�me au maximum. La premi�re fois suffisait, les fillettes savaient vite comment faire pour recevoir les m�les sans avoir mal. Dans de nombreux pays d'Asie ou d'Afrique, les gamines �taient prises tr�s t�t� Lui en tant que docteur il en avait vu, des salauds, besognants leur toute petite fille d�s l'�ge de quatre ou cinq ans. Il avait vu des bas ventres d�chir�s pour la vie enti�re, des gamines rendues infirmes irr�m�diablement. C'est pour �a qu'il connaissait l'�ge r�el d'une premi�re "monte r�ussie".�
Les trois comp�res regardaient avec ravissement le spectacle, bien � l'abri derri�re la glace sans teint. Le docteur alla chercher Laura sur sa couchette, il commen�a � lui attacher la gaine de maintient et les bracelets de fixation�
La gamine se mit � pleurer aussit�t, elle se retrouva bient�t en position �cart�e, maintenue dans les airs par le treuil. Il l'amena presque � horizontal, cul et jambes baiss�es, cambr�s. Son visage �tait � cinquante centim�tres du miroir de surveillance, ce qui permettait � la fillette de contempler la sc�ne de l'autre pi�ce�
Elle �tait � un m�tre du sol cuisses �cart�es, le cul offert pour une sodomie.
Le docteur se mit derri�re elle, sortit son sexe, puis tra�a le fente de son anus en appuyant sur la petite rondelle. Il joua quelques minutes avec son trou du cul, d�formant la corolle de son anus, c'�tait pour lui un vrai ravissement de contempler la d�formation de ses chairs, moment sublime ou le bout de la bitte appuyait un maximum sur le trou. Il remarquait le moment ou l'engin allait s'enfoncer, juste avant il rel�chait la pression, d'ou nouvelle r�sistance du petit cul�
Sandy alla chercher les pinces � seins, sans oublier les poids qui s'accrochaient dessus. La fillette en les voyant hurla, rien n'y fit, les petits t�tons furent agripp�s par les petites tenailles, des poids de 200 grammes d�form�rent les deux mamelons, les tirant vers le bas. Laura hurla de douleur� Ce fut le moment ou le docteur poussa d'un seul coup sa bitte dans l'anus du petit cul� L'encul�e hurla encore plus fort, un cri inhumain, aigu et strident, entrecoup� de spasmes et de pleurs.
Les t�tons d�form�s par les poids �taient devenus tout violets, la poitrine augmentait de volume, les seins semblaient appartenir � une jeune fille de 14 ans ou plus�
Sandy maintenant jouait avec une aiguille de couturi�re tr�s fine, piquant le bout des t�tons de la m�me. Laura hurlait tr�s fort, rien n'y faisait, le docteur la besognait par le cul de plus en plus vite�
Sandy transper�a� chaque t�tons avec minutie, elle laissa les fines aiguilles en place, c'�tait bizarre de contempler chaque bout de sein �cras� par une pince � seins et en plus transperc� de part en part par une l'aiguille. Sandy jouait aussi en tirant sur les poids des pinces, le supplice �tait complet.
Jean Yves n'en pouvait plus, il se masturbait en contemplant la sc�ne, il tira sur une corde du treuil, la position de la gamine changea, elle "offrit" bient�t sa bouche � sa queue, il for�a l'orifice buccale, le silence revint la petite supplici�e ne pouvait plus crier�
De son c�t� Mr Dupuis ne s'ennuyait pas non plus, il avait attach� Nadine par les pieds � des anneaux fix�s sur une sorte de trap�ze, lui m�me fix� au plafond� La fillette avait la t�te en bas, les cuisses grandes ouvertes, la petite culotte se trouvait � environ 1 m�tre du sol et l'entrejambe offert lui donnait des envies�
Il prit le martinet dans l'armoire � accessoires, se pla�a juste au milieu des cuisses � un m�tre de distance. Le premier coup frappa ou il fallait, juste en plein milieu, sur la petite culotte, au niveau de la chatte de la fillette.
Elle gueula tr�s fort, il d�cida de lui mettre un b�illon, une bout de sparadrap sur la bouche fit l'affaire� Il se remit en place et commen�a � cingler l'entrecuisse � coups r�guliers et soutenus� Il demanda � la petite Audrey de venir le sucer en m�me temps, terroris�e, elle se mit � genoux et s'ex�cuta tout de suite.
La fellation lui donna beaucoup de plaisir et augmenta son envie de frapper Nadine, les coups port�s sur la petite culotte furent port�s beaucoup plus fort... C'�tait g�nial, les lani�res arrivaient juste ou il fallait sur les parties intimes de la petite fille, seule la petite culotte amortissait un peu les coups. Elle avait tr�s mal et sanglotait sans arr�t. Il en voulait plus, il se rapprocha de la supplici�, prit dans l'armoire � accessoires une paire de ciseaux, d�coupa la petite culotte rose par le milieu, du devant au derri�re. Il fit glisser chaque demie-partie de culotte de chaque c�t� du bassin, la chatte �tait � l'air libre et d�gag� de tout tissu.
Il caressa le minou, en profita pour rentrer un doigt dans son vagin, un autre dans son anus. Il contempla le spectacle, tout le bas ventre �tait meurtri et rougi par les coups, et cela ne faisait que commencer�
Il �carta les l�vres de chatte de la m�me, les laissa ouvertes en grand, le plus possible, c'est l� qu'il voulait que les lani�res cinglent.
De toute fa�on le docteur lui avait dit qu'il pouvait y aller, jusqu'au bout et jusqu'� l'�vanouissement et m�me plus si il le d�sirait. Si il y avait trop de d�g�t, il paierait un suppl�ment de 10000 Francs par fillette ab�m�e, Ils avaient m�me convenu qu'en cas de d�c�s accidentel, le forfait serait doubl�, alors�
Il se recula � nouveau, redemanda � la petite de revenir le sucer� Ce coup ci il avait choisi comme instrument un fouet muni d'une lani�re tress�e en cuir.
Il frappa tr�s fort juste au milieu, la lani�re vint s'abattre juste sur les l�vres et fit aussit�t une marbrure rose stri�e sur le bas ventre.
Nadine gesticulait comme pas possible, sans pouvoir faire grand chose, elle pleurait, la douleur �tait atroce. Il attendit que la position de la gamine soit stabilis�e, redonna un coup de fouet avec encore plus de force que pr�c�demment. Toujours aussi bien vis�, les l�vres de chatte de la petite s'ouvrirent encore plus et devinrent toutes rouges� Cela l'excitait �norm�ment, il se d�cida pour donner sans arr�ter 10 coups de fouets, tr�s fort. La s�rie commen�a dans l'horreur� Les l�vres du sexe de la petite fille devenaient � chaque coup de plus en plus irrit�es, tout le bas ventre, les petites fesses �taient marbr�s de cicatrices rouge�tres� Lorsque le dixi�me coup fut donn�, il s'approcha et contempla son �uvre, presque un travail de boucher, elle saignait � plusieurs endroits� Nadine �tait �vanoui�
Tout ce qu'il avait fait, avait �t� pr�m�dit�, il en avait parl� au docteur, celui-ci lui avait donn� des conseils�M�me pour ranimer sa victime� Il saisit une petite fiole, l'ouvrit, en fit respirer � la gamine, quelques secondes apr�s le miracle se produit, la petite �mergea.
Il se dirigea � nouveau vers l'armoire, prit un verre de moutarde et du poivre.
Il s'approcha de la supplici�e, mit deux doigts dans le pot, les ressortit tout jaunes et commen�a � enduire les l�vres du sexe de la fillette ainsi que toutes les marbrures et cicatrices. Puis il en remplit le vagin en poussant avec un doigt
Il s'essuya les mains sur les seins de la gamine, prit une grosse quantit� de poivre moulu dans sa main,� porta le tout sur le derri�re, remplit le cul de poudre noire en for�ant l'anus et en le bourrant avec un doigt�
Rapidement il descendit le trap�ze et d�tacha sa victime. Nadine horrifi� et en pleurs chercha � s'en aller, il la frappa violemment, l'envoyant valdinguer sur la couchette� Il la for�a � s'allonger sur le dos, lui releva les jambes en l'air en les tenant �cart�es. Il plongea sa bitte dans la chatte de la fillette. Il s'�tait �coul� seulement deux minutes depuis qu'il l'avait d�croch�, la moutarde et le poivre commen�aient � agir dans le bas ventre et les fesses de la fillette.
C'�tait horrible, cela commen�ait � la br�ler intens�ment. Il adorait cette sensation, quelle chaleur dans le vagin de cette pucelle, sa queue �tait en feu et la petite qui se tordait de douleur sous lui, sans pouvoir crier � cause du sparadrap sur la bouche, les yeux horrifi�s et exorbit�s tellement elle avait mal. Elle ondulait de la croupe, de souffrance. Il la besognait � fond, les couilles battaient sur son entrejambe, tout �tait rentr� dans son vagin� Il se retira d'elle, la retourna brutalement, la mit � genoux, t�te baiss�e, cuisse �cart�e� Elle se tordait de douleur, sa croupe ondulait tr�s fortement, il l'encula sans probl�me. En quelques coups de reins tout fut rentr� dans son post�rieur, la chaleur du poivre lui chauffait incroyablement la queue et le faisait bander encore plus.
Au bout de quelques minutes, il la retourna � nouveau la remit sur le dos, reprit sa chatte avec une queue bandante nettement plus grosse qu'avant.
La petite Audrey regardait la sc�ne avec horreur, surtout en essayant de ne pas se faire remarquer, cela ne dura pas longtemps, il demanda � la petite fille de venir � c�t� de lui et de se mettre � califourchon sur la t�te de Nadine.
Elle avait trop peur pour discuter et s'ex�cuta aussit�t. Il lui donna l'ordre de faire pipi dans la bouche de sa copine, et de bien viser, sinon il lui ferait pareille�
Il ordonna � Nadine d'ouvrir la bouche, de recevoir la pisse en avalant� tout, sinon il l'attacherait et la fouetterait � nouveau� Cinq secondes apr�s la fillette ouvrit la bouche, la laissant ouverte en grand�
Un beau jet de pisse limpide et clair coula dans la petite bouche de Nadine, un doux bruit de petite fontaine, suivi d'un bruit de d�glutition, la fillette avalait tout � petite gorg�e�
Le jet de pisse dura quelques minutes, la vessie de la gosse �tait pleine, il prenait son pied en besognant la chatte de Nadine et en regardant couler le pipi au fond de sa gorge.
Dans l'autre pi�ce la petite Laura continuait � �tre tortur� par les trois comp�res.
Sa position avait chang�, en croix � l'horizontal, maintenu dans les airs par le treuil, les cuisses grandes ouvertes � un m�tre au dessus du sol�
Sandy s'occupait toujours d'elle, en plus des t�tons perfor�s, elle s'occupait entre ses cuisses � enrouler soigneusement et � attacher les grandes l�vres de sa chatte avec des aiguilles et du fil chirurgical, ceci pour "l'ouvrir" au maximum, comme lui avait expliqu� le docteur, bien sur sans calmant et sans anesth�sie.
C'�tait horrible, la petite fille hurlait sans arr�t. Le docteur avait pr�par� une piq�re de morphine, mais il estimait que la douleur n'�tait pas assez forte, d'ailleurs elle pouvait gueuler tant qu'elle voulait et avoir le plus mal possible, c'�tait le but rechercher�
Le docteur eut une id�e, pourquoi ne demanderait t'il pas � Mr Dupuis de participer � la torture de Laura, � voir ce qu'il faisait � Nadine, et avec ce qu'ils s'�taient dit, il ne devait pas avoir particuli�rement de remords�
Il ouvrit la porte� Mr Dupuis ne fut pas surpris et continua le besognage de Nadine� L'explication dura cinq minutes, tout �tait dit, Mr Dupuis se retira du bas ventre de Nadine et se dirigea vers la pi�ce ou Laura �tait tortur�
Ah les salauds� Fut le premier mots que pronon�a Mr Dupuis en rentrant dans la pi�ce, mais ce ne fut pas pour condamner la position de la m�me Laura, ni la torture de la petite� Il avait dit �a pour le miroir, il venait de s'apercevoir que tout ses �bats avaient �t� suivis par les trois comp�res.
Il se remit rapidement et fut attir� aussit�t par la position de Laura. Il s'approcha, demanda aussit�t si il pouvait participer, tout le monde en m�me temps le rassura� Il avait envie d'essayer sa petite chatte, faut dire que c'�tait bizarre � contempler, les l�vres enroul�es et cousues, bien ouverte laissaient appara�tre le col de l'ut�rus ainsi que les muqueuses vaginales.
Sa grosse bitte appuya bient�t sur le vagin de la petite supplici�e�
Il n'eut aucune difficult� � rentrer son gros morceau dans le ventre de la petite.
A chaque coup de rein il tirait sur les aiguilles transper�ant les seins, faisant sortir un grand cri de la gorge de Laura�
Il juta copieusement au bout de cinq minutes et se retira. Comme pour conclure leur nouvelle amiti�, le docteur se mit � sa place et n'eut aucune difficult� � "saillir" la m�me � son tour, il adorait� Elle �tait pleine de jute, cette sensation �tait unique, l'�troitesse et la chaleur du petit trou rempli de sperme lui donnait des sensations nouvelles, en somme c'�tait le principal. Il juta � son tour dans la gamine et se retira. Jean Yves ne voulut pas en rester l�, � son tour il se mit en position, tous purent remarquer la jutte qui sortait du petit trou et coulait abondamment sur les cuisses. Le dernier comp�re enfon�a sa queue � fond dans le vagin �cart� de la petite fille. Il jouit peu de temps apr�s et l'inonda � son tour.
Il se retira� La gamine ne pleurait plus, les yeux grands ouverts, elle �tait passive, inerte et sans r�action. L'expression de douleur et de peur de son visage laissait quand m�me appara�tre une certaine satisfaction, un air de bien �tre, elle �tait reput et combl�e, dr�le de m�lange�
Les quatre gamins furent enferm�s dans la pi�ce des tortures, les trois hommes et la jeune femme all�rent se restaurer dans la petite cuisine en haut du pavillon.
Ils discut�rent longtemps � vive voix, au bout de deux heures de picolage et de fantasmes, tous furent d'accord, le docteur venait de se faire encore un nouvel associ�, Alain �tait d'accord pour faire parti int�grante de l'�quipe. Il aurait la
" viande fra�che � l'�il " et �tait d'accord pour participer � de nouveaux rapts d'enfants.
Plus de deux heures apr�s ils rentr�rent � nouveau dans la pi�ce des tortures.
Les enfants dormaient, m�me Laura toujours �cartel�e en hauteur dans la m�me position, la chatte d�goulinante de foutre, �puis�e, dormait profond�ment.
Le docteur r�veilla Nadine, Audrey et K�vin. Jean Yves les emmena � la salle de bain faire un peu de toilette et soigner la petite chatte de Nadine. Sandy leur pr�para une collation dans la cuisine, elle m�me avait faim et se restaura aussi.
Le docteur et Mr Dupuis rest�rent seuls avec la petite Laura dans la pi�ce des tortures, la petite fille avait la poitrine dans un �tat lamentable, mais le but �tait atteint, les seins avaient tripl� de volume� Les pinces serraient toujours les t�tons, tandis qu'eux m�me toujours transperc�s par les aiguilles �taient gonfl�s et d'un rouge violac�.
Les mains des hommes parcoururent le corps de la fillette, galb� � la perfection. Ils s'attard�rent sur ses petites fesses, prenant plaisir � palper les petites pommes, une dans chaque main, les �cartant � fond pour contempler le petit anus rougi par les nombreuses sodomies. Ce qui devait se passer arriva� La fillette se r�veilla, contempla ses bourreaux. Elle ne pleura pas et fixa dans les yeux le docteur, un regard qui demandait, pourquoi moi ?�
Il eut un peu piti� d'elle, il lui fit la piq�re qu'il avait pr�par� des heures auparavant� La petite fille eut un spasme, elle se raidit compl�tement. Quelques secondes apr�s l'effet contraire se produisit, elle se d�tendit sous leurs yeux, de plus en plus. Ses pupilles se dilat�rent � fond, l'Opium m�lang� � une autre drogue tr�s puissante faisait son effet.
Il d�tacha la m�me, la mit sur le lit, puis retira les pinces � seins et les aiguilles qui la transper�ait. Il s'�vertua pendant un bon quart d'heure � r�parer les d�g�ts caus�s par les s�vices.
D�sinfectant et pommade contre les bleus furent employ�s � foison.
Puis il s'occupa de sa chatte, avec une petite pince il coupa les fils qui enroulaient les l�vres de son minou, les retirant un par un. Pour s'amuser un peu il appuya sur le bas ventre, une bonne quantit� de sperme ressortit du vagin et coula sur les cuisses, se dirigeant vers la raie des fesses. Il laissa le liquide se promener sur l'anus. A l'aide de son index il en remplit son post�rieur, toujours la m�me chaleur moite et agr�able dans l'int�rieur de cette fillette.
Il lui demanda se de retourner, fesses en l'air, elle s'ex�cuta, il l'aida � peine.
Puis avec autorit� lui demanda de se mettre sur les genoux, cuisses �cart�es et t�te en bas, elle n'avait plus de volont�, rapidement Laura se retrouva dans la position souhait�e. Quel magnifique spectacle elle lui offrait, son petit cul offert en grand, un anus de fillette de neuf ans ouvert, d�j� tout rougi par les sodomies pr�c�dentes. Une fillette soumise aux bittes, la t�te baiss�e, les bras allong�s de chaque c�t� de son corps� offerte � tout, et � tous�
Il caressa longuement sa chute de rein, son bassin, ses cuisses. Il prit dans chaque main une fesse, �carta doucement. Il lui sembla qu'elle pouvait �tre encore plus ouverte, il d�pla�a un de ses genoux vers l'ext�rieur, ce qui eut pour effet de lui �carter encore plus les cuisses et le bassin. Mr Dupuis contemplait avec passion, il eut envie de toucher. Le docteur l'invita � palper toutes les courbes de la petite fille. Il s'aventura sur le torse� La poitrine �tait petite mais saillante, elle s'�tait distendue incroyablement, il soupesa chaque petit sein avec aisance, les pressa doucement dans chaque main, puis de plus en plus fortement. Laura g�mit de douleur, le docteur ne voulait plus l'entendre�
Il demanda � Mr Dupuis si il voulait bien se mettre jambes �cart�es sa bitte � la hauteur de la bouche de la gamine. Il se mit � rire, comprenant aussit�t�
Bient�t la fillette eut une belle queue gonfl�e dans sa bouche.
La palpation des seins continua, agenouill� entre ses fesses, la bitte bien dure � la hauteur de son anus. Il malaxait ses mamelles, tirant sur les t�tons, les faisaient rouler entre ses doigts, appuyant dessus, puis les faisant rentrer compl�tement. La fillette se tordait de douleur, bougeant son cul pour essayer de se d�gager. Il fit appuyer le gland de sa bitte sur la petite corolle de l'anus et appuya doucement�
C'�tait encore plein de jutte, l'anus s'ouvrit rapidement, le bout s'engouffra dans le petit trou� Quel enculage Sublime, c'�tait chaud et humide en m�me temps. Elle avait eu mal, tr�s mal, le cri avait �t� �touff� par le sexe de Mr Dupuis dans sa bouche.
Il �tait serr� dans son cul, mais qu'il �tait bien. Il avait encore plus de douze centim�tres � lui rentrer� Il commen�a � aller et venir dans son ventre, cela coulissait assez bien, le trou connaissait d�j� le morceau, il l'avait d�j� sodomis� une fois sans probl�me�
Il ordonna � Laura de piper le Monsieur. Voyant que rien ne venait, il poussa sa bitte plus loin dans son cul. Mr Dupuis saisit en m�me temps sa t�te, la fit descendre et monter, ce qui eut pour effet de faire coulisser la bitte dans la petite bouche.
Le docteur lui ordonna de continuer sans arr�ter, sinon elle serait fouett�e tr�s fort entre les cuisses, et sur le minou.
La petite fille soumise s'ex�cuta imm�diatement, elle avait compris pour sa vie enti�re comment faire�
La pipe �tait bien faite. La queue coulissait dans la petite bouche, les l�vres �tait bien referm�e sur la verge, la gamine enveloppait tout, le mouvement �tait bien r�gulier. Elle salivait pour bien mouiller la tige, comme il fallait.
Le cul prenait de plus en plus de longueur. Il prenait du plaisir � �carter chaque petite fesse � fond de chaque c�t� avec ses main, contemplant sa queue sodomiser le petit trou et s'enfouir dans ses profondeurs intimes.
Les quatorze centim�tres rentr�rent compl�tement, cela coulissait � merveille. Seul le gland restait dans l'anus lorsqu'il se retirait. Le va et vient faisait appara�tre la verge compl�tement, puis la faisait dispara�tre � nouveau.
La petite encul�e prenait tout dans ses fesses� Le docteur mit une main sous son bassin, � la hauteur de sa chatte, la petite �tait encore pleine de sperme�
Il trouva le clitoris, miracle des petites femelles, le bourgeon n'�tait pas rentr� et saillait en une petite boule. Il palpa, caressa et titilla le bout de chaire.
Quelques minutes de travail sur le clitoris suffirent pour rendre la fillette en chaleur, � partir de cet instant le comportement de la petite salope changea du tout au tout, elle commen�a � g�mir de plaisir. Mr Dupuis n'en croyait pas ses yeux, il sortit sa bitte de la bouche de la gamine pour pouvoir �couter ses g�missements. En effet, Laura gloussait de plaisir, elle parlait toute seule :
"Oh�.Oui�Oui�encore�Oui�C'est bon�Monsieur� C'est bon�Encore�"
Pour toute r�ponse le docteur lui dit : " suce salope�" La petite rechercha rapidement � happer la queue devant elle, la trouva et continua sa fellation�
Au bout de cinq minutes suppl�mentaire de travail sur son cul et son clitoris, la petite fille se tordait, ondulant son bassin, sans arr�ter de g�mir de plaisir�
Elle fut surprise lorsqu'elle re�ut la premi�re gicl�e de jutte chaude dans sa bouche, aussit�t Mr Dupuis lui ordonna d'avaler sans en laisser et sans en perdre. Il l'aida, poussant au maximum sa verge dans le fond de sa bouche� Elle faillit s'�trangler, mais toutes les jets de jutte arriv�rent � destination dans le fond de la gorge et furent aval�s imm�diatement� Elle gloussait toujours de plaisir, le docteur titillait sans arr�t son clitoris, plongeant ses doigts dans son vagin. Elle s'excitait de plus en plus, semblant perdre toute notion de r�alit�.
La sodomie continuait, la gosse remuait son cul de chaque c�t�, s'enculant toute seule. Donnant des coups de reins pour rentrer la bitte elle m�me lorsque celle-ci n'�tait pas assez rapide ou pas rentr� assez profond�ment.
Mr Dupuis se retira de sa bouche et contempla la fillette d�glutir sa semence, elle en avait plein les l�vres et sur le contour de la bouche�
C'�tait vraiment surr�aliste d'admirer cette gamine d'� peine 11 ans, remplie de sperme par tous les trous, se faisant enculer � fond et jouir comme une femme.
La m�me �tait �puis�e de plaisir, elle continuait � g�mir et � se tr�mousser.
Le docteur n'arr�tait pas d'exciter son clitoris en continuant l'enculage.
Avec autorit� il lui demanda de nettoyer la queue de Mr Dupuis en la l�chant avec des grands coups de langue, en avalant ce qui restait dessus. Elle le fit aussit�t, elle s'appliquait � l�cher de bas en haut, des couilles au gland elle nettoyait la grande tige, avalant ce qu'elle trouvait encore.
Ses yeux �tait tout p�tillants, la drogue faisait son effet et dans son cas l'excitait incroyablement.
Elle jouissait, hurlant tr�s fort, le docteur ne put se retenir plus longtemps, il d�fourailla dans le petit post�rieur, � grandes gicl�es, il inonda son int�rieur.
La fillette ressentit la jutte chaude rentrant dans son ventre, dans un cri aigu, elle �mit un : " Oh�" de surprise, secouant sa t�te de gauche � droite en se d�hanchant comme pour mieux appr�cier la liqueur chaude de l'homme�
Le docteur �puis� s'affaissa sur la gamine qui fut plaqu� allong� sur le lit, il l'�crasa presque. La bitte dans ses fesses il resta un long moment sans bouger, pour r�cup�rer. Il se retira d'elle enfin et ne put s'emp�cher de regarder ses belles petites fesses, avec ses mains il les �carta� Tr�s peu de jutte ressortait de l'anus, la petite salope �tait bien remplie et elle garderait son sperme �
Ereint�e la petite Laura s'endormit aussit�t. Le docteur et Mr Dupuis all�rent retrouver les autres et se restaur�rent � leur tour.
Les autres enfants commen�aient � r�cup�rer. La plus amoch�e �tait sans aucun doute Nadine, le fouet l'avait cingl� sur son sexe, son ventre �tait z�br�, marqu� par les lani�res. Le docteur la soigna et lui fit une piq�re pour la douleur, en r�alit� une dose d'opium�
Mr Dupuis �tait tr�s excit� et super content d'avoir rencontr� une �quipe qui allait lui permettre d'assouvir ses fantasmes. Il �tait d'accord sur tout, m�me le kidnapping d'enfants ne lui faisait pas peur. Comble de l'ironie, Apr�s tout�
Il travaillait pour une association qui s'occupait de la r�insertion d'enfants. Le placement de gosses dans des familles d'accueil �tait le lot quotidien de son travail� Il en avait m�me profit� quelques fois, surtout avec des familles consentantes qui acceptaient des gosses, non pas pour les choyer, mais bel et bien pour les baiser, ou les offrir comme services contre r�mun�ration�
Il s'�tait vu proposer des sommes consid�rables pour placer dans ses familles des fillettes. Bien sur il pouvait consommer la gamine quand il le d�sirait.
Il pr�venait de son arriv�e, la petite fille �tait d�j� dans un lit. Il n'avait plus qu'� se coucher � c�t� d'elle et passer la nuit avec.
C'est lui qui s'occupait des contr�les� Alors pas de probl�me pour les rapports en hauts lieux.
Mais il ne pouvait jamais les soumettre � fond ou les torturer comme il le faisait ici, et � force de pratique, ses besoins augmentaient, il voulait toujours aller plus loin�
Le docteur fut passionn� par son r�cit. Voyant tout de suite qu'il pouvait tirer parti du travail de Mr Dupuis, il expliqua � celui-ci que le plus dur �tait de trouver de tr�s belles fillettes. Il y avait �norm�ment de "d�chets"�
La solution id�ale serait de s�lectionner les petites filles en premier pour leur physique, puis d'essayer celles retenues...
En cas de r�ussite � l'examen et seulement dans ce cas, ils pourraient aller plus loin, voir les kidnapper�
Mr Dupuis promit � toute l'�quipe de leur pr�senter rapidement des gamines pour consommer�� Il risquait son boulot, mais il s'en foutait.
De son c�t� le docteur lui dit qu'il �tait chez lui, plus question de le faire payer pour sa consommation propre de gamines�
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������ La visite m�dicale du CE 2
Le message sur Internet �tait clair, l'homme tr�s riche passait commande de deux belles fillettes blondes de 9 et 10 ans. La moiti� de la somme des deux cent mille francs allait �tre vir�e sur le compte ouvert par le docteur en Suisse.
Il t�l�phonerait � la banque demain�
On �tait d�j� le 20 Septembre. L'�cole ayant reprit, il allait falloir ruser pour trouver deux belles fillettes� A la plage tout �tait plus simple la s�lection se faisait automatiquement.
On voyait tout de suite comment la gamine �tait fa�te, ses formes etc.�
Le docteur t�l�phona � Mr Dupuis pour lui demander ce qu'il en pensait�
Apr�s tout� Il travaillait pour une association qui s'occupait de la r�insertion d'enfant. Le placement de gosses dans des familles d'accueil �tait le lot quotidien de son travail� Il en avait m�me profit�
Il y aurait bien une solution dit il apr�s r�flexion. En d�but d'ann�e il y � toujours une visite m�dicale dans les �coles, comme vous �tes docteur je peux organiser une fausse consultation dans un �tablissement scolaire, bien sur sous des faux noms. Cela nous permettra de s�lectionner les petits anges�
Il suffit de falsifier un ou deux documents. Cela para�tra aussi vrai que nature� On peut dire que cet examen suppl�mentaire rentre dans le cadre d'une enqu�te administrative, deux ou trois tampons au bon endroit d'un document et toutes les portes s'ouvriront�
La v�ritable visite se fera quelques semaines apr�s, mais l'administration est tellement complexe et fouillis, que la premi�re consultation passera comme un examen suppl�mentaire dans le but d'une recherche sp�cifique, personne n'ira chercher plus loin, de peur de foutre la merde�
Il restera uniquement � kidnapper les gosses quelques jours plus tard, mais comme on aura leurs adresses, leurs noms, leurs habitudes, la suite devrait �tre tr�s simple.
Le docteur reconnu que c'�tait g�nial, il lui donna le feux vert pour s'occuper de toute l'affaire. Lui serait uniquement l� pour jouer au docteur et sceller le destin de deux petites filles de 9 et 10 ans.
Mr Dupuis le rappela trois jours plus tard, selon lui tout �tait pr�t, il avait envoy� par courrier l'avis d'inspection exceptionnel de visite m�dical.
Celui-ci expliquait que dans le cadre d'une enqu�te administrative concernant les mauvais traitements � enfance, ils allaient pratiquer un examen m�dical sur les classes de CE2 et CM1, la date �tait impos�e au lendemain. Il �tait ajout� � l'intention de la directrice du Lyc�e de jeune fille, qu'en raison du caract�re sp�cial d'un tel examen, il �tait recommand� de ne pas �bruiter l'affaire et de faciliter au maximum le travail du docteur et du psychologue envoy�.
Il s'�tait assurer en t�l�phonant de la bienfaisante collaboration de la directrice,� lui expliquant que selon les enfants l'examen pouvait durer de quelques minutes � pr�s d'une heure, voir plus si une fillette leur faisait des r�v�lations.
La visite m�dicale n'�tant pas uniquement un contr�le m�dical, mais aussi un entretien psychologique complet avec l'enfant.
La directrice n'avait �veill� aucun soup�on. Elle s'�tait m�me engag�e � leur faciliter la tache, mettant l'infirmerie � leur compl�te disposition.
Tout serait pr�t pour le lendemain. Le docteur pr�para tout son attirail, deux valises compl�te de mat�riel, il n'omit rien�
Le matin � 8 heures ils investirent le lyc�e de jeunes filles. Ils avaient chaud, trop de mignons petits culs circulaient autour d'eux, des jolies fillettes partout� Ils se pr�sent�rent � la directrice, montr�rent deux cartes officiels, une de docteur, l'autre de psychologue avec des faux noms� Plus vrais que nature.
La femme leur montrant le chemin, ils se dirig�rent vers l'infirmerie�.
La salle �tait petite, mais bien �quip�e, une pi�ce de soin banale mais compl�te, avec des armoires � pharmacie, une banquette couchette sur roues, un petit lit d'appoint, une table et trois chaises.
Tout en rev�tant chacun leur blouses blanches et en d�ballant une partie du mat�riel, le docteur expliqua que les �l�ves seraient appel�es une par une en consultation. Le psychologue viendrait dans la classe chercher la premi�re gamine et l'am�nerait � l'infirmerie. Lorsque l'examen serait fini, la petite repartirait et appellerait un nouvel enfant. Ce qui permettrait aux �l�ves de manquer la classe au minimum�
La directrice fut conquise par ce proc�d�. Laissant le docteur pr�parer ses affaires et ses dossiers, elle emmena Mr Dupuis dans la premi�re classe de CE2, celle des fillettes de 9 ans. Apr�s pr�sentation au professeur, la directrice fit un petit discours pour pr�venir la trentaine d'�l�ves de la visite m�dicale.
Elle insista sur la n�cessit� d'une bonne collaboration de chaque �l�ve, comme le docteur lui avait demand�, elle leur demanda de parler sans rien cacher.
Rien de ce qu'elles diraient ne serait r�p�t�, secret m�dical oblige�
La directrice prit cong�, partant vaquer � ses occupations� Selon elle, son emploi du temps �tait tr�s charg�
La premi�re fillette fut appel�e par ordre alphab�tique. Eve c'�tait son pr�nom, suivit Mr Dupuis dans les d�dales de couloir et d'escalier, puis p�n�tra timidement dans l'infirmerie�
Le docteur ferma la porte � clefs, lui serra sa petite main, la jaugea aussit�t� Elle �tait mignonne, beau visage, beau corps, ses jambes �taient pourtant un peu trop fortes � son go�t.
Il demanda � la petite fille de s'asseoir � la table. Mr Dupuis et le docteur �taient assis en face d'elle. La gamine �tait loin d'�tre � l'aise, le docteur la rassura et commen�a � lui poser des questions� Un formulaire avait �t� �tabli, cela commen�ait par l'identification compl�te, la date de naissance, etc�
Puis venaient les go�ts et loisirs.�
Peu � peu, les questions devenaient de plus en plus personnels et intimes�
Mr Dupuis remplissait le dossier. Une des questions les plus indiscr�tes �tant pos�e, � savoir si elle avait �t� caress�e ou touch�e � des endroits tr�s personnels par quelqu'un de son entourage. La gamine rougit, baissant aussit�t les yeux�
Le docteur lui expliqua qu'elle pouvait parler sans crainte, rien ne sortirait d'ici. La fillette assura que ce n'�tait pas le cas�
M�me si il savait qu'elle mentait, il fit semblant de la croire�
D�j� quinze minutes de pass�, le docteur demanda � la gamine de se d�shabiller, il fallait qu'elle garde juste sa petite culotte. Deux minutes plus tard Eve, 9 ans �tait debout avec comme seul v�tement une petite culotte rose � dentelles.
Elle �tait presque parfaite, les jambes un peu trop fortes. Il �tait certain � voir son bassin qu'elle n'aurait aucune difficult� � �tre mont� par un m�le des deux c�t�s sans probl�me�
Un docteur sans st�thoscope, n'�tait pas un bon praticien� Il amena l'instrument sur sa toute petite poitrine, �couta le tic tac de son horloge interne, la fit se retourner. Prenant soin de mettre ses mains sur ses hanches, sur le haut de ses petites fesses. Ils contempl�rent sa chute de reins, dommage que les jambes ne suivaient pas l'harmonie du haut.
Il demanda � la gamine de s'allonger sur la couchette, la petite s'ex�cuta, jambes allong�es. Avec autorit� il lui releva les deux genoux. Ils �taient maintenant repli�es, les pieds reposant sur la couchette. Il lui demanda de soulever son bassin un peu, ceci pour baisser sa culotte� Elle rougit, d�tourna ses yeux de c�t�, mais souleva l�g�rement son petit cul.
Il baissa la petite culotte sur le haut des cuisses, mit une main sur chaque genoux et �carta doucement� Son minou imberbe apparut, la petite fente aussi, elle avait une tr�s mignonne petite chatte�
Il fixa la lampe sur sa t�te, puis l'alluma. L'entrejambe �tait bien �clair�, la lumi�re balayait aussi son anus.
Tr�s visible, la belle petite corolle rose �tait bien ferm�e en forme d'�toile.
Bon dit-il, il va falloir voir �a de plus pr�s, tout en faisant glisser la petite culotte enti�rement, jusqu'� la faire passer par un des ses pieds. Il fit expr�s que le l�ger bout de dentelle rose reste sur une des jambes de la fillette, le remonta m�me sur la cuisse�
Elle ne pourrait pas dire qu'on lui avait enlev� sa petite culotte compl�tement�
Voyant qu'elle se laissait faire sans probl�me, il lui demanda de mettre ses jambes en hauteur, ouvertes � fond. Il l'aida� avant qu'elle ne r�agisse, chacune de ses mains leva une cuisse tout en l'�cartant au maximum�
Elle les laissa en l'air, ouvertes au maximum, les maintenant toute seule�
Le docteur la rassura, lui disant qu'il allait pratiquer un petit examen, qu'elle n'aurait absolument pas mal, qu'il fallait qu'elle se d�tende au maximum.
Il prit le r�cipient contenant de la vaseline, et sans gant, � l'aide de son doigt en r�pandit g�n�reusement sur la fente de la petite fille. D'abord doucement, puis petit � petit il poussa l�g�rement pour en faire rentrer un peu dans son vagin.
Le majeur rentra jusqu'� la premi�re phalange, fouillant d�licatement son bas ventre.
A ce stade l'hymen ne risquait pas d'�tre d�chir�, il fallait que la fillette reste intacte, du moins si elle l'�tait encore�
Il prit le sp�culum de vierge, bien mis en �vidence sur la table du petit chariot m�tallique � c�t� de lui, l'enduit de vaseline. La vis �tait desserr�e au maximum. Il guida l'appareil sur la petite fente, l'introduit tr�s doucement dans l'entr�e du vagin de la gosse, la lumi�re frontale l'aida � trouver le chemin, il poussa, l'appareil glissa dans le bas ventre de la petite Eve.
La fillette �tait tr�s contract�e, jambes en l'air, cuisses ouvertes, elle fermait les yeux, le visage tourn� sur le c�t�. Le docteur lui parla tr�s doucement pour la rassurer encore une fois : " Je vais te mettre de la pommade sur ton minou, pour que tu aies une sensation agr�able, il faut que tu te d�tendes � fond�".
Il mit un peu de vaseline sur son doigt� Au lieu de la rentrer dans son vagin il en r�pandit une toute petite noisette sur le clitoris cach� de la petite fille, massa tr�s doucement, tandis que de l'autre main il commen�a � serrer la vis du sp�culum.
Il serrait la vis d'environ un tour par minute, ce qui permettait � la petite fille de s'habituer petit � petit � l'ouverture de son vagin.
Au bout d'environ trois minutes, Eve commen�a � s'agiter� Le docteur constata que le massage lui faisait de l'effet, le clitoris commen�ait � prendre un peu de volume sous son doigt, le vagin �tait d�j� ouvert d'environ trois centim�tres.
Du regard, il explora le canal intime et tout rose de la petite fille, elle �tait profonde. Il distingua nettement l'hymen non d�chir�, petit lambeau de chair fragile qui obstruait le vagin, mais pas enti�rement... Le sp�culum �tait pass� par le c�t� sans d�chirer le petit cordon. La fillette �tait pucelle, aucune bitte n'avait encore pris le chemin de son intimit� Il pouvait serrer la vis de l'engin sans probl�me, il voyait l'hymen il ne craignait rien. Il ouvrit le bassin de la pucelle d'environ quatre centim�tres et continua son massage sur le clitoris.
La gamine ouvrit les yeux en grands� Ils �taient devenus tout p�tillants, la pupille dilat�e�
Le docteur rassura Eve : " C'est pour que tu n'aies pas mal, surtout il ne faut pas que tu bouges, tu vois cela ne te fais pas mal du tout, au contraire�".
La petite commen�ait � jouir, il le savait bien, il n'avait pas du tout l'intention d'arr�ter avant qu'elle n'ait eu son premier orgasme� Il savait bien qu'elle n'en parlerait jamais � quelqu'un, par contre � partir de maintenant, tous les soirs dans son lit elle se masturberait elle m�me, c'�tait sur�
La fillette n'osait pas parler ni crier de joie, seule sa respiration devenait saccad�e. Quelquefois, elle g�missait un peu en crispant tout son corps.
Cela dura cinq bonnes minutes, puis il y eut sa premi�re d�livrance, son premier orgasme... Elle ne put s'emp�cher de faire sortir un petit cri de sa bouche en bougeant sa t�te de chaque c�te plusieurs fois�
Il remit son doigt dans son vagin et put constater que la fillette �tait mouill�e, compl�tement inond�e.
Ses yeux brillants avaient une expression de b�atitude reconnaissante, ses traits �taient d�tendus. Elle avait pris son pied incroyablement, dommage qu�il n�ait pas eu le temps de l�initier �� l'enculage, elle aurait du aimer aussi�
Le docteur d�vissa, puis retira le sp�culum, le col de la fillette se referma.
Il prit un essuie tout, retira m�ticuleusement le surplus de vaseline de sa fente,
baissa ses jambes, remit sa petite culotte puis lui demanda de se rhabiller.
La petite encore tout �tourdie et vacillante se leva, remit ses affaires.
Peu apr�s le docteur lui demanda de s�asseoir.
Il lui donna un verre d�eau qu�elle but d�un seul trait�
Il lui expliqua que c��tait la seule fa�on de pratiquer l�examen de fa�on qu�elle n�ait pas mal. Il la rassura, lui dit que le test avait �t� n�gatif�
Qu�en effet elle n�avait jamais eu de relation sexuelles avec quelqu�un.
C��tait bien, il fallait qu�elle continue dans cette voie�
Il serr�rent la main d'Eve lui dirent que l'entretien �tait fini, et lui demand�rent d'envoyer la gamine suivante...
Penaude elle repartit laissant les deux comp�res en t�te � t�te, elle ne parlerait certainement � personne de ce qui venait se passer, d'ailleurs qui la croirait�
Mr Dupuis n'avait pas arr�ter de prendre des notes, au moins de faire semblant�
La technique �tait cr�dible. Ils avaient test� la fa�on de faire avec la premi�re fillette pour savoir ce qui pouvait clocher, ils n'iraient pas aussi loin avec toutes les candidates.
Il fallait que la fillette soit superbe pour �tre �tudi�e de cette fa�on�
Les �l�ves se succ�d�rent, la visite durait environ un quart d'heure pour une candidate moyenne, c'est � dire qui n'int�ressait pas le docteur et Mr Dupuis.
Dans ce cas, ils ne faisaient m�me pas d�shabiller les gamines, ils gagnaient un temps fou.
La treizi�me fillette rentra. Imm�diatement tout fut diff�rent�
Le charme, la gr�ce, la beaut� r�unit en un petit bout de fille, elle sentait bon et �tait habill�e avec beaucoup de go�t.
Une vrai blonde aux cheveux courts, aux yeux bleus, tr�s fine et bien proportionn�e. La fillette avait beaucoup de personnalit�.
On devinait sous ses v�tement un corps exceptionnel. Il fallait v�rifier�
La voix d'Am�lie �tait tr�s agr�able, douce et sensuelle, rien qu'en l'entendant on avait envi de lui faire l'amour. Elle r�pondit au questions�
Fut naturellement g�n�e, et rougit � la question sur les attouchements sexuels.
Le docteur lui demanda de se d�shabiller. Elle le fit doucement, avec m�thode et aussi avec une certaine sensualit�, puis se retrouva debout en petite culotte rose agr�ment�e de petites fleurs imprim�es et de vraie dentelle.
Elle �tait adorable, rien ne clochait dans ses mensurations.
Plus tard elle deviendrait une femme exceptionnelle, mais elle perdrait malheureusement la gracilit� qu'elle avait actuellement�
Le docteur l'invita � se coucher sur la banquette, il d�vorait des yeux la gamine. Ses t�tons saillaient un petit peu, rare pour une petite de cet �ge.
Il parla tr�s doucement � l'oreille de Mr Dupuis et lui dit : " Celle la on l'endort et on l'essaye ".
Il ouvrit sa sacoche m�dicale, en sortit une seringue, la remplit � moiti� d'un certain produit de couleur ambre, prit de l'alcool et du coton. Se dirigeant vers la petite fille, il lui dit : "C'est un produit test, pour savoir si tu es en bonne sant�, tu ne sentiras rien, il faut juste que tu te d�tendes un maximum�".
Elle ne sentit presque rien lorsque la fine aiguille p�n�tra dans son avant bras. Elle ne broncha m�me pas� Trente secondes apr�s la gamine fermaient ses paupi�res et semblait dormir compl�tement. Le docteur commen�a � lui parler doucement : " Am�lie, tu m'entends, je sais que tu m'entends, tu va dormir d'un profond sommeil, tu ne te r�veilleras pas avant qu'on te le dise, tu vas faire tout ce qu'on te dit, tout ce qu'on vas te demander de faire. Il faudra le faire tr�s bien, tu te laissera faire enti�rement, c'est pour ton bien. Tu ne sera jamais choqu� et surprise par ce qu'on te fait, tu prendras beaucoup de plaisir � le faire.
A ton r�veil, tu ne te souviendras pas de ce qu'on ta fait, tu n'auras plus aucun souvenir de ce que les docteurs t'auront fait, tu as bien compris ? ".
Un " oui " tr�s lointain se fit entendre�
Il attendit quelques minutes suppl�mentaires demanda � Mr Dupuis de venir le rejoindre, souleva la petite fille, l'emmena et la d�posa sur le petit lit.
Ce serait plus commode pour la suite�
Les deux hommes se mirent de chaque c�t� du lit. La fillette �tait allong�e sur le dos, le docteur mit ses main sur sa poitrine et lui caressa ses petits t�tons.
Surtout sans lui faire mal dit-il � Mr Dupuis, on peut tout faire, mais sans laisser de trace...
Les mains du docteur descendirent sur le devant de la petite culotte, c'�tait tr�s doux. La dentelle avait cette particularit� au toucher, de caresser en effeurant la peau en m�me temps. Cette sensation donnait un m�lange sensuel et �rotique.
Il releva les genoux de la fillette, �carta ses cuisses, s'allongea entre ses jambes. Doucement il mit sa bouche sur la petite culotte au niveau du bas ventre, sortit sa langue, commen�a � l�cher en mouillant la dentelle� Ce petit man�ge dura un certain temps, Mr Dupuis faisait le m�me travail avec sa langue sur les t�tons d'Am�lie.
Cinq minute apr�s la petite culotte �tait compl�tement mouill�e sur le devant.
Le docteur mit ses mains de chaque c�t�, la fit glisser sur ses mollets.
Il ne lui resta qu'un geste � faire pour l'�ter enti�rement...
Il remit sa t�te dans l'entrejambe de la petite et d�couvrit sa belle petite chatte, les l�vres �taient bien ferm�es� Il respira son l'odeur, elle sentait bon la petite vierge. Sa langue vint l�cher la petite fente de bas en haut, doucement,� juste dans le sillon, entre ses l�vres. A chaque passage il n'oubliait pas le tout petit bout de chair qui saillait tr�s l�g�rement, son clitoris�
Il laissait le bout de sa langue dessus, appuyant doucement pour le faire rentrer, puis le faisait tourner � nouveau.
Le man�ge dura cinq minutes� Assez pour que le petit bourgeon prenne de la dimension et durcisse un peu. Au bout d'un moment, la fillette �carta d'elle m�me ses cuisses au maximum�
Le docteur parla doucement � Am�lie, lui demanda de se relever puis de s'accroupir � genoux sur le sol en s'appuyant sur ses mains. Elle mit quelques secondes � r�agir, mit les pieds par terre, s'accroupit � genoux, mains par terre� Elle avait un corps parfait, une croupe superbe et exceptionnelle, des cuisses tr�s bien proportionn�es. Il lui demanda encore d'�carter au maximum ses jambes, de creuser ses reins en m�me temps.
C'�tait g�nial, le bas du dos formait une petite cuvette, le cul ouvert en grand laissait appara�tre le petit anus rose en �toile.
Ses mains caress�rent sa chute de reins, envelopp�rent chacune une petite fesse. Les palpant voluptueusement � volont�
Il demanda � Am�lie de baisser sa t�te presque au niveau du sol, ce qu'elle fit imm�diatement. Elle �tait encore plus belle, offerte la t�te en bas, cul en l'air�
Il fit signe � Mr Dupuis de s'allonger par terre et de mettre son sexe � la hauteur de sa bouche. Il s'ex�cuta, d�grafa sa braguette, sortit sa bitte qui se mit rapidement en �rection.
Le docteur demanda � Am�lie d'ouvrir sa bouche en grand. Il lui dit qu'il allait rentrer quelque chose de tr�s sp�ciale dedans, qu'il fallait d�guster, faire comme avec une glace, c'�tait ti�de et tr�s bon�
Il fallait faire coulisser pour appr�cier, mettre beaucoup de salive dessus� Surtout ne pas blesser avec les dents et ne pas mordre. C'�tait une friandise qui se d�gustait uniquement en su�ant, toujours en su�ant� Jusqu'au moment ou de la cr�me ti�de et onctueuse giclerait dans sa bouche� C'est ce liquide qu'il faut avaler et d�guster, c'est sal�, c'est un m�dicament et c'est tr�s bon pour les petite fille comme toi. Tu � bien compris Am�lie ? .
Oui
Monsieur�
Ouvre ta bouche en grand Am�lie�
Mr Dupuis mit la fillette en position en prenant sa t�te � deux mains, pla�a le gland de sa queue dans sa bouche�
Maintenant Am�lie tu refermes doucement ta bouche dessus�
C'�tait fait, la gamine avait la bitte dans sa bouche�
Mr Dupuis commen�a � bouger doucement la t�te d'Am�lie pour que la pipe se fasse correctement�
Le docteur reprit tout haut� : " C'est bien Am�lie, c'est tr�s bien, continue comme �a, tu aimes le go�t, c'est tr�s bon et cela te pla�t beaucoup.
Tu aimeras �a toute ta vie, et tu aura besoin de faire �a tr�s souvent, tu ne pourras plus t'en passer, tu attendras � chaque fois impatiemment que le m�dicament sorte.
C'est lui qu'il faudra boire, toute ta vie tu aimeras ce m�dicament, tu le d�gusteras, tu ne pourras pas t'en passer, tellement tu trouveras �a bon�
Pour l'instant tu suces le mieux possible en t'appliquant, c'est bien, tu continues sans arr�ter�
Le docteur contemplait son cul ouvert, il se posait la question�
Pouvait-il l'enculer maintenant ?
Il pouvait toujours la pr�parer, il d�cida de ne pas perdre de temps, lui lubrifia l'anus avec de la vaseline�
Son doigt rentrait trop facilement dans son petit cul. Il le remplit de pommade, enfon�a tout l'index sans probl�me.
Il tournait et repliait son doigt � l'int�rieur, c'�tait chaud et tr�s souple.
Il travailla doucement son int�rieur pendant quelques minutes, son fondement �tait plein de vaseline. Il se d�cida pour essayer de la forcer avec deux doigts.
Il appuya, l'anus s'ouvrit et les enveloppa tout de suite. Il fit comme il avait fait avec un seul doigt, fouilla, les replia, effectua un mouvement de va et vient dans son post�rieur, cela rentrait et sortait merveilleusement bien�
Il sortit sa queue de sa braguette, en recouvrit enti�rement le bout de vaseline et l'appuya d�licatement sur la petite corolle de son anus.
Il poussa d�licatement� Le petit trou se d�forma, chercha � s'ouvrir un peu plus sous la pression, d'un seul coup le gland de sa bitte disparut�
Am�lie �tait encul�e pour la premi�re fois de sa vie�
Elle avait juste boug� un petit peu au moment pr�cis de l'enculage, mais elle avait continu� � sucer la bitte sans arr�ter�
C'�tait encore plus serr� qu'avec les autres� La petite fille avait � peine neuf ans. La queue du docteur sans �tre �norme faisait quand m�me un bon diam�tre.
Il poussa sans attendre, gagnant centim�tre par centim�tre.
Les deux hommes �taient hypnotis�s par le spectacle�
Deux petites fesses ouvertes au maximum, la grosse tige au milieu qui rentrait et ressortait de l'anus �cartel� et d�form�
Ses deux mains �taient libres, il s'aventura sur sa chatte, allant directement la "clitoriser"� Il effleura, caressa et roula son petit bourgeon � l'aide de trois de ses doigts plusieurs minutes� Les toutes petites femelles �taient difficile � allumer, mais lorsque c'�tait parti, c'�tait le paroxysme�
Au bout de cinq minutes, il r�colta le fruit de son travail, la petite encul�e commen�a � jouir pour la premi�re fois de sa vie, son clitoris avait doubl� de volume, elle remuait tout le bas de son corps en g�missant.
