Le r�cit complet, corrig� est d�pos� � l'INPI par enveloppe SOLO,� il reste la propri�t� de son auteur.
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L'homme
s'�clipsa� Rapidement�
Contempler
les petites filles dans les jardins publics ou les parc d'attractions lui
apportait un plaisir certain� Le ravissement des sens�
Cette
fois ci Jean Charles avait �t� un peu loin� Se mettre � discuter avec une
fillette de dix ans, en oubliant un instant que la gosse avait des parents.
Fallait
pas, il n'aurait pas d�� D'habitude il �tait moins con, se contentant seulement
de contempler la gracilit� de leurs gestes, d'appr�cier le galbe de leur corps
en formation�
Quelquefois
et rarement d'humer leur odeur unique de petites filles�
Non
l�, il avait fallu qu'il parte sans demander son reste�Et comme
"reste" juste une toute petite miette lui aurait suffit� Juste
conna�tre son pr�nom.
La
maman l'avait apostroph� : " Vous lui voulez quoi � ma fille� Et elle avait
continu� du genre�: "C'est encore une enfant�".
Parce
que bien sur si la fillette avait eu treize, quinze, dix sept, ou vingt ans la
maman n'aurait rien dit. Elle aurait m�me autoriser�Du genre : " Ah�enfin,
depuis le temps que ma fille et moi on en attendait un�Un vrai, un qui sait
parler d'amour aux enfants, un qui va l'�duquer aux r�els plaisirs de la vie�
Et
puis vous savez Monsieur, apr�s ma fille, il y aura moi�Ou peut �tre m�me
avant� Vous pensez "docteur", depuis le temps que j'ai pas eu un v�ritable
d'orgasme� La derni�re fois c'�tait avec le voisin�
Il
y a longtemps, je devais avoir dix ou onze ans� Ma maman �tait partie toute
l'apr�s-midi, et ce brave homme c'est propos� pour jouer avec moi.
Lui
il a fait le docteur, moi j'ai fais la malade�
On
a rit et jouit toute l'apr�s-midi�Jamais j'ai pris autant de plaisir.
Ce
bon samaritain m'a tout appris, tout y est pass�
Si,
vraiment tout� C'est pass� quand m�me, je vous assure�
Alors
que ma fille fasse pareille, d'accord� Mais apr�s moi�S'il vous pla�t Docteur�
Moi d'abord� Une derni�re fois, une autre vraie petite mort�
Avant
la vraie�
Jean
Charles avait avancer le pas. Se contentant de hausser les �paules�
Que
pouvait il dire � cette "brave conne" de femme�
Il aimait
les enfant, oui c'�tait vrai� Mais pas tous.
Juste
les petites filles entre huit et douze ans�
Celles
qui le faisaient le plus bander�
La
femme �tait l'avenir de l'homme�?
Pour
lui, c'�tait plut�t la fillette qui �tait l'avenir de l'homme�
Les
pens�es philosophiques sur le sujet le faisait de plus en plus chier�
Il
s'acceptait enfin comme la nature ou Dieu l'avait cr��
Sa
voiture �tant gar�e sur le parking du parc d'attraction, il ne mit que quelques
minutes pour d�marrer le plus discr�tement possible�
Il
allait franchir l'all�e principale, lorsqu'il remarqua la maman
"conne", tenant et tirant brutalement par la main sa fillette� La
pauvre gosse �tait en pleurs, la femme devait la tenir responsable du petit
incident. Elle installa sa gamine dans son si�ge tout en grommelant, puis
d�marra sa voiture rapidement�
Bon
apr�s tout� Il pouvait rester. Pas la peine de se payer encore une trentaine de
kilom�tre pour aller dans un autre parc�
Quelques
minutes apr�s, il se retrouva assis � nouveau sur un banc, juste devant un
immense pneumatique gonflable. Pour son plus grand plaisir, des petites
jupettes virevoltaient au vent produit par les sautillements et les grands
bonds que faisaient les "gaminettes". C'�tait g�nial�
Il
y avait de la petite culotte roses � dentelles dans l'air, pour lui c'�tait le
principal�
Il
fut absorb� par le spectacle gratuit pendant une bonne vingtaine de minutes�
Jusqu'� ce qu'un monsieur � peu pr�s de son �ge viennent s'asseoir � c�t� de
lui.
