Les r�cit complets, corrig�s sont d�pos�s � l'INPI par enveloppe SOLO,� ils restent la propri�t� de leur auteur.
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A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonn�es et explications de d�but et de fin.
ATTENTION
: Textes apocryphes d'Alain Terdit.
Tous
les murs de la pi�ce �taient enti�rement tapiss�s de laine de verre, ainsi que
le plafond� L'ensemble recouvert d'une tr�s �paisse moquette de couleur rose
faisait de cette endroit de quatre m�tres sur cinq une parfaite chambre sourde.
Aucun son ne pouvait sortir de cet endroit. Il avait aussi rendu la porte
�tanche, la recouvrant des m�mes mat�riaux, avec en plus des joints caoutchouc�
L'essai
avec sa cha�ne HIFI volume � fond avait �t� concluant. Dans le couloir � un
m�tre, on entendait presque rien. Il avait fallu qu'il plaque son oreille sur
la porte pour percevoir tr�s l�g�rement la musique�
Une
fillette pourrait gueuler de douleur, personne ne l'entendrait�
La
chambre de torture, comme il la nommait n'avait rien de commun avec une pi�ce
d'habitation, seul un grand lit recouvert d'une grande couette de couleur rose
avait un aspect humain, le reste �tait uniquement fonctionnel.
Aucun
doute n'�tait permis, tout dans cet endroit �tait fait pour faire souffrir. Des
anneaux aux murs sur lesquels pendaient de longues cha�nes en acier
inoxydables, se terminant par des colliers avec serrure pouvant se fixer aux
extr�mit�s des membres�
Un syst�me de trap�ze command� par des poulies et un treuil avaient �t� am�nag� au plafond,� permettant d�immobiliser et d��carter dans toutes les positions un corps humain, ceci pour proc�der � toutes les interventions d�sir�es.
Au
milieu, une grande roue �tait install�e � la verticale, elle pouvait tourner
sur elle m�me, des bracelets de cuir pendaient � diff�rents endroits�
Un
portique sur lequel �taient suspendus aussi deux harnais et des sangles, sans
oublier les bracelets de cuirs, tr�nait pr�s d'un mur.
Une
table gyn�cologique permettait d'ausculter les petites femelles, cuisses �cart�es,
jambes en hauteur reposants sur des �triers, bras et chevilles maintenus,
attach�es par des sangles.
Une
armoire sans porte, remplie de m�dicament� Seringues, bocaux, tuyaux de
lavement et ustensiles m�dicales.
Une
autre enti�rement en verre laissait appara�tre sur chaque �tag�re une multitude
d'instruments de torture, pinces � seins, cisailles, tenailles, limes, scies,
�carteurs, aiguilles de dimensions divers, bistouris, perceuses et scie
�lectrique�
Une
collection incroyable de godemich�s de toutes dimensions ayant des formes les
plus bizarres tr�nait sur la plus haute �tag�re.
Fix�s
� l'un des murs, et reposant uniquement sur des crochets, des fouets, martinet
simples ou se finissant par des petites boules m�talliques, planches � clous,
badines, nerfs de b�ufs, barre de ferre, ceintures de cuir�
Dans
un coin de la pi�ce, un petit lavabo muni d'une clef sp�ciale sur la
canalisation principale, permettait de supprimer l'eau en cas de punition�
A
c�t� d'un mur, une douche sommaire, un bidet pour que les fillettes puisse se
laver et rafra�chir ce qui tr�s vite allait devenir congestionn� et en feux�
Une
particularit� avait �tait rajout� sur ce dernier accessoire de lavage du sous
bassement des gamines�
On
pouvait les y asseoir, et les forcer � rester dessus autant qu'il plaisait.
