Le r�cit complet, corrig� est d�pos� � l'INPI par enveloppe SOLO,� il reste la propri�t� de son auteur.
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A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonn�es et explications de d�but et de fin.
� ������� La Livraison
Le docteur t�l�phona le jour m�me � sa banque en Suisse, la totalit� de la somme avait �t� vers�e� Il pouvait livrer la marchandise�
Jean Yves conduisait. Le docteur � c�t� de lui se retournait de temps en temps, histoire de surveiller un peu les deux fillettes.
Am�lie et Sandra dormaient sur la banquette arri�re du v�hicule, somnif�re oblige�
D�j� quatre cent kilom�tre de parcourus�
Vint enfin le moment ou le panneau indiqua le nom de l'aire de repos de l'autoroute, il �tait huit heures du soir, la nuit commen�ait � tomber.
Il roula doucement, avan�a le v�hicule jusqu'aux toilettes, bon nombres de voitures �taient gar�es devant.
Seulement une camionnette r�pondait au signalement�
Le docteur descendit de la voiture, se dirigea vers un urinoir, sortit son engin et� soulagea sa vessie.
Puis il commen�a � siffler un air bien connu de tous, puis trente secondes apr�s un autre air moins connu celui l��
Puis vint la m�lodie des deux morceaux encha�n�es�
C'�tait le code de reconnaissance�
Aussit�t dehors il fut abord� par un homme d'une cinquantaine d'ann�e, type m�diterran�en.
Ils parl�rent environ deux minutes, puis remont�rent dans leur v�hicule et d�marr�rent aussit�t.
Le docteur suivit la camionnette en laissant une distance raisonnable.
Ils quitt�rent l'autoroute, roul�rent une dizaine de kilom�tres avant de bifurquer vers un chemin de terre conduisant � l'or�e d'un petit bois.
Les deux v�hicules s'arr�t�rent�
Deux hommes et une femme descendirent et se dirig�rent vers leur voiture.
Le docteur et Jean Yves firent de m�me. Les pr�sentations furent� sommaires. Rapidement les porti�res arri�res furent ouvertes, les deux gamines qui dormaient toujours profond�ment furent extirp�es de la voiture et rapidement plac�es � l'arri�re de la camionnette.
La femme �tant charg�e d'�valuer la "marchandise", ne trouva rien � redire�
On remit au docteur une grande enveloppe contenant un acompte sur la livraison futur. Tout ce beau monde se serra la main.
Rapidement les deux v�hicules repartirent chacun de leur c�t�
La premi�re chose que fit l'inspecteur de police V�ronique trouv�, fut de s'assurer que les deux fillettes �taient vraiment en bonne sant�
L'inspecteur Gauthier conduisait la camionnette.
Le commissaire principal Vaudou � c�t� de lui avait voulu couvrir l'affaire lui m�me.
Un truc comme il disait " d'une telle importance " ne laissait pas de place � une bavure, si minime soit elle.
Vaudou prit son portable et composa le num�ro priv� du procureur de la r�publique. Celui-ci attendait impatiemment l'appel�
Le commissaire lui signifia que les deux petites filles avaient �t� r�cup�r�es saines et sauves�
Il pr�cisa que l'argent pour la prochaine livraison avait �t� remis au docteur.
Ils �taient pr�ts pour la suite�
Depuis des semaines une �quipe de huit inspecteurs travaillaient sur l'affaire, rien n'avait �t� laiss� au hasard�
Du moins l'esp�raient-ils�
Le plus difficile avait �t� de r�unir les fonds pour racheter les fillettes.
L'affaire �tait mont�e jusqu'au ministre de la justice, qui lui m�me avait fait d�bloquer la somme�
On n'utilisait pas facilement l'argent du contribuable, m�me en �tant presque sur de r�cup�rer la mise de fond.
Le gouvernement Suisse avait n�goci� son fameux : " secret bancaire ".
Enfin tout c'�tait bien pass�, les banques avait jou� le jeux�
Les fillettes furent d�pos�es rapidement dans un h�pital de la r�gion, des examens devaient �tres pratiqu�s.
Les familles des deux gamines furent pr�venues dans l'heure qui suivit.
