Extrait brut et non corrig� de : " Le livre interdit "���������������������������������������������

Auteur : Alain Terdit

Titre : Le livre interdit(Ce r�cit est imaginaire et doit le rester).

 

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Le r�cit complet, corrig� est d�pos� � l'INPI par enveloppe SOLO,il reste la propri�t� de son auteur. 
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A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonn�es et explications de d�but et de fin.

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���������������������������������� Le livre interdit

 

 

 

L'enl�vement�

 

Qu'il faisait bon se promener le mercredi apr�s-midi�

Jour b�nit, les fillettes d�ambulaient dans les rues, seules ou avec leur maman. Les pucelles graciles se baladaient, fl�naient, rigolaient, insouciantes de tous m�les�

Il r�servait tous ses mercredi pour �a� La chasse � la "gaminette", sept � onze ans maximum, innocentes, belles, fines, sensuelles�

Les suivre � distance �tait devenu un jeu. A une dizaine de m�tre il contemplait leur petit cul, leurs galbes, leurs mimiques, tout lui plaisait.

Bien sur il y avait beaucoup de " d�chets ", heureusement une sur cent avait ce charme ind�finissable qui lui plaisait tant, elle �tait d�sirable�

La jeune maman donnant la main � sa fille avait attir� son regard aussit�t, mignonne la m�re, alcoolique, mais mignonne�

Sublime sa fille�

Toutes les deux en jeans bleu d�lav�, un peu "d�gueu", pas vraiment bien habill� ni propre les deux femelles. Elles chinaient de boutique en boutique, s'arr�tant uniquement aux �talages bon march�, soldant en " derni�re d�marque ".

La fillette �tait tr�s belle. ses petites fesses bien galb�es, moul�es par le jean, laissaient entrevoir d�licatement les coutures de sa fine petite culotte.

Une chute de reins paradisiaque descendait doucement, sans aucun sacril�ge, sur des jambes fines, longues et tr�s bien proportionn�es.

Il les suivaient depuis pr�s de trente minutes, les "connaissant" un peu mieux�

Int�rieurement il r�suma la situation: "La m�re est fauch�e et alcoolique chronique, leur propret�, � toutes les deux laissent � d�sirer, pourquoi ne pas faire directement � la m�re une proposition p�cuniaire. Pourquoi pas� ".

Elles s'�taient arr�t�es devant l'�talage d'un marchand de chaussures, discutant sur un mod�le�

C'�tait le moment id�al� Il s'approcha � les toucher, leur parla le plus calmement et le plus distinctement possible : " Elles sont pas terribles ces chaussures, j'ai une proposition qui peut vous faire gagner tout de suite �norm�ment d'argent, si vous voulez je peux vous en parler maintenant �".

La m�re et la fille se retourn�rent imm�diatement, interloqu�s�

La femme pas sur du tout que le message qu'elle est entendu soit bien � son intention dit imm�diatement : " vous voulez r�p�ter�".

Il r�p�ta exactement la phrase d�j� prononc�, sans rien omettre, en y mettant une certaine tendresse.

La femme resta sans voix�

De suite il continua� Cela n'engage � rien, si vous voulez on en parle maintenant, je vous explique tout en prenant un petit verre�

Elle le regarda intens�ment, fixant ses beaux yeux bleus, et finit par dire :

" Et �a consiste en quoi� ? "

D'un geste d'invitation il lui montra du doigt la terrasse d'un caf� en rajoutant:

" L� on sera tranquille pour parler� ".

La fillette n'avait pas prononc� un seul mot�

Ils se dirig�rent vers la terrasse du caf�, s'assirent. R�ceptif � un signe de la main, le gar�on de terrasse vint prendre leur commande sans attendre�

Quelques minutes apr�s le serveur revint avec deux Whisky et un jus d'ananas.

Il r�gla l'addition, laissa un tr�s bon pourboire, du genre, qui voulait dire :

" Bon maintenant tu te casses et tu nous fout la paix ".

Enfin seules, il se pr�senta : " Je suis le Docteur Faudiere, p�dopsychiatre, je suis sp�cialiste du comportement des enfants ". pour appuyer ses dires, en m�me temps qu'il se pr�sentait il tendit � la maman sa carte de visite ".

Le morceau de carton en main, la maman se d�tendit, rougissant un peu �

Elle �tait un peu rassur�, mais pas compl�tement�

Il continua � lui expliquer : " J'�cris un livre sur l'�ducation des enfants, mes coll�gues et moi nous faisons des exp�riences, nous recherchons des fillettes de huit � dix ans pour ces d�tes exp�riences� C'est tr�s bien pay�, dix mille francs par semaine�

Il rajouta : " payable d'avance, en esp�ce�".

La fillette n'avait encore rien dit, elle �coutait sagement, sans vraiment avoir compris quoi que ce soit de la conversation.

Le silence reprit ses droits quelques instants, puis la maman questionna :

" Et concr�tement cela consiste en quoi � ? "

La r�ponse ne se fit pas attendre, on vous donne dix mille francs, et vous nous confier votre fillette pour une semaine.

Il rajouta, les tests peuvent durer de quatre � dix semaines, ce qui vous fait quarante mille francs au minimum et cent mille Francs au maximum .

Ces tests ne sont pas fait en une seule fois d'affil�e, d'abord une semaine chez nous, puis elle rentre chez vous quelques semaines, on la rappelle quand on en � besoin� Bien sur vous pouvez avoir au t�l�phone votre gamine une fois par jour.

La maman r�fl�chit longtemps, puis demanda :

" Les tests c'est quoi� ? ".

Sans se d�monter, il r�pondit :

" Des tests sur son comportement, nous recueillons aussi son t�moignage, sur sa vie actuelle, ainsi qu'� l'�cole��� ".

 

Le dialogue continua �

 

-         Et je ne peux pas rester avec elle ?.

-         Non pas du tout, c'est fait scientifiquement, son entourage ne doit pas la perturber�

-         Mais elle � peine huit ans, c'est jeune pour des exp�riences.

-         Exp�rience est un bien grand mot, C'est l'age le plus int�ressant pour les tests�

-         vous pourriez lui faire mal�?

-         Mais non, on ne fait pas mal du tout�

-         Si vous accepter elle va se retrouver avec trois autres petites copines de son age qui participe d�j� � ces tests.

 

Elle resta muette, sans voix ni aucune r�action. Le docteur pour appuyer sa demande sortit de sa poche une enveloppe d'ou d�passait une quantit� de gros billets de banque. Il en compta vingt, les sortit le plus discr�tement possible, lui montra, puis les glissa de son c�t� sous la nappe en papier qui recouvrait la table.

Si vous �tes d'accord, je vous donne dix milles Francs maintenant, J'emm�ne votre fille en taxi � la clinique, vous lui t�l�phonerez ce soir, mais pas avant vingt heures�

Vous ne risquez rien du tout, elle non plus, vous avez mon nom, l'adresse et le num�ro de t�l�phone� Je suis un docteur r�put� dans cette ville�

Demain vous viendrez � l'adresse de la clinique indiqu�e sur la carte, pour amener quelques affaires � votre fille, vous me demanderez :

Service de p�dopsychiatrie du Dr Feaudi�re, quatri�me �tage�

La femme rench�rit : " Mais pourquoi ne pas attendre demain�".

Il r�torqua aussit�t : "Il manquait une candidate pour aujourd'hui, je cours la faire inscrire et la pr�senter � mes coll�gues ce soir, c'est le dernier d�lais pour le cahier des charges�". C'est �a l'administration�

Ne comprenant pas tout, elle r�fl�chit�

Voyant qu'elle " tiquait " un peu, il d�cida d'essayer le tout pour le tout�

Bon �coutez, ce n'est absolument pas grave, je suis heureux de vous avoir connu vous et votre fille, si un jour vous avez besoin d'une consultation passez me voir � la clinique, maintenant je vais vous laisser� Je vais aller faire cette offre � une autre maman dont un de mes coll�gue docteur m'a parl�, je devais y aller lorsque je vous ai aper�u tout � l'heure, je me suis dit, pourquoi ne pas en faire profiter cette dame et cette gentille petite fille, cela me faisait gagner du temps�

Il se leva pour la saluer, lui tendit la main droite, pendant que l'autre main se dirigeait vers l'endroit ou se situait les billets de banque, s"appr�tant � les reprendre�

La femme craqua� Bon je suis d'accord� Dit elle !

Il se r�-assit imm�diatement, leva son doigt en pronon�ant assez fort la phrase qui allait aider l'alcoolique � conclure le march� plus facilement :

" Gar�on la m�me chose s'il vous plait ".

En sirotant leur deuxi�me whisky, ils mirent certains d�tails au point.

le docteur nota son nom, adresse, et t�l�phone, ainsi que tous ce qui pouvaient concerner la fillette, date de naissance et pleins d'autres renseignements�

Tout y passa, en cinq minutes il sut beaucoup de chose, le papa �tait parti depuis deux ans, aucune nouvelle� La m�re de la petite �tait au ch�mage, presque sans ressource�. L'id�ale pour lui�

Il reprit l'argent sous la nappe en papier, le tendit � la m�re� Elle le rangea imm�diatement dans son sac � main�

Il appela le gar�on de caf� � nouveau, lui demanda d'appeler un taxi,rapidement� Il ne voulait pas que la m�re se ressaisisse, elle pouvait encore changer d'avis�

Le taxi arriva cinq minutes plus tard� La femme parla � sa fille, elle s'appelait

Emmanuelle, lui expliqua qu'elle lui t�l�phonerait ce soir, qu'elle passerait la

voir demain pour lui apporter des affaires. En attendant il fallait qu'elle soit

sage et fasse tout ce que le docteur lui dirait�

La fillette n'�tait pas enchant�e, mais certaine de revoir sa m�re demain et contente pour elle qu'elle ait de l'argent, elle ne fit pas d'histoire.

La petite lui demanda juste si avec l'argent elle allait lui acheter des nouvelles chaussures de danse� Sa m�re lui promit aussit�t�

Les adieux furent rapides, le docteur pr�textant �tre tr�s en retard�

Il lui dit encore une fois qu'il aurait plus de temps demain entre dix et onze heure, le moment ou, amenant ses affaires elle pourrait embrasser sa fille � nouveau�

Il monta avec Emmanuelle � l'arri�re du taxi. D�une voix assez forte il pronon�a � l�intention du chauffeur l'adresse de la clinique � laquelle il d�sirait se rendre.

Assez fortement pour que la m�re l�entende�

La voiture d�marra, le regard de la femme croisa avec intensit� celui de sa

fille� C'�tait peut �tre la derni�re fois qu'elles se voyaient dans ce monde�

 

En cours de route, le docteur parla au chauffeur lui expliqua qu'il avait oubli�

un dossier m�dical d'un patient, qu'il fallait qu'il se rende d'abord � une autre

adresse. La voiture changea donc de direction, s'arr�ta en plein centre ville aux abords d' une rue pi�tonni�re. Le pourboire laiss� au chauffeur fut normal, sans

plus� Le taxi reparti sans se douter de quoi que ce soit.

Il marcha assez vite, donnant la main � Emmanuelle, lui parla tr�s gentiment,expliqua que c'�tait pour son bien, qu'elle verrait plus tard, quelle reverrait sa maman demain matin�

La m�me ne comprenait pas r�ellement ce qui se passait� Il fallait faire vite.

Il n'�tait plus qu'� une dizaine de minutes de l'endroit ou sa voiture �tait gar�e.

Le v�hicule �tait toujours l�� Il fit monter la gamine � c�t� de lui, c�t� passager, prit deux comprim�s dans sa trousse m�dical, avec gentillesse il demanda � la petite fille de les avaler� Il lui tendit une petite bouteille d'eau plate pour faire passer le m�dicament� Elle le prit sans rechigner.

Ce somnif�re tr�s puissant �tait pr�vu pour un adulte, � prendre quinze minutes avant de s'endormir. Selon lui dans tr�s peu de temps elle dormirait�

Il roulait depuis pr�s de quarante minutes en direction de la campagne, la petite fille s'�tait assoupis, dormant profond�ment.

Il souleva un de ses bras en hauteur, puis le laissa retomber tout seul�

Avec un bruit mat le membre retomba en plein milieu des deux si�ges, sur le cendrier, elle aurait pu avoir mal. Le somnif�re agissait�

 

 

L'id�e lui vint� La route serait moins monotone � faire si �

Sa main droite se posa sur la cuisse de la fillette, puis remonta sur le ventre plat.

Il caressa de longues minutes� La marchandise �tait parfaite, rien � redire.

D'un geste adroit, il d�grafa le bouton du jean au niveau du nombril, la fermeture �claire glissa doucement, il l'aida jusqu'en bas�

Il introduit sa main dans le jean baillant en grand� La douceur et la chaleur de la petite culotte en coton le fit fr�mir de plaisir. Il visita le tout, parcourant l'ensemble, des cuisses au ventre� D'un doigt il tra�a la fente de son sexe, appuyant l�g�rement, juste assez pour que le tissu tr�s fin rentre un peu�

La gamine dormait toujours profond�ment�

Il voulut la poss�der tout de suite� Sa main remonta jusqu'au nombril, bien � plat sur la douce peau satin�e, puis redescendit en appuyant � fond�

Les doigts s'engag�rent sous le tissu de la petite culotte, puis rapidement toute la main se retrouva dans le temple de la gamine.

Aucun poil� La fente bien dessin�e fut honor�e d'une caresse longiligne pendant quelques secondes� Puis l'index d'un seul coup se replia en appuyant tr�s fortement� Le vagin de la petite fille venait d'enserrer son doigt�

Il la pratiqua plusieurs minutes, jouant avec son canal vaginal�

C'�tait doux, chaud comme il aimait� Du miel, comme il disait�

 

Il �tait d�j� dix huit heures, dans deux heures sa maman t�l�phonerait � la clinique, elle demanderait le service d'un docteur compl�tement inconnu de l'�tablissement� Ca allait faire du grabuge� A moins que�

Il s'arr�ta pour t�l�phoner � la sortie d'un petit village, composa le num�ro de t�l�phone que la m�re de la petite lui avait donn� tout � l'heure�

Il l'eut tout de suite au t�l�phone et commen�a par lui dire d'un ton calme et monotone:

" Vous me laissez parler et vous ne m'interrompez pas, ce n'est pas la peine de t�l�phoner tout � l'heure, ni de venir demain, votre fille � �t� victime d'un enl�vement. Je l'ai enlev� tout � l'heure sous vos yeux. Vous reverrez votre fille tr�s rapidement si vous ne pr�venez pas la police. Si vous pr�venez les flics, je serai oblig� de supprimer l'enfant� De plus faites attention, des personnes tout � l'heure on d� vous voir recevoir une somme d'argent de la part d'un homme, qui en contrepartie est parti avec votre gamine�

Vous aurez du mal � faire croire � la police que vous n'�tiezpas de m�che avec lui. le gar�on de caf�, le chauffeur de taxi pourront t�moigner, et certainement d'autres t�moins aussi� Donc vous ne pr�venez personne�

Dans quelques semaines je vous renverrai votre fille en tr�s bonne sant�. Sinon� ".

Elle l'avait laiss� parler sans l'interrompre une seule fois�

Il lui demanda : " Vous avez bien compris� ".

Il entendit une petite voix entrecoup�e de sanglot qui murmura :

" Oui, ne lui faite pas de mal, rendez moi ma fille�".

Il reprit : " Si vous ne pr�venez pas la police je vous la renverrai dans quelques temps�".Il raccrocha�

L'id�e d'avoir t�l�phoner ne lui paraissait pas mauvaise, il verrait bien si sa m�re la fermait� Il remonta dans sa voiture et d�marra aussit�t.

Il arriva � sa maison de campagne une dizaine de minutes apr�s, c'�tait tr�s retir�, loin de toutes habitation, il serait tranquille pour la suite�

Il valait mieux, car ce qu'il allait faire endurer � la fillette n'avait rien d'enviable�

Elle dormait encore, la m�me ne pesait vraiment pas tr�s lourd, un vrai poids plume. Il n'eut aucune difficult� pour la porter, puis la d�poser sur le grand lit du local, r�serv� � des fins tr�s sp�ciales�

 

 

 

��� La chambre de torture

 

La pi�ce �tait enti�rement tapiss�e de laine de verre sur tous les murs, ainsi qu'au plafond. L'ensemble recouvert d'une tr�s �paisse moquette de couleur rose faisait de cette endroit de quatre m�tres sur cinq une parfaite chambre sourde, aucun son ne pouvait en sortir. Il avait aussi rendu la porte �tanche, la recouvrant des m�mes mat�riaux, avec en plus des joints caoutchouc�

L'essai avec sa cha�ne HIFI volume � fond avait �t� concluant, dans le couloir � un m�tre, on entendait rien. Il avait fallu qu'il plaque son oreille sur la porte pour entendre tr�s l�g�rement la musique�

Une fillette pourrait gueuler de douleur, personne ne l'entendrait�

La chambre de torture, comme il la nommait n'avait rien de commun avec une pi�ce d'habitation, seul un grand lit recouvert d'une grande couette de couleur rose avait un aspect humain, le reste �tait uniquement fonctionnel.