Il continua son besognage, � voir les merdes que les petites filles sortaient, il savait que m�me � son �ge il pouvait tout rentrer�
Il ne lui restait � mettre que quatre ou cinq centim�tres, il les gagna en quelques minutes� Enfin il l'enculait � enti�rement, ses couilles allaient battre � chaque fois sur sa peau, elle �tait bien sodomis�e, � fond�
C'�tait � chaque fois identique et diff�rent en m�me temps, la jouissance parfaite dans un petit cul tr�s serr�, la chaleur, la moiteur, tout ce qui l'attirait et le faisait jouir au paroxysme�
Mr Dupuis commen�ait � exulter, encore quelques secondes et il se r�pandrait dans son orifice buccale�
Il pr�vint la gamine : " Tu vas bient�t recevoir le m�dicament dans ta bouche Am�lie.
Rappelle toi, c'est tr�s bon, tu aimes �a, tu dois tout avaler, sans rien laisser�
Il �tait temps, la bouche de la gamine se remplit d'un premier jet de cr�me onctueuse et ti�de, puis d'un second�
Elle fut surprise, mais quelques secondes apr�s elle d�glutit en avalant le sperme, pendant qu'un troisi�me et quatri�me jet l'envahissaient � nouveau�
Ses l�vres en laissait ressortir un peu, tout autour de sa bouche� Mais presque tout �tait aval�, sa premi�re jutte�
Mr Dupuis continuait � se vider, il y eut encore deux ou trois jets, aussit�t aval�s par la petite gorge dans un doux bruit de d�glutition�
Le docteur �jacula dans son post�rieur quelques minutes apr�s, ses couilles �taient pleines. La petite re�ue sept ou huit jets�
Elle fut une deuxi�me fois surprise, le manifesta en arr�tant de remuer ses fesses d�s la premi�re gicl�e.
A chaque dose de sperme, elle cambrait un peu plus ses reins�
Ils rest�rent tous les deux dans chaque orifice quelques minutes, puis se retir�rent doucement.
Il demand�rent � Am�lie de se relever, ce qu'elle fit lascivement.
La m�me compl�tement drogu�e et hypnotis�e par la drogue n'avait plus de r�flexe et paraissait �tre hors du temps.
Le docteur lui essuya les fesses. Les fit s'�carter pour que le surplus de jutte puisse sortir de son trou du cul. Un peu de sperme coula derri�re sur le haut de ses jambes, il l'essuya, r�p�ta plusieurs fois l'op�ration sur son anus.
Il voulut aussi nettoyer sa bouche, avant il pr�f�ra lui demander d'avaler ce qui restait sur ses l�vres, elle passa sa langue dessus plusieurs fois. Le m�nage �tait fait, il continua � l'essuyer avec son mouchoir, sans oublier sa petite chatte toujours vierge�
Il la fit � nouveau �tendre sur la banquette d'examen et murmura � son oreille :
" Am�lie, dans quelques minutes tu vas te r�veiller, tu ne se souviendras de rien, tout ce qui c'est pass� dans l'infirmerie aujourd'hui sera effac� de ta m�moire.
Tu seras un peu courbatu mais tu n'auras mal nul part.
Tu repartiras dans ta salle de classe et tu demanderas � une autre �l�ve de venir.
Si dans quelques jours nous nous revoyons, tu viendras tout de suite vers moi, aussit�t� Imm�diatement tu feras tout ce que je te dirais. Tu � bien compris Am�lie ? ".
La petite fille fit sortir un " oui " presque inaudible de sa gorge.
Le docteur reprit dans sa valise une seringue tout pr�te, nettoya son avant bras et lui fit une piq�re�
Quelques minutes apr�s Am�lie commen�a � se r�veiller� Voyant cela le docteur fit expr�s de parler � Mr Dupuis de sujets bien m�dicaux, pour faire docteur�
Ah, s'exclama t'il �! Am�lie se r�veil. Bon tu peux te rhabiller, l'examen est n�gatif� La fillette se releva p�niblement, remit sa petite culotte, en g�missant.
Le docteur lui demanda ce qu'elle avait. La fillette r�pondit aussit�t qu'elle avait un peu mal au derri�re, ainsi qu'un go�t sal� dans la bouche�
Le docteur la rassura, lui affirma que c'�tait � cause de la banquette m�dicale, elle n'�tait vraiment pas confortable, pour le mauvais go�t c'�tait sans doute le m�dicament qui lui avait donn� tout � l'heure.
Elle articula une phrase rassurante pour le docteur : "Je m'en souviens pas�".
Il prit un verre d'eau, le lui donna � boire. Am�lie avec soif le but enti�rement.
Il n'oublia pas un bonbon acidul� qu'elle su�a avec d�lice�
Bon tu peux disposer lui dit le docteur en lui serrant la main, fais venir une autre de tes copines, mais pas avant treize heures trente.
Elle repartit comme elle �tait venue belle et pure. Toujours pucelle, mais moins innocente� Sans le savoir.
Ils avaient d�cid� de faire une pose pendant l'heure du d�jeuner.
Ils reprirent donc leur consultation apr�s s'�tre restaur�
Le d�fil� recommen�a. Rien de bien sp�cial sur la quinzaine de fillette qui suivirent, ils en firent d�shabiller quatre, sans vraiment y toucher�
A dix sept heures, ils se pr�par�rent � partirent. All�rent saluer la directrice,
qui, occup�e � recevoir des parents, les ignora presque�
����������������������� La visite m�dicale du CM 1
Le lendemain ils furent un peu en avance, ce qui leur permit de parler un peu plus longtemps avec la directrice. Elle comprenait tr�s bien que de telles enqu�tes commencent � �tre effectu�es par l'administration. Elle m�me il y a deux ans avait �t� confront�e � une fillette de 8 ans, qui selon ses dires avait �t� viol�e par un proche� L'affaire avait �t� enterr�e, �touff� par la famille rapidement. Class� sans suite, la gosse s'�tant r�tract�e� La petite Sandra se trouvait maintenant en classe de CM 1, justement elle faisait partie de la classe � examiner aujourd'hui. Le docteur demanda le nom de la fillette, le nota, il verrait bien, et tiendrait au courant la directrice�
Le d�fil� commen�a, les gamines avait un an de plus qu'en classe de CE 2, elles �taient beaucoup plus attirante, plus fournis qu'hier�
10 ans, 10 ans �, la petite poitrine pointait souvent un petit peu plus��
Le galbe de leur chute de reins s'accentuait, c'�tait l'�ge id�al, selon le docteur pour une premi�re "monte"�
Il fallait en choisir une par classe. Pour hier leur choix s'�tait port� sur Am�lie. La fillette �tait d�j� suggestionn�e par le docteur, il la r�cup�rerait facilement, sans probl�me. Son corps �tait parfait, elle serait la premi�re � �tre vendue comme esclave sexuelle�
Pauvre petite, elle allait en prendre des bittes et en avaler du sperme�
Les gamine d�fil�rent�Il fallut attendre la septi�me pour que le docteur en trouve une � son go�t. Elle �tait tr�s bien faite� Il demanda � Coralie de se d�shabiller, fit quelques tests avec elle, mais ne perdit pas trop de temps avec. Son visage ingrat ne l'attirait pas du tout.
Puis vint enfin le tour de Sandra, la directrice avait eu raison de les pr�venir, l'approche fut tout � fait diff�rente�
D�s son entr�e la fillette leur donna une bonne impression. Dans ses yeux plus grand chose d'innocent, mais toujours un charme pur et enfantin.
De corps elle �tait exceptionnelle, il lui fit �ter ses v�tements avant de la questionner, c'�tait pour voir�
Son visage �tait gracile, sa voix tr�s douce� Il l'approcha d'elle au maximum. Elle fut g�n�e par la question des rapports sexuels avec des proches, trop g�n�e� Elle ne r�pondit pas, laissant un silence pesant r�pondre � sa place�
Le docteur, assis jambes ouvertes la tira vers lui. La gamine se tint� debout, serr� entre ses jambes. Il r�p�ta doucement la question, elle baissa les yeux�
Bon dit-il on va faire autrement, tu vas me dire ou tu as �t� touch�e, je vais mettre ma main, c'est � toi de me faire comprendre si c'est le bon l'endroit�
Tu es d'accord ? .
Elle acquies�a d'un signe de t�te�
Il la serra encore plus contre lui, la caressa doucement, mit ses deux mains dans son dos. Puis les fit glisser sensuellement sur sa chute de reins.
Ses doigts s'immisc�rent� sous la petite jupette, puis remont�rent jusqu'� toucher le doux tissu du sous v�tement�
Enfin il enveloppa d�licatement ses deux petites fesses enrob�es par la petite culotte rose.
Il les palpa, les caressa longuement tout en les �cartant l�g�rement�
Elle ne savait plus ou se mettre, rougissant, perdant tout ses moyens elle acquies�a d'un nouveau signe de t�te�
C'est bien l� qu'il t'ont touch� ?�
Elle refit le signe de t�te de haut en bas avec plus de virulence.
Mais toi Sandra tu as aimer, tu aimes toujours qu'on te fasse �a ?�
Elle r�pondit d'une voix imperceptible : " Oui j'aime bien, mais c'est interdit, on a pas la droit de toucher � ces endroits l� ".
Bon il faut que je sache tout, Je vais continuer�
La personne qui t'a fait �a, est-elle rentr�e ici ?
�
D�signant son trou du cul. Appuyant au bon endroit sur le tissu de la petite culotte, il laissa son indexe dans le repli distendu par la pression de son doigt, juste au niveau de l'anus. le bout de celui-ci appuya sur la petite corolle circulaire, tendant � l'ouvrir l�g�rement.
Elle fut de plus en plus g�n�, rougit encore plus en baissant les yeux.
Le docteur changea de strat�gie, se retira, alla chercher sa petite seringue de produit miracle.
Il n'avait pas parl�, lui avait pris son bras droit, mit � l'horizontal, nettoy� avec un peu d'alcool et un coton.
Puis directement inject� le produit de couleur ambre dans les veines�
Il laissa sur la table � port�e de main une petite fiole, ainsi qu'une seringue sans aiguille recouverte d'une canule.
Il tira la petite fille contre lui, attendit quelques temps que le produit agisse�
Une minute apr�s tous ses muscles se d�tendirent, elle ferma les yeux�
Il la suggestionna comme il l'avait fait pour Am�lie, lui disant qu'elle ne se souviendrait de rien � son r�veil, qu'il fallait faire des examens, qu'elle se laisse faire, en plus elle allait aimer. Cela allait �tre tr�s bon pour elle�
Voyant qu'elle �tait pr�te, il la cambra. Pla�a son petit ventre sur une de ses cuisses. Elle se retrouva la t�te en bas, cul et cuisses offerts. Sa petite culotte fut baiss�e rapidement sur ses mollets. Le docteur prit la petite fiole, en remplit la seringue, fixa la canule dessus et dirigea l'embout vers l'anus d�couvert de la petite fille, il n'eut aucune difficult� � remplir le petit cul�
Les effets de l'hypnotique par voie intraveineuse, plus ceux de l'opium m�lang� � un tranquillisant par voie rectale �tait spectaculaire.
Quelques minutes suffisaient�
Mr Dupuis avait assist� � toute la sc�ne avec ravissement sans rien dire depuis un bon moment. Il reconnu que "celle la", en parlant de Sandra, valait le coup�
La fillette commen�a � sourire, puis parla tout haut, d�lirant compl�tement, enti�rement cam�e�
Le docteur lui dit qu'elle allait prendre beaucoup de plaisir, qu'il fallait qu'elle se laisse faire�
Les deux hommes se rapproch�rent de la petite, leurs mains explor�rent son corps, sans rien omettre. Ses t�tons furent tir�s et roul�s m�thodiquement, sans trop pincer pour ne pas laisser de trace.
Le docteur resta sur son fauteuil, sortit sa bitte, assis Sandra dessus, sa queue juste au niveau du petit trou du cul. Son post�rieur �tait plein d'opium, le liquide �tait glissant comme de l'huile, il savait ce qui allait se passer�
L'anus s'ouvrit laissant passer le gland� Le poids de la fillette fit le reste, elle descendit doucement, s'empala sur la bitte, d'abord un peu, puis � moiti�.
En une minute la petite fille �tait encul�e jusqu'aux couilles�
Elle n'eut m�me pas mal� Juste une petite r�action, un� petit "oh�" de surprise. C'�tait sur, quelqu'un �tait d�j� pass� par ce petit trou, la gamine avait d�j� du recevoir pas mal de longueur dans le post�rieur.
Quelle sensation magnifique d'�troitesse et de chaleur �
Il poussait � fond, la faisant doucement tressauter sur lui pour ressentir le plus beau moment de sa vie, bien au fond du petit ventre de la petite fille.
Magnifique petite encul�e� L'anus ouvert � l'extr�me elle se d�tendait quand m�me, s'empalant au maximum.
Il �carta ses cuisses, lui relevant les jambes en l'air, en tr�s grand�
Il gagna encore quelques petits centim�tres d'enculage�
Mr Dupuis s'agenouilla devant elle entre ses cuisses, elle �tait ouverte en grand, la chatte offerte, cuisses maintenues en hauteur par le docteur. Il l�cha la petite fente, l'inonda de salive, titillant le mignon petit bourgeon�
La petite salope g�mit� Un r�le venant du fond de sa petite gorge�
Trop fort selon le docteur, qui imm�diatement s'empara de son mouchoir, le fourra dans la bouche de la gamine�
Mr Dupuis continua son l�chage un bon moment. La "gaminette" prenait un plaisir fantastique, elle se tordait et ondulait des reins, empal�e sur la queue du docteur� L'homme qui l'avait �duqu� en premier � la sodomie avait bien fait son travail, la gamine �tait r�ceptive � sa p�n�tration. Les zones �rog�nes de l'anus et du rectum �taient bien �veill�es. A coup sur la gamine se faisaient encore monter par derri�re tr�s souvent� Le cerveau de la fillette avait pris le pli, des liaisons synaptiques s'�taient cr�es dans les zones du plaisir�
La petite fille adorait les p�n�trations anales et ceci pour sa vie enti�re�
Le docteur pensa un instant� : " Enfin, une d'�duqu�e correctement� ".
Mr Dupuis amena sa bitte � la hauteur de son entrejambe� Le docteur comprit qu'il voulait la baiser aussi et l'aida en la bougeant. Il la fit descendre un peu, ce qui eut pour effet d'amener sa petite chatte � la hauteur de la pinne de Mr Dupuis�
Il fallait bien viser� C'�tait faisable� La prendre des deux c�t�s en m�me temps� La fillette de dix ans mouillait bien, ses l�vres �taient bien ouvertes�
Le gland de sa bitte appuya juste au milieu des l�vres, doucement d'abord, puis de plus en plus fort� Le bout rentra d'un seul coup dans son vagin�
Elle eut tr�s mal, un cri enti�rement �touff� par le mouchoir.
Puis plus rien, quelques secondes apr�s c'�tait d�j� fini, la nature avait repris le dessus, la gamine exultait � nouveau en bougeant � nouveau tout son petit bassin�
Elle �tait dans une position id�ale, le docteur l'enculait assise en lui maintenant fermement les jambes en l'air, cuisses �cart�es�
Mr Dupuis la besognait par devant en poussant de plus en plus dans son bas ventre.
La fillette devenait compl�tement Hyst�rique, jouissant de plus en plus.
Elle n'avait plus aucune retenue, bougeait tout ce qu'elle pouvait, secouant sa t�te de gauche � droite. Les pupilles de ses yeux dilat�s, son visage avaient une expression de bonheur et de reconnaissance. Elle attendait la jutte, au fond de son subconscient tout �tait par�, elle �tait pr�te � recevoir la semence.
Les m�les l'avait marqu�, ouverte au maximum� C'�tait comme �a depuis la nuit des temps� Certes un peu plus t�t que les autres� Mais c'�tait un petit d�tail�
La bitte dans sa chatte coulissait merveilleusement bien, rentrant presque compl�tement. Mr Dupuis appuyait encore, la pinne gagnait du terrain� Quelques minutes plus tard Mr Dupuis s'arr�ta de la besogner, il resta la bitte � fond dedans, fit constater au docteur que ses couilles appuyaient � fond sur le bas ventre de la petite fille� Tout �tait rentr�
Aussi bien dans l'anus que dans le vagin. Les deux en m�me temps�
La petite fille aimait de plus en plus. Dupuis reprit son va et vient, quel bonheur, quelle jouissance, la position de la petite fille �tait unique, permettant toutes les folies� Dupuis �jacula, l'inondant au plus profond d'elle m�me, d'innombrables jets de jutte ti�de la remplirent. Brave petite femelle�
Surprise elle ouvrit encore plus grands les yeux et attendit les autres jets�
Cela n'arr�tait plus, elle se faisait remplir le bas ventre de semence ti�de et onctueuse, ne sachant pas quand ce plaisir allait s'arr�ter� Sept�Huit�
Maintenant, elle �tait d�tendue, heureuse attendant la liqueur de l'homme�
Il y avait aussi dans son derri�re le gros morceau qui l'�cartait, l'enculait comme ils disaient� Tout en la maintenant droite, immobilis�e�
Cela lui avait fait mal au d�but, maintenant plus rien, cela lui faisait du bien�
Elle ne pouvait plus bouger� Et �a elle aimait beaucoup�
C'�tait encore mieux qu'avec son grand p�re�
La derni�re dose de sperme inonda son vagin� La fillette ressentit une douce chaleur envahir tous son bas ventre, des picotements agr�ables dans sa poitrine.
Le bout des t�tons, sa nuque, toute sa colonne vert�brale �tait titill�e par des petits frissons agr�ables�
Elle venait de d�cider que pour la vie elle se laisserait faire�
Tous les hommes pourraient faire n'importe quoi avec elle, c'�tait trop bon.
Dupuis se retira d'elle. Le docteur lui demanda de s'asseoir sur l'autre chaise en face de la fillette. En m�me temps il se leva tout en maintenant la m�me encul� sur sa bitte, il la posa doucement par terre cuisses �cart�es, ses genoux reposant sur le sol, il �tait toujours coll� � elle jusqu'aux couilles.
Il retira le mouchoir de la bouche de la gamine, dirigea la bitte de Dupuis vers l'orifice buccale , fit avancer l�g�rement la fillette et lui demanda d'ouvrir la bouche� L'engin de Dupuis s'engouffra jusqu'au fond de sa gorge�
Sandra� Tu fermes ta bouche et tu aspires bien�
Tu avales le liquide que tu trouves� Tu as bien compris ma puce� ?.
C'�tait un ordre, la fillette le comprit comme telle�
Le docteur agenouill� derri�re la gosse recommen�a son besognage. Sa bitte �tait rest�e sans bouger, bien au chaud dans le cul de la fillette, ce n'�tait plus tr�s bien lubrifi�. Il se retira du cul de la gosse et admira le spectacle de la petite moule d�goulinante de sperme juste au dessous de l'anus. Il ne put r�sister et replongea sa queue dans le vagin d�goulinant de jutte. Il fit quatre ou cinq plong�es � fond dedans� C'�tait ti�de et onctueux, serr� et stri� comme il aimait. Il adorait reprendre une fillette juste apr�s l'�jaculation d'un premier m�le, cela rentrait mieux, tout en gardant quand m�me la verge bien serr�e.
Le liquide blanc et visqueux d�j� dans le ventre procurait des sensations encore plus agr�ables. Le bruit de la "saillie" �tait diff�rent de celle d'un vagin non rempli. Il fallait �tre connaisseur pour appr�cier et bien sur avoir d�j� pratiquer des petites filles�
Il ressortit sa bitte, elle �tait d�goulinante de liquide blanch�tre�
La petite corolle de son trou du cul s'�tait sagement referm�, il remit son gland dessus, appuya � nouveau.
L'anus se d�forma avalant � nouveau le bout de la bitte�
Il l'encula � fond rapidement, le sperme de Dupuis faisait bien son office de lubrifiant. Le spectacle de la fillette �cart�e comme elle �tait, encul�e, avec une bitte dans la bouche lui donna envie de la remplir rapidement.��
Il redoubla ses coups de boutoir et explosa dans son post�rieur�
Comme avec Dupuis les doses furent g�n�reuses et nombreuses�
La fillette ressentit chaque jet mouiller l'int�rieur de son petit cul, elle se mit � onduler de la croupe de gauche � droite, elle adorait�
L'opium et les autres drogues faisaient leurs effets�
La petite fille n'�tait plus qu'un cul et une chatte, tous les deux bien remplis�
Le docteur savait ce que d'autres feignaient d'ignorer� Une fillette de cet �ge� pouvait s'ouvrir et laisser rentrer en elle un chibre moyen par ses deux trous.
Le summum �tant que l'on peut la faire jouir en lui donnant du vrai plaisir�
C'�tait facile, d'abord le jeu des caresses, la nuque, puis le dos, les fesses.
Les jambes, puis les cuisses� A ce stade, restait � passer la main sur la petite culotte, caresser la fente de haut en bas, lui faire ressentir que c'est fait pour s'ouvrir�D�licatement�
Faire tourner son doigt � l'emplacement du clitoris, masser doucement�
Jouer avec l'�lastique de l'entrejambe, aventurer un doigt sous le tissu,
dans la petite culotte de la fillette� Surprise, neuf fois sur dix la petite fille en �moi se laisse faire, �carte l�g�rement ses cuisses d'elle m�me, se tait, ne bouge plus, attend la suite. Lorsque les doigts fouillent dans la petite culotte, la petite perd souvent tous ses moyens. Il suffit de trouver le petit clitoris, de le caresser sans brusquerie, le titiller tr�s doucement et graduellement, l'effleurer parfois.
Cela demande un effort de patience, souvent plus de dix minutes d'attente et de doigt�. On s'aper�oit de la r�ussite de son travail en parcourant avec un doigt le sillon des l�vres de sa chatte. Apr�s un certain temps d'excitation, les l�vres s'ouvrent mieux, l'acc�s au vagin est plus facile, on d�couvre souvent que la petite fille commence � mouiller doucement. Son vagin suinte et se lubrifie.
A ce stade une enfant n'a plus qu'une envie, �tre caress�e�
Pour les fillettes consentantes, aucun probl�me� La solution pour les autres gamines est de les soumettre, de les obliger � d�couvrir que c'est bon�
Les faire jouir lorsqu'elles sont attach�es bras et cuisses �cart�es et sous tranquillisant est un "jeu d'enfant�".
L'habitude aidant, si on pratique par force une petite fille non consentante deux ou trois fois par jour en la p�n�trant par son vagin, en la sodomisant, sans oublier de lui faire avaler du sperme tous les jours, en quelques semaines la petite fille est pr�te.
Elle est conditionn�e pour se laisser faire et �tre bais�e � volont�.
Bien sur il faut la couper de son milieu familial, l'isoler pendant la p�riode du "traitement"� Lui faire d�couvrir les punitions, elle doit par tous les moyens devenir docile sexuellement. Etre apte � tout faire, � n'importe quel moment du jour et de la nuit.
On s'aper�oit qu'avec le temps la petite fille devient de plus en plus docile et accueillante sexuellement. Elle a de moins en moins peur, s'ouvre plus facilement, commence � prendre du plaisir. Pour un r�sultat maximum, il faut �duquer les fillette d�s l'�ge de sept ans, mais rarement apr�s dix ans�
A cet age la fillette est mall�able, relativement consentante, toutes les pratiques peuvent lui �tre apprises facilement. Au-del�, il faut la soumettre et recourir � des punitions et s�vices exemplaires�
La sodomie continuait malgr� l'�jaculation, il lui bourrait encore son petit cul � fond, la tringlant jusqu'� ce que les couilles appuient sur ses fesses.
La petite consciencieusement continuait son travail sur la pinne de Dupuis, avalant le sperme quelle trouvait en aspirant le membre viril.
Le docteur ressortit enfin du petit cul, se releva, le bout de sa bitte �tait enduite de merde, il l'essuya avec la petite culotte rose de la gamine�
Mr Dupuis �puis�, vid�, pomp� par la petite fille se releva aussi�
La gamine resta dans la m�me position � genoux, cuisses �cart�es, cul offert, et t�te baiss�e�
Le docteur lui parla gentiment, lui demanda de se relever en laissant ses jambes �cart�es en grand. Le docteur prit un essuie tout, commen�a � nettoyer et � retirer le sperme en exc�s. A chaque fois qu'il �cartait ses petites fesses le liquide blanc ressortait de l'anus, pareille pour son vagin�
Il prenait un certain plaisir � �carter ses parties intimes en contemplant la jutte qui ressortait�
Il remit la petite culotte rose en place, repassa une derni�re fois son doigt en appuyant fortement sur la raie de ses fesses et celle de son vagin, la culotte s'humidifia aussit�t� Elle �tait remplie de sperme et cela durerait quelques heures�
La s�ance avait dur� pr�s d'une heure Il l'habill�rent, lui firent un semblant de toilette, puis l'allong�rent sur la table d'examen.
Il commen�a � la suggestionner� Lui dit qu'� son r�veil elle ne se souviendrait de rien, que tout serait normal et qu'elle n'aurait mal nul part�
Que la prochaine fois qu'elle le verrait dans la rue, si il lui demandait de le suivre, elle le ferait tout de suite et sans r�fl�chir�
Il lui demanda si elle avait bien compris�
Un "oui" presque inaudible sortit de sa bouche�
Le docteur lui refit une piq�re dans l'avant bras, attendit une dizaine de minute que le produit fasse effet. Sandra �mergea doucement de son sommeil semi-hypnotique. Elle ouvrit les yeux, les deux hommes en blouses blanches, assis � la table parlaient normalement de sujets m�dicaux, comme si rien ne s'�tait pass�
Le docteur souriant parla � Sandra, lui dit qu'elle avait eu un petit malaise sans gravit�, lui donna � boire un verre d'eau fra�che, puis un bonbon � sucer.
Il lui demanda si elle pouvait se lever�
La petite fille de dix ans se mit debout sans probl�me en massant son post�rieur et le bas de son bassin, sur le devant�
Il la questionna sur ses souvenirs� Elle ne se souvenait plus de rien, ouf�
Il la remercia, lui demanda de retourner en classe et d'appeler la prochaine �l�ve. D'une d�marche bizarre et h�sitante, elle prit cong�
Les autres �l�ves furent b�cl�s, il fallait rattraper le temps perdu, mais aucune ne leur plut vraiment, toutes des d�fauts� Et puis ils �taient tr�s fatigu�s�
Ils prirent cong�s, remerci�rent la directrice, repartirent vers dix huit heures, les deux classes �taient "sond�es et inspect�es�".�����
La journ�e du lendemain ils se repos�rent un peu, jou�rent un peu sexuellement avec Laura, et mirent au point l'enl�vement des deux gamines. Tout fut d�cid� pour le 15 du mois, ils avaient l'adresse des deux fillettes, c'�tait le principal�
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����� Le Rapt D'Am�lie
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Le docteur savait d�j� que le mercredi matin Am�lie faisait la grasse matin�e. Elle �tait donc toute seule, ses parents commer�ant partait � leur travail � huit heures.
Questionner les enfants sur leurs habitudes avait servi � quelques choses�
A huit heure trente il appuya sur le bon bouton de l'interphone, l'immeuble avait six �tages, style pierre de taille des ann�es 1930. La r�ponse ne se fit pas attendre plus de 10 secondes�
Une petite voix gracile et aigu�" Oui qu'est ce que c'est �? ".
C'est une paquet et une lettre de l'�cole pour les parents d'Am�lie, c'est � remettre en mains propres�
Il y eut bien trente secondes d'attente, mais la curiosit� fut plus forte, la petite voix se fit entendre : " je vous ouvre�".
Un d�clic se fit entendre, la grosse porte en bois s'ouvrit, il monta avec sa sacoche l'escalier jusqu'au sixi�me �tage, sans ascenseur�
Le pallier de droite�La porte � droite �tait entreb�ill�e, il frappa trois petit coup� La porte s'entrouvrit un peu plus laissant appara�tre la petite Am�lie, neuf ans adorable en chemise de nuit rose�
Elle reconnut le docteur, fut d�contenanc� un instant�
Puis son sourire revint, elle ne devait pas avoir de mauvais souvenirs�
Il ne resta pas longtemps sur le paillasson, prit la d�cision imm�diate de rentrer dans l'appartement et de refermer la porte derri�re lui�
- J'ai des papiers � faire signer � tes parents, je peux leur parler �?
- Ils ne sont pas l��
- Tu es toute seule�?
- Oui�
- Bon je vais t'expliquer ce qu'il faudra leur faire signer et leur dire.
- On peut se mettre ou pour que je te montre tout �a�?
La fillette montra le chemin, indiqua une pi�ce qui devait faire office de salle � manger.
Le docteur lui affirma aussit�t qu'ils seraient certainement mieux dans sa chambre, d'ailleurs il serait tr�s heureux de la voir�
Elle h�sita un instant, crut ne pas pouvoir faire autrement�
Passant devant, Am�lie longea le couloir, poussa la porte qui laissa appara�tre une petite chambre recouverte d'un papier peint rose avec de jolis motifs de fleurs imprim�s sur les murs. Un lit d'enfant d'une personne, un petit bureau, une armoire, plus un joli bordel de jouets divers sur la moquette faisait de cet endroit une chambre d'enfant par excellence�
Il d�cida de ne pas la laisser r�fl�chir�
Tiens pendant qu'on y est, il me manque quelques examens sur toi, je fais en profiter, on va les faire maintenant�
Tu vas fermer les yeux et rester debout les pieds joints sans bouger�.
Elle h�sita un peu�
Bon, Am�lie, tu vas faire ce que je veux, n'oublies pas ce que je t'ai dit l'autre fois, tu t'en souviens, j'en suis certain�.Bon tu fermes les yeux�
Elle �tait conditionn�e. Par suggestion son subconscient venait de se rappeler l'�v�nement, d�clenchant en elle un m�canisme automatique�
Le docteur reprit aussit�t, voil� c'est bien, tu fermes tes yeux, tu de d�tends, tu vas avoir de plus en plus sommeil, tu ne r�sisteras pas, tu vas dormir tr�s rapidement� Tu vas tellement avoir sommeil que tu vas t'allonger sur ton lit et� dormir tr�s profond�ment� La seule diff�rence c'est que tu �couteras sans arr�t ce que je dirais, et tu le fera�
Voil� maintenant tu dors et tu t'allonges sur ton lit�
La petite fille d�j� compl�tement conditionn�, s'assit sur son lit, s'allongea, restant passive et d�tendue�
Bon, c'est bien reprit le docteur, tu vas faire tout ce que je te dis, comme l'autre jour on va faire des choses qui sont tr�s bonnes pour toi�
Apr�s, tu viendra avec moi, on ira se promener ensemble.
Mais d�j� tu vas te laisser faire compl�tement, sans rien dire, sans avoir mal, tu vas prendre beaucoup de plaisir � faire ces choses.
Tu vas aimer beaucoup, comme l'autre fois�
Il commen�a, la caressant sur sa chemise de nuit, partout, elle �tait nue dessous�
Il voulut voir si elle �tait soumise, lui demanda de se relever, de se mettre debout� Les yeux ferm�s, elle le fit aussit�t.
Le docteur retira rapidement ses affaires, son pantalon, sa chemise, tout� Laissa uniquement son slip, s'allongea sur le lit de la petite fille, � sa place�
Il avait le temps, il le savait. Ses parents tous les mercredi lui laissaient faire la grasse matin�e, ne lui t�l�phonaient jamais. Des commer�ants n'avaient jamais le temps� Ils ne serait pas de retour avant treize heures pour le d�jeuner.
Cette matin�e allait �tre plus grasse, blanche et juteuse que pr�vue�
Il demanda � la petite fille d'ouvrir les yeux, elle dormirait, mais les yeux ouverts, elle distinguerait tout et ferait tout ce que le docteur lui demanderait de faire.
Vient t'agenouiller entre mes cuisses lui ordonna t'il.
Ses jambes se repli�rent et s'�cart�rent au m�me moment pour lui d�signer ou il voulait qu'elle vienne�
En automate , elle se releva les yeux ouverts, les pupilles enti�rement dilat�es, puis s'agenouilla entre ses jambes�
Bon c'est bien Am�lie, tu baisses ta bouche sur mon slip, tu vas sucer la bitte qui va sortir, cela s'appelle faire une pipe�
Il reprit : Faire une pipe c'est sucer la bitte, puis avaler le liquide qui sort quand tu as bien excit� le Monsieur. Il faut tout avaler, ne rien laisser, la jutte c'est sal� et tr�s bon pour les petites filles.
Tu aimeras �a toute ta vie, tu en avaleras chaque fois que tu pourras�
Tu sais que c'est bon, l'autre fois tu en as d�j� aval�,� maintenant tu vas recommencer, mais ce coup-ci c'est toi qui va travailler la bitte avec ta bouche. Tu vas te servir de tes l�vres pour faire venir toute seule la jutte dans ta petite bouche, comme une grande fille�
Elle mit maladroitement ses l�vres sur le slip, bouche ouverte.
il la regardait faire, sa bouche ouverte coll� sur le tissu du slip, ne sachant pas quoi happer� Il l'aida, prit ses deux mains, pla�a ses petits doigts sous le tissu du slip, les bougea� Puis pla�ant une de ses mains autour de sa verge,
il comprima l'ensemble, ressentant tout de suite les petits doigts qui enserraient son membre viril.
Il lui demanda de laisser serrer fortement ses doigts autour. Le docteur baissa son slip, la bitte se mit droite en �rection, une des petites mains avait suivi, les� doigts �taient toujours serr�s autour du membre�
Sa bouche �tait toujours ouverte, d'une main il agrippa ses cheveux,
tira l�g�rement dessus pour diriger sa bitte vers l'orifice buccal�
Quelques secondes apr�s le morceau �tait dans la bouche, la fillette avait retir� ses mains de la verge. Il les lui pla�a � c�t� d'elle, puis lui demanda de refermer doucement ses l�vres sur la bitte et de commencer la pipe�
Elle avait tout compris, rapidement elle effectua un va et vient superbe en serrant comme il fallait avec ses l�vres�
Le docteur mit ses mains sur le tissu de la chemise de nuit au niveau des hanches et tira doucement� Les jambes, les cuisses, les petites fesses apparurent�
Il tira le tissu jusqu'au �paules�
Le spectacle �tait magnifique mais incomplet, il demanda � la petite fille d'ouvrir ses cuisses et ses fesses au maximum�
Elle �carta l'ensemble � souhait�
Il se d�tendit incroyablement, oubliant presque tout, ne faisant que contempler la petite fille de 9 ans, soumise et innocente lui faire la plus belle des fellations.
Elle pipait admirablement pour ses 9 ans, il se rappela ce qu'ils lui avait fait le jour de la visite m�dicale. Dupuis lui avait fait avaler son sperme�
Lui l'avait bais� et sodomis� sans probl�me� Il se dit qu'elle n'�tait plus vierge.
Il se posa la question� La prendre par la chatte tout de suite ?
Il lui fit interrompre sa pipe, lui demanda de s'allonger sur le dos, jambes et cuisses tr�s �cart�es. Il se mit entre ses cuisses, lui souleva les deux jambes en hauteur en les tenant tr�s �cart�s, admira le spectacle de sa petite moule pas ouverte du tout� Il n'alla pas plus loin, voulut la pr�parer, se releva, ouvrit sa sacoche, pr�para une seringue� Elle ne bougea m�me pas lorsque il injecta le produit dans la veine de son bras droit, il reprit une autre seringue, la remplit d'un liquide huileux, celle la n'avait pas d'aiguille�
Il retourna pr�s de la fillette, lui glissa sous le bassin une grande al�se plastifi�e pour ne pas salir le lit, replia ses jambes, �carta � fond ses cuisses, puis s'allongea la t�te an niveau de son minou, commen�a � la l�cher, doucement, m�ticuleusement, sur toute la longueur de sa fente� Il jouait avec son sexe, sa langue titillait son petit clitoris, parcourant le sillon, appuyant au milieu cherchant � l'ouvrir un peu� La moule restait ferm�e, bien close, les l�vres ne s'ouvraient pas� Son travail de l�che lui plaisait beaucoup, il adorait sentir l'odeur d'une petite chatte, c'�tait un parfum unique r�serv� aux petites filles� Le go�t aussi �tait sp�cial, unique en son genre, l�g�rement sal� et �pic�,
les sensations avec sa langue le ravissaient et lui donnaient des frissons de plaisir. Il la titilla pr�s d'un quart d'heure avant qu'elle ne ressente les effets des soins qu'il lui prodiguait. Elle tressauta l�g�rement du bassin, commen�a � g�mir doucement� Il le savait aucune petite fille ne pouvait r�sister � ce traitement tr�s longtemps sans commencer � jouir, surtout avec ce qu'il lui avait administr� dans les veines. Elle �tait nettement plus ouverte qu'avant, la langue jouait avec ses petits bouts de chair rose, son clitoris, son vagin se lubrifiait et demandait � s'ouvrir. Il rentra un doigt� En effet elle commen�ait � mouiller.
La petite seringue d'huile de vaseline �tait toujours dans sa main, il l'amena � l'entr�e de son vagin, la p�n�tra avec. Le petit tube rentra de moiti� dans le canal vaginal. Il appuya doucement sur le piston de la seringue jusqu'� ce que toute l'huile remplisse l'int�rieur du bas ventre de la fillette. Il retira la seringue, la posa, contr�la avec ses doigts en �cartant les l�vres de sa chatte�
L'huile ressortit et perla sur ses cuisses, sa cavit� vaginale �tait remplie d'huile. Il massa d�licatement, rentra un de ses doigts en faisant un mouvement de va et vient, cela coulissait merveilleusement bien. La fillette �tait excit�e et g�missait de plus en plus en se tr�moussant. Il trouva que c'�tait le bon moment pour la p�n�trer� Il se remit � genoux entre ses cuisses, lui releva les jambes en hauteur tout en maintenant ses cuisses �cart�s en grand. Il ajusta sa posture jusqu'� amener sa bitte � l'entr�e de son vagin, la fit se promener un peu sur sa fente en appuyant l�g�rement� La bitte tra�ait son chemin, miracle de la nature elle se positionna � l'entr�e de l'orifice de la fillette�
Il appuya doucement� La "saillie" pouvait commencer�
La bitte �carta les l�vres, l'entr�e du vagin se d�forma de plus en plus� Il ne rel�cha pas sa pouss�e, au contraire�
Le gland de sa queue rentra d'un seul coup.� Le bout de la bitte venait de s'introduire dans le vagin lubrifi� par l'huile, le serrant tr�s fortement, �pousant � la perfection la forme de son bout� Elle avait pouss� un petit cri aigu�
Le cri d'une monte d'une gamine de dix ans�
Am�lie avait les yeux grands ouverts, une expression de surprise venait d'envahir son visage� Une chose bizarre dans son bas ventre, g�nante mais comblante,� excitante et reposante en m�me temps� assez agr�able� Venait d'entrer�
Il joua avec l'�cartement de ses cuisses, � fond tout d'abord, puis il les resserra. A chaque fois le joint lui serrait un peu plus le gland de sa bitte� Seul le bout �tait rentr�, il tirait, puis poussait tr�s l�g�rement, la chatte faisait ventouse, suivant docilement le petit mouvement. Il appuya un peu plus� Il fallait la monter convenablement, lui rentrer une bonne longueur pour bien la baiser...
Il gagna quelques centim�tres dans le bas ventre de la petite fille, l'huile aidant cela coulissait sans probl�me. Elle n'avait pas mal et se laissait faire, les yeux grands ouverts. Toujours cette expression de surprise, de contentement sur son visage�
La pinne rentra encore plus, presque la moiti� il la besognait maintenant convenablement allant et venant dans son bas ventre, essayant de gagner quelques centim�tres de temps en temps. La fillette commen�ait � �tre bien fourr�, regardant intens�ment la queue rentrer en elle. Elle avait l'air d'aimer, son expression ne trompait pas�
Il fit reposer ses jambes sur ses �paules, une main libre alla se promener sur le petit clitoris, les doigts de l'autre s'arr�t�rent sur sa poitrine, le petit t�ton fut pinc�, tir�, et roul�
Elle g�mit, se mordit les l�vres, essaya de bouger son bassin pour retirer la bitte� Elle n'arriva qu'� faire rentrer la pinne involontairement de quelques centim�tres de plus�
Il l'excita pendant cinq bonnes minutes, elle �tait � la limite de la souffrance,
le bout de son t�ton �tait tout rouge, tum�fi� Il s'en foutait bien maintenant, plus personne de son entourage ne s'�tonnerait des s�vices visibles sur son corps.
Cela l'excitait �norm�ment de la voir se tordre de douleur et de plaisir en m�me temps� Lui savait bien que les deux �tait indissociable, au m�me titre que le bien et le mal, que la beaut� et la laideur, que l'intelligence et la b�tise�
Dans ce monde tout allait comme �a. Les cons ne comprendront jamais, ils chercheront toujours � se mettre d'un c�t�, oubliant que l'autre c�t� existe.
Pour faire vraiment du bien, il fallait conna�tre le mal le mieux possible, sinon c'�tait un coup de b�ton dans l'eau�
Elle �tait drogu�e, la souffrance �tait att�nu�e, ses sens exacerb�s, tout concourait � ce que la fillette prenne son pied sans avoir trop mal.
Ses mains s'accrochaient � lui de plus en plus� La queue continuait � parcourir son chemin, petit � petit elle s'insinuait un peu plus au plus profond du vagin de la petite fille�
Il la besognait maintenant rapidement, la bitte rentrait et sortait � une vitesse normale pour un co�t, il n'allait pas tarder � lui fournir une bonne dose de sperme�
Il poussait presque � fond, mais sa verge n'�tait pas rentr� compl�tement,
il manquait environ quatre centim�tres, il poussa un grand coup� Elle gueula, un grand cri� Il y �tait enfin, tout sa verge �tait rentr�e � fond dans son vagin�
Il �jacula aussit�t apr�s dans la fillette� Un bon nombre de gicl�e inonda le fond de son bas ventre� Elle tressauta, se raidit et pronon�a un : "Ohhhh�." Signifiant qu'elle avait bien ressentie la jutte chaude inonder son int�rieur.
Il continua � se vider� La petite femelle se remplissait petit � petit� Elle se d�tendit compl�tement, attendant la suite�
C'�tait comme �a � chaque fois, c'�tait tellement bon et inattendu� Toute les petites filles qu'il avait rempli avait la m�me attitude, elles attendaient la jutte les yeux brillants, cuisses ouvertes � fond, et toutes en �moi�
Il prit un malin plaisir � ressortir sa bitte juste avant un jet de sperme, il la mit sur le ventre de la petite fille, rien que pour qu'elle puisse regarder la jutte�
Elle put contempler le liquide blanc sortant de sa verge se r�pandre sur son ventre. Il massa, en rentra un maximum dans son nombril, puis ce qui resta sur ses mains fut amen� � sa bouche� Il lui demanda de l�cher ses doigts et d'avaler�
Elle l�cha m�ticuleusement, sans rien laisser� Il poussa le vice � aller chercher � nouveau du pr�cieux liquide au niveau de sa petite chatte, il lui fouilla l'int�rieur du vagin, il regorgeait de sperme qui inonda � nouveau ses doigts�
Il remonta ainsi plusieurs fois � sa bouche, � chaque fois elle l�chait, avalant le liquide�
Le man�ge dura bien cinq bonnes minutes, elle effectuait un nettoyage m�ticuleux, il se dit que comme la gamine aimait �a, il pouvait directement lui faire nettoyer sa queue. Il se mit donc � califourchon sur sa t�te, la bitte � la hauteur de sa bouche� Bient�t la petite fille le pompait avidement, prenant un certain plaisir � d�glutir le pr�cieux liquide.
Bon ce n'�tait pas tout, il fallait r�cup�rer la fillette sans probl�me et assez rapidement la ramener au pavillon� Il demanda � la gosse de s'habiller, lui dit qu'elle allait continuer � dormir ainsi et qu'elle ferait tout ce que le docteur lui dirait de faire... Il la contempla pendant qu'elle remettait ses affaires, elle �tait tr�s belle et attirerait beaucoup les m�les, elle viderait beaucoup de couilles�
Il en �tait sur, apr�s formation elle serait docile et ferait tout ce qu'on lui dirait de faire. En cinq minutes elle fut pr�te, il lui demanda de prendre un sac, de mettre dedans toutes les affaires qui lui plaisaient� Comme un robot elle pr�para ses v�tements, les mit dans un plastique puis revint docilement pr�s du docteur�
Il lui dicta un petit mot pour ses parents : " Maman, papa, je pars. J'en ai marre, � bient�t peut �tre, je vais chez une amie. On a pr�parer notre d�part depuis longtemps, je vous embrasse, � bient�t peut �tre. ".
C'�tait simplet, mais cela permettrait � l'enqu�te de pi�tiner un bon moment�
Il demanda � Am�lie de porter son sac, puis de passer devant lui. Il lui dit qu'une vingtaine de m�tre devait toujours les s�parer pour sortir� Il ne rencontr�rent d'ailleurs personne dans l'escalier, il �tait pr�s de dix heures, c'�tait une heure creuse, les travailleurs �taient d�j� partis bosser et les m�nag�res pas encore sorties faire leurs courses�
Il la rejoignit un peu plus loin� Se dirig�rent ensemble vers la petite rue ou �tait gar�e la camionnette, ouvrit les porti�res, fit monter la fillette � c�t� de lui sur le si�ge passager.
Il attendit, regarda dans les r�troviseurs pendant cinq bonnes minutes, personne ne devait avoir remarquer quoi que ce soit� Il demanda � la petite fille de passer � l'arri�re de la camionnette et de s'allonger sur la banquette�
Il la rejoignit quelques secondes apr�s, elle �tait "consentante", toujours sous l'effet du m�dicament et du conditionnement. Il lui fit avaler avec un peu d'eau, un comprim� d'un puissant somnif�re hypnotique, lui dit de se reposer pendant tout le trajet et de dormir, que rien ne pourrait la r�veiller avant qu'ils ne soient arriv�s� Elle ferma les yeux, s'assoupit imm�diatement� Il resta � c�t� d'elle quelques minutes, contemplant sa petite robe jaune en coton imprim�s de motifs de fleurs divers. Il se dit que rien n'interdisait de lui relever sa robe�
Les fines jambes et son slip apparurent, elle avait les cuisses l�g�rement ouvertes, il put distinguer sur le devant de la petite culotte, une empreinte mouill�e sur toute la longueur de sa fente� Le sperme ressortait, inondant le devant du tissu� Il passa un doigt qui s'humidifia aussit�t�
Elle �tait remplie de sperme�
Le trajet se fit sans encombre. Il l'amena directement � la maison des supplices, la d�posa dans une petite cellule sur un petit lit, l'encha�na au mur maintenu par une menotte � la cheville droite� Avec une cha�ne de deux m�tres au pied elle ne pouvait m�me pas s'approcher de la porte ferm�e � double tour, juste s'allonger, boire au robinet et faire ses besoins, c'�tait tout�
Il en profita pour jeter un coup d'�il dans l'autre cellule, Laura dix ans et demie, la supplici�e de service �tait toujours b�illonn�e et en extension en l'air au milieu de la pi�ce, bras et cuisses �cart�s� Un �norme godmichet �tait fourr� dans son anus, ses deux seins �taient transperc�s chacun par deux longues fines aiguilles� Les l�vres de sa chatte �taient �cart�es, maintenues ouvertes par un syst�me de tringles, et petites pinces crocodiles� Son vagin �tait combl� par un autre �norme godmichet, seules deux grosses couilles en latex apparaissaient�
Il ressortit sans lui parler� Elle vivait tout allait bien�
Le lendemain une autre petite fille, Sandra dix ans et demie rejoignit Am�lie neuf ans et demie dans la m�me cellule, Il l'avait kidnapp� sur le trajet de l'�cole, pas moyen de faire autrement�
Les fillettes rest�rent sans visites, attach�es dans leur cellule, sans manger pendant quarante huit heures. Le troisi�me jour le docteur et Jean Yves se point�rent dans la cellule, chacun un fouet dans une main, dans l'autre une assiette fumante de pattes�
Les deux gamines cri�rent et pos�rent des questions� Ce quelles faisaient ici et pourquoi�?. Bien mal leur en prit, elle re�urent aussit�t une quantit� de coups de fouets�
Le silence revint tout de suite� Le docteur posa ses conditions : " Ici vous faites tout ce qu'on vous dit, sinon vous ne mangez pas et vous �tes fouett�s ".
Pour commencer aujourd'hui si vous voulez d�guster ce qu'on vous a amen� il faudra le m�riter.
Pour �a vous allez nous faire chacun une pipe et avaler toute la jutte qui sortira, on veut qu'il n'en reste pas une seule goutte� Vous mangerez apr�s�
Les deux hommes se mirent chacun sur une chaise, sortirent leur bitte.
Cuisses �cart�es ils attendirent les gamines�
Les deux fillettes rest�rent prostr�es sur leur lit, aucune apparemment n'avait l'intention d'ex�cuter de telles choses, voyant cela le docteur dit � Jean Yves en rigolant de rengainer�
Le docteur reprit : " Bon on vous laisse r�fl�chir une journ�e de plus, sans manger, en plus vous n'aurez pas � boire jusqu'� demain� Si vous avez soif demain la premi�re chose que vous boirez ce sera notre jutte, on reviendra et on se remettra dans la m�me position. Vous nous sucerez et avalerez toute notre jutte sans en laisser. Et si demain vous ne voulez pas non plus et bien on recommencera, on vous laissera une journ�e de plus sans boire et sans manger�".
Le docteur prit une clef sp�ciale, ferma l'arriv�e d'eau du lavabo, prit soin de laisser couler le restant dans les tuyaux, plus rien ne sortait des robinets�
Ils sortirent, referm�rent la porte � clefs derri�re eux�
Le lendemain Le docteur et Jean Yves arriv�rent tard dans la soir�e, il s'�tait pass� plus de vingt quatre heures depuis leur derni�re visite�
Les deux gamines les regard�rent les yeux horrifi�s�
Les deux hommes sans rien dire se mirent dans la m�me posture que la veille, ils avaient retir� leur pantalon, leur slip baiss� sous leurs couilles mettaient bien en �vidence leur bitte en �rection et leurs testicules.
La premi�re � s'avancer fut la plus grande, la petite suivit quelques secondes apr�s. Sandra et Laura avait tr�s soif et tr�s faim, la bouteille de jus d�orange et la casserole de pattes fumantes et odorantes leurs faisaient tr�s envie�
Trois jours sans manger, un sans boire� Elles �taient pr�te � tout pour survivre. La plus grande, Sandra se mit entre les cuisses de Jean Yves, tandis qu'Am�lie se retrouva entre celles du docteur.
Les fillettes n'�taient plus sous tranquillisant, aucun conditionnement n'avait �t� pratiqu�, elle allait r�v�ler leur v�ritable nature, faire leur premi�re pipe�
La plus grande se d�cida, engouffra la bitte dans sa bouche, se mit � faire un va et vient avec� La petite la regarda faire quelques secondes puis se d�cida � faire pareille �
Chacune des langues �tant presque s�che, la sensation �tait bizarre.
C '�tait chaud, beaucoup moins mouill�e que d'habitude, cela r�pait un peu, mais c'�tait bon quand m�me.
