ATTENTION : Textes apocryphes d'Alain Terdit.

 

AVERTISSEMENT :

 

Les sc�narios d�crits sont inspir�s de faits r�els. Ils sont d�velopp�s pour �tudier et conna�tre les m�thodes de ceux qui kidnappent ou torturent des enfants. Les r�cits imagin�s et inspir�s par ces m�thodes sont de la pure fiction etimaginaires. Bon nombre critiqueront, pourquoi avoir fait ce ramassis d'histoires "honteusement merdiques". Je leur r�pondrais que justement, c'est parce que la merde existe. Lorsqu'on la voit, on peut l'�viter, ne pas marcher ou tomber dedans� Il ne s'agit pas que ces histoires soient lues par des mineurs, c'est tellement �vident. Ces r�cits doivent �tre lues par des gens responsables et sains d'esprit, dans le but unique de conna�tre sans se voiler la face que de telles pratiques existent�

 

Extraits bruts et non corrig�s de :Fillettes mode d'emploi�� 140 Pages

�������� �������������������������������� et de :Rose sans bonbon�� 216 Pages�������������������

Auteur : Alain Terdit

Titre : La chambre des tortures (Ces r�cits sont imaginaires et doivent le rester).

�������� : La pr�paration d'Emmanuelle

�������� : Les supplices

�������� : Les supplices de Laura

 

Pour m'�crire : [email protected]

�������� ����� Ou : [email protected]�������������������������������������������������������������

 

Les r�cit complets, corrig�s sont d�pos�s � l'INPI par enveloppe SOLO,ils restent la propri�t� de leur auteur. 
Vous pouvez publier les extraits sur tous les sites gratuits pour adultes. 
A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonn�es et explications de d�but et de fin.

 

ATTENTION : Textes apocryphes d'Alain Terdit.

 

La chambre des tortures

 

 

Tous les murs de la pi�ce �taient enti�rement tapiss�s de laine de verre, ainsi que le plafond� L'ensemble recouvert d'une tr�s �paisse moquette de couleur rose faisait de cette endroit de quatre m�tres sur cinq une parfaite chambre sourde. Aucun son ne pouvait sortir de cet endroit. Il avait aussi rendu la porte �tanche, la recouvrant des m�mes mat�riaux, avec en plus des joints caoutchouc�

L'essai avec sa cha�ne HIFI volume � fond avait �t� concluant. Dans le couloir � un m�tre, on entendait presque rien. Il avait fallu qu'il plaque son oreille sur la porte pour percevoir tr�s l�g�rement la musique�

Une fillette pourrait gueuler de douleur, personne ne l'entendrait�

La chambre de torture, comme il la nommait n'avait rien de commun avec une pi�ce d'habitation, seul un grand lit recouvert d'une grande couette de couleur rose avait un aspect humain, le reste �tait uniquement fonctionnel.

Aucun doute n'�tait permis, tout dans cet endroit �tait fait pour faire souffrir. Des anneaux aux murs sur lesquels pendaient de longues cha�nes en acier inoxydables, se terminant par des colliers avec serrure pouvant se fixer aux extr�mit�s des membres�

Un syst�me de trap�ze command� par des poulies et un treuil avaient �t� am�nag� au plafond,permettant d�immobiliser et d��carter dans toutes les positions un corps humain, ceci pour proc�der � toutes les interventions d�sir�es.

Au milieu, une grande roue �tait install�e � la verticale, elle pouvait tourner sur elle m�me, des bracelets de cuir pendaient � diff�rents endroits�

Un portique sur lequel �taient suspendus aussi deux harnais et des sangles, sans oublier les bracelets de cuirs, tr�nait pr�s d'un mur.

Une table gyn�cologique permettait d'ausculter les petites femelles, cuisses �cart�es, jambes en hauteur reposants sur des �triers, bras et chevilles maintenus, attach�es par des sangles.

Une armoire sans porte, remplie de m�dicament� Seringues, bocaux, tuyaux de lavement et ustensiles m�dicales.

Une autre enti�rement en verre laissait appara�tre sur chaque �tag�re une multitude d'instruments de torture, pinces � seins, cisailles, tenailles, limes, scies, �carteurs, aiguilles de dimensions divers, bistouris, perceuses et scie �lectrique�

Une collection incroyable de godemich�s de toutes dimensions ayant des formes les plus bizarres tr�nait sur la plus haute �tag�re.

Fix�s � l'un des murs, et reposant uniquement sur des crochets, des fouets, martinet simples ou se finissant par des petites boules m�talliques, planches � clous, badines, nerfs de b�ufs, barre de ferre, ceintures de cuir�

Dans un coin de la pi�ce, un petit lavabo muni d'une clef sp�ciale sur la canalisation principale, permettait de supprimer l'eau en cas de punition�

A c�t� d'un mur, une douche sommaire, un bidet pour que les fillettes puisse se laver et rafra�chir ce qui tr�s vite allait devenir congestionn� et en feux�

Une particularit� avait �tait rajout� sur ce dernier accessoire de lavage du sous bassement des gamines�

On pouvait les y asseoir, et les forcer � rester dessus autant qu'il plaisait.

Des sangles avaient �t� fix�es aux murs, elles permettaient de maintenir les bras tendus en hauteur. Les attaches fix�s sur le sol �taient charg�es d'immobiliser les cuisses en position �cart�e. La petite fille �tait donc forc�e de rester assise le post�rieur et le vagin dans l'eau autant de temps qu'il le d�sirait�

Cela n'avait l'air de rien, mais il savait pour l'avoir pratiqu� que cette torture �tait horrible�

Il suffisait d'asseoir la gamine dessus, les cuises �tant tenus �cart�es � fond par les attaches fix�es au sol, de boucher un peu le trou d'�vacuation et de laisser couler l'eau tr�s l�g�rement�

L'eau froide remplissait son office tr�s rapidement, engourdissant le bas ventre et le post�rieur de la fillette, au bout de trente minutes elle commen�ait � trembler de froid, au bout d'une heure elle suppliait pour qu'on la d�tache�

Il l'avait exp�riment� avec une petite fille de huit ans qui refusait de sucer sa bitte. Il l'avait laiss� une heure dessus� Elle le suppliait tellement d'arr�ter, qu'il s'�tait mis debout, les jambes �cart�es au dessus d'elle, la bitte sortie �

Elle avait happ� aussit�t sa queue et avait fait sa premi�re fellation en avalant toute la jutte, sans en laisser une goutte, comme il lui avait ordonn�

En plus le bidet nettoyait et insensibilisait en m�me temps, lorsqu'une fillette avait trop mal, c'�tait la solution id�ale���

Le ravissement des yeux n'avait pas �t� oubli�, sur l'un des murs un pr�sentoir de six �tages, lui aussi enti�rement en verre transparent laissait appara�tre une multitude d'habits, de gaines, des petites culottes d'enfants, des soutiens gorges avec ou sans bonnets, des bas et collants de toutes les couleurs.

Sans oublier les petites culottes sp�ciales, avec ouverture par boutons pression ou fermeture �claire sur le devant ou le derri�re, pour laisser passer les instruments de travail�

Un �tage plus haut que les autres supportait une tringle sur laquelle coulissait des portes manteaux avec attaches. Un assortiment complet de mini-jupes, short, tuniques, pouvait �tre s�lectionn� rapidement�

Uniquement des v�tements �rotiques d'enfants,pas n'importe quelle taille, juste de sept � onze ans. Le ravissement des yeux �

Il d�posa la petite fille d'� peine huit ans sur le grand lit, elle dormait profond�ment�

Il verrouilla la porte de la chambre sourde, appuya sur un interrupteur, un d�clic se fit entendre, suivit aussit�t par un l�ger bourdonnement, le syst�me de ventilation venait de se mettre en fonctionnement�

La laisse de cou, comme il l'appelait, portait bien son nom, d'une longueur de cinq m�tres, elle permettait � la fillette de faire tout ce qu'on lui demandait sans probl�me. Le petit collier en m�tal extr�mement r�sistant enserrantla gorge de l'enfant se fermait avec un cadenas de s�curit�. Une cha�nette en acier reliait l'ensemble � une attache fix�e dans le mur.

Jamais aucune jeune pucelle n'avait pu retirer le collier toute seul�

Bient�t elle serait � lui� Il allait enfin s'amuser comme il le d�sirait�

Il fallait juste attendre qu'elle se r�veille�

 

ATTENTION : Textes apocryphes d'Alain Terdit.

������� La pr�paration d'Emmanuelle

En premier lieu, il la d�shabilla enti�rement, mon dieu qu'elle �tait bien fa�te.

Rien ne clochait, des formes paradisiaques� Huit ans � peine, il allait pouvoir s'amuser� L'�ge id�al, les fillettes �taient encore mall�ables. Apr�s un petit stage d'�ducation sexuelle elles faisaient tout ce qu'il voulait.

Il allait pratiquer comme les fois pr�c�dente, sa m�thode avait fait ses preuves�

Il lui attacha la laisse de cou, puis la laissa se reposer quelques heures.

Il ne pouvait rien faire pour annuler l'effet du somnif�re, il fallait attendre�

Il en profita pour pr�parer tous les accessoires dont il allait avoir besoin pour la suite, puis alla se restaurer un peu.

Huit heures apr�s il revint. Elle dormait encore, il fallait la r�veiller�

Lui mettant sous le nez un petit flacon, il lui fit respirer une essence sp�ciale� L'effet ne se fit pas attendre, Emmanuelle ouvrit les yeux�

Tout de suite, avant qu'elle ne r�agisse il lui donna � boire une grande tasse de caf� extr�mement fort. Sans sucre c'�tait vraiment d�gueulasse, surtout pour une fillette de huit ans, mais c'�tait tr�s efficace pour se r�veiller rapidement.

Trois minutes apr�s la gamine avait retrouv� tous ses moyens. Elle posait des questions, ne comprenant pas pourquoi elle se retrouvait toute nue et attach�e�

Il alla chercher un martinet � simple lani�re dans l'armoire sp�ciale, puis le tenant d'une main devant elle, il lui expliqua�

Ma petite Emmanuelle, comme tu le sais ta maman t'a confi� � moi pour diff�rents tests� J'ai enti�rement carte blanche, j'ai pay� pour �a�

Je peux tout faire avec toi, ta maman est d'accord�

Si tu fais bien tout ce que je te dis, tu l'a reverra dans peu de temps, sinon cela durera tr�s longtemps�

Dans tous les cas, j'ai bien dit dans tous les cas, il faut que tu fasse ce que je te dirai, sinon� Il lui montra le fouet. Tu as bien compris ?

La fillette avait peur, en plus elle crevait de froid, elle lui fit un signe de t�te qui selon elle voulait dire oui�

Un coup de fouet cingla ses cuisses�

Tu dis oui Monsieur � chaque fois�

Tu as compris ?

Au bord des larmes, elle r�pondit un "oui� Monsieur" presque imperceptible.

Bon, je vais te faire prendre une douche� Il prit dans sa poche la clef de sa laisse de cou, l'ouvrit, puis lui demanda de le suivre�

La douche dura assez longtemps, il prit un malin plaisir � lui savonner l'entrejambe� Elle �tait parfaite, le cul bien saillant, une chute de reins splendide, des jambes magnifiques�

Il allait prendre un sacr� plaisir en la remplissant de sperme�

 

Il l'a ramena aussit�t dans la chambre des tortures, puis rattacha sa laisse.

Il descendit le trap�ze du plafond. Aux quatre extr�mit�s pendaient des cordelettes d'environ dix centim�tres sur lesquels �taient fix�s un bracelet de cuir sur chaque. Il les r�gla � la bonne dimension, puis les lui fixa � l'extr�mit� de chaque membre�

Vint le tour de la fixation du harnais passant au tour de la taille, il serra les sangles de la gu�pi�re en cuir au maximum, puis attacha sur celui-ci le c�ble principale charg� de la maintenir en hauteur.

La gamine en croix, les membres �cart�es au maximum �tait � sa disposition. Elle ne pouvait plus bouger du tout�

Lui par contre pouvait man�uvrer la machinerie comme il le d�sirait�

Il �leva la fillette � cinquante centim�tre en hauteur. puis r�gla les cordes reliant les chevilles de fa�on que la petite se retrouve les jambes en l'air, cuisses �cart�es en grand�

Le panorama lui plaisait, les bras �tir�s en arri�re, jambes �cart�es, relev�es.

Son cul et sa chatte �tait offert au maximum, juste � la hauteur de sa bitte�

Il pouvait travailler ses orifices comme il l'imposait, et � volont� lui rentrer tout les instruments qu'il d�sirait.

Bon lui dit-il, je vais d'abord te faire un lavement� Il prit les accessoires pr�par�s, glissa une bassine sp�ciale au niveau des fesses de la fillette. Puis il remplit d'eau froide un grand r�cipient en verre transparent muni d'un grand tuyau en caoutchouc sur lequel avait �t� rajout� une grosse canule en plastique, muni d'un tout petit robinet.

Le liquide qu'il m�langea patiemment � l'eau froide avait une couleur jaune de consistance �paisse� De la moutarde� Pour activer un petit cul, il n'avait jamais rien trouver de mieux� Il allait l'entendre gueuler de souffrance�

En plus comme lavement c'�tait radicale. Il fallait la vider de toute sa merde,

un premier lavement maintenant, puis si c'�tait n�cessaire un autre dans environ huit heures allait permettre de nettoyer tout �a�

Pour son premier enculage il fallait qu'elle soit lib�r�e de son caca, sa bitte irait plus loin, tout au fond, l� ou �a faisait le plus mal�

A partir de maintenant elle serait � jeun pendant quelques jours, juste son sperme comme boisson et nourriture�

Elle resterait en extension en hauteur de nombreuses heures. Ses muscles ne travaillant plus allaient se ramollir un peu. Cela faciliterait les p�n�trations annales et vaginales de tous les instruments, m�me du sien�

Le b�illon pour ne plus l'entendre gueuler de douleur �tait pr�t, un tampon de gaze dans la bouche et un morceau de sparadrap sur la bouche feraient l'affaire.

Mais pas pour l'instant, il voulait d'abord entendre sa petite voix de femelle de huit ans hurler de douleur, c'�tait trop bon�

La fillette tremblante et horrifi�e la regardait faire ses pr�paratifs, ne comprenant pas ou il voulait en venir�

 

Le m�lange de couleur jaune moutarde �tait pr�t, il attacha en hauteur le r�cipient en verre et amena la canule sur l'orifice annale de la m�me, puis poussa l'engin � l'int�rieur de son trou du cul, � fond dans son int�rieur�

Aucune difficult�, en extension et ouverte comme elle �tait, il aurait pu rentrer ce qu'il voulait�

Il ouvrit le petit robinet se situant sur la partie de la canule non rentr�e dans l'anus� Le syst�me des vases communicants aidant, le r�cipient se vidait lentement, et le petit cul se remplissait en m�me temps�

Il lui restait � s'occuper de sa chatte et de ses minuscules t�tons�

Le tube de pommade r�vulsive allait faire l'affaire� Pour commencer�

Il r�pandit une tr�s belle noisette de pommade sur toute la longueur de sa chatte, l'ouvrant tr�s l�g�rement, puis surtout en recouvrit l'endroit ou se trouvait le clitoris de la gamine.

