5 comments/ 16773 views/ 1 favorites Les Collegues De Mon Mari By: elko Je m'appelle Blandine. 49 ans. Mariée à Paul depuis de nombreuses années. Deux enfants, Guillaume, 21 ans et Bénédicte qui vient d'avoir 18 ans. Je suis blonde, les yeux bleus. Issue d'une famille bourgeoise, je ne travaille pas, les revenus de mon époux suffisent amplement à nous faire vivre très convenablement. Il est cadre dans une grosse société et il part souvent négocier des contrats à l'étranger. Nous habitons un pavillon dans une ville huppée de la région parisienne. Élégante, féminine, je suis toujours en jupe et en talons. Pas très grande, j'affectionne les talons aiguilles et contrairement à certaines femmes, cela ne me dérange pas du tout d'en mettre. Et plus ils sont hauts et fins, plus j'adore. Malgré mon éducation catholique, Paul et moi affectionnons les jeux coquins. Notamment le SM. Mais attention! Le SM soft. Pas de question de cire de bougie que l'on fait couler sur le corps. Paul a commandé sur internet, des sex-toys qui nous aident à pimenter notre vie de couple. Des godes, des menottes, des déguisements et même des bâillons. Et j'avoue que, moi, Blandine, épouse bourgeoise, j'adore que mon mari m'attache au lit, me bâillonne et qu'il me prenne sauvagement. Totalement impuissante. Parfois, c'est moi qui l'attache et lui fait subir de délicieux outrages. Nous avons aussi un autre fantasme,nous filmons parfois nos jeux. Paul garde ses films sur son ordinateur, le tout protégés par un mot de passe bien sur. Imaginer que les enfants découvrent cela. Cela reste notre petit secret. Les enfants ne savent rien et les voisins non plus.... Mais un jour, tout a dérapé... Paul et moi avions décidé d'organiser une petite soirée avec les collègues de mon mari dont certains étaient devenus des amis. J'avais fait un bon dîner et la soirée c'était bien passé. J'étais vêtue d'une robe noire qui m'arrivait à mi-cuisses sur des bas blancs satinés. J'avais voulu être sexy et j'avais fait fort en mettant des talons aiguilles noirs vernis à la semelle rouge. J'avais surpris plusieurs fois, le regard de quelques collègues de mon mari sur mes jambes que je dévoilait parfois généreusement en m'asseyant. Je pense même qu'à certaines occasions, ils avait du apercevoir la lisière des bas.... Il était près d'1 heures du matin et la plupart de nos convives étaient partis. Ne restait que Léa, la DRH, une jolie brune de 25 ans, Mélanie, la secrétaire de mon mari, un blonde de 28 ans. Alain et Philippe, deux de ses collègues....J'étais dans la cuisine quand j'entendis un bruit de talons derrière moi et je me retournais. C'était Mélanie. Tu peux monter avec moi? Léa ne se sentait pas très bien et je l'ai allonger dans votre chambre. Inquiète, je suivais Mélanie. Léa avait du abuser de l'alcool. Nous montons à l'étage et pénétrons dans la chambre. Je blêmis instantanément en découvrant tout notre matériels coquins étalés sur notre lit. Léa a un gode dans les mains et elle est hilare! - Et bien Blandine, tu ne t'ennuie pas avec ton mari? -A moins que ce ne soit avec son amant! Lança Mélanie. -Oh non, notre Blandine si bcbg n'aurait jamais un amant! Elles éclatent de rire toutes les deux. Je suis rouge de confusion mais aussi de colère. -Vous avez fouillé ma chambre! Comment avez vous pu! Sortez immédiatement! Léa s'approche de moi tenant toujours le sex-toy. -Tu sais que je t'ai toujours trouver bandante? -Et sexy, renchérit Mélanie, tu crois que personne n'a vu que tu portait des bas petite salope d'allumeuse. Je rougis violemment. Malgré moi, un trouble m'envahit. Léa posa sa main sur ma hanche et je frissonnais. Elle se pencha et me susurra à l'oreille. -Tu veux qu'on joue un peu toutes les trois? Je secouai la tête. -Non, c'est pas une bonne.... Je ne pus finir ma phrase, Léa posa ses lèvres sur ma bouche. Je sursautais et tentais de la repousser mais Mélanie me tenait les bras. Léa s'accroupit devant moi et souleva ma robe dévoilant les bas et le porte-jarretelles. -Mais ça va pas , non! Arrêtez!! Léa m'enleva mon string, le roula en boule et le fourra dans ma bouche. -Arrête de gueuler, tu vas aimer ma belle, tu vas voir! Mélanie me caresse les seins à travers le tissu de ma robe. Léa se pencha et m'agaça le clitoris avec ses doigts. Plongeant son index et son majeur dans ma chatte tout en continuant de titiller mon clitoris avec le pouce, elle me surveille du coin de l'œil. Elle active ses doigts à toute vitesse maintenant et je ne peux m'empêcher de pousser un gémissement à travers mon bâillon. Léa ricana. -Mais elle commence à apprécier notre petite bourgeoise, elle est trempée... C'est vrai...Je