L'homme,
se mit aussi � contempler les petits culs virevoltant en l'air�
Leur
regard se croisaient de temps en temps� Peu � peu une certaine complicit�
commen�a � les unir� Jean Charles � une pirouette compl�te que fit une
charmante petite fille d'environ neuf ans ne put pas se retenir, il osa tout
haut :
"
Oh�La belle petite culotte�".
L'homme
nouvellement assis, h�sitant un peu s'exprima quand m�me :
"
Oh oui� Qu'est ce qu'elles sont belles�".
Les
types se regard�rent � nouveau en souriant, tout en secouant la t�te
affirmativement� Le silence �tait rompu�
Les
deux "amis" commenc�rent � �changer des banalit�s sur les petites
filles, et puis assez rapidement, chacun eut l'intuition personnelle que
l'autre pouvait lui en apprendre plus�
L'homme
nouvellement assis se pr�senta.
Alain
et Jean Charles continu�rent � parler�
Les
deux comp�res peu � peu s'ouvrirent aux confessions�
Ils
�taient venu dans le parc uniquement pour contempler les petits culs�
Mais
surtout, pour essayer de faire connaissance avec d'autres amis�
C'�tait
le plus dur, trouver des relations complaisantes pour partager les m�mes go�ts
et exp�riences� Pour une fois cela avait l'air de fonctionner pas trop mal.
Pendant
plus d'une heure, et sans arr�ter une seconde de contempler les fillettes, ils
discut�rent�Tout y passa, l'�ge qu'ils pr�f�raient, leur tenue vestimentaire�
Ils �taient d'accord sur plusieurs points.
�
Les
fillettes devaient avoir entre sept et douze ans au maximum, �tres divinement
belles, tr�s bien proportionn�es, bien habill�es, et avoir sur le visage cette
expression de puret� et de gracilit� qui caract�risaient les seulement un pour
cent de cette petite gent f�minine�Trop rarissime�Presque introuvable.
Les
autres pouvaient convenir aussi. Les fantasmes aidant et passant par l��
Mais
l'accord absolu �tait autre chose� Dans des cas tr�s rares, l'attirance �tait
r�ciproque, la fillette et l'homme �taient en symbiose parfaite�
Comme
ci une force myst�rieuse les avait fait se rencontrer, au m�me endroit, au m�me
moment� Jean Charles le vivait deux � trois fois par an.
Il
y avait peut �tre quelqu'un�La haut, dans les cieux�Qui s'amusait�
Les
deux protagonistes � la vue d'une petite culotte rose moulant superbement
l'empreinte d'une jolie petite moule bien fendue ne purent qu'exprimer leur
satisfaction � haute voix�
Puis
vinrent des sous-entendus un peu plus explicites� :�
"Cela
doit �tre tr�s doux � caresser� Ca doit �tre serr� On doit �tre bien dedans�
Elle doit �tre chaude�".
Les
nouveaux amis se regard�rent en riant� La glace �tait rompue.