Aucun doute n'�tait permis, tout dans cet endroit �tait fait pour faire souffrir. Des anneaux aux murs sur lesquels pendaient de longues cha�nes en acier inoxydables, se terminant par des colliers avec serrure pouvant se fixer aux extr�mit�s des membres.

Un syst�me de trap�ze command� par des poulies et un treuil avaient �t� am�nag�s au plafond,permettant d�immobiliser et d��carter dans toutes les positions un corps humain, ceci pour proc�der � toutes les interventions d�sir�es.

Rien n'avait �t� laiss� au hasard,

Au milieu, une grande roue �tait install�e � la verticale, elle pouvait tourner sur elle m�me, des bracelets de cuir pendaient � diff�rents endroits�

Un portique sur lequel pendait aussi deux harnais et des sangles, sans oublier les bracelets de cuirs tr�nait pr�s d'un mur.

une table gyn�cologique permettant d'ausculter les petites femelles, cuisses �cart�es, jambes en hauteur reposants sur des �triers, bras et chevilles maintenus, attach�es par des sangles.

Une armoire en bois sans porte, remplie de m�dicament, seringues, bocaux, tuyaux de lavement et ustensiles m�dicales.

Une autre enti�rement en verre laissait appara�tre sur chaque �tag�re une multitude d'instruments de torture, pinces � seins, cisailles, tenailles, limes, scies, �carteurs, aiguilles de dimensions divers, bistouris, perceuses et scie �lectrique�

Une collection incroyable de godemich�s de toutes dimensions ayant des formes les plus bizarres tr�nait sur la plus haute �tag�re.

Fix�s � l'un des murs, et reposant uniquement sur des crochets, des fouets, martinet simples ou se finissant par des petites boules m�talliques, planches � clous, badines, nerfs de b�ufs, barre de ferre, ceintures de cuir�

Dans un coin de la pi�ce, un petit lavabo muni d'une clef sp�ciale sur la canalisation principale, permettait de supprimer l'eau en cas de punition�

A c�t� d'un mur, une douche sommaire, un bidet pour que les fillettes puisse se laver et rafra�chir ce qui tr�s vite allait devenir congestionn� et en feux�

Une particularit� avait �tait rajout� sur ce dernier accessoire de lavage du sous bassement des gamines.

On pouvait les y asseoir, et les forcer � rester dessus autant qu'il plaisait.

Des sangles avaient �t� fix�es aux murs, elles permettaient de maintenir les bras tendus en hauteur. Les attaches fix�s sur le sol �taient charg�s d'immobiliser les cuisses en position �cart�es. La petite fille �tait donc forc� de rester assise le post�rieur et le vagin dans l'eau autant de temps qu'il le voulait�

Cela n'avait l'air de rien, mais il savait pour l'avoir pratiqu� que cette torture �tait horrible�

Il suffisait d'asseoir la gamine dessus, les cuises �tant tenus �cart�es � fond par les attaches fix�es au sol, de boucher un peu le trou d'�vacuation et de laisser couler l'eau tr�s l�g�rement�

L'eau froide remplissait son office tr�s rapidement, engourdissant le bas ventre et le post�rieur de la fillette, au bout de trente minutes elle commen�ait � trembler de froid, au bout d'une heure elle suppliait pour qu'on la d�tache�

Il l'avait exp�riment� avec une fillette de huit ans qui refusait de sucer sa bitte,

il l'avait laiss� une heure dessus� Elle le suppliait tellement d'arr�ter, qu'il s'�tait mis debout, les jambes �cart�es au dessus d'elle, la bitte sortie �

Elle avait happ� aussit�t la bitte et avait fait sa premi�re fellation en avalant toute la jutte, sans en laisser une goutte, comme il lui avait ordonn�

En plus le bidet nettoyait et insensibilisait en m�me temps, lorsqu'une fillette avait trop mal, c'�tait la solution id�ale���

Le ravissement des yeux n'avait pas �t� oubli�, sur l'un des murs un pr�sentoir de six �tages, lui aussi enti�rement en verre transparent laissait appara�tre une multitude d'habits, de gaines, des petites culottes d'enfants, des soutiens gorges avec ou sans bonnets, des bas et collants de toutes les couleurs.

Sans oublier les petites culottes sp�ciales, avec ouverture par boutons pression ou fermeture �claire sur le devant ou le derri�re, pour laisser passer les instruments de travail�

Un �tage plus haut que les autres supportait une tringle sur laquelle coulissait des portes manteaux avec attaches. Un assortiment complet de mini-jupes, short, tuniques, pouvait �tre s�lectionn� rapidement�

Uniquement des v�tements �rotiques d'enfants,pas n'importe quelle taille, juste de sept � onze ans. Le ravissement �

Il d�posa la petite fille d'� peine huit ans sur le grand lit, elle dormait profond�ment�

Il verrouilla la porte de la chambre sourde, appuya sur un interrupteur, un d�clic se fit entendre, suivit aussit�t par un l�ger bourdonnement, le syst�me de ventilation venait de se mettre en fonctionnement.

La laisse de cou, comme il l'appelait, portait bien son nom, d'une longueur de cinq m�tres, elle permettait � la fillette de faire tout ce qu'on lui demandait sans probl�me. Le petit collier en m�tal extr�mement r�sistant enserrantla gorge de l'enfant se fermait avec un cadenas de s�curit�. Une cha�nette en acier reliait l'ensemble � une attache fix�e dans le mur. Jamais aucune jeune pucelle n'avait pu retirer le collier toute seul�

Comme d'habitude, il n'eut aucune difficult� � la mettre en laisse�

Elle �tait � lui, il pouvait enfin s'amuser comme il le voulait, il fallait juste attendre qu'elle se r�veille�

Il �tait tr�s patient, capable de pr�parer une fillette pendant des semaines, cela d�pendait uniquement d'elle� Oui c'�tait �a, sa survie d�pendait uniquement d'elle. Si elle �tait ob�issante et le faisait jouir souvent et pleinement, il la gardait des mois, sinon, quelques jours seulement�

Il lui en fallait toujours plus, la derni�re fillette avait neuf ans, il l'avait garder trois mois � peu pr�s en bonne �tat, et puis les supplices irr�m�diables avaient commenc�s�

Trois semaines d'agonie horrible, la petite fille transperc�es de partout par des aiguilles, empal�e vingt quatre heures sur vingt quatre, le bout des seins coup�s, puis br�l�s pour �viter l'h�morragie fatale. Ne lui donnant comme seule boisson et nourriture que trois doses se spermatozo�de par jour la premi�re semaine�

La fillette crevait de soif et aspirait tout au maximum, sans rien laisser�

La deuxi�me semaine, elle avait tellement soif et faim qu'il avait eu piti� d'elle,

il avait descendu le trap�ze � l'horizontal le plus bas possible, et il lui avait uriner dans la bouche� elle avait tout avaler�

Puis il lui avait proposer d'ouvrir la bouche, pour y chier dedans, elle avait refus� Il l'avait fouett� le plus fort qu'il avait pu avec le martinet � boules m�talliques une trentaine de coups� Agonisante et sanguinolente, elle avait accept�e�

Il avait coll� son anus sur sa bouche grande ouverte, la merde �tait rentr� petit � petit� Il avait menac� de lui br�ler la chatte, si elle ne mangeait pas tout�

Elle n'avait rien laiss� Il avait joui, se masturbant en entendant la fillette d�glutir et avaler� Pour finir il lui avait demand� de nettoyer son cul avec sa langue, lui ordonnant qu'il n'en reste pas� Elle l'avait fait.

Tous les jours il avait continu� ce man�ge, elle avalait la merde de mieux en mieux et de plus en plus rapidement � chaque fois.

Avec la mati�re f�cale et la pisse ingurgit�e, elle reprenait des forces. Pour �viter les infections dues aux coups et � la nourriture, il lui faisait des piq�res d'antibiotique, toujours avec la plus grosse aiguille possible�

Il avait ouvert son cul et son vagin comme aucune petite fille n'avait �t� ouverte.

Elle hurlait de douleur et de jouissance, tenue en extension sur le trap�ze, deux �normes chibres dans ses trous. Son clitoris transperc� par des aiguilles, auquel il avait attach� des poids de deux cent grammes�

Il retirait chaque jour les godemich�s, et mettait � leur place son poing ferm� dedans.

Tout rentrait sans probl�me, miracle de la femelle, m�me � neuf ans�

La gamine avait encore souffert une dizaine de jours� Et puis l'issue fatale�

 

 

 

 

������� La pr�paration d'Emmanuelle

 

En premier lieu, il la d�shabilla compl�tement, mon dieu qu'elle �tait bien fa�te.

Rien ne clochait, des formes paradisiaques� Huit ans � peine, il allait pouvoir s'amuser� L'�ge id�al, les fillettes �taient encore mall�ables, apr�s un petit stage d'�ducation sexuelle elles ferait tout ce qu'il voudrait�Et m�me plus.

Il allait pratiquer comme les fois pr�c�dente, sa m�thode avait fait ses preuves�

Il lui attacha la laisse de cou, puis la laissa se reposer quelques heures, il ne pouvait rien faire pour annuler l'effet du somnif�re, il fallait attendre�

Il en profita pour pr�parer tous les accessoires dont il allait avoir besoin pour la suite, puis alla se restaurer un peu.

Huit heures apr�s il revint. Elle dormait encore, il fallait la r�veiller�

Lui mettant sous le nez un petit flacon, il lui fit respirer une essence sp�ciale, l'effet ne se fit pas attendre, Emmanuelle ouvrit les yeux�

Tout de suite, avant qu'elle ne r�agisse il lui donna � boire une grande tasse de caf� extr�mement fort. Sans sucre c'�tait vraiment d�gueulasse, surtout pour une fillette de huit ans, mais c'�tait tr�s efficace pour se r�veiller rapidement.

Trois minutes apr�s la gamine avait retrouv� tous ses moyens. Elle posait des questions, ne comprenant pas pourquoi elle se retrouvait toute nue et attach�e�

Il alla chercher un martinet � simple lani�re dans l'armoire sp�ciale, puis le tenant d'une main devant elle, il lui expliqua�

Ma petite Emmanuelle, comme tu le sais ta maman t'a confi� � moi pour diff�rents tests� J'ai enti�rement carte blanche, j'ai pay� pour �a�

Je peux tout faire avec toi, ta maman est d'accord�

Si tu fais bien tout ce que je te dis, tu l'a reverra dans peu de temps, sinon cela durera tr�s longtemps�

Dans tous les cas, j'ai bien dit dans tous les cas, il faut que tu fasse ce que je te dirai, sinon� Il lui montra le fouet. Tu as bien compris ?.

La fillette avait peur, en plus elle crevait de froid, elle lui fit un signe de t�te qui selon elle voulait dire oui�

Un coup de fouet cingla ses cuisses� Tu dis oui Monsieur � chaque fois�

Tu as compris ?.

Au bord des larmes, elle r�pondit un "oui� Monsieur" presque imperceptible.

Bon, je vais te faire prendre une douche� Il prit dans sa poche la clef de sa laisse de cou, l'ouvrit, puis lui demanda de le suivre�

La douche dura assez longtemps, il prit un malin plaisir � lui savonner l'entrejambe� Elle �tait parfaite, le cul bien saillant, une chute de reins splendide, des jambes magnifiques�

Il allait prendre un sacr� plaisir en la remplissant de spermes�

 

 

 

 

Il l'a ramena aussit�t dans la chambre des tortures, puis rattacha sa laisse.

Il descendit le trap�ze du plafond. Aux quatre extr�mit�s pendaient des cordelettes d'environ dix centim�tres sur lesquels �taient fix�s un bracelet de cuir sur chaque. Il les r�gla � la bonne dimension, puis les lui fixa � l'extr�mit� de chaque membre�

Vint le tour de la fixation du harnais passant au tour de la taille, il serra les sangles de la gu�pi�re en cuir au maximum, puis attacha sur celui-ci le c�ble principale charg� de la maintenir en hauteur.

La gamine en croix, les membres �cart�es au maximum �tait � sa disposition. Elle ne pouvait plus bouger du tout�

Lui par contre pouvait man�uvrer la machinerie comme il le voulait�

Il �leva la fillette � trente centim�tre de hauteur, puis r�gla les cordes reliant les chevilles de fa�on que la petite se retrouve les jambes en l'air, cuisses �cart�es en grand�

Le panorama lui plaisait, les bras �tir�s en arri�re, jambes �cart�es, relev�es.

Son cul et sa chatte �tait offert au maximum, juste � la hauteur de sa bitte�

Il pouvait travailler ses orifices comme il le d�sirait, et � volont� lui rentrer tout les instruments qu'il d�sirait.

Bon lui dit-il, je vais d'abord te faire un lavement� Il prit les accessoires pr�par�s, glissa une bassine sp�ciale au niveau des fesses de la fillette. Puis il remplit d'eau froide un grand r�cipient en verre transparent muni d'un grand tuyau en caoutchouc sur lequel avait �t� rajout� une grosse canule en plastique, muni d'un tout petit robinet.

Le liquide qu'il m�langea patiemment � l'eau froide avait une couleur jaune de consistance �paisse� De la moutarde� Pour activer un petit cul, il n'avait jamais rien trouver de mieux� Il allait l'entendre gueuler de souffrance�

En plus comme lavement c'�tait radicale. Il fallait la vider de toute sa merde,

un premier lavement maintenant, puis si c'�tait n�cessaire un autre dans environ huit heures allait permettre de nettoyer tout �a�

Pour son premier enculage il fallait qu'elle soit lib�r� de son caca, sa bitte irait plus loin, tout au fond, l� ou �a faisait le plus mal�

A partir de maintenant elle serait � jeun pendant quelques jours, juste son sperme comme boisson et nourriture�

Elle resterait en extension en hauteur de nombreuses heures, ses muscles ne travaillant plus allaient se ramollir un peu, cela faciliterait les p�n�trations annales et vaginales de tous les instruments, m�me du sien�

Le b�illon pour ne plus l'entendre gueuler de douleur �tait pr�t, un tampon de gaze dans la bouche et un morceau de sparadrap sur la bouche feraient l'affaire.

Mais pas pour l'instant, il voulait d'abord entendre sa petite voix de femelle de huit ans hurler de douleur, c'�tait trop bon�

La fillette tremblante et horrifi�e la regardait faire ses pr�paratifs, ne comprenant pas ou il voulait en venir�

 

 

 

Le m�lange de couleur jaune moutarde �tait pr�t, il attacha en hauteur le r�cipient en verre et amena la canule sur l'orifice annale de la m�me, puis poussa l'engin � l'int�rieur de son trou du cul, � fond dans son int�rieur�

Aucune difficult�, en extension et ouverte comme elle �tait, il aurait pu rentrer ce qu'il voulait�

Il ouvrit le petit robinet se situant sur la partie de la canule non rentr�e dans l'anus� Le syst�me des vases communicants aidant, le r�cipient se vidait lentement, et le petit cul se remplissait en m�me temps�

Il lui restait � s'occuper de sa chatte et de ses minuscules t�tons�

Le tube de pommade r�vulsive allait faire l'affaire� Pour commencer�

Il r�pandit une tr�s belle noisette de pommade sur toute la longueur de sa chatte, l'ouvrant tr�s l�g�rement, puis surtout en recouvrit l'endroit ou se trouvait le clitoris de la gamine.

Il fit de m�me pour ses t�tons, les recouvrant compl�tement� Dans quelques minutes elle allait commencer � "chauffer"�

Il alluma son cam�scope, l'image enregistr�e �tait aussi diffus� sur un petit �cran de t�l�vision en couleur� Le r�glage �tait bon, l'image parfaite. L'objectif grand angle, fix� en hauteur prenait toute la sc�ne, sans rien omettre�

Il avait l'habitude� C'�tait la huiti�me fillette�

Il n'eut pas longtemps � attendre, deux minutes apr�s la petite fille commen�a � pleurer�

Le r�cipient en verre se vidait doucement, d�j� un quart de litre �tait parti dans le ventre de la gosse, la moutarde agissait�

La petite se tr�moussait en pleurant de douleur.

Ce n'�tait encore pas assez pour lui. Il prit deux pinces � seins, les lui fixa sur chaque minuscule t�ton recouvert de pommade�

Elle hurla aussit�t.

Les m�choires des pinces �crasaient tr�s fortement chaque bout�

Elle le suppliait d'arr�ter, ses cris commen�aient � l'exciter.

Il bandait de plus en plus� il changea d'id�e, apr�s tout, pourquoi ne pas la baiser par devant maintenant� La d�puceler tout de suite, se payer le menu du roi, comme il disait�

Pendant que le lavement la remplissait par derri�re, pourquoi ne pas la remplir par devant, en m�me temps�

Avec le travail que faisait la moutarde par derri�re il devait pouvoir s'amuser par devant�

Il se mit � genoux sur le lit, entre ses jambes. Super, juste � la bonne hauteur.

