Le r�cit complet, corrig� est d�pos� � l'INPI par enveloppe SOLO,� il reste la propri�t� de son auteur.
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���������������������������������� Le livre interdit
Qu'il
faisait bon se promener le mercredi apr�s-midi�
Jour
b�nit, les fillettes d�ambulaient dans les rues, seules ou avec leur maman. Les
pucelles graciles se baladaient, fl�naient, rigolaient, insouciantes de tous
m�les�
Il
r�servait tous ses mercredi pour �a� La chasse � la "gaminette", sept
� onze ans maximum, innocentes, belles, fines, sensuelles�
Les
suivre � distance �tait devenu un jeu. A une dizaine de m�tre il contemplait
leur petit cul, leurs galbes, leurs mimiques, tout lui plaisait.
Bien
sur il y avait beaucoup de " d�chets ", heureusement une sur cent
avait ce charme ind�finissable qui lui plaisait tant, elle �tait d�sirable�
La jeune maman donnant la main � sa fille avait attir� son regard aussit�t, mignonne la m�re, alcoolique, mais mignonne��
Sublime
sa fille�
Toutes
les deux en jeans bleu d�lav�, un peu "d�gueu", pas vraiment bien
habill� ni propre les deux femelles. Elles chinaient de boutique en boutique,
s'arr�tant uniquement aux �talages bon march�, soldant en " derni�re
d�marque ".
La
fillette �tait tr�s belle. ses petites fesses bien galb�es, moul�es par le
jean, laissaient entrevoir d�licatement les coutures de sa fine petite culotte.
Une
chute de reins paradisiaque descendait doucement, sans aucun sacril�ge, sur des
jambes fines, longues et tr�s bien proportionn�es.
Il
les suivaient depuis pr�s de trente minutes, les "connaissant" un peu
mieux�
Int�rieurement
il r�suma la situation: "� La m�re
est fauch�e et alcoolique chronique, leur propret�, � toutes les deux laissent
� d�sirer, pourquoi ne pas faire directement � la m�re une proposition
p�cuniaire. Pourquoi pas� ".
Elles
s'�taient arr�t�es devant l'�talage d'un marchand de chaussures, discutant sur
un mod�le�
C'�tait
le moment id�al� Il s'approcha � les toucher, leur parla le plus calmement et
le plus distinctement possible : " Elles sont pas terribles ces
chaussures, j'ai une proposition qui peut vous faire gagner tout de suite
�norm�ment d'argent, si vous voulez je peux vous en parler maintenant �".
La
m�re et la fille se retourn�rent imm�diatement, interloqu�s�
La
femme pas sur du tout que le message qu'elle est entendu soit bien � son
intention dit imm�diatement : " vous voulez r�p�ter�".
Il
r�p�ta exactement la phrase d�j� prononc�, sans rien omettre, en y mettant une
certaine tendresse.
La
femme resta sans voix�
De
suite il continua� Cela n'engage � rien, si vous voulez on en parle maintenant,
je vous explique tout en prenant un petit verre�
Elle
le regarda intens�ment, fixant ses beaux yeux bleus, et finit par dire :
"
Et �a consiste en quoi� ? "
D'un
geste d'invitation il lui montra du doigt la terrasse d'un caf� en rajoutant:
"
L� on sera tranquille pour parler� ".
La
fillette n'avait pas prononc� un seul mot�
Ils
se dirig�rent vers la terrasse du caf�, s'assirent. R�ceptif � un signe de la main,
le gar�on de terrasse vint prendre leur commande sans attendre�
Quelques
minutes apr�s le serveur revint avec deux Whisky et un jus d'ananas.
Il
r�gla l'addition, laissa un tr�s bon pourboire, du genre, qui voulait dire :
"
Bon maintenant tu te casses et tu nous fout la paix ".
Enfin
seules, il se pr�senta : " Je suis le Docteur Faudiere, p�dopsychiatre, je
suis sp�cialiste du comportement des enfants ". pour appuyer ses dires, en
m�me temps qu'il se pr�sentait il tendit � la maman sa carte de visite ".