Il fit de m�me pour ses t�tons, les recouvrant compl�tement�

Dans quelques minutes elle allait commencer � "chauffer"�

Il alluma son cam�scope, l'image enregistr�e �tait aussi diffus� sur un petit �cran de t�l�vision en couleur� Le r�glage �tait bon, l'image parfaite. L'objectif grand angle, fix� en hauteur prenait toute la sc�ne, sans rien omettre�

Il avait l'habitude� C'�tait la huiti�me fillette�

Il n'eut pas longtemps � attendre, deux minutes apr�s la petite fille commen�a � pleurer�

Le r�cipient en verre se vidait doucement, d�j� un quart de litre �tait parti dans le ventre de la gosse, la moutarde agissait�

La petite se tr�moussait en pleurant de douleur.

Ce n'�tait encore pas assez pour lui. Il prit deux pinces � seins, les lui fixa sur chaque minuscule t�ton recouvert de pommade� Elle hurla aussit�t.

Les m�choires des pinces �crasaient tr�s fortement chaque bout�

Elle le suppliait d'arr�ter, ses cris commen�aient � l'exciter.

Il bandait de plus en plus� il changea d'id�e, apr�s tout, pourquoi ne pas la baiser par devant maintenant� La d�puceler tout de suite, se payer le menu du roi, comme il disait�

Pendant que le lavement la remplissait par derri�re, pourquoi ne pas la remplir par devant, en m�me temps�

Avec le travail que faisait la moutarde par derri�re il devait pouvoir s'amuser par devant�

Il se mit � genoux sur le lit, entre ses jambes. Super, juste � la bonne hauteur.

Le tuyau qui remplissait son petit cul ne le g�nait absolument pas pour la saillir par devant.

Sa queue se positionna juste � l'entr�e de son vagin. Tra�ant son sillon avec sa verge dure pendant quelques minutes, il ramena pas mal de pommade r�vulsive sur son gland, celle-ci le chauffa rapidement, l'excitant encore plus�

Maintenant, la fillette hurlait de douleur, elle appelait sa maman continuellement en pleurant�

Il adorait� Ces petites salopes �taient toutes les m�mes, d'abord Maman ou papa avant d'�tre travaill�

Pendant qu'elles jouissaient, il n'y avait plus d'appel au secours�

Juste : " C'est bon Monsieur�Encore� Oui c'est bon� Continuez�".

Il appuya � l'entr�e du vagin d�j� remplit de pommade. Doucement d'abord, de plus en plus fort� Puis sans m�nagement il poussa � fond�

Le gland de sa bitte fut aval� d'un seul coup par la petite chatte�

Elle hurla encore plus fort, un cri strident� Puis plus rien� Le silence complet.

Les yeux grands ouverts regardant le plafond, la fillette ne pleurait plus, surprise par la p�n�tration, elle avait eu trop mal�

C'�tait super, chaud et tr�s serr�, stri� � souhait, comme il aimait. L'expression "aller au joints �tait on ne peut plus vrai�". Et l� le joint �tait parfait�

Les tissus d'un vagin �taient vraiment tr�s �lastiques, la nature avait tout pr�vue.

Il essaya de bouger sa bitte, tirant, poussant l�g�rement� La gamine en suspension suivait le mouvement. Il mit ses deux mains sur ses petites hanches, l'immobilisa, puis recommen�a � bouger. Sa queue rentra un peu dans son vagin, puis ressortit� Il la tringlait sur environ cinq centim�tres, ce n'�tait pas beaucoup. Il poussa encore plus dans son ventre, fortement� Elle g�mit � nouveau, il gagna encore cinq centim�tres� Il y �tait, le besognage �tait efficace, dix centim�tres coulissait normalement dans sa chatte.

Elle n'�tait plus vierge�Il s'en assura en ressortant compl�tement sa queue de la petite fille, un peu de sang ressortait de sa chatte. Il l'avait d�pucel�

Ce n'�tait pas le moment d'arr�ter, il replongea dans son intimit�, la besognant plus rapidement, taraudant son petit trou � fond, c'�tait g�nial�

Aucune chatte de femme ne pouvait donner autant de plaisir � un homme que celle d'une petite fille. Un vrai paradis�

En m�me temps qu'il la travaillait, ses mains parcouraient son corps, ses t�tons �taient devenus tout violac�s. Il retira les pinces � seins, puis joua avec ses bouts un bon moment, les roula, les tira, les �crasant avec ses doigts�

Elle ne pleurait plus, r�agissant juste en g�missant lorsqu'il lui faisait trop mal.

Elle devait �tre compl�tement insensibilis� par le lavement de moutarde�

Il n'en restait plus beaucoup dans le bocal, son petit trou du cul avait presque tout aval�

Il lui roula d�licatement le clitoris, le tirant, le titillant� Son bourgeon s'�tait d�velopp� consid�rablement en quelques minutes, plus rien � voir avec celui d'avant�

Pendant pr�s de dix minutes, il la tringla, caressant son clitoris�

Il connaissait la musique, aucune fillette ne pouvait r�sister longtemps � ce jeu.

Une petite fille �tait avant tout une femelle, les instincts en sommeil se r�veillaient lorsque le clitoris �tait excit�

Les premi�res r�actions de jouissance de la petite se firent ressentir�

Ses yeux devirent p�tillants, puis les premiers gloussements.

 

La petite salope commen�ait � prendre son pied�

Il l'activa encore plus, rentrant sa queue encore plus profond�ment, tirant assez fortement avec ses doigts sur son petit bourgeon de chair, c'�tait magique, la souffrance �tait court-circuit�e, supprim�e, partie, envol�e�

Il ne restait que le plaisir� La petite bougeait de plus en plus, se tr�moussant, gesticulant, g�missant de plaisir�

Sa premi�re "monte"�

Elle n'allait pas tarder � recevoir sa premi�re dose de sperme�

Il hurla, de plaisir, puis se r�pandit dans le ventre de la petite fille�

De nombreuses gicl�es, longues et g�n�reuses�

Surprise, elle ouvrit ses yeux tr�s grands, en attente de remplissage, comme toutes les femelles, profitant de l'instant pr�sent au maximum�

Et puis une seule petite phrase magique : " Oh� C'est chaud� ".

En pleine �jaculation il retira la canule de lavement mise dans son post�rieur.

Le liquide commen�a � ressortir de l'anus, un jet continu d'eau, de moutarde et de merde se r�pandit dans le grand r�cipient install� sous les fesses de la fillette.

Elle fut surprise un peu plus, elle fit juste entendre un : " Oh�".

Puis elle se d�tendit � fond, se laissant remplir et vider en m�me temps�

Le bruit que faisait le liquide en coulant dans la grande bassine en plastique le comblait �norm�ment� Un jet continu d'eau et de moutarde, pendant de longues secondes� Puis un bruit plus mat interrompait la r�gularit� du son�

Un petit paquet de merde venait de tomber dans la bassine�

Et puis le jet reprenait, jusqu'au prochain petit paquet de caca�

La petite salope de huit ans se vidait du cul, se r�pandant compl�tement�

Son �jaculation �tant fini, il se retira de la petite, la bitte recouverte de sperme et de sang m�lang�

Il �carta les l�vres de sa chatte, le sperme l�g�rement rougit ressortit, coulant sur ses cuisses. Elle �tait pleine de jutte.

Il contempla aussi, sous elle, la bassine � moiti� remplie. Dr�le de m�lange�

Il attendit patiemment que ses intestins soient vides, retira la bassine, alla la vider.

Puis il lui fit un brin de toilette, nettoyant � l'eau claire sa chatte et son trou du cul � l'aide d'une �ponge mouill�e, retirant aussi la pommade sur ses t�tons�

Bon lui dit-il, je vais te laisser en extension dans cette position quelques heures, je reviendrai te voir demain. Il faudra que tu fasses tout ce que je te dirai, sinon� Les yeux horrifi�s, elle acquies�a d'un signe de t�te. Maintenant elle savait de quoi il �tait capable�

Il partit, quittant la chambre des tortures, refermant la porte � double tour derri�re lui�

 

 

D�j� vingt quatre heures� Portant un slip comme seul v�tement, il ouvrit doucement la porte. La gamine ne dormait pas, elle le regarda aussit�t�

Un regard tr�s inquiet�

 

Bonjour, Emmanuelle. Es tu pr�te � faire tout ce que je te dirai, sans exception ?.

 

-         Oui Monsieur�

-         Bien dans ce cas je te d�tache tout de suite, mais attention, au moindre refus de ta part, je te fouette et t'attache � nouveau en suspension pendant trois jours� Tu es d'accord ?.

-         Oui Monsieur�.

 

Pour le lavement, on laisse tomber, un seul suffira. Comme tu ne mangeras pas pendant quelques jours, tes intestins resteront vides.

Je vais juste te faire boire ma pisse comme boisson, et ta seule nourriture sera mon sperme. Tu es d'accord Emmanuelle ?.

 

La gamine tremblante, les yeux �carquill�s en grand comprit qu'elle ne pouvait pas dire non�

 

-         Oui Monsieur�

 

-         Tr�s bien, je veux juste entendre �a� Sinon le fouet�

 

Cela ne lui prit que quelques minutes pour la faire redescendre et la d�tacher du harnais, puis des sangles qui l'immobilisaient.

Il la fit mettre � genoux, en profita pour lui fixer sa laisse de cou�

 

Elle �tait juste � la bonne hauteur, son visage � trois centim�tres de son slip�

Il voulut savoir si la fillette avait compris le message, si elle �tait r�ellement soumise enti�rement�

 

-         Emmanuelle, met ta bouche sur mon slip, et l�che le, juste ou il y a la bitte�

 

Les vingt quatre heures de souffrance en suspension avaient fait leurs effets� Elle s'ex�cuta tout de suite, sortit sa petite langue, puis commen�a son travail de l�che�

 

Quelques minutes apr�s, il fit passer sa queue en �rection hors du slip.

La fillette comprit aussit�t, engouffrant imm�diatement la bitte bien dure dans sa petite bouche�

 

 

Il s'assit jambes �cart�es� Pendant dix minutes la petite fille lui l�cha et su�a la queue, plut�t mal que bien. Il la reprit plus de dix fois, lui disant comment il fallait faire. La m�me se remit � pleurer� Il ne supporta pas plus de dix secondes, d'un coup de fouet �nergique sur les fesses il lui ordonna d'aller s'allonger sur le lit, cuisses et bras �cart�s. Secou�e par des saccades de pleurs incontr�lables elle s'allongea rapidement. Elle venait de comprendre son erreur�.

 

ATTENTION : Textes apocryphes d'Alain Terdit.

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����������������������������������������������������������� ������������������� Les supplices

 

 

Il l'attacha solidement. Des cordelettes reli�es � des bracelets en cuirs aux quatre coins du lit la maintenait immobilis�e, bras et jambes �cart�es�

 

-         Petite fille, je vais te donner en d�tail le menu de tes supplices�

 

-         Tu vas souffrir petite salope, tu vas avoir tr�s mal, la souffrance extr�me� D�j� tes t�tons� Ce n'est pas des seins que tu as, je vais te les �tirer tr�s fortement, te les faire tripler de volume. A coup de badine te les rendre tout violac�s, puis te les percer avec de tr�s longues aiguilles�

Te les travailler � l'�lectricit�, ensuite te les piquer � l'acide.

Dans quelques jours, tu ne les reconna�tra pas, tu verras�

Puis viendra le moment sublime�

Le d�coupage en fine rondelle avec la machine que j'ai fabriqu� expr�s pour les petites filles�

Une ancienne machine � d�couper le jambon, modifi� par moi�

Tu verras comme je fais de belles petites tranches de sein de gamine�

 

Viendra le tour de tes petites fesses, martel� � grands coups de b�ton,

ou de fouet � boules m�talliques, piqu�es � l'acide� Le tout bien sur en �tant sodomis� par une bitte en caoutchouc g�ante� Une derri�re� Une devant�

Comme ta maman aime� Mais en plus gros�

Je veux que tes trous s'�cartent au maximum, comme jamais une petite fille n'a �t� �cart�e�

Et enfin le d�coupage de chaque fesse en fine lamelle, toujours cette fameuse machine � jambon� La machine tourne tellement vite que tu ne ressens aucune douleur� Sur le moment�

Je te ferai goutter une petite tranche grill�e, tu verras comme c'est bon une tranche de sein ou de fesse de petite fille�

La machine n'existait que don son imagination, elle faisait de l'effet � chaque fois� Les gamines �taient terrifi�es� Le but recherch� �tait atteint.

Mais dans la r�alit�, il y avait d'autres raffinements, dessupplices sexuels fantastiques, in�dits, des v�ritables saloperies r�serv�es uniquement pour les petites filles�

 

Il se mit � califourchon sur elle, sortit sa bitte et ses couilles de son slip�

" Tu ouvres ta bouche petite salope, et tu suces ma queue �"

La gamine s'ex�cuta rapidement, elle ouvrit en grand, ses l�vres se referm�rent sur son sexe� La fillette fut un peu rassur�, si il n'y avait que �a� Elle l'avait d�j� fait�

C'�tait sans compter sur l'ing�niosit� et la d�gueulasserie du mec�

Il attendit plusieurs longues minutes, faisant coulisser sans arr�ter son membre dans la petite bouche.

C'�tait g�nial, chaud, humide en m�me temps�

Avec sa main gauche il saisit un des instruments pr�par�s, mis bien en �vidence sur la table de nuit� Une simple pince � linge�

D'un geste pr�cis et rapide la pince en bois se retrouva sur le nez

d' Emmanuelle, enserrant ses deux narines, l'obligeant � respirer uniquement par la bouche. Elle comprit rapidement le probl�me� Le sexe dans son orifice buccal prenait beaucoup de place, l'air pour respirer ne pouvait maintenant venir que de la bouche, seulement de la bouche�

Pour prendre un peu mieux sa respiration, elle essaya d'ouvrir � fond�

Elle y arriva sans probl�me� Il n'attendait que �a.

Sa bitte bien dure s'engouffra � fond dans son petit gosier, jusqu'au plus profond de la gorge de la petite fille�

Elle commen�a � manquer d'air, suffoquant imm�diatement, se tr�moussant de tous c�t�s. Les liens immobilisant ses quatre membres tenaient bon.

Le visage horrifi� de la fillette le faisait jouir, le rythme cardiaque de la supplici�e s'acc�l�ra tr�s rapidement, des spasmes secouaient tout son corps.