Le tuyau qui remplissait son petit cul ne le g�nait absolument pas pour la saillir par devant.

Sa queue se positionna juste � l'entr�e de son vagin. Tra�ant son sillon avec sa verge dure pendant quelques minutes, il ramena pas mal de pommade r�vulsive sur son gland, celle-ci le chauffa rapidement, l'excitant encore plus�

Maintenant, la fillette hurlait de douleur, elle appelait sa maman continuellement en pleurant�

Il adorait� Ces petites salopes �taient toutes les m�mes, d'abord Maman ou papa avant d'�tre travaill�

Pendant qu'elles jouissaient, il n'y avait plus d'appel au secours�

Juste : " C'est bon Monsieur�Encore� Oui c'est bon� Continuez�".

Il appuya � l'entr�e du vagin d�j� remplit de pommade. Doucement d'abord, de plus en plus fort� Puis sans m�nagement il poussa � fond�

Le gland de sa bitte fut aval� d'un seul coup par la petite chatte�

Elle hurla encore plus fort, un cri strident� Puis plus rien� Le silence complet.

Les yeux grands ouverts regardant le plafond, la fillette ne pleurait plus, surprise par la p�n�tration, elle avait eu trop mal�

C'�tait super, chaud et tr�s serr� comme il aimait. L'expression "aller au joints �tait on ne peut plus vrai�". Et l� le joint �tait parfait�

Les tissus du vagin �taient vraiment tr�s �lastiques, la nature avait tout pr�vue.

Il essaya de bouger sa bitte, tirant, poussant l�g�rement� La gamine en suspension suivait le mouvement. Il mit ses deux mains sur ses petites hanches, l'immobilisa, puis recommen�a � bouger. Sa queue rentra un peu dans son vagin, puis ressortit� Il la tringlait sur environ cinq centim�tres, ce n'�tait pas beaucoup. Il poussa encore plus dans son ventre, fortement� Elle g�mit � nouveau, il gagna encore cinq centim�tres� Il y �tait, le besognage �tait efficace, dix centim�tres coulissait normalement dans sa chatte.

Elle n'�tait plus vierge�Il s'en assura en ressortant compl�tement sa queue de la petite fille, un peu de sang ressortait de sa chatte. Il l'avait d�pucel�

Ce n'�tait pas le moment d'arr�ter, il replongea dans son intimit�, la besognant plus rapidement, taraudant son petit trou � fond, c'�tait g�nial�

Aucune chatte de femme ne pouvait donner autant de plaisir � un homme que celle d'une petite fille. Un vrai paradis�

En m�me temps qu'il la travaillait, ses mains parcouraient son corps, ses t�tons �taient devenus tout violac�s. Il retira les pinces � seins, puis joua avec ses bouts un bon moment, les roula, les tira, les �crasant avec ses doigts�

Elle ne pleurait plus, r�agissant juste en g�missant lorsqu'il lui faisait trop mal.

Elle devait �tre compl�tement insensibilis� par le lavement de moutarde�

Il n'en restait plus beaucoup dans le bocal, son petit trou du cul avait presque tout aval�

Il lui roula d�licatement le clitoris, le tirant, le titillant� Son bourgeon s'�tait d�velopp� consid�rablement en quelques minutes, plus rien � voir avec celui d'avant�

Pendant pr�s de dix minutes, il la tringla, caressant son clitoris�

Il connaissait la musique, aucune fillette ne pouvait r�sister longtemps � ce jeu.

Une petite fille �tait avant tout une femelle, les instincts en sommeil se r�veillait lorsque le clitoris �tait excit�

Les premi�res r�actions de jouissance de la petite se firent ressentir�

Ses yeux devirent p�tillants, puis les premiers gloussements.

 

La petite salope commen�ait � prendre son pied�

Il l'activa encore plus, rentrant sa queue encore plus profond�ment, tirant assez fortement avec ses doigts sur son petit bourgeon de chair, c'�tait magique, la souffrance �tait court-circuit�e, supprim�e, partie, envol�e�

Il ne restait que le plaisir� La petite bougeait de plus en plus, se tr�moussant, gesticulant, g�missant de plaisir�

Sa premi�re "monte"�

Elle n'allait pas tarder � recevoir sa premi�re dose de sperme�

Il hurla, de plaisir, puis se r�pandit dans le ventre de la petite fille�

De nombreuses gicl�es, longues et g�n�reuses�

Surprise, elle ouvrit ses yeux tr�s grands, en attente de remplissage, comme toutes les femelles, profitant de l'instant pr�sent au maximum�

Et puis une seule petite phrase magique : " Oh� C'est chaud� ".

En pleine �jaculation il retira la canule de lavement mise dans son post�rieur.

Le liquide commen�a � ressortir de l'anus, un jet continu d'eau, de moutarde et de merde se r�pandit dans le grand r�cipient install� sous les fesses de la fillette.

Elle fut surprise un peu plus, elle fit juste entendre un : " Oh�".

Puis elle se d�tendit � fond, se laissant remplir et vider en m�me temps�

Le bruit que faisait le liquide en coulant dans la grande bassine en plastique le comblait �norm�ment� Un jet continu d'eau et de moutarde, pendant de longues secondes, puis un bruit plus mat interrompait la r�gularit� du son�

Un petit paquet de merde venait de tomber dans la bassine�

Et puis le jet reprenait, jusqu'au prochain petit paquet de caca�

La gamine de huit ans se vidait du cul, se r�pandant compl�tement�

Son �jaculation �tant fini, il se retira de la petite, la bitte recouverte de sperme et de sang m�lang�

Il �carta les l�vres de sa chatte, le sperme l�g�rement rougit ressortit, coulant sur ses cuisses. Elle �tait pleine de jutte.

Il contempla aussi, sous elle, la bassine � moiti� remplie� Dr�le de m�lange.

Il attendit patiemment que ses intestins soient vides, retira la bassine, alla la vider.

Puis il lui fit un brin de toilette, nettoyant � l'eau claire sa chatte et son trou du cul, retirant aussi la pommade sur ses t�tons�

Bon lui dit-il, je vais peut �tre te laisser dans cette position quelques heures, je reviendrai te voir demain. Il faudra que tu fasses tout ce que je te dirai, sinon�

Les yeux horrifi�s, elle acquies�a d'un signe de t�te. Maintenant elle savait de quoi il �tait capable�

Il partit, quittant la chambre des tortures, refermant la porte � double tour derri�re lui�

 

D�j� vingt quatre heures� Portant un slip comme seul v�tement, il ouvrit doucement la porte. La gamine ne dormait pas, elle le regarda aussit�t�

Un regard tr�s inquiet�

 

Bonjour, Emmanuelle. Es tu pr�te � faire tout ce que je te dirai, sans exception ?.

 

-         Oui Monsieur�

-         Bien dans ce cas je te d�tache tout de suite, mais attention, au moindre refus de ta part, je te fouette et t'attache � nouveau en suspension pendant trois jours� Tu es d'accord ?.

-         Oui Monsieur�.

 

Pour le lavement, on laisse tomber, un seul suffira. Comme tu ne mangeras pas pendant quelques jours, tes intestins resteront vides.

Je vais juste te faire boire ma pisse comme boisson, et ta seule nourriture sera mon sperme. Tu es d'accord Emmanuelle ?.

 

La gamine tremblante, les yeux �carquill�s en grand comprit qu'elle ne pouvait pas dire non�

 

-         Oui Monsieur�

 

-         Tr�s bien, je veux juste entendre �a� Sinon le fouet�

 

Cela ne lui prit que quelques minutes pour la faire redescendre et la d�tacher du harnais, puis des sangles qui l'immobilisait.

Il la fit mettre � genoux, en profita pour lui fixer sa laisse de cou�

 

Elle �tait juste � la bonne hauteur, son visage � trois centim�tres de son slip�

Il voulut savoir si la fillette avait compris le message, si elle �tait r�ellement soumise enti�rement�

 

-         Emmanuelle, met ta bouche sur mon slip, et l�che le, juste ou il y a la bitte�

 

Les vingt quatre heures de souffrance en suspension avaient fait leurs effets� Elle s'ex�cuta tout de suite, sortit sa petite langue, puis commen�a son travail de l�che�

 

Quelques minutes apr�s, il fit passer sa queue en �rection hors du slip.

La fillette comprit aussit�t, engouffrant imm�diatement la bitte bien dure dans sa petite bouche�

 

 

 

Il s'assit jambes �cart�es� Pendant dix minutes la petite fille lui l�cha et su�a la queue, plut�t mal que bien. Il la reprit plus de dix fois, lui disant comment il fallait faire. La m�me se remit � pleurer� Il ne supporta pas plus de dix secondes, d'un coup de fouet �nergique sur les fesses il lui ordonna d'aller s'allonger sur le lit, cuisses et bras �cart�s. Secou�e par des saccades de pleurs incontr�lables elle s'allongea rapidement. Elle venait de comprendre son erreur�.

 

 

������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������ ��������� Les supplices

 

 

Il l'attacha solidement. Des cordelettes reli�es � des bracelets en cuirs aux quatre coins du lit la maintenait immobilis�s, bras et jambes �cart�es�

 

-         Petite fille, je vais te donner en d�tail le menu de tes supplices�

 

-         Tu vas souffrir petite salope, tu vas avoir tr�s mal, la souffrance extr�me� D�j� tes t�tons� Ce n'est pas des seins que tu as, je vais te les �tirer tr�s fortement, te les faire tripler de volume. A coup de badine te les rendre tout violac�s, puis te les percer avec de tr�s longues aiguilles�

Te les travailler � l'�lectricit�, ensuite te les piquer � l'acide.

Dans quelques jours, tu ne les reconna�tra pas, tu verras�

Puis viendra le moment sublime�

Le d�coupage en fine rondelle avec la machine que j'ai fabriqu� expr�s pour les petites filles�

Une ancienne machine � d�couper le jambon, modifi� par moi�

Tu verras comme je fais de belles petites tranches de sein de gamine�

 

Viendra le tour de tes petites fesses, martel� � grands coups de b�ton,

ou de fouet � boules m�talliques, piqu�es � l'acide� Le tout bien sur en �tant sodomis� par une bitte en caoutchouc g�ante�

Une derri�re� Une devant�

Comme ta maman aime� Mais en plus gros�

Je veux que tes trous s'�cartent au maximum, comme jamais une petite fille n'a �t� �cart�e�

Et enfin le d�coupage de chaque fesse en fine lamelle, toujours cette fameuse machine � jambon� La machine tourne tellement vite que tu ne ressens aucune douleur� Sur le moment�

Je te ferai goutter une petite tranche grill�e, tu verras comme c'est bon une tranche de sein ou de fesse de petite fille�

La machine n'existait que don son imagination, elle faisait de l'effet � chaque fois� La gamine �tait terrifi�e� Le but recherch� �tait atteint.

Mais avant, il y avait d'autres raffinements, dessupplices sexuels fantastiques, in�dits, des v�ritables saloperies r�serv� uniquement pour les petites filles�

 

 

Il se mit � califourchon sur elle, sortit sa bitte et ses couilles de son slip�

" Tu ouvres ta bouche petite salope, et tu suces ma queue �"

La gamine s'ex�cuta rapidement, elle ouvrit en grand, ses l�vres se referm�rent sur son sexe� La fillette fut un peu rassur�, si il n'y avait que �a� Elle l'avait d�j� fait�

C'�tait sans compter sur l'ing�niosit� et la d�gueulasserie du mec�

Il attendit plusieurs longues minutes, faisant coulisser sans arr�ter son membre dans la petite bouche.

C'�tait g�nial, chaud, humide en m�me temps�

Avec sa main gauche il saisit un des instruments pr�par�s, mis bien en �vidence sur la table de nuit� Une simple pince � linge�

D'un geste pr�cis et rapide la pince en bois se retrouva sur le nez

d' Emmanuelle, enserrant ses deux narines, l'obligeant � respirer uniquement par la bouche. Elle comprit rapidement le probl�me� Le sexe dans son orifice buccal prenait beaucoup de place, l'air pour respirer ne pouvait maintenant venir que de la bouche, seulement de la bouche�

Pour prendre un peu mieux sa respiration, elle essaya d'ouvrir � fond�

Elle y arriva sans probl�me� Il n'attendait que �a.

Sa bitte bien dure s'engouffra � fond dans son petit gosier, jusqu'au plus profond de la gorge de la petite fille�

Elle commen�a � manquer d'air, suffoquant imm�diatement, se tr�moussant de tous c�t�s. Les liens immobilisant ses quatre membres tenaient bon.

Le visage horrifi� de la fillette le faisait jouir, le rythme cardiaque de la supplici�e s'acc�l�ra tr�s rapidement, des spasmes secouaient tout son corps.

Au bout d'une minute, elle manquait d'air, au bord de l'asphyxie, les yeux � l'envers� Le visage de la petite salope devenait tout bleu�

Encore une minute� Juste pour savourer le moment�

Puis encore une autre minute� Il maintint sa verge au fond de sa gorge�

Juste avant qu'elle ne s'�vanouisse, il retira sa pine�

Elle respira un grand coup, � fond�

Son rythme cardiaque s'�tait acc�l�r� � un point incroyable�Il voulait profiter de ces instants magiques�

Il retira les bracelets qui immobilisaient ses chevilles, lui mit en hauteur ses deux cuisses, les faisant reposer chacune sur une de ses �paules�

Sa bitte bien dure appuya aussit�t sur l'entr�e de son sexe�

Il appuya � fond, sans aucun m�nagement� Quel plaisir� La petite salope haletait toujours, essayant de reprendre son souffle et ses esprits�

Son bas ventre forc� s'ouvrit aussit�t� Il poussa � fond dans le vagin�

Un viol parfait, sans lubrification, ni jouissance de la fillette�

Tr�s dur � rentrer, comme il aimait�

Il rentra tout, � fond, jusqu'aux couilles�

 

Entre deux respirations, haletant toujours, elle fit entendre un g�missement de douleur, monstrueux, aigu et per�ant�

Quel bonheur, que c'�tait serr� et chaud� Rien n'�quivaudrait jamais le plaisir de p�n�trer une petite fille de huit ans�

Le vagin s'ouvrait sans probl�me, l'anus aussi�

Les gaminettes � cet �ge pouvaient tout apprendre, sans comprendre�

Il pouvait tout faire avec la petite, c'�tait son jouet � lui� Aucune g�ne � avoir, aucune pr�caution � prendre, le viol physique et psychologique, sans consentement, l'id�al� La soumission totale dans la souffrance.

 

Il commen�a � tringler l'enfant femelle supplici�, sans m�nagement�

Elle haletait toujours� Quel plaisir, on aurait pu penser que c'�tait du � la jouissance de la bitte qui rentrait et ressortait de son vagin.

Pendant cinq minutes il la pratiqua sauvagement�

Elle commen�ait � se calmer un peu, La lubrification de son vagin se faisant, la petite salope commen�ait presque � appr�cier sa p�n�tration, sa respiration redevenait presque normale. Tout � coup elle se remit � pleurer�

D'une main il alla chercher d'autres instruments sur la table de nuit�

Deux pinces � seins� Imm�diatement plac�s sur chaque t�ton�

L'horreur, un cri inhumain de douleur� Sublime�

Les m�choires des instruments rentraient tellement dans la chair que les bouts des t�tons devinrent tr�s rapidement d�form�s et violac�s.

Elle hurlait de douleur� Trop de cris pour lui� Il allongea son bras et reprit sur la table de nuit un morceau de sparadrap autocollant pr�par� � l'avance.

La bouche de la gamine fut rapidement recouverte et obstru�e�

La pince � linge toujours sur le nez, la petite fille ne pouvait plus respirer � nouveau�

Sa bitte se d�gagea rapidement de son vagin, visant maintenant son trou du cul, il poussa sa verge sur l'anus de la petite fille�

Le visage horrifi� de la fillette supplici�e, devint � nouveau tout rouge, puis commen�a � virer � nouveau sur le bleu�

Il attendit encore une minute, puis il retira la pince � linge du nez�

Elle respira un grand coup, puis se remit � haleter�

Il en profita pour pousser sa bitte sur son anus � fond, il l'encula d'un seul coup, lui d�fon�ant presque le trou du cul.

Le soubresaut qu'elle fit fut inhumain�

Il rentra le maximum qu'il pouvait� Quel cul sublime�

Il la besogna durement pendant quelques minutes. Elle ne pleurait plus, ayant enfin compris que cela ne servait � rien, et surtout que cela pouvait �tre pire pour elle.

Il se retira d'elle d'un seul coup�

 

Il lui parla aussit�t : " Bon petite salope, je vais te d�tacher, tu vas venir me sucer la bitte, tu avaleras toute mon sperme, sans en laisser, surtout en t'appliquant, sinon je recommencerai � te torturer�".

Il retira le sparadrap plac� auparavant sur sa bouche, retira les pinces � seins, ce n'�tait pas beau � voir� Ses t�tons �taient tum�fi�s, tout violets.