Ils
discut�rent pendant longtemps, n��changeant aucune banalit�
Non,
il n'y avait rien de banal dans leur dialogue. Pour une fois que deux hommes
disaient ce qu'ils pensaient et pensaient ce qu'ils disaient sur les petites
filles� Selon les statistiques officielles un homme sur cent avait un penchant
pour les fillettes�Selon des statistiques officieuses r�alis�es par certains
gouvernements du nord de l'Europe le chiffre �tait sup�rieur � trente pour
cent�
De
un � trente pour cent cela faisait une sacr�e marge d'erreur�
Un
pour cent� La morale �tait sauve�
Trente
pour cent, cela commen�ait � faire d�sordre�
Depuis
pas mal de temps,"les d�mocraties" faisaient dire n'importe
quoi� aux statistiques�
Les
deux hommes n'arr�taient plus de parler� Puis vint les premi�res confessions de
Jean Charles. Celui-ci avoua qu'il consommait quelques fillettes consentantes�
Assez souvent� Des gamines de huit � douze ans�
Il
�tait contact� par les parents sur Internet�
�
La
derni�re fillette, pendant les vacances lui avait �t� laiss� en garde pendant
quarante huit heures� Les parents, consentants et au courant des attirances
sexuelles de Jean Charles, �taient partis en excursions sans leur prog�niture�
Il
allait lui expliquer�
Selon
lui, la gamine de dix ans, avait du �tre pr�venue par ses parents, elle
n'attendait que �a� Consentante, elle s'�tait laiss�e embrass�e sur la bouche�
Il
l'avait caress� un long moment, puis l'avait emmen� dans la chambre � coucher�
La petite fille s'�tait allong�e sur le lit et avait attendue ses caresses�
La
d�shabillant doucement tout en l'embrassant, il avait eu acc�s � ses petits
tr�sors� Il avait compris qu'il pouvait aller plus loin lorsque Aur�lie en
petite culotte avait ouverte ses cuisses en grand� Le petit morceau de dentelle
avait rapidement gliss� sur ses jambes� Jean Charles avait mis sa bouche au
niveau de sa petite chatte et avait honor� avec sa langue la petite fente comme
il le devait�
Quelques
minutes apr�s la fillette s'�tait mise � g�mir tout en gloussant de plaisir�
Sans arr�ter de caresser son clitoris, mais cette fois-ci � l'aide de ses
doigts. Il lui avait relev� d�licatement ses jambes, les avaient pos� sur ses
�paules� Le gland de sa bitte avait appuy� au bon endroit�A l'entr�e du petit
vagin�Doucement d'abord� Puis la pression s'�tait accentu�e peu � peu�
La
fillette avait d�coll�e d'elle m�me ses chevilles de ses �paules, puis avait
�cart� ses cuisses � fond� Laissant ses jambes grandes ouvertes et en l'air�
Jean
Charles avait pouss� un peu plus encore� Puis assez fortement�
La
gamine avait pouss� un petit cri aigu�Une seconde apr�s, le gland de sa bitte
�tait rentr� dans le petit vagin�
La
petite fille, surprise, les yeux fixes grands ouverts n'avait plus bouger�
Lui
non plus�
Pendant
quelques minutes rien ne s'�tait pass� de bien significatif� Le petit clitoris
toujours excit� par Jean Charles avait fait red�marr� "la machine"�
Des
petits g�missements d'abord, puis tr�s rapidement des soupirs profonds
entrecoup�s de mots et d'onomatop�es� Comprenant de suite que la fillette �tait
pr�te � en recevoir un peu plus, il avait commenc� un va et vient r�gulier dans
son bas ventre� Tr�s rapidement la gosse avait perdu toute retenue et notion de
r�alit�. Appr�ciant sa p�n�tration vaginale, au m�me titre qu'une femme sa
baise matinale� ( C'est joli�La po�sie� La peau et zizi aussi �? ).
Dans
les conditions de jouissance extr�me de la fillette, il ne mit pas longtemps �
inonder son vagin de sa liqueur� La petite fille ressentit sa semence envahir
son fondement, elle se crispa � chaque jet en attendant le suivant�
Epuis�e,
la gamine repus avait les yeux p�tillants de bonheur�
Il
l'embrassa sur la bouche et lui dit qu'elle avait �t� terrible�
Les
premiers heures de garde ( � vue� ? ) de la petite Aur�lie s'�tait pass� ainsi�
Jean
Charles rajouta que la nuit suivant sa d�floraison fut m�morable pour lui et la
gamine� Il l'�duqua � la pratique des fellations et � subir pas mal de
positions tr�s cambr�es et sp�ciales� Il dut quand m�me attendre le lendemain
apr�s midi pour que la petite accepte sa premi�re sodomie� Les photos de
petites filles souriantes pratiquant cet art et t�l�charg�es sur Internet
avaient peut �tre influenc�e sa d�cision et eut raison de sa r�ticence�
Lorsque
les parents vinrent rechercher leur petite fille de dix ans, selon Jean Charles
elle en savait autant sur " la chose " que ses g�niteurs�
Elle
avait la chatte et le trou du cul irrit�s et rougis par les p�n�trations
successives� Jean Charles avait compt� � peu pr�s� Une vingtaine de
p�n�trations vaginales, plus une dizaine de p�n�trations anales�
En
comptant les pipes�Cela faisait une sacr�e moyenne horaire� En quarante huit
heures de garde� Cela faisait pr�s d'une p�n�tration � l'heure�
Alain
en silence �coutait avec d�lectation son interlocuteur raconter ses aventures
amoureuses avec ses jeunes conqu�tes�
Jean
Charles continua � relater�
L'avant
derni�re fillette�
Il
y avait d�j� quelques semaines pendant les vacances�
Laura
avait environ douze ans�
Il reconnut
tout de suite quelle �tait presque trop �g�e pour ses go�ts�
Mais
pouvait-il refuser de rendre service�?