Les deux hommes les aid�rent un peu au d�but, leur expliquant comment bien faire� Serrer plus fort leur l�vre, aller plus vite, la mettre plus � fond dans la bouche, tourner avec leur langue�
Elles avaient d�cid� d'apprendre vite, la grande bouteille de jus d'orange et la casserole de patte y �taient pour quelque chose�
La bouche de la petite �tait vraiment un peu trop s�che au go�t du docteur, il se d�cida pour enduire sa bitte de salive. Am�lie la regarda faire, lorsque la queue fut bien mouill�e et luisante, il lui remit l'engin dans sa bouche�
Elle ne fut pas d�go�t�e, reprit son va et vient normalement. Les fillettes se d�brouillaient tr�s bien. Jean Yves se crispa le premier, la plus grande re�ut la premi�re gicl�e de sperme dans la bouche, puis la seconde� Elle bloquait tout dans sa bouche, Jean Yves lui ordonna d'avaler tout imm�diatement � chaque jet�
Sa premi�re d�glutition s'effectua enfin� Elle avalait� Les jets continuaient � envahir sa cavit� buccal, la gosse de dix ans et demie se d�salt�rait � chaque �jaculation, remplissant son petit estomac de spermatozo�des.
La jutte ressortait de ses l�vres, elle n'avalait pas tout. Jean Yves l'engueula, lui dit que cela n'allait pas du tout, que si elle ne faisait pas mieux elle allait �tre punie s�v�rement et quelle ne boirait pas et ne mangerait pas.
Aussit�t la fillette avala et d�glutit tr�s souvent, elle n'attendit plus les jets. R�guli�rement, elle avalait� On entendait le bruit que faisait sa petite gorge.
Ce coup-ci tout passait dans son petit gosier...
L'�jaculation dura assez longtemps, le spectacle contentait les deux hommes, la jutte �tait bien consomm�e. les fillettes �taient soumises et auraient fait n'importe quoi pour boire et manger, c'�tait vraiment d�gueulasse, mais pour amener rapidement une petite fille � faire tout ce qu'on voulait d'elle, on ne trouverait jamais mieux�
Jean Yves s'�tait vid� compl�tement, il demanda � la gosse de continuer � sucer en d'aspirant son bout � fond, elle le fit sans rechigner. Il se sentit vider encore un peu plus. Au bout d'un moment pomp� et crev� il se retira de sa bouche, lui demanda de passer sa langue sur ses l�vres et d'avaler tout ce qui restait comme jutte. Elle le fit comme il fallait, sa petite langue sortie en gesticulant, l�chant le sperme restant.
Lorsqu'elle vit que Jean Yves se d�sint�ressait d'elle et regardait maintenant la petite Am�lie continuant sa fellation sur le docteur, la fillette lui demanda poliment si elle pouvait boire. Elle avait tr�s soif et le sperme sal� qu'elle venait d'ingurgiter n'avait pas arranger les choses.
Jean Yves lui passa la bouteille d'orange, aussit�t la petite se mit � boire comme jamais il n'avait vu. Il dut lui reprendre, elle avait presque vid� la moiti�
Apr�s elle se pr�cipita sur les pattes cuites, les prit avec ses deux mains directement dans la casseroles, les porta � sa bouche en mangeant comme un animal, un chien avec des mains�
La petite Am�lie continuait sa fellation sur le docteur, elle regardait avec envie Sandra manger� Le docteur lui dit de se d�p�cher de faire venir la jutte, apr�s l'avoir aval� elle pourrait boire et manger � sa guise. La gamine se remit � piper la queue avec encore plus de v�h�mence�
Quelques minutes apr�s le sperme inondait sa petite bouche. De peur de se faire engueuler elle tenait compte des remarques que Jean Yves avait fait �� Sandra,� avalant r�guli�rement tout en continuant � piper. C'�tait tr�s bien fait, il avait suffit de corriger la fa�on de faire de sa "copine" pour qu'elle en tienne compte. C'�tait un peu un cours collectif de fellation�
Elle le vida, le pompa compl�tement, le docteur lui demanda pour finir de nettoyer � fond en l�chant sa verge et ses couilles � grands coups de langue�
Rapidement tout fut propre et net, il d�banda rapidement, la fillette perplexe se demanda int�rieurement pendant un instant ou �tait pass� la grande tige�
Elle regardait intens�ment sa copine se goinfrer, il lui donna enfin l'autorisation de boire et de manger� En quelques secondes elle saisit la bouteille de jus d'orange et la vida d'un trait� Aussit�t apr�s elle se pr�cipita sur la casserole de p�tes�
Le spectacle des deux petites filles affam�es, � genoux autour d�un plat de p�te �tait le plus d�gueulasse qu'ils avaient vu depuis longtemps� Courb�es sur la casserole, elle prenaient les p�tes � deux mains, les portaient aussit�t � leur bouche, elles avalaient presque sans m�cher�
Des chiennes autour de leur p�t�e�
Le docteur ouvrit le robinet d'eau, avant de partir il pr�vint les gamines qu'en cas de nouveaux refus ou mauvaises collaboration de leurs parts, le tarif serait de nouveau trois jours sans manger, plus un jour sans boire�
Il les pr�vint en riant, que demain, elles auraient un nouveau cours de formation collectif� Puis un autre apr�s demain�
Apr�s, elle partirait en voyage et verraient du pays�
Le docteur referma la porte de la cellule, il ouvrit celle ou Laura reposait. Toujours en extension, la fillette �cart�e et supplici�e par deux gros godmichets, l'un dans son vagin, l'autre dans son anus avait aussi les deux seins transperc�s par deux longues aiguilles� Sandy avait fait un sacr� travail de salope�
Le docteur trouva que le supplice avait assez dur�, du moins pour l'instant� Trois jours qu'elle �tait attach�e, �cart�e et fourr�e par les gods� Il demanda � Jean Yves de man�uvrer les treuils pour faire redescendre la petite fille.
Il lui retira le corset et les bracelets de cuirs qui la maintenait en suspension et la d�posa sur le petit lit. Puis il entreprit de retirer les godmichets de ses cavit�s. Elle �tait �veill�e et tr�s faible, il lui prit sa tension, c'�tait loin d'�tre merveilleux� Il �couta son c�ur, il battait vite et irr�guli�rement. Il appela Sandy au t�l�phone, lui dit qu'il ne fallait plus rigoler, il fallait remettre sur pied� Laura et rapidement lui donner � boire et � manger� Sandy avait compris le message, elle arriverait dans quelques instants� La fillette allong�e sur le petit lit avait l'air pitoyable avec ses aiguilles transper�ant ses petits seins�
Il alla chercher sa trousse m�dicale, nettoya les petits seins et retira d�licatement les aiguilles, il d�sinfecta, puis fit une piq�re de remontant � la gamine�
Sandy arriva quelques minutes apr�s avec un plateau de nourriture. Le docteur lui demanda de rester � son chevet, et plus question de jouer sexuellement avec Laura� Dans quelques jours tout irait mieux, elle serait sur pieds.
Le docteur laissa un message sur internet : " Attendons virement au compte, la marchandise est arriv�e, les deux tableaux sont pr�ts � partir ".
Un acompte avait �t� vir� sur le compte num�rot� en Suisse, il attendait le solde� Dans quelques heures la somme totale de Deux cent mille francs serait encaiss�e. La livraison d'Am�lie 9 ans et demie et de Sandra 10 ans et demie ne serait qu'une formalit�, sur une aire d'autoroute, anonyme, ni vu ni connu�
De plus le message re�u �tait cod�, mais tr�s claire� Si ils �taient content de cette premi�re commande, deux autres fillettes suivraient aussit�t, plus deux gar�onnets� Et cela dans les jours � venir� Environ cent mille francs par enfant, le trafic �tait nettement plus juteux que de recevoir une vingtaine de cons par jour dans un cabinet m�dical, pour ne pas oser leur dire � tous que la seule maladie qu'ils avaient �taient uniquement du � leur connerie, pour certain � l'exc�s de boisson, pour d'autres l'exc�s de bouffe, voir de m�dicaments, ou de mauvaises habitudes�
Heureusement qu'il y avait un cas sur dix ou un vrai malade, un vrai "patient", comme il fallait dire, lui rendait visite� Le pire c'est que pour celui la, c'�tait pas �vident du tout, le patient il avait int�r�t � l'�tre vraiment "patient", le temps de trouver r�ellement ce qu'il avait�
Le lendemain se fut Mr Dupuis et le docteur qui all�rent rendre visite � Am�lie et Sandra� Les gosses reluqu�rent aussit�t les deux plateaux de nourriture�
Le docteur leur dit tout de suite� Vous mangerez apr�s, et seulement si vous avez bien fait tout ce qu'on vous demande� Comme vous �tes presque � jeun, vous devriez avoir les intestins l�gers, donc pas encombr�s, et bien on va v�rifier �a et vous sonder un peu�
Tout d'abord vous allez vous mettre � genoux mains pos�s par terre, et surtout les cuisses �cart�es, les fesses grandes ouvertes�
On va vous prendre par derri�re, vous n'aurez absolument pas mal si vous faites bien ce que l'on vous dit. En plus vous verrez que vous allez aimer �a, cela sera m�me tr�s bon.
Allez ex�cution� Les fillettes n'h�sit�rent pas plus de quelques secondes, en sanglotant elles s'agenouill�rent et se mirent aussit�t dans la position souhait�e�
Il est vrai que la fouet dans la main gauche du docteur devait y �tre pour quelque chose�
Les deux m�les se d�shabill�rent rapidement et se retrouv�rent tous deux en slip, le docteur passa � Mr Dupuis un petit pot de vaseline� Enduire leur cul de produit leur apporta une premi�re satisfaction, elles se laissaient faire.
Les deux hommes faisaient expr�s de rentrer leurs doigts � fond, tout en tournant et en repliant ceux-ci � l'int�rieur, les fillettes se contorsionnaient de douleur en g�missant�
Le docteur leur ordonna de baisser la t�te sur le sol. Leur cul en hauteur et ouvert � fond �tait offert avec la soumission la plus totale, un vrai r�gal�
Leur slip sous leurs couilles, ils mirent leur bitte sur leur petit anus et pouss�rent en m�me temps. Les petites filles s'ouvrirent tout de suite, la vaseline faisait son effet, leur int�rieur lubrifi� � fond et l'�lasticit� de leur trou du cul fit qu'elles se trouv�rent tr�s rapidement encul�es� Les chibres �cartaient les chairs � fond, les petites filles �taient empal�es, comme clou�es � leur bitte. Elles avaient mal et pleuraient, leur corps �tait secou� par le va et vient de l'enculage qui augmentait en vitesse et en fougue � chaque instant.
Elles pleuraient en g�missant de douleur, les hommes s'excitaient un peu plus, chaque sanglot �tait pour eux un ravissement, ils poussaient � fond leur pinne dans leur post�rieur en hurlant de contentement.
Ils �jacul�rent � peu pr�s en m�me temps, le petit ventre des gamines se remplit copieusement de foutre.
Le docteur joua avec sa bitte, la ressortant et la positionnant sur la raie des fesses, il contempla la jutte sortir par saccade sur la petite croupe et l'�tala sur le bas du dos�
Le docteur pr�vint les fillettes, demain par devant, c'est le tour de la petite chatte�
Le lendemain ils mont�rent par devant des deux gamines qui se laiss�rent remplir sans probl�me, ils finirent en leur demandant de l�cher pour nettoyer leur bitte, ce qui fut fait m�thodiquement et sans rechigner�
Elles �taient soumises, pr�tes � �tre honor�es ou d�shonor�es par n'importe qui�
����� La Livraison
Le docteur t�l�phona le jour m�me � sa banque en Suisse, la totalit� de la somme avait �t� vers�e� Il pouvait livrer la marchandise�
Jean Yves conduisait. Le docteur � c�t� de lui se retournait de temps en temps, histoire de surveiller un peu les deux fillettes.
Am�lie et Sandra dormaient sur la banquette arri�re du v�hicule, somnif�re oblige�
D�j� quatre cent kilom�tre de parcourus�
Vint enfin le moment ou le panneau indiqua le nom de l'aire de repos de l'autoroute, il �tait huit heures du soir, la nuit commen�ait � tomber.
Il roula doucement, avan�a le v�hicule jusqu'aux toilettes, bon nombres de voitures �taient gar�es devant.
Seulement une camionnette r�pondait au signalement�
Le docteur descendit de la voiture, se dirigea vers un urinoir, sortit son engin et� soulagea sa vessie. Puis il commen�a � siffler un air bien connu de tous, puis trente secondes apr�s un autre air moins connu celui l��
Puis vint la m�lodie des deux morceaux encha�n�es�
C'�tait le code de reconnaissance�
Aussit�t dehors il fut abord� par un homme d'une cinquantaine d'ann�e, type m�diterran�en. Ils parl�rent environ deux minutes, puis remont�rent dans leur v�hicule et d�marr�rent aussit�t.
Le docteur suivit la camionnette en laissant une distance raisonnable.
Ils quitt�rent l'autoroute, roul�rent une dizaine de kilom�tres avant de bifurquer vers un chemin de terre conduisant � l'or�e d'un petit bois.
Les deux v�hicules s'arr�t�rent�
Deux hommes et une femme descendirent et se dirig�rent vers leur voiture.
Le docteur et Jean Yves firent de m�me. Les pr�sentations furent� sommaires. Rapidement les porti�res arri�res furent ouvertes, les deux gamines qui dormaient toujours profond�ment furent extirp�es de la voiture et rapidement plac�es � l'arri�re de la camionnette.
La femme �tant charg�e d'�valuer la "marchandise", ne trouva rien � redire�
On remit au docteur une grande enveloppe contenant un acompte sur la livraison futur. Tout ce beau monde se serra la main.
Rapidement les deux v�hicules repartirent chacun de leur c�t�
La premi�re chose que fit l'inspecteur de police V�ronique trouv�, fut de s'assurer que les deux fillettes �taient vraiment en bonne sant�
L'inspecteur Gauthier conduisait la camionnette. Le commissaire principal Vaudou � c�t� de lui avait voulu couvrir l'affaire lui m�me. Un truc comme il disait " d'une telle importance " ne laissait pas de place � une bavure, si minime soit elle. Vaudou prit son portable et composa le num�ro priv� du procureur de la r�publique. Celui-ci attendait impatiemment l'appel�
Le commissaire lui signifia que les deux petites filles avaient �t� r�cup�r�es saines et sauves�
Il pr�cisa que l'argent pour la prochaine livraison avait �t� remis au docteur.
Ils �taient pr�ts pour la suite� Depuis des semaines une �quipe de huit inspecteurs travaillaient sur l'affaire, rien n'avait �t� laiss� au hasard�
Du moins l'esp�raient-ils�
Le plus difficile avait �t� de r�unir les fonds pour racheter les fillettes.
L'affaire �tait mont�e jusqu'au ministre de la justice, qui lui m�me avait fait d�bloquer la somme�
On n'utilisait pas facilement l'argent du contribuable, m�me en �tant presque sur de r�cup�rer la mise de fond.
Le gouvernement Suisse avait n�goci� son fameux : " secret bancaire ".
Enfin tout c'�tait bien pass�, les banques avait jou� le jeux�
Les fillettes furent d�pos�es rapidement dans un h�pital de la r�gion, des examens devaient �tres pratiqu�s.
Les familles des deux gamines furent pr�venues dans l'heure qui suivit.
Les parents pleuraient de joie au t�l�phone�
Le commissaire Vaudou n'aimait pas cette affaire, cette fa�on de proc�der le d�go�tait� Ses sup�rieurs avaient exig� que le r�seau complet soit �radiquer, clients compris.
Cela se traduisait par la filature du gang pendant de nombreuses semaines.
Lui, aurait pr�f�rer intervenir tout de suite, r�aliser un coup de filet au pavillon, tout aurait �t� plus rapide. Ses sup�rieurs avaient contrecarr� ses plans, de peur qu'il arrive quelque chose aux enfants pendant l'intervention�
Les ordres �taient les ordres�
La r�cup�ration des deux petites filles �tait d�j� un point positif�
Encore combien d'enfants � r�cup�rer ?. Il fallait interroger les deux fillettes, dans quelques heures ils en sauraient un peu plus�
�
Le lendemain fut jour de repos pour tout le monde, Nadine, Audrey et K�vin jouaient ensemble. Sandy s'occupait de Laura, la fillette allait se remettre, mais cela risquait d'�tre assez long. Les s�vices pratiqu�s sur elle l'avaient marqu�s physiquement et psychologiquement.
Le docteur regarda ses deux nouvelles proies� L'une l'int�ressait plus que l' autre, elle devait avoir sept ou huit ans au maximum�
Son intimit� devait �tre encore plus serr�
Les deux gamines furent amen�es au pavillon, le docteur demanda � Jean Yves de le laisser seul�� Il allait s'occuper des fillettes lui m�me�
L'une apr�s l'autre, Il les descendit � la cave. Pla�ant les deux petites filles sur le plus grand lit, il commen�a par les d�shabiller. Il ne leur laissa que leur petite culotte. Il put comparer� Leur corps �tait parfait. La diff�rence d'�ge �tait de deux ans � peu pr�s� Il �tait beaucoup plus int�ress� par la plus jeune.
La fillette avait huit ans au maximum� Il ne l'avait jamais fait�
Il voulait savoir si c'�tait faisable�
Il se rendit compte un court instant qu'il devenait fou�
Trop court moment de lucidit� Plus aucune morale ne lui effleurait l'esprit.
Il d�cida de passer outre, au point ou il en �tait�
Comme docteur il avait vu des fillettes de Quatre ans ayant �t� p�n�tr�e par devant et par derri�re.
Il avait �t� oblig� de soigner ces enfants, la premi�re fois il en avait d�gueuler.
Cela l'avait tellement perturb� pendant des ann�es. Il s'�tait pos� la question de plus en plus souvent, � quel �ge cela pouvait-il rentrer ? Cette question avait peu � peu d�rang� son esprit, au point de devenir presque fou...
A partir de ce moment il avait commenc� � d�sirer des fillettes, le ph�nom�ne c'�tait acc�l�r� depuis ces derni�res ann�es.
Irr�versiblement, le processus de fixation s'�tait implant� dans son cerveau.
Il avait presque �t� oblig� de passer � l'acte, essayant quand m�me de r�sister pendant des mois� Il avait �chou�
Les gamines dormaient profond�ment, cela durerait longtemps. Il mit la plus jeune sur le ventre, �carta ses cuisses au maximum. Le tissu �lastique de sa petite culotte moulait tr�s bien chaque petite fesse.
Avec un doigt il fit rentrer le coton dans la raie m�diane.
Les deux petits d�mes bien s�par�s saillirent encore plus. Le petit cul de r�ve laissait appara�tre une chute de reins exceptionnelle, creus�e et tendue � souhait. Cette petite fille �tait un vrai bijou�
Il avait besoin de la souiller� Trop de beaut� et d'innocence l'exasp�rait, le d�routait, le retournait int�rieurement.
Il n'avait jamais r�ussi � comprendre le m�canisme de son cerveau�
Il adorait ce qui �tait beau, mais ce qui en �tait le summum pour lui �tait malheureusement interdit par la loi. On ne pouvait pas toucher� M�me regarder des photos �tait devenu interdit� Cela n'avait pas �t� toujours comme �a.
Ces pratiques, jadis des continents, des rois et m�me des d�mocraties les avaient appr�ci� et tol�r�...
Les temps avaient chang�, la soit disant morale �tait pass�e par l��
La soci�t� permettait m�me aux enfants de devenir homosexuels. Le bourrage de cr�ne commen�ait tr�s t�t. La t�l�vision, les films, les chansons, et m�mes les lois� Tout �tait fait pour que les gosses soient oblig�s d'accepter l'id�e que devenir homosexuel �tait une chose naturelle� Lui �tait aussi de cet avis� Mais pour ceux qui aimaient les enfants le langage �tait diff�rent� Pourtant les sp�cialistes �taient tous d'accord sur un point, si il y avait une d�viation, celle-ci �tait incluse dans le code g�n�tique, au m�me titre que l'h�t�rosexualit�, la bisexualit� ou l'homosexualit�
Le pr�texte des "anti" �tait simpliste� Les enfants n'avaient pas leur libre arbitre� Bien sur qu'ils ne l'avaient pas, la majorit� des adultes ne l'avaient jamais eu, alors des enfants� Le libre arbitre, c'est justement de pouvoir faire une exp�rience, et de savoir s'il elle vous plait. Si elle ne vous plait pas, vous passez � autre chose� L'�ge n'a rien � voir la dedans�
L'apprentissage du cerveau humain fonctionnait ainsi, depuis des milliers d'ann�es. L'acquisition de la sexualit� avait un cheminement identique�
Au lieu de �a on conditionnait les adultes et les enfants � respecter des sch�mas types qui ne correspondaient pas � leur personnalit� et � leurs besoins sp�cifiques�
Tous admettaient qu'on �taient diff�rents, bien peu le pratiquaient pour eux m�mes ou pour leurs enfants. Le libre arbitre, il �tait ou�?
Comme toujours la formule favorite des cons restait et resterait encore longtemps :� " Fais ce que je dis et pas ce que je fais�".
Ils avaient d�j� tous oubli� leurs jeux de touche pipi� Lorsqu'ils avaient entre six et dix ans� Pourtant, la sexualit� qu'il avait d�velopp� et construite � cet �ge �tait toujours la leur�
Et oui sur terre il y avait autant de sexualit� que d'�tres humains�
Combien de personnes le comprenaient�
La sexualit� changeait doucement� Les deux h�misph�res du cerveau �taient encore en conflit�Le cerveau reptilien de "l'animal humain" en place depuis des centaine de milliers d'ann�es r�gressait, tandis que l'autre celui de la logique, de l'intelligence et de l'amour gagnait du terrain� Le code g�n�tique se modifiait peu � peu� Il fallait remettre les pendules � l'heure� Tous avaient eu des descendant p�dophiles, homosexuels, ou bi-sexuels, ou h�t�rosexuels�
Son p�re, son arri�re grand p�re, ou l'arri�re arri�re, arri�re, arri�re, etc�
Personne ne pouvait jeter la pierre � quelqu'un d'autres�
Personne n'�tait � l'abri d'avoir un enfant "hors normes".
Surtout avec ce qu'on nous faisait bouffer et respirer, actuellement�
Le code g�n�tique allait muter dans le bon ou le mauvais sens� ?
Les expertises �taient plut�t inqui�tantes� Selon un rapport �manant des services secrets� Depuis dix ans, l'intelligence de l'�tre humain diminuait de un pour cent par an�
Alors, l'esp�ce humaine allait t'elle s'en sortir ? L'esp�ce certainement, oui�
L' humanit� et les soci�t�s " merdocrates "� Peut �tre pas�
A force d'�tre con, et surtout de vouloir le rester�
Pour qu'elle s'en sorte l'humanit�, Il faudrait d�j� apprendre un jour � nos enfants que la sexualit� sert avant toute chose � donner et � prendre du plaisir, et non uniquement � procr�er. Les rapports demand�s par certains gouvernements et effectu�s par des sp�cialistes �taient visibles par tous sur internet� La violence r�currente et intrins�que de la jeunesse actuelle venait en priorit� du manque de tendresse, de c�lins, de caresse dans la tendre enfance. Et bien sur du manque de compr�hension des choses concernant la sexualit� des enfants.
�
Et si les "grands penseurs" qui faisaient les lois continuaient, � �tre aussi ignorant des besoins cr��s par la nature, la situation ne s'arrangerait jamais� Pr�s de cent pour cent des p�dophiles se contentaient de fantasmer devant des photos d'enfants�Cela leurs suffisaient. Qu'allait il arriver si ils ne pouvaient plus se d�fouler de cette fa�on, ne risquaient ils pas de sombrer dans une obsession diff�rente et bien plus dangereuse ? Celle peut �tre de passer � l'acte.
Avant, celui qui ne pouvait pas faire autrement que passer � l'acte partait en vacances dans un pays qui tol�rait plus que moins le tourisme sexuel depuis des d�cennies�Pendant des ann�es ces pays avaient ferm� les yeux sur ces pratiques. Cela rapportait trop de devises� Rien n'avait chang� r�ellement d'ailleurs� Dans ces pays les m�mes h�tels pour prostitu�s mineurs n'avaient pas �t� ferm�s pour �a� Les gouvernement bien pensant avaient trouv� la solution id�ale pour ne pas g�cher les belles et honorables relations diplomatiques entre pays� Si plainte il y avait� Le contrevenant �tait jug� dans son pays � son retour� Rarement dans le pays ou l'acte s'�tait d�roul�
Mais il fallait se rassurer, dans ces m�mes pays, on pouvait toujours acheter un petit gar�on ou une petite fille � ses parents.
Assez cher il est vrai� Mais lorsque que vous �tes p�dophile, pour �tre tranquille il vaut mieux �tre assez ais� Il aurait fallut inventer le mot "P�dofric" pour r�sumer la situation en un seul mot� Non, si vous n'avez pas beaucoup d'argent, contentez vous de vous masturber en regardant des photos nus de petits gar�ons ou de petites filles�( Attention maintenant c'est interdit par la loi� On peut seulement aller se faire foutre�).
Ces m�mes pays ferment encore les yeux sur les soient disant� dons de sang ou d'organes, effectu�s sur des enfants� En r�alit� les gosses sont kidnapp�s et mutil�s pour la vie dans le meilleur des cas� Quelquefois des corps sans vie sont retrouv�s� Et puis ceux que l'on ne retrouve pas�
Mais les bonnes consciences pouvaient se rassurer�Le probl�me n'est certainement pas le m�me�Enti�rement diff�rent disaient-ils� ?
En somme se payer une petite fille ou un petit gar�on "consentant" pendant quelques heures, �tait plus d�gueulasse que de se payer un organe pr�lev� sur un d'enfant non consentant� Ou encore que d'acheter un enfant pour usage personnel et intensif�En gros c'�tait �a �?
Il se rappelait � Paris� Il y avait d�j� vingt ans, place de la " Con corde ? " � Des petites filles �g�es d'environ douze ans maximum "stationnaient" l'apr�s midi � un endroit strat�gique de la place�Une limousine avec vitres teint�es et chauffeur s'arr�tait � la hauteur de la fillette� Le chauffeur en casquette et habits de ma�tre descendait, ouvrait la porti�re et tr�s courtoisement invitait la petite fille � "monter"
La voiture red�marrait, et allait certainement retrouver un Monsieur qui travaillait en usine, ou dans un bureau�Ou peut �tre un bas fonctionnaire
( et oui�Si il y a les hauts fonctionnaires, les "bas" doivent exister aussi�).
A l'�poque le tarif �tait de cinq mille francs pour l'apr�s midi�
Un de ses amis ministre l'avait rencard�
Non� Ce n'�tait certainement pas un ouvrier ou un fonctionnaire de police qui pouvait se payer une voiture pareille� Eux, ils n'avaient pas encore conscience d'�tre pris pour des cons� Cela allait peut �tre venir�
Le man�ge �tait identique quatre jours par semaine�
Seules les voitures et les petites filles �taient diff�rentes. Chut�
Lorsqu'on a c�toy� et conseill� des ministres et des Rois, on en sait des choses.
Mais on les gardes pour soi, tant qu'on garde sa tranquillit� Chut��
Toutes ses pens�es lui passaient dans la t�te � une vitesse vertigineuse�
Lui n'avaient m�me plus conscience d'�tre pass� du c�t� de la folie.
Si on lui avait permis d'aimer la seule petite fille qui avait r�ellement compt� pour lui dans sa vie, tout aurait �t� peut �tre diff�rent� Eve� Sa petite Eve�
La fille d'une de ses patiente� Pas patiente du tout la Maman, elle ne l'avait m�me pas �cout� une seconde� Balanc� aux flics�Fini le docteur�Bonjour le conseil du d�sordre� Le blocage l'avait an�anti� Plus que le fait de ne plus pouvoir exercer son m�tier� Cass� le docteur�
�
Trop de souffrance autour de lui� La sienne, celle des autres�
Pas assez de beaut�, pas assez de caresses, pas assez d'Amour�
Cass� le docteur�Pas r�cup�rable�Trop tard�Trop de cons�
Il mit un coussin sous le ventre de la gamine, son cul en hauteur se trouva encore plus mis en valeur�
Il se d�v�tit enti�rement, tout nu�
En �rection compl�te, il s'assit sur le lit, jambes �cart�es.
Il s'arrangea pour lever la t�te de la petite fille et mettre sa bouche � la hauteur de sa bitte� Il n'eut aucune difficult� � ouvrir sa cavit� buccale et � lui rentrer sa verge dans l'orifice b�ant. Elle �tait dans une position extr�mement inconfortable, son cul et sa t�te sur�lev�e, nuque tendue au maximum�
Il appr�cia la chaleur moite de son orifice buccal, joua � rentrer son engin au fond de sa gorge pendant un long moment, puis il se retira� Il alla chercher une paire de ciseaux et s'approcha de ses fesses� Il voulait qu'elle garde sa belle petite culotte rose � dentelle, elle enserrait trop bien ses deux petites fesses�
Mais il voulait aussi avoir l'acc�s � son intimit� Il d�coupa habilement un trou circulaire d'un diam�tre d'une pi�ce de cinq francs juste au niveau de son anus, fendit aussi le devant de la petite culotte, juste au niveau de la petite fente�
Contemplant intens�ment le spectacle, il mit un doigt dans le trou pratiqu�, ressentit imm�diatement la petite corolle de son anus juste derri�re.
Il fit pareille devant, ouvrit la petite d�coupe pratiqu�e sur le tissu juste au niveau de son sexe� Son minou �tait bien l�, ferm�, clos herm�tiquement�
Il ne put r�sister longtemps, sa bouche s'approcha de la petite culotte. Sa langue� fouilla d'abord le petit trou pratiqu� par derri�re. Il titilla, l�cha, mouilla, elle sentait le cul, comme il aimait�
Puis sans aucune notion d'hygi�ne, il fit de m�me avec la fente de son sexe� Celui-ci �tait beaucoup plus ferm� que son anus. Il s'attarda � l'endroit du clitoris. Il ne palpa rien avec sa langue, mais il se doutait que le petit bourgeon �tait bien l�, cach�,� pr�t � remplir son office de jouissance�
Il r�ussit quand m�me � d�coller les l�vres de son sexe et � l'ouvrir un peu.
Il la fouilla m�ticuleusement, rentrant ce qu'il pouvait de sa langue dans son vagin� La gamine dormait, mais commen�ait � bouger l�g�rement� Inconsciemment la petite fille commen�ait � aimer�
Le man�ge dura plus d'un quart d'heure. Plus il la fouillait, plus elle s'ouvrait, un liquide au go�t �pic� et suave se r�pandit sur ses papilles�
Involontairement la fillette commen�ait � mouiller�
Il se releva. Alla chercher une seringue neuve sans aiguille, il la remplit d'une huile prise dans un petit flacon, puis retourna au cul de la gosse�
Il allait lui remplir l'anus, lorsqu'au m�me moment le t�l�phone de son portable sonna� Cette ligne �tait r�serv�e pour les urgences, seul Jean Yves, Sandy et Mr Dupuis avaient ce num�ro�
Il abandonna la petite fille, se pr�cipita sur ses affaires, fouilla dans sa poche int�rieure de veste et fut rapidement connect�
C'�tait Jean Yves� Affol� Il hurlait de peur, les forces de police donnaient l'assaut au pavillon principal�
Il s'�tait r�fugi� dans les toilettes avec son t�l�phone portable� Il ne savait pas quoi faire, les flics tambourinaient � la porte� Le docteur pouvait entendre les coups frapp�s � la porte des W.C., ainsi que les gueulement des policiers dans son t�l�phone�
En une seconde le docteur avait compris. Il coupa la communication t�l�phonique� Le sort de Jean Yves et Sandy �tait scell�, il n'y pouvait plus rien�
Il fallait faire vite, tr�s vite, il se rhabilla � une vitesse incroyable, remonta par l'�troit escalier du pavillon.
Avait-il encore le temps de se sauver, de sortir de ce pi�ge� Il regarda dehors� Tout �tait silencieux et normal� Il prit dans un secr�taire sa trousse m�dicale. Une somme d'argent, plus de deux cent mille francs dans une grosse enveloppe. Il n'oublia pas un revolver et une boite de munitions�
Il se pr�cipita dehors, claqua la porte derri�re lui, se mit � courir � travers champs. Il connaissait bien la r�gion, la route nationale �tait � trente minutes de marche. Pour l'atteindre sans probl�me il devrait couper en ligne droite � travers la campagne. A son avis les flics ne devraient pas tarder, pas question de marcher sur la route d�partementale�
Tout essouffl�, il arriva plus de trente minutes apr�s sur la nationale. Il �tait vingt et une heure. Les voitures passaient et repassaient sans arr�t. Il s'arr�ta au bord de la chauss�e, leva son pouce� Avec son costume sombre et sa sacoche m�dicale � la main, il faisait vraiment docteur�
Il n'eut pas longtemps � attendre. Une voiture familiale conduite par une femme s'arr�ta. Tr�s courtoisement il lui expliqua� qu'il �tait docteur, que sa voiture �tait tomb�e en panne au retour d'une visite chez un patient. La femme heureuse et satisfaite de pouvoir rendre service � un praticien dans le besoin, ouvrit aussit�t la porti�re c�t� passager�
Un peu plus loin ils crois�rent trois voitures de police, gyrophares allum�s et sir�nes hurlantes� Un rictus de sourire tendit l�g�rement le bas de son visage.
Les deux fillettes � l'arri�re du v�hicule �taient contentes que leur maman ait prit en stop un vrai docteur�
L'auto-stoppeur ne put r�sister longtemps. Il dit � la dame : " Elles sont gentilles vos petites filles�". Puis ne pouvant plus r�sister il demanda� :
" Elles ont quel �ge ? �".
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P.S. Note sur l'inceste et la p�dophilie :
Une petite fille ou un petit gar�on est un
�tre humain, et ne m�rite en aucune fa�on d'�tre perturb� dans son
d�veloppement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect de l'alchimie des
trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour et ne l'auront
peut �tre jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un �tre.
Le v�ritable courage dans la vie, consiste �
donner le bonheur qu'on a pas eu,
et surtout de ne pas rendre le mal qu'on nous
a fait�
Lorsque
Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs pour tenter Adam et Eve� Lucifer
se porta volontaire, lui qui �tait pourtant l'un des sept grands archanges de
notre syst�me solaire, ou sa mission �tait de garder la plan�te V�nus. Il
devait descendre sur Terre pour aider l'humanit� � faire grandir sa
spiritualit� en la soumettant � toutes les tentations.
Ce
qu'il fit� La t�che que lui confia dieu fut certainement une des plus
importantes de la cr�ation. Elle n'est pas finie, elle doit permettre � l'�tre
humain de s'�lever, de r�v�ler sa v�ritable lumi�re int�rieur, d'affirmer sa
spiritualit� en r�sistant au mal, qui lui m�me fait parti int�grante du bien.
Comprenne
qui pourra �.
�
Le r�cit complet, corrig� est d�pos�s � l'INPI par enveloppe SOLO,� ils restent la propri�t� de son auteur.
Vous pouvez publier les extraits sur tous les sites gratuits pour adultes.
A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonn�es et explications de d�but et de fin.
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
����������� ��
Violence
et p�dophilie
�� Recueil de rapports sur la violence et la p�dophilie�
����� Enqu�te effectu�e pour la r�alisation d'un ouvrage litt�raire sur le sujet par Alain Terdit� �[email protected]
�16� Le plaisir du corps et�� l'origine de la violence
�47� Assistance aux
personnes en prise avec des attirances p�dophiliques
59 59 Rapport capital
��� 109 Communiqu� : Le Monde du 26 janvier 1977
Brochure
P.S.V.G.(1979)
Association Protestante N�erlandaise de Planning Familial
Beaucoup d'entre vous auront du mal � lire
cette brochure calmement. Si vous avez des probl�mes avec certains passages, ne
la jetez pas tout de suite. Essayez d'abord de r�fl�chir calmement pour savoir
ce qui vous pose probl�me. Vous trouverez pages 14 et 15 une petite liste
d'id�es et d'opinions qu'on rencontre fr�quemment. Si vous n'arrivez pas �
comprendre d'o� viennent vos difficult�s, vous devriez consulter cette liste.
M�me si votre opinion est d�j� faite d'avance, vous y trouverez peut-�tre
mati�re � r�flexion.
P.S.V.G. F�VRIER 1979
Cette brochure a �t� r�alis�e par une ASSOCIATION N�ERLANDAIS (et protestante) DE
PLANING FAMILIAL. Il faut donc replacer certaines informations et
affirmations dans leur contexte g�ographique et historique. Cette brochure fait
partie d'un ensemble destin� � une diffusion tr�s large, qui comporte entre
autres: homosexualit�; drogues; jeunes et sexualit�; la pilule; contraception;
la m�nopause; maladies v�n�riennes etc.
Cette brochure parle de p�dophilie. Elle est
destin�e � tous ceux qui veulent en savoir plus sur la p�dophilie, mais surtout
� ceux qui sont concern�s. En premier lieu, les p�dophiles eux-m�mes, et les
enfants qu'ils fr�quentent. A c�t� de cela, les parents avec des enfants
jeunes, et les parents ayant des enfants p�dophiles, sont concern�s. A cause
des lois actuelles, il arrive aussi que la police et les magistrats y soient
confront�s. Des travailleurs sociaux y sont impliqu�s �galement. Ainsi, il y a
de nombreuses personnes qui s'occupent de p�dophilie. A vrai dire, cette
brochure s'adresse �galement aux enfants, mais ils s'apercevront rapidement
qu'il s'agit malgr� tout d'une brochure pour adultes. Cela vient de ce que la
"p�dophilie" est non seulement un mot d'adulte, mais surtout un
probl�me d'adulte.
Par cons�quent, vous lirez d'abord:
|
- qu'est-ce que
c'est que la p�dophilie? |
|
- que sont les
p�dophiles? |
|
- qui sont-ils? |
|
- que font les
p�dophiles avec les enfants? |
|
- avec qui le
font-ils? |
|
- comment
s'y prennent-ils? |
et seulement apr�s:
|
- que pensent les
enfants de leurs contacts p�dophiles? |
L� aussi, les enfants n'occupent que la seconde
place. Avec cette brochure nous tenterons de donner une meilleure image de la
p�dophilie. Nous voulons aligner des faits, et ainsi nous d�barrasser de
pr�jug�s et malentendus.
L'�tre humain �prouve des sensations sexuelles
et amoureuses de toutes sortes: homosexuelles, p�dophiles, h�t�rosexuelles.
Certaines personnes ont plus de sensations d'une sorte que d'une autre sorte.
Quand nous d�couvrons cela, nous nous empressons de leur coller une �tiquette:
une personne surtout attir�e par quelqu'un de son propre sexe s'appellera
homosexuel; quelqu'un qui se tourne surtout vers le sexe oppos� s'appellera
h�t�rosexuel, et ceux qui dirigent leurs sentiments surtout vers les enfants,
s'appelleront p�dophiles. Litt�ralement cela veut dire : "quelqu'un qui
aime les enfants". Et c'est exactement ce dont il s'agit. Vu de cette
fa�on, il arrive � chacun d'entre nous d'avoir de tels sentiments, consciemment
ou inconsciemment. Parfois la sexualit� y joue un r�le. Et parfois on s'en rend
compte:on s'aper�oit par ex. qu'on aime chahuter avec des enfants. Et parce que
nous avons du mal � accepter cela, on a commenc� � nous mettre, et � mettre les
autres, dans des cat�gories: p�dophiles, homophiles etc. Quand une personne
oriente sa sexualit� surtout vers l'autre sexe, elle est h�t�ro: il (ou elle)
DOIT se comporter de telle ou telle fa�on, et les autres pulsions (p�dophiles,
homophiles) sont cach�es, opprim�es ou ignor�es.
Les p�dophiles sont des personnes qui se
sentent attir�es par les enfants, y compris sexuellement. Le fait de se sentir
attir� par les enfants est v�cu comme une partie int�grante de la personnalit�:
quand on n'a pas le droit d'avoir ces sentiments, on n'a pas le droit d'�tre
soi-m�me.
Des personnes qui aiment surtout les
enfants, on en trouve partout: ce sont des hommes et des femmes, des femmes de
25 ans et des hommes de 50 ans, des gros, des maigres, des grands, des petits,
des gentils et des pas-gentils. Il y a des personnes qui se sentent attir�es
par les enfants de leur sexe, des enfants du sexe oppos�, ou par les deux. Et,
comme chez les homosexuels �a ne se voit pas sur leur figure.
Pour r�sumer, on pourrait dire: la m�me chose
que les autres adultes, mais parfois il s'y ajoute des actes sexuels. Le
p�dophile tient surtout � faire savoir � l'enfant qu'il l'aime. C'est pour
cette raison que la plupart du temps il n'y aura pas "p�n�tration"
avec des enfants jeunes. Un gar�on ou une fille d'une dizaine d'ann�es n'est
pas encore suffisamment "b�ti" pour cela. Un homme adulte qui essaie
d'introduire son p�nis dans le vagin d'une fillette, lui fera mal dans la
plupart des cas. Par cons�quent, les p�dophiles, en g�n�ral, s'abstiendront, ne
f�t -ce que pour cette raison. Mais qu'est-ce qu'ils font alors? Non seulement
ils parlent ensemble, rient ensemble, jouent ensemble etc., mais ils
s'embrassent aussi, se caressent, se montrent leurs organes sexuels. Parfois
l'adulte se masturbe devant son (sa) petit(e) ami(e), ou se laisse masturber.
Le p�dophile se sent attir� par les enfants
d'environ 8 � 15 ans. Avec l'arriv�e de la pubert�, l'enfant perd parfois son
attraction SEXUELLE pour l'adulte. Il arrive que le plus jeune accepte cela
difficilement. Mais tr�s souvent l'amiti� subsiste. Comme dans les relations
entre adultes, le p�dophile peut avoir des relations avec des enfants qu'il
conna�t depuis longtemps et avec des enfants qu'il conna�t depuis tr�s peu de
temps. La plupart du temps, les deux partenaires se connaissent d�j� depuis
tr�s longtemps avant d'en arriver � vivre une relation p�dophile. Souvent ils
habitent dans le m�me quartier, parfois l'adulte est un ami des parents, ou un
membre de la famille.
Comme nous venons de le voir, les
partenaires se connaissent souvent depuis fort longtemps. Aussi, beaucoup de
relations se d�veloppent-elles peu � peu. A un moment donn�, cette relation
devient plus intime, et la sexualit� peut y trouver sa place. Dans ce cadre, il
n'y a pas � proprement parler d'"initiative". Quand une relation se
d�veloppe peu � peu, il arrive un moment o� les deux partenaires estiment que
la sexualit� peut y trouver place. Il est � noter, cependant, qu'il arrive tr�s
souvent que ce soit le plus jeune qui "commence", ou joue les
"incitateurs". Mais dans la plupart des cas, l'aspect sexuel se
d�veloppe progressivement, en interaction? Le p�dophile peut avoir, lui aussi,
des contacts uniques et sans lendemain. L�, �galement, l'initiative peut venir
de l'enfant comme de l'adulte. Il arrive parfois que le contact sexuel soit
impos�. L'adulte peut abuser de son pouvoir; il, ou elle, peut user de
contrainte, ou essayer par des voies d�tourn�es d'obtenir l'assentiment de l'enfant.
Mais ceci n'est pas sp�cifique de la sexualit� p�dophile. Dans les contacts
homo ou h�t�rosexuels �galement, il peut �tre question de contrainte et de
pouvoir. Seulement, les enfants sont moins en mesure de se d�fendre que les
adultes. Il est toujours plus facile d'abuser d'un enfant (et pas seulement sur
le plan sexuel). les rapports avec des enfants exigent TOUJOURS respect et retenue. Il se trouve que les parents
oublient cela bien plus souvent que les p�dophiles, parce que les parents
consid�rent ces petites personnes comme LEURS
enfants.
Quand un enfant a une relation avec un
p�dophile sans intervention ext�rieure, des liens d'amiti� se tissent qui
subsistent souvent quand l'aspect sexuel de la relation a cess� d'�tre. Souvent
l'adulte a une grande importance pour l'enfant en tant que personne de
confiance, comme soutien, mais avant tout comme "partenaire en
amour". Les sentiments que l'enfant �prouve sont des sentiments de
"�tre amoureux de" et "bien aimer". L'aspect sexuel a
probablement une signification autre pour lui que pour l'adulte. Parfois
l'enfant est passif. il appr�cie la tendresse et les caresses: il se laisse
faire gentiment. Mais il arrive aussi que l'enfant soit actif. PROBABLEMENT
l'enfant ne voit pas le sexe comme une chose � part dans une relation. On peut
dire que chez certains enfants la sexualit� fait encore partie int�grante de
leur existence.
Nous avons �t� tr�s prudents en parlant de
la sexualit� des enfants; nous disions "probablement, ils le sentent
ainsi". Prudence � observer, car finalement nous ne savons pas grand chose
de la sexualit� infantile. On entrevoit beaucoup de choses, et une de nos
erreurs est de regarder leur sexualit� en partant de nos propres sentiments et
sensations. Nous projetons nos propres opinions, sentiments et exp�riences sur
les enfants. Peut-�tre parce qu'en tant qu'adultes nous avons oubli� notre
propre enfance; peut-�tre aussi parce que nous VOULONS oublier notre enfance quand il s'agit de sexualit�.
Les adultes d'aujourd'hui qui ont eu des "exp�riences sexuelles" en
tant qu'enfant ont appris que c'�tait "mal".
Les sensations qu'ils ont pu avoir en jouant
"au docteur" ou "au papa et � la maman" sont souvent
profond�ment refoul�es. Pour savoir quelque chose sur la sexualit� des enfants,
il faudrait regarder les enfants sans id�e pr�con�ue. Et peut-�tre aussi se
regarder sans id�e pr�con�ue. Car il se peut que l'adulte ait d�j� eu, � un
moment ou � un autre, une r�action de recul quand il a senti la pulsion de
caresser sexuellement un enfant (par ex. en lui donnant son bain...). L'enfant
a toujours affaire � des adultes. Et ces adultes interdisent, punissent, se
f�chent.
D�s son plus jeune �ge, on apprend � l'enfant
qu'il ne faut pas faire de choses "sales". M�me sans que les adultes
l'expriment clairement, l'enfant sent, de par l'attitude des adultes, que
certains jeux amusants sont interdits. Et c'est pour cela qu'il pr�f�re y jouer
dans des coins obscurs o� l'on risque moins la d�couverte. Ainsi, la vie
sentimentale de l'enfant est tr�s rapidement entour�e d'une ambiance un peu
malsaine. Et la sexualit� des enfants devient un comportement dict� par les
adultes.
L'adulte est tr�s important pour l'enfant.
L'adulte d�tient le pouvoir. Les adultes, les parents, les grands-parents, les
enseignants, les flics, les automobilistes, les m�decins et ainsi de suite,
tous ces adultes d�terminent ce que les enfants ont le droit, ou n'ont pas le
droit de faire. Le monde de l'enfant est �triqu�. La rue o� il joue est
dangereuse � cause des automobilistes, la maison qu'il habite est con�ue par un
architecte adulte, et qu'est-ce qu'il apprend? des le�ons prodigu�es par des
instituteurs. Les fronti�res de l'enfant sont beaucoup plus resserr�es que nous
ne le pensons. Dans le domaine de la sexualit� aussi, l'adulte a impos� les
limites. C'est lui qui d�termine ce qui est bien, ce qui est mal, ce qui est
"propre" et ce qui est "sale". On pourrait dire que c'est
l'opinion des adultes qui entoure de fronti�res la sexualit� des enfants. Et,
�videmment, cela est �galement valable pour les relations p�dophiles.
Jusqu'ici nous avons essay� d'expliquer ce
qu'est la p�dophilie, ce que font les p�dophiles, et comment les choses PEUVENT se passer dans une relation. Il
y a beaucoup de malentendus et de pr�jug�s dans ce domaine, qui d�terminent en
grande partie l'�volution des relations p�dophiles. Nous allons les regarder de
plus pr�s.
Il y a des gens qui pensent que tous les
p�dophiles sont des homosexuels. C'est faux. Il y a autant de p�dophiles
attir�s par les enfants de l'autre sexe que de p�dophiles attir�s par les
enfants de leur propre sexe.
�galement faux. Parmi les homosexuels, on
trouve la m�me proportion de p�dophiles que parmi les h�t�rosexuels.
Faux. Le p�dophile peut avoir n'importe quel
�ge, jeune ou vieux. Il n' y a pas que des hommes. Une femme aussi peut tomber
amoureuse d'un enfant. Mais comme on consid�re qu'il est normal qu'une femme
embrasse et caresse les enfants, elle n'attire pas l'attention...Et, au fait,
ils ne sont pas d�go�tants non plus.
Cela devient monotone: faux �galement. On
trouve des gens frustr�s partout, chez les homosexuels, les p�dophiles, les
h�t�rosexuels. Ce qui est vrai, c'est que par l'interdiction de vivre la vie sexuelle,
le p�dophile peut devenir frustr�. Il n'est pas frustr� parce qu'il est
p�dophile, mais il peut le devenir s'il ne peut pas s'exprimer en tant que
p�dophile.
Le fait d'�tre homosexuel ou h�t�rosexuel
n'a rien � voir avec une exp�rience p�dophile. Des recherches ont d�montr� que
parmi les personnes ayant eu des contacts p�dophiles, il y a autant
d'h�t�rosexuels que parmi ceux qui n'avaient pas eu ces contacts.
Beaucoup de gens pensent que le p�dophile
attire l'enfant dans un endroit tranquille en lui proposant des bonbons, des
glaces, des petits cadeaux. Cela arrive. Et quand cela arrive, c'est tout
simplement parce que le p�dophile, de par la l�gislation actuelle et la
condamnation sociale, est pratiquement forc� � agir ainsi.
A vrai dire on ne peut pas appeler cela un
malentendu. L'accusation est beaucoup trop grave. Rarement, tr�s rarement, il
arrive qu'un p�dophile en vienne � tuer. C'est en g�n�ral par peur de la
d�couverte. Cela n'est pas sp�cifique � la p�dophilie. D'autres crimes sont
commis par peur de la punition. Ainsi, un voleur PEUT devenir un assassin, et
un p�dophile PEUT tuer. Mais , encore une fois, cela est tr�s tr�s rare, et
provient de la peur de la d�couverte (et donc de la punition). Cela n'a rien �
voir en soi avec la p�dophilie.
Parmi les p�dophiles on trouve des gens de
toutes sortes. Quelques-uns ont l'air "bizarre", d'autres paraissent
parfaitement "normaux". Il est difficile de d�terminer exactement ce
qu'est �tre "bizarre" ou "normal. �tre diff�rent ne veut pas
dire �tre d�traqu�. Vouloir nuire � ses prochains, voil� une forme de
d�s�quilibre. En suivant ce raisonnement, on pourrait bien en arriver � la
conclusion que l'automobiliste "normal" qui conduit comme un
chauffard et se moque du nombre de victimes d'accidents de la route, est en
fait un d�traqu�. �tre diff�rent et penser diff�rent ne veut pas dire: �tre
d�traqu�.
Nous venons de parler de "nuire � ses
prochains". Beaucoup pensent que la relation p�dophile nuit � l'enfant.
Qu'en est-il? Il y a eu beaucoup de recherches dans ce domaine, en Hollande et dans
d'autres pays.. Dans aucune des recherches port�es � notre connaissance, il
n'appara�t qu'une relation p�dophile, EN
TANT QUE TELLE, peut nuire � l'enfant. Mais dans notre culture, il est rarement
question d'un contact isol�. Il y a beaucoup de choses autour, et l�, il peut y
avoir cons�quences d�sastreuses.
Premi�rement, il y a les ravages caus�s par
les parents de l'enfant. La d�couverte d'une relation engendre souvent panique
et col�re. De telles r�actions, engendr�es par l'ignorance, nuisent � l'enfant.
Ce que l'enfant �prouve comme de la tendresse, de l'amiti�, devient soudain
quelque chose de sale, d'interdit.
Il y a aussi les ravages faits par les
contacts avec la police et la justice. Heureusement, depuis quelques ann�es, il
y a chez les juges et les policiers, le d�but d'une approche plus nuanc�e de la
p�dophilie; mais un interrogatoire, l'attente dans un poste de police etc.
donnent n�anmoins � l'enfant l'id�e qu'il s'est pass� des choses
terribles.