Le
morceau de carton en main, la maman se d�tendit, rougissant un peu �
Elle
�tait un peu rassur�, mais pas compl�tement�
Il
continua � lui expliquer : " J'�cris un livre sur l'�ducation des enfants,
mes coll�gues et moi nous faisons des exp�riences, nous recherchons des
fillettes de huit � dix ans pour ces d�tes exp�riences� C'est tr�s bien pay�,
dix mille francs par semaine�
Il
rajouta : " payable d'avance, en esp�ce�".
La
fillette n'avait encore rien dit, elle �coutait sagement, sans vraiment avoir compris
quoi que ce soit de la conversation.
Le
silence reprit ses droits quelques instants, puis la maman questionna :
"
Et concr�tement cela consiste en quoi � ? "
La
r�ponse ne se fit pas attendre, on vous donne dix mille francs, et vous nous
confier votre fillette pour une semaine.
Il
rajouta, les tests peuvent durer de quatre � dix semaines, ce qui vous fait
quarante mille francs au minimum et cent mille Francs au maximum .
Ces
tests ne sont pas fait en une seule fois d'affil�e, d'abord une semaine chez
nous, puis elle rentre chez vous quelques semaines, on la rappelle quand on en
� besoin� Bien sur vous pouvez avoir au t�l�phone votre gamine une fois par
jour.
La
maman r�fl�chit longtemps, puis demanda :
"
Les tests c'est quoi� ? ".
Sans
se d�monter, il r�pondit :
"
Des tests sur son comportement, nous recueillons aussi son t�moignage, sur sa
vie actuelle, ainsi qu'� l'�cole���
".
Le
dialogue continua �
-
Et
je ne peux pas rester avec elle ?.
-
Non
pas du tout, c'est fait scientifiquement, son entourage ne doit pas la
perturber�
-
Mais
elle � peine huit ans, c'est jeune pour des exp�riences.
-
Exp�rience
est un bien grand mot, C'est l'age le plus int�ressant pour les tests�
-
vous
pourriez lui faire mal�?
-
Mais
non, on ne fait pas mal du tout�
-
Si
vous accepter elle va se retrouver avec trois autres petites copines de son age
qui participe d�j� � ces tests.
Elle resta muette, sans voix ni aucune r�action. Le
docteur pour appuyer sa demande sortit de sa poche une enveloppe d'ou d�passait
une quantit� de gros billets de banque. Il en compta vingt, les sortit le plus
discr�tement possible, lui montra, puis les glissa de son c�t� sous la nappe en
papier qui recouvrait la table.
Si vous �tes d'accord, je vous donne dix milles
Francs maintenant, J'emm�ne votre fille en taxi � la clinique, vous lui
t�l�phonerez ce soir, mais pas avant vingt heures�
Vous ne risquez rien du tout, elle non plus, vous
avez mon nom, l'adresse et le num�ro de t�l�phone� Je suis un docteur r�put�
dans cette ville�
Demain vous viendrez � l'adresse de la clinique
indiqu�e sur la carte, pour amener quelques affaires � votre fille, vous me
demanderez :
Service de p�dopsychiatrie du Dr Feaudi�re,
quatri�me �tage�
La femme rench�rit : " Mais pourquoi ne pas
attendre demain�".
Il r�torqua aussit�t : "� Il manquait une candidate pour aujourd'hui,
je cours la faire inscrire et la pr�senter � mes coll�gues ce soir, c'est le
dernier d�lais pour le cahier des charges�". C'est �a l'administration�
Ne comprenant pas tout, elle r�fl�chit�
Voyant qu'elle " tiquait " un peu, il
d�cida d'essayer le tout pour le tout�
Bon �coutez, ce n'est absolument pas grave, je suis
heureux de vous avoir connu vous et votre fille, si un jour vous avez besoin
d'une consultation passez me voir � la clinique, maintenant je vais vous
laisser� Je vais aller faire cette offre � une autre maman dont un de mes
coll�gue docteur m'a parl�, je devais y aller lorsque je vous ai aper�u tout �
l'heure, je me suis dit, pourquoi ne pas en faire profiter cette dame et cette
gentille petite fille, cela me faisait gagner du temps�
Il se leva pour la saluer, lui tendit la main
droite, pendant que l'autre main se dirigeait vers l'endroit ou se situait les
billets de banque, s"appr�tant � les reprendre�
La femme craqua� Bon je suis d'accord� Dit elle !
