Extrait brut et non corrig� de :

"Histoires de bonbons roses acidul�s 196 pages"

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Auteur : Alain Terdit

Titre : Le club(Ce r�cit est imaginaire et doit le rester).

 

 

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Le r�cit complet, corrig� est d�pos� � l'INPI par enveloppe SOLO,il reste la propri�t� de son auteur. 
Vous pouvez publier les extraits sur tous les sites gratuits pour adultes. 
A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonn�es et explications de d�but et de fin.

 

 

 

Le club�������������������������������������������������� ��

 

L'homme s'�clipsa� Rapidement�

 

Contempler les petites filles dans les jardins publics ou les parc d'attractions lui apportait un plaisir certain� Le ravissement des sens�

Cette fois ci Jean Charles avait �t� un peu loin� Se mettre � discuter avec une fillette de dix ans, en oubliant un instant que la gosse avait des parents.

Fallait pas, il n'aurait pas d�� D'habitude il �tait moins con, se contentant seulement de contempler la gracilit� de leurs gestes, d'appr�cier le galbe de leur corps en formation�

Quelquefois et rarement d'humer leur odeur unique de petites filles�

Non l�, il avait fallu qu'il parte sans demander son reste�Et comme "reste" juste une toute petite miette lui aurait suffit� Juste conna�tre son pr�nom.

 

La maman l'avait apostroph� : " Vous lui voulez quoi � ma fille� Et elle avait continu� du genre�: "C'est encore une enfant�".

 

Parce que bien sur si la fillette avait eu treize, quinze, dix sept, ou vingt ans la maman n'aurait rien dit. Elle aurait m�me autoriser�Du genre : " Ah�enfin, depuis le temps que ma fille et moi on en attendait un�Un vrai, un qui sait parler d'amour aux enfants, un qui va l'�duquer aux r�els plaisirs de la vie�

Et puis vous savez Monsieur, apr�s ma fille, il y aura moi�Ou peut �tre m�me avant� Vous pensez "docteur", depuis le temps que j'ai pas eu un v�ritable d'orgasme� La derni�re fois c'�tait avec le voisin�

Il y a longtemps, je devais avoir dix ou onze ans� Ma maman �tait partie toute l'apr�s-midi, et ce brave homme c'est propos� pour jouer avec moi.

Lui il a fait le docteur, moi j'ai fais la malade�

On a rit et jouit toute l'apr�s-midi�Jamais j'ai pris autant de plaisir.

Ce bon samaritain m'a tout appris, tout y est pass�

Si, vraiment tout� C'est pass� quand m�me, je vous assure�

Alors que ma fille fasse pareille, d'accord� Mais apr�s moi�S'il vous pla�t Docteur� Moi d'abord� Une derni�re fois, une autre vraie petite mort�

Avant la vraie�

 

Jean Charles avait avancer le pas. Se contentant de hausser les �paules�

Que pouvait il dire � cette "brave conne" de femme�

 

Il aimait les enfant, oui c'�tait vrai� Mais pas tous.

Juste les petites filles entre huit et douze ans�

Celles qui le faisaient le plus bander�

 

La femme �tait l'avenir de l'homme�?

Pour lui, c'�tait plut�t la fillette qui �tait l'avenir de l'homme�

 

Les pens�es philosophiques sur le sujet le faisait de plus en plus chier�

Il s'acceptait enfin comme la nature ou Dieu l'avait cr��

Sa voiture �tant gar�e sur le parking du parc d'attraction, il ne mit que quelques minutes pour d�marrer le plus discr�tement possible�

Il allait franchir l'all�e principale, lorsqu'il remarqua la maman "conne", tenant et tirant brutalement par la main sa fillette� La pauvre gosse �tait en pleurs, la femme devait la tenir responsable du petit incident. Elle installa sa gamine dans son si�ge tout en grommelant, puis d�marra sa voiture rapidement�

Bon apr�s tout� Il pouvait rester. Pas la peine de se payer encore une trentaine de kilom�tre pour aller dans un autre parc�

Quelques minutes apr�s, il se retrouva assis � nouveau sur un banc, juste devant un immense pneumatique gonflable. Pour son plus grand plaisir, des petites jupettes virevoltaient au vent produit par les sautillements et les grands bonds que faisaient les "gaminettes". C'�tait g�nial�

Il y avait de la petite culotte roses � dentelles dans l'air, pour lui c'�tait le principal�

Il fut absorb� par le spectacle gratuit pendant une bonne vingtaine de minutes� Jusqu'� ce qu'un monsieur � peu pr�s de son �ge viennent s'asseoir � c�t� de lui.