Et le pire de tout, peut-�tre: quand
l'enfant a l'impression que par son t�moignage, son meilleur ami (ou sa
meilleure amie) va se retrouver en prison. Cette terrible pens�e peut parfois
accompagner l'enfant tout le long de sa vie. Ainsi, ce sont surtout les
r�actions de l'entourage qui nuisent � l'enfant. Mais, en m�me temps, ce monde
ext�rieur se nuit � lui-m�me. Les parents se nuisent � eux-m�mes en nuisant �
leur enfant
On peut aller jusqu'� dire qu'en tant que
soci�t� nous nous nuisons � nous-m�mes en r�agissant de cette fa�on � la
p�dophilie. C'est une r�action qui r�sulte des pr�jug�s, des malentendus; et
peut-�tre aussi de l'impuissance des adultes � assumer leur propre sexualit�,
qui recouvre aussi des sentiments p�dophiles.
La sexualit� devient une chose qui doit se
passer dans le noir, qui est sale et, � vrai dire interdite. C'est ainsi que
l'on forge des sentiments de culpabilit�: des sentiments de culpabilit� qui
n'ont rien � voir avec une faute r�elle. A cause de ces sentiments de fausse
culpabilit�, il devient souvent difficile de prendre conscience de ses
v�ritables fautes. L� aussi, il y a "d�g�ts". Beaucoup des ravages
dont nous venons de parler proviennent de l'ignorance, des pr�jug�s, des
malentendus. En ne s'attaquant pas � ces pr�jug�s, en n'essayant pas de se
d�barrasser des malentendus, l'on se rend complice, et l� aussi, on nuit � ses
prochains. Cela est surtout le cas de certains journaux, qui exploitent
quelques d�bordements, et qui en font des articles � sensation.
C'est aussi le cas de certaines personnes,
qui se laissent entra�ner par leurs propres �motions, sans r�fl�chir, en
pensant ainsi prot�ger les enfants. Il faut parler �galement du tort fait aux
p�dophiles. A cause de tous ces pr�jug�s et malentendus, ces personnes sont
condamn�es � ne pas �tre elles-m�mes, � ne pas �tre en paix avec leur
conscience Et quand elles vivent activement leur p�dophilie, la peur de la
d�couverte les habite continuellement. C'est pour cela qu'il y a parfois des
accidents (et ces accidents ne font que renforcer les pr�jug�s). Cercle
vicieux. L� aussi , l'on fait du tort.
Les rapports avec les enfants de moins de 16
ans constituent un d�lit. Dans notre code civil on appelle cela : attentat � la
pudeur etc. Ces derniers temps, il y a de plus en plus de personnes qui
voudraient se d�barrasser de ces lois, et surtout supprimer les limites d'�ge.
La l�gislation actuelle est faite pour prot�ger l'enfant, mais en fait l'enfant
n'est nullement prot�g�, et dans la pratique il y a plus de mal fait que de
bien. La meilleure fa�on de prot�ger l'enfant, c'est de lui apprendre � se
prot�ger lui-m�me.
La p�dophilie est assez fr�quente. En cas de
d�couverte, il faut que les parents r�agissent, que l'entourage r�agisse et que
(parfois) la police r�agisse. Ce serait merveilleux si cela pouvait se passer
d'une fa�on raisonnable, sans pr�jug�s. Mais c'est beaucoup demander. Ces
pr�jug�s sont souvent bien ancr�s en nous, on a grandi avec et ils ne se laissent
pas mettre de c�t�. On a affaire � des sentiments, et tout en sachant qu'ils ne
sont pas toujours justes, il est difficile de les surmonter. Mais on peut
essayer, et ces quelques conseils peuvent y aider.
A vrai dire, un seul conseil suffit: ne fais
jamais ce que tu n'as pas envie de faire. Les enfants sentent tr�s bien ce
qu'ils veulent par eux- m�mes, et ce qu'ils ne veulent pas. Cela n'a rien �
voir avec la d�sob�issance. On est d�sob�issant quand on fait une chose dont on
sait en soi-m�me que c'est mal (ou quand on ne fait pas une chose dont on sait
qu'elle est bonne). Quand l'enfant est honn�te avec ses parents, c'est-�-dire
quand il leur dit franchement ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas, quand il
leur dit ce qu'il veut et ce qu'il ne veut pas, � ce moment-l� les parents
savent o� ils en sont. Tu dois pouvoir leur dire ce que tu as fait, o� et avec
qui. Quand les parents savent cela, ils n'ont plus aucune raison de
s'inqui�ter.
Beaucoup de parents ont du mal � accepter la
p�dophilie. Il n'y a aucune raison de panique concernant l'amiti� d'un
p�dophile et d'un enfant, m�me si dans cette relation il est question de
rapports sexuels.
Ayez confiance en votre enfant. Si votre
fils, ou votre fille, ressent cette relation comme agr�able, ne d�truisez pas
ce lien. Votre enfant est parfaitement capable de savoir par lui-m�me ce qu'il
aime. Votre enfant ne comprendra pas la destruction d'un tel lien.
Cependant il s'agit de veiller � ce que
l'enfant ait un v�ritable chez-soi, un lieu o� il se sente en s�curit�, un
endroit o� il re�oive amour et chaleur. Cela �vitera que l'enfant aborde la
relation p�dophile � partir d'une situation de manque, tout simplement parce
qu'il a besoin de chaleur et de tendresse et qu'il accepte le rapport sexuel
par-dessus le march�.
Une �ducation sexuelle honn�te et claire est
d'une importance capitale pour l'enfant. L'ignorance rend curieux et
cachottier. L'enfant qui peut avoir des conversations honn�tes avec ses parents
aura tendance � les tenir au courant de ses faits et gestes plus facilement. Il
est bon qu'un enfant sache o� se trouvent ses parents, et il est bon que les
parents sachent o� se trouve leur enfant. C'est une bonne habitude � prendre
que de se raconter o� l'on va.
Les parents ne doivent pas s'inqui�ter des
manifestations de sexualit� chez leur enfant. Vraiment, les enfants ne
garderont aucune s�quelle de ces jeux sexuels auxquels ils participent sans
aucune contrainte.
Comme nous le disions pr�c�demment, le mal
vient presque toujours de l'entourage. Pr�servez votre enfant de cette
trag�die. Ne courez pas tout de suite � la police. Si votre enfant a un ami
p�dophile, essayez d'abord d'entrer en contact avec lui. Faite-lui savoir qu'il
n'est pas question de menaces, de police, et essayez de discuter avec l'ami(e)
de votre enfant. En cela, ne forcez pas votre nature: il n' y a pas de mal � ce
qu'il(elle) sache que vous avez des probl�mes � accepter sa relation avec votre
enfant.
Et si vraiment il s'est pass� des choses d�sagr�ables
(par ex. dans le cas d'une violence physique ou d'une contrainte caract�ris�e),
vous pourrez toujours vous adresser � la police. Dans ce cas, essayez de leur
expliquer calmement ce dont il s'agit. Limitez-vous aux faits et ne vous
laissez pas entra�ner par la peur de choses qui n'ont, probablement, pas eu
lieu. Bien que dans la police l'on rencontre de plus en plus de compr�hension
vis-�-vis de la p�dophilie, il s'agit de leur dire clairement que le plus grand
tort caus� � l'enfant vient souvent de l'entourage, dont la police.
Par ailleurs: en cas de probl�me, il est
toujours recommand� de s'adresser D'ABORD
� des personnes de confiance (et ce ne sont pas forc�ment des professionnels).
La p�dophilie est difficilement compr�hensible
pour beaucoup de gens. Ceux qui ne reconnaissent pas en eux-m�mes ces
sentiments, et ceux qui les ont refoul�s, n'y comprennent rien.
De nombreux p�dophiles ont du mal � accepter
leur propre nature, et � se d�couvrir. La peur de la punition, de la
condamnation sociale, de l'incompr�hension chez les autres et la difficult� de
s'assumer soi-m�me, am�nent des p�dophiles � se faire passer pour ce qu'ils ne
sont pas. Le comportement qui s'ensuit , bien que compr�hensible, ne fait que
renforcer les pr�jug�s d�j� existants. Essayez de parler de vos sentiments �
d'autres personnes. Cela peut tr�s bien se faire dans le cadre d'un groupe de
discussion p�dophile.
Essayez de discuter de mani�re franche et
honn�te avec les parents de votre petit(e) ami(e); � l'avance, si possible.
Parlez-leur de vos sentiments, de vos projets, dites-leur ce que vous comptez
faire. La plupart du temps cela ne sera pas possible, mais parfois on peut
trouver le courage, et contribuer ainsi � briser le cercle vicieux.
Ne paniquez pas en cas de d�couverte, m�me
si la police s'en m�le. Restez calme. Il existe beaucoup de possibilit�s
d'assistance juridique. Vous y avez droit. Si vous avez des d�m�l�s avec la
police, demandez TOUT DE SUITE
une assistance juridique. Vous devez savoir �galement que vous n'�tes pas
oblig� de r�pondre aux questions. Comme nous le disions, le fait de s'accepter
soi-m�me est tr�s important. Ce n'est que sur les bases d'une telle acceptation
qu'un p�dophile peut s'interroger sur la fa�on dont il veut vivre sa
p�dophilie.
Il arrive fr�quemment que des enfants
rentrent � la maison en disant: "Maman, 'y avait un sadique � la sortie de
l'�cole!".
"Sadique" et quelques autres
termes similaires sont des notions que les enfants utilisent souvent. Ils
trouvent cela passionnant, et en m�me temps cela leur fait un peu peur. Ils
s'excitent entre eux, et la rumeur s'amplifie. Les causes en sont, une fois de
plus, tous les malentendus, pr�jug�s et peurs qui accompagnent dans notre soci�t�
le ph�nom�ne p�dophile.
Ces rumeurs, ces peurs, peuvent engendrer
des situations tr�s p�nibles, et avoir des cons�quences d�sastreuses. Les
enseignants peuvent contribuer � "limiter les d�g�ts".
Quand de telles rumeurs circulent, on peut
en tirer profit et discuter ouvertement de la p�dophilie en classe. Il est
�galement bon d'essayer, dans les r�unions de parents et dans les contacts plus
personnels avec des parents, d'�vacuer un peu de cette peur qu'ont tant de
parents. Si vous d�couvrez qu'un enfant de votre classe a une relation
p�dophile, essayez d'abord d'entrer en contact avec l'adulte, et de discuter
avec lui, ou elle. Ne c�dez JAMAIS � la panique en courant chez les parents.
Vous feriez plus de mal que de bien.
Beaucoup d'entre vous ont certainement eu des difficult�s � lire cette brochure. La p�dophilie est un sujet charg� d'�motions, et la plupart des gens ont du mal � accepter la p�dophilie, ou la refusent enti�rement. Cela tient � notre regard sur les enfants, et � nos propres doutes concernant la sexualit�. Dans notre soci�t�, l'enfant est consid�r� comme une petite personne fragile et innocente, la propri�t� de ses parents, qui doivent le guider jusqu'� l'�ge adulte. Si nous consid�rions l'enfant comme une personne � part enti�re, avec ses propres sentiments, un cerveau, et qui ne soit la propri�t� de personne, alors peut-�tre la p�dophilie deviendrait moins mena�ante. La sexualit� est un sujet qu'on aborde difficilement dans notre soci�t�. Elle est (encore et toujours) entour�e de sentiments de culpabilit�, de peur, de cochonnerie. Tant que nous aurons des probl�mes avec notre propre sexualit�, nous ne pourrons pas r�fl�chir de fa�on honn�te et sans pr�jug�s sur la p�dophilie. Dans ce processus immense, cette brochure n'est qu'une goutte d'eau dans un oc�an. La modification des lois et, surtout, l'�vacuation de la peur panique sans fondement vis-�-vis de la p�dophilie, feront avancer bien plus vite ce processus
Si, en lisant cette brochure, vous vous �tes
mis en col�re, en vous disant:
Ne croyez-vous pas que vous vous posez un
peu trop en propri�taire de votre enfant? Ne pourriez-vous pas le consid�rer
comme un �tre ind�pendant, avec ses propres sentiments et d�sirs?
Pourquoi appelez-vous
"cochonnerie" ce qui peut �tre une expression de l'amour? Pensez-vous
que votre propre sexualit� est "cochonne" aussi?
N'avez-vous jamais envisag� que le p�dophile
aussi a des parents? N'avez -vous jamais r�fl�chi � ce qui se passerait si
votre fr�re ou s�ur, votre p�re ou votre m�re, votre mari ou votre femme, �tait
arr�t� pour attentat � la pudeur? Si tout le voisinage montrait du doigt cette
personne que vous aimez? Sachez que cela AUSSI
est une fa�on d'�tre m�l� � la p�dophilie.
�videmment, chacun d'entre vous veut que la
vie de ses enfants soit la plus s�re possible. Mais �tes-vous certain que votre
enfant n'est pas en s�curit� dans une relation p�dophile? Est-ce que vous vous
faites autant de mauvais sang pour l'ins�curit� de la circulation routi�re? Et
l'armement nucl�aire? Et les programmes de t�l�vision? Et les jouets guerriers,
inutiles et moralement condamnables? Dites-vous que la s�curit� � 100% n'existe
pas. D'ailleurs, il ne faudrait pas parler de s�curit� et d'ins�curit� quand il
n'est pas question de nuire. La meilleure s�curit�, vous l'obtiendrez en
informant vos enfants, et � les soutenir en toute s�curit�.
Vraiment ?
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
���
(Introduction � l'article dans le "Bulletin of the Atomic
Scientists":)
James W. Prescott est neuropsychologue et
gestionnaire dans le domaine de la sant� au National Institute of Child Health
and Human Development (Institut National de la Sant� des Enfants et du
D�veloppement Humain) � Bethesda au Maryland. Il est membre du comit� de
direction de l'American Humanist Association (Association humaniste
am�ricaine). Cet article est paru en parti dans le num�ro d'avril 1975 du The
Futurist, publi� par la World Future Society, et est r�imprim� ici avec
leur permission. Les opinions exprim�s ici sont uniquement celles de l'auteur
et ne refl�tent pas forc�ment celles du National Institutes of Health.
Un neuropsychologue affirme que la plus
grande menace � la paix mondiale origine des pays qui procurent l'environnement
le plus pauvre pour leur enfants et qui sont les plus r�pressifs en termes
d'affection sexuelle et d'expression de la sexualit� f�minine.
James W. Prescott
La violence humaine devient soudainement une
�pid�mie mondiale. A travers la plan�te la police fait face � des foules
belliqueuses, des terroristes perturbent les jeux olympiques, des pirates d�tournent
des avions et des bombes d�truisent des immeubles. Durant les r�centes ann�es,
les guerres ont fait rage au Moyen-Orient, � Chypre et dans le Sud Est
asiatique tandis que les combats de gu�rilla poursuivent leur escalades en
Irlande. Pendant ce temps le crime cro�t plus vite que l'inflation aux
�tats-Unis. Les chiffres du Federal Bureau of Investigation (F.B.I.) montre que
les crimes graves ont cr� de 16% dans les six premiers mois de 1974, une des
croissances les plus consid�rable depuis que le FBI tient des registres.
A moins que les causes de la violence ne
soit isol�es et trait�es, nous continuerons � vivre dans un monde de crainte et
d'appr�hension. H�las la violence est souvent offerte comme solution � la
violence. De nombreux membres des forces de l'ordre proposent une application
plus s�v�re des lois comme la meilleure fa�on de r�duire le crime. Emprisonner
les gens, notre fa�on habituelle de faire face au crime, ne r�soudra pas le
probl�me car les causes de la violence r�sident dans nos valeurs fondamentales
et dans la fa�on dont nous �duquons nos enfants. Les punitions corporelles, les
film et les �mission t�l�vis�es violentes enseignent � nos enfant que la
violence est une choses normale. Mais ces premi�res exp�riences de la vie ne
sont pas les seules ni m�me les principales racines de nos comportements
violents. De r�centes recherches soutiennent le point de vue selon lequel la
privation de plaisir physique serait l'�l�ment causal principal de l'expression
de la violence physique.
p. 11,
Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists
L'association commune entre sexualit� et violence
nous donne un indice pour la compr�hension de la violence physique en termes de
privation de plaisirs physique.
A la diff�rence de la violence, le plaisir
semble quelque chose dont on ne peut se rassasier. Les gens sont toujours � la
recherche de nouvelles formes de plaisirs encore que la plupart de nos
activit�s plaisantes paraissent �tre des substituts du plaisir sensoriel
tactile. Nous touchons par plaisir ou pour infliger de la douleur ou nous ne
touchons pas du tout. M�me si le plaisir physique et la violence physique
semblent � un univers de distance, il semble qu'existe une connexion subtile et
intime entre les deux. Jusqu'� ce que la relation entre le plaisir et la
violence soit comprise, la violence continuera son escalade.
Comme neuropsychologue du d�veloppement,
j'ai consacr� de nombreuses �tudes � la relation particuli�re entre la violence
et le plaisir. Je suis maintenant convaincu que la privation de plaisir
physique constitue la principale racine de la violence. Les exp�riences de laboratoire
avec des animaux montrent que le plaisir et la violence ont une relation
r�ciproque, autrement dit, la pr�sence de l'un inhibe celle de l'autre. Un
animal enrag� et violent se calmera soudainement si des �lectrodes stimulent
les centre du plaisir dans son cerveau. De la m�me fa�on, la stimulation des
centres de la violence du cerveau peut mettre fin au plaisir sensuel et au
comportement pacifique de l'animal. Quand les circuits du plaisirs sont
allum�s, ceux de la violence sont �teints, et vice versa. Parmi les �tre
humains, une personnalit� orient� vers le plaisir manifeste rarement un
comportement agressif tandis qu'une personnalit� violente n'est gu�re capable
d'exp�rimenter et de jouir d'activit�s sensuellement plaisantes. Si le plaisir
ou la violence s'accro�t, l'autre d�cro�t.
Carence sensorielle:
La relation r�ciproque entre le plaisir et
la violence est hautement significative parce que certaines exp�riences
sensorielles de la p�riode de d�veloppement de l'enfant vont cr�er des
pr�dispositions soit pour la poursuite de la violence ou celle du plaisir. Je
suis convaincu que de nombreux comportements sociaux et �motionna anormaux
r�sultant de ce que les psychologues appellent la carence
"socio-maternelle", c'est-�-dire le manque de soins tendres et
amoureux, sont caus�s par un unique type de carence sensorielle, la carence
somatosensorielle. Deriv� du terme grec pour "corps", ce mot renvoie
� la sensation de toucher et aux mouvements corporels par opposition aux
perceptions lumineuses, � l'ou�e, au go�t et au toucher. Je crois que la
carence en toucher, contacts et mouvements corporels sont les causes
fondamentales des d�sordres �motionnels incluant les comportements d�pressifs
et autistiques, l'hyperactivit�, les aberration sexuelles, les abus de drogue,
la violence et l'agression.
La violence face � la sexualit� et l'usage de la sexualit�
pour la violence, particuli�rement contre les femmes, a des racines profondes
dans la tradition biblique.
|
Ces id�es sont principalement inspir�es des �tudes
de laboratoires de Harry F. et Margaret K. Harlow de l'University of Wisconsin.
Les Harlow et leurs �tudiants ont s�par� des b�b� singes de leur m�re � la
naissance. Les singes ont chacun �t� �lev� dans une cage unique o� ils
pouvaient d�velopper des relations sociales avec les autres � travers la vue,
l'audition et l'odorat mais pas le toucher et le mouvement. Cette �tudes et
d'autres indiquent que c'est la carence en contacts corporels et en mouvements
du corps, et non pas la privation des autres sens, qui produit la large vari�t�
des comportements �motionnels anormaux chez ces animaux �lev�s dans
l'isolement. Il est bien connu que les b�b�s et enfants humains hospitalis�s ou
institutionnalis�s pendant une longue p�riode avec peu de contact physique
tactile et de pr�hension d�veloppent des comportements anormaux presque
identiques tels le bercement ou le secouement de la t�te convulsif.
Bien que la violence pathologique observ�e
chez les singes �lev�s dans l'isolement est bien document�e, le lien entre la
carence somatosensorielle pr�coce et la violence physique chez les humain est
moins clairement �tabli. De nombreuses �tudes des d�linquants juv�niles et des
criminels adultes mettent en �vidence un arri�re-plan familial de m�nages
bris�s et/ou de parents abusifs. Ces �tudes ont rarement mentionn� et encore
moins mesur� le degr� de carence en affection physique, bien qu'on puisse
souvent en d�duire l'existence de la n�gligence ou de l'abus et en supposer
l'ampleur selon le degr� de gravit�. Une �tude qui fait exception � cet �gard
est celle de Brandt F. Steele et C. B. Pollock, psychiatres � l'University of
Colorado, qui ont �tudi� l'abus d'enfant chez trois g�n�rations de familles o�
l'on a abus� physiquement des enfants. Ils ont d�couverts que les parents qui
abusent sexuellement de leurs enfant ont syst�matiquement subi une carence en
affection physique durant leur enfance et que leur vie sexuelle adulte �tait
extr�mement limit�e. Steele remarque que les femmes qui ont abus� de leurs
enfants n'ont, presque sans exception, jamais connu l'orgasme. Le degr� de
plaisir sexuel exp�riment� par les hommes ayant abus� de leurs enfants n'a pas
�t� �tabli mais leur vie sexuelle �tait en g�n�ral insatisfaisante. L'hypoth�se
selon laquelle le plaisir physique inhibe actiment la violence physique peut
�tre �valu�e � la lumi�re de notre propre exp�rience sexuelle. Combien d'entre
nous ont envie d'agresser quelqu'un apr�s l'orgasme?
La contribution de Freud quant � l'effet des
exp�riences de la premi�re enfance sur les comportements adultes et quant aux
cons�quences de la r�pression sexuelle est bien connue. H�las le temps et
l'espace ne nous permette pas ici de discuter des diff�rences qui l'opposent �
Wilhelm Reich dans son Au del� du principe du plaisir.
L'hypoth�se selon laquelle la carence en
plaisir physique provoque la violence n�cessite d'�tre �valu�e de fa�on
formelle et syst�matique Nous pouvons mettre � l'�preuve cette hypoth�se en
examinant les �tudes transculturelles sur l'�ducation des enfants, les comportements
sexuels et la violence physique. Nous anticipons que les soci�t�s humaines qui
procurent � leurs enfants une grande quantit� d'affections physiques
p. 12,
Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists
(toucher, tenir, transporter) seront moins
violentes physiquement que celle qui donnent peu d'affection aux b�b�s et aux
enfants. Semblablement, les soci�t�s humaines qui tol�rent et acceptent la sexualit�
pr�maritale et extramaritale devraient �tre moins violence que celle qui
prohibent ces comportement.
Les anthropologues culturels ont pr�cis�ment
rassembl� les donn�es requises pour tester notre hypoth�se sur les soci�t�s
humains et leurs travaux sont commod�ment r�unis dans A Cross-Cultural
Summary de R. B. Textor. L'ouvrage de Textor est fondamentalement un outil
de recherche pour l'analyse statistique interculturelle. Les donn�es nous
procurent 20,000 corr�lations statistiquement significatives tir�es de 400
�chantillons de culture des soci�t�s primitives.
N�gligence de l'enfant/Violence Adulte
Certaines variables qui refl�tent
l'affection physique (tel que les caresses et les jeux avec les enfants) ont �t�
associ�es avec d'autres variables qui mesurent le crime et la violence (la
fr�quence du vol, du meurtre, etc.). Les corr�lations sont expos�es dans des
tableaux. Les indications en pourcentage refl�tent la corr�lation entre les
variables, par exemple, forte affection/basse violence plus base
affection/forte violence. Cette proc�dure est suivie pour tous les tableaux.
Les soci�t�s class�es haut ou faible dans
l'�chelle d'affection physique chez l'enfant (Infant Physical Affection Scale)
ont �t� examin� quant � leur degr� de violence. Les r�sultats indiquent
clairement que ces soci�t�s qui procurent � leurs enfants la plus grande
quantit� d'affection physique sont caract�ris�es par le faible vol, la faible
douleur physique, la faible activit� religieuse, et une absence ou une quantit�
n�gligeable de meurtre, de mutilation et de torture des ennemis. Ces donn�es
confirment nettement que la carence en plaisir corporel durant l'enfance est
significativement li�e � un niveau �lev� de crime et de violence.
Certaines soci�t�s punissent physiquement
leurs enfants pour leur inculquer la disciplines et d'autres non. Nous pouvons
d�terminer si cette punition refl�te une pr�occupation pour le bien-�tre de
l'enfant en la corr�lant avec les soins donn�es aux enfants. Les r�sultats
montrent que ces soci�t�s qui infligent de la douleur et de l'inconfort � leurs
enfants tendent aussi � les n�gliger. Ces r�sultats n'offrent pas d'appui � la
prescription tir�e des Proverbes (24: 13-14): Ne m�nage pas � l'enfant la
correction, si tu le frappes de la baguette il n'en mourra pas! Frappe-le de la
baguette et tu d�livreras son �me du sh�ol.
La violence physique adulte a �t� pr�vue
dans 36 des 49 cultures (73%) avec la variable d'affection physique pour
l'enfant. La probabilit� qu'une corr�lation de 73% soit due au hasard n'est que
4 pour 1000.
Des 49 soci�t�s �tudi�es, 13 cultures
semblent faire exception � la th�orie selon laquelle un manque de plaisir
somatosensoriels rend les gens violent physiquement . Nous supposions que les
cultures qui attribuent une grande valeur au plaisir physique durant l'enfance
maintiendraient ces valeurs � l'�ge adulte. Il n'en est pas ainsi. Les
pratiques d'�ducation des enfants ne permettent pas de pr�dire les mod�les de
comportements sexuels ult�rieurs. Cette surprise initiale et apparente
contradiction, devient cependant avantageuse pour des pr�dictions
suppl�mentaires.
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Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists
Deux variables fortement corr�l�es ne sont pas
aussi utiles pour pr�dire une troisi�me variable que deux variables qui ne sont
pas corr�l�es. Cons�quemment, il est significatif de se pencher sur les
comportements sexuels des 13 cultures dont la violence adulte n'�tait pas
pr�visible � partir du plaisir physique durant l'enfance.
Apparemment, les coutumes qui influencent et
d�terminent l'affection sexuelle sont diff�rentes de celles qui soulignent
l'expression de l'affection physique � l'�gard des enfants.
Si l'on compare les six soci�t�s caract�ris�es
� la fois par une forte affection pour l'enfant et pour une forte violence en
termes de comportements sexuels pr�maritaux, on d�couvre avec surprise que cinq
d'entre elles font preuve de r�pressions de la sexualit� pr�marital, valorisant
hautement la virginit�. Il semble que les effets b�n�fiques de l'affection
physique peuvent �tre annul�es par la r�pression ult�rieur du plaisir physique
(la sexualit� pr�maritale).
Les sept soci�t�s caract�ris�es par une
faible affection physique pour l'enfant et une faible violence physique adulte
s'av�rent toutes caract�ris�es par des comportements sexuels pr�maritaux
permissifs. Ainsi l'effet n�gatif de la carence en affection physique pour
l'enfant semble compens� plus tard dans la vie par des exp�riences sexuelles
plaisantes durant l'adolescence. Ces d�couvertes ont men� � une r�vision de la
th�orie de la carence en plaisir somatosensorielle, en faisant une th�orie
d�veloppementale � deux �chelons permettant ainsi d'expliquer la violence
physique dans 48 des 49 cultures.
En bref, la violence peut �merger d'une
carence en plaisir somatosensoriel soit durant l'enfance soit durant
l'adolescence. L'unique exception v�ritable dans cet �chantillon de cultures
semble �tre la tribu de chasseur de t�te Jivaro d'Am�rique du Sud. Visiblement
des �tudes plus d�taill�s sont n�cessaires pour y d�terminer les causes de la
violence. Le syst�me de croyances Jivaro peut jouer un r�le important, car
comme le signale l'anthropologue Michael Harner dans Jivaro Souls , ces indiens ont
une "[...] croyance profonde en ce que le meurtre m�ne � l'acquisition des
�mes qui procurent une puissance surnaturelle et conf�rent l'immunit� vis-�-vis
la mort".
La solidit� de la th�orie de la violence en
terme de carence en deux �chelons est plus clairement illustr�e si l'on
contraste les soci�t�s faisant preuve de haut niveau d'affection physiques durant
l'enfance et l'adolescence avec celles qui s'av�rent faible en affection
physique pour ces deux p�riodes. Les statistiques associ�es � cette relation
sont extraordinaires. La probabilit� qu'une soci�t� soit violente si elle fait
preuve d'affection physique � l'�gard de ces enfants est de 2%. Il n'y a qu'une
chance sur 125 000 pour que cela soit d� au hasard. Je ne connais aucun autre
variable d�velopementale qui poss�de un tel pouvoir pr�dictif. Nous sommes donc
en terrain s�r: les soci�t�s affectueuses ont tr�s peu de chance d'�tre
violentes.
Ainsi si l'affection physique et le plaisir
durant l'adolescence et durant l'enfance sont corr�l�s avec des mesures de
violences, on trouve clairement une relation significative entre la punition de
la sexualit� pr�maritale et diverses mesures du crime et de la violence. Comme
le montre le tableau 4 des agr�gats additionnels de relations associent la
punition et la r�pression de la sexualit� pr�maritale � des communaut�s de
grande taille, � une haute complexit� sociale, � la stratification en classes,
� de petite familles �tendues, � l'achat de femmes, la pratique de l'esclave et
� un dieu sup�rieur qui guide la morale. La relation entre les petites familles
�tendues et les attitudes oppos�es � la sexualit� pr�maritale m�rite qu'on s'y
attarde car cela sugg�re que les cultures occidentales � familles nucl�aires
peuvent constituer un facteur contributif � nos attitudes r�pressives � l'�gard
de l'expression sexuelle.
p. 14,
November 1975, Bulletin of the Atomic Scientists
On peut sugg�rer le m�me ph�nom�ne quant �
la taille des communaut�s, la complexit� sociale et la stratification en
classes.
De fa�on peu �tonnante, si de grands besoin
pour soi sont combin�s avec une carence en affection physique, il en r�sulte un
auto int�r�t et de hauts niveaux de narcissisme. Semblablement, les danses
exhibitionnistes et la pornographie peuvent �tre interpr�t�es comme un
substitut de la forme normale d'expression sexuelle. Certains pays
particuli�rement r�pressifs quant � la sexualit� f�minines poss�dent des formes
�labor�es d'art pornographiques.
Sexualit� extramaritale
J'ai aussi examin� l'influence des tabous
quant � la sexualit� pr�maritale sur le crime et la violence. Les donn�es
montrent clairement que des attitudes punitives-r�pressives sont li�es � la
violence physique, au crime contre la personne et aux pratiques d'esclavage.
Les soci�t�s valorisant la monogamie mettent l'emphase sur la gloire militaire
et v�n�rent des dieux agressifs.
Ces donn�es inter-culturelles supportent les
opinions des psychologues et des sociologues qui estiment que les besoins
sexuels et psychologiques qui ne peuvent �tre satisfaits par le mariage
devraient l'�tre autrement, sans pour autant d�truire la primaut� de la
relation conjugale.
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Ces d�couvertes supportent massivement la
th�se selon laquelle les carences en plaisir corporel tout au long de la vie,
mais particuli�rement durant les p�riode formatrice de l'enfance et de l'adolescence,
sont li�es tr�s intimement � la quantit� de guerre et de violence
interpersonnelle. Ces perspectives doivent aussi �tre appliqu�es aux soci�t�s
industrielles et post-industrielles complexes.
Le crime et la violence physique ont
substantiellement augment� durant les derni�res d�cennies aux �tats-Unis. Selon
les statiques du FBI, les meurtres et les agressions graves ont augment� de 53%
entre 1967 et 1972, tandis que les viols ont augment� de 70%.
Ces chiffres nous am�ne � nous interroger de
nouveau sur la relation particuli�re qu'entretient la sexualit� et la violence.
Au del� des statistiques sur le viol, d'autres �l�ments signalent une
pr�f�rence pour la violence sexuelle plut�t que le plaisir sexuel aux
�tats-Unis. Cela se refl�te dans notre acception de films qui int�grent la
violence et le viol mais dans notre rejet de film sexuellement explicite qui ne
montre que le plaisir. Des cin�mas de quartier montrent des films aussi violent
sexuellement que Straw Dogs, Clockwork Orange (Orange M�canique), et The
Klansman, mais bannissent des films qui exposent le plaisir sexuels (Deep
Throat, The Devil in Miss Jones). Les tentatives de fermeture de salon de
massage sont une autre illustration de nos attitudes hostiles au plaisir.
Apparemment le sexe m�l� au plaisir est immoral et inacceptable tandis que le
sexe m�l� avec la violence et la douleur est moral et acceptable.
Un questionnaire que j'ai d�velopp� pour
explorer cette question a �t� administr� � 96 �tudiants du coll�ge dont l'�ge
moyen �tait 19 ans. Les r�sultats de ces questionnaire appuie la liaison entre
le rejet du plaisir physique (et particuli�rement de la sexualit� pr�maritale
et extramaritale) et l'expression de la violence. Les r�pondants qui rejettent
l'avortement, la sexualit� pr�maritale responsable et la nudit� au sein de la
famille sont plus port�s � approuver des punitions physiques dure pour les
enfants et � croire que la douleur aide � construire un fort caract�re moral.
Ces r�pondants �taient port�s � trouver l'alcool et les drogues plus
satisfaisantes que la sexualit�. Les r�sultats tir�s du questionnaires fournit
un fort soutient statistique � la relation invers�e entre le plaisir et la
violence. Si la violence est forte, le plaisir est faible, et inversement, si
le plaisir est �lev� la violence est faible. Le questionnaire supporte la
th�orie selon laquelle la relation entre le plaisir et la violence mise � jour
dans les culture primitives s'av�re �galement dans les soci�t�s
industrialis�es.
Une autre fa�on d'envisager la relation
r�ciproque entre le plaisir et la violence est par l'examen des attitudes d'une
soci�t� face aux drogues. Une soci�t� supporte des comportements congruents
avec ses valeurs. La soci�t� am�ricaine est une soci�t� comp�titive, agressive
et violente. Cons�quemment elle soutient des drogues qui encouragent
p. 15,
Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists
les comportements comp�titifs, agressifs et violent
et s'opposent aux drogues qui neutralisent de tels comportements. L'alcool est
bien connu pour faciliter l'expression de la violence et bien qu'ils cr�� la
d�pendance et puissent �tre tr�s dommageable pour les usagers chroniques, il
est acceptable dans la soci�t� am�ricaine. La marijuana d'autre part, est une
substance qui accro�t le plaisir li� au toucher et inhibe activement les
comportements agressifs. Je crois que c'est pour ces raisons que la marijuana
est rejet� par la soci�t� am�ricaines. Semblablement l'h�ro�ne est rejet�e
tandis que la m�thadone (une drogue intoxicante sans le plaisir) est accept�e.
Les donn�es de mon questionnaire appuie
cette perspective. Comme le montre tableau 5 , une tr�s
haute corr�lations entre l'usage de l'alcool et la punition parentale indique
que les gens qui re�oivent peu d'affection de la part de leur m�re et ont eu
des p�res qui leur administraient des punitions physiques sont port�s � devenir
agressifs et hostiles lorsqu'ils boivent de l'alcool. Ces personnes trouve
l'alcool plus satisfaisant que la sexualit�. La relation est encore plus forte
entre les punitions corporelles et l'usage des drogues. Les r�pondants qui ont
subi des punitions corporelles durant leur enfance font preuve d'hostilit� et
d'agression induite par l'alcool et ont tendance � trouver l'alcool et les
autres drogues plus satisfaisantes que la sexualit�. Le questionnaire r�v�le
�galement de forte corr�lations entre la r�pression sexuelle et l'usage de
drogue. Ceux qui d�crivent la sexualit� pr�maritale comme "non
agr�able" ont tendance � devenir agressif sous l'influence de l'alcool et
� pr�f�rer les drogues dont l'alcool aux plaisirs sexuels. Cela constitue une preuve
suppl�mentaire � l'appui de l'hypoth�se selon laquelle les plaisirs des drogues
sont des substituts aux plaisirs somatosensoriels.
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Racines religieuses
Les origines de la relation r�ciproque
fondamentale entre la violence physique et le plaisir physique peuvent �tre
retrac�es dans le dualisme philosophique et � la th�ologie de la relation entre
le corps et l'�me. Dans la pens�e philosophique occidentale, l'homme n'est pas
un �tre unitaire car il est divis� en deux partie: le corps et l'�me. La
conception philosophique des Grecs quant � la relation entre le corps et l'�me
�tait fort diff�rente du concept jud�o-chr�tien qui positionne un �tat de
guerre entre les deux entit�s. Dans la pens�e jud�o-chr�tienne, l'objectif de
la vie humaine est la salvation de l'�me et le corps est con�u comme un
obstacle dans la poursuite de cet objectif. Cons�quemment le corps doit �tre
puni et contraint. Ainsi dans les mots de St-Paul: "Car si vous vivez
selon la chair vous mourrez. Mais si par l'Esprit vous faites mourir les
oeuvres du corps, vous vivrez". " (Romains 8:13). St-Paul soutient
clairement que la privation en plaisir somatosensoriel et la pratique de
stimulation douloureuse
p. 16,
Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists
sont des pr� requis essentiels pour gagner
son ciel.
"J'en viens maintenant � ce que vous
m'avez �crit. Il est bon pour l'homme de s'abstenir de la femme" (1
Corinthiens, 7:1).
Aristote ne concevait pas un �tat de guerre
entre le corps et l'esprit mais plut�t envisageait une relation compl�mentaire
dans laquelle l'�tat de l'�me ou de l'esprit �tait d�pendant de l'�tat du
corps. En fait, il affirmait que "le soin du corps doit pr�c�der celui de
l'�me." (Politique)
Aristote percevait aussi la relation
r�ciproque entre le plaisir et la douleur et reconnaissait qu'une recherche
compulsive du plaisir corporel origine d'un �tat d'inconfort et de douleur
corporels:
Or, l'exc�s est possible dans les biens
corporels: et le vice sous ce rapport consiste pr�cis�ment � rechercher
l'exc�s, et non pas � ne rechercher que les plaisirs absolument n�cessaires. Tous
les hommes sans exception trouvent une certaines jouissance � manger les
aliments, � boire les vins, � se livrer aux actes de l'amour; mais tous ne
prennent pas ces plaisirs dans la mesure qu'il faut . Pour la douleur, c'est
tout le contraire. On n'en fuit pas seulement l'exc�s; on la fuit absolument;
car la douleur n'est pas le contraire de l'exc�s du plaisir [...].
C'est la ce qui doit nous engager �
rechercher comment il se fait que les plaisirs du corps semblent plus
d�sirables que tous les autres. Le premier motif, c'est que le propre du
plaisir c'est de bannir la douleur, et que souvent dans la douleur excessive on
recherche, comme moyen de gu�rison, un plaisir non moins excessif qui n'est en
g�n�ral que celui du corps, Mais ce sont l� des rem�des violents, et ce qui
fait qu'on les prend avec tant d'ardeur, c'est qu'ils semblent de nature �
effacer les �motions contraires (�thique � Nicomaque, livre 7, chapitre 8)
Il est clair que le monde jouit d'un temps limit� pour changer
sa mani�re de r�soudre les conflits violemment. Nous faisons face �
l'incertitude quant � savoir si nous avons le temps de d�faire les dommages
effectu�s par d'innombrable g�n�rations pr�c�dentes et combien de g�n�rations
futures il faudra pour transformer notre psychobiologie tourn�e vers la
violence en une autre plus pacifique.
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Dans son analyse du plus grand bien,
Aristote fut fort explicite:
"Mais il est tr�s possible qu'il y ait
un certain plaisir qui soit le bien supr�me, quoiqu'il y ait plus d'un plaisir
qui soit mauvais, de m�me qu'il peut y avoir aussi une science qui soit la
science supr�me." (�thique � Nicomaque, livre 7, chapitre XII)
La conception jud�o-chr�tienne du plaisir
corporel est manifestement oppos�e � celle que d�fini Aristote, en particulier
quant au soulagement de la douleur et l'inconfort par le plaisir
somato-sensoriel. Le refus du plaisir somatosensoriel dans la doctrine de Paul
a conduit � des sources alternatives de soulagement � travers des
stimulation douloureuse tel que l'auto-flagellation, l'auto-mutilation, la
violence physique contre les autres et dans l'usage de drogues sans plaisirs
sensoriels.
Des �tudes exp�rimentales sur les animaux
illustrent bien ce ph�nom�ne. On constate par exemple que des animaux priv�s de
stimulations somatosensorielles se lancent dans la mutilation de leur propre
corps. Des animaux priv�s de contacts tactiles en bas �ge vont d�velopper une
perception de la douleur affaiblie et une aversion face aux contacts tactiles
par autrui. Cela inhibe donc la possibilit� d'exp�rimenter une th�rapie fond�e
sur le plaisir corporel. Dans ces conditions, ils ont peu d'alternatives hors
de la violence physique alors que le contact orient� vers la douleur est
facilit� par leur capacit� affaiblie � ressentir la douleur. Donc la violence
et la douleur physique deviennent des th�rapies privil�gi�s pour ceux qui ont
�t� priv�s de plaisir physique.
Ces consid�ration soul�vent la question de
comment la philosophie et la th�ologie chr�tienne qui ont tant emprunt� �
Aristote ont r�ussi � �viter si non carr�ment � rejeter les enseignements
d'Aristote concernant la moralit� du plaisir. Les racines de cette question
peuvent �tre d�couvertes tout au long du Vieux Testament et ce d�s le d�but
avec le compte-rendu dans la Gen�se de l'expulsion d'Adam et �ve du jardin du
paradis. La premi�re cons�quence de la faute d'�ve est que la nudit� devint
honteuse. L� pourrait bien �tre la d�but de l'hostilit� des hommes envers les
femmes et le l'�quation de la femme avec le d�mon, particuli�rement les d�mons
du corps. La chose est illustr�e de fa�on frappante par Zacharie (5:5-8) dans
la description d'un ange:
"C'est un boisseau qui s'avance."
Il ajouta "C'est leur iniquit�, dans tous le pays" Et voici qu'un
disque de plomb se souleva; et je vis une Femme install�e � l'int�rieur du
boisseau. Il dit "C'est la malice" Et il la repoussa � l'int�rieur du
boisseau et jeta sur l'orifice la masse de plomb."
La violence � l'�gard de la sexualit� et
l'usage de la sexualit� pour la violence, particuli�rement contre les femmes, a
des racines profondes dans la tradition biblique et est exprim�e tr�s t�t. Le
dix-neuvi�me chapitre de la Gen�se (19:1-11), dans le premier livre du Vieux
Testament soutient que le viol d'une femme est acceptable mais que le viol d'un
homme est une chose perverse. Le chapitre sur la destruction de Sodome
et Gomorre d�crit l'hospitalit� offerte par Lot � deux voyageurs (en fait deux
anges).
Ils n'�taient pas encore couch�s que la
maison fut cern�e par les hommes de la ville, les gens de Sodome, depuis les
jeunes jusqu'aux vieux, tout le peuple sans exception. Ils appel�rent Lot et
lui dirent: "O� sont les hommes qui sont venus chez toi cette nuit? Am�ne
les nous pour que nous en abusions. Lot sortit vers eux � l'entr�e et, ayant
ferm� la porte derri�re lui, il dit " Je vous en supplie mes fr�res, ne
commettez pas le mal! �coutez: j'ai deux filles qui sont encore vierges, je
vais vous les amener: faites leur ce qui vous semble bon, mais, pour ces
hommes, ne leur faites rien puisqu'ils sont entr�s sous l'ombre de mon
toit" Mais ils r�pondirent: "Ote-toi de l�! En voil� un qui est venu
en �tranger, et il fait le juge! Eh bien, nous te ferons plus de mal qu'� eux!
Ils le press�rent fort, lui Lot, et s'approch�rent pour briser la porte. Mais
les hommes sortirent le bras, firent rentrer Lot aupr�s d'eux dans la
p. 17,
Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists
maison et referm�rent la porte. Quant aux hommes
qui �taient � l'entr�e de la maisons, ils les frapp�rent de berlue du plus
petit jusqu'au plus grand, et ils n'arrivaient pas � trouver l'ouverture.
L'histoire se poursuit comme les deux anges
escortent Lot et sa famille vers un refuge puis d�truisent Sodome et Gomorre en
raison de leur grand �tat de p�ch�. Pas un mot de reproche n'est �mis envers
Lot pour sa volont� d'offrir ses deux filles vierges pour qu'elles soient
soumises � un viol collectif. Le m�me r�cit est r�p�t� dans les livres d' Ezekiel
(23:1-49) et de Juges (19:22-30).
�tant donn� une telle tradition, il est
compr�hensible que durant l'Inquisition seules les femmes �taient accus�es de
forniquer avec le diable et mises � mort pour ce crime de plaisir. Quel homme
est mort pour avoir couch� avec Satan? Cette tradition est maintenue dans les
cultures modernes o� les femmes sont punies pour la prostitution mais pas leurs
clients masculins.
L'acceptation historique et biblique du viol
� travers les �ges a secou� la psych� des hommes �lev�s dans cette tradition.
Cela est bien illustr� par le r�cit de Michael McCusker, un sergent de la
marine am�ricaine qui t�moigne d'un viol collectif au Vietnam. McCusker raconte
comment une escouade arm�e de neuf hommes envahit un petit village.
Ils devaient trouver ce qu'ils appelaient
une pute Viet Cong. Ils entr�rent dans le village et plut�t que de la capturer,
ils la viol�rent. Chaque homme la viola. Un d'entre eux me dit plus tard que
c'�tait la premi�re fois qu'il faisait l'amour � une femme en conservant ses
bottes. Celui qui dirigeait l'escouade �tait en fait un simple soldat. Le chef
�tait sergent mais il semblait impuissant et il a laiss� le soldat mener son
groupe. Plus tard le sergent affirma qu'il n'avait pas particip� au raid car
c'�tait contre sa morale. Alors plut�t que de commander � l'escouade de ne pas
le faire car ils ne l'�couteraient pas de toute fa�on, le sergent est all� de
l'autre c�t� du village et s'est assis � regarder le sol fixement en se sentant
lamentable. Mais quoi qu'il en soit, ils viol�rent la fille et le dernier � lui
faire l'amour lui tira une balle dans la t�te.
Qu'est ce qui dans la psych� am�ricaine
permet l'usage du mot amour pour d�crire le viol. Un acte d'amour achev�
sur une balle dans la t�te!
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Pourquoi les hommes violent-ils les femmes?
Les chercheurs rapportent que la plupart des violeurs ont un arri�re-plan
familial de punition et d'hostilit� paternelle et de manque d'affection
maternelle. J'interpr�te le viol comme une revanche de l'homme contre la femme
en raison des manques initiaux d'affection physique. Un homme peut exprimer son
hostilit� � l'�gard de la m�re pour ne pas lui avoir donn� d'attention physique
en violant d'autres femmes.
Une autre explication peut �tre que
l'accroissement de la libert� sexuelle des femmes est mena�ante pour la
position de pouvoir et de dominance masculine souvent maintenue � travers
l'agression sexuelle. Le viol d�truit le plaisir sensuel chez la femme et
accro�t le plaisir sadique chez l'homme. A travers le viol l'homme s'interdit
le plaisir sensuel de la femme qui menace sa position de pouvoir et de
dominance.
Selon moi le viol a son origine dans
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p. 18, Novembre 1975, Bulletin of the Atomic
Scientists
la carence en affection physique dans la relation parent-enfant et dans les
relations sexuelles adultes ainsi que que un syst�me de valeur religieuse qui
consid�re la douleur et les carences corporelle morale et immorale le plaisir
physique. Le viol maintient la dominance de l'homme sur la femme et soutient la
perp�tuation des valeurs patriarcales dans notre soci�t�.
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Il est �vident que le monde dispose de peu de
temps pour modifier son habitude r�soudre les conflits par la violence. Il est
incertain si nous avons encore le temps de d�faire les dommages accomplis par
d'innombrables g�n�rations pr�c�dentes et nous ignorons aussi combien de
g�n�rations future il faudra pour transformer notre psychobiologie de la
violence en une psychobiologie de paix.
Si nous admettons la th�orie selon laquelle
le manque de plaisir somatosensoriel est la cause principale de la violence
nous pouvons travailler � promouvoir le plaisir et encourager les relations
interpersonnelles affectueuses comme une fa�on de combattre l'agression. Nous
devons donner la plus haute priorit� au plaisir du corps dans un contexte de
relations humaines significatives. Un tel plaisir du corps est tr�s diff�rente
de la promiscuit� qui refl�te une inhabilit� fondamentale � exp�rimenter le
plaisir. Si une relation sexuelle n'est pas agr�able, une personne cherche un
autre partenaire. Un �chec continuel � parvenir � la satisfaction sexuelle m�ne
� une recherche continuelle de nouveaux partenaires, en d'autres mots � un
comportement l�ger. Le plaisir physique affectueusement partag�, d'autre part,
tend � stabiliser une relation et � �liminer cette recherche. Cependant, une
vari�t� d'exp�riences sexuelles semble normale dans les cultures qui en
permettent l'expression et cela peut �tre important pour optimiser le plaisir
et l'affection dans les relations sexuelles.
Les donn�es disponibles indiquent clairement
que les valeurs rigides de la monogamie, de la chastet� et de la virginit�
contribuent � produire la violence physique. Le d�ni de la sexualit� f�minine
doit c�der la place � une acception et un respect � son �gard et les hommes
doivent partager avec les femme la responsabilit� du don d'affection et de soin
envers les enfants. Comme le p�re assume un r�le plus �gal avec la m�re dans
l'�ducation des enfants et devient plus affectueux envers ses enfants, des
changements doivent s'ensuivre dans notre syst�me socio-�conomique. Une
structure de travail qui tend � s�parer un ou l'autre parent de la famille par
soit le voyage, les r�unions interminables ou le temps suppl�mentaire affaiblit
la relation entre les parentes et l'enfant et nuit � la stabilit� familiale. Le
d�veloppement d'une soci�t� pacifique passe par une emphase plus grande sur les
relation humaines.
La planification des naissances est
n�cessaire. Les enfants doivent �tre correctement espac�s pour que chacun
puisse recevoir des soins et une affection optimaux. Les besoins de l'enfant
devraient �tre imm�diatement satisfait. Les donn�es interculturelles n'appuient
pas l'id�e qu'une telle pratique va g�ter l'enfant. Contrairement � ce
qu'affirme le docteur Benjamin Spock, il est nuisible pour un enfant de
s'endormir en pleurant. En ne comblant pas imm�diatement les besoins de
l'enfant. nous enseignons � nos enfants la m�fiance � un niveau �motionnel
fondamental mais nous �tablissons aussi
p. 19,
Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists
un pattern de n�gligence qui peut nuire � la
sant� sociale et �motionnelle de l'enfant. Le rejet de l'allaitement naturel en
faveur du biberon et la s�paration du nouveau n� de sa m�re dans nos h�pitaux modernes
sont autant d'exemples de modes d'�ducation nuisible.
Environ 25% des mariages aux �tats-Unis se
terminent par un divorce et un plus grand pourcentage encore ont v�cu
l'adult�re. Cela laisse supposer que quelque chose est fondamentalement faux
dans la conception traditionnelle de la monogamie universelle. Le besoin de
cr�er un syst�me de mariages pluralistes devient plus �vident si on l'examine �
la lumi�re des donn�es interculturelles concernant les carences physiques, la
violence et la guerre associ�es avec la monogamie. Des exp�rimentations
actuelles de vie en commune et de mariage groupal chercher � combler les
besoins fondamentaux qui demeurent insatisfaits dans l'isolement du mariage
nucl�aire. Il nous faut consid�rer s�rieusement de nouvelles options, telles
que des familles �tendues comprenant deux ou trois couples qui partagent des
valeurs et un style de vie. En partageant les b�n�fices et les responsabilit�s
de l'�ducation des enfants, de telles familles peuvent fournir un environnement
vari� et affectueux pour les enfant aussi bien que pour les adultes et r�duire
la fr�quence d'abus d'enfant et de fugues.