Des
sangles avaient �t� fix�es aux murs, elles permettaient de maintenir les bras
tendus en hauteur. Les attaches fix�s sur le sol �taient charg�es d'immobiliser
les cuisses en position �cart�e. La petite fille �tait donc forc�e de rester
assise le post�rieur et le vagin dans l'eau autant de temps qu'il le d�sirait�
Cela
n'avait l'air de rien, mais il savait pour l'avoir pratiqu� que cette torture
�tait horrible�
Il
suffisait d'asseoir la gamine dessus, les cuises �tant tenus �cart�es � fond
par les attaches fix�es au sol, de boucher un peu le trou d'�vacuation et de
laisser couler l'eau tr�s l�g�rement�
L'eau
froide remplissait son office tr�s rapidement, engourdissant le bas ventre et
le post�rieur de la fillette, au bout de trente minutes elle commen�ait �
trembler de froid, au bout d'une heure elle suppliait pour qu'on la d�tache�
Il
l'avait exp�riment� avec une petite fille de huit ans qui refusait de sucer sa
bitte. Il l'avait laiss� une heure dessus� Elle le suppliait tellement
d'arr�ter, qu'il s'�tait mis debout, les jambes �cart�es au dessus d'elle, la
bitte sortie �
Elle
avait happ� aussit�t sa queue et avait fait sa premi�re fellation en avalant
toute la jutte, sans en laisser une goutte, comme il lui avait ordonn�
En
plus le bidet nettoyait et insensibilisait en m�me temps, lorsqu'une fillette
avait trop mal, c'�tait la solution id�ale���
Le
ravissement des yeux n'avait pas �t� oubli�, sur l'un des murs un pr�sentoir de
six �tages, lui aussi enti�rement en verre transparent laissait appara�tre une
multitude d'habits, de gaines, des petites culottes d'enfants, des soutiens
gorges avec ou sans bonnets, des bas et collants de toutes les couleurs.
Sans
oublier les petites culottes sp�ciales, avec ouverture par boutons pression ou
fermeture �claire sur le devant ou le derri�re, pour laisser passer les
instruments de travail�
Un
�tage plus haut que les autres supportait une tringle sur laquelle coulissait
des portes manteaux avec attaches. Un assortiment complet de mini-jupes, short,
tuniques, pouvait �tre s�lectionn� rapidement�
Uniquement
des v�tements �rotiques d'enfants,� pas
n'importe quelle taille, juste de sept � onze ans. Le ravissement des yeux �
Il
d�posa la petite fille d'� peine huit ans sur le grand lit, elle dormait
profond�ment�
Il
verrouilla la porte de la chambre sourde, appuya sur un interrupteur, un d�clic
se fit entendre, suivit aussit�t par un l�ger bourdonnement, le syst�me de
ventilation venait de se mettre en fonctionnement�
La
laisse de cou, comme il l'appelait, portait bien son nom, d'une longueur de
cinq m�tres, elle permettait � la fillette de faire tout ce qu'on lui demandait
sans probl�me. Le petit collier en m�tal extr�mement r�sistant enserrant� la gorge de l'enfant se fermait avec un cadenas
de s�curit�. Une cha�nette en acier reliait l'ensemble � une attache fix�e dans
le mur.
Jamais
aucune jeune pucelle n'avait pu retirer le collier toute seul�
Bient�t
elle serait � lui� Il allait enfin s'amuser comme il le d�sirait�
Il
fallait juste attendre qu'elle se r�veille�
ATTENTION
: Textes apocryphes d'Alain Terdit.
�
ATTENTION
: Textes apocryphes d'Alain Terdit.
ATTENTION
: Textes apocryphes d'Alain Terdit.
Les supplices de Laura
En fin d�apr�s-midi Laura fut emmen�e � la petite maison et encha�n�e nue au mur dans une des chambre de la cave insonoris�e par Jean Yves. Le d�cor �tait lugubre, un lit avec matelas, une armoire rempli d�instrument m�dical et de flacons de m�dicament. Un syst�me de poulies et de treuil avait �t� am�nag� au plafond, celui-ci permettait d�immobiliser et d��carter dans toutes les positions un corps humain. L'ing�nieux dispositif permettait de proc�der � toutes les interventions d�sir�es.
Le docteur d�cida d�essayer le m�canisme de suite. Il rev�tit la petite fille qui dormait encore de bracelets de cuir aux poignets et mollets. Puis il l�habilla d�un harnais ceinturant son bassin et ses hanches. Il fixa les cordes du treuil aux 5 crochets qui d�passaient des bracelets et du harnais et activa la m�canisme�
Le corps de la fillette monta doucement � 1 m�tre du sol, bras et cuisses �cart�es au maximum en position horizontale, il en profita pour contempler sa chatte et son anus, remarquant aussi l��tat de rougeur des t�tons gonfl�s et tum�fi�s�
Il essaya le m�canisme dans une autre position, Laura se retrouva � la verticale, bras tendus en l�air, jambes �cart�es, pieds � 20 centim�tres du sol.