Au bout d'une minute, elle manquait d'air, au bord de l'asphyxie, les yeux � l'envers� Le visage de la petite salope devenait tout bleu�

Encore une minute� Juste pour savourer le moment�

Puis encore une autre minute� Il maintint sa verge au fond de sa gorge�

Juste avant qu'elle ne s'�vanouisse, il retira sa pine�

Elle respira, un grand coup, � fond�

Son rythme cardiaque s'�tait acc�l�r� � un point incroyable�

Il voulait profiter de ces instants magiques�

Il retira les bracelets qui immobilisaient ses chevilles, lui mit en hauteur ses deux cuisses, les fit se reposer chacune sur une de ses �paules�

Sa bitte bien dure appuya aussit�t sur l'entr�e de son sexe�

Il appuya � fond, sans aucun m�nagement� Quel plaisir� La petite salope haletait toujours, essayant de reprendre son souffle et ses esprits�

Son bas ventre forc� s'ouvrit aussit�t� Il poussa � fond dans le vagin�

Un viol parfait, sans lubrification, ni jouissance de la fillette�

Tr�s dur � rentrer, comme il aimait�

Il rentra tout, � fond, jusqu'aux couilles�

 

Entre deux respirations, haletant toujours, elle fit entendre un g�missement de douleur, monstrueux, aigu et per�ant�

Quel bonheur, que c'�tait serr� et chaud� Rien n'�quivaudrait jamais le plaisir de p�n�trer une petite fille de huit ans�

Le vagin s'ouvrait sans probl�me, l'anus aussi�

Les "gaminettes" � cet �ge pouvaient tout apprendre, sans comprendre�

Il pouvait tout faire avec la petite, c'�tait son jouet � lui� Aucune g�ne � avoir, aucune pr�caution � prendre, le viol physique et psychologique, sans consentement, l'id�al� La soumission totale dans la souffrance.

 

Il commen�a � tringler l'enfant femelle supplici�, sans m�nagement�

Elle haletait toujours� Quel plaisir, on aurait pu penser que c'�tait du � la jouissance de la bitte qui rentrait et ressortait de son vagin.

Pendant cinq minutes il la pratiqua sauvagement�

Elle commen�ait � se calmer un peu, La lubrification de son vagin se faisant, la petite salope commen�ait presque � appr�cier sa p�n�tration, sa respiration redevenait presque normale. Tout � coup elle se remit � pleurer�

D'une main il alla chercher d'autres instruments sur la table de nuit�

Deux pinces � seins� Imm�diatement plac�es sur chaque t�ton�

L'horreur, un cri inhumain de douleur� Sublime�

Les m�choires des instruments rentraient tellement dans la chair que les bouts des t�tons devinrent tr�s rapidement d�form�s et violac�s.

Elle hurlait de douleur� Trop de cris pour lui� Il allongea son bras et reprit sur la table de nuit un morceau de sparadrap autocollant pr�par� � l'avance.

La bouche de la gamine fut rapidement recouverte et obstru�e�

La pince � linge toujours sur le nez, la petite fille ne pouvait plus respirer � nouveau� Sa bitte se d�gagea rapidement de son vagin, visant maintenant son trou du cul, il poussa sa verge sur l'anus de la petite fille�

Le visage horrifi� de la fillette supplici�e, devint � nouveau tout rouge, puis commen�a � virer � nouveau sur le bleu�

Il attendit encore une minute, puis il retira la pince � linge du nez�

Elle respira un grand coup, puis se remit � haleter�

Il en profita pour pousser sa bitte sur son anus � fond, il l'encula d'un seul coup, lui d�fon�ant presque le trou du cul.

Le soubresaut qu'elle fit fut inhumain�

Il rentra le maximum qu'il pouvait� Quel cul sublime�

Il la besogna durement pendant quelques minutes. Elle ne pleurait plus, ayant enfin compris que cela ne servait � rien, et surtout que cela pouvait �tre pire pour elle.

Il se retira d'elle d'un seul coup�

Il lui parla aussit�t : " Bon petite salope, je vais te d�tacher, tu vas venir me sucer la bitte, tu avaleras toute mon sperme, sans en laisser, surtout en t'appliquant, sinon je recommencerai � te torturer�".

Il retira le sparadrap plac� auparavant sur sa bouche, retira les pinces � seins, ce n'�tait pas beau � voir� Ses t�tons �taient tum�fi�s, tout violets.

Apr�s avoir retir� les attaches des poignets, il s'assit cuisses �cart�es sur le seul fauteuil du local, lui laissant reprendre son souffle pendant quelques minutes. Il lui parla : " Bon quand je t'appellerai, tu viendras aussit�t entre mes cuisses� Tu sais ce que tu aura � faire ?�"

La r�ponse ne se fit pas attendre, un : " Oui Monsieur", tout tremblant et apeur� La petite salope avait compris�

L'instant d'apr�s la fillette � genoux entre ses cuisses s'emparait avec sa bouche du membre tout mou�

Elle s'appliqua aussit�t, pipant avidement le sexe.

Quelques minutes apr�s, la bouche de la petite fille travaillait une belle bitte, bien dure�

Il la pr�vint : " Cela va sortir, tu avales tout, sans qu'il en ressorte, sinon je te torture � mort�".

Le sperme sortit� La bouche de la petite se remplit par jet successif�

Les yeux horrifi�s, elle d�glutit r�guli�rement, avalant tout sans aucune discussion.

Enfin� Elle �tait soumise et souill�e comme il le d�sirait.

Elle l'avalait, le vidait sans rien laisser. Le sperme ressortant l�g�rement sur ses l�vres le ravissait. Quel plaisir indescriptible, une petite fille de huit ans soumise lui vidait les couilles.

Il lui donna l'ordre de ne plus avaler� Il fallait qu'elle garde le sperme dans sa bouche. La "gaminette" s'ex�cuta, elle bloqua les derni�res gicl�es de jutte, les laissant dans sa cavit� buccale�

Epuis�, il retira sa pinne, demandant aussit�t � Emmanuelle d'ouvrir sa bouche en grand, le plus grand possible�

Il s'approcha� Quel spectacle magnifique, le liquide blanc et onctueux recouvrait la langue, toute l'int�rieur de la cavit� �tait tapiss�e de cr�me, m�me le fond de sa gorge en �tait recouvert.

Avec autorit� il lui demanda de faire tourner le foutre avec sa langue, ainsi que de l'amener d�licatement sur ses l�vres, de faire comme si c'�tait une esp�ce de rouge � l�vres liquide�

Il contempla la petite salope faire tourner sa langue avec le liquide onctueux, puis elle en recouvrit ses deux l�vres.

Finalement elle fit le geste qu'il attendait, ce que toutes les connes font avec leur rouge � l�vres, pour mieux l'�taler� Il continua � lui parler�

C'est pas mal� Maintenant tu laisses ta bouches ouverte en tr�s grand, ta t�te en arri�re, quand je te le dirai tu avaleras par petite quantit� la jutte�

Mais attention� La bouche grande ouverte, sans la fermer�

Tu laisseras le liquide couler dans ta gorge et l'avaleras d�licatement.

Si tu fermes ta bouche une seule fois, je te punis aussit�t�

Il s'approcha ses yeux de sa cavit� buccale, son regard contemplait le spectacle� Il lui donna l'ordre de commencer�

La petite putte, toujours � genoux, la t�te compl�tement en arri�re d�glutit une premi�re fois, le liquide coula doucement dans sa gorge, la bouche ne pouvant pas se fermer produisait un doux bruit de raclement� Le liquide onctueux glissait tout seul au fond de sa gorge, coulant d�licieusement dans son gosier�

Elle se for�ait pour d�glutir, sa bouche ouverte en grand.

Impression sublime� Il contempla longuement sa semence glisser dans le petit gosier�

Bon c'est bien� Tu peux arr�ter�

La gamine redressa la t�te.Le spectacle le ravissait, le bas du visage, du nez au menton �tait recouvert de sperme. Les yeux de la fillette avait une expression bizarre, un m�lange de peur et de soumission.

Bon maintenant tu nettoies ma bitte avec ta bouche et ta langue, je ne veux pas qu'il reste une seule trace de jutte�

Elle engouffra � nouveau le membre plus vraiment virile dans sa bouche, pipant automatiquement sans qu'il lui dise� Les fillettes �taient vraiment faites pour �a, l'automatisme des femelles� Ouvrir leurs cuisses � fond et pratiquer une fellation aux m�les �taient inclus dans leur programme g�n�tique.

Elle nettoya correctement, s'appliquant � faire dispara�tre toutes traces de sperme en pipant. Puis ressortant la queue, elle l�cha le membre redevenu tr�s viril, pratiquant de longues passes, langue ressortie � fond, des couilles au gland�����

Epuis�, il se laissa faire, savourant de longues minutes�

Il lui donna l'ordre d'arr�ter, de se relever puis de se retourner, jambes �cart�es en grand� Puis bras en l'air� Il la testait�

Elle s'ex�cuta au quart de tour. Elle �tait devenue son esclave sexuelle, le jouet de ses d�sirs�

Il lui demanda d'aller s'asseoir sur le bidet�

Il accrocha les attaches des bras, puis des jambes�

Sublime� Les bras emprisonn�es en hauteur, les jambes maintenues �cart�es � fond, attach�es par des bracelets de cuirs aux cuisses, la fillette le cul compl�tement dans le bidet�

Il ouvrit le robinet� L'eau envahit la petite cuvette, recouvrant bient�t compl�tement le soubassement de la supplici�e.

Le cul et sa chatte enti�rement dans l'eau froide, sans possibilit� de bouger�

Il ferma un peu le robinet, il fallait r�gler le d�bit du liquide pour que son cul et sa chatte baigne dedans. Sans que cela d�borde, bien sur�

 

Il s'assit sur son fauteuil et attendit. Pendant cinq minutes il ne se passa rien, cela devait m�me lui faire du bien, lui rafra�chir sa chatte et son cul nouvellement d�fonc�s�

Et puis l'eau rafra�chissant peu � peu ses petits tr�sors, elle commen�a � avoir froid� De plus en plus frisquet� Tremblante, tout son petit corps secou� par des spasmes�Dix minutes apr�s, les tremblements s'acc�l�r�rent , elle se remit � pleurer� Il la laissa faire, c'�tait m�me agr�able � ses oreilles�

Comme pour les autres, il voulait qu'elle le supplie�

Cela arriva rapidement� Dix minutes apr�s elle le suppliait en hurlant,lui demandant d'arr�ter, elle ferait tout ce qu'il voudrait�

Que c'�tait bon� La petite salope devenait toute blanche, la chaire de poule sur tout le corps�

Comme pour les autres enfants, il se releva de son fauteuil, puis se mit � califourchon sur elle, bitte au niveau de sa bouche.

Elle comprit d'elle m�me tr�s rapidement, engouffrant son sexe aussit�t�

Elle pipa fr�n�tiquement la bitte bien chaude�

Il eut un peu piti� d'elle, il lui dit:

" Bon je vais te donner une boisson chaude� Cela va te r�chauffer un peu�

Tu vas laisser ouvert ta bouche en grand, je vais pisser dedans�

Je veux que tu avales tout, si tu ne le fais pas, je te laisse sur le bidet jusqu'� ce que tu t'�vanouisses. Si tu avales tout, j'arr�te l'eau aussit�t apr�s, et je te r�chauffe". Il approcha sa queue de la cavit� buccale�

Aussit�t, la gamine effar�e, les yeux exorbit�s d'horreur ouvrit en grand�

La bitte � trois centim�tres de sa bouche, il ne pouvait que viser juste�

Un jet de pisse drue et continue, s'engouffra au plus profond de sa gorge�

Elle avala imm�diatement� Elle y mettait une bonne volont� �vidente,

il n'en ressortait pas beaucoup�

Pisser dans la bouche d'une fillette soumise, et qui avalait tout, lui procurait� chaque fois une jouissance extr�me�

Surtout la d�glutition, comme pour le sperme, il adorait voir la petite gorge soumisse se contracter, puis avaler tout le liquide, en faisant un doux bruit�

Soulag� de toute sa pisse, il se retira de sa bouche�

Elle l'implorait du regard� Allait-il tenir sa promesse ?.

Il la d�tacha rapidement, lui donna l'ordre d'aller se coucher dans le grand lit� Elle s'y pr�cipita imm�diatement, tout en tremblant�

Tout nu, il la rejoignit aussit�t�

La temp�rature de la petite, �tait �norm�ment tomb�e� Elle ressentit la chaleur de son corps et se blottit imm�diatement le dos contre lui�

Il la laissa faire, l'enserrant m�me de ses bras, entrem�lant ses cuisses avec les siennes, queue contre cul� Elle �tait "gel�e"�

La supplici�e �tait dans le lit de son bourreau, soumise et consentante�

Ils s'endormirent rapidement�

 

Il se r�veilla en sursaut� La fillette dormait calmement dans ses bras.

Elle �tait r�chauff�e, chaude � souhait pour de nouveaux supplices�

Sa queue bandante vint se placer sur son anus� Il poussa doucement.

La fillette se r�veilla juste au bon moment, celui de son enculage�

 

Elle n'eut pas le temps de r�agir. Tout en la maintenant serr�e contre elle, maintenue par ses jambes, ses bras l'emprisonnant fermement. La bitte vint appuyer sur l'anus ferm� de la petite fille. Il appuya sans m�nagement sur l'entr�e du petit trou du cul� La gamine comprit vite ce qui se passait, cherchant � se d�gager par tous les moyens, commen�ant � pleurer, la fillette ne put rien faire� Elle hurla de douleur lorsque la queue l'encula � sec�

Le gland �tait bien rentr�e, bien au chaud, serr� au maximum�

Elle pleurnichait� C'�tait g�nial, les spasmes des sanglots se transmettaient � sa verge� Cela l'excitait encore plus�

Il lui parla : " Ecoute petite encul�e, si tu ne te laisses pas faire, je te rattache sur le bidet toute la journ�e, par contre, si tu arr�te de chialer, je te baise rapidement�Apr�s je te donne quartier libre presque toute la journ�e.

Tu as compris petite salope ?. ".

Un "oui Monsieur" imperceptible et entrecoup� de sanglot sortit de la gorge de la supplici�e.