La famille communale, tout comme les groupes
de familles �tendues, peut procurer un environnement plus stimulant et
encourageant pour les enfants et les adultes que la famille nucl�aire moyenne.
La vie communale de doit pas bien s�r �tre comprise comme �quivalent � la
sexualit� en groupe, qui le plus souvent n'est pas une forme de partage mais un
�chappatoire � l'intimit� et � la vuln�rabilit� �motionnelle.
La franchise au sujet du corps
Peut importe le type de structure familiale
choisie, il est important d'encourager la franchise au sujet du corps et des
fonctions corporelles. A ce sujet nous pourrions b�n�ficier d'une
reconfiguration de nos maisons suivant le mode japonais qui s�pare la cuvette
des �quipements pour le bain. Le bain familial devrait �tre utilis� pour la
socialisation et la relaxation, et devrait procurer une situation naturelle o�
les enfants peuvent apprendre les diff�rences anatomiques entre les hommes et
les femmes. La nudit�, comme la sexualit�, peut �tre d�tourn�e et abus�e et la
peur de cela nous emp�che souvent d'accepter nos corps naturellement.
La stimulation b�n�fique que procure le bain
tourbillon ne devrait pas �tre limit� aux h�pitaux et aux �tablissements
curatif ou de relaxation mais devraient �tre disponible au sein du foyer
familial. Le bain familial devrait �tre suffisamment grand pour accommoder
parents et enfants et �tre �quip� de tourbillon pour maximiser la relaxation et
le plaisir. La nudit�, l'ouverture et l'affection au sein de la famille peut
enseigner aux enfants et aux adultes que le corps n'est ni honteux ni inf�rieur
mais plut�t une source de beaut� et de sensualit� � travers lequel nous sommes
en relation avec les autres. L'affection physique implique le toucher,
l'emprise et la caresse et ne doit pas �tre compris comme �quivalent � la
stimulation sexuelle qui est un type sp�cifique d'affection physique.
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Aimer plut�t que rivaliser
L'�thique comp�titive, qui enseigne aux
enfants qu'ils doivent progresser aux d�pens des autres devrait �tre remplac�e par
les valeurs de coop�ration et la poursuite de l'excellence pour son propre
bien. Nous devons �duquer nos enfant pour qu'ils soient �motionnellement
capables de donner de l'amour et de l'affection plut�t que d'exploiter les
autres. Nous devons reconna�tre que la sexualit� adolescente est non seulement
naturelle mais d�sirable et accepter la sexualit� pr�maritale comme une chose
bonne et morale. Les parents devraient aider les adolescent � se r�aliser
sexuellement en leur permettant d'user de la maison familiale pour leur
satisfaction sexuelle. Une honn�tet� semblable encouragerait une attitude plus
responsable envers les relations sexuelles et procureraient un environnement
d'un beaucoup plus grand soutient que le si�ge arri�re d'une voiture ou tout
autre emplacement ind�sirable hors du foyer. Les exp�riences sexuelles pr�coces
sont trop souvent un effort pour d�montrer son appartenance au monde des
adultes, ou pour prouver sa masculinit� ou sa f�minit�, plut�t qu'un partage
joyeux d'affection et de plaisir.
D'abord et avant tout, il faut reconna�tre
l'�galit� sexuelle des hommes et des femmes. Le droit traditionnel des hommes �
des multiples partenaires sexuels doit �tre �tendu aux femmes. Le plus grande
barri�re entre les hommes et les femmes est la peur qu'ont les hommes de la
profondeur et de l'intensit� de la sensualit� f�minine. Puisque le pouvoir et
l'agression sont neutralis�s par le plaisir sensuel, la d�fense premi�re des
homme contre la perte de leur domination a �t� la n�gation, la r�pression et le
contr�le du plaisir sensuel de femmes. L'usage de la sexualit� pour procurer un
simple rel�chement de la tension physiologique (plaisir apparent) ne doit pas
�tre confondu avec l'�tat de plaisir sensuel incompatible avec la dominance,
l'agression, la violence et la douleur. C'est � travers le partage mutuel du
plaisir sensuel que l'�galit� sexuelle entre les hommes et les femmes peut �tre
r�alis�e.
L'environnement sensoriel dans lequel un
individu grandi a une influence majeure sur le d�veloppement et l'organisation
fonctionnelle de son cerveau. Les stimulations sensorielles constituent un
nutriment dont le cerveau a besoin pour se d�velopper et fonctionner
normalement. Le fonctionnent du cerveau d�termine le comportement de la
personne. Le cerveau humain � la naissance est extr�mement immature et de
nouvelles cellules c�r�brales se d�veloppent jusqu'� l'�ge de deux ans. La
complexit� du d�veloppement des cellules c�r�brales se poursuit jusqu'� l'�ge
de 16 ans environs. Herman Epstein de Brandeis University a montr� que des
jaillissement de croissance dans le cerveau humain se produise � peu pr�s aux
�ge de 3, 7, 11 et 15 ans.
p. 20,
Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists
Comment une carence pr�coce peut affecter
ces jaillissement de croissance reste � d�terminer; des donn�es sugg�rent
cependant que le jaillissement final peut �tre annul� par une carence pr�coce.
W. T. Greenough, psychologue � l'University
of Illinois, a d�montr� qu'un environnement sensoriel enrichi produit des
cellules plus complexes dans le cerveau des rats qu'un environnement ordinaire
ou appauvri (voir l'image). Ses �tudes montre que la carence sensorielle n'a
pas � �tre extr�me pour induire des changements structurels dans un cerveau en
d�veloppement. Plusieurs autres chercheurs ont montr� que l'�ducation des rats
en isolement introduit des changements significations dans la biochimie du fonctionnement
de leur cellules cervicales. D'autres chercheurs ont montr� une activit�
�lectrique anormale dans le cerveau de singe �lev� dans l'isolement. J'ai
avanc� l'id�e que le cervelet, une structure du cerveau impliqu� dans la
r�gulation de nombreux processus c�r�braux, devient dysfonctionnel quand un
animal est �lev� dans l'isolement et est impliqu� dans les comportements
violents et agressifs du � la carence somatosensorielle. Il a �t� d�montr�
qu'une neurochirurgie du cervelet peut transformer le comportement agressif du
singe �lev� en isolation en un comportement pacifique. Les comportement
pr�datoire chez le chat peuvent �tre provoqu� en stimulant le nucleus fastifial
du cervelet, une des nucl�i les plus profond du cervelet.
Des niveaux anormalement faibles de
s�rotonine platelet ont �t� d�tect�s chez des singes �lev�s dans
l'isolement ainsi que chez les enfants fortement agressifs et
institutionnalis�s. Ces d�couvertes laissent croire que la carence
somato-sensorielle des p�riodes formatrice du d�veloppement alt�re de fa�on
significative ce syst�me biochimique du corps associ� � des comportement
hautement agressifs. Plusieurs autres chercheurs ont document� des anormalit�s
dans le syst�me de r�ponse corticale adr�nale parmi des rongeurs �lev�s en isolement
et qui avaient d�velopp�s des comportement hyperagressif, hyperactif et
hyperr�actif. Donc on peut affirmer qu'un autre important syst�me biochimique
associ� � l'agressivit� est alt�r� par une carence somatosensorielle pr�coce.
Il faut souligner que je propose des
stimulations somatosensorielles plaisantes comme proc�dure th�rapeutique pour
corriger les anormalit�s caus�es par une carence en plaisir somatosensoriel. De
semblables stimulations sensorielles peuvent influencer le fonctionnement du
cerveau et il ne semble pas n�cessaire, � l'exception de rares circonstances,
d'avoir recours � la chirurgie ou aux stimulations �lectriques pour modifier
des comportements violents et pathologiques. H�las, des programmes
th�rapeutiques fond�s sur le plaisir somatosensoriel n'ont pas encore �t�
�tablis afin de d�terminer leur efficacit� th�rapeutique. Le succ�s de le
th�rapie somatosensorielle aupr�s des singes �lev�s en isolations rapport� par
Harry F. Harlow et Stephen Suomi apr�s que d'autres
formes de th�rapies aient �chou� chez ces animaux, fournit des encouragements
suppl�mentaires et soutient l'utilisation du toucher et des mouvements
corporels dans le traitement des d�sordres �motionnels.
Inversement, nos prisons ont �t� configur�es
pour maximiser les conditions pr�cis�ment responsable de la violence et de
l'emprisonnement du d�linquant social. Il n'est pas surprenant que la violence
physique dans de tels environnements soit un probl�me de taille. L'acceptation
du plaisir somatosensoriel comme forme de th�rapie somatique sera difficilement
acceptable pour notre soci�t� comme l'indique l'opposition aux salons de
massage.
Manifestement si nous consid�rons les
comportements agressifs et violents ind�sirables, nous devons alors d�velopper
un environnement somatosensoriel qui permette au cerveau de se d�velopper et de
fonctionner d'une telle fa�on qu'il en r�sultera des comportements plaisant et
pacifiques. La solution � la violence est le plaisir physique exp�riment� dans
le contexte de relations humaines significatives.
Pour beaucoup de gens, un principe moral
fondamental est le rejet de tout credo ou politique qui inflige de la douleur,
de la souffrance et de la privation pour nos fr�res humains. Ce principe doit
�tre �largi: nous devons viser non seulement l'absence de douleur et de
souffrance mais aussi l'am�lioration du plaisir, la promotion de relations
humaines affectueuse et l'enrichissement de l'exp�rience humaine.
Si nous nous effor�ons d'augmenter le
plaisir dans nos vies, cela va aussi affecter la mani�re dont nous exprimons
l'agression et l'hostilit�. La relation r�ciproque entre le plaisir et la
violence est tel que l'un inhibe l'autre: quant le plaisir est �lev�, la
violence est faible; quant la violence est forte, le plaisir est faible. Ces
pr�misses fondamentale de la th�orie de la carence en plaisir somatosensoriel
nous fournit les outils n�cessaires pour modeler un monde d'individus
pacifiques, affectueux et coop�ratifs. .
La plan�te cependant dispose d'un temps
limit� pour corriger les conditions qui nous incitent � la confrontation
violente. Les technologies modernes de la guerre ont rendu possible pour un
individu ou une nation d'en arriver � la destruction totale de larges segments
de population. Le plus grand p�ril provient des nations qui offrent � leurs
enfants l'environnement le plus appauvri et qui sont les plus r�pressifs de
l'affection sexuelle et de la sexualit� f�minine. Nous aurons le plus �
craindre quand ces nations vont acqu�rir les armes de guerres modernes.
Tragiquement ce processus est d�j� entrepris.
1. R. B.
Textor, A Cross-Cultural Summary (New Haven, Conn.: Human Relations Area
Files (HRAF) Press, 1967).
2. J. W.
Prescott, "Early Somatosensory Deprivation as an Ontogenetic Process in
Abnormal Development of the Brain and Behavior," Medical Primatology,
�dit� par I. E. Goldsmith and Moor-Jankowski (Basel: Karger, 1971), 357-375; et
Prescott, "Cross-Cultural Sludies of Violence," in Aggressive
Behavior: Current Progress in Pre-Clinical and Clinical Research, Brain
Information Report No. 37 (Los Angeles, Ca.: University of California, Aug. 1974),
pp. 33-35.
3. M. K.
Bacon, I. L. Child et H. A. Barry, III, "Cross-Cultural Study of
Correlates of Crime," Journal of Abnormal and Social Psychology, 66
(1963), 291-300; et Barry, Bacon and Child, "Definitions, Ratings, et
Bibliographic Sources for Child-Training Practices of 110 Cultures," in Cross-Cultural
Approaches: Readings in Cooperative Research, �dit� par C. S. Ford (New
Haven: HRAF Press, 1967).
4. J. T.
Westbrook, Ford, et Beach, in A Cross-Cultural Summary, �dit� par Textor
(New Haven: HRAF Press, 1967).
5. P. E.
Slater, "Killing, Torturing or Mutilating the Enemy," in A
Cross-Cultural Summary, �dit� par Textor.
6. Michael
Harner, Jivaro Souls.
7. Vietnam
Veterans Against the War, statement by Michael McClusker in The Winter
Soldier Investigation: An Inquiry into American War Crimes (Boston: Beacon
Press, 1972).
8. S. J.
Suomi, et H. F. Harlow, "Social Rehabilitation of Isolate-Reared
Monkeys," Developmental Psychology, 6 (1972), 487-496.
9. F. R.
Volkmar et W. T. Greenough, "Rearing Complexity Affects Branching of
Dendrites in the Visual Cortex of the Rat," Science, 176 (Juin
1972), 1445-1447; et M. Coleman, "Platelet Serotonin in Disturbed Monkeys,"
Clinical Proceedings of the Childrens Hospital, 27 (1971). 187-194.
Il faut conserver � l'esprit dans toutes les
affirmations qui suivent concernant l'alcool que le contexte de consommation
am�ricain est fondamentalement diff�rent du contexte fran�ais o� l'alcool est
le plus souvent consomm� sous forme de vin et fait partie int�grante du repas
particuli�rement en pr�sence de convives. Aux �tats-Unis, l'alcool, le plus
souvent sous forme de drinks � base d'alcool fort (vodka, gin...) est
surtout consomm� hors des repas et est davantage per�u et utilis� comme une
boisson intoxicante, que l'on consomme souvent seul, que comme un aliment. Le
contexte �tant diff�rent la signification et l'effet de l'alcool le sont tout
autant.
[
Texte republi� avec l'aimable permission de James
W. Prescott. Parution originale dans THE FUTURIST magazine (Avril 1975).
Reproduit avec la permission de la World Future Society, 7910 Woodmont Avenue,
Suite 450, Bethesda, MD 20817 USA. WFS est une association �ducationnelle et
scientifique � but non lucratif comptant 30,000 membres dans 80 pays. Elle agit
comme forum neutre et comme banque d'informations et d'id�es sur les tendances
actuelles et les d�veloppements futurs possibles.
Traduit par Eric Maheu. Les citations de la bible sont
reproduites de la traduction de l'�cole de J�rusalem et celles d'Aristote de la
traduction de J. Barth�lemy Saint-Hilaire revue par Alfredo Gomez-Muler. Svp
me signaler toute erreur.
Reconnaissance de caract�res et �dition HTML
originale par. Si vous connaissez une autre traduction de cet article en une
langue diff�rente du fran�ais et de l'allemand ou si vous voulez en produire
une, svp le contacter. Il est aussi int�ress� � obtenir du mat�riel
suppl�mentaire sur le sujet.
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Depuis une vingtaine d'ann�es, j'essaie
d'aider des gens en prise avec des attirances p�dophiliques[. Je le fais � titre b�n�vole pour des
groupes de travail du NVSH, l'Association N�erlandaise pour une R�forme
Sexuelle. Au cours des deux seules derni�res ann�es, plusieurs jeunes
hommes, pour la plupart �tudiants de moins de trente ans, y sont venus chercher
de l'aide.
C'est d'ordinaire � ces �ges-l�, entre vingt
et trente ans, que se nouent des liaisons et se forment les couples. Cependant,
ces hommes attir�s par les enfants, gar�ons ou filles, n'osent pas parler de
ces attirances, que ce soit � leurs amis �tudiants ou aux divers membres de
leur famille. Cet �ge est aussi celui o� l'on s'�loigne de sa famille, l'�ge
d'une plus grande libert� de choix pour son temps libre. L'acc�s � Internet est
�galement devenu plus facile de nos jours. L'attirance vers les enfants, les
attirances p�dophiliques, peuvent facilement devenir une obsession qui bloque
compl�tement la personne et compromet ses �tudes. L'histoire que nous entendons
est souvent celle d'une d'obsession, d'une d�pression ou de projets de suicide.
Certains r�priment leurs attirances; d'autres rejettent toute contrainte et
connaissent de graves probl�mes avec la police et la justice aussi bien que
leur environnement social et familial (Cf. la liste de Constructive
questions).
Il est � noter noter que, selon Nagayama
Hall, Hirschman & Oliver, plus de 25% d'un �chantillon d'hommes
normaux ont r�agi par une excitation � des stimuli p�dophiliques. Nous ne
sommes donc pas en train de parler d'une petite minorit� d�viante, mais d'une
variance normale parmi les �tres humains - � une �poque o� la plupart des gens
consid�reraient comme un monstre toute personne qui manifesterait une telle
r�action.
Il faut bien y faire quelque chose, mais
quoi ?
Je voudrais ici distinguer trois types
d'intervention: (1) � le traitement � , (2) l'auto-assistance et
(3) la th�rapie proprement dite. J'en ai mis en valeur les traits
caract�ristiques dans ce tableau.
Chaque m�thode se r�v�le pr�senter � la fois
des avantages et des inconv�nients. Il conviendrait d'op�rer des distinctions
parmi les clients ] afin de
choisir la m�thode qui convienne le mieux � chacun. Il n'existe pas de m�thode
unique qui s'appliquerait � tous.
Le premier type d'intervention est le traitement
des pr�dateurs, bas� sur une approche cognitivo-behavioriste, auquel il est
largement fait recours aujourd'hui, avec pour devise: � No cure but
control � (� Pas la cure mais le contr�le�). La plupart des
professionnels qui travaillent avec cette m�thode ou bien �crivent sur le sujet
pensent qu'il s'agit de la seule m�thode possible. Cependant, cette m�thode
soul�ve plusieurs remarques critiques et, du reste, il y a plus sous le soleil.
Aux Pays-Bas (notamment dans le cadre de la
NVSH), d'autres personnes dont moi-m�me recourent depuis une vingtaine d'ann�es
au deuxi�me type d'intervention, la m�thode d'auto-assistance. Il
semble que nous pourrions aider beaucoup de gens avec ce type d'intervention.
Je souhaite dans cette conf�rence mettre plus particuli�rement en valeur cette
m�thode, comme possibilit� d'aider d'autres cat�gories de personnes.
Cette m�thode peut recevoir le soutien d'une
autre m�thode, les groupes de soutien, familiers � certaines communaut�s
religieuses, d�crits et recommand�s par Kirkegaard
& Northey. Il est aussi largement fait recours � la m�thode
d'auto-assistance sur Internet.
La troisi�me m�thode est la th�rapie
proprement dite, ainsi que je l'appelle afin de la distinguer d'avec la
premi�re m�thode, que je nomme ici traitement. Il s'agit des fameuses
psychoth�rapies sous leurs formes les plus diverses.
Ce troisi�me type d'intervention est
suffisamment connu; aussi me content�-je de le mentionner comme une possibilit�
utile � qui peut d'ailleurs �tre combin�e aux deux premi�res m�thodes � et de
tracer les grands traits qui distinguent les trois m�thodes.
La psychoth�rapie individuelle �tait le type
de traitement standard jusqu'en 1980 environ. Depuis lors, les m�thodes de type
cognitivo-behavioriste, que j'appelle ici la premi�re m�thode, sont devenues le
type d'intervention privil�gi�.
Habituellement, c'est au moyen des taux de
r�cidive que sont �valu�es les m�thodes de traitement. Robinson
conclut de sa recherche que le taux de r�cidive g�n�ral pour les auteurs
d'infractions sexuelles non trait�s est de 20% en moyenne, tandis que ce taux
pour les auteurs trait�s est en moyenne de 10%. Le traitement peut donc diviser
par deux le taux de r�cidive.
Mais quel type de traitement ou de soutien ?
Margaret
Alexander conclut de sa recherche que les hommes trait�s avant
1980 (par des m�thodes traditionnelles) ont r�cidiv� � 12,8%, alors que les
hommes trait�s apr�s 1980 (par les m�thodes actuelles) ont r�cidiv� � 7,4%.
Elle a proc�d� � un genre de m�ta-analyse, sur un corpus de 79 �tudes
r�unissant des �chantillons de population s'�levant � 11 000 personnes. Ainsi,
il semble que le taux de r�cidive soit inf�rieur lorsqu'on recourt aux m�thodes
actuelles plut�t qu'� des m�thodes plus anciennes.
Examinons un instant ces chiffres de la
r�cidive. Toute personne pr�tant foi aux discours de certains hommes politiques
et aux ouvrages � destination du grand public croira que le taux de r�cidive
chez les auteurs d'infractions sexuelles s'�l�ve � 90%, sinon m�me plus. Aux Pays-Bas,
m�me un professeur de sexologie a pu affirmer, voil� plusieurs ann�es, que le
taux de r�cidive �tait �lev� � ce point, jusqu'� ce qu'il ait lu les articles
de chercheurs sur le sujet - alors ses chiffres sont-ils all�s en diminuant.
Un s�nateur de l'Indiana, proposant pour cet
�tat la tenue d'un registre des auteurs d'infractions sexuelles, a d�clar�: �Les
statistiques montrent que, 95% du temps, toute personne abusant d'un enfant le
fera vraisemblablement encore �. Un s�nateur de Floride a fait r�f�rence
aux � pr�dateurs sexuels qui commencent � chercher leur prochaine
victime sit�t remis libert� � et un l�gislateur de Californie a pr�venu le
public que les auteurs d'infractions sexuelles � commettront de nouveau
imm�diatement cette infraction, au moins 90 pour-cent du temps �.
Je cite ici Eric
Lotke qui donne ses sources dans ses notes de bas de page #1, 2 &
3.
Quiconque lit les r�sultats de la recherche
en la mati�re verra des chiffres totalement diff�rents. Les taux de
r�cidive ne sont pas aussi �lev�s qu'on a pu le dire. Il s'agit d'un point
important, parce que si les chiffres s'�levaient vraiment � plus de 90%,
il serait malais� de d�fendre la m�thode d'auto-assistance, que
j'appelle ici la deuxi�me m�thode.
De fa�on g�n�rale, il existe de nombreux
mythes concernant les auteurs d'infractions sexuelles. Un article, Mythes
et faits concernant les auteurs d'infractions sexuelles, ao�t 2000, par
le Centre de Traitement des Auteurs d'Infractions Sexuelles (CSOM - Center for
Sex-Offenders Management - http://csom.org ), dresse une liste de tels mythes,
oppos�s aux faits.
Karl Hanson & Monique Bussi�re ont
pr�sent� dans leur article de 1998 la m�ta-analyse la plus r�cente sur les taux
de r�cidive: Pr�dire
la rechute: m�ta-analyse des �tudes sur la r�cidive des auteurs d'infractions
sexuelles. Ils ont pass� en revue 61 �tudes de contr�le, un �chantillon
total de pr�s de 23,400 personnes. Le taux moyen de r�cidive des infractions
sexuelles �tait faible: 13,4%. Remarquons que, d'apr�s Hanson, le taux de
r�cidive g�n�ral sur l'ensemble des infractions est de 36,3%. Ainsi le taux de
r�cidive chez les auteurs d'infractions sexuelles n'est-il pas trois fois plus
�l�v� que le taux g�n�ral, mais plut�t trois fois moins. Il est
tout simplement inexact qu'au moins 90% des auteurs d'infractions sexuelles
r�cidivent - il s'agit de 13,4% .
L� encore, le traitement se r�v�le utile: � Les auteurs d'infractions
sexuelles n'ayant pas re�u de traitement pr�sentaient un risque sup�rieur de
r�cidive par rapport � ceux ayant re�u un traitement �.
Leurs articles figurent dans leur
int�gralit� sur le c�d�rom que je vous pr�sente ici, l'un d'eux en langue
fran�aise; l'article de Wakefield
& Underwager offre un bon r�sum� de la recherche de Hanson. Dans ma
liste de r�f�rences, vous trouverez davantage de liens vers des
recherches faites dans ce domaine. Vingt minutes ne suffiraient pas � toutes
les pr�senter. Le c�d�rom et le site web que j'ai r�alis�s contiennent assez de
place pour y loger bien des kilo-octets de rapports de recherche.
Je ferai juste un commentaire sur ces
chiffres: ce genre de r�sultats est obtenu par des m�thodes statistiques, par
le passage en revue de milliers de personnes. C'est le mode de travail et de
pens�e actuariel. Cependant, si nous voulons aider des gens, nous ne
pouvons les aider qu'individuellement; donc, pour notre travail de cliniciens,
nous devons utiliser le mode de travail et de pens�e clinique. Ces deux
modes diff�rent.
Pour citer Don
Grubin & Sarah Wingate: � La difficult� cruciale vient du
fait que la pr�diction actuarielle concerne des groupes, et que, � moins de
parler d'un comportement de grande fr�quence, elle ne peut nous dire grand
chose sur les individus.�
Les m�mes ajoutent: � Les auteurs d'infractions sexuelles ne sont
pas de simples paquets de variables. Les caract�ristiques qui peuvent �tre
importantes pour les actuaires v�hiculent une faible signification en ce
qu'elles indiquent des associations mais n'impliquent pas en soi un lien
de causalit�. Elles deviennent utiles dans la compr�hension de la r�cidive
seulement quand la signification qu'elles peuvent rev�tir pour tel ou tel
individu est clarifi�e �.
Une �tude peut constituer l'apoth�ose de
l'approche actuarielle et se r�v�ler sans pertinence pour l'approche
clinique. � Des facteurs qui tendent � demeurer invisibles aux actuaires
peuvent s'av�rer d'une importance cruciale pour les cliniciens en vue de
d�terminer quand l'intervention [- et quel type d'intervention - F.G.]
est n�cessaire �.
Il existe encore d'autres mythes au sujet de
la p�dophilie. J'ai �crit un article d'information et l'ai inclus sur ce c�d�rom
et le site web, ainsi que de nombreuses r�f�rences g�n�rales. Je me contenterai
de mentionner ici deux des questions en arri�re-plan de cette conf�rence:
|
M�me dans le prospectus r�alis� pour ce congr�s [WCS Paris], la question de la p�dophilie appara�t sous l'en-t�te � Sexe et Violence �. Si la p�dophilie devait �tre violente per se, je ne pourrais pas d�fendre la m�thode d'auto-assistance. Mais tel n'est pas le cas, soutient Tom O'Carroll dans un article qui donne une vue d'ensemble sur de multiples recherches et d'autres types d'�crits. L'article en question n'a pas �t� retenu par le Comit� de ce congr�s - Tu ne conna�tras pas ceci - vous le trouverez n�anmoins sur le c�d�rom. |
|
La question de savoir si les exp�riences sexuelles avec des adultes ou des adolescents durant l'enfance sont toujours n�gatives, est aussi mentionn�e en arri�re-plan. Si la chose �tait av�r�e, il serait difficile de d�fendre la m�thode d'auto-assistance. Mais il en r�sulte beaucoup moins d'effets n�gatifs que beaucoup l'ont pens�, si l'on en croit la recherche men�e par l'�quipe du Dr Rind. Dans environ 25% des cas, ces exp�riences se soldent par des cons�quences n�gatives, sp�cialement pour les filles - non 100% comme on pense le plus souvent. Cette recherche se voit consacrer une section ind�pendante sur le c�d�rom. |
Dans le cadre de cette pr�sentation, je vais
maintenant proposer un aper�u critique de la premi�re m�thode.
1. Pour citer Robinson
: � G�n�ralement, les �tudes ont conclu � l'efficacit� des
techniques behavioristes. Malheureusement, de nombreux experts se sont
inqui�t�s de ce que les m�thodes produisent seulement des changements de courte
dur�e dans les pr�f�rences sexuelles d�viantes. � (c'est moi qui
souligne)
2. La m�thode implique un fort contr�le.
Tant que les patients n'ont pas chang� leurs fa�ons de penser, de faire et m�me
de ressentir, le traitement se poursuivra jusqu'� obtention de la �pens�e
correcte �. Mais la � pens�e correcte � ne diff�re pas, dans les
faits, de la pens�e politiquement correcte, � savoir: la fa�on de penser politiquement
exig�e. Aussi les patients � joueront-ils le jeu � pour mettre
un terme � l'horreur que repr�sente la p�riode du traitement. Ils
connaissent les r�ponses politiquement correctes, les ont apprises, les
donneront donc. Par cons�quent, les r�sultats des �chelles de mesure sont
souvent faux, ainsi donc que les r�sultats des recherches qui s'appuient sur
eux.
3. La m�thode peut produire un traumatisme
au lieu d'une gu�rison. Elle r�duit la personne � un auteur d'infractions
sexuelles, en proie � une pathologie. Elle vise � changer des sensations �go-syntoniques
profondes en sensations �go-dystoniques. Elle ne m�ne pas �
l'auto-acceptation de la personne enti�re, attirances p�dophiliques incluses,
mais � supprimer et � nier ces attirances. Ce faisant, elle ali�ne la personne
� son moi profond. Ce n'est pas gu�rir mais diviser la personne. Il peut
en r�sulter un sentiment d'incertitude fondamentale et d'ins�curit� � un niveau
tr�s profond. Agner Fog cite
les propos d'un homme � ce sujet: �... au lieu d'an�antir mes
attirances pour les gar�ons, ils m'ont d�truit en tant qu'individu, cela a
d�truit en moi tout sentiment de s�curit� �.
J'ai pu rencontrer des patients ayant commenc� ce type de traitement, pleins de
vivacit� et de chaleur, qui se sont vus par suite de celui-ci chang�s en �marionnettes
en bois �. D'autres ont surv�cu en jouant le jeu.
4. La m�thode peut �tre dangereuse parce
qu'elle vise � supprimer des attirances, des pens�es et des fantaisies
imaginatives. Ce faisant elle ferme la soupape de s�ret� de la chaudi�re.
T�t ou tard, la bombe peut �clater. On n'�voque ni ne pense le sujet des
attirances r�prim�es, aussi ne pense-t-on pas de mani�re rationnelle la
question des sentiments et sensations profonds de ces personnes et ne
cherche-t-on pas de fa�on pour elles de vivre avec ces attirances. Le plus
souvent, il est mis un terme aux contacts avec d'autres personnes ayant des
attirances p�dophiliques, d�s lors proscrits; si bien qu'il sera impossible de
s'entretenir avec des mod�les positifs. L'auto-assistance est bloqu�e,
il peut en r�sulter l'isolement par rapport � son propre moi et par rapport aux
autres. Particuli�rement dans le cas d'une surveillance par la communaut�,
l'isolement social sera le prochain facteur de stress. La chaudi�re interne de
ces personnes, soumise � une telle pression et d�pourvue de soupape de s�ret�,
peut t�t ou tard �clater.
5. J'ai beaucoup d'objections �thiques contre
le terrible usage qui est fait du pouvoir et du contr�le dans cette m�thode.
Bien voir que le programme du traitement non seulement changera le
comportement, mais aussi les pens�es et les sensations (les pr�f�rences) et
jusqu'aux r�ves des patients: leur esprit. La pl�thysmographie ou la phallom�trie
acc�dent de force aux parties les plus priv�es du corps humain. Le personnel
traitant s'introduit de force et de mani�re intensive dans l'ultime bastion de
libert�, l'esprit d'un �tre humain au plus profond de son intimit�. La
m�thode contraint ses patients � penser et � ressentir d'une mani�re correcte -
d'une mani�re politiquement correcte. La m�thode vise � contr�ler la
pens�e et les sentiments de personnes: il s'agit d'un contr�le de la pens�e par
une police de la pens�e, pour reprendre les termes de George Orwell. Contr�le
de l'esprit par L'Etat... similaire au lavage de cerveau de
l'ancienne Union Sovi�tique, aujourd'hui largement utilis� dans le monde � libre
� occidental.
Comme l'�crit Dennis Howitt (1995, pp
250-251), on devrait se garder de d�signer ces proc�d�s par le terme de
th�rapie: � Au lieu d'adopter une pratique d�ontologique
centr�e sur le client, la psychoth�rapie marche sur la t�te quand elle
s'applique aux auteurs d'infractions sexuelles. [...] On leur apprend � se
contr�ler plut�t qu'� se comprendre eux-m�mes; [...] il arrive qu'ils fassent
l'objet d'humiliations par d'autres patients du groupe et que, de fa�on
g�n�rale, ils soient trait�s de fa�on telle que cela soul�verait l'indignation
si on appliquait ces m�thodes � leurs victimes. �
Que la m�thode fonctionne en donnant des
taux faibles de r�cidive n'est pas le seul crit�re. Assassinons tous les
auteurs d'infractions sexuelles, enfermons-les � vie, le taux de r�cidive sera
nul. Il y a aussi des crit�res �thiques.
6. J'ai aussi une objection scientifique �
cette m�thode. Qui s'adresse � la mani�re de penser simpliste qui soustend
cette m�thode. C'est ce que j'exprimais dans mon article Non une cure mais un contr�le: � Le
traitement repose sur une mani�re de penser tr�s simpliste qui assimile le
politiquement correct au fait d'avoir raison, le politiquement incorrect au
fait d'avoir tort. Leurs conceptions des contacts sexuels interg�n�rationnels
sont reprises sans esprit critique des conceptions du viol de femmes (par
certaines femmes de la premi�re g�n�ration de f�ministes). Femmes et
enfants, les deux ne peuvent �tre que les victimes des
m�chants hommes. �
Ces vues simplistes se fondent �galement sur
des recherches souvent tendancieuses en mati�re � d'abus sexuel
d'enfant � , plus politiquement correctes que scientifiquement correctes
ou, pour le dire autrement, davantage sur une id�ologie que sur la science.
Margaret Alexander a d� �carter de son analyse 280 des 359
�tudes recens�es par elle, en raison de d�fauts m�thodologiques.
Un article de Frederiksen dresse une liste des partis pris des
recherches courantes en mati�re d'ASE (Abus Sexuel d'Enfant); l'�quipe du Dr Rind a fait de m�me dans une M�ta-analyse aujourd'hui c�l�bre.
Passant en revue la recherche sur les
m�thodes de traitement, Dennis Howitt �crit dans son livre bien connu, (Ch.
7, page 191): � Dans une situation comme celle-ci, pr�tendre � un
succ�s th�rapeutique c'est peut-�tre, de la part du clinicien, du patient ou
des deux, prendre ses d�sirs pour des r�alit�s. �
C'est pourquoi les partisans de la premi�re
m�thode devraient faire preuve de modestie dans leurs pr�tentions - comme je le
ferai.
Je voudrais � pr�sent mettre en valeur la m�thode
d'auto-assistance, mais je ne peux m'appuyer ici sur la recherche dure parce
que la recherche sur cette m�thode est rare. Mes sources consisteront en vingt
ann�es d'exp�rience personnelle avec cette m�thode. Je serai donc humble.
Assistants, clients et vision
L'hypoth�se de base, ici, est qu'il n'y a
pas d'opposition entre aidants (helpers) et clients, mais que les
membres du groupe sont tous � la fois des aidants et des clients. Les membres
s'entraident. Il n'y a pas de statuts diff�rents, tous sont des �tres humains,
� la recherche de leur propre mani�re de vivre avec leurs attirances
p�dophiliques.
Manifestement, les trois m�thodes reposent
sur des conceptions compl�tement diff�rentes de l'�tre humain. Dans la premi�re,
nous sommes en pr�sence d'une vision plus ou moins m�caniste du
comportement humain. Sous-jacente, nous voyons la repr�sentation de l'�tre
humain comme d'un p�cheur, commettant le mal presque automatiquement. La
deuxi�me m�thode consid�re que les �tres humains sont essentiellement des �tres
sociaux. La troisi�me se concentre sur la dynamique de la psych� humaine. La
seconde et la troisi�me conception ne voient pas de p�cheur, mais une personne
� la recherche de la bonne fa�on de vivre et dans ces deux visions on consid�re
que le client est capable de la trouver.
La principale m�thode est ici l'entretien de
groupe. Habituellement, quelqu'un conduit l'entretien, mais ce n'est pas �
le th�rapeute �. Il ou elle est simplement l'un des membres qui catalyse les
interactions du groupe en demandant � ce que tout le monde s'�coute
mutuellement, parle chacun � son tour, exprime ses sensations et �change ses
exp�riences et ses pens�es. Ils s'occupent exclusivement des sensations et des
sentiments conscients. Les membres du groupe attendent des autres qu'ils
expriment leurs sensations, sentiments les plus profonds inclus, mais non
qu'ils acc�dent � la partie inconsciente de la personne.
Les membres s'apportent mutuellement un
soutien tangible dans plusieurs aspects de l'existence. Il s'agit d'un point
important parce que beaucoup de personnes en prise avec des attirances
p�dophiliques ont tendance � vivre comme une minorit� isol�e, comme le
formule Agner
Fog dans son article. Fog parle du � syndrome de la
minorit� isol�e � qu'il observe chez des gens en prise avec des sensations
sexuelles d�viantes. � Les sympt�mes de ce syndrome incluent un
comportement sexuel st�r�otyp� et incontr�l� ainsi que plusieurs sympt�mes
sociaux non sp�cifiques. La cause en est le manque d'un mod�le identificatoire
appropri� et la non-acceptation de son ressenti sexuel. La th�rapie de groupe
dans des groupes d'auto-assistance constitue un traitement efficace.
� Aupr�s des membres ayant moins d'exp�rience, pr�sentant une
paraphilie identique ou similaire, les membres de tels groupes ayant de
l'exp�rience, peuvent jouer le r�le de mod�le positif auquel s'identifier et
enseigner comment trouver un style de vie.
Le premier objectif est ici que les
participants soient conscients de leurs attirances profondes et qu'ils
les acceptent comme faisant partie d'eux-m�mes au lieu de les
combattre. Les nouveaux membres peuvent voir, entendre et ressentir que cela
est possible. Les membres sont invit�s � s'accepter eux-m�mes, ainsi qu'�
accepter chaque autre membre, comme une personne, comme un tout, une Gestalt,
qui inclut leurs sentiments et sensations intimes.
Ces aspects de la m�thode sont �galement
d�crits par Van
Naerssen et par Van
Zessen, tous deux N�erlandais. Dennis
Howitt consacre quelques pages � ce qu'il appelle � les
th�rapies de soutien �. Notons au passage que de tr�s nombreuses personnes qui
partagent un m�me probl�me, une m�me maladie, une m�me situation, des m�mes
buts ou des m�mes id�es, recourent � la m�thode d'auto assistance, comme
certains chr�tiens, des femmes enceintes, des parents de fils homosexuels, des
aveugles, des sourds...
En second lieu, le but est que les membres
constatent qu'il existe plusieurs fa�ons de vivre avec leurs sensations. Le site web du groupe JON
pr�sente vingt styles de vie et demande au visiteur de chercher le vingt et
uni�me: son propre style de vie. Les nouveaux membres sont de m�me invit�s �
chercher leur propre style de vie; ils peuvent constater que c'est possible. Il
y a plus de possibilit�s sous le soleil que certains types de comportements
st�r�otyp�s. � noter que JON ne recommande pas d'avoir des contacts sexuels
avec les enfants.
Les deux objectifs, le premier et le second,
peuvent diminuer les traits ou les caract�ristiques du syndrome de la minorit�
isol�e. Il existe une m�thode suppl�mentaire: la cr�ation de groupes de soutien.
Les membres d'un groupe de soutien forment
pour ainsi dire un cercle autour du client. Certaines communaut�s religieuses
proc�dent de la sorte, le groupe JON fait de m�me. Les membres du cercle
prennent contact avec le client au domicile des uns et des autres. Ils
l'invitent � faire des sorties, ou bien ils font la cuisine et partagent le
repas avec lui ou elle. Ils l'invitent au cin�ma ou au th��tre, � faire des
excursions ou des voyages. Ils incitent le client � s'int�grer autant que
possible � la soci�t� et le soutiennent dans cette entreprise.
Ce mod�le est d�crit par Hugh
Kirkegaard & Wayne Northey . Ils d�crivent tout d'abord le processus
de formation de boucs-�missaires au sein de la communaut�. Ils d�crivent alors
comment les communaut�s religieuses travaillent � stopper la d�signation de
boucs-�missaires et d�butent un soutien, apport� par ce qu'ils nomment � des
cercles de soutien et de responsabilit� �. � Le but du Cercle �, disent-ils, �
n'est pas th�rapeutique mais de fournir soutien et responsabilit�. �.
Le soutien que peut apporter une communaut� religieuse a �t� d�crit par le
r�v�rend n�erlandais Hans
Visser.
En outre, plusieurs sites web fonctionnent
de nos jours comme des groupes virtuels ou cercles de soutien. Plusieurs sites
web travaillent dans une perspective chr�tienne. Heather
Elizabeth Peterson a r�dig� un long article au sujet de ces sites web.
Ainsi que tous les articles que je mentionne, celui-ci figure sur le c�d�rom et
sur le site web que j'ai r�alis�s.
Kirkegaard et Northy �crivent au sujet des
r�sultats obtenus par leurs groupes de soutien:
�
Au fil des cinq derni�res ann�es, le projet initial bas� � Toronto a abouti �
la cr�ation de trente-deux cercles � Toronto et � Hamilton. Des � membres centraux
� (i.e. les clients - N. d. T.) y participant seulement deux ont r�cidiv� � ce
jour, l'un pour atteinte � la propri�t�, l'autre pour une autre infraction
sexuelle. Suite au succ�s de cette approche, l'an dernier six nouvelles
initiatives ont vu le jour localement � travers le Canada, portant actuellement
� quarante-cinq le nombre total de Cercles cr��s. Tandis que la plupart des
Cercles ont une dur�e de fonctionnement comprise entre dix-huit et vingt-quatre
mois, les plus longs sont en place depuis cinq ans. Pour les membres centraux
d�pressifs, en situation de grand besoin, ce genre de communaut� intentionnelle
est n�cessaire � leur bon fonctionnement � long terme dans la communaut�
. Pour d'autres, l'assistance offerte par un Cercle pour se r�int�grer
dans la communaut� correspond � un besoin � plus court-terme. Cependant
les relations de soutien avec les amis qu'ils ont rencontr�s l�-bas, qui
connaissent leur histoire et peuvent les reprendre sur leurs comportements, se
poursuivent longtemps apr�s que le Cercle officiel a cess� d'exister �.
Deux r�cidivistes sur 32 clients (un client
dans chaque cercle), cela repr�sente un taux de r�cidive de 6,25%. C'est
faible. Si l'on ne prend en consid�ration que la r�cidive de type sexuel, comme
le font la plupart des chercheurs, ce taux est de 3,13%. C'est tr�s faible.
Nous recourons � la m�thode d'auto
assistance depuis de nombreuses ann�es, dans quelques-uns des groupes de
travail r�gion de la NVSH, aux Pays-Bas (pas dans tous les groupes; certains
n'offrent pas de soutien du tout). Je travaille depuis approximativement vingt
ans pour plusieurs groupes qui emploient cette m�thode.
Ce que nous avons constat�, c'est que les
participants reconnaissent et acceptent progressivement leurs sensations
profondes. Une atmosph�re de camaraderie se d�veloppe dans le groupe. Des gens
arriv�s avec un � Oh ! J'ai un gros probl�me ! On dirait que j'ai
certaines sensations ! Qu'est-ce que je dois faire ? � ont chang� assez
rapidement leur sentiment de panique en un sentiment d'espoir en l'avenir. Nous
avons vu chacun d'eux d�couvrir sa propre fa�on de n�gocier avec ses
attirances. Quelques-uns ont ensuite disparu avec un � merci ! �
D'autres sont rest�s dans le groupe pour aider les nouveaux venus.
Autre r�sultat: chaque groupe, puis des
cercles de plus en plus larges, ont vu se d�velopper un code �thique. Au fil du
temps, nous l'avons appel� �les quatre principes et leur P.S. �. Tout
cela est d�crit dans mon article �
I didn't know how to deal with it �, dans un
article par le psychiatre n�erlandais Gerard Roelofs et dans l'article
du psychiatre n�erlandais Frank van Ree � Existe-t-il
des crit�res d'une exp�rience positive ?� De m�me, Heather
Elizabeth Peterson d�crit les principes �thiques qui se sont d�velopp�s
progressivement sur les sites web d'auto assistance. Ainsi codes et principes
�thiques sont-ils le r�sultat de groupes d'auto assistance. Peterson signale
une augmentation du c�libat et la socialisation des d�sirs. Je puis faire de
m�me concernant les groupes dont je parle. Pratiquement tous les membres en
sont c�libataires.
J'estime � environ une centaine le nombre de
gens aid�s de cette fa�on sur une p�riode de pr�s de vingt ans. Pour autant que
je sache, 16 personnes avaient commis une infraction sexuelle une fois et 2 de
ces 16 personnes ont pu r�cidiver, l'un pour une infraction sexuelle, l'autre
pour un autre type d'infraction.
Cela repr�sente un taux de r�cidive de
12,5%, soit le double du r�sultat de Kirkegaard, mais juste en-dessous de la
moyenne de Hanson (13,4%); un peu au-dessus du chiffre de Robinson cit� plus
haut de 10% pour les gens trait�s, mais en-dessous de son taux de 20% pour les
gens non-trait�s. Si l'on prend seulement en compte la r�cidive sexuelle, comme
le font la plupart des chercheurs, le chiffre est de 6,25%: une personne en 20
ans de travail avec la m�thode d'auto assistance. De plus, on ne peut pas
affirmer que la r�cidive r�sulte de la m�thode d'auto assistance per se,
en raison du fait que l'un d'eux, le r�cidiviste sexuel, a �galement suivi les
autres types de traitement (1 et 3) et en raison du temps �coul� entre l'adh�sion
au groupe d'auto assistance et la r�cidive. En outre, ces chiffres ne
proviennent pas de � recherche dure � parce que, pour �tre franc, nous avons
manqu� de mettre en place et de mener cette recherche. Ce sont des estimations
modestes, faites aussi honn�tement que possible. Il faut noter que
l'�chantillon pour une exp�rience pratique n'est pas trop petit et que le temps
est raisonnablement long (20 ans).
Aucune m�thode ne peut se r�clamer d'un taux
de 100% de r�ussite et d'un taux de r�cidive nul. Il appara�t que chaque
m�thode a ses propres forces et ses propres faiblesses, surtout si nous op�rons
des distinctions entre nos clients, comme je le fais dans une des lignes du tableau
que j'ai pr�sent�. Comme vous le constatez, mon intention est de ne recourir �
la premi�re m�thode que pour des clients qui ne sont pas capables de
communiquer ni de se contr�ler. Pour les clients qui peuvent communiquer,
�couter et se contr�ler, la m�thode de l'auto assistance semble �tre une bonne
alternative. Il s'agit d'une m�thode bien plus humaine que la premi�re. Elle
est moins co�teuse et, avec ses limites, il se pourrait qu'elle s'av�re
vraiment efficace. La m�thode m�rite d'�tre mise � l'essai et de faire l'objet
d'�valuations, puis d'�tre d�velopp�e par la recherche. Elle pourrait
surtout �tre utile, combin�e avec les groupes de soutien, pour les gens remis
en libert� r�int�grant la communaut�. Au lieu de se contenter de les enregistrer
et de les maintenir sous contr�le, nous devrions d'abord leur apporter un
soutien. Si nous les laissons � eux-m�mes, l'isolement social sera bient�t la
prochaine source de pression pour leur chaudi�re int�rieure.
Je tiens � r�p�ter que tout que j'ai dit se
voulait � la fois discret et modeste. J'ai exprim� seulement � mon
humble opinion �. Je terminerai en disant: tous, faisons preuve de
modestie et de r�serve. Jadis, en fait il n'y a pas si longtemps, la
masturbation �tait tenue pour un mal grave et dangereux, cause de nombreuses
maladies - et tel �tait le cas de l'homosexualit� r�cemment encore.
Actuellement, ce sont les personnes avec des attirances p�dophiliques qu'on
consid�re comme Le Grand Mal de l'humanit�. Comme il a �t� not� plus haut, plus
de 25% des hommes normaux se sont r�v�l�s avoir des sensations de ce
type.
Il �tait une fois, voil� bien, bien
longtemps, des sexologues qui affirmaient certaines choses qui plus tard se
r�v�l�rent �tre fausses... Il apparut qu'� cette �poque id�ologie, religion ou
politique les induisaient en erreur. De nos jours, nous sommes des
scientifiques que n'abusent plus les id�ologies. De nos jours, aujourd'hui, �
ce congr�s, nous nous entretenons d'une mani�re rationnelle, humble et polie.
Je continuerai � le faire et vous invite � faire de m�me.
1. Titre
original : Helping people with pedophilic feelings. L'emploi du terme feelings
associ� � la p�dophilie pourra surprendre le public francophone. L'anglais
emploie le terme de feeling pour d�signer indistinctement des sensations
ou des sentiments. Cette indistinction n'est pas sans poser de probl�me pour la
traduction, surtout lorsqu'on prend en compte cette r�alit� trop souvent
n�glig�e des sp�cialistes francophones s'exprimant sur le th�me de la
p�dophilie : pour la plupart des sujets p�dophiles, le d�sir sexuel pour des
enfants est indissociable d'une dimension affective (qui d'ailleurs pr�existe
fr�quemment au d�sir sexuel). Avec l'accord de l'auteur, j'ai n�anmoins pr�f�r�
�carter la traduction lourde et maladroite de pedophilic feelings par sensations
et sentiments p�dophiliques, au profit de celle, � la fois plus l�g�re et
plus consensuelle ici en France, d'attirances p�dophiliques. Ces
attirances quoi qu'il en soit int�grent une double dimension: affective et
sexuelle. C'est le m�rite du terme feelings que de le souligner. (Note
du traducteur)
2. L'auteur emploie ici le terme anglais de client.
Les lecteurs francophones non familiers de Carl Rogers seront sans doute
surpris par ce terme, en raison des � connotations commerciales � attach�es au
mot client en fran�ais. Dans la terminologie de Carl Rogers et de ses
successeurs, le terme client d�signe la personne b�n�ficiant de la
relation d'aide. Ce terme, repris en fran�ais par les rog�riens
francophones, est ainsi plus g�n�ral que celui de patient, plus neutre
et plus respectueux de la personne de celui ou celle qui vient solliciter
l'aide. En effet, patient suppose pathologie. Or cette vision ne
co�ncide pas automatiquement avec celle qu'a d'elle-m�me la personne en prise
avec ses attirances p�dophiliques, pas plus d'ailleurs qu'elle est
n�cessairement la plus objective, lorsqu'elle va de pair avec la croyance dans
les mythes d�mentis par le Centre de Traitement des Auteurs d'Infractions
Sexuelles (CSOM - Center for Sex-Offenders Management
J'ai opt� en revanche pour la traduction de client
par patient dans le cas des m�thodes regroup�es ici par l'auteur dans la
cat�gorie des traitements, puisque alors il s'agit d'approches de type m�dical.
(Note du traducteur)
ABUS SEXUEL :
|
LE RAPPORT CAPITAL
|
Table des mati�res |
||||
I |
Pr�sentation |
|||
II |
Le rapport |
|||
|
1 |
Abus ou pas abus? |
||
|
2 |
La diff�rence
gar�on/fille |
||
|
3 |
Pouvoir des mots
et propagande |
||
|
4 |
Milieu et
violence |
||
III |
Les sectateurs
de l'abus: des f�ministes aux th�rapeutes |
|||
|
1 |
Les f�ministes |
||
|
2 |
Les th�rapeutes |
||
|
|
a |
Importance |
|
|
|
b |
Validit� des
th�ories actuelles |
|
|
|
c |
Satanisme,
chapelles et scandales |
|
|
|
d |
Les escrocs |
|
|
|
e |
Les collusions |
|
|
|
f |
R�action des
politiques |
|
|
3 |
Les logiques de
l'abus |
||
|
|
a |
Une logique
criminelle |
|
|
|
b |
Logique yankee
et exception fran�aise |
|
|
4 |
La r�sistance
�clat�e |
||
|
|
a |
L'art du lien |
|
|
|
b |
Une r�sistance
divis�e |
|
IV |
Foucault et
l'enfant masturbateur |
|||
V |
Pourquoi? |
|||
|
|
a |
Le porno |
|
|
|
b |
Le monde homo |
|
|
|
c |
Les nantis |
|
|
|
d |
La justice |
|
|
|
e |
L'enfant
mutant |
|
VI |
Conclusion |
Les travaux du Dr Bauserman et de son �quipe
ont port� sur l'�valuation des effets de l'abus sexuel sur enfants (A.S.E.).