Il se r�-assit imm�diatement, leva son doigt en
pronon�ant assez fort la phrase qui allait aider l'alcoolique � conclure le
march� plus facilement :
" Gar�on la m�me chose s'il vous plait ".
En sirotant leur deuxi�me whisky, ils mirent
certains d�tails au point.
le docteur nota son nom, adresse, et t�l�phone,
ainsi que tous ce qui pouvaient concerner la fillette, date de naissance et
pleins d'autres renseignements�
Tout
y passa, en cinq minutes il sut beaucoup de chose, le papa �tait parti depuis
deux ans, aucune nouvelle� La m�re de la petite �tait au ch�mage, presque sans
ressource�. L'id�ale pour lui�
Il
reprit l'argent sous la nappe en papier, le tendit � la m�re� Elle le rangea
imm�diatement dans son sac � main�
Il
appela le gar�on de caf� � nouveau, lui demanda d'appeler un taxi,� rapidement� Il ne voulait pas que la m�re se
ressaisisse, elle pouvait encore changer d'avis�
Le
taxi arriva cinq minutes plus tard� La femme parla � sa fille, elle s'appelait
Emmanuelle,
lui expliqua qu'elle lui t�l�phonerait ce soir, qu'elle passerait la
voir
demain pour lui apporter des affaires. En attendant il fallait qu'elle soit
sage
et fasse tout ce que le docteur lui dirait�
La fillette
n'�tait pas enchant�e, mais certaine de revoir sa m�re demain et contente pour
elle qu'elle ait de l'argent, elle ne fit pas d'histoire.
La
petite lui demanda juste si avec l'argent elle allait lui acheter des nouvelles
chaussures de danse� Sa m�re lui promit aussit�t�
Les
adieux furent rapides, le docteur pr�textant �tre tr�s en retard�
Il
lui dit encore une fois qu'il aurait plus de temps demain entre dix et onze
heure, le moment ou, amenant ses affaires elle pourrait embrasser sa fille �
nouveau�
Il
monta avec Emmanuelle � l'arri�re du taxi. D�une voix assez forte il pronon�a �
l�intention du chauffeur l'adresse de la clinique � laquelle il d�sirait se
rendre.
Assez
fortement pour que la m�re l�entende�
La
voiture d�marra, le regard de la femme croisa avec intensit� celui de sa
fille�
C'�tait peut �tre la derni�re fois qu'elles se voyaient dans ce monde�
En
cours de route, le docteur parla au chauffeur lui expliqua qu'il avait oubli�
un
dossier m�dical d'un patient, qu'il fallait qu'il se rende d'abord � une autre
adresse.
La voiture changea donc de direction, s'arr�ta en plein centre ville aux abords
d' une rue pi�tonni�re. Le pourboire laiss� au chauffeur fut normal, sans
plus�
Le taxi reparti sans se douter de quoi que ce soit.
Il
marcha assez vite, donnant la main � Emmanuelle, lui parla tr�s gentiment,� expliqua que c'�tait pour son bien, qu'elle
verrait plus tard, quelle reverrait sa maman demain matin�
La
m�me ne comprenait pas r�ellement ce qui se passait� Il fallait faire vite.
Il
n'�tait plus qu'� une dizaine de minutes de l'endroit ou sa voiture �tait
gar�e.
Le
v�hicule �tait toujours l�� Il fit monter la gamine � c�t� de lui, c�t�
passager, prit deux comprim�s dans sa trousse m�dical, avec gentillesse il
demanda � la petite fille de les avaler� Il lui tendit une petite bouteille
d'eau plate pour faire passer le m�dicament� Elle le prit sans rechigner.