Apr�s avoir retir� les attaches des poignets, il s'assit cuisses �cart�es sur le seul fauteuil du local. Pendant quelques minutes il lui laissa reprendre son souffle, puis il lui parla : " Bon quand je t'appellerai, tu viendras aussit�t entre mes cuisses� Tu sais ce que tu aura � faire ?�"

La r�ponse ne se fit pas attendre, un : " Oui Monsieur", tout tremblant et apeur� La petite salope avait compris�

L'instant d'apr�s la fillette � genoux entre ses cuisses s'emparait avec sa bouche du membre tout mou�

Elle s'appliqua aussit�t, pipant avidement le sexe.

Quelques minutes apr�s, la bouche de la petite fille travaillait une belle bitte, bien dure�

Il la pr�vint : " Cela va sortir, tu avales tout, sans qu'il en ressorte, sinon je te torture � mort�".

Le sperme sortit� La bouche de la petite se remplit par jet successif�

Les yeux horrifi�s, elle d�glutit r�guli�rement, avalant tout sans aucune discussion.

Enfin� Elle �tait soumise et souill�e comme il le d�sirait.

Elle l'avalait, le vidait sans rien laisser. Le sperme ressortant l�g�rement sur ses l�vres le ravissait. Quel plaisir indescriptible, une petite fille de huit ans soumise lui vidait les couilles.

Il lui donna l'ordre de ne plus avaler� Il fallait qu'elle garde le sperme dans sa bouche. La "gaminette" s'ex�cuta, elle bloqua les derni�res gicl�es de jutte, les laissant dans sa cavit� buccale�

Epuis�, il retira sa pinne, demandant aussit�t � Emmanuelle d'ouvrir sa bouche en grand, le plus grand possible�

Il s'approcha� Quel spectacle magnifique, le liquide blanc et onctueux recouvrait la langue, toute l'int�rieur de la cavit� �tait tapiss�e de cr�me, m�me le fond de sa gorge en �tait recouvert.

Avec autorit� il lui demanda de faire tourner le foutre avec sa langue, ainsi que de l'amener d�licatement sur ses l�vres, de faire comme si c'�tait une esp�ce de rouge � l�vres liquide�

Il contempla la petite salope faire tourner sa langue avec le liquide onctueux, puis elle en recouvrit ses deux l�vres, finalement elle fit le geste qu'il attendait, ce que toutes les connes font avec leur rouge � l�vres, pour mieux l'�taler�

Il continua � lui parler�

C'est pas mal� Maintenant tu laisses ta bouches ouverte en tr�s grand, ta t�te en arri�re, quand je te le dirai tu avaleras par petite quantit� la jutte�

Mais attention� La bouche grande ouverte, sans la fermer�

Tu laissera le liquide couler dans ta gorge et l'avalera d�licatement.

Si tu fermes ta bouche une seule fois, je te punis aussit�t�

Il s'approcha ses yeux de sa cavit� buccale, son regard contemplait le spectacle� Il lui donna l'ordre de commencer�

La petite putte, toujours � genoux, la t�te compl�tement en arri�re d�glutit une premi�re fois, le liquide coula doucement dans sa gorge, la bouche ne pouvant pas se fermer produisait un doux bruit de raclement� Le liquide onctueux se pla�ait tout seul au fond de sa gorge, coulant d�licieusement dans son gosier�

Elle se for�ait pour d�glutir, sa bouche ouverte en grand.

Impression sublime� Il contempla longuement sa semence glisser dans le petit gosier�

Bon c'est bien� Tu peux arr�ter�

La gamine redressa la t�te.Le spectacle le ravissait, le bas du visage, du nez au menton �tait recouvert de sperme. Les yeux de la fillette avait une expression bizarre, un m�lange de peur et de soumission.

Bon maintenant tu nettoies ma bitte avec ta bouche et ta langue, je ne veux pas qu'il reste une seule trace de jutte�

Elle engouffra � nouveau le membre plus vraiment virile dans sa bouche, pipant automatiquement sans qu'il lui dise� Les fillettes �taient vraiment faites pour �a, l'automatisme des femelles� Ouvrir leurs cuisses � fond et pratiquer une fellation aux m�les �taient inclus dans leur programme g�n�tique.

Elle nettoya correctement, s'appliquant � faire dispara�tre toutes traces de sperme en pipant. Puis ressortant la queue, elle l�cha le membre redevenu tr�s viril, pratiquant de longues passes, langue ressortie � fond, des couilles au gland�����

Epuis�, il se laissa faire, savourant de longues minutes�

Il lui donna l'ordre d'arr�ter, de se relever puis de se retourner, jambes �cart�es en grand� Puis bras en l'air� Il la testait�

Elle s'ex�cuta au quart de tour. Elle �tait devenue son esclave sexuelle, le jouet de ses d�sirs�

Il lui demanda d'aller s'asseoir sur le bidet�

Il accrocha les attaches des bras, puis des jambes�

Sublime� Les bras emprisonn�es en hauteur, les jambes maintenues �cart�es � fond, attach�es par des bracelets de cuirs aux cuisses, le cul enti�rement dans le bidet�

Il ouvrit le robinet� L'eau envahit la petite cuvette, recouvrant bient�t compl�tement le soubassement de la supplici�e.

Le cul et sa chatte enti�rement dans l'eau froide, sans possibilit� de bouger�

Il ferma un peu le robinet, il fallait r�gler le d�bit de l'eau pour que son cul reste enti�rement dans l'eau� Sans que cela d�borde, bien sur�

 

Il s'assit sur son fauteuil et attendit� Pendant cinq minutes il ne se passa rien, cela devait m�me lui faire du bien, lui rafra�chir sa chatte et son cul nouvellement d�fonc�s�

Et puis l'eau rafra�chissant peu � peu ses petits tr�sors, elle commen�a � avoir froid� De plus en plus froid�

Tremblante de froid, tout son petit corps secou� par des spasmes�

Dix minutes apr�s, les tremblements s'acc�l�r�rent , elle se remit � pleurer�

Il la laissa faire, c'�tait m�me agr�able � ses oreilles�

Comme pour les autres, il voulait qu'elle le supplie�

Cela arriva rapidement� Dix minutes apr�s elle le suppliait en hurlant,lui demandant d'arr�ter, elle ferait tout ce qu'il voudrait�

Que c'�tait bon� La petite salope devenait toute blanche, la chaire de poule sur tout le corps�

Comme pour les autres enfants, il se releva de son fauteuil, puis se mit � califourchon sur elle, bitte au niveau de sa bouche.

Elle comprit d'elle m�me tr�s rapidement, engouffrant son sexe aussit�t�

Elle pipa fr�n�tiquement la bitte bien chaude�

Il eut un peu piti� d'elle, il lui dit:

" Bon je vais te donner une boisson chaude� Cela va te r�chauffer un peu�

Tu vas laisser ouvert ta bouche en grand, je vais pisser dedans�

Je veux que tu avales tout, si tu ne le fais pas, je te laisse sur le bidet jusqu'� ce que tu t'�vanouisses. Si tu avales tout, j'arr�te l'eau aussit�t apr�s, et je te r�chauffe".

Il retira sa queue de la cavit� buccale�

Aussit�t, la gamine effar�e, les yeux exorbit�s d'horreur ouvrit en grand�

La bitte � trois centim�tres de sa bouche, il ne pouvait que viser juste�

Un jet de pisse drue et continue, s'engouffra au plus profond de sa gorge�

Elle avala imm�diatement� Elle y mettait une bonne volont� �vidente,

il n'en ressortait pas beaucoup�

Pisser dans la bouche d'une fillette soumise, et qui avalait tout, lui procurait� chaque fois une jouissance extr�me�

Surtout la d�glutition, comme pour le sperme, il adorait voir la petite gorge soumisse se contracter, puis avaler tout le liquide, en faisant un doux bruit�

Soulag� de toute sa pisse, il se retira de sa bouche�

Elle l'implorait du regard� Allait-il tenir sa promesse ?.

Il la d�tacha rapidement, lui donna l'ordre d'aller se coucher dans le grand lit� Elle s'y pr�cipita imm�diatement, tout en tremblant�

Tout nu, il la rejoignit aussit�t�

La temp�rature de la petite, �tait �norm�ment tomb�e� Elle ressentit la chaleur de son corps et se blottit imm�diatement le dos contre lui�

Il la laissa faire, l'enserrant m�me de ses bras, entrem�lant ses cuisses avec les siennes, queue contre cul� Elle �tait "gel�e"�

La supplici�e �tait dans le lit de son bourreau, soumise et consentante�

Ils s'endormirent rapidement�

 

Il se r�veilla en sursaut� La fillette dormait calmement dans ses bras.

Elle �tait r�chauff�e, chaude � souhait pour de nouveaux supplices�

Sa queue bandante vint se placer sur son anus� Il poussa doucement.

La fillette se r�veilla juste au bon moment, celui de son enculage�

 

Elle n'eut pas le temps de r�agir. Tout en la maintenant serr�e contre elle, maintenue par ses jambes, ses bras l'emprisonnant fermement. La bitte vint appuyer sur l'anus ferm� de la petite fille. Il appuya sans m�nagement sur l'entr�e du petit trou du cul�

La gamine comprit vite ce qui se passait, cherchant � se d�gager par tous les moyens, commen�ant � pleurer, la fillette ne put rien faire� Elle hurla de douleur lorsque la queue l'encula � sec�

Le gland �tait bien rentr�e, bien au chaud, serr� au maximum�

Elle pleurnichait� C'�tait g�nial, les spasmes des sanglots se transmettaient � sa verge� Cela l'excitait encore plus�

Il lui parla : " Ecoute petite encul�e, si tu ne te laisses pas faire, je te rattache sur le bidet toute la journ�e, par contre, si tu arr�te de chialer, je te baise rapidement�Apr�s je te donne quartier libre presque toute la journ�e.

Tu as compris petite salope ?. ".

Un "oui Monsieur" imperceptible et entrecoup� de sanglot sortit de la gorge de la supplici�e.

Il la besogna pendant plus d'un quart d'heure, � fond dans son petit cul, jusqu'aux couilles�

Sur le lit il l'�carta, la cambra dans �norm�ment de postures, � la limite du supportable. La petite encul�e �tait incroyablement souple, un vrai plaisir�

Puis il d�chargea son foutre dans son intimit� anale�

Sa vide couille faisait l'affaire, du moins pour l'instant�

 

 

Il tint parole, elle eut "quartier libre"� Il attacha la laisse de cou sur la gosse, cinq m�tres de cha�nes lui permettait de se d�placer dans toute la pi�ce et de faire ce qu'il lui avait ordonn�

 

-         Bon, tu prends une douche, et sans faire semblant, je contr�lerai apr�s si tu est bien propre. Ensuite tu va choisir un slip � dentelle ainsi q'une tunique, tu la mets. Puis tu regarderas tous les ustensiles sexuelles sur les �tag�res. Je veux que tu les connaisses, que tu les prennes en main� Car tu va tous les essayer un par un, dans ton petit cul ou ta petite chatte�

 

Il "l'aida" � choisir un slip � dentelle de couleur bleue�

 

La gamine resta prostr�e sur son lit toute l'apr�s-midi.

Il l'obligea � regarder la t�l�vision� Magn�toscope oblige, des k7 de film X� Elle rougissait tr�s souvent au spectacle de petites filles se faisant baiser par lui� Car sur l'�cran c'�tait bien lui� Toute sa collection personnelle y passait�

 

Elle r�agissait surtout aux sodomie� Le spectacle de petites filles se faisant enculer sous ses yeux la perturbait incroyablement. Les gamines se faisaient d�foncer le post�rieur sans m�nagement, hurlant de souffrance, pleurant sans arr�ter� Le montage vid�o �tait bien fait, une � une les fillettes se faisaient remplir le cul dans toutes les positions imaginables�

Puis vint les sc�nes de fellation,des petites femelles, toutes plus belles l'une que l'autre lui vidaient les couilles, une des gosses ne devait pas avoir six ans, la plus �g�e ne d�passait pas les onze ans. Toutes les techniques y passaient�

Les petites, apeur�es se remplissaient la bouche, faisant des efforts d�sesp�r�s pour ne pas recevoir un coup de martinet � boules m�talliques.

Engin que l'homme mena�ant tenait de sa main droite�

Elle avalait tout � la perfection, sans rien laisser, les exp�riences malheureuses devaient les avoir marqu�es�

C'�tait �a ou les supplices recommen�aient�

 

En d�but de soir�e il arr�ta brusquement la s�ance de cin�ma, il l'invectiva�

 

-         Petite salope, j'esp�re que tu as compris ce qu'il faut faire pour me faire plaisir. En somme c'est simple, tu dois faire tout ce que je te demande � la perfection, sans rechigner, ni marquer aucun m�contentement. Si tu veux me parler, tu l�ves le doigt et tu attends le temps qu'il faut que je te r�ponde� Bien sur si je veux� Tu es en p�riode de soumission totale, c'est � dire que pendant le temps que durera ton traitement, tu dois apprendre � ne plus dire non� Lorsque tu sera enti�rement soumise, tout redeviendra normal� si cela ne va pas les supplices reprennent pour te corriger.

 

La gamine en baissant les yeux leva un doigt timidement� Elle avait quelque chose � lui demander�

 

-         Va y je t'�coute�

 

" Monsieur, j'ai soif et faim, et puis j'ai envie de faire pipi".

 

 

-��� Pour la faim, c'est non, tu dois rester sans manger pendant encore 3 jours.Je veux que tes intestins soient vides�

Pour mieux les remplir � ma fa�on�

Tu verras c'est sp�cial� La seule nourriture que tu auras, c'est mon sperme� Deux ou trois doses par jour � avaler, je te conseille de ne pas en laisser, tu aspires � fond � chaque fois et tu n'auras plus faim.

Pour la soif, tu aura le droit de boire un verre d'eau � chaque fois que tu auras avaler toute ma pisse�

Pour ton pipi, tu pisses dans le bocal en verre au pied de ton lit� Si tu as soif dans la journ�e ou la nuit, tu bois ton urine�

Au passage je te demande de faire caca dans le plat en m�tal au pied de ton lit� Celui qui a une cloche herm�tique� Tu chies sur le plat et tu remet le couvercle m�tallique dessus� Tu verras pourquoi par la suite.

 

-         Bon si tu veux faire pipi ou caca, tu peux maintenant� Je te regarde faire.

 

La gamine les yeux hagards, se leva doucement de son lit, puis se dirigea imm�diatement au pied de celui-ci, elle s'accroupit� Rapidement un doux bruit de jet de pipi de petite fille se fit entendre, sonore et cristallin. R�sonant sur la paroi de verre du flacon de verre, telle une pisse dans un pot de chambre, mais en plus m�lodieux�

 

Il ne lui laissa pas trois secondes de r�pit�

 

-         Bon maintenant tu vas boire un coup � mon robinet� Tu te met � genoux dans la douche, et tu ouvres la bouche et tu bois� Je vais te pisser dedans, mais juste apr�s je vais te pisser dessus, partout, sur ton visage et tout ton corps� Et tu as int�r�t � te laisser faire sinon�

 

Il avait pris en main son sceptre de roi des salauds�

Le fouet � boules m�tallique mena�ait la fillette�

 

Apeur�e et vaincue, avec sur le visage une expression de lassitude extr�me la fillette se dirigea d'un pas tr�s lent vers la pierre en marbre blanc de la douche. Elle s'agenouilla, ferma les yeux et ouvrit sa bouche en grand.

 

-         Je veux que tu gardes les yeux ouverts pendant que je t'inonde de pisse, si tu les fermes, tu auras droit � une journ�e de supplices, et surtout n'oublie pas, tu bois tout ce que je te mettrais dans la bouche, sinon�

 

Elle ne mit pas une seconde � r�ouvrir ses yeux.

 

Rapidement il fut � c�t� d'elle� Sa bitte en main, il visa en premier sa bouche� Le jet dru et jaune clair frappa directement le fond de sa gorge

 

Les yeux exorbit�s, terroris�e la petite fille se laissa remplir la bouche�

Elle comprit tr�s rapidement que l'urine allait ressortir� Il fallait qu'elle avale vite� Sa gorge se contracta une fois, puis une autre dans un bruit qu'il adorait�Elle d�glutissait, avalant la pisse ti�de� Doux bruit de gorge de fillette avalant la pisse d'un m�le.