Il pouvait tout faire, la mettre dans toutes les positions. Il pr�f�ra une pose interm�diaire, entre verticale et horizontale, bras et cuisses �cart�s.
Le bassin �tait tir� vers le mur, devant elle. Ce qui lui donnait une dr�le de position. Elle avait les bras et les jambes �cart�s derri�re elle, son bassin courb� vers l�avant.
Tout son corps faisait un l�ger arc de cercle. Il alla chercher dans l�armoire un flacon qu�il d�boucha et qu�il pla�a sous le nez de la petite fille, l�effet ne se fit pas attendre longtemps, Laura commen�a � retrouver ses esprits et ouvrit ses paupi�res.
La petite fille sortit d�un mauvais r�ve et rentra imm�diatement dans un vrai cauchemar. Reconnaissant instantan�ment le docteur et Sandy, elle voulut bouger� Ses bras et ses jambes �taient maintenus en arri�re, le harnais et les bracelets de cuir remplissaient bien leur office. La fillette ne put que se mettre �� pleurer, le b�illon ayant �t� retir�, la fillette exprimait sa d�tresse�
Ils sortirent de la chambre, referm�rent la porte, et purent constater que le bruit des sanglots �taient compl�tement �touff�s, presque inaudible de l�autre c�t�.
Ils attendirent un bon quart d�heure, rentr�rent � nouveau, la petite �tait calm�e, bien sur toujours dans la m�me position cambr�e dans l�espace.
Le docteur prit une chaise et d�cida d�expliquer � la fillette les r�gles du jeux�
Laura si tu fais tout ce qu�on te dit, tout ira bien, tu mangeras et boira � volont�, sinon rien � manger et � boire, tu seras fouett� et on te fera encore plus mal�
Si tu fais tout ce qu�on te dis, dans quelques semaines tu seras libre.
Tu as bien compris ? � oui ou non� ?.
De la gorge de la fillette sortit un oui presque inaudible�
Bon on va voir si tu a compris, le docteur pla�a sa chaise juste sous la t�te de Laura. Il demanda � Sandy de descendre la fillette d�un bon m�tre et d�orienter sa t�te vers le bas, ce qu�elle fit. Le docteur retira son pantalon et son slip, il se repla�a cuisses �cart�es sur sa chaise� Sandy avait compris, elle man�uvra le treuil jusqu�� ce que la bouche de la petite fille touche le sexe du docteur�
Il demanda avec autorit� que la fillette ouvre la bouche�
Les l�vres de sa bouche touchaient la bitte encore m�le, mais la gamine refusait pour l�instant d�ouvrir� S�adressant � Sandy, il lui demanda de prendre la martinet dans l�armoire, ce qu�elle fit.
Il dit seulement 5 coups entre les cuisses�
Sandy se mit en position derri�re les fesses ouvertes, le premier coup s�abattit juste ou il fallait, en plein milieu de l�entrejambe� Elle tressaillit et hurla de douleur. La position cambr�e, cuisses �cart�es �tait parfaite pour la punition.
Les quatre autres coups furent de la souffrance � l��tat pur, elle pleurait en hurlant de douleur�
Le docteur attendit 5 minutes qu�elle se calme� On recommence�
Je t�ai demand� de me sucer la bitte, petite salope, tu as compris ce coup-ci � ?
La fillette ouvrit la bouche et happa la queue tr�s rapidement�
La bitte fut tr�s rapidement en �rection et le docteur commen�a � aller et venir dans sa bouche. Il ordonna � la m�me de serrer plus fort ou de mouiller avec de la salive, La fillette s�ex�cuta �
Met lui un godmichet dans le cul, ordonna t�il � Sandy. L�apprentie revint de l�armoire avec une belle bitte en latex, puis se pla�ant derri�re Laura, elle lubrifia l�anus en rentrant sa langue � fond� Quelques instants apr�s elle commen�a � faire rentrer le god dans le petit cul de r�ve.