Ce
somnif�re tr�s puissant �tait pr�vu pour un adulte, � prendre quinze minutes
avant de s'endormir. Selon lui dans tr�s peu de temps elle dormirait�
Il
roulait depuis pr�s de quarante minutes en direction de la campagne, la petite
fille s'�tait assoupis, dormant profond�ment.
Il
souleva un de ses bras en hauteur, puis le laissa retomber tout seul�
Avec
un bruit mat le membre retomba en plein milieu des deux si�ges, sur le
cendrier, elle aurait pu avoir mal. Le somnif�re agissait�
L'id�e
lui vint� La route serait moins monotone � faire si �
Sa
main droite se posa sur la cuisse de la fillette, puis remonta sur le ventre
plat.
Il
caressa de longues minutes� La marchandise �tait parfaite, rien � redire.
D'un
geste adroit, il d�grafa le bouton du jean au niveau du nombril, la fermeture
�claire glissa doucement, il l'aida jusqu'en bas�
Il introduit
sa main dans le jean baillant en grand� La douceur et la chaleur de la petite
culotte en coton le fit fr�mir de plaisir. Il visita le tout, parcourant
l'ensemble, des cuisses au ventre� D'un doigt il tra�a la fente de son sexe,
appuyant l�g�rement, juste assez pour que le tissu tr�s fin rentre un peu�
La
gamine dormait toujours profond�ment�
Il
voulut la poss�der tout de suite� Sa main remonta jusqu'au nombril, bien � plat
sur la douce peau satin�e, puis redescendit en appuyant � fond�
Les
doigts s'engag�rent sous le tissu de la petite culotte, puis rapidement toute
la main se retrouva dans le temple de la gamine.
Aucun
poil� La fente bien dessin�e fut honor�e d'une caresse longiligne pendant
quelques secondes� Puis l'index d'un seul coup se replia en appuyant tr�s
fortement� Le vagin de la petite fille venait d'enserrer son doigt�
Il
la pratiqua plusieurs minutes, jouant avec son canal vaginal�
C'�tait
doux, chaud comme il aimait� Du miel, comme il disait�
Il
�tait d�j� dix huit heures, dans deux heures sa maman t�l�phonerait � la
clinique, elle demanderait le service d'un docteur compl�tement inconnu de
l'�tablissement� Ca allait faire du grabuge� A moins que�
Il
s'arr�ta pour t�l�phoner � la sortie d'un petit village, composa le num�ro de
t�l�phone que la m�re de la petite lui avait donn� tout � l'heure�
Il
l'eut tout de suite au t�l�phone et commen�a par lui dire d'un ton calme et
monotone� :
"
Vous me laissez parler et vous ne m'interrompez pas, ce n'est pas la peine de
t�l�phoner tout � l'heure, ni de venir demain, votre fille � �t� victime d'un
enl�vement. Je l'ai enlev� tout � l'heure sous vos yeux. Vous reverrez votre
fille tr�s rapidement si vous ne pr�venez pas la police. Si vous pr�venez les
flics, je serai oblig� de supprimer l'enfant� De plus faites attention, des
personnes tout � l'heure on d� vous voir recevoir une somme d'argent de la part
d'un homme, qui en contrepartie est parti avec votre gamine�
Vous
aurez du mal � faire croire � la police que vous n'�tiez� pas de m�che avec lui. le gar�on de caf�, le
chauffeur de taxi pourront t�moigner, et certainement d'autres t�moins aussi�
Donc vous ne pr�venez personne�
Dans
quelques semaines je vous renverrai votre fille en tr�s bonne sant�. Sinon�
".
Elle
l'avait laiss� parler sans l'interrompre une seule fois�
Il
lui demanda : " Vous avez bien compris� ".
Il
entendit une petite voix entrecoup�e de sanglot qui murmura :
"
Oui, ne lui faite pas de mal, rendez moi ma fille�".