 

Il estima au bout de quelques secondes qu'elle �tait rassasi�e. Il mania sa queue de fa�on que le jet change de direction, d'abord en pratiquant de petits cercles dans sa bouche, puis de plus en plus grands�

 

-         Ouvre tr�s grand salope et n'avale plus, garde la pisse dans ta bouche�

 

Le jet d'urine remplit rapidement la cavit� buccale de la m�me, rapidement la pisse commen�a � couler sur son menton, puis sur sa poitrine�

 

Il visa le haut du visage� Le jet frappa son front en premier. Puis continuant � manier son robinet en tournant, �largissant le cercle, aucune partie du visage ne fut �pargn�e�

La fillette faisait des efforts incroyables pour garder les yeux ouverts, la pisse lui piquait les yeux� Elle les ferma plusieurs fois�

 

Maintenant il jouait avec sa queue, aucun endroit de son corps ne fut �pargn� La petite salope �tait souill�e enti�rement, et toujours sa bouche

grande ouverte remplit d'urine�

 

La vessie vid�e enti�rement le jet s'arr�ta�

 

-         Bon tu peux avaler la pisse

 

Le doux bruit de gorge se fit entendre � nouveau� Trois�Quatre fois� La gamine avala tout�

 

-         Bon maintenant je vais te donner ta nourriture, une bonne dose de sperme�

Il la prit par la main et alla s'asseoir sur le seul fauteuil install� dans la pi�ce. La gamine fut install�e � genoux entre ses cuisses grandes ouvertes�

 

-         Tu sais comment faire, � toi de jouer�

 

Emmanuelle contempla la bitte toute molle encore mouill�e de pisse � quelques centim�tres de sa bouche. Elle comprit imm�diatement, saisit la verge entre ses l�vres et commen�a � piper doucement�

 

C'�tait g�nial, il se d�tendit d'abord un maximum, son chibre tout mou � l'int�rieur de la bouche de la petite salope� Elle faisait bien son boulot, la petite bitte molle �tait bien mouill�e, le mouvement de va et vient se faisait r�guli�rement, le petit bout �tait serr� comme il fallait, sans trop de pression.

Le miracle se fit rapidement�En moins d'une minute la queue prit de l'ampleur et par cons�quent du volume et de la longueur�

Quelques instants apr�s la petite fille faisait travailler avec ses l�vres une bitte de belles dimensions�

 

La fillette regardait son bourreau prendre du plaisir, il g�missait tout haut� L'orgasme n'�tait pas loin�

 

-         Avale salope�

 

Le premier jet la surprit un court instant. Elle venait de prendre une premi�re gicl�e de jutte dans sa bouche�

Une deuxi�me, puis une troisi�me� La gorge de la petite fille se contracta un instant, puis elle d�glutit enfin� La gosse prenait son repas�

 

Pas une seule goutte ne ressortit� Elle aspira le tuyau de nombreuses minutes� Elle avait faim.

 

Il savait pertinemment que demain et apr�s demain cela serait pire, elle d�gusterait le sperme avec encore plus d'app�tit� Quand on a tr�s faim�

 

Il lui dit� C'est bien� Mais tu m'as d�sob�it tout � l'heure, tu as ferm� les yeux lorsque je te pissais dessus� Je dois te punir s�v�rement�

 

Mais avant tu va prendre une douche, tu sens la pisse et presque aussi mauvais que ta maman� Elle ne doit pas se laver souvent ta putte de m�re�

 

Le fait de penser � sa m�re et d'entendre parler d'elle en ces termes, fit qu'imm�diatement la fillette se remit � sangloter�

 

-         Pas de �a avec moi� tu auras un jour de plus de supplice

 

 

R�sign�e elle se doucha m�caniquement, tel un robot� Il la s�cha, puis la parfuma partout, surtout entre les cuisses, puis il lui ordonna de se diriger vers la vitrine d'accessoires �rotiques� Rapidement il lui tendit un slip � dentelle de couleur rose, sp�cial bouton pression au niveau des orifices annales et vaginales. Puis une mini tunique transparente de m�me couleur�

 

Puis saisissant un godemich� �lectrique vibrant de taille moyenne, il lui tendit l'accessoire�

 

-         Tu t'habilles, tu vas t'�tendre sur le lit et tu te rentres cette bitte dans ta chatte � fond, je ne veux presque plus rien voir qui ressort de ton bas ventre.

 

La fillette s'allongea sur le lit, puis les cuisses �cart�es, d�grafant les boutons pression de la petite culotte elle entreprit tr�s doucement sa p�n�tration vaginale�

 

Pendant ce temps le docteur fixait � nouveau le harnais de maintien et les sangles aux extr�mit�s de ses membres�

Les lacets de la gu�pi�re furent serr�s. La taille de la fillette, au niveau du ventre fut �cras� au maximum, laissant bien ressortir et saillir son cul et son bas ventre�

Puis vint le tour des cordelettes reli�es au trap�ze� Tout �tait pr�t.

Quant il le d�sirerait il manoeuvrerait les poulies pour soulever la gamine dans la position souhait�e.

-         Bon c'est trop tard, c'est moi qui mettrait la bitte dans ta chatte�Il fallait de d�p�cher� Lorsque je te dis quelque chose il faut le faire tout de suite� Je vais te punir imm�diatement�.

 

Il manoeuvra les cordes reliant les poulies des treuils� La petite fille se retrouva rapidement en hauteur, � 10 centim�tres de la surface des draps, bras et cuisses �cart�es en croix, perpendiculairement au lit. Le corps en U, ceci pour qu'elle puisse voir tout ce qu'il allait lui faire comme saloperies.

En m�me temps son soubassement, vagin et cul compris �taient offert aux accessoires.

 

Il alla chercher dans un tiroir de l'armoire une bande de sparadrap autocollant. Sa bouche fut rapidement recouverte par la bande adh�sive.

 

-         Je ne vais pas t'entendre hurler comme un cochon qu'on �gorge�

 

L'armoire � accessoires se trouvait � port�e de main, il fallait juste tendre la main pour saisir l'engin de torture souhait�

Le martinet simple pour commencer�

 

Bon tu n'y est pas arriv� tout � l'heure� moi je vais t'ouvrir la chatte, tu vas voir�

 

Il leva tr�s haut le manche� Visa juste l'entrejambe. Les lani�res s'abattirent avec une force inou�e, juste ou il fallait, entre ses cuisses relev�es, en plein sur les l�vres vaginales�

Un coup, deux coups, trois coups avec une violence inhumaine�

La petite fille hurlait et se tordait de douleur, les c�bles de fixation ne bougeait presque pas, son corps non plus�

L'ing�niosit� machiav�lique de l'appareil qui l'immobilisait avait fait ses preuves.

L'engin id�al pour torturer les petites filles�

 

Il contempla son �uvre, de jolies striures, empreintes de lani�re sur tout l'entrejambe. Les l�vres de chatte de la petite �tait toutes violac�es, ouvertes, baillant en grand� Le canal vaginal �tait visible, tout irrit�, couleur sang�

Le clitoris petit, mais bien visible �tait lui aussi rougit, tum�fi�

 

L'anus et les fesses de la gamine n'avait presque rien prit comme coup�

 

Tendant le bras vers l'armoire, il saisit un gros god en latex, le pr�senta au trou du cul offert, puis poussa sans m�nagement.

A sec� Tout en maintenant sa taille d'un bras, L'autre main vacante poussait � fond, cherchant � introduire le gros engin dans l'orifice annale�

Elle hurlait de douleur� Le sparadrap sur la bouche remplissait bien son office� Il pouvait appr�cier l'expression de souffrance et d'horreur sur son visage, sans en avoir trop de cons�quence pour ses tympans.

 

Il poussait de plus en plus fort, rien ne rentrait. Il fallait la lubrifier�

Tendant le bras � nouveau, il ramena un simple pot de "cr�me�".

Cr�� par lui ce m�lange avait fait ces preuves, un quart de pommade intime, un quart de cr�me pour les mains, un quart onguent antiseptique, et surtout le dernier quart� De la simple moutarde jaune� L'ensemble m�lang� et amalgam� pendant quelques minutes �tait parfait pour l'intimit� des fillettes, pas trop huileux, se tenant bien dans la main, ne coulant pas�

Le m�lange pouvait se garder pendant des mois � temp�rature ambiante.

Il lui en bourra le trou du cul, rentrant et tournant ses doigts � l'int�rieur pour l'enduire et en m�me temps d�tendre ses chairs�

Puis aussit�t reprenant sa d�marche pr�c�dente pour rentrer le gros god, il repoussa � fond, sans aucune pr�caution�

Il la d�chirait� Ou cela rentrait�

Les cinq centim�tres de diam�tre d�form�rent � fond le sphincter du rectum, puis d'un seul coup l'anus forc� laissa rentrer le gland de l'instrument�

 

Aussit�t il s'arr�ta pour contempler l'expression de stupeur de sa supplici�e�

Les yeux exorbit�s en grand, les stigmates d'une douleur extr�me sur son visage.

 

Il maintint l'engin sans bouger pendant quelques minutes� Sans arr�ter de la regarder, il voulait surprendre l'instant ou la fillette allait en plus de la douleur de son �cart�lement, ressentir celle de la cr�me moutarde qui allait lui chauffer l'int�rieur de son post�rieur�

 

En premier elle commen�a � bouger sa t�te de gauche � droite plusieurs fois, puis vint le bassin, qu'elle chercha � soulager par tous les moyens�

Les cris att�nu�s sous le sparadrap devinrent encore plus inhumains�

Des convulsions envahissaient tout son corps, son visage devint tout rouge�

 

C'est le moment qu'il choisit pour commencer � faire travailler le godemich� dans son intimit� anale� Il poussa l'engin d�licatement, centim�tre par centim�tre jusqu'� aller � la moiti� de sa longueur, puis il commen�a sa man�uvre de retrait, jusqu'au gland qu'il laissait bien en place dans l'anus� Puis la tringlette commen�a r�guli�rement, va et vient d�licat et m�ticuleux pour sodomiser le tout petit trou du cul �cartel� � fond�

 

La fillette g�missait et gesticulait de souffrance de plus en plus, tous les stigmates de l'horreur sur son visage�

 

Il la contemplait avec un ravissement in�gal�, sa queue bandante comme jamais, gorg�e de sang, pr�te � exploser�

Sachant pertinemment que se branler maintenant pour atteindre l'�jaculation lui retirerait tout plaisir malsains�

Il fallait tenir des heures sans se masturber, pour obtenir un maximum de plaisir� La torture pendant des heures encore�

De longues heures horribles pour elle� De longues heures de plaisir pour lui�

 

Cela coulissait de mieux en mieux, le petit cul prenait de plus en plus de longueur, douze centim�tres rentraient et ressortaient doucement� Sur cinq centim�tre de diam�tre. Cela faisait un dr�le de morceau dans le cul pour une fillette de huit ans � peine.

���

Comment un cul de cet age pouvait-il s'ouvrir comme �a, aussi largement, et prendre une longueur aussi cons�quente� Il suffisait de remarquer le diam�tre et la longueur d'une merde que faisait une fillette de cet �ge pour comprendre que ce qui pouvait sortir� Bien sur pouvait rentrer�

Comme docteur, il en avait vu des merdes de gamines� C'�tait m�me ce qui lui avait envie d'essayer sa premi�re fillette�

Il avait commencer � prescrire � ses petites patientes un examen des selles, puis patiemment il avait not� l'�ge et les dimensions� Il avait vite compris. A l'age de sept ans, tout �tait faisable, ou presque, alors � presque huit ans�

 

Endormir les fillettes que lui confiaient ses patientes le mercredi, les sodomiser pendant leur sommeil, rapidement ne lui suffit plus�

La torture et le sadisme exige de l'intelligence, du savoir faire. On ne les pratiques bien que lorsqu'on a appris � se dominer � tout point de vue�

 

La moiti� de la longueur du godemich� ne lui suffisait pas, il continua sa pouss�e un peu plus loin dans l'anus. A chaque all� retour, il gagnait un centim�tre en longueur� L'expression de ses yeux et la secousse faite par son corps au moment ou l'engin appuyait � fond pour se frayer un peu plus de longueur �taient �difiants. La gosse empal�e, perc�e par le pieu de latex �tait au bord de l'�vanouissement� Son rythme cardiaque s'�tait brusquement acc�l�r� Il calma le jeu pendant quelques minutes. La petite encul� r�cup�ra un peu, sa respiration s'apaisa.

 

Pendant ce temps il contempla sa chatte tum�fi�e, il joua avec ses grandes l�vres ouvertes, les d�gagea enti�rement� Pour faire bien appara�tre son canal vaginal� Il enfon�a son majeur � fond dans le conduit� Quelle �tait chaude� Il le retira, puis � l'aide de deux doigts il comprima son petit clitoris, le pin�ant tr�s fort. La petite femelle se contracta aussit�t.

Selon lui elle r�agissait bien, mais pour la suite, il fallait que son clitoris double au minimum de diam�tre� Il n'�tait pas assez d�velopp� et irrit� � son go�t. La cr�me moutarde n'�tait pas loin� Une petite noisette recouvrit rapidement le petit bourgeon tum�fi� Puis il se dit que remplir le conduit vaginal aussi pourrait acc�l�rer le processus� Ses quatre doigts remplis d'onguent bourr�rent la petite chatte jusqu'� la garde.

Il s'essuya les mains sur ses petits t�tons, il n'avait plus qu'� attendre�

Moins d'une minute apr�s les effets se firent ressentir, comme pour le trou du cul, mais en plus fort� Son corps fut secou� de spasmes, et de r�flexes incontr�lables. Il acc�l�ra la cadence d'enculage du godemich�, le poussant encore plus loin� Il y �tait enfin, son rectum avait enti�rement aval� la grosse bitte en latex� Brave petite fille de huit ans encul� � fond�

Il travailla avec le godemich�, le ressortant presque compl�tement, puis le rentrant � fond � nouveau� Quelques filament de sang perlaient sur le chibre�

 

Son trou du cul perdait un peu d'h�moglobine, pas �norm�ment c'�tait rassurant pour elle. Il lui avait presque d�fonc� le trou du cul.

 

La fillette hurla et se d�mena horriblement pendant cinq bonnes minutes, puis un ph�nom�ne bizarre se produisit, tout d'abord elle se calma un peu, puis elle commen�a � haleter et � g�mir� Des g�missements langoureux, et des contractions avec le bas de son ventre�

 

Le docteur savait ce que cela voulait dire.

Il l'avait d�j� remarqu� sur une fillette qu'il avait fait souffrir de longues heures avant Emmanuelle� Le cerveau de la gamine avait d�connect� la souffrance� Trop c'�tait trop�

Il ne restait qu'une forme de celle-ci� Remplac�e par une jouissance m�canique et automatique.

Le clitoris pouvait �tre un petit organe de souffrance ou de plaisir, ou les deux � la fois�

Faites l'exp�rience : Immobilisez compl�tement les quatre membres d'une femelle, faite la jouir jambes �cart�es � fond, en lui su�ant le clitoris,jusqu'� l'orgasme�

La femelle prend son pied comme jamais, mais au lieu d'arr�ter lorsqu'elle � jouie, essayer de continuer de lui sucer le clitoris pendant tr�s longtemps�

Au bout d'un quart d'heure, elle va vous supplier d'arr�ter, pleurer, faire une crise de nerfs, et enfin souffrir� Idem pour le bout des seins�

Avec les petites filles c'est pareil bien sur� Mais si vous commencer par la souffrance, le ph�nom�ne s'inverse, la jouissance appara�t�

 

Emmanuelle commen�ait � jouir, m�caniquement� l'expression de ses yeux avait chang�, la pupille s'�tait dilat�e, elle essayait de soulever ses reins par �-coups, comme pour recevoir un coup de bitte dans son vagin.

Ses g�missements ne trompaient pas, la petite fille prenait son pied�

Il v�rifia avec ses doigts l'�tat du canal vaginal� Elle mouillait copieusement.

Son clitoris avait tripl� de volume,C'�tait le moment de passer � l'�tape suivante�

 

Le petit bourgeon tout rose, devenu turgescent �tait pr�t � �tre transperc� de part en part, a l'aide d'une tr�s fine aiguille�

 

Il laissa le godemich� en place � fond dans l'anus, puis il se tourna vers l'armoire�

Une petite seringue contenant un produit de couleur ambre avait �t� pr�par� par ses soins, au bout de celle-ci une aiguille de fine taille avait �t� rajout�

 

La gamine jouissait toujours� Elle ne remarqua m�me pas le docteur immobilis� son petit bourgeon entre deux doigts� De l'autre main il pr�senta l'aiguille juste au milieu du clitoris gonfl�, et d'un geste pr�cis il appuya � fond�

 

Le petit morceau de chair fut transperc� de par en part par l'aiguille�

 

La fillette se crispa en un instant, arr�ta de remuer quelques instants son bassin, mais continua � haleter de plus belle�

 

Il fit coulisser l'aiguille dans le petit bourgeon plusieurs fois, comme si il voulait agrandir le trou, puis il fit le geste m�dical qu'il fallait� Il retira tr�s doucement l'aiguille, mais pas compl�tement, laissant le bout de celle-ci dans le morceau de chair� Puis il pressa d�licatement le piston de l'aiguille, injectant un peu de produit dans le clitoris� La fillette s'immobilisa � nouveau et tr�s rapidement elle recommen�a � �tre excit�e�

Il r�injecta plusieurs fois du produit dans le petit organe, puis il repoussa l'aiguille � fond pour la faire ressortir de l'autre c�t�, comme il l'avait d�j� fait� Il retira la seringue et laissa la petite aiguille dans son bourgeon transperc�e.

 

Pendant cinq minutes il r�activa son enculage avec le godemich�, la fillette prenait toujours son pied�

 

Il contempla son �uvre, r�sultat de l'injection, le clitoris avait encore doubl� de volume, gros maintenant comme un petit bout de doigt de la gamine�

Il allait maintenant pouvoir le transpercer � nouveau et y mettre un anneau qui y resterait � demeure.