Le docteur ayant le visage de la fillette devant lui, put contempler la souffrance de la gamine lors de l�enculage de l�engin�
Le chibre en latex rentra enti�rement dans le derri�re de la petite fille,
elle souffrait horriblement. Le docteur prenait un malin plaisir � rentrer sa bitte au fond de sa gorge, � la limite de l��touffement�
Sandy se dirigea vers l�armoire, elle y prit deux pinces � sein, une ficelle pendait � chaque bout, permettant d�y accrocher des poids ou ce qu�on voulait de lourd� Elle se positionna sous la gamine, accrocha les pinces � chaque t�tons d�j� bien tum�fi�s� L�horreur et la souffrance remplirent les yeux de Laura�
Sandy n�en resta pas la et accrocha au bout de chaque ficelle un poids d�environ 100 grammes. La petite poitrine naissante fut d�form�e et tir�e par le bas.
En quelques secondes la petite mammif�re parut avoir des petits seins de 12 ou 13 ans�Elle g�missait de plus en plus, seule la queue dans la bouche l�emp�chait de hurler.
Le docteur abandonna sa position assise, modifia compl�tement le r�glage pour qu'elle se retrouva � horizontale, yeux et poitrine vers le haut, bras et jambes tendus �cart�s au maximum. Il releva le haut de son corps, puis descendit son bas ventre juste � la hauteur de sa queue.
C'�tait parfait pour �tre "saillie" par la chatte�
Comme son buste� �tait l�g�rement sur�lev�, la fillette pourrait contempler ce qu�on lui faisait, m�me voir la bitte rentrer�
Elle pleurait tr�s fort, plus rien n�obstruait son gosier. Les poids des pinces � seins glissant de chaque c�t� de son corps, tiraient moins qu�avant sur les mamelons, elle devait avoir moins mal aux t�tons.
Le god l�enculait toujours autant, le docteur demanda � Sandy de le retirer, ce qu�elle fit de suite, sans m�nagement. Le docteur voulait que la m�me prenne sa pinne � fond dans son vagin, rien d�autre ne devait la g�ner dans son ventre�
Il donna l�ordre � Sandy de lui retirer les pinces � sein et de lui sucer et rouler doucement ses t�tons. Les bouts �taient tout violac�s, pas beau � voir�
Sandy s�ex�cuta, trop contente de faire plaisir au docteur.
Il se mit � genoux entre les cuisses de la petite fille, sa langue commen�a � faire un travail d�investigation et d�humidification du petit vagin. Elle �tait juste � la bonne hauteur, aussi bien pour la sucer que pour la prendre lorsqu�il se rel�verait� Il tourna, retourna sa langue dans le petit trou, mouilla, inonda un maximum avec sa salive, titilla pendant un long moment le clitoris de la fillette. Un tr�s long moment� Jusqu�� ressentir le petit bourgeon se d�velopper et grossir sous sa langue... La fillette n'y pouvait rien, le clitoris �tait l� pour la jouissance� M�me celui d�une petite fille.
Beaucoup de cons l�ignoraient ou feignaient de l�ignorer�
Il continua son man�ge encore une bonne dizaine de minutes, la petite ne disait plus rien, d�tendue elle se laissait faire, sa chatte s�humidifiait doucement, son clitoris gonflait toujours, ses yeux devenaient p�tillants.
Le docteur gouttait � la petite fille, le liquide qui suintait de sa chatte �tait sacr�, quelle saveur, quel bouquet� Quel met de Roi, et ils si connaissaient les rois, depuis le temps qu�ils pratiquaient�
Laura commen�ait � perdre la t�te en g�missant doucement, le travail du clitoris, plus le l�chage des t�tons faisaient leurs effets.
Le docteur se releva, toujours en �rection sa bitte se trouva aussit�t sur le minou de la petite fille. Elle �tait d�j� �cart�e, dans la bonne position� La pinne vint se poser juste � l�entr�e de la petite fente de 10 ans et demie.
Il l�avait d�j� prise par devant tout � l�heure, seul le bout de son gland �tait rentr�, il en gardait des sensation de bien �tre incroyable, serr� et envelopp� comme il ne l�avait jamais �t�.