Les parents pleuraient de joie au t�l�phone�
Le commissaire Vaudou n'aimait pas cette affaire, cette fa�on de proc�der le d�go�tait�
Ses sup�rieurs avaient exig� que le r�seau complet soit �radiquer, clients compris.
Cela se traduisait par la filature du gang pendant de nombreuses semaines.
Lui, aurait pr�f�rer intervenir tout de suite, r�aliser un coup de filet au pavillon, tout aurait �t� plus rapide.
Ses sup�rieurs avaient contrecarr� ses plans, de peur qu'il arrive quelque chose aux enfants pendant l'intervention�
Les ordres �taient les ordres�
La r�cup�ration des deux petites filles �tait d�j� un point positif�
Encore combien d'enfants � r�cup�rer ?. Il fallait interroger les deux fillettes, dans quelques heures ils en sauraient un peu plus�
�
Le lendemain fut jour de repos pour tout le monde, Nadine, Audrey et K�vin jouaient ensemble. Sandy s'occupait de Laura, la fillette allait se remettre, mais cela risquait d'�tre assez long. Les s�vices pratiqu�s sur elle l'avaient marqu�s physiquement et psychologiquement.
Le docteur regarda ses deux nouvelles proies� L'une l'int�ressait plus que l' autre, elle devait avoir sept ou huit ans au maximum�
Son intimit� devait �tre encore plus serr�
Les deux gamines furent amen�es au pavillon, le docteur demanda � Jean Yves de le laisser seul��
Il allait s'occuper des fillettes lui m�me�
L'une apr�s l'autre, Il les descendit � la cave. Pla�ant les deux petites filles sur le plus grand lit, il commen�a par les d�shabiller.
Il ne leur laissa que leur petite culotte. Il put comparer�
Leur corps �tait parfait. La diff�rence d'�ge �tait de deux ans � peu pr�s� Il �tait beaucoup plus int�ress� par la plus jeune.
La fillette avait huit ans au maximum� Il ne l'avait jamais fait�
Il voulait savoir si c'�tait faisable�
Il se rendit compte un court instant qu'il devenait fou�
Trop court moment de lucidit� Plus aucune morale ne lui effleurait l'esprit.
Il d�cida de passer outre, au point ou il en �tait�
Comme docteur il avait vu des fillettes de Quatre ans ayant �t� p�n�tr�e par devant et par derri�re.
Il avait �t� oblig� de soigner ces enfants, la premi�re fois il en avait d�gueuler.
Cela l'avait tellement perturb� pendant des ann�es. Il s'�tait pos� la question de plus en plus souvent, � quel �ge cela pouvait-il rentrer ? Cette question avait peu � peu d�rang� son esprit, au point de devenir presque fou...
A partir de ce moment il avait commenc� � d�sirer des fillettes, le ph�nom�ne c'�tait acc�l�r� depuis ces derni�res ann�es.
Irr�versiblement, le processus de fixation s'�tait implant� dans son cerveau.
Il avait presque �t� oblig� de passer � l'acte, essayant quand m�me de r�sister pendant des mois� Il avait �chou�
Les gamines dormaient profond�ment, cela durerait longtemps. Il mit la plus jeune sur le ventre, �carta ses cuisses au maximum.
Le tissu �lastique de sa petite culotte moulait tr�s bien chaque petite fesse.
Avec un doigt il fit rentrer le coton dans la raie m�diane.
Les deux petits d�mes bien s�par�s saillirent encore plus. Le petit cul de r�ve laissait appara�tre une chute de reins exceptionnelle, creus�e et tendue � souhait. Cette petite fille �tait un vrai bijou�
Il avait besoin de la souiller� Trop de beaut� et d'innocence l'exasp�rait, le d�routait, le retournait int�rieurement.
Il n'avait jamais r�ussi � comprendre le m�canisme de son cerveau�
Il adorait ce qui �tait beau, mais ce qui en �tait le summum pour lui �tait malheureusement interdit par la loi.
On ne pouvait pas toucher� M�me regarder des photos �tait devenu interdit� Cela n'avait pas �t� toujours comme �a.
Ces pratiques, jadis des continents, des rois et m�me des d�mocraties les avaient appr�ci�s et tol�r�s...