Il la besogna pendant plus d'un quart d'heure, � fond dans son petit cul, jusqu'aux couilles� Sur le lit il l'�carta, la cambra dans �norm�ment de postures, � la limite du supportable. La petite encul�e �tait incroyablement souple, un vrai plaisir� Soumise et dompt�e elle le laissa faire tout ce qu'il voulait� La gamine laissait juste parfois entendre quelques cris de souffrance� Juste ce qu'il fallait pour qu'il jouisse un maximum�

Il d�chargea son foutre dans son intimit� anale�

Sa vide couille faisait l'affaire, du moins pour l'instant�

 

Il tint parole, elle eut "quartier libre"� Il attacha la laisse de cou sur la gosse. Cinq m�tres de cha�nes lui permettait de se d�placer dans toute la pi�ce et de faire ce qu'il lui ordonna�

 

-         Bon, tu prends une douche, et sans faire semblant, je contr�lerai apr�s si tu est bien propre. Ensuite tu va choisir un slip � dentelle ainsi q'une tunique, tu la mets. Puis tu regarderas tous les ustensiles sexuelles sur les �tag�res. Je veux que tu les connaisses, que tu les prennes en main� Car tu va tous les essayer un par un, dans ton petit cul ou ta petite chatte�

 

Il "l'aida" � choisir un slip � dentelle de couleur rose�

 

La gamine resta prostr�e sur son lit toute l'apr�s-midi.

Il l'obligea � regarder la t�l�vision� Magn�toscope oblige, des k7 de film X� Elle rougissait tr�s souvent au spectacle de petites filles se faisant baiser par lui� Car sur l'�cran c'�tait bien lui� Toute sa collection personnelle y passait�

 

Elle r�agissait surtout aux sodomie� Le spectacle de petites filles se faisant enculer sous ses yeux la perturbait incroyablement. Les gamines se faisaient d�foncer le post�rieur sans m�nagement, hurlant de souffrance, pleurant sans arr�t� Le montage vid�o �tait bien fait, une � une les fillettes se faisaient remplir le cul dans toutes les positions imaginables�

Puis vint les sc�nes de fellation,des petites femelles, toutes plus belles l'une que l'autre lui vidaient les couilles, une des gosses ne devait pas avoir six ans, la plus �g�e ne d�passait pas les onze ans.

Toutes les techniques y passaient�

Les petites, apeur�es se remplissaient la bouche, faisant des efforts d�sesp�r�s pour ne pas recevoir un coup de martinet � boules m�talliques.

Engin que l'homme mena�ant tenait de sa main droite�

Elle avalait tout � la perfection, sans rien laisser, les exp�riences malheureuses devaient les avoir marqu�es�

C'�tait �a ou les supplices recommen�aient�

 

En d�but de soir�e il arr�ta brusquement la s�ance de cin�ma, il l'invectiva�

 

-         Petite salope, j'esp�re que tu as compris ce qu'il faut faire pour me faire plaisir. En somme c'est simple, tu dois faire tout ce que je te demande � la perfection, sans rechigner, ni marquer aucun m�contentement. Si tu veux me parler, tu l�ves le doigt et tu attends le temps qu'il faut que je te r�ponde� Bien sur si je veux� Tu es en p�riode de soumission totale, c'est � dire que pendant le temps que durera ton traitement, tu dois apprendre � ne plus dire non� Lorsque tu sera enti�rement soumise, tout redeviendra normal� si cela ne va pas les supplices reprennent pour te corriger.

 

La gamine en baissant les yeux leva un doigt timidement� Elle avait quelque chose � lui demander�

 

-         Va y je t'�coute�

 

" Monsieur, j'ai soif et faim, et puis j'ai envie de faire pipi".

 

-��� Pour la faim, c'est non, tu dois rester sans manger pendant encore 3 jours.����� Je veux que tes intestins soient vides� Pour mieux les remplir � ma fa�on�

Tu verras c'est sp�cial� La seule nourriture que tu auras, c'est mon sperme� Deux ou trois doses par jour � avaler, je te conseille de ne pas en laisser, tu aspires � fond � chaque fois et tu n'auras plus faim.

Pour la soif, tu aura le droit de boire un verre d'eau � chaque fois que tu auras avaler toute ma pisse�

Pour ton pipi, c'est dans le bocal en verre au pied de ton lit� Si tu as soif dans la journ�e ou la nuit, tu bois ton urine�

Au passage je te demande de faire caca dans le plat en m�tal au pied de ton lit� Celui qui a une cloche herm�tique� Tu chies sur le plat et tu remet le couvercle m�tallique dessus� Tu verras pourquoi par la suite.

 

-         Bon si tu veux faire pipi ou caca, tu peux maintenant� Je te regarde faire.

 

La gamine les yeux hagards, se leva doucement de son lit, puis se dirigea imm�diatement au pied de celui-ci, elle s'accroupit� Rapidement un doux bruit de jet de pipi de petite fille se fit entendre, sonore et cristallin.

R�sonant sur la paroi de verre du flacon de verre, telle une pisse dans un pot de chambre, mais en plus m�lodieux�

 

Il ne lui laissa pas trois secondes de r�pit�

 

-         Bon maintenant tu vas boire un coup � mon robinet� Tu te met � genoux dans la douche, et tu ouvres la bouche et tu bois� Je vais te pisser dedans, mais juste apr�s je vais te pisser dessus, partout, sur ton visage et tout ton corps� Et tu as int�r�t � te laisser faire sinon�

 

Il avait pris en main son sceptre de roi des salauds�

Le fouet � boules m�tallique mena�ait la fillette�

 

Apeur�e et vaincue, avec sur le visage une expression de lassitude extr�me la fillette se dirigea d'un pas tr�s lent vers la pierre en marbre blanc de la douche. Elle s'agenouilla, ferma les yeux et ouvrit sa bouche en grand.

 

-         Je veux que tu gardes les yeux ouverts pendant que je t'inonde de pisse, si tu les fermes, tu auras droit � une journ�e de supplices, et surtout n'oublie pas, tu bois tout ce que je te mettrais dans la bouche, sinon�

 

Elle ne mit pas une seconde � r�ouvrir ses yeux.

 

Rapidement il fut � c�t� d'elle� Sa bitte en main, il visa en premier sa bouche� Le jet dru et jaune clair frappa directement le fond de sa gorge.

 

Les yeux exorbit�s, terroris�e la petite fille se laissa remplir la bouche�

Elle comprit tr�s rapidement que l'urine allait ressortir� Il fallait qu'elle avale vite� Sa gorge se contracta une fois, puis une autre dans un bruit qu'il adorait�Elle d�glutissait, avalant la pisse ti�de�

Doux bruit de gorge de fillette avalant la pisse d'un m�le.

 

Il estima au bout de quelques secondes qu'elle �tait rassasi�e. Il mania sa queue de fa�on que le jet change de direction, d'abord en pratiquant de petits cercles dans sa bouche, puis de plus en plus grands�

 

-         Ouvre tr�s grand salope et n'avale plus, garde la pisse dans ta bouche�

 

Le jet d'urine remplit rapidement la cavit� buccale de la m�me, rapidement la pisse commen�a � couler sur son menton, puis sur sa poitrine�

 

Il visa le haut du visage� Le jet frappa son front en premier. Puis continuant � manier son robinet en tournant, �largissant le cercle, aucune partie du visage ne fut �pargn�e�

La fillette faisait des efforts incroyables pour garder les yeux ouverts, la pisse lui piquait les yeux� Elle les ferma plusieurs fois�

 

Maintenant il jouait avec sa queue, aucun endroit de son corps ne fut �pargn� La petite salope �tait souill�e enti�rement, et toujours sa bouche

grande ouverte remplit d'urine�

 

La vessie vid�e enti�rement le jet s'arr�ta�

 

-         Bon tu peux avaler la pisse

 

Le doux bruit de gorge se fit entendre � nouveau� Trois�Quatre fois� La gamine avala tout�

 

-         Bon maintenant je vais te donner ta nourriture, une bonne dose de sperme�

Il la prit par la main et alla s'asseoir sur le seul fauteuil install� dans la pi�ce. La gamine fut install�e � genoux entre ses cuisses grandes ouvertes�

 

-         Tu sais comment faire, � toi de jouer�

 

Emmanuelle contempla la bitte toute molle encore mouill�e de pisse � quelques centim�tres de sa bouche. Elle comprit imm�diatement, saisit la verge entre ses l�vres et commen�a � piper doucement�

 

C'�tait g�nial, il se d�tendit d'abord un maximum, son chibre tout mou � l'int�rieur de la bouche de la petite salope� Elle faisait bien son boulot, la petite bitte molle �tait bien mouill�e, le mouvement de va et vient se faisait r�guli�rement, le petit bout �tait serr� comme il fallait, sans trop de pression.

Le miracle se fit rapidement�En moins d'une minute la queue prit de l'ampleur et par cons�quent du volume et de la longueur�

Quelques instants apr�s la petite fille faisait travailler avec ses l�vres une bitte de belles dimensions�

 

La fillette regardait son bourreau prendre du plaisir, il g�missait tout haut� L'orgasme n'�tait pas loin�

 

-         Avale salope�

 

Le premier jet la surprit un court instant. Elle venait de prendre une premi�re gicl�e de jutte dans sa bouche� Une deuxi�me, puis une troisi�me�

La gorge de la petite fille se contracta un instant, puis elle d�glutit enfin�

La gosse prenait son repas�

 

Pas une seule goutte ne ressortit� Elle aspira "le tuyau" de nombreuses minutes� Elle avait faim.

 

Il savait pertinemment que demain et apr�s demain cela serait pire, elle d�gusterait le sperme avec encore plus d'app�tit� Quand on a tr�s faim�

 

Il lui dit� C'est bien� Mais tu m'as d�sob�i tout � l'heure, tu as ferm� les yeux lorsque je te pissais dessus� Je dois te punir s�v�rement�

 

Mais avant tu va prendre une douche, tu sens la pisse et presque aussi mauvais que ta maman� Elle ne doit pas se laver souvent ta putte de m�re�

 

Le fait de penser � sa m�re et d'entendre parler d'elle en ces termes, fit qu'imm�diatement la fillette se remit � sangloter�

 

-         Pas de �a avec moi� tu auras un jour de plus de supplice

 

R�sign�e elle se doucha m�caniquement, tel un robot� Il la s�cha, puis la parfuma partout, surtout entre les cuisses, puis il lui ordonna de se diriger vers la vitrine d'accessoires �rotiques� Rapidement il lui tendit un slip � dentelle de couleur rose, sp�cial bouton pression au niveau des orifices annales et vaginales. Puis une mini tunique transparente de m�me couleur�

 

Puis saisissant un godemich� �lectrique vibrant de taille moyenne, il lui tendit l'accessoire�

 

-         Tu t'habilles, tu vas t'�tendre sur le lit et tu te rentres cette bitte dans ta chatte � fond, je ne veux presque plus rien voir qui ressort de ton bas ventre.

 

La fillette s'allongea sur le lit, puis les cuisses �cart�es, d�grafant les boutons pression de la petite culotte elle entreprit tr�s doucement sa p�n�tration vaginale�

 

Pendant ce temps le docteur fixait � nouveau le harnais de maintien et les sangles aux extr�mit�s de ses membres�

Les lacets de la gu�pi�re furent serr�s. La taille de la fillette, au niveau du ventre fut �cras� au maximum, laissant bien ressortir et saillir son cul et son bas ventre�

Puis vint le tour des cordelettes reli�es au trap�ze� Tout �tait pr�t.

Quant il le d�sirerait il man�uvrerait les poulies pour soulever la gamine dans la position souhait�e.

-         Bon c'est trop tard, c'est moi qui mettrait la bitte dans ta chatte�Il fallait de d�p�cher� Lorsque je te dis quelque chose il faut le faire tout de suite� Je vais te punir imm�diatement...

 

Il man�uvra les cordes reliant les poulies des treuils� La petite fille se retrouva rapidement en hauteur, � 10 centim�tres de la surface des draps, bras et cuisses �cart�es en croix, perpendiculairement au lit. Le corps en U, ceci pour qu'elle puisse voir tout ce qu'il allait lui faire comme saloperies.

En m�me temps son soubassement, vagin et cul compris �taient offert aux accessoires.

 

Il alla chercher dans un tiroir de l'armoire une bande de sparadrap autocollant. Sa bouche fut rapidement recouverte par la bande adh�sive.

 

-         Je ne vais pas t'entendre hurler comme un cochon qu'on �gorge�

 

L'armoire � accessoires se trouvait � port�e de main, il fallait juste tendre la main pour saisir l'engin de torture souhait� Le martinet simple pour commencer�

 

Bon tu n'y est pas arriv� tout � l'heure� moi je vais t'ouvrir la chatte, tu vas voir�

 

Il leva tr�s haut le manche� Visa juste l'entrejambe. Les lani�res s'abattirent avec une force inou�e, juste ou il fallait, entre ses cuisses relev�es, en plein sur ses l�vres vaginales�

Un coup, deux coups, trois coups avec une violence inhumaine�

La petite fille hurlait et se tordait de douleur, les c�bles de fixation ne bougeait presque pas, son corps non plus� L'ing�niosit� machiav�lique de l'appareil qui l'immobilisait avait fait ses preuves.

L'engin id�al pour torturer les petites filles�

 

Il contempla son �uvre, de jolies striures, empreintes de lani�re sur tout l'entrejambe. Les l�vres de chatte de la petite �tait toutes violac�es, ouvertes, baillant en grand� Le canal vaginal �tait visible, tout irrit�, couleur sang�

Le clitoris petit, mais bien visible �tait lui aussi rougit, tum�fi�

 

L'anus et les fesses de la gamine n'avait presque rien prit comme coup�

 

Tendant le bras vers l'armoire, il saisit un gros god en latex, le pr�senta au trou du cul offert, puis poussa sans m�nagement.

A sec� Tout en la maintenant d'un bras, L'autre main vacante poussait � fond, cherchant � introduire le gros engin dans l'orifice annale�

Elle hurlait de douleur� Le sparadrap sur la bouche remplissait bien son office� Il pouvait appr�cier l'expression de souffrance et d'horreur sur son visage, sans en avoir trop de cons�quence pour ses tympans.

 

Il poussait de plus en plus fort, rien ne rentrait. Il fallait la lubrifier�

Tendant le bras � nouveau, il ramena un simple pot de "cr�me�".

Cr�� par lui ce m�lange avait fait ces preuves, un quart de pommade intime, un quart de cr�me pour les mains, un quart onguent antiseptique, et surtout le dernier quart� De la simple moutarde jaune� L'ensemble m�lang� et amalgam� pendant quelques minutes �tait parfait pour l'intimit� des fillettes, pas trop huileux, se tenant bien dans la main, ne coulant pas�

Le m�lange pouvait se garder pendant des mois � temp�rature ambiante.

Il lui en bourra le trou du cul, rentrant et tournant ses doigts � l'int�rieur pour l'enduire et en m�me temps d�tendre ses chairs�

Puis aussit�t reprenant sa d�marche pr�c�dente pour rentrer le gros god, il repoussa � fond, sans aucune pr�caution�

Il la d�chirait� Ou cela rentrait�

Les cinq centim�tres de diam�tre d�form�rent � fond le sphincter du rectum, puis d'un seul coup l'anus forc� laissa rentrer le gland de l'instrument�

 

Aussit�t il s'arr�ta pour contempler l'expression de stupeur de sa supplici�e�

Les yeux exorbit�s en grand, les stigmates d'une douleur extr�me sur son visage.