L'envie d�aller plus loin dans son petit ventre le d�mangeait �
La petite fille regardait la bitte les yeux p�tillants, grands ouverts, g�missant doucement. Des r�les de plaisir incontr�lables l�envahissaient, le travail sur sa chatte avait dur� plus d�une demi-heure et portait ses fruits�
Elle �tait offerte, sans comprendre. Apr�s la souffrance autant de plaisir, elle se laissait faire, sa soumission �tait totale.
La r�bellion n�aurait servie � rien.
Il fallait qu�elle se laisse faire, elle le savait.
Maintenant c��tait bon, tout son corps avait chaud, des p�tillements partout�
Il promenait sa bitte de haut en bas sur la fente, sans oublier le clitoris charg� de maintenir son d�sir au paroxysme. Ses mains caressaient ses c�tes, son ventre, ses fesses, les palpant, les �cartant au maximum.
La bitte tra�ait seule son chemin, parcourant la petite fente, appuyant l� ou il fallait, les l�vres de son sexe commen�aient � s�ouvrir l�g�rement et � se colorer d�un beau rose vif�
Il appuya plus fort. Ensemble ils purent contempler la pinne d�former le petit vagin encore ferm�. La fillette fit une grimace, serra les dents.
Il appuya � fond� Le bout de la queue rentra enti�rement. Le gland avait disparut dans le bas ventre de l'enfant�
A nouveau le joint �tait parfait, sensation magique. La petite avait tressailli de tout son �tre, un l�ger cri aigu �tait sorti de sa bouche lors de la p�n�tration.
Il �tait serr� � souhaits, la chaleur de la fillette irradiait le bout de sa queue.
A l'aide de tr�s l�gers coups de reins, il la balan�ait doucement d�arri�re en avant, les cordages suivaient le mouvement de la bitte.
Sans chercher � rentrer plus dans son ventre, il rejoua comme il l�avait fait la premi�re fois, pendant plus de cinq minutes. Elle gloussait de plaisir�
Belle et chaude petite enfant femelle� Il bougea de plus en plus, ressentit une humidification dans son vagin, la petite salope mouillait de plus en plus.
Elle �tait pr�te pour �tre saillie � fond�
Il accrocha ses mains de chaque c�t� du harnais, l�immobilisa tout en continua son va et vient. La gamine prit aussit�t cinq centim�tres de longueur dans sa chatte, elle fut surprise, eut un petit cri.
Les cinq centim�tres repartirent aussi vite, puis reprirent leur place aussit�t� Cela coulissait merveilleusement bien, il lui restait � rentrer sept ou huit centim�tres dans une chatte de r�ve�
Centim�tre par centim�tre, son engin rentrait, elle mouillait abondamment, prenant du plaisir. La "gaminette" contemplait sa premi�re p�n�tration avec attention et stupeur, se demandant comment cela pouvait rentrer dans son ventre, sans vraiment faire mal, et m�me procurer un certain plaisir�
Cette chaleur qui montait de plus en plus, cette sensation quelle n�avait jamais ressentie avant, elle ne pouvait pas l'expliquer�
Se laisser faire, il fallait se laisser faire, elle verrait bien apr�s�
Il la besognait d�licatement, rentrant centim�tre par centim�tre. Sandy qui jouait toujours avec le bout des t�tons de la m�me depuis le d�but abandonna son occupation. Elle vint se mettre � genoux derri�re le docteur, mit une main entre ses cuisses, entreprit un massage de ses testicules�
Elle caressa en m�me temps la chatte de la gosse, et put constater que presque toute la longueur �tait rentr�e dans son bas ventre.
La petite femelle de 10 ans et demie g�missait, se tordant de plaisir. Peu de temps apr�s les couilles battaient sur son entrejambe, prise � fond, il la besognait maintenant comme il aurait fait avec une putte professionnelle, sans aucun m�nagement, � grands coups de bitte.
Il la travailla cinq bonnes minutes avant d�exploser dans son ventre�
A chaque gicl�e de jutte la petite fille se crispait un maximum en hurlant de bonheur.� A chaque jet, elle vibrait de plaisir en parlant tout haut : " hoo oui,� hoo oui�"
Il la remplit copieusement jusqu�� ce que ses couilles soient vid�es � fond.