L'homme, se mit aussi � contempler les petits culs virevoltant en l'air�

Leur regard se croisaient de temps en temps� Peu � peu une certaine complicit� commen�a � les unir� Jean Charles � une pirouette compl�te que fit une charmante petite fille d'environ neuf ans ne put pas se retenir, il osa tout haut :

" Oh�La belle petite culotte�".

L'homme nouvellement assis, h�sitant un peu s'exprima quand m�me :

" Oh oui� Qu'est ce qu'elles sont belles�".

Les types se regard�rent � nouveau en souriant, tout en secouant la t�te affirmativement� Le silence �tait rompu�

Les deux "amis" commenc�rent � �changer des banalit�s sur les petites filles, et puis assez rapidement, chacun eut l'intuition personnelle que l'autre pouvait lui en apprendre plus�

L'homme nouvellement assis se pr�senta.

Alain et Jean Charles continu�rent � parler�

Les deux comp�res peu � peu s'ouvrirent aux confessions�

Ils �taient venu dans le parc uniquement pour contempler les petits culs�

Mais surtout, pour essayer de faire connaissance avec d'autres amis�

C'�tait le plus dur, trouver des relations complaisantes pour partager les m�mes go�ts et exp�riences� Pour une fois cela avait l'air de fonctionner pas trop mal.

Pendant plus d'une heure, et sans arr�ter une seconde de contempler les fillettes, ils discut�rent�Tout y passa, l'�ge qu'ils pr�f�raient, leur tenue vestimentaire� Ils �taient d'accord sur plusieurs points.

Les fillettes devaient avoir entre sept et douze ans au maximum, �tres divinement belles, tr�s bien proportionn�es, bien habill�es, et avoir sur le visage cette expression de puret� et de gracilit� qui caract�risaient les seulement un pour cent de cette petite gent f�minine�Trop rarissime�Presque introuvable.

Les autres pouvaient convenir aussi. Les fantasmes aidant et passant par l��

Mais l'accord absolu �tait autre chose� Dans des cas tr�s rares, l'attirance �tait r�ciproque, la fillette et l'homme �taient en symbiose parfaite�

Comme ci une force myst�rieuse les avait fait se rencontrer, au m�me endroit, au m�me moment� Jean Charles le vivait deux � trois fois par an.

Il y avait peut �tre quelqu'un�La haut, dans les cieux�Qui s'amusait�

 

Les deux protagonistes � la vue d'une petite culotte rose moulant superbement l'empreinte d'une jolie petite moule bien fendue ne purent qu'exprimer leur satisfaction � haute voix�

Puis vinrent des sous-entendus un peu plus explicites� :

"Cela doit �tre tr�s doux � caresser� Ca doit �tre serr� On doit �tre bien dedans� Elle doit �tre chaude�".

 

Les nouveaux amis se regard�rent en riant� La glace �tait rompue.

 

Ils discut�rent pendant longtemps, n��changeant aucune banalit�

Non, il n'y avait rien de banal dans leur dialogue. Pour une fois que deux hommes disaient ce qu'ils pensaient et pensaient ce qu'ils disaient sur les petites filles� Selon les statistiques officielles un homme sur cent avait un penchant pour les fillettes�Selon des statistiques officieuses r�alis�es par certains gouvernements du nord de l'Europe le chiffre �tait sup�rieur � trente pour cent�

De un � trente pour cent cela faisait une sacr�e marge d'erreur�

Un pour cent� La morale �tait sauve�

Trente pour cent, cela commen�ait � faire d�sordre�

Depuis pas mal de temps,"les  d�mocraties" faisaient dire n'importe quoiaux statistiques�

 