Les r�sultats ont �t� publi�s dans la revue
de l'A.P.A. Note
1 et repris dans divers
articles de publications sp�cialis�es. Ils ont aussi �t� pr�sent�s lors de
conf�rences, comme celle de Rotterdam dont nous donnons ici une traduction
fran�aise.
Ces recherches ont �t� effectu�es aux
�tats-Unis, un pays o�, en principe, la Constitution assure aux citoyens une
libert� d'expression tr�s �tendue.
L�-bas, sur des probl�mes de soci�t�
majeurs, des positions totalement antagonistes s'affrontent librement : au
sujet de l'avortement, les pro-life (anti) et les abortionists (pour)
exposent leurs arguments. Ce sont deux conceptions oppos�es de la vie qui se
combattent sur le terrain de la bio-�thique. A propos de l'�volution de la vie
et de la diff�renciation des esp�ces, Darwin n'exerce pas de monopole absolu.
Sa th�orie est rejet�e par les Cr�ationnistes. Ceux-ci ne s'int�ressent pas au
cha�non manquant ou aux zones lacunaires de la th�orie darwinienne : ils la
rejettent en bloc. Fid�les � la lettre des �critures, ils croient et enseignent
dans leurs manuels, que Dieu a bien cr�� l'Univers et tout le vivant d'un seul
coup. Ils exposent librement leurs th�ories qui sont reprises par la presse de
vulgarisation.
Le sujet de l'abus sexuel, aux �tats-Unis
comme en France, rel�ve d'un traitement particulier. Qu'on le consid�re comme
un probl�me de soci�t� ou comme un sujet m�dico-scientifique ne change rien. Il
ne donne lieu � aucune controverse. Il est toujours trait� de la m�me
fa�on : quelques chiffres inv�rifiables, des exemples m�dusants, des images
p�nibles viennent bander le ressort �motionnel : on communie dans la rage et
dans le d�go�t. On emploie partout le terme de p�dophilie sans qu'on
sache bien quels actes ou quelles personnes il implique. Certains activistes
parlent m�me "d�ambiance p�dophile" en l'absence de tout acte, ce qui
ne contribue pas � une vision claire du ph�nom�ne.
En France, une expression dissidente sur le
sujet pourrait valoir � son auteur une condamnation pour incitation � la
p�dophilie Note 2,
et ce d'autant plus facilement que la notion n'a pas �t� d�finie. Bien s�r, on
sait que le mot p�dophile a pris une connotation horrible, en
particulier depuis qu'on l'a accol�, des mois durant, au patronyme du
psychopathe Dutroux.
Cela dit, a t-on vraiment d�montr� l'effet
syst�matiquement n�gatif des actes regroup�s sous l'�tiquette abus sexuel Note 3?
L'enjeu est de taille. Depuis quelques
ann�es, devant les Tribunaux Correctionnels et les Cours d'Assises, on assiste
� un afflux consid�rable d'affaires d'agressions sexuelles et de viols sur
mineurs. Il n'est pas rare qu'elles repr�sentent plus de la moiti� des
crimes jug�s lors des sessions d'Assises. Cette explosion de proc�s ne serait
pas due � une augmentation des abus eux-m�mes, mais � un d�luge de signalements
sous l'effet des campagnes m�diatiques. Il faut noter que l'allongement du
d�lai de prescription, �tendu � 10 ans apr�s la majorit� de la
"victime", permet de faire ressortir des affaires fort anciennes, le
plus souvent � l'occasion d'un conflit familial ou d'un divorce. Nombre
d'accus�s se voient condamn�s � des peines de 15 � 20 ans de r�clusion, m�me en
l'absence de toute coercition.
De fait, le viol n'est pas seulement un acte
de violence sexuelle exerc� contre la volont� de la victime. Il se d�finit le
plus souvent comme un simple acte technique, une p�n�tration, quelle
qu'en soit la nature, m�me exerc�e sur la personne de "l'agresseur" !
L'absence de consentement est induite par l'�ge de l'enfant ou m�me de
l'adolescent. On constate que les peines sont sensiblement �quivalentes �
celles inflig�es pour des crimes de sang.
Comme l'admettait avec satisfaction la
pr�sidente d'Enfance et Partage Note 4 en 1992, des accus�s primaires qui auraient, il y a peu, �cop�
d'une peine avec sursis, se voient aujourd'hui condamn�s � 18 ans fermes !
On peut naturellement supposer qu'une pareille
s�v�rit� s'appuie sur des certitudes bien �tablies ; mais sur quelles
recherches scientifiques s�rieuses se base ce changement de cap ? Comment
a-t-on d�montr� les cons�quences de l'abus sexuel et l'�tendue de ses effets ?
Il faut que tout ceci soit irr�futable. Des cons�quences pathog�nes graves (les
peines le sont) ont d� �tre clairement identifi�es. Un retournement
scientifique sans pr�c�dent a d� avoir lieu. Les innombrables publications sur
le sujet en attestent-elles ?
Souvenons-nous... Dans les ann�es 60, les
psychiatres en vue consid�raient que la p�d�rastie �tait la perversion la plus
proche de la normalit� h�t�rosexuelle, l'homosexualit� constituant en revanche
une r�elle anomalie !
Citons le Dr Hesnard Note 5 qui, � la suite du grand sexologue am�ricain
Ellis, affirme :
" Nous pensons que l'attirance
sexuelle non seulement envers les tous jeunes gens, c'est � dire pour des
sujets n'ayant pas d�pass� la pubert�, mais m�me envers des jeunes gar�ons
(consid�r�e comme normale dans certains pays) est plus pr�s de la normale que
l'attirance envers, non seulement les hommes adultes, mais les hommes apr�s la
pubert�. "
On conna�t les th�ories de Kinsley, dont le
Rapport a eu un effet consid�rable sur la lib�ration des m�urs dans les ann�es
70 : il consid�rait les perversions sexuelles comme des ph�nom�nes purement
culturels !
Quel nom pourrait-on mettre sur la th�orie
r�volutionnaire qui a fait passer la sexualit� transg�n�rationnelle de
discr�tement tol�rable � totalement inadmissible (quel que soit le prix � payer
pour son �radication) ? Comment en est-on venu � enclencher un ph�nom�ne
d'�puration sociale � la mesure des moyens m�diatiques et policiers dont nous
disposons ?
Il appara�t qu'aucune d�couverte majeure
sur les cons�quences av�r�es de la sexualit� mineurs/adultes n'explique que
l'on soit pass� d'une r�pression modul�e � une quasi condamnation � mort par
voie carc�rale. Ni l'abondance des publications sur le sujet (qui se r�pliquent
l'une l'autre), ni l'omnipr�sence et l'installation � demeure du sujet dans les
m�dias, ne tiennent lieu de th�orie explicative d�montrant avec toute la
rigueur scientifique requise les dangers de l'abus.
Nous �tudierons plus loin le vocabulaire et
la phras�ologie constitutifs du discours sur l'abus. Notons d�j� que le terme child
abuse d�signait au d�part, prioritairement, les abus physiques et que l'on
a gliss� peu � peu vers la notion dominante d'abus sexuel.
Les travaux de Bauserman montrent clairement
que rien ne semble autoriser l'extension de la notion originelle d'abus, qui
impliquait toujours une id�e de contrainte et/ou l'existence d'un carcan
incestueux. En fait, on a d�calqu� la pression morale souvent pr�sente en
cas d'inceste sur les autres formes de sexe transg�n�rationnel.
Pour en revenir � Darwin que nous avions
sollicit� au d�but de notre pr�sentation, force est de constater qu'une
majorit� de nos concitoyens est convaincue d'avoir pour anc�tre une algue
bleue. Et pourtant, la Justice ne condamne pas ceux qui croient et proclament
que Dieu nous a sortis d'un grand chapeau au milieu des dromadaires et des
libellules !
L'approche du Dr Bauserman est radicalement
diff�rente de celle de la plupart de ses coll�gues, auteurs d'ouvrages ou
d'opuscules sur le sujet. Il ne proc�de pas par p�tition de principe mais tire
ses conclusions de l'examen de donn�es statistiques. Pour �valuer les
cons�quences de l'abus, il s'int�ressera � des �tudes questionnant le sujet
devenu adulte sur deux points essentiels :
� la r�action imm�diate qu'il se
souvient avoir eue et/ou l'impression r�trospective qu'il en a gard�.
� l'influence qu'� son avis cette
exp�rience a pu avoir sur sa vie sexuelle en particulier et sur sa vie en
g�n�ral.
Apr�s avoir recueilli la vision du sujet sur
sa propre exp�rience, il s'int�ressera � la mesure objective de son
�quilibre g�n�ral (compar� � celui de sujets n'ayant aucun ant�c�dent
d'abus). Nous diviserons notre commentaire en trois parties principales :
� Nous rappellerons tout d�abord les points
essentiels du rapport Bauserman, et expliquerons ce qui en fait, � notre avis,
un rapport capital.
� Nous nous int�resserons ensuite � ceux que
nous appellerons "les sectateurs de l'abus". Il s'agit de tous ceux
pour qui un int�r�t professionnel ou personnel prime la v�rit�. Nous verrons
pourquoi ceux-ci affichent � peu pr�s tous les m�mes certitudes, que nous
opposerons aux conclusions diff�rentes tir�es par Bauserman. Nous verrons
pourquoi les lobbies de l'abus ne rencontrent aucune r�sistance.
� Nous ferons un parall�le entre le discours
actuel sur l'abus et le discours du XIX�me si�cle sur la masturbation, sujet
d�velopp� par Michel Foucault dans ses cours au Coll�ge de France.
� Avant de conclure, nous tenterons de
d�gager des raisons plus profondes, susceptibles d'expliquer l'ampleur du
ph�nom�ne "d�abusification" que nous connaissons.
Bauserman pr�sente un rapport sur les effets
de ce qu'il est convenu d'appeler, depuis quelques ann�es, l'abus sexuel sur
enfant.
Il insiste sur la n�cessit� de travailler,
lorsque cela est possible, sur des cas repr�sentatifs de la population dans son
ensemble plut�t que sur des �chantillons cliniques comprenant uniquement des
patients en traitement. Comme le soulignait d�j� Kinsey Note 6 :
" Les th�ories courantes sur les
perversions sexuelles sont trop souvent fond�es sur l'exp�rience des gens du
monde qui se font soigner dans les cliniques. "
Un malade en th�rapie pourra avoir v�cu une
exp�rience d'ASE sans que celle-ci explique n�cessairement les troubles
ressentis. La m�diatisation � outrance de l'ASE et la multiplicit� des
sympt�mes qui lui sont associ�s (presque tous, nous le verrons) peuvent inciter
un malade � attribuer � l'ASE les troubles qu'il ressent. Le ph�nom�ne est
connu : on ouvre un livre de m�decine et on se croit malade ! Tel malaise
anodin n'est-il pas le signe avant-coureur de cette maladie que justement nous
craignons ?
Quant aux �chantillons judiciaires (qu'il
utilise aussi), ils ne sont pas repr�sentatifs non plus de l'ensemble des
situations d'ASE.
Soit l'enfant est v�ritablement victime d'un
individu violent ou d'un manipulateur dont les assiduit�s lui p�sent : il
s'agit bien alors d'une grave agression ou d'une atteinte sexuelle,
certainement pr�judiciable.
Soit (c'est la grande majorit� des cas)
l'adulte est d�nonc� par un voisin, un travailleur social, une m�re jalouse,
une �pouse en proc�dure, etc. Le r�le des policiers et des experts est bien
souvent de faire comprendre et admettre � l'enfant qu'il est
"victime" d'un "agresseur". L'approche peut-�tre tentante
pour un mineur qui, � ce stade, en veut souvent � l'adulte non de l'avoir
abus�, mais de l'avoir mis en situation de voir sa vie priv�e sond�e par la
police Note
7, expos�e � ses
parents et parfois m�me publi�e dans le journal. Le r�le de "victime"
est quand m�me plus facile � endosser que celui de "petit p�d�".
L'ado aura bien du mal � ne pas saisir la perche que lui tendent ceux qui
souhaitent orienter l'enqu�te dans un sens pr�d�termin� : la toute innocence
bafou�e par le mal absolu Note 8.
Dans les affaires d'abus satanique aux �tats-Unis Note 9, on voit bien comment les experts ont
r�ussi, non sans mal, � dicter aux mouflets ce qu'ils voulaient entendre. Dans
son livre Note
10 , le Dr Lopez nous
dit : "le psychiatre doit aider l'enfant � mettre des mots sur ce qu'il a
ressenti". Aux E.U., le Dr Alvin d�clare que lorsqu�un enfant nie avoir
�t� violent�, c'est "alors la d�fense supr�me contre un traumatisme dont
l'int�gration s'av�re impossible". Ce genre de th�orie infond�e nous m�ne
tout droit � deux aberrations :
� le sp�cialiste, mu par un �norme
"d�sir d'abus", manipule l'enfant et l�incite � parler d'actes
imaginaires ;
� ou alors il reformule le discours de la
victime consentante. Il ne peut s'agir, pour lui, que d'un consentement non
�clair�. Celui-ci �quivaut � un refus, ce qui, "logiquement",
implique qu'il y a eu viol !
Tester la validit� de cette th�orie est un
enjeu de taille dans le syst�me judiciaire fran�ais actuel. Le nouveau Code
P�nal semblait pourtant bien intentionn�. Il s'agissait de garantir la libert�
sexuelle tout en prot�geant les plus faibles des violences sexuelles. Le
Code parle d'atteinte sexuelle (art. 227-25 � 29) � il peut s'agir d'une
sodomie � pour un acte consenti avec un moins de 15 ans. La peine peut aller jusqu'�
2 ans de prison et 200 000 F d'amende. Mais si le mineur, pour se d�douaner et
sous la pression de ses questionneurs, d�clare qu'il n'en avait pas vraiment
envie Note
11 et que c'�tait
surtout pour faire plaisir � l'adulte, on a alors affaire � un viol et c'est
une peine de 20 ans qui est encourue. En fait, quelles que soient les
d�clarations du mineur, les atteintes sexuelles sont g�n�ralement requalifi�es
en viols ou en agressions sexuelles, en toute ill�galit� puisque le Code
stipule que la "surprise" Note 12 ne peut venir de l'�ge du mineur.
Nous reviendrons constamment sur les
graves cons�quences judiciaires des th�ories ambiantes sur l'abus sexuel.
On conviendra donc avec Bauserman de la n�cessit�
d'examiner l'ASE et ses effets, en les extrayant de la gangue parasite
constitu�e par le d�clenchement de l'action judiciaire.
Les �chantillons pertinents sont appel�s �chantillons
de probabilit� nationaux. Ils sont constitu�s par des ensembles de sujets
ayant v�cu pendant leur enfance ou leur adolescence une relation sexuelle avec
quelqu'un de nettement plus �g� qu'eux sans que les autorit�s soient alert�es.
Il est fort possible, quand on y pense, que les �chantillons non teint�s de
judiciarit� se fassent rares dans les ann�es � venir ! Des campagnes incitent
r�guli�rement nos concitoyens � signaler toute situation �quivoque. On fait
m�me obligation aux professionnels de rapporter aux autorit�s tout cas d'abus
dont ils auraient connaissance Note 13.
On peut aussi craindre que nombre de personnes concern�es, alarm�es par les
m�dias et la vulgarisation, se croient d�sormais en sursis de maux � venir
provoqu�s par leur exp�rience d'ASE...
Fort de ces �chantillons repr�sentatifs,
Bauserman se livre donc � une analyse comment�e de donn�es statistiques
expos�es sous forme de tableaux. On notera qu'il a utilis� toutes les �tudes
disponibles. Il s'oppose en cela aux m�thodes des sp�cialistes dominants qui
font preuve d'une attention s�lective en ne s'occupant que des �tudes
susceptibles de confirmer leurs pr�jug�s de d�part.
Examinons maintenant quels enseignements
essentiels Bauserman tire de l'examen de ces �tudes statistiques.
"Abusus non tollit usum" Note 14
H�l�ne Manseau, universitaire de renom et
professeur � l'Universit� de Montr�al, est aussi Docteur en criminologie.
Mandat�e par le Minist�re de la Justice du Qu�bec, elle a men� des recherches
sur l'�valuation et le traitement des d�linquants sexuels. Dans un livre paru
en 1990 Note
15, elle �crit :
" il est impossible de d�finir en
quoi consiste l'abus sexuel, la fronti�re entre ce qui est permis et ne l'est
pas �tant laiss�e � la discr�tion des agents charg�s de l'identifier
(l'abus). "
Cependant, les observations faites par Bauserman
permettent de donner une d�finition simple et convaincante de l'abus � si l�on
accepte toutefois de d�passionner le d�bat.
Toute relation v�cue comme ind�sirable par
le mineur peut �tre appel�e "abus". Elle entra�nera des r�actions
n�gatives, lesquelles peuvent avoir des r�percussions sur l'�quilibre pr�sent
et futur de la victime. Il faut observer avec Bauserman que l'effet engendr�
peut aller d'un sentiment de g�ne passager, ou plus durable, � un traumatisme
r�el. Des cons�quences graves sont donc possibles. Elles sont heureusement fort
rares, et se trouvent g�n�ralement associ�es � la violence et � l'inceste. Nous
reviendrons, par ailleurs, sur une red�couverte fondamentale : la diff�rence de
r�action entre filles et gar�ons, ces derniers ayant, contrairement aux id�es
re�ues, des r�actions largement plus positives.
Il appara�t que la plupart des actes que les
sp�cialistes qualifient d'abus, ou m�me de viols, ne sont pas v�cus
n�gativement par le sujet. En cons�quence, ils n�entra�nent pas d'effets
n�gatifs Note
16. En outre, parmi
les actes contraints ou extorqu�s, seule une fraction infime causera les graves
traumatismes dont les publications pseudo-scientifiques nous assurent qu'ils
sont la r�gle dans tous les cas de sexe transg�n�rationnel.
Le Dr Coutanceau Note 17 l'a clam� haut et fort dans tous les m�dias
: aucun enfant n'a jamais pu consentir � un rapport sexuel avec un adulte.
Qu'est-ce qu'un enfant ? Qu'entend-on par consentir ? Et quelle est la valeur
historique et sociologique du mot "jamais" ? Mais nous reparlerons
plus loin du discours des champions de l'abusiness (l'abus-business).
Notons d'ores et d�j� que Bauserman
s'insurge avant tout contre les mensonges prof�r�s au nom de la science.
Il observe que le sexe trang�n�rationnel produit le plus souvent sur les sujets
masculins observ�s des effets neutres, voire positifs. Cela ne lui conf�re pas
automatiquement une l�gitimit� sociale ou morale.
Les parents restent libres de penser qu'une
sexualit� trop pr�coce sera moins propice aux apprentissages. La soci�t� pourra
trouver pr�f�rable, en l'�tat, de favoriser une sexualit� r�duite � quelques
vari�t�s domestiqu�es, des mod�les standardis�s (sinon orthodoxes) mieux
ciblables commercialement (la garce siliconn�e, l'homo clone...).
Il est vrai que la vision sociale de
l'orthodoxie laisse parfois songeur... On peut se demander pourquoi il est
criminel de visionner les �bats de jeunes gens quasi majeurs Note 18, alors que le sado masochisme scatophage
entre adultes appara�t comme une variation acceptable ! Le Code P�nal ne
sanctionne jamais la coprophilie, mais il consid�re qu'au-dessous de 15 ans il
y a toujours abus. On notera tout de m�me que les sanctions pr�vues pour
l'atteinte sexuelle sont relativement mod�r�es. Le l�gislateur pr�conise une
peine maximale de deux ans Note 19.
On peut trouver l�gitime de l'appliquer en cas de stratag�me douteux destin� �
obtenir les faveurs de jeunes enfants encore peu conscients. Fixer un �ge pour
la majorit� sexuelle n'implique cependant pas de condamner lourdement et
syst�matiquement tout acte commis avant le fatal anniversaire. Il s'agit plut�t
de donner au l�gislateur et � la soci�t� un droit de regard afin
d'�viter les outrances propres � toute sexualit� mais encore plus inacceptables
si de jeunes enfants ont � en p�tir.
Mais nous sommes loin de cette vision
raisonnable qui semble bien correspondre, pourtant, aux intentions premi�res
des r�dacteurs du nouveau Code... Nous assistons, au contraire, � une
simplification mensong�re cautionn�e par des th�rapeutes carri�ristes et � une
extension progressive du champ du viol au d�triment de l'atteinte.
Toutes ces actions �tant, bien s�r, men�es
au nom des droits de l'enfant Note 20 et
sous le haut patronage du d�mon du Bien... En y regardant de plus pr�s, on s�aper�oit
que l'enfant, en mati�re sexuelle, a surtout le droit de revendiquer ce que les
adultes veulent pour lui ! En gros, il faut lui apprendre � dire
"non" et bien le persuader que tout acte de plaisir tabou
implanterait en lui un "�uf d'Alien" Note 21 qui un jour, c'est s�r, le d�vorerait de
l'int�rieur...
C'est un stratag�me courant dans les sph�res
de l'abusiness que d'�voquer "l�homosexualit�" grecque quand il
s'agit en fait de p�d�rastie. Lancer pr�matur�ment Gide et Monterlant dans le
brasier p�dophile, ce serait risquer d'en �touffer la flamme, de temp�rer
l'horreur absolue. Alors Gide, Montherlant et les autres deviendront
homosexuels... et respectables. Dans son num�ro du 24 juin 1997, France-Soir
affiche sur toute sa premi�re page la photo d'une statue d'�ph�be avec cette
l�gende :
" entre la statue du bel �ph�be et
le sordide catalogue proposant des photos d'enfants nus, tout ce qui s�pare le
culte du corps juv�nile et la r�alit� crasseuse de l'utilisation de l'enfant
comme objet de plaisir. "
L'histoire grecque r�invent�e. On ne peut
rien contre l'ignorance crasse et la d�sinformation plastronn�e � la une. Qui
peut nier, pourtant, que l'�raste adulte vivait avec son bel �rom�ne des
rapports charnels ? Ce dernier �tait s�duit par son amant sit�t la pubert�
atteinte, entre l'�ge de 12 et 15 ans. Vases et amphores de toutes �poques nous
pr�sentent des sc�nes d'hommes et d'�ph�bes copulant joyeusement... Nul doute
que les Grecs anciens, avides d'imagerie �rotique, eussent �t� aujourd'hui de
fieff�s vid�rastes !
La p�d�rastie est vieille comme le monde.
Bauserman l'a red�couverte en �tablissant scientifiquement que les gar�ons
r�agissaient de fa�on beaucoup plus positive que les filles.
Le gar�on, � moins qu'on ne le bride, a soif
d'aventures et d'exp�riences nouvelles. La fille, bien souvent, vit son premier
rapport comme une invasion de son corps. Les f�ministes radicales en restent
d'ailleurs � ce stade m�me si, fort heureusement, la majorit� des femmes �volue
!
Cette diff�rence de r�action appara�t dans
toutes les �tudes reprises par Bauserman. Les jugements de Cour, qui l'ignorent
sans doute, n'en tiennent aucun compte. Au contraire ! Les juges, aiguillonn�s
par les psys corrects, estiment souvent que c'est plus grave. Le gar�on,
f�minis�, ne court-il pas le risque de voir sa vie sexuelle adulte perturb�e ?
Ne s'agit-il pas d'un double viol ?
� la volont� irr�sistible de l'adulte
s'exerce sur le pauvre enfant apeur� ;
� en outre, celui-ci se voit ni� dans sa
masculinit�.
Bauserman montre clairement que, lorsque
l'adolescent est consentant, cette hypoth�se n'a aucun fondement.
Le Dr West, en 1968, parvenait d�j� au m�mes
conclusions. Sur la base des �chantillons judiciaires disponibles � l'�poque,
il constate :
" qu'aucun exemple de violence n'a
�t� constat� pour les gar�ons... ceci n'est pas vrai pour ceux qui s'en sont
pris � des filles... quelques uns d'entre eux ont fait usage de la pire
violence... 8% avaient �t� condamn�s pour d'autres causes. "
Il est essentiel de lutter contre les
"abus textuels". Bauserman nous rappelle l'effet stigmatisant des
�tiquettes pos�es sur les actes et les dangers de la classification.
Les ouvrages sur l'ASE, qui devraient avant
tout �tudier, analyser et d�montrer, ne sont le plus souvent que de longues
diatribes indign�es. Gr�ce � quelques mots-valises que l'on se garde bien de
d�finir, on cultive les pr�jug�s du lecteur. Associer au mot "enfant"
des termes tels que "viol", "agression" ou
"traumatisme", voil� qui ne peut susciter dans le public que des
r�actions de rejet haineuses. On parlera des "salauds qui font �a"
sans tri et sans distinction.
Il faut rappeler l'influence contaminante du
jargon anglo-saxon qui, pour un acte sexuel interdit, parle de molestation Note 22, un mot qui en fran�ais implique une
violence physique. Le mot crime a un sens beaucoup plus faible en
anglais. Sex crime d�signe g�n�ralement un d�lit sexuel et rarement un
assassinat.
On note aussi des associations d'id�es hasardeuses
plus ou moins en phase avec l'actualit�. C'est ainsi que la p�dophilie est
aujourd'hui assimil�e � une sorte de crime psychologique dont l'effet
serait comparable � celui de la bombe � neutrons, n�e aux Etats-Unis � peu pr�s
en m�me temps que cette th�orie ! L'explosion laisse l'ext�rieur intact, mais
dedans tout est d�truit. L'enfant a l'air bien portant, mais il est d�moli �
vie...
Le SIDA a �galement contribu� � contaminer
notre pens�e associative : suite � un abus, l'enfant devient "traumapositif".
Il porte en germe un mal-�tre ou un suicide � venir !
Toute �lucubration jargonnesque visant �
prouver que l'abus est toujours gravissime sera la bienvenue et b�n�ficiera
d'une bonne couverture m�diatique.
Cette dramatisation du vocabulaire, ce d�faut
d'ad�quation entre le terme employ� et l'acte qu'il d�signe ont largement
contribu� � la stigmatisation de l'abus et aux d�rives p�nales.
On remarquera, pour finir, que les ASE
film�s en vid�o sont toujours qualifi�s de "viols" sans que l'on ait
m�me identifi� l'acteur et donc pu �valuer son niveau de consentement. A ce
propos, il arrive (jamais en France) qu'un inconscient haut plac� s��crie :
"le roi est nu !". Duncan Shaw, juge � la Cour supr�me de Colombie
britannique (Canada), d�clare que :
" le code criminel canadien, qui
interdit la possession de mat�riel pornographique p�dophile, viole la Charte
canadienne des lois et libert�s qui garantit la libert� de pens�e, de croyance,
d'opinion et d'expression. "
Le m�me juge souligne que, m�me si la pornographie
enfantine peut �tre pernicieuse, aucune preuve ne d�montre qu'elle
pr�sente un danger pour les enfants Note 23.
A chaque rafle vid�o, on nous a pr�sent� le
m�me b�b� en couches-culottes en �tat d'abus pr�sum�... Image affligeante,
certes, mais image de propagande Note 24.
Qui a jamais cherch� � �valuer, parmi tous les films saisis, le pourcentage de
ceux qui t�moignent, � l'�vidence, du plaisir joyeux qu'ont pris les mod�les
pendant le tournage ? Un plaisir qu'il faut, � toute force, mettre sous le boisseau...
Jusqu'� ces derni�res ann�es, les bourreaux
frappaient et insultaient leur prog�niture. Aujourd'hui, ce sont les violences
sexuelles qui sont mises au premier plan. L'int�r�t supr�me de l'enfant n'est
donc pas l'enjeu principal, puisque les violences physiques sont beaucoup plus
fr�quentes et qu'elles sont aussi beaucoup plus dommageables que l'abus sans
violence. Bauserman montre qu'elles peuvent laisser chez l'enfant battu des
s�quelles durables et qu'elles sont en rapport avec des difficult�s scolaires,
de moins bonnes perspectives d'adaptation � la vie sociale et des probl�mes
d'�quilibre psychologique. Il arrive que des violences sexuelles s'ajoutent aux
violences physiques, cr�ant un climat indiscutablement dommageable pour
l'enfant.
Mais il se trouve que les abus physiques se
vendent beaucoup moins bien que les abus sexuels, qui se pr�tent mieux � une
exploitation de type id�ologique (f�minisme hard, f�minocentrisme). L� encore,
gare � l'outrance, et gardons-nous de confondre la maltraitance caract�ris�e
avec une occasionnelle paire de claques !
Quand on associe abus et milieu,
c'est souvent pour affirmer que les pr�dateurs sexuels s'introduisent comme des
loups dans les bergeries pauvres afin d'y exploiter la mis�re. On ne dit jamais
qu'un ado maltrait� ou d�laiss� peut �tre amen� � briser le tabou du sexe
transg�n�rationnel par besoin vital d'attention et d'affection. L'enfant
poss�de un sens inn� de la conservation : il pr�f�rera naturellement le
s�ducteur au tourmenteur. Les psys de service ont alors beau jeu de pr�tendre
qu'il s'agirait d'une simple qu�te de tendresse d�voy�e en sexualit� par
l'adulte captateur. Ils ne se privent pas de brandir des concepts ronflants
tels que "l'auto-leurre" de l'adulte et parlent du "d�ni
d'alt�rit�" dont celui-ci ferait preuve.
Les recherches de Bauserman montrent que la
dimension sexuelle de la relation n'entra�ne aucun effet n�gatif dans un tel
cas de figure. Un rapport durable v�cu dans un contexte amical aura le plus
souvent des effets positifs Note 25.
La plupart du temps, un lien fort subsistera apr�s la fin de l'�pisode sexuel.
En fait, les situations peuvent �tre fort
diverses en fonction de la qualit� des protagonistes. Si l'adulte n'est pas
toujours � la hauteur dans son r�le de protecteur et d'initiateur, il est
rarissime qu'il se r�v�le �tre le monstre que l'on se pla�t � d�peindre...
Bauserman montre bien que c'est le milieu,
et en particulier les conditions �conomiques, qui influent sur le d�veloppement
intellectuel et cognitif de l'enfant. Mais il est bien s�r plus facile de
d�signer des boucs-�missaires � la vindicte de ceux qui souffrent de ch�mage et
de pr�carit� que d'envisager un meilleur partage des richesses... On sait en
outre qu'en d�pit de Note 26 discours
de plus en plus �galitaristes, l'�cole est de moins en moins l'ascenseur social
qui devrait permettre aux enfants dou�s des classes modestes de r�ussir en
fonction de leurs m�rites.
Il y a tout lieu de craindre que cette
extension dangereuse de la notion d'abus, cette pr�occupation permanente et
soup�onneuse de tout, ne dilue une attention qui devrait se porter
uniquement sur les cas lourds d'abus r�els et de maltraitance physique.
Mais il est certain que la vraie violence fait peur et que les p�res
cogneurs ne sont pas toujours tr�s accueillants avec les assistantes sociales.
" Il y a deux fa�ons de
s'�lever : par sa propre industrie, ou par l�imb�cillit� des autres "
(LA BRUYERE).
Avant de voir sur quel terreau social ont
pouss�, d�mesur�ment, les nouvelles th�ories de l'abus, examinons quels en sont
les propagateurs. Voyons un peu � qui le "crime (sexuel)" profite...
F�ministes et th�rapeutes partagent avec les
p�dagogistes, les supp�ts de l'Art moderne et quelques autres, un jargon
scientifico-cabalistique cens� en imposer et surtout �viter toute d�monstration
rigoureuse. Tous deux ont l'art d'enrober le mensonge dont Goebbels disait
justement : "Plus il est gros et plus il a de chances d'�tre cru."
F�minisme dur et th�rapie sexuelle ont aussi
un autre point commun : ils sont tous les deux n�s aux �tats-Unis. On r�siste
au ma�s transg�nique am�ricain, dont on ignore l'effet qu'il peut avoir � long
terme sur la sant� humaine. On devrait aussi cesser de gober, sans
discrimination et avec quelques ann�es de retard, toutes les id�es qui ont fait
recette aux States...
Il faut rappeler l'importance du puritanisme
et du fondamentalisme protestant aux Etats-Unis. Sait-on que la sodomie et la
fellation restent des d�lits (sex crimes ) dans certains Etats ?
Se souvient-t-on que dans certains Etats
l'�ge l�gal du mariage est fix� � 12 ans, alors que l'�ge de consentement (pour
avoir des rapports sexuels) est de 18 ans ! Ne trouvons-nous pas bizarre qu'un
Etat d�pense 80 millions de dollars pour enqu�ter sur une pipe extra-conjugale
de son pr�sident ? Est-il d�cent que l'homme qui a failli �tre destitu� pour
une g�terie soit f�licit� d'avoir provoqu� artificiellement une guerre �vitable
qui a caus� la mort de milliers d'innocents Note 27 ?
Quant � cette culture gaie, am�ricaine elle
aussi, n'est-ce pas une ghetto�sation de l'homosexualit� naturelle, une fa�on
de la circonscrire, de la contr�ler et de la consum�riser Note 28?
L'Am�rique se caract�rise bien par un vieux
fond prohibitionniste qui surprend l'Europ�en moyen. La r�pression de l'ASE
s'explique plus facilement outre-Atlantique. Il est en effet logique de
surveiller la sexualit� enfantine si on estime d�j�, a priori, que tout sexe
non procr�atif est une faute, un p�ch� qui demande repentance (on se souvient
des piteux mea culpa de Clinton).
Les beaut�s hollywoodiennes font r�ver
l'am�ricain moyen. Voyeur frustr�, imbib� de sucre et noy� de graisse Note 29, il fait du lard... et des dollars. En
France, en Europe, nous nous vantons de consid�rer la sexualit� comme un
facteur d'�panouissement. Il est bon de faire du sexe m�me sans d�sir
(Viagra). Comment donc ce qui appara�t si d�sirable, si indispensable pour
l'adulte pourrait-il se r�v�ler profond�ment destructeur au-dessous d'un �ge
(lequel ?) fix� arbitrairement par l'auteur de la diatribe ?
Les nouveaux sectateurs, en mal de
client�le, parlent d�sormais conjointement de p�dophilie et d'adolescentophilie
Note
30 ! Eph�bophilie
aurait une connotation trop grecque, trop noble... A l'�vidence, on sent une
volont� d�lib�r�e de sombrer dans le pathologique, � tout prix Note 31 !
Examinons maintenant chacune des deux sectes
et �tudions-en les caract�ristiques qui peuvent int�resser notre �tude.
A la recherche des causes de l'hyst�rie
collective qui a balay� l'Am�rique et le monde Note 32, Bauserman �voque le Mouvement des Femmes.
Naturellement, il ne s'agit pas de l'ensemble des femmes mais d'une petite caste
oisive ou exer�ant ce qu'Alain Soral appelle "les faux m�tiers de la
communication" Note 33.
Leurs pr�occupations sont bien �loign�es de celles de la plupart de nos
concitoyennes astreintes � une double journ�e, oblig�es de cumuler les soins
domestiques et familiaux avec un travail ext�rieur.
Les �tats-Unis ont certainement produit les
f�ministes les plus d�lirantes. La terreur qu'elles font r�gner leur vaut le
doux surnom de feminazes. On pense, entre autres monstres, � Andrea
Dworkin, cit�e par Edward Behr dans un livre Note 34 capital et angoissant Une Am�rique qui
fait peur. Cette lesbienne Note 35, n'ayant aucun int�r�t � �pargner le sexe rival, �crit le plus
s�rieusement du monde :
" la seule diff�rence entre le
viol et la s�duction est qu'avant, le violeur se donne la peine d'acheter une
bouteille de vin. "
C'est ainsi qu'il faut sans cesse aller plus
loin dans la mise en cause du m�le. Chaque couillonnade gob�e fait monter d'un
cran l'outrance suivante et ouvre un cr�neau juteux � la plus rapide. Tout le
mal-�tre f�minin aura pour cause les turpitudes masculines. Du viol des femmes
on arrivera � l'inceste, que l'on �tendra � la p�dophilie. Des fl�aux tellement
r�pandus, � les entendre, qu'ils doivent devenir la premi�re pr�occupation des
femmes, un ciment pour leur union, un motif de mobilisation g�n�rale.
Faute du moindre �l�ment concret, on aura
recours � l'abus satanique, une accusation que toute flipp�e Note 36 pourra lancer sans l'ombre d'une preuve.
N'est-il pas logique que l'immonde fornicateur, enfin d�masqu� par des femmes
h�ro�ques, assouvisse une ultime rage en buvant le sang de b�b�s sodomis�s ?
En dernier recours, le malaise de la femme
pourra s'expliquer par un "abus oubli�" v�cu dans la petite enfance.
C'est la th�orie dite de "la m�moire retrouv�e". Les sp�cialistes
l'affirment : "Si vous avez l'impression d'avoir �t� abus�, c'est que vous
l'avez �t�" Note 37.
Il faut se souvenir que l'actuelle Ministre
de la Justice des �tats-Unis, Mme Reno, qui a b�ti sa carri�re sur une hantise
obsessionnelle de l'abus, "a montr� en tant que procureur sa conviction
acharn�e en ce qui concernait la culpabilit� de pr�venus accus�s d'abus sexuels
sur la seule base d'une m�moire retrouv�e" Note 38. Bauserman rappelle le r�le fondamental que
le premier magistrat du pays le plus puissant du monde a jou� dans la
pers�cution et la torture morale de faux coupables � dont un enfant � et de
fausses victimes marqu�es � vie par des interrogatoires traumatisants. Le
F.B.I. vient aussi de reconna�tre Note 39 que
la secte Wacko ne s'�tait pas immol�e par le feu en 1993, mais que Reno avait
ordonn� l'assaut suite � de fausses all�gations d'abus ! Au cours de
l'op�ration, des engins incendiaires avaient �t� utilis�s, ce qui avait caus�
la mort de 85 personnes dont beaucoup d'enfants.
Malgr� tout cela, il n'est pas question, �
ce jour, d'extrader Mme Reno vers La Haye...
Nous ne sommes pas � l'abri, loin s'en faut,
de la terreur f�minaze qui a secou� l'Am�rique. Le cyclone yankee a accouch� de
l'ouragan qui nous secoue. Freudisme de cuisine et psychologisme r�ducteur sont
partout. Alain Soral fustige un fatras d'id�es qui "pose la diff�rence de
l'esprit f�minin comme une force progressiste en soi, et m�me comme une
alternative souhaitable" Note 40 justifiant
par "la cause des femmes l'arrivisme vulgaire de n'importe quelle p�tasse.
Un mouvement en phase avec l'id�ologie dominante et sa f�minisation programm�e
via la parit�" Note 41.
Cette fameuse parit�, qui agite surtout la
caste communicante dont nous avons parl�, postule bien s�r que les femmes ont
les m�mes comp�tences que les hommes, mais surtout qu'il existe des secteurs o�
elles seules peuvent agir : des zones r�serv�es o� les hommes
seraient ind�sirables. Si de tels secteurs n'avaient pas exist�, il aurait
d'ailleurs fallu les inventer pour justifier la l�gitime et in�luctable
ascension f�ministe. Par bonheur, il y avait la Protection de l'Enfance...
Mme S�gol�ne Royal, grande chouchoute des
m�dias, est sans doute un des meilleurs repr�sentants de cette tendance. Il ne
se passe pas une semaine sans qu'on la voie dans tous les m�dias annoncer que
tout ce qu'on avait n�glig� avant elle serait d�sormais pris en compte :
p�docentrisme infantilisant, citoyennet� � toutes les sauces, lutte contre le
bizutage. Les �l�ves difficiles ou inadapt�s au syst�me sont cens�s ne plus
exister. Les structures sp�cifiques peuvent donc �tre supprim�es au profit de
classes fourre-tout o� chacun est cens� progresser � son rythme... Maternage et
morale citoyenne sont r�put�s rem�dier � l'inad�quation et au manque de
performance d'un syst�me tentaculaire. On notera que dans le tandem
Royal-All�gre c'est ce dernier qui prend tous les coups, la premi�re semblant
jouir d'une totale immunit� m�diatique, quoi qu�elle fasse...
Il n'est pas indiff�rent de se souvenir que
la premi�re campagne de cette ministre fut la lutte contre "la p�dophilie
� l'�cole", une v�ritable folie m�diatique � en 1997 �, qui causa le suicide
de plusieurs innocents, ce genre de croisade �tant l'aubaine des
calomniateurs, ma�tres chanteurs et exag�rateurs de tout poil !
Avant d'�tre nomm�e ministre, madame Royal
commentait dans Le Nouvel Observateur le livre de Mme Bouillon,
substitut � Bobigny, intitul� Viol d'anges Note 42. A propos des abus sexuels, elle nous
disait :
" Pourquoi si peu d'action face �
un fl�au connu depuis si longtemps ? Il a fallu attendre qu'existent davantage
de femmes dans la police. Faudra-t-il attendre qu'il y ait davantage de femmes
� la t�te des pays du monde entier pour que ce probl�me soit pris � bras le
corps ? On voit bien en quoi une sous-repr�sentation des femmes en politique
est lourde de cons�quences. "
On voit bien aussi que, dans la mesure o� il
peut �tre instrumentalis� et mis au service de l'ascension de la femme, l'abus
sexuel est appel� � devenir un sujet prioritaire, essentiel dans la mise en
�uvre d'une tactique annonc�e. L'homme est clairement suspect de pouvoir violer
l'enfant ou de couvrir le viol des autres...
Quelques mois apr�s cet article, Mme Royal
�tait d'ailleurs nomm�e Ministre de L��ducation Nationale ! Ne pas lui donner
un poste qui la mettait en situation de prot�ger l'enfant, n'�tait-ce pas se
faire complice de ces violeurs dont les hommes au pouvoir ont assur�
l'impunit�, sans doute par "esprit de corps" ?
De la m�me fa�on, alors que l'Am�rique ne
br�lait plus que pour les viols, le satanisme et la p�dophilie, on a nomm�
Ministre de la Justice celle qui s'�tait sombrement illustr�e dans ce type
d'affaires. On se souvient du carnage de Wacko, mais on oublie souvent de dire
que la bombe plac�e dans l'immeuble f�d�ral � Oklahoma City (167 morts) �tait
charg�e de venger les victimes innocentes de la secte incendi�e...
Il devrait para�tre curieux � un observateur
"persan" qu'une pol�mique sans fin se soit engag�e en France sur le
terme "sauvageon" Note 43,
alors que personne n'a m�me song� � contester � Mme Royal et � sa cons�ur
Bouillon le droit d'appeler "ange" un adolescent tout vibrant d'�mois
pubertaires ! On notera encore une fois le caract�re id�ologique de tout ce
braquage m�diatique et de la terminologie aff�rente.
Cela nous ram�ne � nouveau au probl�me
essentiel du vocabulaire employ�.
Voyons par exemple comment est utilis� le
mot "enfant". Pour deux gar�onnets de 10 ans meurtriers d'un bambin
de 2 ans Note
44, France Info Note 45 parle "d'adolescents de 10 ans".
Pour trois jeunes filles de 17 � 20 ans assassin�es en 1997 par des
ferrailleurs boulonnais, la presse parle alors "d'enfants". Il s'agit
donc, contre toute vraisemblance Note 46,
d'adult�rer pr�cocement les deux petits meurtriers afin de les rapprocher �
dans une optique f�minaze � de l'homme et de sa dangerosit� naturelle. De
l'autre c�t�, il faut infantiliser les malheureuses jeunes filles afin de les
agr�ger artificiellement au champ p�dophile ; on cr�e ainsi un catalogue de
victimes bien fourni pouvant servir � tout justifier...
Une nouvelle id�ologie est n�e. "Dans
l'imaginaire collectif, la femme sexuellement opprim�e a remplac� le
prol�taire". Note 47
La femme moderne est aussi la voix du pantin muet et ang�lique qu'est cens�
�tre l'enfant...
L'Internationale f�minaze arrive �
point nomm� pour donner un os � ronger aux victimes de la situation �conomique.
Elle leur offre l'image abhorr�e du p�dophile friqu� qui suce le sang des
enfants du peuple. Elle transforme les parents des victimes de l'ignoble et
atypique Dutroux en leaders d'un parti Blanc, pour qui la
"p�dophilie" serait � l'origine de tous les maux du si�cle.
Capitalisant sans honte sur la douleur supr�me, elle envoie Mme Russo Note 48, m�re courage et proie facile pour la
nouvelle id�ologie, plaider � Rome Note 49 pour que la p�dophilie (et � terme, sans doute, la dissension
morale et sexuelle) deviennent des crimes contre l'humanit�. T�che sans aucun
doute prioritaire pour la future Cour criminelle internationale...
Madame Dworkin et le culte goudou Note 50 ont toutes les raisons de se r�jouir. Mais
pour le couple am�ricain moyen, c'est un d�sastre. Selon le Dr Lauman de
Chicago, 43% des hommes am�ricains ont des troubles sexuels. Ceux-ci seraient
dus en particulier � "des tiraillements dans le couple et � une
inhibition des hommes face au f�minisme agressif... Ils surviennent
surtout chez les jeunes du fait de l'inexp�rience. Note 51 "
Cela n'a rien de surprenant, puisque la
plupart des moyens traditionnellement utilis�s par les jeunes m�les pour
s'initier au plaisir mutuel rel�vent d�sormais de la nouvelle th�orie de
l'exploitation sexuelle...
En attendant que naisse cet Homme Nouveau,
que les f�ministes appellent de leurs v�ux, beaucoup de femmes restent �chou�es
sur leur libert� sexuelle comme des baleines au pied d'un casino. Espoirs
d��us, solitude, amertume. Certaines r�vent devant les jeunes homos, si
reposants. Ah les beaux mecs ! Effluves m�les �pur�es du risque pr�dateur, loin
des rivalit�s �puisantes. Et puis ce fantasme, plus courant qu'on ne le pense :
tous ces beaux ziggies Note 52,
n'auraient-ils pas �t� des compagnons id�aux pour elles si d'aventure, � un �ge
pr�coce, un pr�dateur sexuel ne les avait d�tourn�s � jamais de cette f�minit�
br�lante qu'elles ne demandent qu'� offrir ? Si seulement elles avaient pu
contr�ler, emp�cher, �tre l�, tout aurait pu �tre diff�rent, un merveilleux
bonheur...
De fait, la mont�e en puissance du f�minisme
exacerbe la rivalit� de la femme et du p�d�raste � la conqu�te du jeune
m�le impatient.
Comment expliquer le succ�s du film Titanic
aupr�s des foules f�minines de tous �ges ? R�sumons l'histoire. Un bel
�ph�be, d�licat et artiste, part � l'aventure. Mais il ne peut r�sister �
l'appel d'une bourgeoise d�pressive et bien sap�e. La poule de luxe attire �
elle le frais Di Caprio, histoire de se d�coincer un peu. Subjugu�, il oublie
sa boh�me pour l'h�riti�re en goguette ; il s'engloutit en elle avant de couler
� pic dans l'oc�an.... Morale du film : la femme nantie capte et d�truit la
vigueur adolescente qu'elle absorbe. Cela lui conf�re d'ailleurs une long�vit�
exceptionnelle ! Il est possible, naturellement, que les critiques corrects
aient une vision du film un peu diff�rente...
Un film en appelant un autre, passons
maintenant au second pilier de cette folie : le Docteur "M'abuse", le
sp�cialiste en abus sexuels.
Si l�on admet que la femme (et l'enfant
qu'elle prot�ge de son Note 53 corps)
constituent le "nouveau prol�tariat" dont l'accession au pouvoir va
sauver l'humanit�, le "nouveau th�rapeute" nous appara�t alors avec
un air de d�j� vu. Des experts en sciences raciales du r�gime nazi aux
psychiatres sovi�tiques, infatigables pourvoyeurs de goulags, on a toujours
assist� � une �troite collaboration entre la psychiatrie et le pouvoir en
place. Au service de l'id�ologie dominante, les psys donnent souvent une
caution scientifique et pseudo-m�dicale � des processus de s�gr�gation et
d'�limination sociale � grande �chelle.
Pour la f�ministe, la psychiatrie n'est
bonne qu'� justifier ses d�lires �motionnels : pr�jug� de confirmation
dont nous parle Bauserman, et que l'on retrouve dans l'astrologie Note 54 dont la femme est justement grande
consommatrice !
Il faut savoir qu'aux �tats-Unis n'importe
qui peut s'�tablir th�rapeute, apr�s une courte p�riode de formation. Il faut
un dipl�me pour �tre coiffeur, pas pour �tre th�rapeute ! En 1992, il y avait
255 000 th�rapeutes aux E.U., dont 55 000 ne s'occupaient que de m�moire
retrouv�e ! En d�pit de leur formation plus que sommaire, ils b�n�ficient d�une
confiance aveugle de la part des policiers et des magistrats.
En France, on se souvient avoir vu affluer
en fac de lettres, apr�s 1968, un flot d'�tudiants en psychologie cherchant
surtout, pour la plupart, � y voir plus clair en eux-m�mes. Quels d�bouch�s ces
apprentis psychologues pouvaient-ils esp�rer ? On s'en est longtemps inqui�t�.
Aujourd'hui, paradoxalement, c'est le plein emploi de ces nouveaux th�rapeutes
qui ne laisse pas de nous pr�occuper. S'agit-il de cr�er de nouvelles maladies
mentales, si possible propres et agr�ables, pour �ponger une fili�re
pl�thorique? L'opportunisme et le charlatanisme ne risquent-ils pas de
d�consid�rer toute une recherche en psychologie qui, lorsqu'elle est men�e avec
toute la rigueur scientifique requise, peut certainement �clairer un peu le
myst�re de notre existence ?
Le psy est le pivot du nouveau syst�me
r�pressif. Il est charg� de donner une apparence rationnelle � un ph�nom�ne
apparent� � la pens�e magique et � la d�monisation. Il transforme, par sa
pr�sence rassurante, une croisade fanatique en un processus d'assainissement
social consensuel. La coupe des branches pourries ne garantit-elle pas la
prosp�rit� et la libert� d'une soci�t� r�g�n�r�e ? Il faut �purer en toute
bonne conscience. Le fondement et les bases scientifiques de son discours
int�ressent moins que sa capacit� � conforter les pr�jug�s dominants.
C'est ainsi que des membres du Congr�s
am�ricain se sont indign�s qu'on ait pu financer une �tude (celle de
Bauserman), parfaitement scientifique certes, mais dont les r�sultats �taient
trop politiquement incorrects. La preuve �tait faite que la science devait se
borner � soutenir l'ordre �tabli � ou du moins � ne pas le d�ranger... D�j�
Kinsey rappelait au praticien les dangers de la confusion des genres Note 55:
" L'homme de science ne voit pas
d'inconv�nient � ce que l��glise d�cide de ce qui est bien ou mal dans le
comportement de l'homme, si elle n'essaie pas de justifier son �thique en
faisant appel aux origines biologiques d'un tel comportement. Mais,
parall�lement, l'homme de science comme tel ne peut pas s'occuper des valeurs
morales, du bien social et des valeurs th�ologiques sans trahir ses propres
responsabilit�s... S'il s'agit de juger de ce qui est sexuellement normal ou
anormal, on doit s'assurer, d�s que l'on se trouve devant des appr�ciations
contradictoires, que des consid�rations philosophiques, morales ou sociales
n'entrent pas en jeu. "
Conservant � l'esprit cette pr�cieuse mise
en garde, examinons l'influence des th�rapeutes sur le judiciaire et, en amont,
sur l'opinion publique cens�e s'�mouvoir et r�clamer une r�action forte de
l'institution.