La fillette ne bougeait plus, ses yeux �tait tout p�tillant, son visage d�tendu avait une vague expression de bonheur. Il resta assez longtemps sans force, puis d�cida de se retirer. Il ressortit sa pinne doucement, laissant uniquement le gland. Il �tait serr� un maximum, il tira doucement, le ventre de la petite �tait comme soud�e � sa bitte, faisant comme une ventouse. Il essaya encore, � chaque fois le m�me ph�nom�ne se produisait, la bitte et la petite chatte �tait comme soud�es l�un � l�autre� Il attendit quelques minutes.
Il d�banda un peu, d�un coup sec il souleva ses reins et ses fesses. La bitte se disjoignit du vagin en faisant un bruit d�air. La petite fut surprise, le manifesta en faisant sortir de sa bouche un petit� " oh�".
Il d�tendit les cordes. la fillette se retrouva allong�e par terre. Il la d�tacha, puis la d�posa sur le lit, demanda � Sandy d'aller chercher une bassine d'eau puis de nettoyer un peu la gosse. Il �carta ses cuisses, contempla son sperme ressortir du vagin. Elle �tait remplie au maximum, avec sa main il appuya sur son bas ventre,� le sperme s'�chappa encore un peu plus de sa petite moule...
Ses doigts recueillirent le pr�cieux liquide blanc, qu'il s'empressa aussit�t d'�taler sur la bouche de la petite.
Il lui demanda d'ouvrir ses l�vres et d'avaler ce qu'il lui donnait�
la fillette toute tremblante �tait revenue � la r�alit�, elle s'ex�cuta aussit�t�
Ils attach�rent une cheville de Laura avec une menotte. Une grande cha�nette de trois m�tres lui laissait une certaine libert�
On va revenir Laura, dans quelques heures� On en profitera pour t'amener � manger et � boire, mais je te pr�viens tout de suite, il faudra que tu sois tr�s gentille, que tu fasses tout ce qu'on te dira, sinon rien�
Bon on va chercher du mat�riel qui nous manque et on revient�
Ils referm�rent la porte de la chambre � clefs et discut�rent un peu sur les m�thodes � employer sur Laura. Sandy venait de lui donner une id�e�
Il �tait 21 heures lorsque ils regagn�rent le pavillon. Jean Yves �tait nu dans le grand fauteuil du salon� Regardant la t�l�vision, Audrey et Nadine s'occupaient de lui, caressant ses parties g�nitales, elles �taient juste habill�es d'une petite culotte en dentelles rose �
Le docteur salua Jean Yves, lui dit de ne pas interrompre ce qu'il faisait.
Rapidement il lui expliqua que Sandy et lui dormiraient dans le pavillon des tortures, ils �taient venus chercher du mat�riel�
Ils mirent une bonne heure � trouver tout ce qu'ils leurs manquaient, nourriture incluse. Le docteur d�cida au dernier moment d'emmener K�vin , le petit gar�on allait aussi leur servir pour quelques exp�riences�
Vers 23 heures ils furent de retour au pavillon des tortures. Ils rouvrirent la porte de la pi�ce ou �tait enferm�e Laura. La gamine dormait, Sandy la r�veilla, lui pr�senta K�vin. Les deux m�mes se seraient bien passer de faire connaissance, ils �taient tous les deux transis par la peur�
Le docteur leur expliqua� Vous allez faire tout ce qu'on vous dit et tout ira bien. En cas de contestation ou de mauvaise volont�, vous serez fouett�s.
Pas de nourriture ni boisson avant, apr�s si tout c'est bien pass�
La fillette avait pour seul habit son harnais lui ceinturant la taille, et les bracelets aux extr�mit�s des membres. Le docteur amena les cordes qui pendaient du plafond, les rattacha sur la fillette. Peu de temps apr�s la petite fille �tait � nouveau en suspension � un m�tre cinquante du sol, cuisses et bras �cart�s en position horizontale.