Les deux hommes n'arr�taient plus de parler� Puis vint les premi�res confessions de Jean Charles. Celui-ci avoua qu'il consommait quelques fillettes consentantes� Assez souvent� Des gamines de huit � douze ans�

Il �tait contact� par les parents sur Internet�

La derni�re fillette, pendant les vacances lui avait �t� laiss� en garde pendant quarante huit heures� Les parents, consentants et au courant des attirances sexuelles de Jean Charles, �taient partis en excursions sans leur prog�niture�

 

Il allait lui expliquer�

 

Selon lui, la gamine de dix ans, avait du �tre pr�venue par ses parents, elle n'attendait que �a� Consentante, elle s'�tait laiss�e embrass�e sur la bouche�

Il l'avait caress� un long moment, puis l'avait emmen� dans la chambre � coucher� La petite fille s'�tait allong�e sur le lit et avait attendue ses caresses�

 

La d�shabillant doucement tout en l'embrassant, il avait eu acc�s � ses petits tr�sors� Il avait compris qu'il pouvait aller plus loin lorsque Aur�lie en petite culotte avait ouverte ses cuisses en grand� Le petit morceau de dentelle avait rapidement gliss� sur ses jambes� Jean Charles avait mis sa bouche au niveau de sa petite chatte et avait honor� avec sa langue la petite fente comme il le devait�

Quelques minutes apr�s la fillette s'�tait mise � g�mir tout en gloussant de plaisir� Sans arr�ter de caresser son clitoris, mais cette fois-ci � l'aide de ses doigts. Il lui avait relev� d�licatement ses jambes, les avaient pos� sur ses �paules� Le gland de sa bitte avait appuy� au bon endroit�A l'entr�e du petit vagin�Doucement d'abord� Puis la pression s'�tait accentu�e peu � peu�

La fillette avait d�coll�e d'elle m�me ses chevilles de ses �paules, puis avait �cart� ses cuisses � fond� Laissant ses jambes grandes ouvertes et en l'air�

Jean Charles avait pouss� un peu plus encore� Puis assez fortement�

La gamine avait pouss� un petit cri aigu�Une seconde apr�s, le gland de sa bitte �tait rentr� dans le petit vagin�

La petite fille, surprise, les yeux fixes grands ouverts n'avait plus bouger�

Lui non plus�

Pendant quelques minutes rien ne s'�tait pass� de bien significatif� Le petit clitoris toujours excit� par Jean Charles avait fait red�marr� "la machine"�

Des petits g�missements d'abord, puis tr�s rapidement des soupirs profonds entrecoup�s de mots et d'onomatop�es� Comprenant de suite que la fillette �tait pr�te � en recevoir un peu plus, il avait commenc� un va et vient r�gulier dans son bas ventre� Tr�s rapidement la gosse avait perdu toute retenue et notion de r�alit�. Appr�ciant sa p�n�tration vaginale, au m�me titre qu'une femme sa baise matinale� ( C'est joli�La po�sie� La peau et zizi aussi �? ).

Dans les conditions de jouissance extr�me de la fillette, il ne mit pas longtemps � inonder son vagin de sa liqueur� La petite fille ressentit sa semence envahir son fondement, elle se crispa � chaque jet en attendant le suivant�

Epuis�e, la gamine repus avait les yeux p�tillants de bonheur�

Il l'embrassa sur la bouche et lui dit qu'elle avait �t� terrible�

 

Les premiers heures de garde ( � vue� ? ) de la petite Aur�lie s'�tait pass� ainsi�

Jean Charles rajouta que la nuit suivant sa d�floraison fut m�morable pour lui et la gamine� Il l'�duqua � la pratique des fellations et � subir pas mal de positions tr�s cambr�es et sp�ciales� Il dut quand m�me attendre le lendemain apr�s midi pour que la petite accepte sa premi�re sodomie� Les photos de petites filles souriantes pratiquant cet art et t�l�charg�es sur Internet avaient peut �tre influenc�e sa d�cision et eut raison de sa r�ticence�

Lorsque les parents vinrent rechercher leur petite fille de dix ans, selon Jean Charles elle en savait autant sur " la chose " que ses g�niteurs�

Elle avait la chatte et le trou du cul irrit�s et rougis par les p�n�trations successives� Jean Charles avait compt� � peu pr�s� Une vingtaine de p�n�trations vaginales, plus une dizaine de p�n�trations anales�

En comptant les pipes�Cela faisait une sacr�e moyenne horaire� En quarante huit heures de garde� Cela faisait pr�s d'une p�n�tration � l'heure�

 

Alain en silence �coutait avec d�lectation son interlocuteur raconter ses aventures amoureuses avec ses jeunes conqu�tes�

Jean Charles continua � relater�

 

L'avant derni�re fillette�

Il y avait d�j� quelques semaines pendant les vacances�

Laura avait environ douze ans�

Il reconnut tout de suite quelle �tait presque trop �g�e pour ses go�ts�

Mais pouvait-il refuser de rendre service�?

Des parents qui offraient leur fille � baiser, ils n'y en avaient pas encore �norm�ment c'�tait vrai�

Mais l'�volution se faisant, on en trouvait quand m�me de plus en plus� Certains �taient nettement moins cons que la moyenne�

Ils offraient leur fille pour diff�rente raison�

Lui, toutes les raisons l' int�ressaient�

La premi�re des raisons �taient le fric� Offrir sa gamine pour quelques milliers de Francs pour un week-end �tait r�mun�rateur pour des familles d�favoris�es� En plus de �a, les parents �taient tranquilles� La petite chieuse ne serait pas chez eux pendant trois jours� Comme il disaient, cela les faisaient respirer un peu� Souvent pour les parents, la fillette �tait en stage�

Comme le papa et la maman savaient que la gosse allait se faire baiser, cela les excitait m�me souvent� Apr�s tout, c'�tait la vie� Plut�t qu'elle joue � touche pipi avec un gamin immature et inexp�riment�, ne valait t'il pas mieux que la gosse d�couvre l'amour dans d'excellentes conditions�

Souvent, c'�tait la premi�re fois qui comptait pour la suite�

 

Et puis, il y avait eu les demandes sp�cifiques d'�ducation�

Les parents qui pratiquaient ainsi �taient vraiment en avance sur leur temps � Souvent la petite chieuse, intenable, encore enfant�Revenait trois jours apr�s enti�rement diff�rente� Respectueuse de ses parents, plus ouverte� ( hum�)

Souvent sa scolarit� allait aussit�t nettement mieux� Pour r�sum� le d�mon s'�tait transform� en Ange� La v�rit� n'�tait pas loin, tout pouvait s'expliquer� La gamine savait maintenant qu'elle pouvait �tre une femme� La preuve �tait fa�te� L'angoisse de la pr�-adolescence venait de dispara�tre � jamais�

Elle n'aurait aucune crise � l'adolescence�

Elle venait de prendre conscience que ses parents �taient un peu comme elle�

Humains, comme elle�

 

La maman de Laura l'avait contact� sur Internet�

Un de ses amis lui avait parl� de lui� De ses prestations un peu sp�ciales�

Jean Charles l'avait mis � l'aise aussit�t�

C'�tait au sujet de sa fille de douze ans� Laura lui posait des probl�mes, elle �tait intenable, souvent m�chante avec ses parents�

Le conflit avec sa petite s�ur �g�e de dix ans �tait permanent�

 

Alors connaissant une amie qui avait fait appel � ses services� La fille de cette amie avait le m�me �ge que Laura, elle avait chang� du tout au tout�

Elle t�l�phonait pour savoir si il avait une petite place dans son emploi du temps�

 

Si bien sur en plus, il y avait un petit quelque chose � gagner�Elle disait pas non�Avec tous les frais que deux enfants de cet �ge pouvait "engendrer"�

 

Avant de prendre sa d�cision, Jean Charles demanda � la maman de bien vouloir lui envoyer par internet des photos de sa fille�

Cinq minutes apr�s le portait de la gamine sortait sur son imprimante couleur�

La m�me �tait belle, gracile, fine comme ilaimait�

 

Deux minutes apr�s la maman avait la r�ponse�Avec le cachet de la prestation de service� Deux mille Francs pour une semaine de stage�

C'�tait le monde � l'envers. C'�tait lui qui fournissait la prestation, et il payait�

Log� et nourris la fillette� Il avait eu envie de rajouter : " Boisson laiteuse et p�n�trations comprises�". Mais l'humour, point trop n'en fallait�

 

La fillette lui fut amen�e le samedi soir� La surprise fut totale� Le papa et la maman avait amen� l'autre gamine aussi� Eve, la plus jeune �g�e de dix ans�

Devant la perplexit� de Jean Charles, le couple lui expliqua qu'ils ne pouvaient pas faire autrement�Ils partaient ce soir dans un club de vacances.

La personne qui devait garder la plus jeune s'�tait d�sist�e au dernier moment�

La seule solution trouv�e, �tant qu'il garde les deux gosses ensembles�

Jean Charles ne se d�monta pas, faisant remarquer quand m�me que cela n'�tait pas pr�vu au programme, mais que c'�tait faisable�

Il questionna le couple pour savoir si ils �taient d'accord pour qu'il �duque la petite aussi� Les parents soulag�s qu'il accepte les deux enfants ne firent aucune objection� Faisant m�me remarquer qu'apr�s tout� Un peu plus tard ou un peu plus t�t�

Si cela pouvait leur apporter la tranquillit� dans leur vie familiale�

Des gros bisous furent fa�tes aux fillettes par les parents, leurs derni�res recommandations aux deux gamines �tant qu'elles soient tr�s sages et qu'elles fassent tout ce que le Monsieur leur demanderait� Que c'�tait bien dit�

Ils viendraient rechercher leurs enfants dans huit jours�

Les parents s'�clips�rent rapidement, non sans avoir demand� et re�u les deux mille Francs en esp�ce�

Laura, la plus grande avait l'air de tr�s bien dig�rer le d�part de ses parents,

il n'en �tait pas de m�me pour la plus petite� Eve se mit � pleurer aussit�t.

Jean Charles la consola comme il put�Allumant la t�l�vision, essayant par tous les moyens de trouver une solution� Rien n'y fit�

Apr�s tout�Il �tait d�j� vingt et une heure� Il d�cida d'envoyer tout ce beau monde au lit. Il pr�vint les deux fillettes : " Je n'ai pas eu le temps de faire vos chambres, pour cette nuit, vous allez coucher dans la mienne "�

Les deux petites filles suivirent le Monsieur dans sa chambre, d�ball�rent leur affaires et assez rapidement se retrouv�rent en l�g�re chemise de nuit�

Mon Dieu, qu'elles �taient belles�

Jean Charles gentiment, leur montra le chemin de la salle de bain�

Ablutions obliges, les gamines se lav�rent sommairement, la grande aidant la petite quelques fois� Pour la premi�re fois, il entendit la charmante voix de Laura, engueuler Eve, sa petite s�ur�

Il intervint aussit�t� Leur disant qu'� partir de maintenant elle �taient en stage chez lui, et qu'il n'�tait plus question que cela recommence�

Apr�s avoir bu un grand verre de jus d'orange et fait leur petit pipi, les gamines se retrouv�rent toutes penaudes dans le grand lit de Jean Charles�

Lui, sans se d�monter se d�shabilla, ne gardant que son slip, puis il se glissa dans le doux lit d�j� un peu r�chauff� par la pr�sence des deux chieuses�

Il se pla�a juste au milieu, entre les deux fillettes�

Il �teignit la lumi�re aussit�t, et sans perdre un seul instant commen�a � mettre chacune de ses mains sur le bassin de chaque fillette� Les deux pucelles se tourn�rent de l'autre c�t�, en se recroquevillant enti�rement� Ce qui n'emp�cha en aucune mani�re Jean Charles de commencer � caresser leur petit cul, leurs cuisses et leur chute de reins�

Se doutant un peu de la r�action verbale que les caresses allaient certainement amen�es chez les deux gamines, il pr�f�ra prendre les devants et se mit � leur parler � voix haute :

 