 

Il maintint l'engin sans bouger pendant quelques minutes� Sans arr�ter de la regarder, il voulait surprendre l'instant ou la fillette allait en plus de la douleur de son �cart�lement, ressentir celle de la cr�me moutarde qui allait lui chauffer l'int�rieur de son post�rieur�

 

En premier elle commen�a � bouger sa t�te de gauche � droite plusieurs fois, puis vint le bassin, qu'elle chercha � soulager par tous les moyens�

Les cris att�nu�s sous le sparadrap devinrent encore plus inhumains�

Des convulsions envahissaient tout son corps, son visage devint tout rouge�

 

C'est le moment qu'il choisit pour commencer � faire travailler le god dans son intimit� anale� Il poussa l'engin d�licatement, centim�tre par centim�tre jusqu'� aller � la moiti� de sa longueur, puis il commen�a sa man�uvre de retrait, jusqu'au gland qu'il laissait bien en place dans l'anus� Puis la tringlette commen�a r�guli�rement, va et vient d�licat et m�ticuleux pour sodomiser le tout petit trou du cul �cartel� � fond�

 

La fillette g�missait et gesticulait de souffrance de plus en plus. Tous les stigmates de l'horreur apparaissaient sur son visage�

 

Il la contemplait avec un ravissement in�gal�, sa queue bandante comme jamais, gorg�e de sang, pr�te � exploser�

Sachant pertinemment que se branler maintenant pour atteindre l'�jaculation lui retirerait tout plaisir malsains�

Il fallait tenir des heures sans se masturber, pour obtenir un maximum de plaisir� La torture pendant des heures encore� De longues heures horribles pour elle� De longues heures de plaisir pour lui�

 

Cela coulissait de mieux en mieux, le petit cul prenait de plus en plus de longueur, douze centim�tres rentraient et ressortaient doucement� Sur cinq centim�tre de diam�tre. Cela faisait un dr�le de morceau dans le cul pour une fillette d'� peine huit ans.

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Comment un cul de cet age pouvait-il s'ouvrir comme �a, aussi largement, et prendre une longueur aussi cons�quente� Il suffisait de remarquer le diam�tre et la longueur d'une merde que faisait une fillette de cet �ge pour comprendre que ce qui pouvait sortir� Bien sur pouvait rentrer�

Comme docteur, il en avait vu des merdes de gamines� C'�tait m�me ce qui lui avait envie d'essayer sa premi�re fillette�

Il avait commenc� � prescrire � ses petites patientes un examen des selles, puis patiemment il avait not� l'�ge et les dimensions� Il avait vite compris. A l'age de sept ans, tout �tait faisable, ou presque, alors � presque huit ans�

 

Endormir les fillettes que lui confiaient ses patientes le mercredi, les sodomiser pendant leur sommeil, rapidement ne lui suffit plus�

La torture exige de l'intelligence, du savoir faire. On ne la pratique bien que lorsqu'on a appris � se dominer � tout point de vue�

 

La moiti� de la longueur du godemich� ne lui suffisait pas, il continua sa pouss�e un peu plus loin dans l'anus. A chaque all� retour, il gagnait un centim�tre en longueur� L'expression de ses yeux et la secousse faite par son corps au moment ou l'engin appuyait � fond pour se frayer un peu plus de longueur �taient �difiants. La gosse empal�e, perc�e par le pieu de latex �tait au bord de l'�vanouissement� Son rythme cardiaque s'�tait brusquement acc�l�r� Il calma le jeu pendant quelques minutes. La petite encul� r�cup�ra un peu, sa respiration s'apaisa.

 

Pendant ce temps il contempla sa chatte tum�fi�e, il joua avec ses grandes l�vres ouvertes, les d�gagea enti�rement pour faire appara�tre son canal vaginal� Il enfon�a son majeur � fond dans le conduit� Quelle �tait chaude� Il le retira, puis � l'aide de deux doigts il comprima son petit clitoris, le pin�ant tr�s fort. La petite femelle se contracta aussit�t.

Selon lui elle r�agissait bien, mais pour la suite, il fallait que son clitoris double au minimum de diam�tre� Il n'�tait pas assez d�velopp� et irrit� � son go�t. La cr�me moutarde n'�tait pas loin� Une petite noisette recouvrit rapidement le petit bourgeon tum�fi� Puis il se dit que remplir le conduit vaginal aussi pourrait acc�l�rer le processus� Ses quatre doigts remplis d'onguent bourr�rent la petite chatte jusqu'� la garde.

Il s'essuya les mains sur ses petits t�tons, il n'avait plus qu'� attendre�

Moins d'une minute apr�s les effets se firent ressentir, comme pour le trou du cul, mais en plus fort� Son corps fut secou� de spasmes, et de mouvements incontr�lables. Il acc�l�ra la cadence d'enculage du godemich�, le poussant encore plus loin� Il y �tait enfin, son rectum avait enti�rement aval� la grosse bitte en latex� Brave petite fille de huit ans encul� � fond�

Il travailla avec le god, le ressortant presque compl�tement, puis le rentrant � fond � nouveau� Quelques filament de sang perlaient sur le chibre�

 

 

Son trou du cul perdait un peu d'h�moglobine, pas �norm�ment c'�tait rassurant pour elle. Il lui avait presque d�fonc� le trou du cul.

 

La fillette hurla et se d�mena horriblement pendant cinq bonnes minutes, puis un ph�nom�ne bizarre se produisit, tout d'abord elle se calma un peu, puis elle commen�a � haleter et � g�mir� Des g�missements langoureux, et des contractions avec le bas de son ventre�

 

Le docteur savait ce que cela voulait dire.

Il l'avait d�j� remarqu� sur une fillette qu'il avait fait souffrir de longues heures avant Emmanuelle� Le cerveau de la gamine avait d�connect� la souffrance� Trop c'�tait trop�

Il ne restait qu'une forme de celle-ci� Remplac�e par une jouissance m�canique et automatique.

Le clitoris pouvait �tre un petit organe de souffrance ou de plaisir, ou les deux � la fois�

Faites l'exp�rience : Immobilisez compl�tement les quatre membres d'une femelle, faite la jouir jambes �cart�es � fond, en lui su�ant le clitoris,jusqu'� l'orgasme�

La femelle prend son pied comme jamais, mais au lieu d'arr�ter lorsqu'elle � jouie, essayer de continuer de lui sucer le clitoris pendant tr�s longtemps�

Au bout d'un quart d'heure, elle va vous supplier d'arr�ter, pleurer, faire une crise de nerfs, et enfin souffrir� Idem pour le bout des seins�

Avec les petites filles c'est pareil bien sur� Mais si vous commencer par la souffrance, le ph�nom�ne s'inverse, la jouissance appara�t�

 

Emmanuelle commen�ait � jouir, m�caniquement� l'expression de ses yeux avait chang�, la pupille s'�tait dilat�e, elle essayait de soulever ses reins par �-coups, comme pour recevoir un coup de bitte dans son vagin.

Ses g�missements ne trompaient pas, la petite fille prenait son pied�

Il v�rifia avec ses doigts l'�tat du canal vaginal� Elle mouillait copieusement.

Son clitoris avait tripl� de volume,C'�tait le moment de passer � l'�tape suivante�

 

Le petit bourgeon tout rose, devenu turgescent �tait pr�t � �tre transperc� de part en part, a l'aide d'une tr�s fine aiguille�

 

Il laissa le god en place � fond dans l'anus, puis il se tourna vers l'armoire�

Une petite seringue contenant un produit de couleur ambre avait �t� pr�par� par ses soins, au bout de celle-ci une aiguille de fine taille avait �t� rajout�

 

La gamine jouissait toujours� Elle ne remarqua m�me pas le docteur immobilis� son petit bourgeon entre deux doigts� De l'autre main il pr�senta l'aiguille juste au milieu du clitoris gonfl�, et d'un geste pr�cis il appuya � fond�

 

Le petit morceau de chair fut transperc� de par en part par l'aiguille�

 

La fillette se crispa, arr�ta de remuer quelques instants son bassin, mais continua � haleter de plus belle�

 

Il fit coulisser l'aiguille dans le petit bourgeon plusieurs fois, comme si il voulait agrandir le trou, puis il fit le geste m�dical qu'il fallait� Il retira tr�s doucement l'aiguille, mais pas compl�tement, laissant le bout de celle-ci dans le morceau de chair� Puis il pressa d�licatement le piston de l'aiguille, injectant un peu de produit dans le clitoris� La fillette s'immobilisa � nouveau et tr�s rapidement elle recommen�a � �tre excit�e�

Il r�injecta plusieurs fois du produit dans le petit organe, puis il repoussa l'aiguille � fond pour la faire ressortir de l'autre c�t�, comme il l'avait d�j� fait� Il retira la seringue et laissa la petite aiguille dans son bourgeon transperc�e.

 

Pendant cinq minutes il r�activa son enculage avec le godemich�, la fillette prenait toujours son pied�

 

Il contempla son �uvre, r�sultat de l'injection, le clitoris avait encore doubl� de volume, gros maintenant comme un petit bout de doigt de la gamine�

Il allait maintenant pouvoir le transpercer � nouveau et y mettre un anneau qui y resterait � demeure.

 

C'�tait l'assurance pour lui d'une d�pendance permanente de la fillette, la fillette allait ressentir sans arr�t son clitoris, en gros le contraire de l'excision�

 

En plus il pourrait y fixer des poids, ou s'en servir comme d'une �lectrode, si il d�sirait la travailler � l'�lectricit�

Il prenait son pied � contempler l'aiguille pendu au clitoris de la petite fille� Il ne put r�sister � tirer l�g�rement dessus, plusieurs fois� C'�tait l'id�al pour faire ressortir encore plus son bourgeon.

 

Mais le travail n'�tait pas fini� Il pr�para l'anneau qu'il allait fixer � demeure, une petite boucle d'oreille. Pas si petite que �a�

 

Il pr�para la perceuse pr�vue � l'origine pour percer les oreilles, ce genre d'outil faisait tourner tr�s vite une petite fraise. Normalement cela ne faisait pas mal dans l'oreille, mais dans le clitoris c'�tait horrible� Il avait d�j� pratiqu� deux gamines� Il connaissait le r�sultat.

Elle allait s�rement avoir tr�s mal� Il voulait faire un trou minuscule, mais bien fait, capable de supporter un anneau de petite taille, mais suffisamment solide. Bien sur en rapport harmonieux avec son petit bourgeon�

De toute fa�on immobilis�e comme elle �tait, elle ne bougerait pas plus que tout � l'heure� Il fallait absolument percer la salope lorsqu'elle �tait en �rection, sinon impossible � faire.

 

La gamine continuait � jouir, c'�tait le moment� Il r�activa son bourgeon quelques minutes, et joua en m�me temps avec le godemich� dans son cul.

 

D'un geste sur il retira l'aiguille du petit bourgeon en �rection, puis il amena la petite perceuse juste au dessus et appuya sur l'interrupteur.

Un bruit d'appareil de dentiste, aigu et strident se fit entendre� Il saisit le clitoris entre deux doigts, le roula et tira dessus un peu pendant quelques minutes� La petite salope appr�cia, elle gloussa de plaisir. Il gagna encore un peu en turgescence. La minuscule fraise tournant � une vitesse vertigineuse s'approcha du petit organe sensible et entama sa perforation.

Elle hurla de douleur� L'engin continua � percer� En deux secondes il avait transperc� le petit clitoris� Le minuscule for�t ressortait de l'autre c�t�. Pour permettre une caut�risation directe il fallait usiner le trou effectuer dans la chair, ceci pour permettre que la chaleur d�gag� par la fraise aseptise directement, cela permettait aussi d'�largir le trou ainsi effectu�, pour �viter qu'il ne se rebouche�

La gamine avait cambr� ses reins, ses yeux �taient grands ouverts, elle ne bougeait plus, paralys� par la souffrance et la peur.

Il laissa tourner la fraise dans le trou effectu� deux bonnes minutes, puis il la retira du petit organe, �teignit la perceuse. Il reprit une autre petite seringue munie d'une tr�s fine aiguille pr�par�e � l'avance, puis piqua directement dans le clitoris de la petite fille, puis injecta le peu de produit que contenait le r�cipient.

Il attendit quelques minutes, son clitoris doubla � nouveau de volume. Il prit l'anneau ouvert dans une pochette, le pla�a d�licatement � sa place d�finitive, dans le trou du petit bourgeon. La pince � sertir enserra l'anneau, il appuya � fond� L'anneau �tait plac�, rien ou presque ne pourrait le retirer, il faudrait un outil sp�cial, ou le couper avec une pince�

Il joua avec plusieurs minutes avec un doigt c'�tait agr�able au toucher, il tira dessus assez fort, faisant bouger le petit organe dans le sens qu'il d�sirait�

La petite se mordit les l�vres un instant, elle �tait au bord de l'�vanouissement.

Il pensa un instant qu'on devrait poser cet accessoire sur toutes les petites filles de la plan�te�

Il rangea ses outils, puis reprit sa sodomie avec le godemich�

 

-         Bon je vais te retirer le sparadrap de ta bouche, je ne te conseil pas de gueuler. Si tu veux tu pourras parler�

 

D'un coup sec il retira le morceau obstruant sa cavit� buccale.

 

-         Oh Monsieur j'ai tr�s mal, arr�tez� Je ferai tout ce que vous voudrez, mais ne me faites plus mal�

 

Pour toute r�ponse, il rejoua avec le godemich� ins�r� dans son trou du cul depuis d�j� pas mal de temps� Il le repoussa � fond dans le beau petit cul.

 

-         Au lieu de dire des conneries petite salope, pense uniquement � ta jouissance� Tu as vu comme tu as aim� ce que je t'ai fait tout � l'heure. Tu as joui pour la premi�re fois de ta vie. Je vais te poser la question qui m'int�resse vraiment, j'esp�re que tu vas y r�pondre sinc�rement�

 

-         Pr�f�re tu �tre prise par devant ou par derri�re, c'est � dire par ton minou, ou par ton derri�re ?.

 

Le chibre en latex rentrait et ressortait sans arr�t du petit cul� La r�ponse vint enfin�

 

-         Par devant �a fait moins mal que par derri�re�

 

Pourtant, � voir la d�marche de ta m�re, je suis sur qu'elle aime aussi se faire enculer, tu n'es peut �tre pas comme elle�

 

-         Bon je vais te b�illonner � nouveau, j'ai encore du travail � effectuer sur ton joli petit corps, sois courageuse et laisse toi faire, m�me si cela fait mal� Essaye de trouver du plaisir comme tu l'a fait tout � l'heure et tout ira rapidement mieux pour toi.