 

C'�tait l'assurance pour lui d'une d�pendance permanente de la gamine, la fillette allait ressentir sans arr�t son clitoris, en gros le contraire de l'excision�

 

En plus il pourrait y fixer des poids, ou s'en servir comme d'une �lectrode, si il d�sirait la travailler � l'�lectricit�

Il prenait son pied � contempler l'aiguille pendu au clitoris de la petite fille� Il ne put r�sister � tirer l�g�rement dessus, plusieurs fois� C'�tait l'id�al pour faire ressortir encore plus son bourgeon.

 

Mais le travail n'�tait pas fini� Il pr�para l'anneau qu'il allait fixer � demeure, une petite boucle d'oreille. Pas si petite que �a�

 

 

Il pr�para la perceuse pr�vue � l'origine pour percer les oreilles, ce genre d'outil faisait tourner tr�s vite une petite fraise. Normalement cela ne faisait pas mal dans l'oreille, mais dans le clitoris c'�tait horrible� Il avait d�j� pratiqu� deux gamines�

Il connaissait le r�sultat.

Elle allait s�rement avoir tr�s mal� Surtout qu'il voulait faire un trou minuscule, mais bien fait, capable de supporter un anneau de petite taille, mais suffisamment solide. Bien sur en rapport avec son petit bourgeon�

De toute fa�on immobilis�e comme elle �tait, elle ne bougerait pas plus que tout � l'heure�

Il fallait absolument la percer lorsque la salope �tait en �rection, sinon impossible � faire.

 

La gamine continuait � jouir, c'�tait le moment� Il r�activa son bourgeon quelques minutes, et joua en m�me temps avec le godemich� dans son cul.

 

D'un geste sur il retira l'aiguille du petit bourgeon en �rection, puis il amena la petite perceuse juste au dessus et appuya sur l'interrupteur.

Un bruit d'appareil de dentiste, aigu et strident se fit entendre� Il saisit le clitoris entre deux doigts, le roula et tira dessus un peu pendant quelques minutes� La petite salope appr�cia, elle gloussa de plaisir. Il gagna encore un peu en turgescence. La minuscule fraise tournant � une vitesse vertigineuse s'approcha du petit organe sensible et entama sa perforation.

Elle hurla de douleur� L'engin continua � percer� En deux secondes il avait transperc� le petit clitoris� Le minuscule for�t ressortait de l'autre c�t�. Pour permettre une caut�risation directe il fallait usiner le trou effectuer dans la chair, ceci pour permettre que la chaleur d�gag� par la fraise aseptise directement, cela permettait aussi d'�largir le trou ainsi effectu�, pour �viter qu'il ne se rebouche�

La gamine avait cambr� ses reins, ses yeux �taient grands ouverts, elle ne bougeait plus, paralys� par la souffrance et la peur.

Il laissa tourner la fraise dans le trou effectu� deux bonnes minutes, puis il la retira du petit organe, �teignit la perceuse. Il reprit une autre petite seringue munie d'une tr�s fine aiguille pr�par�e � l'avance, puis piqua directement dans le clitoris de la petite fille, puis injecta le peu de produit que contenait le r�cipient.

Il attendit quelques minutes. Le clitoris perc� doubla � nouveau de volume. Il prit l'anneau ouvert dans une pochette, le pla�a d�licatement � sa place d�finitive, dans le trou du petit bourgeon. La pince � sertir enserra l'anneau, il appuya � fond� L'anneau �tait plac�, rien ou presque ne pourrait le retirer, il faudrait un outil sp�cial, ou le couper avec une pince�

Il joua avec plusieurs minutes avec un doigt c'�tait agr�able au toucher, il tira dessus assez fort, faisant bouger le petit organe dans le sens qu'il d�sirait�

La petite se mordit les l�vres un instant, elle �tait au bord de l'�vanouissement.

Il pensa un instant qu'on devrait poser cet accessoire sur toutes les petites filles�

Il rangea ses outils, puis reprit sa sodomie avec le godemich�

 

-         Bon je vais te retirer le sparadrap de ta bouche, je ne te conseil pas de gueuler. Si tu veux tu pourras parler�

 

D'un coup sec il retira le morceau obstruant sa cavit� buccale.

 

-         Oh Monsieur j'ai tr�s mal, arr�tez� Je ferai tout ce que vous voudrez, mais ne me faites plus mal�

 

Pour toute r�ponse, il rejoua avec le godemich� ins�r� dans son trou du cul depuis d�j� pas mal de temps� Il le repoussa � fond dans le beau petit cul.

 

-         Au lieu de dire des conneries petite salope, pense uniquement � ta jouissance� Tu as vu comme tu as aim� ce que je t'ai fait tout � l'heure. Tu as joui pour la premi�re fois de ta vie. Je vais te poser la question qui m'int�resse vraiment, j'esp�re que tu vas y r�pondre sinc�rement�

 

-         Pr�f�re tu �tre prise par devant ou par derri�re, c'est � dire par ton minou, ou par ton derri�re ?.

 

Le chibre en latex rentrait et ressortait sans arr�t du petit cul� La r�ponse vint enfin�

 

-         Par devant �a fait moins mal que par "le derri�re"�

 

Pourtant, � voir la d�marche de ta m�re, je suis sur qu'elle aime aussi se faire enculer, tu n'es peut �tre pas comme elle�

 

-         Bon je vais te rebaillonner, j'ai encore du travail � effectuer sur ton joli petit corps, sois courageuse et laisse toi faire compl�tement, m�me si cela fait mal� Essaye de trouver du plaisir comme tu l'a fait tout � l'heure et tout ira rapidement mieux pour toi.

 

Sans plus parler il recolla une bande adh�sive sur la petite bouche�

 

Il rejoua pendant une bonne dizaine de minutes avec le godemich� install� � demeure dans son post�rieur, le sortant presque enti�rement�

Laissant uniquement le gland dedans, mais tirant l�g�rement dessus, jusqu'� presque le faire ressortir�

 

 

Puis il le bloquait, attendait quelques secondes et contemplait avec plaisir la petite rondelle de l'anus ouverte encore plus, d�form�e au maximum�

Puis d'un seul coup il repoussait le god � fond, recommen�ant sa tringlette en poussant un peu � chaque fois pour regagner les douze centim�tres dans ses intestins�

L'anus ouvert sur cinq centim�tres de diam�tre devenait de plus en plus souple, tout rougi par l'irritation.

 

Il laissa le god � fond dans le trou du cul�.

 

-         Comme tu pr�f�res �a,je vais m'occuper maintenant de ton petit vagin�.

 

Il prit sur l'�tag�re le sp�culum� Le grand mod�le, celui pr�vu pour inspecter l'ut�rus des femmes, puis perplexe il le reposa�

La gamine �tait toujours suspendu, �cartel� � environ trente centim�tres au dessus du lit, perpendiculairement � celui-ci�

Pas terrible comme position�Avec les tringles fix�es au plafond et le syst�me de poulie il pouvait tout faire� La petite fille �cartel�e fut amen�e au centre de la pi�ce dans la m�me position, corps inclin�e en U�

Il joua sur les cordelettes pour parfaire la position, tira l�g�rement sur celle du bustier et en profita pour �carter les jambes encore plus� Cela ne lui plaisait pas encore� Il voulait avoir acc�s � son soubassement facilement, avoir sa chatte �cart� � fond devant lui� Il fixa sur chaque cuisse un bracelet de cuir, prit deux cordelettes sur des poulies libres, les attacha� Puis il commen�a � faire bouger les treuils� C'�tait bien, mais il pouvait faire mieux� Il alla chercher deux poids de 1 Kilogramme, en attacha un sur chaque bracelet en cuir des cuisses�

Les cuisses d�j� ouvertes � fond s'�cart�rent encore plus, � la limite du supportable� La gamine se mordit les l�vres, c'�tait la bonne position. La salope de huit ans souffrait le martyre�

Il prit une chaise, s'installa entre ses cuisses� Sa chatte juste � la hauteur de sa bouche� Il pouvait la sucer, ou rentrer tous les instruments qu'il d�sirait sans aucun effort.

Les grandes l�vres d�j� rougies et irrit�es, laissaient appara�tre le canal vaginal� C'est lui qui allait s'ouvrir � fond� Comme jamais il ne l'avait �t�.

Le clitoris perc� par l'anneau, tum�fi�, boursoufl� par l'op�ration de tout � l'heure le tenta� L'anneau en or bien en place �tait tr�s joli�

Il tira dessus assez fortement� Cela tenait bien�

La fillette cambra ses reins de souffrance.

Il pr�senta le sp�culum ferm� dans le trou de chatte, poussa d�licatement � fond� Il maintint l'engin d'une main pendant que de l'autre il commen�a � serrer la vis� Un tour, deux tours� Le petit trou s'ouvrait devant ses yeux.

 

Justement ses yeux� Selon lui�Pas assez de lumi�re pour contempler le beau spectacle. D'un simple geste de la main il alluma le commutateur qui commandait le lampadaire allog�ne� Le r�flecteur �tait bien dirig�, une lumi�re blanche intense �claira le soubassement de la petite fille.

Il serra la vis de l'�carteur, s'arr�tant lorsque le diam�tre de la cavit� fit cinq centim�tres� Il savait sans probl�me qu'il pouvait aller encore plus loin� Il verrait tout � l'heure�

Le spectacle �tait grandiose, le tissu vaginal �tait d'un beau rose immacul�.

La gamine les yeux effar�s, se demandait ce qu'il allait se passer�

Elle n'eut pas longtemps � attendre� Il se tourna vers l'�tag�re, saisit une seringue vide munie d'une aiguille fine. Puis d'un geste lent et pr�cis, il guida l'instrument dans le vagin de la gosse� Il piqua bien au fond, rentrant l'aiguille sur un bon centim�tre, juste pour jouer au docteur� Elle n'eut aucune r�action� Il ressortit l'aiguille et s'amusa � piquer � des endroits diff�rents, quelques gouttes de sang perl�rent dans le conduit vaginal�

Cela ne l'amusa m�me pas, elle n'avait pas assez de r�action�

Il ressortit l'aiguille� Se posa la question, ou piquer la petite salope�

Le clitoris avait �t� assez ab�m� pour l'instant, pour la suite il valait mieux le laisser cicatriser et ne pas toucher � l'anneau implant�.

L'id�e lui vint rapidement� La petite poitrine�

Une seconde apr�s s'�tre mis debout, l'aiguille fut pos�e juste sur le bout d'un t�ton�Transperc� de part en part en une seconde�

La gamine eut un soubresaut inimaginable� Voil� qui �tait bien�

Il retira l'aiguille, se dit qu'une seule piq�re �tait d�risoire� Il posa la seringue, ouvrit une petite boite remplit d'aiguilles de toutes dimensions�

En prenant une de taille moyenne il honora � nouveau le petit t�ton, le transper�ant de part en part� Nouveau soubresaut et hurlement de douleur compl�tement �touff� par le sparadrap�

Du beau travail de torture�

Il laissa l'aiguille dedans� Il avait trouv� Le jeu allait consister � piquer le sein de la gosse, en descendant de plus en plus�

Adroitement, d'une main il tira sur la premi�re aiguille de fa�on � faire saillir la toute petite poitrine� Le mamelon se dessina l�g�rement. L'autre aiguille rentra juste un centim�tre dessous, en plein dans la mamelle�

La supplici�e hurlait en secouant la t�te de gauche � droite.

Puis vint rapidement deux autres aiguilles dispos�es de telle fa�on que le sein de la fillette soit �tir� et maintenu artificiellement en extension par la derni�re pointe plac�e�

Le sein travaill� paraissait beaucoup plus volumineux que l'autre�

D'une main il souleva � fond toute les aiguilles, tirant tr�s fort sur le sein�

Il pla�a trois autres aiguilles � cent vingt degr� l'une de l'autre, plus grosses et plus longues que les autres dans la glande mammaire� Il rel�cha sa traction, le sein artificiel lev� ne retomba pas� Les aiguilles l'en emp�chaient.

 

La fillette de huit ans donnait l'impression d'avoir un sein de gamine de douze ans, pendant que l'autre �tait bien celui d'une petite fille de huit ans�

Superbe poitrine artificielle�

Le regard de la m�me n'�tait plus normal, vide d'expression� Elle hurlait, pleurait pendant plusieurs minutes, puis g�missait de douleur quelques instants� Et le cycle recommen�ait�

Il lui parla� Juste une petite phrase :

 

-         Bon c'est pas tout, je vais m'occuper de ton autre sein�

 

Et le supplice identique fut pratiqu� sur l'autre sein� L'une apr�s l'autre les aiguilles transperc�rent le mamelon, le remontant � chaque fois�

Il lui fallut un bon quart d'heure pour rendre le sein de la fillette identique �l'autre� Peut �tre un peu mieux r�ussi artistiquement parlant�

 

La gamine ne bougeait plus, silencieuse elle regardait fixement le plafond, les yeux grands ouverts� Seule sa respiration haletante lui faisait dire qu'elle vivait encore.

 

Le docteur recula de trois bon m�tres pour savourer la sc�ne�

La fillette �cartel�e, cambr�e en hauteur, un godemich� imposant dans l'anus, plus un sp�culum �cartant son vagin au maximum� Sans oublier le final�

Le clitoris et son joli anneau dor�, et surtout les aiguilles transper�ant les petits seins, qui maintenant pointaient artificiellement vers le plafond.

Bon cela suffisait pour l'instant, dans une heure il avait rendez vous�

 

Il retira les accessoires de ses parties intimes�Pour le godemich� dans l'anus, il tira d'un seul coup dessus� Il joua avec la vis du sp�culum dans le vagin, avant de le retirer compl�tement, lui vint l'id�e de l'�carter au maximum�

L'ouverture faisait d�j� cinq centim�tres de diam�tre� Il vissa encore�

L'ouverture gagna encore deux centim�tres� Il prit une r�gle gradu�e et mesura le diam�tre de l'orifice forc� par l'�carteur� Sept centim�tres, pour une gamine de huit ans, c'�tait colossale�

Puis un peu � regret il desserra l'engin compl�tement et le retira�

 

 

Il voulut profiter de l'�lasticit� provoqu� par le sp�culum, sa main s'approcha de la belle petite chatte referm�e, ses doigts repli�s s'enfonc�rent dans le vagin� Ses doigts rentr�rent presque � fond et jou�rent � l'�carteur, s'ouvrant au maximum dans la cavit� vaginale � C' �tait chaud et tout humide�

La moiti� de sa main disparut dans le minou de la fillette� A huit ans elle pouvait prendre les plus grosses bittes sans aucun probl�me�

Les ficelles des tringles furent abaiss�es, tr�s rapidement la supplici�e reposa � nouveau sur le lit. Il d�fit toutes les attaches, remit uniquement la laisse de pied� La cha�ne fix�e par un anneau � la cheville d'un c�t� et scell� au mur de l'autre mesurait bien 4 m�tres.

Il alla remplir un verre d'eau au robinet, puis avec une certaine d�licatesse, il retira le ruban adh�sif de ses l�vres, puis glissant un bras sous les �paules de la petite il porta le verre plein � la commissure de ses l�vres�

Un peu de liquide se r�pandit dans la petite bouche� Elle d�glutit.

Puis voyant que l'eau �tait bonne� Avec empressement elle but avidement la moiti� du contenu du verre�

Elle aurait bien tout bu, si il ne l'avait emp�ch� d'ingurgiter le reste.

Elle ouvrit les yeux doucement� Il lui parla doucement�

 

-         Bon avant que je parte, tu vas prendre ton repas� C'est l'heure de ta jutte� Tu vas ouvrir ta bouche, et faire coulisser ma bitte, puis tu avaleras mon sperme sans en laisser�

 

Il la d�pla�a un peu, la remonta un peu pour lui placer la t�te sur l'oreiller.

Juste dans la position id�al� Tr�s rapidement il se retrouva � califourchon au niveau de son visage. La bitte bien droite for�a la petite bouche ti�de�

Les yeux grands ouverts, la gamine enroba l'engin qui commen�a � coulisser, aid�s par les l�gers coups de reins que le docteur donnait�

Il �jacula peu de temps apr�s� Elle d�gurgita rapidement, tout y passa sans rechigner. Elle avait trop mal, trop peur aussi pour se rebeller, c'�tait fini�

Il pouvait lui dire de faire n'importe quoi, elle le ferait�

La gamine avala tout, pompa avidement, faisant bien attention de ne rien laisser� Elle craignait sa col�re�

Il laissa sa queue "d�bandante" dans sa bouche de longues minutes, il ce dit que c'�tait tr�s agr�able� Ressentir peu � peu sa verge mouill�e se ramollir, toujours activ� par le mouvement des l�vres d'une petite fille, quel d�lice�

Il se retira brusquement d'elle�

Avant de partir et de refermer la porte, il jeta un dernier coup d'�il sur sa proie� La fillette dormait, �puis� de souffrance�

Il sourit, les seins d�form�s, piqu�s par les aiguilles ne lui donnaient aucun remord, l'anneau dans le clitoris non plus� Il n'en �tait plus l�.