Il
reprit : " Si vous ne pr�venez pas la police je vous la renverrai dans
quelques temps�".� Il raccrocha�
L'id�e
d'avoir t�l�phoner ne lui paraissait pas mauvaise, il verrait bien si sa m�re
la fermait� Il remonta dans sa voiture et d�marra aussit�t.
Il
arriva � sa maison de campagne une dizaine de minutes apr�s, c'�tait tr�s
retir�, loin de toutes habitation, il serait tranquille pour la suite�
Il
valait mieux, car ce qu'il allait faire endurer � la fillette n'avait rien
d'enviable�
Elle
dormait encore, la m�me ne pesait vraiment pas tr�s lourd, un vrai poids plume.
Il n'eut aucune difficult� pour la porter, puis la d�poser sur le grand lit du
local, r�serv� � des fins tr�s sp�ciales�
��� La chambre de torture
La
pi�ce �tait enti�rement tapiss�e de laine de verre sur tous les murs, ainsi qu'au
plafond. L'ensemble recouvert d'une tr�s �paisse moquette de couleur rose
faisait de cette endroit de quatre m�tres sur cinq une parfaite chambre sourde,
aucun son ne pouvait en sortir. Il avait aussi rendu la porte �tanche, la
recouvrant des m�mes mat�riaux, avec en plus des joints caoutchouc�
L'essai
avec sa cha�ne HIFI volume � fond avait �t� concluant, dans le couloir � un
m�tre, on entendait rien. Il avait fallu qu'il plaque son oreille sur la porte
pour entendre tr�s l�g�rement la musique�
Une
fillette pourrait gueuler de douleur, personne ne l'entendrait�
La
chambre de torture, comme il la nommait n'avait rien de commun avec une pi�ce
d'habitation, seul un grand lit recouvert d'une grande couette de couleur rose
avait un aspect humain, le reste �tait uniquement fonctionnel.
Aucun
doute n'�tait permis, tout dans cet endroit �tait fait pour faire souffrir. Des
anneaux aux murs sur lesquels pendaient de longues cha�nes en acier
inoxydables, se terminant par des colliers avec serrure pouvant se fixer aux
extr�mit�s des membres.
Un syst�me de trap�ze command� par des poulies et un treuil avaient �t� am�nag�s au plafond,� permettant d�immobiliser et d��carter dans toutes les positions un corps humain, ceci pour proc�der � toutes les interventions d�sir�es.
Rien
n'avait �t� laiss� au hasard,
Au
milieu, une grande roue �tait install�e � la verticale, elle pouvait tourner
sur elle m�me, des bracelets de cuir pendaient � diff�rents endroits�
Un
portique sur lequel pendait aussi deux harnais et des sangles, sans oublier les
bracelets de cuirs tr�nait pr�s d'un mur.
une
table gyn�cologique permettant d'ausculter les petites femelles, cuisses
�cart�es, jambes en hauteur reposants sur des �triers, bras et chevilles
maintenus, attach�es par des sangles.
Une
armoire en bois sans porte, remplie de m�dicament, seringues, bocaux, tuyaux de
lavement et ustensiles m�dicales.
Une
autre enti�rement en verre laissait appara�tre sur chaque �tag�re une multitude
d'instruments de torture, pinces � seins, cisailles, tenailles, limes, scies,
�carteurs, aiguilles de dimensions divers, bistouris, perceuses et scie
�lectrique�
Une
collection incroyable de godemich�s de toutes dimensions ayant des formes les
plus bizarres tr�nait sur la plus haute �tag�re.
Fix�s
� l'un des murs, et reposant uniquement sur des crochets, des fouets, martinet
simples ou se finissant par des petites boules m�talliques, planches � clous,
badines, nerfs de b�ufs, barre de ferre, ceintures de cuir�
Dans
un coin de la pi�ce, un petit lavabo muni d'une clef sp�ciale sur la
canalisation principale, permettait de supprimer l'eau en cas de punition�
A
c�t� d'un mur, une douche sommaire, un bidet pour que les fillettes puisse se
laver et rafra�chir ce qui tr�s vite allait devenir congestionn� et en feux�
Une
particularit� avait �tait rajout� sur ce dernier accessoire de lavage du sous
bassement des gamines.