Quand les m�dias traitent de l'ASE, des
sp�cialistes sont toujours invit�s � s'exprimer. Soit dans le corps m�me d'un
article de presse qui, du coup, en appara�t plus s�rieux, soit dans un encadr�
cens� illuminer d'une objectivit� scientifique irr�cusable le fait divers
d�velopp� par ailleurs. Dans les talk-shows, l'expert pose une interpr�tation
sereine et convaincante sur les propos forc�ment �mus de la victime
soigneusement choisie. Une catharsis cathodique o� le pass� traumatique
remontera dans un de ces sanglots t�l�g�niques que les remises d'Oscars nous
ont appris � aimer et � imiter.
En g�n�ral, comme le note Bauserman, le psy
de service abordera l'abus sous l'angle de ses effets in�vitables,
invariablement tr�s graves et de son extr�me fr�quence ("il y en a plus
qu'on ne le dit" Note 56).
Ces psys m�diatiques, on les retrouve souvent � l'autre bout de la cha�ne : ils
sont charg�s de soigner les d�linquants sexuels � l'issue de leur passage par
le syst�me judiciaire. On ne s'en �tonnera pas...
En France, l'�quipe du Dr Coutanceau et son
centre sp�cialis� de La Garenne-Colombes ont fait la une des m�dias. On se
souvient du chiffre d�finitif et facile � retenir concernant le pourcentage de
mineurs susceptible de pouvoir consentir � un rapport sexuel avec un adulte : 0
%
Pour comprendre � quoi tiennent les
certitudes annonc�es de nos psys officiels, il faut relire H. Manseau Note 57 qui nous parle du :
" �lien existant entre des
accroissements budg�taires accord�s � des institutions et la g�n�ration artificielle
de client�les n�cessaires � leur expansion� Il s'agit bien, en effet, de
justifier les cr�dits octroy�s par le caract�re gravissime des d�g�ts
in�luctables cr��s par l'abus. Une extension de la notion d'abus, un
�largissement de son champ, impliqueront bien s�r une extension de la
client�le constitu�e par les perp�trateurs et les victimes, un plus grand
nombre d'actes m�dicaux et d'ordonnances factur�es... "
Il ne faut pas oublier les experts
judiciaires qui sont charg�s par le magistrat instructeur d'examiner le
pr�venu. Leur r�le est crucial. Foucault dit qu'ils sont "la bonne
conscience du juge". On se souviendra que, jusqu'au milieu des ann�es 80,
beaucoup de juges ignoraient l'existence m�me du mot "p�dophilie" et
traitaient ce type d'affaire en fonction du d�go�t personnel plus ou moins fort
qu'ils pouvaient ressentir. Un grand avocat sp�cialis� dans la d�fense des
d�linquants sexuels le clamait voici quelques ann�es dans une conf�rence
remarquable (r�serv�e aux plus hauts magistrats) :
" Il convient de rappeler au juge
qu'il ne doit pas confondre son sentiment propre, qui peut l'amener au d�go�t,
avec la mission dont il est investi et qui doit lui permettre de juger avec
s�r�nit�. "
Les crit�res d'appr�ciation, r�put�s
objectifs, dont les magistrats disposent aujourd'hui peuvent se r�v�ler plus
trompeurs que les sentiment instinctifs de leurs a�n�s... Les jeunes juges,
frais �moulus des �coles de magistrature, re�oivent d�sormais une formation sur
le sujet... dispens�e, on le suppose, par les m�mes psys que l'on retrouve dans
les m�dias, � la barre, et dans les centres de th�rapie !
Lorsque la victime para�t au Tribunal, il
est rare qu'elle pr�sente des signes �vidents de traumatisme. L'expert est donc
l� pour �valuer l'importance de cette blessure invisible et se prononcer sur la
probabilit� de s�quelles � venir. L'exercice rel�ve plus de l'art divinatoire
que de la science. Il est guid� par un postulat de d�part, intangible : tout
abus est traumatisant.
Pour le juge, opportun�ment lav� du soup�on
d'odium auctoris, l'avis de l'expert est fiable. Il s'en remettra donc �
lui pour justifier la condamnation du pr�venu.
A rebours, on sera surpris de constater que
l'arsenal judiciaire fait d�sormais partie de l'appareil rh�torique et m�dical
du th�rapeute. L'un d'eux, membre de l'�quipe Coutanceau, affirme :
" la reconstruction de la victime
est toujours li�e au d�veloppement de l'action judiciaire, dont l'espace du
jugement constitue le point d'orgue. Note 58 "
C'est un point essentiel. Il n'est absolument
pas prouv� que l'action judiciaire profite � la "victime", bien au
contraire. Les plus grands pourfendeurs de l'abus constatent eux-m�mes que la
"proc�dure judiciaire peut s'av�rer pire pour l'enfant que l'effroyable
�preuve qu'il a subie" Note 59.
L'expert postule que l'enfant est toujours une victime qui supplie la soci�t�
d'�couter sa souffrance et de neutraliser son bourreau. La condamnation du
coupable, fond�e sur la prise en compte et la reconnaissance de la parole de
l'enfant, serait alors la premi�re �tape d'un long chemin vers la gu�rison...
Mais la r�alit� est g�n�ralement tout autre.
Malgr� les pseudo-droits juridiques que lui donnaient la Convention des droits
de l'Enfant, le mineur n'a aucune ma�trise sur les poursuites engag�es contre
l'adulte. Il est fr�quemment impliqu� dans un processus qu'il n'a ni enclench�
ni souhait�. Le plus souvent, il est l� par ricochet. Il est pris dans une
enqu�te de type g�n�alogique, o� le pass� de l'accus� est �pluch� et tous les
jeunes qu'il a c�toy�s interrog�s et trait�s en victimes potentielles... Et si
quelqu'un s'inqui�te de l'effet produit sur l'adolescent victimis� malgr� lui,
on s'indignera en brandissant un ou deux cas r�els, s�lectionn�s, exemplaires,
qui transformeront illico toute objection en complicit� de viols d'enfants.
Il est fort rare que les abus policiers ou
les viols m�dicaux soient rendus publics ou sanctionn�s. Qui sait ce qu'il est
advenu de la plainte pour viol d�pos�e par le p�re de P... (14 ans ) contre les
gendarmes ? Ce r�cit est paru le 6 juillet 1997 dans le Journal du Dimanche sous
le titre : " Dans le ch�teau du gourou, la confession de P�,
traumatis� par les gendarmes ":
" Mon nom est paru dans les
journaux. Vous voyez un peu ce que les copains vont dire. Je me sens sali par
toute cette histoire... ce sont les gendarmes qui ont eu les questions les plus
dures... si j'avais d�j� fait l'amour, si j'avais eu des attouchements avec
d'autres hommes, mon p�re... il m'ont dit "t'es tr�s fort mais les autres,
ils ont tous avou�". Apr�s, ils m'ont envoy� chez le toubib, une femme...
elle m'a sorti un coton-tige et des instruments pour les pr�l�vements
rectaux... ce sont des m�thodes quand m�me traumatisantes... apr�s, j'ai eu
droit au psychologue qui s'est montr� moins brutal, mais visiblement ils
n'avaient pas ce qu'ils cherchaient... "
Il appara�t clairement que, dans la mesure
o� ses d�clarations ne vont pas dans le sens de l'enqu�te, P... est brutalis�
et humili�. Puisqu'il n'accepte pas d'�tre une victime plaintive, on le soup�onne
d'�tre complice de son agresseur. Il contrarie beaucoup les gendarmes en
refusant de les aider � constituer un dossier lourd, tragique � et g�n�rateur
d'avancement.
Dans le nouveau dogme, l'enfant est avant
tout une abstraction, une norme. Du reste, tout enfant qui ne se conforme pas �
l'id�e que l'id�ologie nouvelle se fait de lui est d�sacralis� d'office.
Souvenons-nous : un l�ger �cart par rapport � la ligne fix�e transformait
le prol�taire glorifi� des r�gimes communistes en ennemi du peuple. Mais revenons
� notre expert, et voyons les buts qu'il poursuit en faisant de la condamnation
p�nale du coupable le pr�alable indispensable au suivi th�rapeutique de la
victime et � sa gu�rison.
Il faut savoir que, dans les affaires d'abus,
la condamnation est aujourd'hui assortie d'une obligation de soins. Celle-ci
n'oblige d'ailleurs nullement le th�rapeute � gu�rir quoi que ce soit, puisque
les soins ne remplacent pas la sanction p�nale mais qu'ils s'y surajoutent.
Pour les cas v�niels (d�tention de cassettes interdites par exemple), il est
peu probable que le sujet, stigmatis� par l'action judiciaire et surtout enclin
au voyeurisme, passe un jour � l'acte. On se souvient que, malgr� l'absence de
la moindre r�alit� observable, les sp�cialistes postulent un risque d'escalade
menant le pervers du visionnage de cassettes au meurtre d'enfant. Si rien ne se
produit, si le patient ne r�cidive pas sous une forme aggrav�e, ce succ�s
pourra �tre port� au cr�dit du traitement impos�. L'�quipe de sp�cialistes se
verra alors attribuer de nouvelles subventions, des locaux, du personnel afin
d'amplifier son action et de sauver toujours plus d'enfants...
Quant aux sujets qui, eux, sont pass�s �
l'acte, la longueur des peines garantit que l'on n'aura pas � mettre �
l'�preuve l'efficacit� des th�rapies avant longtemps. Le sujet sera mort-gu�ri,
fou ou d�c�r�br� quand il sortira apr�s une interminable r�clusion.
"Sutor, ne supra crepidam" Note 60.
Les affaires d'abus sont le lieu privil�gi�
des usurpations de comp�tences. Les intervenants s'y pr�valent souvent
d'un titre acquis dans un domaine du savoir fort �loign� de celui dans lequel
ils pr�tendent faire autorit�.
Prenons par exemple Mme Bouillon, le
substitut New Age, auteur du Viol d'anges Note 61 que nous avons d�j� mentionn� :
� Elle s�improvise th�rapeute et affirme
qu'un enfant abus� se reconna�t facilement par "un travail insuffisant
ou excessif � l'�cole" (sic) ; "un comportement toujours triste
ou excessivement gai devraient alerter".
� Elle ne se laisse pas impressionner par
les grands noms. Elle conna�t le sujet mieux que personne. Elle sait que
"Freud a fait progresser la p�dophilie". Elle a bien rep�r� "la
sexualit� tr�s suspecte de Freud, qui ne comprenait rien aux femmes et �tait
visiblement homosexuel".
� Moraliste de haute vol�e, elle se demande
s�il ne vaut pas mieux un non-p�dophile accus� � tort qu'un vrai laiss� en
libert�. Le b�n�fice du doute, qui s'applique aux assassins, ne doit pas
profiter aux p�dophiles. Rappelons que la dame est Procureur, qu'elle ne se
sent tenue par aucun devoir de r�serve ou de mod�ration, qu'elle a publi� cela
chez Calman Levy et que la classe politico-m�diatique a accueilli son livre
sans r�serves. On a vu combien Mme Royal l'avait ador�.
� Madame Bouillon se fait aussi pr�tresse de
Baal � l'occasion : "la relation sexuelle avec un enfant est un crime
contre le sacr�, la profanation des profanations, le viol d'anges"...
Voil� donc revenu le temps des grands
pr�dicateurs fous, de la puret� �puratrice (la dame veut r�tablir le pilon pour
les �uvres impies). On r�vait d'une nouvelle morale la�que, appuy�e sur la
Raison. On nous ressert une religion sans pardon, sans absolution et surtout
sans au-del� ! Le nouveau culte, d'essence f�ministe, arrive avec ses damnations
et ses b�chers ! La parole sacril�ge est �touff�e ou condamn�e...
Comble de malheur, Mme Bouillon se r�v�le
astrol�tre. Elle attend l'�re du Verseau qui (d'apr�s elle) devrait tout
arranger !
Il nous faut maintenant parler du livre
intitul� Le viol paru dans la collection Que sais-je ? On conna�t
la r�putation de s�rieux, d'objectivit� et de scientificit� qui s'attache �
cette collection. On sera d'autant plus surpris de lire ce qui va suivre.
Ce volume est n� principalement de
l'association d'un psychiatre expert en m�decine l�gale et d'une psychanalyste.
On constate avec morosit� que, dans ce petit volume, le sp�cialiste � cens�
�clairer l'opinion � puise en fait ses informations dans la presse � scandale
la plus douteuse sans faire preuve de la moindre distance critique. Il
s'inspire en effet d'un livre de P. Meney Note 62, journaliste de TF1 et r�alisateur de
l'�mission Perdu de vue (o� il apparaissait juch� sur un jub� de
Plexiglas, deus ex machina, grand manipulateur d'audimat ) !
Parlons d'abord de deux chiffres importants,
cit�s par Meney et repris par les psys.
D�apr�s eux, il y aurait "un million
d'enfants emprisonn�s dans les maisons closes en Tha�lande". Rappelons que
dans ce pays, en 1995, 26 mineurs ont �t� retir�s � la prostitution. Aucun de
ces mineurs n'�tait enferm� dans une maison close. Il s'agissait soit de jeunes
filles � la limite de leur majorit�, soit de gar�ons se livrant � une
prostitution occasionnelle. Les chiffres sont donc tout � fait fantaisistes !
Ceux de L'UNICEF, tout aussi faux, donnent 300 000 enfants prostitu�s pour la
m�me p�riode, ce qui montre bien que les chiffres sont choisis pour leurs
qualit�s �motionnelles et leur impact m�diatique, jamais pour leur rapport,
m�me lointain, avec la r�alit� des faits. Qui cherchera � d�mentir des chiffres
"flatteurs", g�n�rateurs de profits ? On verra plus loin comment des
escrocs (comme la baronne Botte) les ont utilis�s pour faire prosp�rer leur
petite entreprise. Quelle est donc la situation r�elle en Tha�lande ? Alors que
le gouvernement reconna�t l'existence de 86 000 prostitu�es adultes de sexe
f�minin, l'institut d�mographique de Chulalongkor (dont les �valuations font
autorit� � l'�tranger) fait �tat d'environ 200 000 personnes exer�ant une
activit� de prostitution permanente ou occasionnelle dont 1000 hommes et
enfants... Note 63 Mais
qu'importe la v�rit�, le chiffre de un million d'enfants prostitu�s
plaisait bien aux m�dias. Il permettait de nourrir toute une imagerie
hugolienne faite d'innocents vendus, parqu�s dans des conditions
concentrationnaires pour satisfaire les vices de riches �trangers arriv�s
sp�cialement par "viols charters"... Ne doutons pas qu'il fut �
l'origine de la conf�rence de Stockholm organis�e par l'UNICEF dans un immense
concert m�diatique. Au profit de qui ? Au d�triment, en tout cas, des enfants
d'Alg�rie, du Rwanda et d'ailleurs, massacr�s dans l'indiff�rence ou affam�s
sur les routes de l'errance...
On a r�ussi � cr�er un secteur de protection
hypertrophi� et artificiel pour faire oublier les souffrances r�elles et
immenses des enfants pour qui on ne peut rien faire. Lancer une op�ration
commando dans la chambre d'un touriste sexuel, c'est tout de m�me moins risqu�
que de poursuivre des tueurs � machette ou des �gorgeurs illumin�s !
Examinons un autre chiffre effarant, tir� du
bouquin de Meney et repris � son compte par notre expert : il y aurait 2000
meurtres sexuels d'enfants par an en France ! Rappelons qu'aux �tats-Unis, si
toutes les accusations de meurtres satanico-sexuels �taient prises en compte,
il y aurait 60 000 victimes par an Note 64. Or le F.B.I. n'en a pas d�nombr� une seule !
Quant aux meurtres d'enfants � caract�re
sexuel, quoique surexploit�s par les m�dias, ils sont heureusement fort rares.
Il font penser � ces quelques figurants qui, au cin�ma, repassent sans cesse
devant la cam�ra et laissent croire � une multitude. Dans son livre r�f�rence
paru dans les ann�es 60 Note 65,
le Dr West estimait qu'il s'en produisait environ deux par an Note 66, chiffre stable, pour une population de 50
millions d'habitants. On notera que les meurtres de petites filles sont
toujours beaucoup plus fr�quents. De 1996 � 1999, nous n'avons pu trouver qu'un
seul meurtre de gar�on � caract�re vraisemblablement sexuel commis sur le
territoire national : celui du jeune Adrien, �g� de 12 ans, commis � Thionville
en 1998 Note
67.
Les psys officiels, ceux de la mouvance
m�diatique, ne se contentent pas d'�valuer l'�tat psychologique du coupable et
de la victime, de se prononcer sur le sens moral de l'un ou les �ventuels
dommages psychiques subis par l'autre. Fascin�s par la Cour et ses fastes, ils
se prononcent toujours sur le plan p�nal ! S'exprimant dans la presse Note 68, le Dr Lacour Note 69 affirme que "l'alourdissement des
peines est une n�cessit�". Les auteurs du Que sais-je ? estiment
quant � eux que "la peine doit �tre infamante et dissuasive".
On peut s'�tonner � juste titre qu'un
psychiatre, dont la mission est de diagnostiquer et de soigner, puisse ainsi se
muer en prescripteur de peine et en d�fenseur de valeurs sociales contingentes.
Sur le plan professionnel, nous avons d�j�
parl� des enjeux essentiels en termes de notori�t� esp�r�e et de fonds
convoit�s.
Sur le plan humain, on peut �voquer l'�trange
relation qu'entretient le th�rapeute avec une certaine cat�gorie de patients,
qui repr�sente d�sormais une fraction non n�gligeable des hommes coupables
d'outrage aux m�urs. Nous voulons parler des sujets dot�s d'une intelligence
sup�rieure et d'une excellente insertion sociale � du moins avant leur
arrestation... Condamn�s pour des actes p�d�rastiques, les voil� astreints �
une th�rapie et soumis � un psy parfois moins brillant qu'eux... Les propos du
Dr Lacour expriment bien le ressentiment et l'impression de rivalit� ressentis
par l'expert :
" Je n'ai eu le sentiment que
d'�tre un parapluie, un confesseur oblig�... un interlocuteur que l'on essaie
de convaincre des joies personnelles et des variations de la morale de cette
sexualit� selon les �poques Note 70" (sic).
Sous la syntaxe chaotique transpara�t bien
la frustration pass�e du psychiatre, sa col�re face au d�ni de pouvoir m�dical
op�r� par le p�d�raste badin, incapable d'admettre cette gravit� de l'acte qui
fonde la puissance du th�rapeute. Mais aujourd'hui les choses ont bien chang�
et quand le Dr Lacour, quelques lignes plus loin, demande que l'on augmente
encore les peines pr�vues pour ce type de d�lit, c'est bien pour que le
patient, le couteau sous la gorge, se rende enfin au pouvoir de l'expert. Il
lui faudra plier ou mourir (parfois les deux). Ce sinistre �pisode pourrait
s'intituler "La revanche du Dr M'abuse". Par ses aveux et sa
repentance, le patient vaincu justifiera du m�me coup le bien fond� de l'action
de son m�decin...
La th�orie (am�ricaine) du M.P.D.� Multiple
Personality Disorder Note 71 �
permet de voir un monstre
tapi sous l'accus� le plus brillant et le plus estim�. A l'�gal du "nanti
pervers", "l'intellectuel d�voy�" est une caricature ch�rie des
m�dias.
Quand une petite fille fut sauvagement
assassin�e dans le petit village de La Motte du Caire, on s'est dit que Roman,
le hippie p�doque issu d'une famille intello, ferait un coupable plus s�duisant
que Gentil, l'abruti cong�nital. Seul le courage d'un juge d'instruction l'a
sauv� d'une condamnation certaine et m�diatiquement programm�e.
Les auteurs des th�ories officielles sur
l'abus utilisent principalement trois m�thodes.
� La premi�re consiste � reprendre, sans la
remettre en question, une th�orie expos�e dans un ouvrage publi� pr�c�demment �
de pr�f�rence aux States. C'est ainsi que les m�mes fumisteries se r�pliquent
ind�finiment sans qu'on songe � v�rifier les sources d'information ou la base
exp�rimentale de la th�se d�velopp�e dans l'ouvrage. On vient de voir comment
le Dr Lopez et ses comparses Note 72 parvenaient
� scientifiser une litt�rature de caniveau.
� La deuxi�me m�thode, elle aussi tr�s
r�pandue, consiste � r�futer sans argumenter. Un exemple, encore emprunt� au Dr
Lopez : "Dans les ann�es 50, les psychiatres agr�ment�rent (sic) le
mythe selon lequel les conditions socio-�conomiques favorisaient les s�vices :
il n'en est rien." Ce sp�cialiste (pas du fran�ais, cela est clair ) se permet
donc de balayer d'un revers de main tout un ensemble d'�tudes sous l'unique
pr�texte qu'il �crit en 1993 et qu'il poss�de donc une sup�riorit� �vidente sur
les psys des ann�es 50 ! Il ne donne d'ailleurs aucun argument � l'appui de sa
r�futation. C'est ainsi, et voil� tout.
Bauserman, lui, d�montre scientifiquement le
rapport existant entre les abus physiques ou sexuels et le milieu
socio-�conomique Note 73.
Nous renvoyons le lecteur � sa d�monstration argument�e sur le sujet.
� La troisi�me m�thode consiste � ass�ner
une th�orie-choc, b�tie sur un exemple isol� non repr�sentatif de l'ensemble
des cas, ou m�me sur des fantasmes inv�rifiables. Edward Behr cite ainsi le Dr
Summit, psychiatre et expert en abus sexuels, dont les th�ories ont influenc� la
plupart des th�rapeutes op�rant � l'heure actuelle aux E.U. Ce praticien est
l'inventeur du Child Abuse Accomodation Syndrome, dont le principe, tr�s
simple, est le suivant :
" Quand les enfants nient avoir �t�
abus�s sexuellement, c'est qu'ils l'ont �t�."
En effet, incapables d'assumer l'effet
destructeur de l'abus, ils doivent en nier la r�alit� pour pouvoir survivre.
C'est ainsi que, selon Summit, un enfant pourrait �tre abus� tous les jours et
� chaque fois "oublier" qu'il l'a �t� ! L'id�e pourrait para�tre
comique si elle n'avait, h�las, servi � faire condamner � de lourdes peines de
parfaits innocents.
La mode actuelle semble aller vers une
th�orie qui semble en contradiction avec les dogmes pr�c�dents. Mais qui se soucie
vraiment de coh�rence en ce domaine ? Il s'agit de prendre en compte l'enfant
qui, en d�pit de tout, affirme qu'on ne lui a pas fait de mal et qu'il �tait
d'accord. On ne peut quand m�me pas se r�soudre � le laisser en dehors du
syst�me, le temps qu'il d�veloppe les in�vitables troubles que la graine d'abus
a sem�s en lui ! Ce serait vraiment dommage... �coutons le Dr Nicole
Korff-Sausse, cit�e dans le volumineux rapport de l'UNICEF sur le sujet :
" Ce dont il faut prot�ger
l'enfant, ce n'est pas seulement de la violence des adultes, de leur s�duction,
leur �rotisme, leur emprise, mais de sa propre violence, � savoir la
sexualit� enfantine. "
Un nouveau lobby pointe son nez, n'en
doutons pas. Envol� l'ange de Bouillon. L'ado plein de s�ve et le lascar
violent seront plac�s dans une m�me cat�gorie : l'enfant qu'il faut prot�ger de
sa propre "violence sexuelle". Le filon s'annonce juteux. En
Grande-Bretagne, un audacieux programme vient d'�tre lanc�. Il s'agit de
r�colter la bagatelle de 2 millions de livres afin de mettre en place 18
projets dans tout le pays visant � d�celer pr�cocement les enfants qui
pourraient se r�v�ler �tre des agresseurs sexuels, cela d�s l'�ge de 5 ans !
En France, on se souvient d'une campagne
lanc�e par Mme Royal en mars 99, contre les violences sexuelles � l'�cole. Un
gros titre dans les journaux : "Un viol tous les 9 jours" Note 74. Les instituteurs ne sont plus en cause. Ce
sont les jeunes qui se violent entre eux� Chaque jour, deux �l�ves seraient en
outre victimes de violences sexuelles de la part de leurs camarades Note 75. Les parents affol�s ne peuvent m�me pas
mettre leurs enfants chez les J�suites puisque, c'est bien connu, ces
institutions catholiques sont des nids de p�dophiles... Alors, que faire ? Les
pr�tresses du goudou proposeront sans doute de rogner le sexe du jeune m�le,
forc�ment violeur. D'autres sugg�reront que chaque enfant soit surveill� par un
"tuteur Note
76 social"
charg� d'endiguer sa libido, de le rendre innocent � lui-m�me en quelque
sorte... Ce fut exactement le r�le de la r�pression anti-masturbatoire au 19�me
si�cle. Nous en reparlerons plus avant, en �tudiant les textes de Foucault.
Ces nouvelles campagnes ont tout lieu de
nous inqui�ter. Au fur et � mesure que les faits t�tus d�mentent leurs th�ories,
les sectateurs de l'abus en cr�ent de nouvelles afin de continuer � percevoir
leurs pr�bendes. Cette nouvelle bigbrotherisation des petits fr�res
vient d'�tre illustr�e par l'affaire Raoul qui a secou� les E.U. et fait
r�guli�rement la premi�re page de tous les journaux en Suisse pendant deux
mois. En France, on n'en sera pas �tonn�, cette affaire a �t� d'abord pass�e
sous silence, puis �voqu�e tardivement et sans �clats apr�s la lib�ration de
l'enfant. Dans ce cas, la folie furieuse a fait place � la pure barbarie. Voici
les faits.
Raoul, un petit Am�ricano-Suisse �g� de 11
ans, est aper�u par une voisine alors qu'il se trouvait dans le jardin familial
en compagnie de sa petite s�ur de 5 ans . Celle-ci avait la culotte baiss�e et,
d'apr�s la voisine, le petit gar�on l'aurait touch�e, ce que le gar�onnet
d�ment farouchement. Qu'on lise bien ceci : le gar�onnet a �t� arr�t� le 30
ao�t 1999, mis aux fers et amen� en prison � o� il a pass� plus de 2 mois. Il
n'a d� sa lib�ration qu'� une lettre des d�put�s allemands � Clinton et � de
multiples p�titions et protestations �manant de Suisse. Dans la France o� on
c�l�bre avec tonitruance l'anniversaire de la d�claration des droits de
l'enfant, on s'en est peu �mu, tant qu'il �tait incarc�r�. N'est-ce pas la preuve
que l'on pr�pare bel et bien un processus de pathologisation de l'initiation
sexuelle masculine, sous la direction et pour le plus grand profit des
marchands d'abus ?
Nous venons de parler des th�ories
fumeuses et inv�rifiables. Il nous faut aussi dire un mot des fausses
informations largement divulgu�es et facilement �pinglables . Elles
ach�vent de prouver le manque de s�rieux global de la plupart des publications
consacr�es � l'abus.
Le propos mensonger porte parfois sur des
points essentiels. Ainsi Hamon, qui se pla�t � jouer les hommes de loi, nous
d�clare Note
77 que :
" Le mineur de 15 ans est lui-m�me
punissable s�il a des relations sexuelles avec d'autres mineurs de 15
ans. Note 78"
Le Code P�nal fran�ais affirme le contraire
:
" Les rapports sexuels sont libres
quel que soit le sexe pour un mineur m�me avec un mineur de 15 ans Note 79".
Dans ce cas de figure, un jeune homme de 17
ans, au d�veloppement adulte et per�u comme tel par l'enfant, peut parfaitement
sodomiser un gar�on de 9 ans si �a amuse ce dernier. Un an plus tard, notre ado
risque 20 ans de prison... Par contre, aux �tats-Unis, comme on vient de le
voir, le sexe entre mineurs est criminalis�... Note 80
Les chiffres totalement fantaisistes, les
mensonges patents portant sur des faits v�rifiables, devraient nous rendre
suspectes les th�ories b�ties sur des �l�ments aussi apocryphes... Ce sont ces
m�mes th�ories qui, par leurs m�tastases m�diatiques, gangr�nent la Justice et
entra�nent une surqualification des atteintes sexuelles en viols � l'accord de
l'enfant impliquant alors, pourquoi pas, un auto-viol...
En mati�re d'abus, on peut donc dire
n'importe quoi si c'est pour le bien suppos� des enfants m�me si, en d�finitive,
cela doit leur faire beaucoup de mal.
Les affaires d'abus sataniques ne doivent
pas uniquement �tre mises sur le compte des traditionnelles outrances
am�ricaines. Elles ne peuvent �tre consid�r�es comme de simples bavures, d�j�
oubli�es, survenues dans le cours d'un processus sain et essentiel visant �
prot�ger l'enfant. Les initiateurs de ces campagnes n'ont jamais fait
repentance. Les faux coupables envoy�s en enfer et les enfants soumis � la
question n'ont pas re�u d'excuses. Les m�mes sp�cialistes, qui affirmaient
contre toute vraisemblance que des enfants victimes d'abus sataniques avaient
bu le sang de b�b�s �gorg�s devant eux, continuent � faire autorit� en mati�re
d'abus. Des enfants sont martyris�s au nom de la nouvelle id�ologie de l'abus.
Madame Reno est toujours Ministre de la Justice.
Remontons un peu le fil du d�lire satanique
dont la mal�diction continue � peser sur nous.
La mode des abus sataniques commence en 83
aux E.U. avec le scandale de la maternelle Mc Martin Note 81. Sit�t les circonstances de l'affaire
divulgu�es par la presse, des r�pliques imitatives se produisent aux quatre
coins des Etats-Unis. L'�pid�mie atteint bient�t les pays de langue anglaise
susceptibles d'�tre contamin�s par les m�dias am�ricains Note 82. D�s l'ann�e suivante, en Grande-Bretagne,
des dizaines d'enfants en bas �ge sont enlev�s � leur famille suite � de
fausses all�gations d'abus. Les affaires se multiplient jusqu'en 1991, o� le
Tribunal d'Old Bailey, confront� � une retentissante affaire de petites filles
satanis�es par leurs parents, prononce de justesse un non-lieu.
E ans .n France, il faudra attendre 1997
pour qu'une histoire de ce genre �clate, longtemps apr�s que les proc�s
am�ricains aient �t� annul�s et les innocents lib�r�s apr�s 5 ans de prison en
moyenne.
En 1984, Paris Match avait publi� un
reportage sur l'affaire Mc Martin intitul� Sade au jardin d'enfants. Le
journaliste y d�veloppe la th�se de l'accusation sans aucune distance critique.
Il pr�cise, en semblant s'en f�liciter, que les coupables (tous innocents !) �
au nombre desquels figure une grand-m�re de 84 ans � n'iront sans doute pas au
bout de leur peine puisque "aucun p�dophile n'a jamais surv�cu dans une
prison am�ricaine."
C'est le d�lire alcoolique d'une m�re
d'�l�ve qui a d�clench� toute cette affaire. Comment a -t-on pu y ajouter foi ?
On peut tenter d'expliquer cette
complaisante cr�dulit� par ce que nous appellerons l'effet locomotive.
Sur les chemins de l'abus, o� les lois de la physique ordinaire ne s'appliquent
pas, les wagons sont tir�s par une micheline imaginaire... C'est bien pratique.
Le journaliste peut facilement raccrocher � la motrice satanique tout un tas de
fantasmes li�s aux dangers de la sexualit� adolescente. Dans le m�me article,
notre folliculaire de Match cite le chiffre de un million de fugueurs
automatiquement aspir�s par les r�seaux de prostitutions ou sacrifi�s pour la
fabrication de snuff movies Note 83. Le chiffre r�el fourni par le F.B.I et le N.C.M.E.C. Note 84 donne de 52 � 158 disparitions de mineurs
par an entre 1983 et 1990, dont plus des deux tiers sont des quasi majeurs et
fugueurs pr�sum�s.
L'abus satanique, consid�r� comme av�r�,
vient donc accr�diter tout le reste du folklore sexophobique. On peut, en
remontant jusqu'� lui, retrouver la trace de notre obsession maladive de
l'abus. Profitant de l'effet satanique, on nous balance des chiffres totalement
faux sur la pompe aspirante de la prostitution infantile cens�e pousser � la
fugue les enfants am�ricains. On comprend alors la l�gitime pr�occupation des
parents affol�s et des enfants angoiss�s, dont certains n'osent m�me plus
ouvrir la fen�tre de peur que quelqu'un ne s'introduise dans leur chambre pour
les violer !
Les journalistes et les sp�cialistes volent
au secours des familles. Ils assurent avec d�votion le suivi du moindre acte
d�viant, � propos duquel on pourra faire sans cesse faire r�f�rence au
satanisme et aux r�seaux de prostitution.
Amalgame et d�sinformation permettent en
tout cas de pisser de la copie...
Aux Etats-Unis, on peut � peu pr�s tout
dire. Ceux qui professent des opinions incorrectes s'exposent toutefois � voir
leur carri�re stagner et leur avenir professionnel compromis.
En France, ce qui ne va pas dans "le
bon sens" est tout simplement victime de silence m�diatique et donc
refoul� dans la non-existence. Les journaux fran�ais n'ont, � notre
connaissance, consacr� aucun article � l'annulation des condamnations dans les
proc�s sataniques aux E.U.
En 1997, soit avec 14 ans de retard, TF1 et
A2 ouvrent toutes deux leur journal de 20 heures sur un livre �crit par un
journaliste "compatissant" � propos des abus sataniques dont aurait
�t� victime un gar�on aujourd'hui �g� de 24 ans. Il aurait �t� prisonnier
pendant 10 ans d'une secte d�moniaque nomm�e "Krypten". On l'aurait
s�questr�, br�l� � l'acide, soumis � des rituels orgiaques � en Belgique, bien
s�r ! Quelques semaines plus tard, V.S.D. d�montrait dans un reportage, o�
�taient interrog�s les pseudo lucif�riens mis en cause dans le bouquin,
l'absurdit� de toute l'histoire. Il n'y eut aucun �cho de cette contre enqu�te,
ni � la t�l� ni dans le reste de la presse !
Sur la plan�te m�dia, tout ce qui est
vendable est certifi� v�ritable ! Directement import�e des States o� elle a
beaucoup de succ�s et gagne bien sa vie, on voit appara�tre en France un
nouveau personnage public : "la victime-vedette". Elle se
trimballe de talk-show en actus, aur�ol�e par un malheur qui fait le bonheur
d'une t�l�caste vendeuse de tabous et friande de confessions salaces.
Pourquoi perdre de l'argent en taisant des
choses qui, si elles �taient dites, pourraient rapporter gros ? La v�rit� du
propos est relativement secondaire... L�app�t du gain, le vedettariat incitent
� des accommodements avec la v�rit�. Il peuvent aussi �tre � l'origine
d'entreprises organis�es de d�tournement de fonds... et de morale.
Nous avons parl� de ceux qui ne v�rifient ni
la source des informations ni leur exactitude. Il y a aussi ceux qui ne
diffusent que les infos qui les arrangent. On conna�t �galement ceux qui
bricolent l'information afin de la sensationnaliser. Il y a enfin les escrocs
purs et simples... Parmi les h�ros de la lutte contre l'abus, il y en a
beaucoup !
1-
Ceux � qui la lutte contre l'abus servait de noble paravent :
� Mme Michaux Chevry, inculp�e
"d'escroquerie, de faux et usage de faux" � r�p�tition Note 86 �tait en 1993, Ministre de l'Action
Humanitaire. Elle s'illustra alors par une croisade men�e contre le tourisme
sexuel et fit promulguer une loi sur l'extraterritorialit� en mati�re d'abus.
2-
Ceux qui ont prosp�r� sur l'abus lui-m�me :
� Madame Gublin, pr�sidente d'Enfance et
Partage, une association � l'origine de l'hyst�rie m�diatico-judiciaire en
France, a �t� condamn�e en 1996 � 15 mois de prison pour "abus de confiance
et d�tournements de fonds" Note 87.
� Madame Botte, la passionaria p�dophobe
belge, a fait la une de tous les m�dias. Elle a �t� nomm�e femme de l'ann�e en
France et anoblie en Belgique. Elle a aujourd'hui la justice aux trousses Note 88. Elle aussi, c'�tait son int�r�t, avait
gonfl� les chiffres de la prostitution enfantine en Tha�lande o� il fait bon
vivre dans les h�tels climatis�s (on ne l'a jamais vue au secours des enfants
�gorg�s ou victimes des mines anti-personnel). Afin de d�tourner plusieurs
millions de francs, elle pr�tendait, au cours de l'ann�e 1995, avoir sauv�
"1056 enfants des griffes des marchands d'enfants et des crocodiles
�trangers" Note 89.
En fait, elle s'est pr�value d'actions effectu�es par une O.N.G. appel�e Centre
de Protection des Droits de L'Enfant qui fait �tat d'un bilan beaucoup plus
modeste : 25 mineurs retir�s � la prostitution et 29 au travail forc�. Gageons
que, pour ne pas compromettre l'abusiness dont elle �tait une figure de proue,
on n'�talera pas trop l'infamie de Mme Botte.
3-
La derni�re cat�gorie, incontestablement la pire de toutes, regroupe "les
crois�s abuseurs".
Comment expliquer que les journaux n'aient
pas suivi les d�veloppements judiciaires de l'affaire impliquant l'odieux
P�re Lefort ? En 1989, ce pr�tre fait partie des commissions pr�paratoires
� la promulgation des Droits de l'Enfant. Au d�but des ann�es 90, il donne des
interviews dans tous les m�dias pour exiger une r�pression f�roce � l'�gard des
p�dophiles, aussi bien en France qu'� l'�tranger. Il d�nonce en particulier
tous ces p�d�rastes qu'il conna�t bien. Il les qualifie de
"malfaiteurs" et r�clame pour eux un "ch�timent
exemplaire", apprend-on dans le Matin de Paris du 22/12/95. Dans ce
m�me num�ro, on nous r�v�le que le juge Nelly Delfosse de Nanterre l'a mis en
examen pour viols sur mineurs "� la suite de nombreux t�moignages
accablants et apr�s une longue enqu�te de la Brigade des Mineurs de
Paris".
Bien entendu, les journaux n'ont donn� aucun
�cho � cette affaire ! A quelques mois de la conf�rence de Stockholm, c'eut �t�
malvenu. On a peu parl� de Botte et encore moins de Gublin... Il ne faudrait
pas se livrer � des g�n�ralisations h�tives, n'est-ce pas ?
Qu'un h�t�rosexuel d�sax� enl�ve des jeunes
filles et des fillettes, et on n'h�sitera pas � consid�rer tout p�d�raste
inoffensif comme un Dutroux en puissance Note 90. Mais que nombre des pourfendeurs de l'abus se r�v�lent �tre
des escrocs ou des violeurs, cela n'entamera pas la cr�dibilit� de toutes ces
associations pullulantes, qui prosp�rent sur les fonds publics et les dons
priv�s fiscalement d�ductibles.
Quant � l'UNICEF, �tant donn� le prestige
international dont elle continue � jouir et les sommes consid�rables que lui
rapporte le business de l'enfance malheureuse, comment ne pas consid�rer les
chiffres falsifi�s qu'elle publie comme une escroquerie ? On rappellera que
cette organisation, soucieuse sans doute de frapper les puritains yankees au
portefeuille, d�nombrait 600 000 enfants prostitu�s aux E.U. en 1994 ! Elle faisait
des �tats-Unis une "destination de tourisme sexuel r�cemment
signal�e" Note 91.
Seul le d�sir l�gitime des fonctionnaires
am�ricains de L'UNICEF de travailler pr�s de chez eux peut expliquer la
publication de chiffres aussi fallacieux !
La premi�re pourrait �galement figurer au
nombre des escroqueries. Il est question du Dr Catherine Bonnet. Cette
p�do-psychiatre connue, sp�cialiste de l'abus, a publi� un livre sur le sujet
en 1999 Note
92. Elle vient d'�tre
condamn�e en appel � une interdiction d'exercer de trois fois un an Note 93. On lui reproche d'avoir �tabli des
certificats "faux, mensongers et tendancieux" � propos d'enfants
pr�sentant des troubles susceptibles d'�voquer d'�ventuels abus sexuels (on a
vu avec Mme Bouillon qu'� peu pr�s toutes les attitudes d'un enfant pouvaient
�tre interpr�t�es en ce sens). Qu'en est-il au juste ? Il s'agissait pour Mme
Bonnet d'aider des m�res en instance de divorce � obtenir la garde des enfants.
En accusant le p�re d'abus sexuel...
Il faut se souvenir que dans certains Etats
des E.U. les femmes peuvent accuser leur mari de sodomie Note 94 (pratique ill�gale) pour obtenir la garde
des enfants. Comme l'�crit West Note 95 :
"la loi a mis une arme dangereuse � la disposition des �pouses sans scrupules
ou vengeresses". C'est ce qui se passe aujourd'hui en France, en beaucoup
plus grave. Quand les lubies d'une psychiatre en qu�te de reconnaissance
rencontrent les frustrations charnelles de m�res d�sempar�es, le choc ne peut
qu'�tre g�n�rateur de drames. Imagine-t-on le trouble ressenti par le jeune
enfant interrog� sur son p�re, accus� de viols incestueux ? Que dire de celui
qu'on arr�te, questionne sans rel�che et parfois emprisonne sur la base de
d�nonciations calomnieuses et de certificats de complaisance ? L'association
"S.O.S. papas" lutte contre de pareilles aberrations.
D�j� condamn�e en premi�re instance, Mme
Bonnet publie un livre qui accro�t encore le malaise. Avec le souci constant de
pr�parer son proc�s en appel, elle y utilise � tout propos la "souffrance
des enfants" � des fins disculpatoires, elle la jette � la face de ceux
qui pr�tendraient l'accuser... Note 96
Cette affaire Bonnet nous d�voile
l'existence de v�ritables r�seaux de l'abusiness. On remarque en effet que le
pr�c�dent ouvrage de Mme Bonnet �tait d�di� � un juge pour enfants de Bobigny,
pr�sent sur tous les plateaux et dans tous les journaux lors des multiples
campagnes p�dobsessionnelles que nous avons connues... C'est elle, encore, qui
r�digeait un chapitre complet du Que sais- je ? co-�crit par le Dr Lopez
(qui lui-m�me fait la pub du pr�c�dent livre de Mme Bonnet !). Elle nous y
expose ses m�thodes : il s'agit d'�viter la "silencioth�rapie" et
"d'aider l'enfant � mettre des mots sur ce qu'il a ressenti". S�il ne
dit rien, le Dr Bonnet � sans doute un peu ventriloque � parlera pour lui. Mais
l'enfant doit alors prononcer les mots que Mme Bonnet a envie d'entendre. Il
pourra "accuser cet adulte, exprimer sa rage, sa haine, sa r�volte d'avoir
�t� d�sign� comme victime". Quelle est l'origine de cette transe �cumante
dont l'enfant-victime Note 97 n'est
que le m�dium innocent Note 98?
Une fois calm�e, elle s'�tonne que certains
parents aient du mal � "reconna�tre la souffrance de leur enfant" et
la nient. Heureusement, Mme Bonnet va les convaincre d'entreprendre une
th�rapie le plus vite possible, "sans attendre que s'installent les
sympt�mes". Ceci est capital, du moins pour l'activit� professionnelle de
Mme Bonnet ! Il ne saurait y avoir qu'un enfant en sursis de sympt�mes.
Mme Bonnet se chargera donc de le victimiser, de lui inoculer un poison, celui
de la "rage", de la "haine" qu'elle m�me doit �prouver vis
� vis des hommes... Nous retrouvons l� l'effet iatrog�ne Note 99 de la victimisation que d�nonce Bauserman.
Mais, non contente de victimiser les enfants "abus�s" qui n'en
souffrent nullement (Bauserman montre que c'est la majorit� des cas ), elle
d�c�le des abus imaginaires pour r�pondre aux attentes de ses clientes.
A la lecture de ce chapitre du Que
sais-je ?, r�dig� en 1993, on pouvait pr�voir le d�rapage...
Les anglo-saxons qui ont rep�r� la
supercherie �crivent le mot therapist (en fran�ais, th�rapeute) en deux
mots : the rapist, ce qui signifie alors "le violeur" !
Comment nier en effet que certains th�rapeutes profitent de leur position
d'adulte et de m�decin pour m�duser "l'enfant victime", pris en �tau
entre les certitudes de la m�re et l'engluement complice op�r� par le psy ?
On pourrait dire, pour la d�fense de Mme Bonnet,
qu'elle est elle-m�me prise dans un syst�me qu'elle a contribu� � mettre en
place et o� elle doit tous les jours prouver son utilit� ! On ferme les
h�pitaux sans patients. Dans le domaine chirurgical aussi, on apprend que des
malades sont op�r�s de faux cancers par des chirurgiens en manque d'actes...
Ne serait-il pas juste qu'un m�decin expert
qui a � sciemment ou sous l'effet d'un aveuglement coupable � fabriqu� de faux
certificats d'abus, soit condamn� � la m�me peine que l'on aurait inflig�e � celui
qu'il met en cause, s�il avait �t� coupable ?
On peut remarquer, � ce propos, � quel point
la loi (qui pr�voit cinq ans de prison pour les d�nonciations calomnieuses)
n'est pas appliqu�e. C'est donc assur�es d'une totale impunit� que des femmes
en col�re peuvent tenter de d�truire leur conjoint...
L'abusiness, apr�s tout, est un
gisement d'emplois qu'il convient de sauvegarder. Mais comment entretenir toute
une institution, l�gitimer d'�normes financements publics ou priv�s pour les
structures, les �quipes socio-th�rapeutiques, les associations, avec peu de
pervers ? Comment pondre un article tous les jours avec peu de pervers ?
Comment se faire aimer des parents-�lecteurs en annon�ant des lois, des
r�formes, de la s�v�rit� accrue, � propos d'un assassinat, atroce, mais qui ne
se produirait " "que" " tous les trois ans ?
Pour r�ussir, prosp�rer, il faut donc amalgamer,
cr�er un lien de causalit� entre des faits qui en sont d�pourvus, pour pouvoir
� tout moment ressasser le th�me obs�dant : l'enfant est en danger sexuel !
Bien entendu, les r�seaux de l'abusiness ont leurs relais m�diatiques.
Mais la denr�e se fait rare ! On doit tricher, trafiquer de plus belle pour
continuer � scandaliser le lecteur.
Dans son num�ro du 28/09/98, France-Soir
titre sur toute sa une avec une �norme photo mosa�qu�e : "Stephan, 9 ans,
prostitu� � Paris". Ce jeune roumain �tait cens� faire partie d'un
gigantesque r�seau destin� � alimenter la capitale en chair fra�che. La police
�tait impuissante face aux ramification du crime sexuel organis�...
La v�rit� ? �g� en fait de 14 ans, il �tait
le seul mineur en cause Note 100.
D�j� arr�t� et plac� en foyer pour d�linquance, vols et d�gradations de
v�hicules, il avait fugu� pour se trouver des protecteurs argent�s...
En 1999, France-Soir Note 101 doit se r�soudre � faire sa une et deux
pages int�rieures avec un seul mineur qui se prostitue tr�s
occasionnellement... Pourtant, � peine trois ans auparavant, le m�me journal
nous annon�ait que "8000 enfants se prostituent en France" Note 102. On comprend qu'� mesure que le
"banc" d'abus s'�puise, on soit oblig� d'en inventer. Sinon, que
p�cheraient les journalistes et les th�rapeutes ? La rubrique p�dophilie �tant
bien ancr�e dans les faits divers et de soci�t�, il faut l'alimenter, co�te que
co�te !
On peut l�gitimement penser que les
truqueurs, les escrocs, les crois�s violeurs, les calomniateurs ne seront pas
inqui�t�s outre mesure (peut-�tre un peu, pour la forme). Il s'agit de
pr�server l'essentiel, le filon.
Au plan national, il est �vident que le
champ de leur action s'est consid�rablement r�tr�ci. La mondialisation rend
l'impact de leurs d�cisions plus difficile � percevoir. Dans le domaine
�conomique et social, l'interd�pendance des ph�nom�nes, les pressions
internationales, l'importance croissante des d�cisions prises � l'ext�rieur du
pays, rendent malais�e toute r�forme radicale. Pourtant les difficult�s
subsistent (ch�mage, pr�carit�, �cole, ins�curit�...) et les rem�des ne sont
pas faciles � trouver.
L'abus agit comme un test de cr�dulit�
publique. Si nos concitoyens, terroris�s pour leurs enfants, gobent
"�a", alors on pourra sans doute leur faire avaler d'autres bobards.
Pour beaucoup, le conditionnement m�diatique op�r� au cours de la guerre au
Kosovo en est un exemple frappant.
La p�dophilie est devenue un sujet
consensuel et d�rivatif � propos duquel tout le monde ressent la m�me chose
et emploie les m�mes mots pour le dire.
Ceux des politiques qui ne mordent pas � cet
hame�on facile se gardent bien, en tout cas, du moindre commentaire. Nul ne
peut courir le risque de passer pour trop coulant avec les "violeurs
d'enfants". La porte est ainsi ouverte � toutes les surench�res, ce qui
conduit en particulier � la d�figuration du Code P�nal sous les coups de
boutoir d'une opinion manipul�e et d�sinform�e.
Toutes les grandes tirades enflamm�es sur
les "viols d'anges" ne sont pas sans rappeler les discussions
th�ologiques un tantinet futiles qui agitaient une Constantinople assi�g�e et
vou�e � la disparition...
Nous venons de voir comment la caste
communicante des sectateurs de l'abus a r�ussi � imposer son nouveau dogme que
nous r�sumerons d�une phrase : tout abus est syst�matiquement criminel.
Nous allons �tudier les cons�quences �minemment perverses et liberticides qui
en d�coulent. Les deux qualificatifs "syst�matique" et
"criminel" nous paraissent essentiels pour bien saisir les ressorts
de cette id�ologie et sa parent� avec toutes les terreurs en "-isme"
qui ont �t� les fl�aux de ce si�cle finissant.
Parlons d'abord de l'aspect syst�matiquement
criminel de l'abus. Imaginons qu'une personne ait vent d'un cas de
"sexe" transg�n�rationnel. Elle conna�t les protagonistes et ne constate
aucune cons�quence n�faste apparente. Quelle que soit sa comp�tence
professionnelle ou sa valeur humaine reconnue, il lui est interdit d'exercer
son propre jugement, d'appr�cier la situation dans sa sp�cificit�. La loi de
1997 rend obligatoire la d�nonciation de tout abus, soup�on ou rumeur d'abus
sous peine de lourdes sanctions p�nales.
Qu'est-ce que cela signifie au juste ? En
l'absence de toute m�diation m�dico-psychologique ou parajudiciaire, cela
revient � mettre en branle une action polici�re et judiciaire lourde qui
entra�nera in�luctablement la destruction sociale et morale du d�viant et des
s�quelles probables pour le mineur. Pour avoir voulu �viter cela, des m�decins,
des �ducateurs, des enseignants sont tra�n�s en justice, accus�s de non d�nonciation.
Les m�dias et les procureurs s'indignent : comment ont-ils pu fermer les yeux ?
Coupables, certes, de n'avoir pas soumis leur intime conviction aux rigueurs du
Dogme...
Le propre de l'id�ologie aveugle, c'est
qu'elle doit r�sister � l'�vidence des faits. Celui qui en toute bonne foi, sur
le terrain, n'aura pas vu le mal Note 103 sera
d�tromp� par voie judiciaire. Le moindre retard vaudra une mise en examen. Il
faut cr�er un r�flexe de d�lation instantan�e. Il n'y a pas lieu de r�fl�chir
puisque le crime est syst�matique. C'est gr�ce � ce genre de matraquage
id�ologique que des enfants endoctrin�s d'U.R.S.S. en venaient � d�noncer leurs
parents "d�viants". Toute tentative pour relativiser "l'horreur
p�dophile" gonflera de courroux les gardiens du dogme : on l'appellera
"banalisation" ou m�me "apologie de crime contre
l'humanit�..."