Sandy habilla le petit K�vin avec des habits de fillette, slip en dentelle rose,� soutien gorge, minijupe� Le petit gar�on de 9 ans se retrouva attach� en croix aux murs. Ecartel�s, maintenus par des attaches aux extr�mit�s des quatre membres. Sandy redescendit la petite culotte rose en dentelles sur ses genoux�
Le gamin et la fillette �taient � leurs merci. Ils avaient acc�s � leurs parties g�nitales comme ils le d�siraient�
Le docteur sortit d'un sac, un appareil de stimulation �lectrique, servant d'habitude � faire perdre du ventre ou des fesses.
L'�lectricit� donnait des impulsions aux muscles, qui eux se contractaient sous l'effet de la d�charge, l'appareil �tait r�glable en temps et en intensit�.
L'engin professionnel, pouvait �tre command� en manuel ou automatique, avec s�lection des quatre sondes�
Ils allaient l'utiliser d'une autre mani�re� Le docteur d�coupa le surplus des cercles des �lectrodes, ne gardant qu'une bande de un centim�tre de large sur trois centim�tre de long. Il disposait maintenant de quatre �lectrode double, en tout huit endroits qui diffuseraient du courant �lectrique sur les parties sensibles du corps de la petite fille� Bien sur, il choisit en premier, le clitoris�
il maintint� l'�lectrode � l'endroit du petit bourgeon avec un bout se sparadrap, la deuxi�me qui allait de paire avec la premi�re fut plac� � l'int�rieur du vagin de la petite�
Deux autres sondes furent plac�s sur chaque t�tons tum�fi�s de la gosse.
Il en rentra une autre dans l'anus, celle qui allait de paire fut fix�e entre le trou du cul et la chatte.
Il se demandait bien ou fixer la quatri�me paire, il r�fl�chit�
La longueur de chaque sonde �tant de pr�s de trois m�tre, il se d�cida pour le petit gar�on, K�vin se vit placer une sonde sur les testicules et une autre dans son anus�
Il s'assit sur une chaise, le bo�tier de commande sur les genoux, il alluma l'appareil, il �tait pr�t � faire joujoux�
Sandy n'en perdait pas une, elle vint se placer par terre � c�t� du docteur, commen�a par lui sortir la bitte, puis lui massa les couilles doucement.
Il r�gla les quatre interrupteurs � Z�ro, baissa l'intensit� au minimum�
Il ouvrir l'interrupteur 1, celui qui commandait le clitoris et la chatte, mit la puissance sur 5. Il appuya en manuel une fois sur le bouton. Laura fut secou�e par la d�charge, elle tressaillit, les cordes boug�rent, elle se mit � crier�
L'appareil �tait en position cinq, il pouvait monter jusqu'� cinquante�
Il mit l'anus en fonctionnement, il appuya� Secousse identique de la gosse et commencement des pleurs. Il essaya les t�tons�
La encore la r�action fut violente�
Il ne manqua pas d'essayer le petit K�vin, la d�charge fut identique, il se secoua �nergiquement pour essayer d'avoir moins mal.
La petite fille et le gamin les regardaient, implorant du regard, rien n'y fit,�
Le docteur mit l'appareil en automatique, � la puissance vingt.
Toutes les dix secondes les huit sondes enverraient leur d�charge �lectrique pendant cinq longues secondes� Il appuya.
C'�tait horrible, leurs corps se tendit au maximum pendant la d�charge, ils hurl�rent de souffrance, les sondes �taient pos�s � vif sur leurs parties intimes.
Ils avaient comme des convulsions et se tordaient de tous les c�t�s.
Cinq secondes horribles, dix secondes suivantes de soulagement, dans un silence profond, puis � nouveau le supplice des cinq secondes�
Le docteur baissa l�g�rement la puissance � quinze. Ils allaient s'habituer progressivement aux d�charges, il monterait l'intensit� tout � l'heure�
Pendant cinq minutes ils contempl�rent sans rien dire les petits corps se convulsionner � chaque secousse. Les gosses ne pleuraient plus, les impulsions �lectrique les en emp�chaient.