On
pouvait les y asseoir, et les forcer � rester dessus autant qu'il plaisait.
Des
sangles avaient �t� fix�es aux murs, elles permettaient de maintenir les bras
tendus en hauteur. Les attaches fix�s sur le sol �taient charg�s d'immobiliser
les cuisses en position �cart�es. La petite fille �tait donc forc� de rester
assise le post�rieur et le vagin dans l'eau autant de temps qu'il le voulait�
Cela
n'avait l'air de rien, mais il savait pour l'avoir pratiqu� que cette torture
�tait horrible�
Il
suffisait d'asseoir la gamine dessus, les cuises �tant tenus �cart�es � fond
par les attaches fix�es au sol, de boucher un peu le trou d'�vacuation et de
laisser couler l'eau tr�s l�g�rement�
L'eau
froide remplissait son office tr�s rapidement, engourdissant le bas ventre et
le post�rieur de la fillette, au bout de trente minutes elle commen�ait �
trembler de froid, au bout d'une heure elle suppliait pour qu'on la d�tache�
Il
l'avait exp�riment� avec une fillette de huit ans qui refusait de sucer sa
bitte,
il
l'avait laiss� une heure dessus� Elle le suppliait tellement d'arr�ter, qu'il
s'�tait mis debout, les jambes �cart�es au dessus d'elle, la bitte sortie �
Elle
avait happ� aussit�t la bitte et avait fait sa premi�re fellation en avalant
toute la jutte, sans en laisser une goutte, comme il lui avait ordonn�
En
plus le bidet nettoyait et insensibilisait en m�me temps, lorsqu'une fillette
avait trop mal, c'�tait la solution id�ale���
Le
ravissement des yeux n'avait pas �t� oubli�, sur l'un des murs un pr�sentoir de
six �tages, lui aussi enti�rement en verre transparent laissait appara�tre une
multitude d'habits, de gaines, des petites culottes d'enfants, des soutiens
gorges avec ou sans bonnets, des bas et collants de toutes les couleurs.
Sans
oublier les petites culottes sp�ciales, avec ouverture par boutons pression ou fermeture
�claire sur le devant ou le derri�re, pour laisser passer les instruments de
travail�
Un
�tage plus haut que les autres supportait une tringle sur laquelle coulissait
des portes manteaux avec attaches. Un assortiment complet de mini-jupes, short,
tuniques, pouvait �tre s�lectionn� rapidement�
Uniquement
des v�tements �rotiques d'enfants,� pas
n'importe quelle taille, juste de sept � onze ans. Le ravissement �
Il
d�posa la petite fille d'� peine huit ans sur le grand lit, elle dormait
profond�ment�
Il
verrouilla la porte de la chambre sourde, appuya sur un interrupteur, un d�clic
se fit entendre, suivit aussit�t par un l�ger bourdonnement, le syst�me de
ventilation venait de se mettre en fonctionnement.