 

Sans plus parler il recolla une bande adh�sive sur la petite bouche�

 

Il rejoua pendant une bonne dizaine de minutes avec le godemich� install� � demeure dans son post�rieur, le sortant presque enti�rement�

Laissant uniquement le gland dedans, mais tirant l�g�rement dessus, jusqu'� presque le faire ressortir�

 

Puis il le bloquait, attendait quelques secondes et contemplait avec plaisir la petite rondelle de l'anus ouverte encore plus, d�form�e au maximum�

Puis d'un seul coup il repoussait le god � fond, recommen�ant sa tringlette en poussant un peu � chaque fois pour regagner les douze centim�tres dans ses intestins�

L'anus ouvert sur cinq centim�tres de diam�tre devenait de plus en plus souple, tout rougit par l'irritation.

 

Il laissa le god � fond dans le trou du cul�.

 

-         Comme tu pr�f�res �a,je vais m'occuper maintenant de ton petit vagin�.

 

Il prit sur l'�tag�re le sp�culum� Le grand mod�le, celui pr�vu pour inspecter l'ut�rus des femmes, puis perplexe il le reposa�

La gamine �tait toujours suspendu, �cartel� � environ trente centim�tres au dessus du lit, perpendiculairement � celui-ci�

Pas terrible comme position�Avec les tringles fix�es au plafond et le syst�me de poulie il pouvait tout faire� La petite fille �cartel�e fut amen�e au centre de la pi�ce dans la m�me position, corps inclin�e en U�

Il joua sur les cordelettes pour parfaire la position, tira l�g�rement sur celle du bustier et en profita pour �carter les jambes encore plus� Cela ne lui plaisait pas encore� Il voulait avoir acc�s � son soubassement facilement, avoir sa chatte �cart� � fond devant lui� Il fixa sur chaque cuisse un bracelet de cuir, prit deux cordelettes sur des poulies libres, les attacha� Puis il commen�a � faire bouger les treuils� C'�tait bien, mais il pouvait faire mieux� Il alla chercher deux poids de 1 Kilogramme, en attacha un sur chaque bracelet en cuir des cuisses�

Les cuisses d�j� ouvertes � fond s'�cart�rent encore plus, � la limite du supportable� La gamine se mordit les l�vres, c'�tait la bonne position. La salope de huit ans souffrait le martyre�

Il prit une chaise, s'installa entre ses cuisses� Sa chatte juste � la hauteur de sa bouche� Il pouvait la sucer, ou rentrer tous les instruments qu'il d�sirait sans aucun effort.

Les grandes l�vres d�j� rougies et irrit�es, laissaient appara�tre le canal vaginal� C'est lui qui allait s'ouvrir � fond� Comme jamais il ne l'avait fait.

Le clitoris perc� par l'anneau, tum�fi�, boursoufl� par l'op�ration de tout � l'heure le tenta� L'anneau en or bien en place �tait tr�s joli�

Il tira dessus assez fortement� Cela tenait bien�

La fillette cambra ses reins de souffrance.

Il pr�senta le sp�culum ferm� dans le trou de chatte, poussa d�licatement � fond� Il maintint l'engin d'une main pendant que de l'autre il commen�a � serrer la vis� Un tour, deux tours� Le petit trou s'ouvrait devant ses yeux.

 

Justement ses yeux� Selon lui�Pas assez de lumi�re pour contempler le beau spectacle. D'un simple geste de la main il alluma le commutateur qui commandait le lampadaire allog�ne� Le r�flecteur �tait bien dirig�, une lumi�re blanche intense �claira le soubassement de la petite fille.

Il reprit le vissage de l'�carteur, s'arr�tant lorsque le diam�tre de la cavit� fit cinq centim�tres� Il savait sans probl�me qu'il pouvait aller encore plus loin� Il verrait tout � l'heure�

Le spectacle �tait grandiose, le tissu vaginal �tait d'un beau rose immacul�.

La gamine les yeux effar�s, se demandait ce qu'il allait se passer�

Elle n'eut pas longtemps � attendre� Il se tourna vers l'�tag�re, saisit une seringue vide munie d'une aiguille fine. Puis d'un geste lent et pr�cis, il guida l'instrument dans le vagin de la gosse� Il piqua bien au fond, rentrant l'aiguille sur un bon centim�tre, juste pour jouer au docteur� Elle n'eut aucune r�action� Il ressortit l'aiguille et s'amusa � piquer � des endroits diff�rents, quelques gouttes de sang perl�rent dans le conduit vaginal�

Cela ne l'amusa m�me pas, elle n'avait pas assez de r�action�

Il ressortit l'aiguille� Se posa la question, ou piquer la petite salope�

Le clitoris avait �t� assez ab�m� pour l'instant, pour la suite il valait mieux le laisser cicatriser et ne pas toucher � l'anneau implant�.

L'id�e lui vint rapidement� La petite poitrine�

Une seconde apr�s s'�tre mis debout, l'aiguille fut pos�e juste sur le bout d'un t�ton�Transperc� de part en part en une seconde�

La gamine eut un soubresaut inimaginable� Voil� qui �tait bien�

Il retira l'aiguille, se dit qu'une seule piq�re �tait d�risoire� Il posa la seringue, ouvrit une petite boite remplit d'aiguilles de toutes dimensions�

En prenant une de taille moyenne il honora � nouveau le petit t�ton, le transper�ant de part en part� Nouveau soubresaut et hurlement de douleur compl�tement �touff� par le sparadrap�

Du beau travail de torture�

Il laissa l'aiguille dedans� Il avait trouv� Le jeu allait consister � piquer le sein de la gosse, en descendant de plus en plus�

Adroitement, d'une main il tira sur la premi�re aiguille de fa�on � faire saillir la toute petite poitrine� Le mamelon se dessina l�g�rement. L'autre aiguille rentra juste un centim�tre dessous, en plein dans la mamelle�

La supplici�e hurlait en secouant la t�te de gauche � droite.

Puis vint rapidement deux autres aiguilles dispos�es de telle fa�on que le sein de la fillette soit �tir�e et maintenue artificiellement en extension par la derni�re pointe plac�e�

Le sein travaill� paraissait beaucoup plus volumineux que l'autre�

D'une main il souleva � fond toute les aiguilles, tirant tr�s fort sur le sein�

Il pla�a trois autres aiguilles � cent vingt degr� l'une de l'autre, plus grosses et plus longues que les autres dans la glande mammaire� Il rel�cha sa traction, le sein artificiel lev� ne retomba pas� Les aiguilles l'en emp�chaient.

 

La fillette de huit ans donnait l'impression d'avoir un sein de gamine de douze ans, pendant que l'autre �tait bien celui d'une petite fille de huit ans�

Superbe poitrine artificielle�

Le regard de la m�me n'�tait plus normal, vide d'expression� Elle hurlait, pleurait pendant plusieurs minutes, puis g�missait de douleur quelques instants� Et le cycle recommen�ait�

Il lui parla� Juste une petite phrase :

 

-         Bon c'est pas tout, je vais m'occuper de ton autre sein�

 

Et le supplice identique fut pratiqu� sur l'autre sein� L'une apr�s l'autre les aiguilles transperc�rent le mamelon, le remontant � chaque fois�

Il lui fallut un bon quart d'heure pour rendre le sein de la fillette identique �l'autre� Peut �tre un peu mieux r�ussi artistiquement parlant que l'autre�

 

La gamine ne bougeait plus, silencieuse elle regardait fixement le plafond, les yeux grands ouverts� Seule sa respiration haletante lui faisait dire qu'elle vivait encore.

 

Le docteur recula de trois bon m�tres pour savourer la sc�ne�

La fillette �cartel�e, cambr�e en hauteur, un godemich� imposant dans l'anus, plus un sp�culum �cartant son vagin au maximum� Sans oublier le final�

Le clitoris et son joli anneau dor�, et surtout les aiguilles transper�ant les petits seins, qui maintenant pointaient artificiellement vers le plafond.

Bon cela suffisait pour l'instant, dans une heure il avait rendez vous�

 

Il retira les accessoires de ses parties intimes�Pour le godemich� dans l'anus, il tira d'un seul coup dessus� Il joua avec la vis du sp�culum dans le vagin, avant de le retirer compl�tement, lui vint l'id�e de l'�carter au maximum�

L'ouverture faisait d�j� cinq centim�tres de diam�tre� Il vissa encore�

L'ouverture gagna encore deux centim�tres� Il prit une r�gle gradu�e et mesura le diam�tre de l'orifice forc� par l'�carteur� Sept centim�tres, pour une gamine de huit ans, c'�tait colossale�

Puis un peu � regret il desserra l'engin compl�tement et le retira�

 

Il voulut profiter de l'�lasticit� provoqu� par le sp�culum, sa main s'approcha de la belle petite chatte referm�e, ses doigts repli�s s'enfonc�rent dans le vagin� Ses doigts rentr�rent presque � fond et jou�rent � l'�carteur, s'ouvrant au maximum dans la cavit� vaginale � C' �tait chaud et tout humide�

La moiti� de sa main disparut dans le minou de la fillette� A huit ans elle pouvait prendre les plus grosses bittes sans aucun probl�me�

Les ficelles des tringles furent abaiss�es, tr�s rapidement la supplici�e reposa � nouveau sur le lit. Il d�fit toutes les attaches, remit uniquement la laisse de pied� La cha�ne fix�e par un anneau � la cheville d'un c�t� et scell� au mur de l'autre mesurait bien 4 m�tres.

Il alla remplir un verre d'eau au robinet, puis avec une certaine d�licatesse, glissant un bras sous les �paules de la petite il porta le verre plein � la commissure de ses l�vres�

Un peu de liquide se r�pandit dans la petite bouche� Elle d�glutit.

Puis voyant que l'eau �tait bonne�

Avec empressement elle but avidement la moiti� du contenu du verre�

Elle aurait bien tout bu, si il ne l'avait emp�ch� d'ingurgiter le reste.

Elle ouvrit les yeux doucement� Il lui parla doucement�

 

-         Bon avant que je ne parte, tu vas prendre ton repas� C'est l'heure de ta jutte� Tu vas ouvrir ta bouche, et faire coulisser ma bitte, puis tu avaleras mon sperme sans en laisser� Tu dois avoir faim�

 

Il la d�pla�a un peu, la remonta un peu pour lui placer la t�te sur l'oreiller.

Juste dans la position id�al� Tr�s rapidement il se retrouva � califourchon au niveau de son visage. La bitte bien droite for�a la petite bouche ti�de�

Les yeux grands ouverts, la gamine enroba l'engin qui commen�a � coulisser, aid�s par les l�gers coups de reins que le docteur donnait�

Il �jacula peu de temps apr�s� Elle avala rapidement, la faim aidant presque goul�ment� tout y passa.

Elle avait trop mal, trop peur aussi pour se rebeller�

Il pouvait lui dire de faire n'importe quoi, elle le ferait�

La gamine avala tout, pompa avidement, faisant bien attention de ne rien laisser� Elle craignait sa col�re�

Il laissa sa queue d�bandante dans sa bouche de longues minutes, il ce dit que c'�tait tr�s agr�able� Ressentir peu � peu sa verge mouill�e se ramollir, toujours activ� par le mouvement des l�vres d'une petite fille, quel d�lice�

Il se retira brusquement d'elle�

Avant de partir et de refermer la porte, il jeta un dernier coup d'�il sur sa proie� La fillette dormait, �puis� de souffrance�

Il sourit, les seins d�form�s, piqu�s par les aiguilles ne lui donnaient aucun remord, l'anneau dans le clitoris non plus� Il n'en �tait plus l�.

Il n'�tait plus dans le monde des humains depuis longtemps�

 

D�j� six jours� La fillette �tait de plus en plus soumise. Il la pratiquait par tous les trous. La faim la tenaillait, aucun aliment solide n'avait perturb� son conditionnement. Elle recevait juste ses doses de sperme, buvait son urine quand il lui demandait� Et quand elle �tait sage, un verre d'eau de temps en temps.

La soumission totale.

Le docteur lui prodiguait les soins m�dicaux appropri�s, lui d�sinfectant deux fois par jour sa belle petite poitrine, piqu�e et transperc�e par les aiguilles�

Il l'avait mis sous antibiotique, � haute dose, aucune infection ne pourrait se d�clencher�

La petite "chienne en laisse", ob�issait au doigt et � l'�il : " Baisse toi, �carte tes jambes, suce la bitte, retourne toi, avale, debout, couch�, l�che, � genoux�".

Deux semaines de gagn�es. Pour arriver � ce stade d'habitude les petites filles mettaient environ trois semaines� Six jours c'�tait tr�s bien.

La gamine �tendue sur son lit, en nuisette, petite culotte � dentelle attendait les ordres du m�le�

En arrivant, d'une fa�on un peu plus gentille que d'habitude, il s'adressa � elle : " Bon c'est bien, tu me plais, tu es soumises, tu fais tous ce que je dis�

En plus de �a tu es jolie�

Mais je te pr�viens si une seule fois tu ne fais pas ce que je te dis, je recommence�". Il continua : " tu vas garder les aiguilles dans les seins quelques temps, j'ai envie de jouer tr�s souvent avec�

L'anneau sur ton clitoris, c'est pour la vie�

Bon aujourd'hui, je vais te donner quartier libre, tu va pouvoir faire ce que tu veux, je t'ai amener des bandes dessin�es et aussi une boite de g�teaux�

Tu dois avoir faim� Mais avant tu vas faire ta pipe du matin, comme d'habitude, sans rien perdre de la jutte, tout avaler comme d'habitude�

La fillette contempla la boite de g�teaux avec envie� Puis automatiquement elle se mit � genoux, bouche ouverte en grand, pr�te � recevoir la bitte du docteur�

Quelques secondes apr�s la queue coulissait dans la petite bouche.

Emmanuelle s'activait � travailler la queue avec plus d'attention que d'habitude, une r�compense gourmande l'attendait�

Le docteur entreprit d'ouvrir le paquet de g�teaux, devant les yeux de la fillette�

 

Il prit une madeleine, joua avec, la fit sentir � la gosse, puis, s'arrangea pour que celle-ci effleure ses l�vres � chaque passe que faisait la gamine�

Il lui dit : " Tu mets une madeleine dans ta bouche, puis sans l'avaler tu la m�ches, tu la m�langes avec ta salive, puis te re-pipe la bitte� �a va �tre bon�

La fillette resta interloqu�e une seconde, puis rapidement la madeleine fut happ�e, puis m�ch�e�

La petite fille d�visageait son bourreau, sans comprendre. Elle m�cha une bonne minute, puis fit ce qu'il lui avait demand� Elle engouffra � nouveau la bitte.