Les temps avaient chang�, la soit disant morale �tait pass�e par l��
La soci�t� permettait m�me aux enfants de devenir homosexuels. Le bourrage de cr�ne commen�ait tr�s t�t.
La t�l�vision, les films, les chansons, et m�mes les lois� Tout �tait fait pour que les gosses soient oblig�s d'accepter l'id�e que devenir homosexuel �tait une chose naturelle� Lui �tait aussi de cet avis�
Mais pour ceux qui aimaient les enfants le langage �tait diff�rent�
Pourtant les sp�cialistes �taient tous d'accord sur un point, si il y avait une d�viation,
celle-ci �tait incluse dans le code g�n�tique, au m�me titre que l'h�t�rosexualit�, la bisexualit� ou l'homosexualit�
Le pr�texte des "anti" �tait simpliste� Les enfants n'avaient pas leur libre arbitre�
Bien sur qu'ils ne l'avaient pas, la majorit� des adultes ne l'avaient jamais eu, alors des enfants�
Le libre arbitre, c'est justement de pouvoir faire une exp�rience, et de savoir s'il elle vous plait.
Si elle ne vous plait pas, vous passez � autre chose� L'�ge n'a rien � voir la dedans�
L'apprentissage du cerveau humain fonctionnait ainsi, depuis des milliers d'ann�es.
L'acquisition de la sexualit� avait un cheminement identique�
Au lieu de �a on conditionnait les adultes et les enfants � respecter des sch�mas types qui ne correspondaient
pas � leur personnalit� et � leurs besoins sp�cifiques�
Tous admettaient qu'on �taient diff�rents, bien peu le pratiquaient pour eux m�mes ou pour leurs enfants.
Le libre arbitre, il �tait o��?
Comme toujours la formule favorite des cons restait et resterait encore longtemps :� " Fais ce que je dis et pas ce que je fais�".
Ils avaient d�j� tous oubli�s leurs jeux de touche pipi� Lorsqu'ils avaient entre six et dix ans�
Pourtant, la sexualit� qu'ils avaient d�velopp�e et construit � cet �ge �tait toujours la leur�
Et oui sur terre il y avait autant de sexualit� que d'�tres humains�
Combien de personnes le comprenaient�
La sexualit� changeait doucement� Les deux h�misph�res du cerveau �taient encore en conflit�
Le cerveau reptilien de "l'animal humain" en place depuis des centaine de milliers d'ann�es r�gressait,
tandis que l'autre celui de la logique, de l'intelligence et de l'amour gagnait du terrain�
Le code g�n�tique se modifiait peu � peu�
Il fallait remettre les pendules � l'heure�
Tous avaient eu des descendant p�dophiles, homosexuels, ou bi-sexuels, ou h�t�rosexuels�
Son p�re, son arri�re grand p�re, ou l'arri�re arri�re, arri�re, etc�
Personne ne pouvait jeter la pierre � quelqu'un d'autre�
Personne n'�tait � l'abri d'avoir un enfant "hors normes".
Surtout avec ce qu'on nous faisait bouffer et respirer, actuellement�
Le code g�n�tique allait muter dans le bon ou le mauvais sens� ?
Les expertises �taient plut�t inqui�tantes� Selon un rapport �manant des services secrets�
Depuis dix ans, l'intelligence de l'�tre humain diminuait de un pour cent par an�
Alors, l'esp�ce humaine allait t'elle s'en sortir ? L'esp�ce certainement, oui�
Humanit� Peut �tre pas� A force d'�tre con, et surtout de vouloir le rester�
Pour qu'elle s'en sorte l'humanit�, Il faudrait d�j� apprendre un jour � nos enfants que la sexualit� sert avant toute chose � donner et � prendre du plaisir, et non uniquement � procr�er. Les rapports demand�s par certains gouvernements et effectu�s par des sp�cialistes �taient visibles par tous sur internet� La violence r�currente et intrins�que de la jeunesse actuelle venait en priorit� du manque de tendresse, de c�lins, de caresse dans la tendre enfance.
Et bien sur du manque de compr�hension des choses concernant la sexualit� des enfants.