Il n'�tait plus dans le monde des "humains" depuis longtemps�

 

D�j� six jours� La fillette �tait de plus en plus soumise. Il la pratiquait par tous les trous. La faim la tenaillait, aucun aliment solide n'avait perturb� son conditionnement. Elle recevait juste ses doses de sperme, buvait son urine quand il lui demandait� Et quand elle �tait sage, un verre d'eau de temps en temps.

La soumission totale.

Le docteur lui prodiguait les soins m�dicaux appropri�s, lui d�sinfectant deux fois par jour sa belle petite poitrine, piqu�e et transperc�e par les aiguilles�

Il l'avait mise sous antibiotique, � haute dose, aucune infection ne pourrait se d�clencher�

La petite "chienne en laisse", ob�issait au doigt et � l'�il : " Baisse toi, �carte tes jambes, suce la bitte, retourne toi, avale, debout, couch�, l�che, � genoux�".

Deux semaines de gagn�es. Pour arriver � ce stade d'habitude les petites filles mettaient environ trois semaines� Six jours c'�tait tr�s bien.

La gamine �tendue sur son lit, en nuisette, petite culotte � dentelle attendait les ordres du m�le�

En arrivant, d'une fa�on un peu plus gentille que d'habitude, il s'adressa � elle : " Bon c'est bien, tu me plais, tu es soumises, tu fais tous ce que je dis�

En plus de �a tu es jolie� Je crois que je vais te laisser la vie sauve longtemps.

Peut �tre m�me pour toujours�

Mais je te pr�viens si une fois tu ne fais pas ce que je te dis, je recommence�".

Il continua : " tu vas garder les aiguilles dans les seins quelques temps, j'ai envie de jouer tr�s souvent avec�

L'anneau sur ton clitoris, c'est pour la vie que tu l'a�

Bon aujourd'hui, je vais te donner quartier libre, tu va pouvoir faire ce que tu veux, je t'ai amener des bandes dessin�es et aussi une boite de g�teaux�

Tu dois avoir faim� Mais avant tu vas faire ta pipe du matin, comme d'habitude, sans rien perdre de la jutte, tout avaler comme d'habitude�

La fillette contempla la boite de g�teaux avec envie� Puis automatiquement elle se mit � genoux, bouche ouverte en grand, pr�te � recevoir la bitte du docteur�

Quelques secondes apr�s la queue coulissait dans la petite bouche.

Emmanuelle s'activait � travailler la queue avec plus d'attention que d'habitude, une r�compense gourmande l'attendait�

Le docteur entreprit d'ouvrir le paquet de g�teaux, devant les yeux de la fillette�

 

Il prit une madeleine, joua avec, la fit sentir � la gosse, puis, s'arrangea pour que celle-ci effleure ses l�vres � chaque passe que faisait la gamine�

Il lui dit : " Tu mets une madeleine dans ta bouche, puis sans l'avaler tu la m�ches, tu la m�langes avec ta salive, puis te re-pipe la bitte� �a va �tre bon�

La fillette resta interloqu�e une seconde, puis rapidement la madeleine fut happ�e, puis m�ch�e�

La petite fille d�visageait son bourreau, sans comprendre. Elle m�cha une bonne minute, puis fit ce qu'il lui avait demand� Elle engouffra � nouveau la bitte.

La sensation �tait plaisante, en plus de la chaleur et de la moiteur de la cavit� buccale, il ressentait la p�te mouill�e et un peu rappeuse du g�teau lui gratter d�licatement les parties les plus sensibles de son gland.

C'�tait vraiment g�nial�

Quelques minutes apr�s, la salive aidant, la texture de la madeleine avait chang�e, encore plus mouill�e, la bouillie du g�teau faisait magnifiquement coulisser la bitte�

Par crainte de sa col�re, la petite fille n'avait toujours rien aval�.

 

L'�jaculation n'allait pas tarder � venir, il pr�vint l'enfant : " Tu vas garder toute la jutte dans la bouche, la m�langer compl�tement avec le g�teau, tu avaleras l'ensemble seulement quand je te le dirai ".

 

Quelques secondes apr�s le sperme gicla abondamment dans la petite bouche�

La m�me re�ue six ou septjets, tout en continuant � piper�

Les joues gonfl�es du m�lange de sperme et de madeleine �taient d�form�es�

Les sensations au bout de sa bitte �taient super, d�gueulasse � souhait�

 

Il donna enfin l'autorisation � la petite fille d'avaler doucement, en go�tant, il fallait qu'elle d�guste le m�lange�

 

La gosse avala d'abord doucement, la premi�re gorg�e de mati�re descendit d�licatement dans son gosier, un bruit unique de d�glutition se fit entendre�

 

La gamine avait tr�s faim, elle avala plus rapidement, puis de plus en plus vite�

Le m�lange fut ingurgit�rapidement, la petite langue fouilla � l'int�rieur pour ramasser encore un peu debouillie " sperm�e ". Puis bient�t le petit bout rose ressorti, passa sur ses l�vres � la recherche d'un peu de sperme et de g�teau.

Elle d�gusta quelques minutes, puis ayant toujours aussi faim, elle entreprit de l�cher la bitte recouverte de m�lange� Elle ne laissait rien, la gamine se r�galait tout en nettoyant la belle queue bien dure. Quelques minutes apr�s tout �tait consomm�e, la verge reluisait de la salive de la gosse, tout �tait propre�

 

Il lui tendit enfin le paquet de g�teau et tout haut lui annon�a la bonne nouvelle : " Tiens tu peux tout manger, tu l'a bien m�rit�".

 

La petite fille comme un animal affam� se pr�cipita sur le paquet de madeleines et ingurgita la premi�re en quelques secondes�

 

Il la laissa manger, d�posa les livres, puis referma � clef la lourde porte capitonn�e derri�re lui.

 

 

La maman d'Emmanuelle

 

 

L'id�e malsaine lui trottait dans la t�te depuis quelques heures�

La maman d'Emmanuelle l'avait elle boucl�e, ou avait elle pr�venue la police ?.

Il se rem�mora la tr�s jeune femme, elle �tait pas mal du tout...

Alcoolique, peut �tre un peu cam�e et si �

La ville la plus proche �tait � vingt kilom�tres� Il s'arr�ta pr�s d'une cabine t�l�phonique, puis composa son num�ro de t�l�phone� Il �tait vingt deux heures, elle devait �tre chez elle�

La sonnerie retentit 8 fois, il allait juste raccrocher lorsqu'une voix f�minine endormie et pas vraiment claire ni fra�che fit entendre le" all� " tant attendu�

 

-         Bonsoir, vous n'avez pas pr�venu la police ?

 

En une seconde la maman d'Emmanuelle avait compris qui l'appelait�

 

-         Ma fille, ou est ma fille� Qu'en avez vous fait, ou est elle ?. Passez la moi au t�l�phone, je veux lui parler� Ou est elle ?�

 

L'homme reprit calmement : " Je vous ai pos� une question, avez vous pr�venu la police ?.

 

La Femme se ressaisit aussit�t et fit entendre un : " NON ", entrecoup� de sanglots�

 

-         Votre fille va bien, vous pouvez la revoir tr�s rapidement, pour �a il va falloir que vous fassiez ce que je vous dis� Sans discuter, et sans chercher � comprendre. Je vais vous faire une proposition, vous verrez votre fille tous les jours si vous accepter� Vous �tes d'accord ?

 

Tout en pleurnichant la jeune femme fit entendre un l�ger "oui" de consentement.

 

Il reprit aussit�t :

 

-         Vous allez me laisser parler sans m'interrompre. Pour voir votre fille, il va falloir que vous fassiez un petit travail pour moi�Vous allez me procurez une autre gamine. Vous allez vous d�brouiller toute seule�

Et pas n'importe qu'elle fillette, il faut qu'elle est entre sept et dix ans au maximum, jolie, fine, encore plus jolie que la votre� Demain c'est mercredi, vous avez toute la journ�e pour vous en procurez une� Je vais vous donner une id�e des lieux ou trouver ce genre de marchandise. Galerie marchande, square, cin�ma, f�tes foraines, man�ges. D�brouillez comme vous voulez, il m'en faut une demain soir, sinon vous ne reverrez jamais Emmanuelle. Bien sur, vous allez la kidnapper et sans vous faire prendre� Quand vous l'aurez � disposition vous vous rendrez avec votre voiture, dans la foret de Cuissage, � dix kilom�tre de chez vous. En plein bois, il y a le ch�teau de Saute vierge. Juste en face du ch�teau, il y a une all�e foresti�re, vous la prendrez et continuerez environ un kilom�tre, jusqu'� une barri�re� On ne peut pas aller plus loin� Votre fille m'a dit ce que vous avez comme voiture, je connais aussi sa couleur.

Je vous contacterai dans la soir�e, M�me si il faut attendre tard dans la nuit, vous m'attendez� Si tout va bien je prendrai livraison de la petite et on ira voir votre gamine. En plus je vous donnerai la m�me somme que je vous ai donn� il y a quelques jours� Pour la gamine a enlever, je vais vous donner un tuyau, pour �tre tranquille vous lui faites boire une boisson m�lang�e avec deux cachets de somnif�re�

N'h�sitez pas, deux comprim�s conviennent parfaitement�

Puis il �num�ra rapidement ce que la jeune femme avait besoin comme accessoires pour l'enl�vement�

 

-         Avez vous tout compris, et �tes vous d'accord ?.

 

Pendant toute l'explication, la jeune femme n'avait fait entendre que des sanglots. Elle g�mit en articulant un "oui" presque inaudible, puis presque aussit�t, elle reprit en parlant plus fort d'un ton languissant " Je vous en prie, ne lui faites pas de mal, je ferai tout ce que vous voudrez ".

 

-         Ah encore une chose, si il vous venait l'id�e absurde de pr�venir les flics, jamais vous ne reverriez votre pucelle�

-         Elle mourrait atrocement de faim et de soif� Maintenant � vous de jouer�

 

Elle n'eut pas le temps de r�pondre, le bip sonore de la tonalit� de ligne se fit entendre tr�s peu de temps apr�s� Il avait raccroch�.

 

Il rentra aussit�t� L'id�e qu'il avait eu n'�tait pas mauvaise. Si la maman d'Emmanuelle lui rapportait une recrue, elle m�me devenait une ravisseuse d'enfant, une hors la loi.

Il pourrait alors la manipuler sans probl�me �

 

Pour la premi�re fois depuis son rapt Emmanuelle se d�tendait en lisant ses bandes dessin�es. Allong�es sur son lit la petite fille r�cup�rait des tortures occasionn�es par son bourreau. Le docteur s'assit pr�s d'elle sur le rebord du lit. Le spectacle �tait beau et d�solant en m�me temps, la petite culotte �rotique en dentelle de satin bleu ciel embellissait sa chute de reins la rendant divinement belle. Les nombreuses aiguilles traversant ses petites" mamelles" lui donnait un air de monstre irr�el, une nouvelle race de " d'humano�de h�risson"

Le docteur �carta d�licatement ses cuisses. La petite moule �tait referm�e�

Il ne put r�sister � tirer sur l'anneau transper�ant son clitoris, d�licatement d'abord, puis de plus en plus fort� La gamine se mordit les l�vres�

 

La traction dura longtemps�La fillette g�mit de douleur.

Il tira de plus en plus fort, continuellement�

Quelques minutes apr�s, ce qu'il d�sirait arriva�

Elle ouvrit ses cuisses en grand, puis les releva d'elle m�me en hauteur�

La belle petite moule baillait l�g�rement�

Pour soulager la douleur, la fillette s'ouvrait�

Le jeux sexuel �tait suffisant pour l'instant. Il rel�cha l'anneau�

Les jambes de la gosse retomb�rent aussit�t sur le lit�

 

Avant de refermer la porte capitonn�e il pr�vint la gamine� :

 

-         Demain tu vas peut �tre avoir de la visite, � mon avis tu vas �tre tr�s contente�

 

La gamine le regarda intens�ment dans les yeux. Elle ne comprenait pas�

 

 

 

����������������� Le rapt d'Isabelle

 

Nad�ge, la maman d'Emmanuelle se leva avec une belle "gueule de bois".

Comme d'habitude, son premier geste fut de se remplir un grand verre de bi�re� Elle le porta � ses l�vres, puis comme par magie elle eut un d�clic. Pensant � sa fille elle se ravisa. Elle avait perdue sa fillette � cause de l'alcool�Si elle voulait sauver Emmanuelle, il fallait qu'elle garde la t�te froide� Pas comme d'habitude. Elle prendrait son petit verre plus tard�

A la place, avec un peu d'eau elle avala deux comprim�s contre le mal de t�te� Elle se recoucha, pensa aux bons moments pass�s avec Emmanuelle. Puis vinrent les mauvais�

Ce connard de mec� Son con de p�re, qui les avaient abandonn�

Parti sans pr�venir, et avec une gosse mineur en plus�

La d�gringolade sans fin, spirale infernale. L'alcool, plus de travail�

Et pour finir le rapt d'Emmanuelle. Quelle chienne de vie�

En quelques jours la jeune femme immature �tait devenue une m�re responsable�Cela lui avait co�t� sa fille, ce coup ci elle avait compris�

Elle se leva, d�cid�e � revoir sa gosse tr�s rapidement� Pour �a, il fallait qu'elle kidnappe une autre fillette. C'�tait aujourd'hui ou jamais�

 

La galerie marchande grouillait d'enfant� Le Mercredi tous ces charmants bambins un peu d�s�uvr�s et d�sargent�s se faisaient souvent "chier"�

Lorsque les parents avaient des moyens suffisants, les gosses pratiquaient une occupation, genre sport ou poney� Les autres un peu d�sh�rit�s s'occupaient en meublant leur temps comme ils pouvaient�

Comme partout, le fric faisait la diff�rence�

Il �tait d�j� quinze heures�

Nad�ge n'avait pas vraiment trouv� de proie facile�

Elle avait bien rep�r� une trentaine de gamines, mais les gosses �taient toujours accompagn�s d'une ou plusieurs copine, ou de leur maman�

Son caddie pas vraiment plein, la jeune femme prit sa place dans la file d'attente qui menait � la caisse num�ro treize�

Seulement trois personnes devant elle� Cela allait assez vite� La jeune femme regardait sans arr�t de droite � gauche, essayant d'apercevoir une future victime� Rien�

Nad�ge ressentit une pr�sence derri�re elle� Dans une file d'attente, aux caisses d'un super march�, quoi de plus naturel�

La jeune femme ne se retourna pas tout de suite.

Elle commen�a � installer son trop peu d'articles sur le tapis roulant� Ruban adh�sif, cordelette, paire de ciseaux et quelques objets utilitaires du m�me acabit� Tout fut d�pos� en quelques instants.

Ce fut seulement � ce moment que la jeune femme se retourna enfin vers la personne nouvellement venue derri�re elle.

Elle n'en crut pas ses yeux�

Une fillette d'une dizaine d'ann�e, belle comme le jour attendait patiemment que son heure vienne� Seulement deux articles � r�gler, une tablette de chocolat et un paquet de bonbons�

 

Nad�ge en une seconde comprit� C'�tait maintenant ou �

La jeune femme engagea la conversation� La gamine un peu timide au d�but se d�gourdit rapidement. La jeune femme essaya�

 

-         Dis je connais pas encore ton pr�nom, mais je cherche quelqu'un pour garder ma fille cet apr�s midi, juste une heure le temps que je fasse d'autres courses, elle est un peu plus jeune que toi�

��� Si tu es d'accord, je te donnerai 50 Francs�

 

La fillette h�sita un instant, puis r�fl�chissant un peu, hocha sa t�te de gauche � droite, comme pour dire qu'apr�s tout, c'�tait peut �tre faisable�

 

Remarquant l'int�r�t que portait l'enfant � sa proposition, la jeune femme continua en expliquant�

 

-         Ce n'est pas tr�s loin d'ici, si tu veux on y va en sortant. Au maximum � dix sept heures tu seras libre�

 

Elle continua essayant toujours de la persuader�

 

-         Comme je cherche quelqu'un tr�s souvent pour la garder, si cela

t'int�resse tu viendras souvent chez nous� Vous pourriez devenir copine toutes les deux� En plus de �a, si tu es d'accord je te paie ton paquet de bonbons et ta tablette de chocolat� Ton pr�nom c'est comment ?

 

 

La gamine se d�bloqua enfin�

 

� Ben�oui�enfin�Ben� C'est faisable, moi c'est Isabelle�

 

Nad�ge en souriant prit les deux articles de la gosse et les posa � c�t� des siens� La caissi�re venant juste de terminer avec l'autre cliente ne se posa pas de questions. Pour elle une maman et sa fille faisaient leurs courses ensembles�

 

Tout fut pay� en esp�ce en un instant�

 

La jeune femme et Isabelle sortirent du supermarch� en parlant� La voiture n'�tait pas loin� Quelques minutes apr�s celle-ci d�marra doucement, Nad�ge expliqua�

 

-         J'habite � quelques kilom�tres d'ici� Ce n'est pas loin, de toute fa�on je te raccompagnerai chez toi tout � l'heure�

 

La gamine se d�tendit enti�rement lorsque la jeune femme lui montra une photo de sa fille� Peut �tre une future copine ?N'avait elle � peu pr�s le m�me �ge ?