Parlons maintenant de la nature criminelle
de l'abus.
Rappelons en pr�ambule que la coupure Note 104 entre g�n�rations est aujourd'hui consomm�e
aux �tats-Unis. En France, elle est en bonne voie. Toute implication forte d'un
adulte m�le en milieu adolescent est v�cue comme suspecte. Dans l'Etat du
Massachusetts, c'est une infraction d'adresser la parole � un mineur inconnu.
Il est certain que cette rupture, cette absence de mod�le d'identification pour
l'ado en dehors de sa classe d'�ge, en particulier dans les familles �clat�es,
est un facteur de violence. Il arrive de plus en plus que des ados d'apparence
normale et sans ant�c�dents, commettent des crimes affreux. Assassinats
sordides, boucheries scolaires � r�p�tition, incitent une soci�t� d�sempar�e �
se cabrer et � durcir ses lois. Aux E.U. les coupables des crimes les plus
graves sont jug�s comme des adultes quel que soit leur �ge.
Or, suite aux fausses th�ories propag�es
par l'abusiness, les actes sexuels consentis avec un mineur ou m�me entre
mineurs sont hautement criminalis�s et trait�s � �galit� avec les massacres de
masse ! Voil� pourquoi, en bonne logique, un gar�on de 11 ans se retrouve
avec les cha�nes aux pieds...
Aux E.U., en mati�re d'abus, les
institutions agissent avec une barbarie non d�nu�e d'une certaine logique. L'ex
baba-cool Hillary Clinton Note 105,
� qui on posait, en 1995, la question : "A quel �ge les jeunes peuvent-ils
commencer � avoir une vie sexuelle ?", r�pondait ceci :
" Ma th�orie, la voil� : ne faites
rien avant 21 ans et ensuite, je ne veux pas en entendre parler. Note 106"
Le sexe est donc un mal auquel on se
r�signera chez l'adulte d�chu mais dont il faudra prot�ger la jeunesse, aussi
tard que possible. La r�pression sera �quitable. Une instit Note 107 qui attend un b�b� de son �l�ve de 13 ans
sera mise en prison pour 7 ans. Un enfant de 11 ans qui caresse sa petite s�ur
sera incarc�r�. Il faut bien comprendre que la r�pression sexuelle am�ricaine
est d'essence religieuse. Le saupoudrage m�dico-scientifique est de pure
forme, il sert de paravent � un fanatisme moral constitutif. C'est pourquoi les
chiffres de l'abus n'ont pas besoin d'�tre exacts. Le plus souvent, le coupable
est un homme mais le d�mon du sexe peut aussi habiter une femme ou un
enfant. M�le, femelle, enfant ou prix Nobel Note 108, celui qui s'adonne au sexe mineur est
d�chu de son immunit�. L'Am�rique est en guerre civile permanente. Contre le
Mal, le P�ch� ou sa version la�que, le politiquement incorrect...
Comme chacun sait, la France est experte en
Droits de l'Homme : extr�mement pointilleuse sur le sujet... Ce qui ne
l'emp�che nullement de copier le fanatisme moral anglo-saxon pour tenter de
l'acclimater au pays de la Raison et de l��galit�... M�connaissant le fondement
int�griste de l'abus-mania, on assaisonne le concept � la sauce hexagonale. Il
demeure toujours aussi barbare; il devient, en outre, absurde et discriminatoire.
Constatons d�j� que, chez nous, la femme est
disculp�e � l'avance de tout soup�on d'abus Note 109. On assiste d'ailleurs � un incroyable
retournement s�mantique. Qu'un prof ou un �ducateur ait une relation
p�d�rastique avec un adolescent, il ne peut s'agir que d'un viol, d'une pr�dation,
d'une subjugation de l'ado fragile par l'adulte pervers. Que donne ce
m�me sc�nario lorsque l'adulte est une femme ?
Paris-Match annonce la couleur : "Moi,
Muriel F., coupable d'aimer..." Une institutrice de 34 ans baisant avec un
�l�ve de 14 ans Note 110 devient
une martyre de l'amour. Comment peut-on s'opposer � une idylle aussi
sublime ? La victime (l'adulte, bien s�r ici !) a subi "un rapt
psychologique" Note 111.
Une femme m�re exploitant un enfant ? Que nenni ! Pour la loi, il s'agit d'un
d�lit dont nul n'avait entendu parler et qui n'a jamais servi � excuser la
moindre relation p�d�rastique : "soustraction sans fraude ni
violence d'enfant mineur des mains de celui qui exerce l'autorit�
parentale". C'est du sur mesure. �voquer l'aspect sexuel serait
tellement vulgaire...
On se demande vraiment ce que font les
comit�s charg�s de lutter contre la discrimination anti-homosexuelle ! Sont-ils
trop accapar�s par le PACS ? Le cas est pourtant flagrant. Des ann�es de prison
� coup s�r pour un rapport homo et un satisfecit pour l'amante h�ro�que.
Enfin... un mois de prison avec sursis... � regret, on l'imagine. L'�l�ve �tait
un "s�ducteur" Note 112,
h�t�ro semble t-il. Eut-il souhait� exprimer sa sexualit� pr�coce avec un
homme, on l'aurait chang� illico en victime abus�e. Magie du verbe.
Revenons � Raoul, qui a le d�faut d'�tre un
m�le, mais demeure tout de m�me un enfant... Devant l'Europe indign�e qu'on ait
pu emprisonner, menotter, entraver un gamin de 11 ans, le sh�rif qui l'a arr�t�
r�torque : "C'est la proc�dure normale". On ne peut que lui donner
raison. Crime violent, sexe interdit sont deux facettes du Mal. Et la logique
am�ricaine punit le Mal, quelle que soit la personne qui l'incarne. Pour
l'Am�rique bien pensante f�ministe et p�dol�tre, Raoul et Mary Letourneau sont
des ennemis int�rieurs, des Sudistes...
La logique fran�aise est un peu
chamboul�e... On n'ose pas trop avancer la banalit� du "touche-pipi"
car cette expression (dangereusement d�dramatisante) est devenue totalement
incorrecte. Alors, pour ne pas changer, on se contente de pester contre le
traitement que l'Am�rique inflige � ses "enfants criminels," sans
distinction. Le cas Raoul est mis en parall�le avec celui d'un autre gamin qui
a d�gomm� un passant � la carabine. Aucun m�dia pour reconna�tre qu'un
bricolage fr�re-s�ur (quand l'a�n� � 11 ans) rel�ve d'une admonestation
parentale et non d'un traitement carc�ral ! Donner des le�ons de Droits de
l'Homme aux Am�ricains, �a ne co�te rien mais il ne faut surtout pas risquer de
tarir le filon de l'abus !
Cette position absurde appelle deux
r�flexions.
� Le sexe interg�n�rationnel �tant de nature
syst�matiquement abusive, pourquoi ne pas consid�rer que Raoul a exploit� la na�vet�
de sa petite s�ur, aux yeux de laquelle il jouit d'un prestige de
"grand" protecteur ? La France h�site, en fait, entre la logique du
pr�dateur en herbe et celle de l'enfant forc�ment ang�lique !
� Raoul, s�il est "coupable", a
bien fait preuve de curiosit� sexuelle, il a bien pris l'initiative de jeux
libidineux sans gravit� ni contrainte avec sa petite s�ur. En quoi aurait-il pu
�tre victime si cette m�me curiosit� l'avait pouss� � provoquer des jeux
sexuels avec un adulte ou � y consentir ? Il n'est pas concevable qu'une envie
sexuelle enfantine ne puisse ressortir qu'� l'abus. Si on refuse de faire place
au consentement explicite du mineur, il faut, � la yankee, sanctionner tout acte
tabou quel que soit l'�ge de son auteur...
En France, on fait mine de consid�rer
l'affaire Raoul comme le "dommage collat�ral" d'une juste cause. On
ne peut avouer clairement que le jeu sexuel non violent n'est pas un crime, car
cela reviendrait � diminuer la responsabilit� de l'adulte abuseur.
Alors on biaise et on demande, en fait, que
tous les enfants soient largement d�responsabilis�s, m�me en cas de crime
violent. Nul n'admet que le tripotage exploratoire en fratrie n'a pas �
int�resser le l�gislateur alors que le crime violent ne peut � l'�vidence que
le concerner !
En fait, le cas Raoul est la cons�quence
directe d'une extension d�mesur�e de la notion d'abus. N'oublions pas que la
d�finition m�me de l'abus est donn�e par ceux qui sont charg�s de l'identifier.
Chez nous, le f�minisme m�dico-m�diatique le retaille � ses mesures, quelles
que soient les distorsions et les discriminations qui en r�sultent.
En Am�rique, au moins, on respecte des
dehors �galitaires dans le traitement judiciaire des interdits sexuels.
On pourrait comparer la lutte contre l'abus
� cet antidote administr� aux soldats de la guerre du Golfe. Destin� � prot�ger
les G.I.s d'un danger qui s'est r�v�l� imaginaire, le rem�de-poison a gravement
affect� la sant� de 100 000 d'entre eux...
Le procureur charg� du dossier Raoul, apr�s
l'avoir gard� plus de deux mois en prison, s'est permis de conseiller aux
parents un "suivi psychologique" de ce grand pervers. Ce � quoi la
m�re du gamin a r�pondu qu'effectivement il serait "soign�, mais
uniquement pour le traumatisme subi dans les prisons am�ricaines."
Malgr� les cons�quences n�gatives voire
tragiques que nous avons �voqu�es, les sectateurs de l'abus continuent � agir
sans rencontrer de r�sistance. Pour tenter d'en expliquer la raison, il nous
faut aborder sommairement les techniques de d�sinformation. Nous nous en
tiendrons aux aspects qui peuvent int�resser notre commentaire.
Une premi�re technique fr�quemment employ�e
consiste � cr�er un lien artificiel entre un grand crime et le coupable que
l'on a sous la main. Ce grand crime peut �tre r�el (Shoah, Dutroux) ou postul�
(Kosovo).
� En Belgique, le crime de Dutroux �tait si
atroce qu'il �tait m�diatiquement impensable de se contenter d'un seul
coupable. Alors, pour nourrir la meute que l'on avait d�cha�n�e, des ministres
furent tra�n�s dans la boue. Ce que tous les morts du sang contamin� n'ont pas
r�ussi � faire en France, un sinistre fait divers a bien failli le provoquer en
Belgique: la mise en cause et le balayage d'un gouvernement et des principales
institutions du pays. Nos hommes politiques en ont pris de la graine...
� A Bordeaux, on se saisit d'un vieillard,
un notable hautain et peu sympathique. Le proc�s qu'on lui fait n'a pas � �tre
juste et exemplaire. Non. Il doit �tre symbolique et p�dagogique. 55
ans apr�s les faits, impossible de prouver quoi que ce soit. Aurait-il pu
emp�cher des d�portations ? Est-ce que �a aurait �t� pire sans lui ? On ne le
saura jamais. Le vieux Papon n'est plus qu'un macchab�e-vivant ( ! ) On
l'allonge dans l'amphi judiciaire et on le diss�que au bistouri m�diatique pour
donner une le�on de m�moire � la jeunesse.
� Au Kosovo, profitant d'une guerre civile
attis�e de l'ext�rieur, on anesth�siera le sens critique en lan�ant le mot
"g�nocide". Cela suffira pour justifier des bombardements
humanitaires qui causeront des milliers de morts...
Il est possible que certains de nos lecteurs
ne partagent pas notre analyse sur les �v�nements d'actualit� que nous venons
d'�voquer rapidement ! La grande force de la d�sinformation, c'est justement de
diviser ses adversaires. La sensibilit� � la propagande est rarement globale.
Elle suit la ligne trac�e par les clivages id�ologiques ou par les int�r�ts
individuels. Ceux qui verront la v�rit� n'auront souvent ouvert qu'un �il.
Chacun d�noncera le mensonge dont il est victime et s'accommodera de celui qui
l'arrange. Une lucidit� d�brayable en somme.
On entendra : "Il est scandaleux de
mettre un vieillard de 90 ans en prison... alors que des violeurs d'enfants
sont en libert�."
Ou alors : "On pourchasse les
p�d�rastes mais on n'est pas capable d'arr�ter Milosevic."
Cela s'explique. Nous sommes quotidiennement
accabl�s de mauvaise conscience humanitaire et soumis � des alternatives truqu�es
: Acquitter Papon c'est cautionner la Shoah..., Ne pas pilonner la Serbie c'est
�tre complice d'un g�nocide, etc...
Pour finir de sceller notre inertie mentale,
la pens�e unique multi-supports (il suffit de voir la devanture des
kiosques !) laisse croire � une diversit� de points de vue et tue la curiosit�
de chercher des informations plus difficilement accessibles. Au lieu de br�ler
les livres, on les boycotte et on sature le public d'infos correctes. L'oie,
gav�e � bloc, n'ira pas chercher d'autre nourriture...
Et pourtant , si toutes les victimes de la
pens�e unique, au lieu de se crisper uniquement sur la d�sinformation qui leur
nuit, consentaient � unir leurs r�flexions sans exclusive...
Il est frappant de constater que les
actuelles campagnes p�dophobes Note 113 jouent
exactement le m�me r�le que les croisades anti-masturbation au 19�me si�cle.
Au moment ou Foucault donnait ses cours au
Coll�ge de France, ce qu'il est convenu d'appeler "la lib�ration
sexuelle" (M.L.F., F.H.A.R. homo, Charte des enfants...) battait son
plein. Rien ne laissait pr�sager les campagnes abusives des ann�es 90. Des
journaux de gauche d�fendaient le droit � l'amour interg�n�rationnel qui �tait
dans le vent. Les Tribunaux, contrairement � ce qu'on voudrait nous faire
croire aujourd'hui, sanctionnaient sans faiblesse les attentats � la pudeur
� qui toutefois n'�taient pas encore confondus avec le viol...
�tudions point par point les similitudes
troublantes entre les croisades branlophobes des 18-19�me si�cles Note 114 et les campagnes abusives de la fin du
20�me.
Foucault note que "le discours sur la
masturbation prend la forme, beaucoup moins d'une analyse scientifique, que
d'une v�ritable campagne : il s'agit d'exhortations, de conseils,
d'injonctions". Foucault parle de croisade. C'est exactement le
terme employ� � propos des abutineuses dont nous avons parl�. Bouillon
est appel�e "la crois�e anti-p�dophile". Botte est baptis�e
"passionaria anti-p�dophile". Le style de toute cette litt�rature est
toujours le m�me. Jamais d'argumentation construite, pas de d�finition des
termes employ�s. Juste une hyst�rie haineuse. Qu'on en juge d'apr�s une page
prise presque au hasard dans le livre de Simone Chalon Note 115. Cette grande penseuse, courageuse et
nuanc�e, fait partie des "happy few" imm�diatement consult�s par les
grands m�dias d�s qu'une "horreur p�dophile" se produit en France.
Elle ne peut contenir sa col�re car, dans un coin obscur d'une obscure revue,
elle a relev� une opinion dissidente, r�visionniste et criminelle sur l'abus Note 116. Voyons les termes utilis�s par cette dame
:
" Je ne peux que m'insurger...
d�lires litt�raires... l�chet� et malignit�... je tremble de col�re en lisant
ce genre d'ineptie... ces ignobles propos... on croit r�ver... textes
r�voltants...l'auteur pousse l'ignominie... etc... "
Le tout dans une seule page (p 104) du
bouquin ! Autant dire que l'invective occupe toute la place qui, dans un ouvrage
pens� et �crit, devrait �tre d�volue � la contestation argument�e...
La r�futation c�de le pas � l'ire
tr�mulante. Il s'agit, telle une orfraie h�riss�e, de faire fuir l'adversaire
par des vocif�rations rageuses afin d'occuper seule le terrain. Alors m�me que
l'univocit� la plus totale r�gne d�j�...
Qu'un esprit distingu� comme M. Finkelkraut
s'avise de moduler tr�s l�g�rement le consensus haineux, Mme Bouquet Note 117 lui vole dans les plumes. Aucun argument
n'est n�cessaire pour cela. Il suffit de hurler, de faire la preuve par les
cris...
A propos du discours sur la masturbation,
Foucault parle de "fabulation scientifique". Il s'agit de
d�noncer les m�decins qui, profitant du pr�jug� d'autorit� que leur conf�re
leur titre, tiennent des propos d�lirants sans fondement scientifique aucun.
C'est exactement ce que nous avons not� �
propos des ouvrages sur l'abus. Bauserman remarque "qu'on a g�n�ralement
�tiquet� les attitudes en fonction de la morale et non de la science, m�me si
ce sont des scientifiques et non des profanes qui utilisent ces �tiquettes dont
l'usage peut avoir des cons�quences graves".
Un des moyens employ�s par les m�decins du
19�me pour faire passer leur conception de l'onanisme "maladie
totale" est d'avoir recours � "une sorte de genre litt�raire qui est la
lettre de malade". Ces lettres sont, pour la plupart, �crites par le
m�decin lui-m�me. Il s'agit, on le comprend, d'�tayer par des "t�moignages
v�rit�" une th�orie un peu douteuse. Une sorte d'aveu � la premi�re
personne o� justement, � travers les d�clarations innocentes du malade qui
s'�panche, se v�rifient les hypoth�ses du m�decin. Celui-ci, une sorte
d'anti-Pasteur, au lieu d'�tudier une pathologie r�elle, cr�e un patient
imaginaire affubl� de tous les sympt�mes de la maladie qu'il a invent�e pour sa
plus grande gloire.
C'est exactement ce que fait P. Meney dans Les
voleurs d'innocence, le document marron qui pla�t tant au Dr Lopez. Tout le
bouquin est bas� sur une lettre de malade qu'un psychopathe assassin est cens�
lui avoir �crite. Extraits :
" Je me livre au viol de fillettes
depuis l'�ge de 22 ans et j'en ai pr�s de 60... Des enl�vements comme celui-l�,
j'en ai fait des dizaines... La ramener chez moi pour la violer mais aussi pour
la tuer. Je n'en �tais pas � mon coup d'essai... vous la regardez se tordre,
pleurer et faire des grimaces... bien souvent la gamine oubliait que je l'avais
embarqu�e de force dans la voiture, et elle commen�ait � me consid�rer comme un
copain. Elle m'embrassait en partant... Note 118 j'ai trouv� la fili�re... j'exp�die les
gamines en Allemagne... d�s quatorze ans elles sont retir�es de la circulation,
proprement et sans laisser de traces... etc. "
Meney pr�cise pour authentifier la chose :
"Psychiatres et policiers m'ont dit que ce r�cit est conforme aux aveux
qu'ils ont l'habitude d'entendre". Meney op�re un croisement entre
le serial killer � l'am�ricaine et "le p�dophile qui croit qu'il ne fait
pas de mal" pour montrer qu'il s'agit en fait du m�me homme : l'auteur de
la lettre. Sa parabole monstrueuse tend � nous convaincre que l'acte criminel
est inscrit dans la p�dophilie ordinaire, qu'il en est ins�parable. En outre,
il laisse entendre que ce genre de personnage est assez r�pandu puisque les
policiers assurent qu'ils ont l'habitude de recueillir ce genre de
confession.
Ce faux manifeste, qualifi� par le Dr Lopez
"d'ouvrage bien document�", ramasse tous les fantasmes ogresques
latents en vue de r�alimenter le b�cher p�dophobe.
Meney, qui a fait carri�re dans la d�tresse
� grand spectacle, sait qu'on peut manipuler l'opinion avec des faux grossiers.
Sans risques. Il est absout � l'avance, chacun �tant persuad� que cela va dans
le bon sens, celui d'une protection renforc�e pour nos enfants.
Mais, au fait, qu'est-ce qu'un "bon
sens" balis� tout du long par les mensonges, l'amalgame et la
d�sinformation ? Il s'agit de rien moins qu'une incitation � la haine et au
meurtre. Qui n'aurait envie, � la lecture de sa lettre, d'estourbir l'ignoble
salopard (virtuel) qui, en plus, nous nargue ?
Mais � il faut le rappeler car c'est
essentiel � ce monstre cynique, c'est le m�me qui peut avoir des relations
"copain" avec les fillettes qui le remercient et l'embrassent en
partant ! Le manipulateur et l'assassin-trafiquant d'enfant fusionnent. La
haine du second peut donc l�gitimement se porter sur le premier.
Les cons�quences font partie des faits
divers. On assiste � des massacres suite � un soup�on d'attouchement, �
l'ex�cution de "pointeurs" Note 119 par des co-d�tenus, � des suicides familiaux dus � une accusation,
� des autolyses Note 120 de
personnes pers�cut�es ou effar�es par l'image que la soci�t� leur renvoie
d'elles-m�mes.
Cette lettre de malade est trop
d�monstrative du propos calcul� de Meney pour �tre l��uvre d'un mauvais
plaisant. Il s'agit donc bien, � l'�vidence, d'un bidonnage criminel.
Apr�s avoir �tudi� les m�thodes
propagandistes, venons-en au fond de la th�orie branlophobe. Que pr�tend-elle
nous enseigner ? Il s'agit, selon Foucault, de "d�montrer la puissance
causale in�puisable de la sexualit� infantile ou du moins de la
masturbation (et de) rapporter � un certain interdit sexuel tout le champ du
pathologique, et ceci jusqu'� la mort... son temps d'effet est absolument
al�atoire : une maladie de vieillesse peut parfaitement �tre due � une masturbation
enfantine... la masturbation est en train de devenir la causalit� universelle
de toutes les maladies. En portant la main � son sexe, l'enfant met en jeu,
sans pouvoir en calculer les cons�quences, sa vie toute enti�re".
On pourrait dire la m�me chose de l'abus
sexuel, mot pour mot ! Bauserman nous rappelle que des sp�cialistes
contemporains ont tent� d'expliquer la quasi totalit� des psychopathologies
adultes par l'abus sexuel. La multiplicit� des sympt�mes souvent
contradictoires imputables � l'abus permet � celui-ci de devenir le principe
explicateur de tout mal-�tre. L'enfant moderne sera ensorcel� par son abus
comme celui du 19�me l'�tait par son onanisme. De m�me que la masturbation
rendait sourd (et fou), l'abus rendra amn�sique (et suicidaire) dans l'int�r�t
bien compris des sp�cialistes de la m�moire retrouv�e.
En ce qui concerne la th�rapie, Foucault
nous dit que "cette campagne comporte �galement des institutions destin�es
� soigner ou gu�rir les masturbateurs... des appels de m�decins qui promettent
aux familles de gu�rir leurs enfants de ce vice".
On conna�t les v�ritables instruments de
torture destin�s � emp�cher, m�caniquement, les enfants de se branler Note 121. Bauserman nous rappelle fort � propos que
la circoncision �tait destin�e � emp�cher l'auto-abus lors de la toilette.
Foucault nous affirme qu'� la fin du 19�me si�cle des m�decins pratiquaient
encore l'excision sur des petites masturbatrices. Aujourd'hui, les cages �
serrures et les �tuis p�niens ont laiss� la place aux verrous psychiques
command�s � distance...
Ce culte de l'aveu, dont parle
Foucault � propos des m�decins onanophobes, peut expliquer l'engouement de nos
sp�cialistes modernes pour la mise en sc�ne judiciaire :
" Il faut que le malade
reconnaisse son mal. Il faut qu'il en comprenne les cons�quences, il faut qu'il
accepte le traitement, bref il faut qu'il avoue... "
Dans un cas d'abus sexuel, l'aveu de la
"victime" peut �tre obtenu par des interrogatoires r�p�t�s et
orient�s jusqu'� obtention de la "bonne" r�ponse. Nous avons vu ce
qui pouvait inciter un mineur � endosser le r�le de victime...
Quant au perp�trateur, d'apr�s la
nomenklatura psy, "l'effet cinglant de la judiciarisation et le prononc�
du temps de la peine sont des facteurs essentiels pour l'abrasion du risque de
r�cidive" Note 122.
Nous avons eu l'occasion d'assister � un des
rares proc�s pour "tourisme sexuel" organis�s en France. Il
s'agissait � l'�vidence d'�trenner la nouvelle loi, de bien montrer qu'elle
existait, sous l��il des cam�ras et des journalistes. Jusqu'au jour du proc�s,
un des accus�s s'�tait montr� r�fractaire � ce qu'il appelait le "lavage
de cerveau" auquel on voulait le soumettre. Il avait eu des rapports
sexuels avec un gar�on �g� d'apr�s lui de 15 ans, au Sri Lanka. Bien entendu,
la victime figurant sur des photos qui avaient entra�n� le d�voilement
de l'affaire n'avait �t� ni interrog�e ni m�me identifi�e. Le substitut furieux
agitant la menace d'un proc�s d'assises et de 20 ans de r�clusion, l'accus� fut
contraint de reconna�tre, � l'aide des mots mis dans sa bouche par le procureur
lui-m�me, qu'il "n'aurait pas renonc� � avoir des rapports avec ce gar�on,
m�me si il avait eu moins de 15 ans". Il dut par cons�quent avouer qu'il
�tait malade et accepter de se soumettre � des soins au cours de sa longue
peine (5 ans) et apr�s. Si on passe sous silence le petit chantage � la mort
carc�rale op�r� par le substitut, voil� un bel hommage rendu par un condamn�
repentant � la puissance et � la comp�tence des experts psychiatres ! Un superbe
aveu arrach� au finish !
Si on fait les comptes, on s�aper�oit que
les experts modernes font une meilleure affaire que leurs coll�gues du 19�me.
Pour chaque abus d�nich�, ils disposent d'une double client�le potentielle :
les "victimes" et les "coupables" soumis tous deux aux
soins forc�s.
Foucault conclut qu'il s'agit l� (il parle
de masturbation) d'une "grande pers�cution physique de l'enfance au 19�me
si�cle, qui a presque l'ampleur des pers�cutions contre les sorciers au 16�me
et 17�me si�cles". Mais quelle utilit� sociale a pu avoir cette croisade
cruelle ? Foucault pense qu'il s'agissait alors de confier � une famille
restreinte la surveillance physique rapproch�e de l'enfant, afin que celui-ci
puisse arriver sain, apte et docile dans les nouvelles institutions d'�tat
charg�es de le former...
Parall�lement, nous devons essayer de
comprendre quelle est aujourd'hui l'utilit� sociale des campagnes contre
l'abus.
Qu'est-ce qui peut expliquer l'�closion et
le succ�s de ces nouvelles th�ories � ce moment pr�cis de notre histoire ?
Il nous faut revenir, avec un �clairage un
peu diff�rent, � l'id�ologie f�ministe dont nous avons parl�. Nous avons vu que
celle-ci fait de la femme, dans la famille et au niveau politique, le garant de
la protection de l'enfant. Nous avons montr� aussi comment cette position
servait � promouvoir l'id�e de parit�.
Or, nous pensons avec Soral que
"l'esprit f�minin (et son go�t des objets)" est �galement l� pour
nous "faire accepter le r�le de purs consommateurs auquel le
n�o-lib�ralisme nous a d�j� condamn�s" Note 123.
Dans cette m�me optique, on constate que
tout le folklore lib�rateur de l'apr�s 68 est aujourd'hui utilis� et encadr�
pour favoriser des march�s, pr�server des int�r�ts corporatistes, masquer des
impuissances.
La rencontre des id�ologies progressistes
d�natur�es et de la soci�t� marchande qui les utilise � son profit nous semble �tre un �l�ment essentiel.
Nous allons prendre quelques exemples.
Il est un peu le r�sidu fossilis�, le
coprolithe des mouvements de lib�ration sexuelle. Young et les gourous de
l'orgasme nous l'avaient pr�dit : nous allions nous accomplir pleinement par
l'�panouissement de nos facult�s de jouissance. D�sillusion. Le porno, le peep
show nous proposent en fait un voyeurisme tarif�, un concentr� de g�nitalit�
totalement isol� du reste de notre existence, une sexualit� parcm�tre.
En d�cembre 96, un des magnats du porno
business en France, M. Benaz�raf, �tait invit� � s'exprimer sur France Culture.
"Il faut baiser les p�dophiles", annon�ait-il, t�moignant � leur
�gard d'une haine �trange. Comment l'expliquer ?
La pornographie officielle, comme
l'homosexualit� "gay", sont des formes hautement standardis�es
pouvant laisser croire que nous jouirions aujourd'hui d'une libert� jamais
�gal�e. Mais le porno norm� implique au contraire un r�tr�cissement du champ
�rotique. En effet, la prosp�rit� du commerce pornocrate implique qu'en
contrepartie la puret� des plus jeunes soit garantie. L'ang�lisme fait bon
m�nage avec le culte des d�mons de midi.
Pour disposer et profiter de tous les
supports de diffusion modernes, la pornocratie ne peut pas se permettre d'�tre
accus�e de corrompre la jeunesse. Elle doit en rajouter sur la puret� pour
mieux tirer profit de la d�bauche...
De m�me, la tranquillit� du bastion gay
suppose l'abolition de la p�d�rastie. La puret� mythique de l'enfant et de
l'adolescent Note
124 sera abandonn�e,
en compensation, aux gardiens de l'ordre moral (et � leurs alli�s objectifs
f�minazes) r�solument hostiles aux p�d�s et au porno... et qui les ont � l��il
! Le marketing de la d�pravation fait son beurre sur la continence des mineurs.
Sans doute pour ne pas attirer de trop
jeunes oreilles en vadrouille sur les ondes, la station de radio Fr�quence Gaie
s'est rebaptis�e Radio F.G... Entre deux boum-boums techno, de larges plages de
pub confirment le pouvoir hautement consommateur de la soci�t� gay � et de son
franc rose � toute b�ate d'am�ricanit� primaire.
Ceci explique que l'on soit pass� d'un
premier type Note
125, le mod�le
homo-p�d�rastique d'essence grecque discret et furtif, � un second, le
mod�le gay, plastronnant, revendicateur et tr�s courtis� pour son pouvoir d
'achat.
� Le premier type, susceptible de toucher une
bonne partie de la jeunesse, est un mod�le transitoire, potentiellement
�ducatif et compatible avec la famille h�t�rosexuelle.
� Le second touche une partie r�duite � mais
influente � de la population. Il est permanent (ghetto), tr�s inscrit dans la
soci�t� marchande, et g�n�ralement incompatible avec une vie de famille h�t�ro.
� Bien entendu, tous les homosexuels ne
s'inscrivent pas dans ce sch�ma r�ducteur. Bon nombre d'homos bien int�gr�s,
tol�rants et discrets sont ulc�r�s par la caricature gay !
Malgr� la promotion m�diatique de la Gay
Pride Note
126 et l 'acceptation
de l'homosexualit� adulte, il semble bien que la plupart des familles refusent,
pour leur enfant au moins, le mod�le permanent.
Cette homosexualit� mani�r�e, marchande,
sid�og�ne, coup�e de la famille h�t�ro et de l'enfantement, agit comme un
repoussoir.
Les parents craignent qu'une exp�rience
pr�coce pr�d�termine leurs enfants et les enferme dans le ghetto gay. Et m�me
si l'enfant ne devient pas homo, cette sexualit� nuisible p�sera d'un poids
insupportable sur son �quilibre adulte...
Autrefois, en cas d'exp�rience pr�coce,
faute d'un mod�le gay visible et institu�, les parents tendaient � minimiser
l'incident qui ne pouvait que s'inscrire dans un processus de maturation
h�t�rosexuelle. Aucun mod�le permanent n'existait pour nourrir leur peur que
l'enfant soit aspir� par une autre sph�re...
De temps en temps, pour faire oublier les
profits colossaux r�alis�s par les sp�culateurs et les ma�tres de
"l'horreur �conomique", on jette un notable en p�ture aux classes
pauvres.
D�j�, � d'autres �poques, puritains et
calvinistes pr�chaient que le sodomite Note 127 t�moignait "d'un m�pris envers les pauvres". Les
id�es puritaines devenaient "dans des mains ignorantes, les armes terribles
d'une revanche sociale" Note 128.
On se souvient du notaire de
Bruay-en-Artois, trop nanti pour �tre honn�te... Dans cette m�me r�gion
industrieuse, un film d'Yves Boisset pr�sente Une femme flic qui, seule
face � l'omerta locale, met fin aux agissements d'une conspiration de nantis
ligu�s pour violer des enfants d'ouvriers Note 129. A quelques kilom�tres de l�, l'ignoble
Dutroux ne pouvait pas avoir agi seul. Il fallait que derri�re lui se cachent
des pervers haut plac�s...
On a beau prouver que, dans les pays de
prostitution enfantine et adolescente, la client�le est � 95% locale et que
cette prostitution, aux racines purement autochtones, prosp�re en outre sur la
pauvret� dans laquelle on laisse ces pays s'enfoncer, rien n'y fait. Le
responsable ne peut �tre que le passager de "viol charter", ce nanti
qui vient pourrir des enfants, fr�res des n�tres, qui fouillent si dignement
dans des tas d'ordures pour survivre. Dans un d�bat d'Arte sur le sujet, le
douteux Zorro suisse Ziegler insistait � plusieurs reprises pour pr�ciser que
les salauds corrupteurs �taient "tous en costume-cravate..."
On s'est aper�u, il y a peu, que les
moralisateurs des plateaux de t�l�vision, les grands d�nonceurs publics, figuraient
parmi les nantis les mieux pay�s de France ! Se mettre du c�t� des plus
modestes en tapant sur les "pervers" haut plac�s, cela peut rapporter
gros !
Andr� Gide, le "contemporain capital Note 130 " n'a jamais travaill�. Il est le parfait
exemple du nanti p�d�raste. Au d�but du si�cle il fut jur� d'assises ; il
pourrait aujourd'hui �tre jug� pour viols et tourisme sexuel...
La Justice est, nous l'avons vu, soumise aux
pressions crois�es des m�dias et des politiques. Les news sont de plus en plus
gorg�es de judiciaire. L'hermine p�lit sous les flashs.
Dans certains domaines essentiels, notamment
la violence physique et le respect de la propri�t�, elle a du mal � rentrer en
condamnation. Que faire contre des bandes de jeunes qui, venus assister au
proc�s de l'un des leurs, huent les magistrates et pissent contre les portes de
la salle ? On ne peut pas risquer un embrasement des cit�s. Les �ch�ances
politiques approchent...
Et que dire de ces policiers pr�sents au
proc�s de certains d'entre eux, accus�s de "tortures et actes de
barbarie" sur des pr�venus, traitant en pleine salle d'audience et sans se
g�ner les magistrates d'"encul�es" et de "salopes" parce
que le verdict ne leur avait pas plu Note 131 ? Avec succ�s d'ailleurs, puisque, conscients qu'on ne peut pas
se mettre la police � dos, des magistrats lib�reront les pr�sum�s tortionnaires
en appel.
Les crimes commis par des mineurs sont, eux
aussi, de plus en plus fr�quents. Une association de trente parents dont les
enfants ont �t� tu�s par des mineurs s'est cr��e, indign�e par le laxisme dont
la justice a souvent fait preuve � l'�gard d'adolescents multir�cidivistes
violents Note
132.
Il reste quand m�me un secteur o� la Justice
agira sans mollir et sans sourciller. Dans des affaires de m�urs sans
violences, des magistrats encourag�s par la rumeur publique prononcent des
sentences de mort carc�rale. Cela compense. Nous citerons cette br�ve du Parisien
Note
133:
" R.T., accus� de viols ou
d'agressions sexuelles sur dix enfants, a �t� condamn� � 20 ans de r�clusion
criminelle... Pour s'attirer l'affection de ses victimes, il leur offrait
des cadeaux ou des voyages. "
Voil� donc ce qu'en quatre petites lignes on
peut retenir de plus grave pour justifier l'emprisonnement"� mort"
d'un homme de 54 ans ! Au lieu de les violer brutalement, ce qui aurait �t�
plus franc, le monstre offrait des cadeaux et des voyages... contre de
l'affection. �a d�passe l'entendement ! Pour la peine, il ne b�n�ficiera m�me
pas des gr�ces pr�sidentielles accord�es aux mutilateurs et aux assassins...
En mati�re d'abus et de mineurs d�linquants
en particulier, la Justice semble inf�od�e � un secteur psycho-social qui, nous
l'avons amplement d�montr�, a perdu le nom de science en s'affranchissant de l'exigence
de la preuve "sans laquelle tout discours se condamne aux fragilit�s
de la croyance et � la na�vet� des convictions" Note 134.
Malgr� ses errements et sa d�pendance, notre
Justice sans Pyr�n�es se voudrait absolue et universelle.
Suite � l'affaire Dutroux, une marche
blanche avait fait descendre 300 000 Belges dans les rues. Les m�dias avaient
r�ussi � persuader la population que des Dutroux il y en avait partout, gr�ce �
la complicit� du gouvernement qui comptait en son sein une mafia p�dophile (Botte
avait les noms).
Au del� du pilonnage m�diatique, comment
expliquer plus profond�ment le succ�s que ces campagnes ont rencontr� dans
l'opinion ? Nous avons mentionn� la revanche sociale, tr�s circonscrite,
autoris�e contre les pourris au pouvoir qui s'envoient les enfants du peuple.
Il semble bien, aussi, que la protection de
la jeunesse permette d'occulter un probl�me que notre soci�t� a du mal �
regarder en face : la protection contre la jeunesse.
L'incarc�ration de plus de deux millions de
personnes a permis de r�duire un peu la d�linquance globale aux E.U. En
revanche, le nombre des mineurs arr�t�s pour meurtre a augment� de plus des
deux tiers Note
135 ! De temps �
autres, un massacre scolaire � 6 en 18 mois ! � �meut l'opinion. On se
demande avec combien d'ann�es de d�calage les m�mes carnages vont se produire
en France... On sait que, chez nous, les crimes de mineurs explosent d�j� et
que la violence scolaire est en constante augmentation.
Dans ce contexte, la protection sexuelle semble
�tre le dernier pouvoir entre les mains de parents qui ne peuvent plus
"corriger" leurs enfants � dans tous les sens du terme.
C'est aussi l'ultime rempart dress� contre
un monde ext�rieur marchand et d�divinis�.
En outre, on constate que le progr�s
technique permanent accentue le d�calage entre g�n�rations. Les enfants n�s
avec l'informatique s'y meuvent avec aisance, parfois avec g�nie, alors que les
parents, eux, pi�tinent. Les vedettes du sport ou de la chanson, de plus en
plus jeunes, ont moins � attendre de leur famille que de leur coach ou de leur
producteur qui sauront les guider et g�rer leur ascension.
Les parents conservent encore la "garde
du corps" de l'enfant. Ils ne peuvent, toutefois, l'exercer seuls. Il
doivent collaborer avec les institutions scolaires et socio-�ducatives charg�es
de les assister et de les orienter dans leur t�che. Un refus pourrait entra�ner
un soup�on de d�rive sectaire, voire sectaro-p�dophilique.
En s'obnubilant sur un agresseur sexuel
largement fantasm�, les parents donnent une forme tangible � toutes les
forces diffuses qui �loignent et menacent leurs enfants. Ceux dont les
enfants, priv�s d'amour, ont rencontr� le p�d�raste consolateur, sont les
premiers � vouloir la mort de celui sur qui la soci�t� les autorise � rejeter
la responsabilit� de tout le malaise familial !
La consubstantialit� parent-enfant, pouss�e
� l'extr�me, est parfois illustr�e par des faits divers tragiques. C'est le rituel
d'an�antissement familial. Le parent suicideur, pour qui l'enfant n'est
qu'un prolongement de lui-m�me, donne la mort � sa prog�niture avant de se
supprimer. Mais c'est dans la discr�tion que meurent ces enfants sans pr�nom,
victimes de rancunes adultes ou d'une explosion de normalit� bourgeoise...
Comment le rapport Bauserman a t-il �t�
accueilli aux E.U. ? Tr�s fra�chement, comme on pouvait s'y attendre ! Des
attaques virulentes ont �t� port�es contre la tr�s puissante A.P.A. Note 136 qui publie la revue o� l'article de
Bauserman avait paru. Les m�dias, � l'instar du fameux docteur Laura � une
M�nie Gr�goire yankee � y sont all�s de leurs hoquets courrouc�s, "on
croit r�ver", "�a me rend malade", accusant tout simplement
l'A.P.A. de complicit� avec les violeurs d'enfants... Les attaques �taient si
violentes que les journaux ont pu parler d'une v�ritable croisade men�e contre
les auteurs du rapport.
L'A.P.A., passablement �branl�e, publia deux
communiqu�s contradictoires, l'un affirmant qu'elle avait toujours lutt� contre
l'abus sexuel et qu'elle continuerait � le faire et l'autre qu'elle avait
examin� la recherche incrimin�e sous toutes les coutures et l'avait trouv�
scientifiquement valide.
Le Congr�s eut une r�action tr�s am�ricaine
: il demanda comment une recherche qui aboutit � des conclusions aussi incorrectes
avait pu �tre financ�e. Des d�put�s s'insurg�rent � l'id�e que les deniers
publics aient pu servir � obtenir des r�sultats aussi d�sagr�ables, fussent-ils
scientifiquement incontestables. En r�alit�, aucun fonds n'a �t� investi dans
cette �tude. Les chercheurs l'ont men�e b�n�volement durant leur temps libre.
Quant � l'autre A.P.A., Note 137 �galement
mise en cause, voyons ce que dans un jargon impayable ses repr�sentants ont
d�clar� (textuellement) :
" Nous n'acceptons pas les
recherches incorrectes, et toute recherche qui d�clare possible le consentement
de l'enfant est incorrecte. "
" Un enfant ne peut consentir s�il
n'a pas atteint l'�ge o� il est l�galement autoris� � consentir. "
Le moins que l'on puisse dire, c'est que de
tels sophismes nous renvoient plus aux interdits religieux qu'� la rigueur
scientifique !
Pour finir, l'A.P.A. d�clarait qu'elle
n'avait tenu compte que de la valeur scientifique de la recherche et
avait n�glig� ses implications sociales et politiques, ce qu'elle promettait de
ne plus faire � l'avenir... Le rapport fut transmis � Clinton qui, au mois de
juin 99, ne l'avait toujours pas lu.
Le probl�me, il est vrai, est d�licat. Si
malgr� des contre-�tudes qui, n'en doutons pas trouveront facilement un
financement, on n'arrive pas � nier la validit� du rapport Bauserman, la
justice am�ricaine s'expose � une cascade de proc�s en r�paration, intent�s par
ceux qu'une conception trop syst�matique de l'abus a fait condamner.
Il serait pr�f�rable de contraindre
Bauserman � abjurer sa th�orie, comme Galil�e avait d� le faire en son temps...
Revenons un instant � nos Cr�ationnistes que Darwin, on le sait, d�range dans
leurs convictions religieuses. Nul doute que, s�ils �taient au pouvoir, ils
s'indigneraient qu'on dilapide l'argent public pour �tayer des th�ses
�volutionnistes...
Les capacit�s de r�action et d'adaptation du
syst�me de l'abus sont proportionnelles � la force qu'il a d�j� acquise.
Celle-ci, on l'a vu, est consid�rable. Il serait donc illusoire d'esp�rer qu'il
implose tout � coup sous l'impact d'une v�rit� r�v�l�e ! On a donc toutes les
raisons de craindre que la recherche scientifique soit de plus en plus brid�e
par les interdits et inf�od�e aux id�ologies � la mode.
Pour notre part, nous admettrons, � l'instar
de tous les experts qui l'ont examin�, que le rapport est scientifiquement
irr�prochable. Nous rappellerons, avant de conclure, quels en sont les points
forts :
� Le rapport remet en cause des th�ories
infond�es sur la d�finition de l'abus et sur ses cons�quences.
� Il permet de recentrer l'attention sur les
abus r�els, physiques, moraux ou sexuels.
� Il devrait, en toute logique, interdire
que des relations consenties entre un adulte ext�rieur � la famille et un
adolescent soient assimil�es � des viols et trait�es sur le m�me plan que les
s�vices r�els dont certains enfants ont � souffrir.
� Il devrait interdire aussi que des
condamnations en justice soient fond�es sur la th�orie notoirement fausse
voulant que l'abus sexuel cause syst�matiquement des dommages irr�parables.
L'aspect potentiellement n�gatif de certains types de rapports
inter-g�n�rationnels ne doit pas occulter la possibilit� (statistiquement
sup�rieure) d'effets positifs ou neutres.
� Les Droits de l'Enfant, totalement
fictifs, devraient commencer � �tre respect�s. Ils ne devraient pas permettre
que la violence soit confondue avec l'initiation sexuelle. Il ne devrait plus
�tre possible que les auteurs d'atteintes physiques parfois d�finitives soient
trait�s avec plus de compr�hension que les auteurs d'actes socialement
proscrits, mais dont le caract�re dangereux ou m�me non b�n�fique est plus que
douteux. L'�chelle des peines encourues doit �tre revue et redevenir
proportionnelle � la gravit� reconnue et av�r�e des actes commis. La logique pernicieuse,
qui permet aujourd'hui � l'infanticide d'�tre plus recevable que l'aventure
sexuelle Note
138, finit par
aboutir � l'incrimination et � l'emprisonnement de jeunes enfants coupables de
jeux sexuels entre eux. Elle doit �tre d�nonc�e.
� Les apprentis sorciers de l'abusiness
doivent cesser de sacrifier ces enfants qu�ils font commerce de prot�ger.
� Toute personne arguant d'une th�orie
pr�tendument scientifique pour obtenir la condamnation p�nale d'un d�linquant
sexuel, ou entretenant sciemment la confusion entre un interdit religieux,
moral ou social et une v�rit� exp�rimentale �tablie, devrait �tre poursuivie.
Le rapport Bauserman montre aussi que les
folles campagnes �mancipatrices des ann�es 70, revendiquant une libert�
sexuelle totale et sans contr�le de l'enfant, se sont r�v�l�es �minemment
critiquables et contre-productives.
M�me si elles sont minoritaires, les
r�actions n�gatives existent, le rapport le montre bien. Pour les filles, c'est
une minorit� importante, et chez les gar�ons il existe aussi de vraies victimes
de l'abus. La m�me �tude, qui interdit de consid�rer tout p�d�raste comme
nuisible, prouve aussi que certains d'entre eux au moins le sont.
Le traumatisme est rare dans les rapports
p�d�rastiques. N�anmoins, on ne peut retirer � la soci�t� son droit de regard
sur les p�domaniaques compulsifs, les f�tichistes de l'imberbe, dont les
d�lires obsessionnels peuvent relever de soins psychologique ou d'une sanction
p�nale adapt�e.
Parmi tous ces fous d'enfance,
combien cultivent un talent ou une passion qu'ils auraient � c�ur de
transmettre � l'�ph�be de leurs songes ? M�me si beaucoup d'�rastes se
fantasment volontiers en nouveaux Socrates, doux initiateurs � une vie
charnelle m�tin�e de philosophie ou ma�tres platoniques, le contexte actuel ne
favorise gu�re l'�mergence des mentors modernes. Ils sont aujourd'hui
remplac�s, avec un succ�s fort mitig�, par des acteurs sociaux de terrain,
des �ducatrices sp�cialis�es...
Monterlant �crivait :
" Les mouvements de jeunesse sont
pleins d'hommes que, du dehors, on admire d'�tre si z�l�s et qui ne le sont que
parce que c'est l� qu'ils satisfont leurs penchants fondamentaux. Ils ont fait
co�ncider leur devoir et leur plaisir, ce qui est s�rement la meilleure fa�on
de donner au devoir une bonne trempe. "
Il ne faut surtout pas imaginer que ces
�ducateurs troubles se livraient � des orgies p�dophiles ! La plupart
sublimaient leurs d�sirs... Au moins n'�taient-ils g�n�ralement pas mis au
pilori pour une attention trop tendre port�e � leurs gar�ons, une caresse sur
les cheveux ou un baiser au coucher.
Aujourd'hui, pour continuer avec
Montherlant, l'abb� De Pradts (La Ville dont le prince est un enfant)
serait mis en garde � vue d�s l'acte I et le Sup�rieur inculp� pour non
d�nonciation ! A la fin, Souplier, coupable de viol sur un camarade plus jeune
(c'est la sc�ne de la remise) serait emmen� menottes aux poignets...
Une des pi�ces majeures du r�pertoire
dramatique fran�ais, revisit�e par un metteur en sc�ne correct, l'effet serait cocasse
si on arrivait � oublier qu'une entreprise de nettoyage �thique est en marche.
Aux E.U., dans les universit�s, on fait la chasse aux �uvres europ�ocentr�es
qui repr�sentent quand m�me l'essentiel de notre h�ritage culturel. On impose
des quotas d��uvres f�ministes, ethniques, gays, sans �gard pour leur valeur
intrins�que... En France, Mme Bouillon propose d'interdire toute �uvre de
fiction laissant envisager une possibilit� d'amour sexu� transg�n�rationnel.
Mme Bouillon, qui est aussi procureur de son �tat, nous ram�ne au probl�me le
plus grave, le plus difficilement r�versible, celui sur lequel nous voulons
clore ce commentaire: les d�rives judiciaires.
Le nouveau Code P�nal permettait de
distinguer nettement entre l'atteinte sexuelle et l'agression. Il proposait une
majorit� raisonnable en de�� de laquelle un contr�le et une r�pression
modulable pouvait s'exercer au cas par cas. Il a h�las �t� d�natur� et d�tourn�
de ses buts initiaux. Des intentions louables ont c�d� le pas � une r�pression
infond�e dans sa f�rocit�.
Il faudrait donc revenir � l'esprit du
nouveau Code, en �tant bien conscients qu'en l'�tat, notre soci�t� n'est pas
pr�s de tol�rer une p�domanie en roue libre qu'elle a elle-m�me install�e en
retirant � l'�raste tout r�le �ducatif.�
Souhaitons toutefois que l'�tude publi�e par Bauserman, Rind et
Tromovitch contribue � r�introduire la Raison dans nos tribunaux s�culiers
poss�d�s par les d�mons du temps...
Lausanne, d�cembre 1999.
�Le
Monde du 26 janvier 1977:
"Les 27, 28 et 29 janvier, devant la
cour d'assises des Yvelines vont compara�tre pour attentat � la pudeur sans
violence sur des mineurs de quinze ans, Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et
Jean Burckardt, qui arr�t�s l'automne 1973 sont d�j� rest�s plus de trois ans
en d�tention provisoire. Seul Bernard Dejager a r�cemment b�n�ficie du principe
de libert� des inculp�s. Une si longue d�tention pr�ventive pour instruire une
simple affaire de "moeurs " o� les enfants n'ont pas �t� victimes de
la moindre violence, mais, au contraire, ont pr�cis� aux juges d'instruction
qu'ils �taient consentants (quoique la justice leur d�nie actuellement tout
droit au consentement), une si longue d�tention pr�ventive nous parait d�j�
scandaleuse. Aujourd'hui, ils risquent d'�tre condamnes � une grave peine de
r�clusion criminelle soit pour avoir eu des relations sexuelles avec ces
mineurs, gar�ons et filles, soit pour avoir favoris et photographi� leurs jeux
sexuels. Nous consid�rons qu'il y a une disproportion manifeste d'une part,
entre la qualification de "crime" qui justifie une telle s�v�rit�, et
la nature des faits reproch�s; d'autre part, entre la caract�re d�suet de la
loi et la r�alit� quotidienne d'une soci�t� qui tend reconna�tre chez les enfants
et les adolescents l'existence d'une vie sexuelle (si une fille de treize ans a
droit � la pilule, c'est pour quoi faire?) La loi fran�aise se contredit
lorsqu'elle reconna�t une capacit� de discernement d'un mineur de treize ou
quatorze ans qu'elle peut juger et condamner, alors qu'elle lui refuse cette
capacit� quand il s'agit de sa Vie affective et sexuelle. Trois ans de prison
pour des caresses et des baisers, cela suffit. Nous ne comprendrions pas que le
29 janvier Dejager, Gallien et Burckhart ne retrouvent pas la
libert�."
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