Des
parents qui offraient leur fille � baiser, ils n'y en avaient pas encore
�norm�ment c'�tait vrai�
Mais
l'�volution se faisant, on en trouvait quand m�me de plus en plus� Certains
�taient nettement moins cons que la moyenne�
Ils
offraient leur fille pour diff�rente raison�
Lui,
toutes les raisons l' int�ressaient�
La
premi�re des raisons �taient le fric� Offrir sa gamine pour quelques milliers
de Francs pour un week-end �tait r�mun�rateur pour des familles d�favoris�es�
En plus de �a, les parents �taient tranquilles� La petite chieuse ne serait pas
chez eux pendant trois jours� Comme il disaient, cela les faisaient respirer un
peu� Souvent pour les parents, la fillette �tait en stage�
Comme
le papa et la maman savaient que la gosse allait se faire baiser, cela les
excitait m�me souvent� Apr�s tout, c'�tait la vie� Plut�t qu'elle joue � touche
pipi avec un gamin immature et inexp�riment�, ne valait t'il pas mieux que la
gosse d�couvre l'amour dans d'excellentes conditions�
Souvent,
c'�tait la premi�re fois qui comptait pour la suite��
Et
puis, il y avait eu les demandes sp�cifiques d'�ducation�
Les
parents qui pratiquaient ainsi �taient vraiment en avance sur leur temps �
Souvent la petite chieuse, intenable, encore enfant�Revenait trois jours apr�s
enti�rement diff�rente� Respectueuse de ses parents, plus ouverte� ( hum�)
Souvent
sa scolarit� allait aussit�t nettement mieux� Pour r�sum� le d�mon s'�tait
transform� en Ange� La v�rit� n'�tait pas loin, tout pouvait s'expliquer� La
gamine savait maintenant qu'elle pouvait �tre une femme� La preuve �tait fa�te�
L'angoisse de la pr�-adolescence venait de dispara�tre � jamais�
Elle
n'aurait aucune crise � l'adolescence�
Elle
venait de prendre conscience que ses parents �taient un peu comme elle�
Humains,
comme elle�
La
maman de Laura l'avait contact� sur Internet�
Un
de ses amis lui avait parl� de lui� De ses prestations un peu sp�ciales�
Jean
Charles l'avait mis � l'aise aussit�t�
C'�tait
au sujet de sa fille de douze ans� Laura lui posait des probl�mes, elle �tait
intenable, souvent m�chante avec ses parents�
Le
conflit avec sa petite s�ur �g�e de dix ans �tait permanent�
Alors
connaissant une amie qui avait fait appel � ses services� La fille de cette
amie avait le m�me �ge que Laura, elle avait chang� du tout au tout�
Elle
t�l�phonait pour savoir si il avait une petite place dans son emploi du temps�
Si
bien sur en plus, il y avait un petit quelque chose � gagner�Elle disait pas
non�Avec tous les frais que deux enfants de cet �ge pouvait
"engendrer"�
Avant
de prendre sa d�cision, Jean Charles demanda � la maman de bien vouloir lui
envoyer par internet des photos de sa fille�
Cinq
minutes apr�s le portait de la gamine sortait sur son imprimante couleur�
La
m�me �tait belle, gracile, fine comme il�
aimait�
Deux
minutes apr�s la maman avait la r�ponse�Avec le cachet de la prestation de
service� Deux mille Francs pour une semaine de stage�
C'�tait
le monde � l'envers. C'�tait lui qui fournissait la prestation, et il payait�
Log�
et nourris la fillette� Il avait eu envie de rajouter : " Boisson laiteuse
et p�n�trations comprises�". Mais l'humour, point trop n'en fallait�
La
fillette lui fut amen�e le samedi soir� La surprise fut totale� Le papa et la
maman avait amen� l'autre gamine aussi� Eve, la plus jeune �g�e de dix ans�
Devant
la perplexit� de Jean Charles, le couple lui expliqua qu'ils ne pouvaient pas
faire autrement�Ils partaient ce soir dans un club de vacances.