La
laisse de cou, comme il l'appelait, portait bien son nom, d'une longueur de
cinq m�tres, elle permettait � la fillette de faire tout ce qu'on lui demandait
sans probl�me. Le petit collier en m�tal extr�mement r�sistant enserrant� la gorge de l'enfant se fermait avec un
cadenas de s�curit�. Une cha�nette en acier reliait l'ensemble � une attache
fix�e dans le mur. Jamais aucune jeune pucelle n'avait pu retirer le collier
toute seul�
Comme
d'habitude, il n'eut aucune difficult� � la mettre en laisse�
Elle
�tait � lui, il pouvait enfin s'amuser comme il le voulait, il fallait juste
attendre qu'elle se r�veille�
Il
�tait tr�s patient, capable de pr�parer une fillette pendant des semaines, cela
d�pendait uniquement d'elle� Oui c'�tait �a, sa survie d�pendait uniquement
d'elle. Si elle �tait ob�issante et le faisait jouir souvent et pleinement, il
la gardait des mois, sinon, quelques jours seulement�
Il
lui en fallait toujours plus, la derni�re fillette avait neuf ans, il l'avait
garder trois mois � peu pr�s en bonne �tat, et puis les supplices irr�m�diables
avaient commenc�s�
Trois semaines
d'agonie horrible, la petite fille transperc�es de partout par des aiguilles,
empal�e vingt quatre heures sur vingt quatre, le bout des seins coup�s, puis
br�l�s pour �viter l'h�morragie fatale. Ne lui donnant comme seule boisson et
nourriture que trois doses se spermatozo�de par jour la premi�re semaine�
La
fillette crevait de soif et aspirait tout au maximum, sans rien laisser�
La
deuxi�me semaine, elle avait tellement soif et faim qu'il avait eu piti�
d'elle,
il
avait descendu le trap�ze � l'horizontal le plus bas possible, et il lui avait
uriner dans la bouche� elle avait tout avaler�
Puis
il lui avait proposer d'ouvrir la bouche, pour y chier dedans, elle avait
refus� Il l'avait fouett� le plus fort qu'il avait pu avec le martinet �
boules m�talliques une trentaine de coups� Agonisante et sanguinolente, elle
avait accept�e�
Il
avait coll� son anus sur sa bouche grande ouverte, la merde �tait rentr� petit
� petit� Il avait menac� de lui br�ler la chatte, si elle ne mangeait pas tout�
Elle
n'avait rien laiss� Il avait joui, se masturbant en entendant la fillette
d�glutir et avaler� Pour finir il lui avait demand� de nettoyer son cul avec sa
langue, lui ordonnant qu'il n'en reste pas� Elle l'avait fait.
Tous
les jours il avait continu� ce man�ge, elle avalait la merde de mieux en mieux
et de plus en plus rapidement � chaque fois.
Avec
la mati�re f�cale et la pisse ingurgit�e, elle reprenait des forces. Pour
�viter les infections dues aux coups et � la nourriture, il lui faisait des
piq�res d'antibiotique, toujours avec la plus grosse aiguille possible�
Il
avait ouvert son cul et son vagin comme aucune petite fille n'avait �t�
ouverte.
Elle
hurlait de douleur et de jouissance, tenue en extension sur le trap�ze, deux
�normes chibres dans ses trous. Son clitoris transperc� par des aiguilles,
auquel il avait attach� des poids de deux cent grammes�
Il
retirait chaque jour les godemich�s, et mettait � leur place son poing ferm�
dedans.
Tout
rentrait sans probl�me, miracle de la femelle, m�me � neuf ans�
La
gamine avait encore souffert une dizaine de jours� Et puis l'issue fatale�
�
��������������������������� -------------------------------------------------
P.S.
Note sur l'inceste et la p�dophilie :
Une petite fille
ou un petit gar�on est un �tre humain, et ne m�rite en aucune fa�on d'�tre
perturb� dans son d�veloppement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect
de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour
et ne l'auront peut �tre jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un �tre.
Le v�ritable
courage dans la vie, consiste � donner le bonheur qu'on a pas eu,
et surtout de ne
pas rendre le mal qu'on nous a fait�
Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs
pour tenter Adam et Eve� Lucifer se porta volontaire, lui qui �tait pourtant
l'un des sept grands archanges de notre syst�me solaire, ou sa mission �tait de
garder la plan�te V�nus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanit� �
faire grandir sa spiritualit� en la soumettant � toutes les tentations.
Ce qu'il fit� La t�che que lui confia dieu fut
certainement une des plus importantes de la cr�ation. Elle n'est pas finie,
elle doit permettre � l'�tre humain de s'�lever, de r�v�ler sa v�ritable
lumi�re int�rieur, d'affirmer sa spiritualit� en r�sistant au mal, qui lui m�me
fait parti int�grante du bien.
Comprenne qui pourra �
Le r�cit complet, corrig� est d�pos� � l'INPI par enveloppe SOLO,� il reste la propri�t� de son auteur.
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