�
Et si les "grands penseurs" qui faisaient les lois continuaient, � �tre aussi ignorant des besoins cr��s par la nature, la situation ne s'arrangerait jamais� Pr�s de cent pour cent des p�dophiles se contentaient de fantasmer devant des photos d'enfants�
Cela leurs suffisaient. Qu'allait il arriver si ils ne pouvaient plus se d�fouler de cette fa�on, ne risquaient ils pas de sombrer dans une obsession diff�rente et bien plus dangereuse ? Celle peut �tre de passer � l'acte.
Avant, celui qui ne pouvait pas faire autrement que passer � l'acte partait en vacances dans un pays qui tol�rait plus que moins le tourisme sexuel depuis des d�cennies�Pendant des ann�es ces pays avaient ferm� les yeux sur ces pratiques.
Cela rapportait trop de devises� Rien n'avait chang� r�ellement d'ailleurs�
Dans ces pays les m�mes h�tels pour prostitu�s mineurs n'avaient pas �t� ferm�s pour �a�
Les gouvernement bien pensant avaient trouv� la solution id�ale pour ne pas g�cher les belles et honorables relations diplomatiques entre pays� Si plainte il y avait�
Le contrevenant �tait jug� dans son pays � son retour� Rarement dans le pays ou l'acte s'�tait d�roul�
Mais il fallait se rassurer, dans ces m�mes pays, on pouvait toujours acheter un petit gar�on ou une petite fille � ses parents.
Assez cher il est vrai� Mais lorsque que vous �tes p�dophile, pour �tre tranquille il vaut mieux �tre assez ais�
Il aurait fallut inventer le mot "P�dofric" pour r�sumer la situation en un seul mot�
Non, si vous n'avez pas beaucoup d'argent, contentez vous de vous masturber en regardant des photos nus de petits gar�ons ou de petites filles�( Attention maintenant c'est interdit par la loi� On peut seulement aller se faire foutre�).
Ces m�mes pays ferment encore les yeux sur les soient disant� dons de sang ou d'organes, effectu�s sur des enfants�
En r�alit� les gosses sont kidnapp�s et mutil�s pour la vie dans le meilleur des cas�
Quelquefois des corps sans vie sont retrouv�s� Et puis ceux que l'on ne retrouve pas�
Mais les bonnes consciences pouvaient se rassurer�Le probl�me n'est certainement pas le m�me�
Enti�rement diff�rent disaient-ils� ?
En somme se payer une petite fille ou un petit gar�on "consentant" pendant quelques heures, �tait plus d�gueulasse que de se payer un organe pr�lev� sur un d'enfant non consentant�
Ou encore que d'acheter un enfant pour usage personnel et intensif�En gros c'�tait �a �?
Il se rappelait � Paris� Il y avait d�j� vingt ans, place de la " Con corde ? "�
Des petites filles �g�es d'environ douze ans maximum "stationnaient" l'apr�s midi � un endroit strat�gique de la place�
Une limousine avec vitres teint�es et chauffeur s'arr�taient � la hauteur de la fillette�
Le chauffeur en casquette et habits de ma�tre descendait, ouvrait la porti�re et tr�s courtoisement invitait la petite fille � "monter"
La voiture red�marrait, et allait certainement retrouver un Monsieur qui travaillait en usine, ou dans un bureau�
Ou peut �tre un bas fonctionnaire ( et oui�Si il y a les hauts fonctionnaires, les "bas" doivent exister aussi�).
A l'�poque le tarif �tait de cinq mille francs pour l'apr�s midi�
Un de ses amis ministre l'avait rencard�
Non� Ce n'�tait certainement pas un ouvrier ou un fonctionnaire de police qui pouvait se payer une voiture pareille�
�Eux, ils n'avaient pas encore conscience d'�tre pris pour des cons� Cela allait peut �tre venir�
Le man�ge �tait identique quatre jours par semaine�
Seules les voitures et les petites filles �taient diff�rentes. Chut�
Lorsqu'on a c�toy� et conseill� des ministres et des Rois, on en sait des choses.
Mais on les gardes pour soi, tant qu'on garde sa tranquillit� Chut��
Toutes ses pens�es lui passaient dans la t�te � une vitesse vertigineuse�
Lui n'avaient m�me plus conscience d'�tre pass� du c�t� de la folie.