La
personne qui devait garder la plus jeune s'�tait d�sist�e au dernier moment�
La
seule solution trouv�e, �tant qu'il garde les deux gosses ensembles�
Jean
Charles ne se d�monta pas, faisant remarquer quand m�me que cela n'�tait pas
pr�vu au programme, mais que c'�tait faisable�
Il
questionna le couple pour savoir si ils �taient d'accord pour qu'il �duque la
petite aussi� Les parents soulag�s qu'il accepte les deux enfants ne firent
aucune objection� Faisant m�me remarquer qu'apr�s tout� Un peu plus tard ou un
peu plus t�t�
Si
cela pouvait leur apporter la tranquillit� dans leur vie familiale�
Des
gros bisous furent fa�tes aux fillettes par les parents, leurs derni�res
recommandations aux deux gamines �tant qu'elles soient tr�s sages et qu'elles
fassent tout ce que le Monsieur leur demanderait� Que c'�tait bien dit�
Ils
viendraient rechercher leurs enfants dans huit jours�
Les
parents s'�clips�rent rapidement, non sans avoir demand� et re�u les deux mille
Francs en esp�ce�
Laura,
la plus grande avait l'air de tr�s bien dig�rer le d�part de ses parents,
il
n'en �tait pas de m�me pour la plus petite� Eve se mit � pleurer aussit�t.
Jean
Charles la consola comme il put�Allumant la t�l�vision, essayant par tous les
moyens de trouver une solution� Rien n'y fit�
Apr�s
tout�Il �tait d�j� vingt et une heure� Il d�cida d'envoyer tout ce beau monde
au lit. Il pr�vint les deux fillettes : " Je n'ai pas eu le temps de faire
vos chambres, pour cette nuit, vous allez coucher dans la mienne "�
Les
deux petites filles suivirent le Monsieur dans sa chambre, d�ball�rent leur
affaires et assez rapidement se retrouv�rent en l�g�re chemise de nuit�
Mon
Dieu, qu'elles �taient belles�
Jean
Charles gentiment, leur montra le chemin de la salle de bain�
Ablutions
obliges, les gamines se lav�rent sommairement, la grande aidant la petite
quelques fois� Pour la premi�re fois, il entendit la charmante voix de Laura,
engueuler Eve, sa petite s�ur�
Il
intervint aussit�t� Leur disant qu'� partir de maintenant elle �taient en stage
chez lui, et qu'il n'�tait plus question que cela recommence�
Apr�s
avoir bu un grand verre de jus d'orange et fait leur petit pipi, les gamines se
retrouv�rent toutes penaudes dans le grand lit de Jean Charles�
Lui, sans se d�monter
se d�shabilla, ne gardant que son slip, puis il se glissa dans le doux lit d�j�
un peu r�chauff� par la pr�sence des deux chieuses�
Il
se pla�a juste au milieu, entre les deux fillettes�
Il �teignit
la lumi�re aussit�t, et sans perdre un seul instant commen�a � mettre chacune
de ses mains sur le bassin de chaque fillette� Les deux pucelles se tourn�rent
de l'autre c�t�, en se recroquevillant enti�rement� Ce qui n'emp�cha en aucune
mani�re Jean Charles de commencer � caresser leur petit cul, leurs cuisses et
leur chute de reins�
Se
doutant un peu de la r�action verbale que les caresses allaient certainement
amen�es chez les deux gamines, il pr�f�ra prendre les devants et se mit � leur
parler � voix haute :
"
Bon les gamines, vous �tes ici chez moi pour apprendre beaucoup de choses�
Vos
parents m'ont donner l'autorisation de vous �duquer sur les choses de la vie�
On appelle ainsi tout ce qui concerne la sexualit� et tout ce qui peut donner
du plaisir, aux hommes, aux femmes, aux petits gar�ons, et aux petites filles�
Je suppose que vous savez d�j� comment on fait les b�b�s� Ca c'est pas
compliqu� Par contre avec un minou et un zizi on peut faire beaucoup d'autres
chose, on peut s'en servir pour se donner du plaisir et �tre heureux� C'est le