Le docteur bandait fortement, il s'approcha de l'aura, mit sa queue � la hauteur de sa chatte. Il retira d'abord la sonde du clitoris, puis celle de son vagin, appuya sa pinne sur les l�vres de son sexe. Incroyable, elle mouillait �norm�ment�
Il enfon�a sans probl�me la moiti� de la longueur de sa queue et attendit la secousse� Elle vint rapidement, c'�tait g�nial, le petit trou du sexe tr�s serr�, plus l'�lectricit� venant de son anus, avec en m�me temps les contractions involontaires que la petite fille faisait avec tout son corps, lui procuraient des sensations encore inconnues � ce jour� Il fit coulisser sa bitte, la besognant � fond. Il ressentait l'�lectricit� aussi sur sa verge, il toucha ses seins, retira sa main aussit�t, l� aussi le courant passait� La fillette avait les yeux grands ouverts, une expression d'horreur dominait son visage, elle n'avait plus la force de crier, elle mouillait �norm�ment du sexe, elle ne jouissait pas, mais le courant lui procurait cette r�action bizarre.
Sandy contemplait le petit gar�on, sa petite bitte �tait en �rection, belle dimension pour un petit de neuf ans, elle ne r�sista pas longtemps, se mit � genoux entre ses cuisses et commen�a � lui faire une belle petite fellation.
Elle ressentait les contractions de sa verge � travers sa bouche ainsi qu'un petit picotement du � l'�lectricit�
Le docteur continuait son besognage, de sa main droite il tira le bo�tier de commande qui se trouvait sur la chaise, mit le bouton sur la position maximum�
Ce fut horrible, cinq secondes apr�s la d�charge �lectrique secoua incroyablement les petits corps, il ressentit sur sa verge les contractions involontaires du vagin de la fillette, elle avait tressailli d'une dr�le de mani�re, des secousses inhumaines la parcourait.
Mais que c'�tait bon pour lui, elle n'arr�tait plus de contracter son vagin, m�me entre les secousses �lectriques�
Son petit c�ur battait � une vitesse incroyable, elle �tait en sueur. Il d�cida de r�duire en urgence l'intensit� de l'appareil, il attendit deux minutes que la petite se calme un peu, ce fut mieux�
Il continua son va et vient dans son ventre, elle �tait consciente, g�missante de douleur. Les secousses �taient certes moins fortes, l'appareil �tant r�gl� � la moiti�, mais elles faisaient cambrer le corps de la gosse � chaque fois.
Jamais il n'avait �t� aussi serr� dans une petite chatte, aucune femelle ne l'avait fait jouir de cette fa�on, c'�tait sublime. Il attendit le d�but d'un cycle �lectrique pour d�charger le peu de jutte qui lui restait dans les couilles dans le bas ventre de Laura. Il g�mit de bonheur, elle g�missait de douleur.
Epuis�
il se retira d'elle, arr�ta le g�n�rateur de courant. Il regarda Sandy, elle
souriait. Le petit K�vin �tait �vanoui, respirant calmement� Il n'avait pas
support�. Il retourna la t�te vers la petite Laura, elle aussi venait de fermer
les yeux, �puis�e elle dormait�
P.S.
Note sur l'inceste et la p�dophilie :
Une petite fille
ou un petit gar�on est un �tre humain, et ne m�rite en aucune fa�on d'�tre
perturb� dans son d�veloppement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect
de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour
et ne l'auront peut �tre jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un �tre.
Le v�ritable
courage dans la vie, consiste � donner le bonheur qu'on a pas eu,
et surtout de ne
pas rendre le mal qu'on nous a fait�
Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs pour
tenter Adam et Eve� Lucifer se porta volontaire, lui qui �tait pourtant l'un
des sept grands archanges de notre syst�me solaire, ou sa mission �tait de
garder la plan�te V�nus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanit� �
faire grandir sa spiritualit� en la soumettant � toutes les tentations.
Ce qu'il fit� La t�che que lui confia dieu fut
certainement une des plus importantes de la cr�ation. Elle n'est pas finie,
elle doit permettre � l'�tre humain de s'�lever, de r�v�ler sa v�ritable
lumi�re int�rieur, d'affirmer sa spiritualit� en r�sistant au mal, qui lui m�me
fait parti int�grante du bien.
Comprenne qui pourra �.
Les r�cit complets, corrig�s sont d�pos�s � l'INPI par enveloppe SOLO,� ils restent la propri�t� de leur auteur.
Vous pouvez publier les extraits sur tous les sites gratuits pour adultes.
A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonn�es et explications de d�but et de fin.
ATTENTION
: Textes apocryphes d'Alain Terdit.