Si on lui avait permis d'aimer la seule petite fille qui avait r�ellement compt� pour lui dans sa vie, tout aurait �t� peut �tre diff�rent� Eve� Sa petite Eve�
La fille d'une de ses patiente� Pas patiente du tout la Maman, elle ne l'avait m�me pas �cout� une seconde�
Balanc� aux flics�Fini le docteur�Bonjour le conseil du d�sordre� Le blocage l'avait an�anti�
Plus que le fait de ne plus pouvoir exercer son m�tier� Cass� le docteur�
�
Trop de souffrance autour de lui� La sienne, celle des autres�
Pas assez de beaut�, pas assez de caresses, pas assez d'Amour�
Cass� le docteur�Pas r�cup�rable�Trop tard�Trop de cons�
Il mit un coussin sous le ventre de la gamine, son cul en hauteur se trouva encore plus mis en valeur�
Il se d�v�tit enti�rement, tout nu�
En �rection compl�te, il s'assit sur le lit, jambes �cart�es.
Il s'arrangea pour lever la t�te de la petite fille et mettre sa bouche � la hauteur de sa bitte�
Il n'eut aucune difficult� � ouvrir sa cavit� buccale et � lui rentrer sa verge dans l'orifice b�ant.
Elle �tait dans une position extr�mement inconfortable, son cul et sa t�te sur�lev�e, nuque tendue au maximum�
Il appr�cia la chaleur moite de son orifice buccal, joua � rentrer son engin au fond de sa gorge pendant un long moment,
puis il se retira� Il alla chercher une paire de ciseaux et s'approcha de ses fesses�
Il voulait qu'elle garde sa belle petite culotte rose � dentelle, elle enserrait trop bien ses deux petites fesses�
Mais il voulait aussi avoir l'acc�s � son intimit�
Il d�coupa habilement un trou circulaire d'un diam�tre d'une pi�ce de cinq francs juste au niveau de son anus,
fendit aussi le devant de la petite culotte, juste au niveau de la petite fente�
Contemplant intens�ment le spectacle, il mit un doigt dans le trou pratiqu�,
ressentit imm�diatement la petite corolle de son anus juste derri�re.
Il fit pareille devant, ouvrit la petite d�coupe pratiqu�e sur le tissu juste au niveau de son sexe�
Son minou �tait bien l�, ferm�, clos herm�tiquement�
Il ne put r�sister longtemps, sa bouche s'approcha de la petite culotte.
Sa langue� fouilla d'abord le petit trou pratiqu� par derri�re. Il titilla, l�cha, mouilla, elle sentait le cul, comme il aimait�
Puis sans aucune notion d'hygi�ne, il fit de m�me avec la fente de son sexe�
Celui-ci �tait beaucoup plus ferm� que son anus. Il s'attarda � l'endroit du clitoris.
Il ne palpa rien avec sa langue, mais il se doutait que le petit bourgeon �tait bien l�,
cach�,� pr�t � remplir son office de jouissance�
Il r�ussit quand m�me � d�coller les l�vres de son sexe et � l'ouvrir un peu.
Il la fouilla m�ticuleusement, rentrant ce qu'il pouvait de sa langue dans son vagin�
La gamine dormait, mais commen�ait � bouger l�g�rement� Inconsciemment la petite fille commen�ait � aimer�
Le man�ge dura plus d'un quart d'heure. Plus il la fouillait,
plus elle s'ouvrait, un liquide au go�t �pic� et suave se r�pandit sur ses papilles�
Involontairement la fillette commen�ait � mouiller�
Il se releva. Alla chercher une seringue neuve sans aiguille,
il la remplit d'une huile prise dans un petit flacon, puis retourna au cul de la gosse�
Il allait lui remplir l'anus, lorsqu'au m�me moment le t�l�phone de son portable sonna�
Cette ligne �tait r�serv�e pour les urgences, seul Jean Yves, Sandy et Mr Dupuis avaient ce num�ro�
Il abandonna la petite fille, se pr�cipita sur ses affaires, fouilla dans sa poche int�rieure de veste et fut rapidement connect�
C'�tait Jean Yves� Affol� Il hurlait de peur, les forces de police donnaient l'assaut au pavillon principal�
Il s'�tait r�fugi� dans les toilettes avec son t�l�phone portable� Il ne savait pas quoi faire, les flics tambourinaient � la porte�
Le docteur pouvait entendre les coups frapp�s � la porte des W.C., ainsi que les gueulement des policiers dans son t�l�phone�
En une seconde le docteur avait compris. Il coupa la communication t�l�phonique�
Le sort de Jean Yves et Sandy �tait scell�, il n'y pouvait plus rien�
Il fallait faire vite, tr�s vite, il se rhabilla � une vitesse incroyable, remonta par l'�troit escalier du pavillon.