" Bon les gamines, vous �tes ici chez moi pour apprendre beaucoup de choses�

Vos parents m'ont donner l'autorisation de vous �duquer sur les choses de la vie� On appelle ainsi tout ce qui concerne la sexualit� et tout ce qui peut donner du plaisir, aux hommes, aux femmes, aux petits gar�ons, et aux petites filles� Je suppose que vous savez d�j� comment on fait les b�b�s� Ca c'est pas compliqu� Par contre avec un minou et un zizi on peut faire beaucoup d'autres chose, on peut s'en servir pour se donner du plaisir et �tre heureux� C'est le plus important� Etre heureux� On peut aussi donner du plaisir � ses copains et copines�Mais pour �a, faut d�j� savoir comment faire et avoir le mode d'emploi� Et croyez moi, il n'y a pas beaucoup de gens qui savent comment faire pour donner ou prendre du vrai plaisir�Vous �tes privil�gi�s, vous allez avoir la chance d'�tre �duqu� au bonheur� Au vrai�

Vos parents ont compris �a, se sont vraiment des gens supers et intelligents�

 

Pour commencer, je vais vous faire pleins de caresses partout, puis des bisous aussi. Au d�part, il faut que vous vous laissiez faire, vous verrez c'est tr�s bon, vous allez aimer. Je vais juste vous demander de faire tout ce que je vous dirai� Comme �a tout ira tr�s bien, je vais vous apprendre beaucoup de choses�

Il vaut juste vous laissez faire...

Pour ce soir, on fera que des bisous et des caresses, apr�s dodo�".

 

Le silence �tait total� Les gamines se taisaient, attendant la suite de son "hom�lie"�

 

Il n'y eut aucune suite verbale� Jean Charles une seconde apr�s, promenait ses mains sur le dos et les fesses des petites filles� Pendant plus de cinq minutes, il ne fit que caresser les gamines, de leur nuque � leur croupe� S'attardant sur leur colonne vert�brale, descendant � nouveau sur les petites fesses, les malaxant astucieusement� Puis il remontait doucement sur la nuque des gosses , la massant d�licatement et patiemment�

Il commen�a � ressentir les fruits de son travail� Les gamines se d�tendaient enfin�

Jean Charles fit une pause etreprit un peu sa respiration�

 

Alain �coutait sans rien dire, il n'en revenait pas� Le r�cit de Jean Charles le faisait vibrer intens�ment,

Il racontait l'histoire, � la troisi�me personne en la vivant, ou en la faisant vivre en m�me temps par une tiers personne�

Cela donnait au r�cit encore plus de suspense�

Plus aucun doute n'effleurait son esprit. Jean Charles �tait vraiment un expert en la mati�re, un d�puceleur de petites filles n� Un bienfaiteur de l'humanit�

Il rendait service � tellement de parents�

Dieu ne l'avait peut �tre cr�� que pour �a�?

Le r�cit n'allait peut �tre pas assez vite pour son go�t�

Alain osa une petite phrase :" Et apr�s�? ".

 

 

 

P.S. Note sur l'inceste et la p�dophilie :

 

Ce r�cit est imaginaire et doit le rester�

Une petite fille ou un petit gar�on est un �tre humain, et ne m�rite en aucune fa�on d'�tre perturb� dans son d�veloppement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour et ne l'auront peut �tre jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un �tre.

Le v�ritable courage dans la vie, consiste � donner le bonheur qu'on a pas eu,

et surtout de ne pas rendre le mal qu'on nous a fait�

 

Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs pour tenter Adam et Eve� Lucifer se porta volontaire, lui qui �tait pourtant l'un des sept grands archanges de notre syst�me solaire, ou sa mission �tait de garder la plan�te V�nus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanit� � faire grandir sa spiritualit� en la soumettant � toutes les tentations.

Ce qu'il fit� La t�che que lui confia dieu fut certainement une des plus importantes de la cr�ation. Elle n'est pas finie, elle doit permettre � l'�tre humain de s'�lever, de r�v�ler sa v�ritable lumi�re int�rieur, d'affirmer sa spiritualit� en r�sistant au mal, qui lui m�me fait parti int�grante du bien.

Comprenne qui pourra �.

 

Extrait brut et non corrig� de :

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Auteur : Alain Terdit

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