La sensation �tait plaisante, en plus de la chaleur et de la moiteur de la cavit� buccale, il ressentait la p�te mouill�e et un peu rappeuse du g�teau lui gratter d�licatement les parties les plus sensibles de son gland.

C'�tait vraiment g�nial�

Quelques minutes apr�s, la salive aidant, la texture de la madeleine avait chang�e, encore plus mouill�e, la bouillie du g�teau faisait magnifiquement coulisser la bitte�

Par crainte de sa col�re, la petite fille n'avait toujours rien aval�.

 

L'�jaculation n'allait pas tarder � venir, il pr�vint l'enfant : " Tu vas garder toute la jutte dans la bouche, la m�langer compl�tement avec le g�teau, tu avalera l'ensemble seulement quand je te le dirai ".

 

Quelques secondes apr�s le sperme gicla abondamment dans la petite bouche�

La m�me re�ue six ou septjets, tout en continuant � piper�

Ses joues gonfl�es du m�lange de sperme et de madeleine �taient toutes d�form�es� Les sensations au bout de sa bitte �taient super, d�gueulasse � souhait�

 

Il donna enfin l'autorisation � la petite fille d'avaler doucement, en go�tant, il fallait qu'elle d�guste le m�lange�

 

La gosse avala d'abord doucement, la premi�re gorg�e de mati�re descendit d�licatement dans son gosier, un bruit unique de d�glutition se fit entendre�

 

La gamine avait tr�s faim, elle avala plus rapidement, puis de plus en plus vite�

Le m�lange fut ingurgit�rapidement, la petite langue fouilla � l'int�rieur pour ramasser encore un peu debouillie " Sperm�e ". Puis bient�t le petit bout rose ressorti, passa sur ses l�vres � la recherche d'un peu de sperme et de g�teau.

Elle d�gusta quelques minutes, puis ayant toujours aussi faim, elle entreprit de l�cher la bitte recouverte de m�lange� Elle ne laissait rien, la gamine se r�galait tout en nettoyant la belle queue bien dure. Quelques minutes apr�s tout �tait consomm�e, la verge reluisait de la salive de la gosse, tout �tait propre�

 

Il lui tendit enfin le paquet de g�teau et tout haut lui annon�a la bonne nouvelle : " Tiens tu peux tout manger, tu l'a bien m�rit�e�".

 

La petite fille comme un animal affam� se pr�cipita sur le paquet de madeleines et ingurgita la premi�re en quelques secondes�

 

Il la laissa manger, d�posa les livres, puis referma � clef la lourde porte capitonn�e derri�re lui.

 

ATTENTION : Textes apocryphes d'Alain Terdit.

 

 

Les supplices de Laura

 

En fin d�apr�s-midi Laura fut emmen�e � la petite maison et encha�n�e nue au mur dans une des chambre de la cave insonoris�e par Jean Yves. Le d�cor �tait lugubre, un lit avec matelas, une armoire rempli d�instrument m�dical et de flacons de m�dicament. Un syst�me de poulies et de treuil avait �t� am�nag� au plafond, celui-ci permettait d�immobiliser et d��carter dans toutes les positions un corps humain. L'ing�nieux dispositif permettait de proc�der � toutes les interventions d�sir�es.

Le docteur d�cida d�essayer le m�canisme de suite. Il rev�tit la petite fille qui dormait encore de bracelets de cuir aux poignets et mollets. Puis il l�habilla d�un harnais ceinturant son bassin et ses hanches. Il fixa les cordes du treuil aux 5 crochets qui d�passaient des bracelets et du harnais et activa la m�canisme�

Le corps de la fillette monta doucement � 1 m�tre du sol, bras et cuisses �cart�es au maximum en position horizontale, il en profita pour contempler sa chatte et son anus, remarquant aussi l��tat de rougeur des t�tons gonfl�s et tum�fi�s�

Il essaya le m�canisme dans une autre position, Laura se retrouva � la verticale, bras tendus en l�air, jambes �cart�es, pieds � 20 centim�tres du sol.

Il pouvait tout faire, la mettre dans toutes les positions. Il pr�f�ra une pose interm�diaire, entre verticale et horizontale, bras et cuisses �cart�s.

Le bassin �tait tir� vers le mur, devant elle. Ce qui lui donnait une dr�le de position. Elle avait les bras et les jambes �cart�s derri�re elle, son bassin courb� vers l�avant.

Tout son corps faisait un l�ger arc de cercle. Il alla chercher dans l�armoire un flacon qu�il d�boucha et qu�il pla�a sous le nez de la petite fille, l�effet ne se fit pas attendre longtemps, Laura commen�a � retrouver ses esprits et ouvrit ses paupi�res.

La petite fille sortit d�un mauvais r�ve et rentra imm�diatement dans un vrai cauchemar. Reconnaissant instantan�ment le docteur et Sandy, elle voulut bouger� Ses bras et ses jambes �taient maintenus en arri�re, le harnais et les bracelets de cuir remplissaient bien leur office. La fillette ne put que se mettre �pleurer, le b�illon ayant �t� retir�, la fillette exprimait sa d�tresse�

Ils sortirent de la chambre, referm�rent la porte, et purent constater que le bruit des sanglots �taient compl�tement �touff�s, presque inaudible de l�autre c�t�.

Ils attendirent un bon quart d�heure, rentr�rent � nouveau, la petite �tait calm�e, bien sur toujours dans la m�me position cambr�e dans l�espace.

Le docteur prit une chaise et d�cida d�expliquer � la fillette les r�gles du jeux�

Laura si tu fais tout ce qu�on te dit, tout ira bien, tu mangeras et boira � volont�, sinon rien � manger et � boire, tu seras fouett� et on te fera encore plus mal�

Si tu fais tout ce qu�on te dis, dans quelques semaines tu seras libre.

Tu as bien compris ? � oui ou non� ?.

De la gorge de la fillette sortit un oui presque inaudible�

 

Bon on va voir si tu a compris, le docteur pla�a sa chaise juste sous la t�te de Laura. Il demanda � Sandy de descendre la fillette d�un bon m�tre et d�orienter sa t�te vers le bas, ce qu�elle fit. Le docteur retira son pantalon et son slip, il se repla�a cuisses �cart�es sur sa chaise� Sandy avait compris, elle man�uvra le treuil jusqu�� ce que la bouche de la petite fille touche le sexe du docteur�

Il demanda avec autorit� que la fillette ouvre la bouche�

Les l�vres de sa bouche touchaient la bitte encore m�le, mais la gamine refusait pour l�instant d�ouvrir� S�adressant � Sandy, il lui demanda de prendre la martinet dans l�armoire, ce qu�elle fit.

Il dit seulement 5 coups entre les cuisses�

Sandy se mit en position derri�re les fesses ouvertes, le premier coup s�abattit juste ou il fallait, en plein milieu de l�entrejambe� Elle tressaillit et hurla de douleur. La position cambr�e, cuisses �cart�es �tait parfaite pour la punition.

Les quatre autres coups furent de la souffrance � l��tat pur, elle pleurait en hurlant de douleur�

Le docteur attendit 5 minutes qu�elle se calme� On recommence�

Je t�ai demand� de me sucer la bitte, petite salope, tu as compris ce coup-ci � ?

La fillette ouvrit la bouche et happa la queue tr�s rapidement�

La bitte fut tr�s rapidement en �rection et le docteur commen�a � aller et venir dans sa bouche. Il ordonna � la m�me de serrer plus fort ou de mouiller avec de la salive, La fillette s�ex�cuta �

Met lui un godmichet dans le cul, ordonna t�il � Sandy. L�apprentie revint de l�armoire avec une belle bitte en latex, puis se pla�ant derri�re Laura, elle lubrifia l�anus en rentrant sa langue � fond� Quelques instants apr�s elle commen�a � faire rentrer le god dans le petit cul de r�ve.

Le docteur ayant le visage de la fillette devant lui, put contempler la souffrance de la gamine lors de l�enculage de l�engin�

Le chibre en latex rentra enti�rement dans le derri�re de la petite fille,

elle souffrait horriblement. Le docteur prenait un malin plaisir � rentrer sa bitte au fond de sa gorge, � la limite de l��touffement�

Sandy se dirigea vers l�armoire, elle y prit deux pinces � sein, une ficelle pendait � chaque bout, permettant d�y accrocher des poids ou ce qu�on voulait de lourd� Elle se positionna sous la gamine, accrocha les pinces � chaque t�tons d�j� bien tum�fi�s� L�horreur et la souffrance remplirent les yeux de Laura�

Sandy n�en resta pas la et accrocha au bout de chaque ficelle un poids d�environ 100 grammes. La petite poitrine naissante fut d�form�e et tir�e par le bas.

En quelques secondes la petite mammif�re parut avoir des petits seins de 12 ou 13 ans�Elle g�missait de plus en plus, seule la queue dans la bouche l�emp�chait de hurler.

Le docteur abandonna sa position assise, modifia compl�tement le r�glage pour qu'elle se retrouva � horizontale, yeux et poitrine vers le haut, bras et jambes tendus �cart�s au maximum. Il releva le haut de son corps, puis descendit son bas ventre juste � la hauteur de sa queue.

C'�tait parfait pour �tre "saillie" par la chatte�

Comme son buste�tait l�g�rement sur�lev�, la fillette pourrait contempler ce qu�on lui faisait, m�me voir la bitte rentrer�

Elle pleurait tr�s fort, plus rien n�obstruait son gosier. Les poids des pinces � seins glissant de chaque c�t� de son corps, tiraient moins qu�avant sur les mamelons, elle devait avoir moins mal aux t�tons.

Le god l�enculait toujours autant, le docteur demanda � Sandy de le retirer, ce qu�elle fit de suite, sans m�nagement. Le docteur voulait que la m�me prenne sa pinne � fond dans son vagin, rien d�autre ne devait la g�ner dans son ventre�

Il donna l�ordre � Sandy de lui retirer les pinces � sein et de lui sucer et rouler doucement ses t�tons. Les bouts �taient tout violac�s, pas beau � voir�

Sandy s�ex�cuta, trop contente de faire plaisir au docteur.

Il se mit � genoux entre les cuisses de la petite fille, sa langue commen�a � faire un travail d�investigation et d�humidification du petit vagin. Elle �tait juste � la bonne hauteur, aussi bien pour la sucer que pour la prendre lorsqu�il se rel�verait� Il tourna, retourna sa langue dans le petit trou, mouilla, inonda un maximum avec sa salive, titilla pendant un long moment le clitoris de la fillette. Un tr�s long moment� Jusqu�� ressentir le petit bourgeon se d�velopper et grossir sous sa langue... La fillette n'y pouvait rien, le clitoris �tait l� pour la jouissance� M�me celui d�une petite fille.

Beaucoup de cons l�ignoraient ou feignaient de l�ignorer�

Il continua son man�ge encore une bonne dizaine de minutes, la petite ne disait plus rien, d�tendue elle se laissait faire, sa chatte s�humidifiait doucement, son clitoris gonflait toujours, ses yeux devenaient p�tillants.

Le docteur gouttait � la petite fille, le liquide qui suintait de sa chatte �tait sacr�, quelle saveur, quel bouquet� Quel met de Roi, et ils si connaissaient les rois, depuis le temps qu�ils pratiquaient�

Laura commen�ait � perdre la t�te en g�missant doucement, le travail du clitoris, plus le l�chage des t�tons faisaient leurs effets.

Le docteur se releva, toujours en �rection sa bitte se trouva aussit�t sur le minou de la petite fille. Elle �tait d�j� �cart�e, dans la bonne position� La pinne vint se poser juste � l�entr�e de la petite fente de 10 ans et demie.

Il l�avait d�j� prise par devant tout � l�heure, seul le bout de son gland �tait rentr�, il en gardait des sensation de bien �tre incroyable, serr� et envelopp� comme il ne l�avait jamais �t�.

L'envie d�aller plus loin dans son petit ventre le d�mangeait �

La petite fille regardait la bitte les yeux p�tillants, grands ouverts, g�missant doucement. Des r�les de plaisir incontr�lables l�envahissaient, le travail sur sa chatte avait dur� plus d�une demi-heure et portait ses fruits�

Elle �tait offerte, sans comprendre. Apr�s la souffrance autant de plaisir, elle se laissait faire, sa soumission �tait totale.

La r�bellion n�aurait servie � rien.

Il fallait qu�elle se laisse faire, elle le savait.

Maintenant c��tait bon, tout son corps avait chaud, des p�tillements partout�

Il promenait sa bitte de haut en bas sur la fente, sans oublier le clitoris charg� de maintenir son d�sir au paroxysme. Ses mains caressaient ses c�tes, son ventre, ses fesses, les palpant, les �cartant au maximum.

La bitte tra�ait seule son chemin, parcourant la petite fente, appuyant l� ou il fallait, les l�vres de son sexe commen�aient � s�ouvrir l�g�rement et � se colorer d�un beau rose vif�

Il appuya plus fort. Ensemble ils purent contempler la pinne d�former le petit vagin encore ferm�. La fillette fit une grimace, serra les dents.

Il appuya � fond� Le bout de la queue rentra enti�rement. Le gland avait disparut dans le bas ventre de l'enfant�

A nouveau le joint �tait parfait, sensation magique. La petite avait tressailli de tout son �tre, un l�ger cri aigu �tait sorti de sa bouche lors de la p�n�tration.

Il �tait serr� � souhaits, la chaleur de la fillette irradiait le bout de sa queue.

A l'aide de tr�s l�gers coups de reins, il la balan�ait doucement d�arri�re en avant, les cordages suivaient le mouvement de la bitte.

Sans chercher � rentrer plus dans son ventre, il rejoua comme il l�avait fait la premi�re fois, pendant plus de cinq minutes. Elle gloussait de plaisir�

Belle et chaude petite enfant femelle� Il bougea de plus en plus, ressentit une humidification dans son vagin, la petite salope mouillait de plus en plus.

Elle �tait pr�te pour �tre saillie � fond�

Il accrocha ses mains de chaque c�t� du harnais, l�immobilisa tout en continua son va et vient. La gamine prit aussit�t cinq centim�tres de longueur dans sa chatte, elle fut surprise, eut un petit cri.

Les cinq centim�tres repartirent aussi vite, puis reprirent leur place aussit�t� Cela coulissait merveilleusement bien, il lui restait � rentrer sept ou huit centim�tres dans une chatte de r�ve�

Centim�tre par centim�tre, son engin rentrait, elle mouillait abondamment, prenant du plaisir. La "gaminette" contemplait sa premi�re p�n�tration avec attention et stupeur, se demandant comment cela pouvait rentrer dans son ventre, sans vraiment faire mal, et m�me procurer un certain plaisir�

Cette chaleur qui montait de plus en plus, cette sensation quelle n�avait jamais ressentie avant, elle ne pouvait pas l'expliquer�

Se laisser faire, il fallait se laisser faire, elle verrait bien apr�s�

Il la besognait d�licatement, rentrant centim�tre par centim�tre. Sandy qui jouait toujours avec le bout des t�tons de la m�me depuis le d�but abandonna son occupation. Elle vint se mettre � genoux derri�re le docteur, mit une main entre ses cuisses, entreprit un massage de ses testicules�

 

Elle caressa en m�me temps la chatte de la gosse, et put constater que presque toute la longueur �tait rentr�e dans son bas ventre.