plus important� Etre heureux� On peut aussi donner du plaisir � ses copains et
copines�Mais pour �a, faut d�j� savoir comment faire et avoir le mode d'emploi�
Et croyez moi, il n'y a pas beaucoup de gens qui savent comment faire pour
donner ou prendre du vrai plaisir�Vous �tes privil�gi�s, vous allez avoir la
chance d'�tre �duqu� au bonheur� Au vrai�
Vos
parents ont compris �a, se sont vraiment des gens supers et intelligents�
�Pour commencer, je vais vous faire pleins de
caresses partout, puis des bisous aussi. Au d�part, il faut que vous vous
laissiez faire, vous verrez c'est tr�s bon, vous allez aimer. Je vais juste
vous demander de faire tout ce que je vous dirai� Comme �a tout ira tr�s bien,
je vais vous apprendre beaucoup de choses�
Il
vaut juste vous laissez faire...
Pour
ce soir, on fera que des bisous et des caresses, apr�s dodo�".
Le
silence �tait total� Les gamines se taisaient, attendant la suite de son
"hom�lie"�
�Il n'y eut aucune suite verbale� Jean Charles
une seconde apr�s, promenait ses mains sur le dos et les fesses des petites
filles� Pendant plus de cinq minutes, il ne fit que caresser les gamines, de
leur nuque � leur croupe� S'attardant sur leur colonne vert�brale, descendant �
nouveau sur les petites fesses, les malaxant astucieusement� Puis il remontait
doucement sur la nuque des gosses , la massant d�licatement et patiemment�
Il
commen�a � ressentir les fruits de son travail� Les gamines se d�tendaient
enfin��
�
Alain
�coutait sans rien dire, il n'en revenait pas� Le r�cit de Jean Charles le
faisait vibrer intens�ment,
Il
racontait l'histoire, � la troisi�me personne en la vivant, ou en la faisant
vivre en m�me temps par une tiers personne�
Cela
donnait au r�cit encore plus de suspense�
Plus
aucun doute n'effleurait son esprit. Jean Charles �tait vraiment un expert en
la mati�re, un d�puceleur de petites filles n� Un bienfaiteur de l'humanit�
Il
rendait service � tellement de parents�
Dieu
ne l'avait peut �tre cr�� que pour �a�?
�
Le
r�cit n'allait peut �tre pas assez vite pour son go�t�
Alain
osa une petite phrase :� " Et
apr�s�? ".
P.S.
Note sur l'inceste et la p�dophilie :
Une petite fille
ou un petit gar�on est un �tre humain, et ne m�rite en aucune fa�on d'�tre
perturb� dans son d�veloppement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect
de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour
et ne l'auront peut �tre jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un �tre.
Le v�ritable
courage dans la vie, consiste � donner le bonheur qu'on a pas eu,
et surtout de ne
pas rendre le mal qu'on nous a fait�
Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs
pour tenter Adam et Eve� Lucifer se porta volontaire, lui qui �tait pourtant
l'un des sept grands archanges de notre syst�me solaire, ou sa mission �tait de
garder la plan�te V�nus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanit� �
faire grandir sa spiritualit� en la soumettant � toutes les tentations.
Ce qu'il fit� La t�che que lui confia dieu fut
certainement une des plus importantes de la cr�ation. Elle n'est pas finie,
elle doit permettre � l'�tre humain de s'�lever, de r�v�ler sa v�ritable
lumi�re int�rieur, d'affirmer sa spiritualit� en r�sistant au mal, qui lui m�me
fait parti int�grante du bien.
Comprenne qui pourra �.
Le r�cit complet, corrig� est d�pos� � l'INPI par enveloppe SOLO,� il reste la propri�t� de son auteur.
Vous pouvez publier les extraits sur tous les sites gratuits pour adultes.
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