Avait-il encore le temps de se sauver, de sortir de ce pi�ge� Il regarda dehors� Tout �tait silencieux et normal�
Il prit dans un secr�taire sa trousse m�dicale. Une somme d'argent, plus de deux cent mille francs dans une grosse enveloppe.
Il n'oublia pas un revolver et une boite de munitions�
Il se pr�cipita dehors, claqua la porte derri�re lui, se mit � courir � travers champs. Il connaissait bien la r�gion, la route nationale �tait � trente minutes de marche. Pour l'atteindre sans probl�me il devrait couper en ligne droite � travers la campagne.
A son avis les flics ne devraient pas tarder, pas question de marcher sur la route d�partementale�
Tout essouffl�, il arriva plus de trente minutes apr�s sur la nationale. Il �tait vingt et une heure.
Les voitures passaient et repassaient sans arr�t. Il s'arr�ta au bord de la chauss�e, leva son pouce�
Avec son costume sombre et sa sacoche m�dicale � la main, il faisait vraiment docteur�
Il n'eut pas longtemps � attendre. Une voiture familiale conduite par une femme s'arr�ta.
Tr�s courtoisement il lui expliqua� qu'il �tait docteur, que sa voiture �tait tomb�e en panne au retour d'une visite chez un patient.
La femme heureuse et satisfaite de pouvoir rendre service � un praticien dans le besoin,
ouvrit aussit�t la porti�re c�t� passager�
Un peu plus loin ils crois�rent trois voitures de police, gyrophares allum�s et sir�nes hurlantes�
Un rictus de sourire tendit l�g�rement le bas de son visage.
Les deux fillettes � l'arri�re du v�hicule �taient contente que leur maman ait prit en stop un vrai docteur�
L'auto-stoppeur ne put r�sister longtemps. Il dit � la dame : " Elles sont gentilles vos petites filles�".
Puis ne pouvant plus r�sister il demanda� :
" Elles ont quel �ge ? �".
���������������������������������������������� �� ��������������� ���FIN
P.S.
Note sur l'inceste et la p�dophilie :
Une petite fille
ou un petit gar�on est un �tre humain, et ne m�rite en aucune fa�on d'�tre
perturb� dans son d�veloppement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect
de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour
et ne l'auront peut �tre jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un �tre.
Le v�ritable
courage dans la vie, consiste � donner le bonheur qu'on a pas eu,
et surtout de ne
pas rendre le mal qu'on nous a fait�
Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs
pour tenter Adam et Eve� Lucifer se porta volontaire, lui qui �tait pourtant
l'un des sept grands archanges de notre syst�me solaire, ou sa mission �tait de
garder la plan�te V�nus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanit� �
faire grandir sa spiritualit� en la soumettant � toutes les tentations.
Ce qu'il fit� La t�che que lui confia dieu fut
certainement une des plus importantes de la cr�ation. Elle n'est pas finie,
elle doit permettre � l'�tre humain de s'�lever, de r�v�ler sa v�ritable
lumi�re int�rieur, d'affirmer sa spiritualit� en r�sistant au mal, qui lui m�me
fait parti int�grante du bien.
Comprenne qui pourra �.
Le r�cit complet, corrig� est d�pos� � l'INPI par enveloppe SOLO,� il reste la propri�t� de son auteur.
Vous pouvez publier les extraits sur tous les sites gratuits pour adultes.
A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonn�es, notes et explications de d�but et de fin.