La petite femelle de 10 ans et demie g�missait, se tordant de plaisir. Peu de temps apr�s les couilles battaient sur son entrejambe, prise � fond, il la besognait maintenant comme il aurait fait avec une putte professionnelle, sans aucun m�nagement, � grands coups de bitte.

Il la travailla cinq bonnes minutes avant d�exploser dans son ventre�

A chaque gicl�e de jutte la petite fille se crispait un maximum en hurlant de bonheur.A chaque jet, elle vibrait de plaisir en parlant tout haut : " hoo oui,hoo oui�"

Il la remplit copieusement jusqu�� ce que ses couilles soient vid�es � fond.

La fillette ne bougeait plus, ses yeux �tait tout p�tillant, son visage d�tendu avait une vague expression de bonheur. Il resta assez longtemps sans force, puis d�cida de se retirer. Il ressortit sa pinne doucement, laissant uniquement le gland. Il �tait serr� un maximum, il tira doucement, le ventre de la petite �tait comme soud�e � sa bitte, faisant comme une ventouse. Il essaya encore, � chaque fois le m�me ph�nom�ne se produisait, la bitte et la petite chatte �tait comme soud�es l�un � l�autre� Il attendit quelques minutes.

Il d�banda un peu, d�un coup sec il souleva ses reins et ses fesses. La bitte se disjoignit du vagin en faisant un bruit d�air. La petite fut surprise, le manifesta en faisant sortir de sa bouche un petit" oh�".

Il d�tendit les cordes. la fillette se retrouva allong�e par terre. Il la d�tacha, puis la d�posa sur le lit, demanda � Sandy d'aller chercher une bassine d'eau puis de nettoyer un peu la gosse. Il �carta ses cuisses, contempla son sperme ressortir du vagin. Elle �tait remplie au maximum, avec sa main il appuya sur son bas ventre,le sperme s'�chappa encore un peu plus de sa petite moule...

Ses doigts recueillirent le pr�cieux liquide blanc, qu'il s'empressa aussit�t d'�taler sur la bouche de la petite.

Il lui demanda d'ouvrir ses l�vres et d'avaler ce qu'il lui donnait�

la fillette toute tremblante �tait revenue � la r�alit�, elle s'ex�cuta aussit�t�

Ils attach�rent une cheville de Laura avec une menotte. Une grande cha�nette de trois m�tres lui laissait une certaine libert�

On va revenir Laura, dans quelques heures� On en profitera pour t'amener � manger et � boire, mais je te pr�viens tout de suite, il faudra que tu sois tr�s gentille, que tu fasses tout ce qu'on te dira, sinon rien�

Bon on va chercher du mat�riel qui nous manque et on revient�

Ils referm�rent la porte de la chambre � clefs et discut�rent un peu sur les m�thodes � employer sur Laura. Sandy venait de lui donner une id�e�

Il �tait 21 heures lorsque ils regagn�rent le pavillon. Jean Yves �tait nu dans le grand fauteuil du salon� Regardant la t�l�vision, Audrey et Nadine s'occupaient de lui, caressant ses parties g�nitales, elles �taient juste habill�es d'une petite culotte en dentelles rose �

Le docteur salua Jean Yves, lui dit de ne pas interrompre ce qu'il faisait.

Rapidement il lui expliqua que Sandy et lui dormiraient dans le pavillon des tortures, ils �taient venus chercher du mat�riel�

Ils mirent une bonne heure � trouver tout ce qu'ils leurs manquaient, nourriture incluse. Le docteur d�cida au dernier moment d'emmener K�vin , le petit gar�on allait aussi leur servir pour quelques exp�riences�

Vers 23 heures ils furent de retour au pavillon des tortures. Ils rouvrirent la porte de la pi�ce ou �tait enferm�e Laura. La gamine dormait, Sandy la r�veilla, lui pr�senta K�vin. Les deux m�mes se seraient bien passer de faire connaissance, ils �taient tous les deux transis par la peur�

Le docteur leur expliqua� Vous allez faire tout ce qu'on vous dit et tout ira bien. En cas de contestation ou de mauvaise volont�, vous serez fouett�s.

Pas de nourriture ni boisson avant, apr�s si tout c'est bien pass�

La fillette avait pour seul habit son harnais lui ceinturant la taille, et les bracelets aux extr�mit�s des membres. Le docteur amena les cordes qui pendaient du plafond, les rattacha sur la fillette. Peu de temps apr�s la petite fille �tait � nouveau en suspension � un m�tre cinquante du sol, cuisses et bras �cart�s en position horizontale.

Sandy habilla le petit K�vin avec des habits de fillette, slip en dentelle rose,soutien gorge, minijupe� Le petit gar�on de 9 ans se retrouva attach� en croix aux murs. Ecartel�s, maintenus par des attaches aux extr�mit�s des quatre membres. Sandy redescendit la petite culotte rose en dentelles sur ses genoux�

Le gamin et la fillette �taient � leurs merci. Ils avaient acc�s � leurs parties g�nitales comme ils le d�siraient�

Le docteur sortit d'un sac, un appareil de stimulation �lectrique, servant d'habitude � faire perdre du ventre ou des fesses.

L'�lectricit� donnait des impulsions aux muscles, qui eux se contractaient sous l'effet de la d�charge, l'appareil �tait r�glable en temps et en intensit�.

L'engin professionnel, pouvait �tre command� en manuel ou automatique, avec s�lection des quatre sondes�

Ils allaient l'utiliser d'une autre mani�re� Le docteur d�coupa le surplus des cercles des �lectrodes, ne gardant qu'une bande de un centim�tre de large sur trois centim�tre de long. Il disposait maintenant de quatre �lectrode double, en tout huit endroits qui diffuseraient du courant �lectrique sur les parties sensibles du corps de la petite fille� Bien sur, il choisit en premier, le clitoris�

il maintintl'�lectrode � l'endroit du petit bourgeon avec un bout se sparadrap, la deuxi�me qui allait de paire avec la premi�re fut plac� � l'int�rieur du vagin de la petite�

Deux autres sondes furent plac�s sur chaque t�tons tum�fi�s de la gosse.

Il en rentra une autre dans l'anus, celle qui allait de paire fut fix�e entre le trou du cul et la chatte.

Il se demandait bien ou fixer la quatri�me paire, il r�fl�chit�

La longueur de chaque sonde �tant de pr�s de trois m�tre, il se d�cida pour le petit gar�on, K�vin se vit placer une sonde sur les testicules et une autre dans son anus�

Il s'assit sur une chaise, le bo�tier de commande sur les genoux, il alluma l'appareil, il �tait pr�t � faire joujoux�

Sandy n'en perdait pas une, elle vint se placer par terre � c�t� du docteur, commen�a par lui sortir la bitte, puis lui massa les couilles doucement.

Il r�gla les quatre interrupteurs � Z�ro, baissa l'intensit� au minimum�

Il ouvrir l'interrupteur 1, celui qui commandait le clitoris et la chatte, mit la puissance sur 5. Il appuya en manuel une fois sur le bouton. Laura fut secou�e par la d�charge, elle tressaillit, les cordes boug�rent, elle se mit � crier�

L'appareil �tait en position cinq, il pouvait monter jusqu'� cinquante�

Il mit l'anus en fonctionnement, il appuya� Secousse identique de la gosse et commencement des pleurs. Il essaya les t�tons�

La encore la r�action fut violente�

Il ne manqua pas d'essayer le petit K�vin, la d�charge fut identique, il se secoua �nergiquement pour essayer d'avoir moins mal.

La petite fille et le gamin les regardaient, implorant du regard, rien n'y fit,

Le docteur mit l'appareil en automatique, � la puissance vingt.

Toutes les dix secondes les huit sondes enverraient leur d�charge �lectrique pendant cinq longues secondes� Il appuya.

C'�tait horrible, leurs corps se tendit au maximum pendant la d�charge, ils hurl�rent de souffrance, les sondes �taient pos�s � vif sur leurs parties intimes.

Ils avaient comme des convulsions et se tordaient de tous les c�t�s.

Cinq secondes horribles, dix secondes suivantes de soulagement, dans un silence profond, puis � nouveau le supplice des cinq secondes�

Le docteur baissa l�g�rement la puissance � quinze. Ils allaient s'habituer progressivement aux d�charges, il monterait l'intensit� tout � l'heure�

Pendant cinq minutes ils contempl�rent sans rien dire les petits corps se convulsionner � chaque secousse. Les gosses ne pleuraient plus, les impulsions �lectrique les en emp�chaient.

Le docteur bandait fortement, il s'approcha de l'aura, mit sa queue � la hauteur de sa chatte. Il retira d'abord la sonde du clitoris, puis celle de son vagin, appuya sa pinne sur les l�vres de son sexe. Incroyable, elle mouillait �norm�ment�

Il enfon�a sans probl�me la moiti� de la longueur de sa queue et attendit la secousse� Elle vint rapidement, c'�tait g�nial, le petit trou du sexe tr�s serr�, plus l'�lectricit� venant de son anus, avec en m�me temps les contractions involontaires que la petite fille faisait avec tout son corps, lui procuraient des sensations encore inconnues � ce jour� Il fit coulisser sa bitte, la besognant � fond. Il ressentait l'�lectricit� aussi sur sa verge, il toucha ses seins, retira sa main aussit�t, l� aussi le courant passait� La fillette avait les yeux grands ouverts, une expression d'horreur dominait son visage, elle n'avait plus la force de crier, elle mouillait �norm�ment du sexe, elle ne jouissait pas, mais le courant lui procurait cette r�action bizarre.

Sandy contemplait le petit gar�on, sa petite bitte �tait en �rection, belle dimension pour un petit de neuf ans, elle ne r�sista pas longtemps, se mit � genoux entre ses cuisses et commen�a � lui faire une belle petite fellation.

Elle ressentait les contractions de sa verge � travers sa bouche ainsi qu'un petit picotement du � l'�lectricit�

Le docteur continuait son besognage, de sa main droite il tira le bo�tier de commande qui se trouvait sur la chaise, mit le bouton sur la position maximum�

Ce fut horrible, cinq secondes apr�s la d�charge �lectrique secoua incroyablement les petits corps, il ressentit sur sa verge les contractions involontaires du vagin de la fillette, elle avait tressailli d'une dr�le de mani�re, des secousses inhumaines la parcourait.

Mais que c'�tait bon pour lui, elle n'arr�tait plus de contracter son vagin, m�me entre les secousses �lectriques�

Son petit c�ur battait � une vitesse incroyable, elle �tait en sueur. Il d�cida de r�duire en urgence l'intensit� de l'appareil, il attendit deux minutes que la petite se calme un peu, ce fut mieux�

Il continua son va et vient dans son ventre, elle �tait consciente, g�missante de douleur. Les secousses �taient certes moins fortes, l'appareil �tant r�gl� � la moiti�, mais elles faisaient cambrer le corps de la gosse � chaque fois.

Jamais il n'avait �t� aussi serr� dans une petite chatte, aucune femelle ne l'avait fait jouir de cette fa�on, c'�tait sublime. Il attendit le d�but d'un cycle �lectrique pour d�charger le peu de jutte qui lui restait dans les couilles dans le bas ventre de Laura. Il g�mit de bonheur, elle g�missait de douleur.

Epuis� il se retira d'elle, arr�ta le g�n�rateur de courant. Il regarda Sandy, elle souriait. Le petit K�vin �tait �vanoui, respirant calmement� Il n'avait pas support�. Il retourna la t�te vers la petite Laura, elle aussi venait de fermer les yeux, �puis�e elle dormait�

 

P.S. Note sur l'inceste et la p�dophilie :

 

Ce r�cit est imaginaire et doit le rester�

Une petite fille ou un petit gar�on est un �tre humain, et ne m�rite en aucune fa�on d'�tre perturb� dans son d�veloppement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour et ne l'auront peut �tre jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un �tre.

Le v�ritable courage dans la vie, consiste � donner le bonheur qu'on a pas eu,

et surtout de ne pas rendre le mal qu'on nous a fait�

 

Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs pour tenter Adam et Eve� Lucifer se porta volontaire, lui qui �tait pourtant l'un des sept grands archanges de notre syst�me solaire, ou sa mission �tait de garder la plan�te V�nus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanit� � faire grandir sa spiritualit� en la soumettant � toutes les tentations.

Ce qu'il fit� La t�che que lui confia dieu fut certainement une des plus importantes de la cr�ation. Elle n'est pas finie, elle doit permettre � l'�tre humain de s'�lever, de r�v�ler sa v�ritable lumi�re int�rieur, d'affirmer sa spiritualit� en r�sistant au mal, qui lui m�me fait parti int�grante du bien.

Comprenne qui pourra �.

 

ATTENTION : Textes apocryphes d'Alain Terdit.

 

AVERTISSEMENT :

 

Les sc�narios d�crits sont inspir�s de faits r�els. Ils sont d�velopp�s pour �tudier et conna�tre les m�thodes de ceux qui kidnappent ou torturent des enfants. Les r�cits imagin�s et inspir�s par ces m�thodes sont de la pure fiction etimaginaires. Bon nombre critiqueront, pourquoi avoir fait ce ramassis d'histoires "honteusement merdiques". Je leur r�pondrais que justement, c'est parce que la merde existe. Lorsqu'on la voit, on peut l'�viter, ne pas marcher ou tomber dedans� Il ne s'agit pas que ces histoires soient lues par des mineurs, c'est tellement �vident. Ces r�cits doivent �tre lues par des gens responsables et sains d'esprit, dans le but unique de conna�tre sans se voiler la face que de telles pratiques existent�

 

Extraits bruts et non corrig�s de :Fillettes mode d'emploi�� 140 Pages

�������� ���������������������� ����������et de :Rose sans bonbon�� 216 Pages�������������������

Auteur : Alain Terdit

Titre : La chambre des tortures (Ces r�cits sont imaginaires et doivent le rester).

�������� : La pr�paration d'Emmanuelle

�������� : Les supplices

�������� : Les supplices de Laura

 

Pour m'�crire : [email protected]

�������� ����� Ou : [email protected]�������������������������������������������������������������

 

Les r�cit complets, corrig�s sont d�pos�s � l'INPI par enveloppe SOLO,ils restent la propri�t� de leur auteur. 
Vous pouvez publier les extraits sur tous les sites gratuits pour adultes. 
A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonn�es et explications de d�but et de fin.

 

ATTENTION : Textes apocryphes d'Alain Terdit.