 

Ils roulaient depuis d�j� dix minutes, lorsque la gamine posa la premi�re question embarrassante�

 

-         Pourquoi on sort de la ville ?

 

Nad�ge r�torqua qu'elle habitait dans un pavillon � la campagne� Qu'elle allait voir� Que c'�tait super� Qu'elle allait pouvoir s'amuser dans le jardin�

 

La voiture traversa un bois, la jeune femme trouva l'excuse d'une envie pressante de faire pipi� Il fallait qu'elle s'arr�te, elle ne pouvait plus se retenir�

Le v�hicule s'engagea dans une all�e foresti�re.

Assez profond�ment pour �tre � peu pr�s sur d'une tranquillit� parfaite�

La femme reprit qu'elle ne voulait absolument pas qu'on la regarde faire pipi�

Ils s'arr�t�rent enfin� En une seconde le silence prit le dessus, seuls les sifflements d'oiseaux se faisaient entendre�

 

En une seconde elle ouvrit la porti�re� Au lieu de se diriger vers le sous bois pour aller faire ses besoins, la jeune femme contourna la voiture et ouvrit le coffre� Elle fouilla et trouva rapidement ce qu'elle cherchait�Le sac plastique contenant le ruban adh�sif, la cordelette et les ciseaux fut extirp�

 

Le tenant fermement dans sa main Nad�ge se dirigea vers le sous bois touffu�

Elle s'assit enfin� D'ou elle �tait la petite fille ne pouvait plus la voir�

Rapidement le jeune femme saisit le ruban adh�sif, en coupa trois morceaux de dix centim�tres� Elle d�roula aussi la bobine de cordelette et en coupa cinq morceaux d'un m�tre chacun, auquel � chaque bout elle fit un n�ud coulant� L'ensemble fut rang� m�thodiquement � nouveau dans le sac�

L'op�ration n'avait dur� que le temps d'un gros pipi�Un peu plus peut �tre�

Elle ressortit enfin du sous bois. L'aspect soulag� et d�livr� de son envie pressante, elle se dirigea � nouveau vers sa voiture�

La gosse toujours � l'int�rieur ne comprit pas pourquoi la femme ouvrit sa porti�re au lieu de celle du c�t� conducteur�

Elle ne comprit pas non plus pourquoi en une seconde la femme voulut recouvrir sa bouche avec une esp�ce de ruban� La bande adh�sive colla imm�diatement l'ouverture de la petite bouche� La petite fille comprit enfin que quelque chose n'allait pas� Elle n'eut pas le temps de se d�battre, la jeune femme lui saisit les poignets et les enroula de suite avec un morceau de cordelette, les serrant tr�s forts� La fillette comprit enfin� Elle chercha � se d�battre, essayant de crier� C'�tait trop tard, le ruban adh�sif remplissait son office� Le n�ud coulant aussi. La femme refouilla dans le sac, en ressortit un nouveau morceau de bande autocollante qui fut imm�diatement appliqu�e � nouveau sur la bouche de la gamine�

Puis aussi rapidement une deuxi�me cordelette entrava les poignets de l'enfant.

La petite gesticulait incroyablement� Surtout des pieds et des jambes� Nad�ge sans m�nagement tira la gosse de la voiture et la fit glisser dans l'herbe� Quelques instants plus tard deux cordons enla�aient fortement les chevilles de l'enfant�

A bout de souffle, haletante, la jeune femme put enfin attendre un peu que sa respiration reprenne son cours normal�

La fillette le regard horrifi� la regardait intens�ment, ne comprenant absolument pas ce qui se passait, ni pourquoi elle faisait �a�

Nad�ge ouvrit la porti�re arri�re et, tra�nant isabelle par les pieds, elle r�ussit � l'installer sur le plancher du v�hicule, en bas des fauteuils�

Le plus dur �tait fait� Il lui restait � peaufiner en recouvrant le corps de la gosse d'une couverture� Elle ferma son v�hicule et resta dehors une bonne dizaine de minutes�On entendait rien, tout �tait normal.

Les oiseaux continuaient leur concerto�

A son avis, personne ne devait avoir observ� quoi que ce soit�

 

Le v�hicule red�marra � seize heure juste�

 

 

Quand vous l'aurez � disposition vous vous rendrez avec votre voiture, dans la foret de Cuissage, � dix kilom�tre de chez vous. En plein bois, il y a le ch�teau de Saute vierge. Juste en face du ch�teau, il y a une all�e foresti�re, vous la prendrez et continuerez environ un kilom�tre, jusqu'� une barri�re� On peut pas aller plus loin�

 

La jeune femme se rem�morait constamment les phrases que le "docteur" avaient prononc�s au t�l�phone�

 

Elle avait le temps�Il �tait seulement dix sept heures� La gamine � l'arri�re g�missait de temps en temps, assez souvent quand m�me pour �nerver la jeune femme� Apr�s tout, elle avait la solution. Le somnif�re�

S'arr�tant en pleine campagne la jeune femme ouvrit une petite bouteille d'eau, remplit un verre en plastique et n'oublia pas de rajouter deux petits comprim�s blancs dedans.

Elle attendit au moins cinq minutes, remuant le liquide de temps en temps pour que les comprim�s se dissolvent plus facilement�

Personne en vue� Nad�ge souleva la couverture recouvrant la gosse. Le visage apeur� de l'enfant apparut� En une seconde, d'un geste brusque elle retira le ruban adh�sif recouvrant les l�vres de la fillette�

 

-         Tu te tais, et tu �coutes�Dans quelques heures tu seras lib�r�e, tu n'as rien � craindre� Je vais te donner un peu � boire.

 

Sans lui laisser le temps de parler ni de comprendre, elle approcha le gobelet de la bouche de l'enfant et la fit boire de force�

La gamine devait commencer � avoir soif, elle ingurgita le contenu enti�rement...

Sans vouloir lui laisser en placer une, Nad�ge remit imm�diatement les morceaux de rubans adh�sifs sur sa bouche�

 

La jeune femme d'un signe de son index sur ses l�vres fit signe � la petite fille de se taire, et elle recouvrit � nouveau l'enfant avec la couverture�

 

A dix neuf heures la jeune femme se retrouva devant le ch�teau de Saute vierge.

Les derniers visiteurs reprenaient leur voiture pour rentrer chez eux, satisfais d'avoir pu contempler pendant quelques heures l'endroit magique ou le marquis de Crade pratiquait ses petites victimes�

 

Nad�ge attendit encore une bonne heure avant de prendre l'all�e foresti�re juste devant le ch�teau�

 

La voiture stoppa� Impossible d'aller plus loin� Une barri�re en bois cadenass�e interdisait l'acc�s. La jeune femme coupa le moteur et attendit� Pr�s d'une heure� Rien, aucune pr�sence, aucun bruit suspect�

La porti�re c�t� passager s'ouvrit presque par magie� Aucune personne visible par la vitre�

Le revolver qui s'immis�a entre les battants de la porti�re �tait bien r�el.

 

-         Vous �tes bien seule, vous n'avez pr�venu personne ?

 

-         Non� ma fille ou est ma fille�?

 

-         Vous allez la revoir� On va y aller ensemble� Vous avez trouv� une gosse, comme je vous l'avais demand�?

 

-         Oui, elle est derri�re, elle dort�

 

-         Bon c'est bien� on va aller voir votre fille�Mais avant je dois prendre quelques pr�cautions� Je vais vous mettre des menottes aux poignets et aux chevilles et un bandeau sur les yeux� Je vais conduire votre voiture� Vous n'avez rien � craindre de plus� Et puis c'est la seule fa�on pour que vous revoyez votre fille en vie� Alors pas de discussion�

 

La jeune femme soumise ne protesta pas. En une minute, elle fut cadenass�e aux poignets et aux chevilles� Un foulard noir recouvrit enti�rement son champ de vision�

 

-         Bon je vais examiner la marchandise � l'arri�re� Il vaudrait mieux que vous ayez eu bon go�t� Sinon�

 

Il ne pouvait r�sister plus longtemps� A genoux sur le si�ge il fit glisser la couverture recouvrant la fillette�

Il ne mit pas dix seconde pour se rendre � l'�vidence� Elle �tait divine. Divinement belle� Gracile�

 

Il la palpa, ausculta ses cuisses, son bassin, ses fesses� Rien � redire, du premier choix�

 

-         C'est bien, tu l'a bien choisi� Au fait je te tutoie Nad�ge, � partir de maintenant, comme on est appel� � travailler ensemble� Mais avant, il faut qu'on soit bien d'accord� Et sur tout� Je sauve ta gamine � condition que tu acceptes toutes mes conditions� Et sans aucune restriction� D�j� sexuellement� Je te ferai l'amour quand je voudrais� Et bien sur avec ta gamine aussi� Tu sais en quelques semaines ta fille a appris beaucoup de chose� Elle est tr�s soumise, il faut que cela continue. Tu vas �tre surprise lorsque tu vas la revoir� Elle est dans un dr�le d'�tat� J'ai du pratiquer sur elle quelques petites modifications��� Il ne faut pas avoir peur, dans quelques jours elle sera sur pied et tout redeviendra comme avant. Mais pour voir si tu as bien compris je vais faire une petite exp�rience sur toi� Je vais te demander de te laisser faire� Je vais te caresser, je veux que tu te laisses faire�Si tu �cartes tes cuisses, nous serons d'accord� Dans le cas contraire, on pourra dire qu'il y a rupture de contrat� Tu r�fl�chis bien avant� Si tu veux revoir ta fille vivante tu te laisses faire� Si tu es d'accord, tu bouges ta t�te�

 

Elle mit quelques secondes � r�agir� Puis accepta d'un signe de t�te�

 

Le docteur fit glisser sa main vers l'entrejambe de la jeune femme, ses doigts s'immisc�rent entre ses cuisses serr�es� Le miracle se produisit� Nad�ge ouvrit ses jambes doucement, mais � fond� Tr�s rapidement la fermeture �claire du jan glissa vers le bas� La jeune femme se laissa caresser, enti�rement, jusqu'au plus profond de son intimit�, jusqu'� mouiller abondamment� Le pacte �tait honor�, le vagin aussi�

 

-         Bon on est d'accord, c'est super� Je crois qu'on va faire du bon travail avec toi et ta fille�

 

Cinquante minute apr�s la voiture arriva � destination� Le docteur retira le foulard des yeux de Nad�ge et la pr�vint encore une fois� Ce que tu vas voir n'est pas forc�ment beau ou moche�. Cela existe, c'est tout. le mal et le bien se m�lange sur terre� Ce que j'ai fait � ta fille, je ne le regrette pas. Tu es arriv�e � temps pour la soustraire � la mort� Tu vas �tre horrifi� par les tortures que je lui ai prodigu� Je te demande de surmonter tes sentiments� Il faut que tu comprennes que c'est certainement moins atroce que de laisser mourir des centaines de milliers d'enfants de faim sous couvert de " merdocratie ", ou de bombarder des populations au napalm� La conscience des nations et de ceux qui les dirigent n'existe pas� Et � nous on nous demande d'avoir la conscience que nos dirigeants n'ont pas� Moi, je dois �tre fou� Mais � mon avis je suisplus normal et conscient que certains de nos dirigeants�

Les yeux fixes, enti�rement dans le vide, il se rem�mora sa phrase favorite�

 

Lorsqu'on tue un homme on est un assassin�

Lorsqu'on en tue cent mille on est un conqu�rant�

Lorsqu'on les tues tous, on est Dieu�

 

Il se reprit rapidement�

Bon je vais te retirer les menottes des pieds, pour les mains, on verra apr�s�

Je ne veux aucune crise de larme� Tu rassureras ta fille�Si tu surmontes le spectacle, je m'occupe de soigner ta fille imm�diatement�

J'esp�re que tu as bien compris ?

La jeune femme acquies�a d'un signe de t�te.

 

Le couple descendit enfin de la voiture. Le docteur n'oublia pas de prendre dans ses bras le joli petit colis de dix ans dormant sur la banquette arri�re�

Isabelle dormait tr�s profond�ment. Mon dieu qu'elle �tait belle�

 

La porte du laboratoire s'ouvrit enfin�

 

La maman aper�u sa fille dans l�embrasure de la porte�

En contemplant ses seins transperc�s par les aiguilles et l'anneau dor� implant� sur le clitoris, elle ne put pas s'emp�cher de crier d'effroi�

La fillette reconnaissant imm�diatement sa m�re se mit � l'appeler fr�n�tiquement sans arr�ter, en psalmodiant un maman effr�n�

Deux secondes apr�s la maman et sa fille s'embrassaient et se cajolaient tout en faisant bien attention de ne pas se blesser avec les fameuses aiguilles transper�ant les seins de la gosse������

Le beau spectacle dura plusieurs minutes� Plusieurs fois la gosse et la maman firent entendre des cris de douleurs significatifs�

Les aiguilles transper�ant la fillette emp�chaient les effusions rapproch�es.

La maman les larmes aux yeux tourna enfin son regard interrogateur et m�chant vers le docteur� La question ultime lui br�lait les l�vres depuis quelques minutes� Elle osa�

 

-         Pourquoi�?

 

Jean Charles soupira longuement, puis prenant sa plus belle voix, sa plus grave, sa plus "compassionnel" expliqua � la petite conne�

 

-         Pourquoi ?. La r�ponse est horriblement compliqu�, elle se base sur une centaine de donn�es, de la plus conne � la plus philosophique� Les gens ne se posent pas les bonnes questions� En admettant que Dieu existe, ou qu'il n'existe pas� Ils oublient qu'ils sont surla Terre pour apprendre � souffrir, et ceci pour savoir mourir� Peut �tre pour la suite du voyage� Le bonheur n'existe pas, le monde est con�u pour qu'il n'existe pas� Celui que l'on trouve parfois est toujours relatif, toujours fait pour les gens incomplets. Ceux qui se retrouvent dans ce " bonheur ", uniquement pour masquer la solitude de leur �go sont toujours aussi seuls� De toute fa�on, je vous expliquerai �a plus longuement� Bon maintenant je vais "lib�rer" Emmanuelle� Quand je dis lib�rer, c'est un bien grand mot� Je vais avoir besoin de vous deux pendant un certain temps. Isabelle va prendre la place de ta fille�

 

 

Le docteur retira la laisse de cou d'Emmanuelle� Isabelle fut cadenass� � sa place� Lorsqu'elle se r�veillerait, elle ne comprendrait pas grand chose�

 

Les menottes enla�ant les mains de la maman furent retir�es rapidement� Elle ne bougerait pas� Il le savait, sa fille �tait sa priorit� absolue�

 

Le petit h�risson humain perdit ses aiguilles une � une� Il les retira avec volupt�, d�licatement, sans se presser� La fillette eut l�g�rement mal, sans plus.

La fillette conserverait les cicatrices pour la vie�

Il pr�vint la maman et sa fille� : " Pour l'anneau dans le clitoris� Elle le garde pour l'instant et pour longtemps�".

 

Bon maintenant, et pour notre plus grand plaisir, je vais vous dire ce que j'attends de vous deux�

 

A suivre�

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P.S. Note sur l'inceste et la p�dophilie :

 

Ce r�cit est imaginaire et doit le rester�

Une petite fille ou un petit gar�on est un �tre humain, et ne m�rite en aucune fa�on d'�tre perturb� dans son d�veloppement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour et ne l'auront peut �tre jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un �tre.

Le v�ritable courage dans la vie, consiste � donner le bonheur qu'on a pas eu,

et surtout de ne pas rendre le mal qu'on nous a fait�

 

Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs pour tenter Adam et Eve� Lucifer se porta volontaire, lui qui �tait pourtant l'un des sept grands archanges de notre syst�me solaire, ou sa mission �tait de garder la plan�te V�nus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanit� � faire grandir sa spiritualit� en la soumettant � toutes les tentations.

Ce qu'il fit� La t�che que lui confia dieu fut certainement une des plus importantes de la cr�ation. Elle n'est pas finie, elle doit permettre � l'�tre humain de s'�lever, de r�v�ler sa v�ritable lumi�re int�rieur, d'affirmer sa spiritualit� en r�sistant au mal, qui lui m�me fait parti int�grante du bien.

Comprenne qui pourra �

 

Extrait brut et non corrig� de : " Le livre interdit "���������������������������������������������

Auteur : Alain Terdit

Titre : Le livre interdit(Ce r�cit est imaginaire et doit le rester).

 

Pour m'�crire : [email protected]

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Le r�cit complet, corrig� est d�pos� � l'INPI par enveloppe SOLO,il reste la propri�t� de son auteur.
Vous pouvez publier les extraits sur tous les sites gratuits pour adultes. 
A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonn�es, notes et explications de d�but et de fin.