mouille comme une folle.... Léa retira ses doigts et je du enlever ma robe me retrouvant seulement vêtue de mes bas, mon porte-jarretelles et mes talons aiguilles. Mélanie baissa les balconnets de mon soutient-gorges dévoilant mes seins qu'elle se mit aussitôt à triturer sans ménagements tirant sur les pointes m'arrachant un nouveau gémissement. Léa me donna une claque sur les fesses. -Tais toi salope! Mélanie se pencha et suça la pointe de mes seins pendant que Léa continuait d'agacer mon clitoris me rendant folle. Je fus pousser sur le lit, positionner à quatre pattes à grands renforts de claques sur les fesses pour que je m'exécutes et menotter. Léa m'enleva mon string et le remplaça par un bâillon-boule. Elle enfonça la boule dans ma bouche et attacha la lanière autour de ma tête. Je grognais et gesticulais mais ces deux salopes m'avait solidement attaché avec les menottes au montants du lit. Mélanie se pencha et me suça la chatte, titillant le clitoris avec la langue. Elle remplaça sa langue par ses doigts et je gémis de plus belle donnant des coups de reins involontaires. -Regardes ce que j'ai trouvé!s'exclama soudain Léa. Mélanie retira ses doigts qu'elle essuya sur mes bas. Léa lui montrait un gode-ceinture. Elles se déshabillèrent. Mélanie portait des bas noirs auto-fixant avec des bottes et Léa un collant couleur chair. Léa se fixa le gode-ceinture autour de la taille et s'approcha de moi un mauvais rictus aux lèvres. Elle me pénétra avec le gode m'arrachant un cri étouffé. Elle entama un va et vient en me tenant solidement aux hanches. Je l'entends ahaner derrière moi. Je me fait limer comme une brute par Léa. Son ventre vient cogner contre mes fesses. Mélanie me retire mon bâillon et m'oblige à sucer un gode. Elle me l'enfonce profondément m'étouffant à moitié. Léa s'agite toujours en moi et je sens l'orgasme arriver. J 'halète, je gémis, les cheveux en bataille, je ne peux m'empêcher de crier en jouissant. Léa se retira aussitôt et ,comble de l'humiliation, me força à nettoyer le gode en le suçant avec ma langue, m'obligeant à lécher ma propre cyprine. Pendant ce temps, Mélanie m'a enfoncer le gode et me lime avec de nouveau me procurant très vite un deuxième orgasme foudroyant. Ce fus une succession de pénétration avec différents godes de toutes tailles. Me procurant orgasmes sur orgasmes. J'arrive à penser à mon mari et je lui en veut de ne pas s'inquiéter de mon absence. Mélanie et Léa s'arrêtèrent, m'enlevèrent les menottes et je leur demande de partir. Elles éclatent de rire. -Partir? Tu rigoles ma belle! Maintenant qu'on a vu à qu'elle point tu étais une salope, on va en profiter. La soirée n'est pas fini! On va redescendre au salon et te livrer à Philippe et Alain. Vu comment ils te regardais tout à l'heure, je suis sur qu'ils rêvent de te baiser depuis longtemps. -Mais mon mari... -Ton mari, on va s'en occuper aussi... Les Collegues De Mon Mari 02 Léa et Mélanie m'oblige à me déshabiller et à mettre des vêtements qu'elles ont trouvé dans ma penderie. Un corset en cuir avec un collier-minerve qu'elles me fixèrent autour du cou , des bracelets en cuir à chaque poignets équipée d'un mousqueton que l'on peut accrocher aux anneaux du corset. Des bas résilles et surtout des escarpins rouge vernis à talons aiguilles de 18 cm. Elle me bâillonne avec une sorte de muselière composée d'un bâillon-anneau avec un harnais passé autour de ma tête. Je tente de protester mais je ne sors que des sons indistincts. Le bâillon-anneau m'obligeant à garder la bouche ouverte, je me met à baver rapidement augmentant mon humiliation et faisant rire mes tortionnaires. Léa accroche une laisse à l'anneau de la minerve et tire violemment dessus manquant me faire tomber. Allez viens petite chienne, on va voir ton mari! Et titubant sur mes talons, nous sortons de la chambre. J'ai eu toutes les peines du monde à descendre les escaliers sur mes talons de 18 cm. Arrivée en bas, Léa m'oblige à me mettre à quatre pattes pour arriver dans le salon. Philippe, Alain et Paul restent pantois devant cette apparition. Paul se lève, furieux, et proteste : Mais ca va pas, non? Libérez la tout de suite! Mélanie et Léa se précipite sur mon mari et arrive à le faire tomber à terre. - Venez nous aider quoi! Lança Léa à l'attention de Philippe et Alain. Ceux ci arrivèrent a maîtriser mon époux rapidement. Mélanie enfonça un bâillon-boule dans la bouche de Paul pour étouffer ses cris.Il fut menotté grâce à des bracelets relier par une chaîne. Cette même chaîne était relié à un collier qu'ils lui passèrent autour du cou l'immobilisant complètement. Mon mari et moi nous nous regardons les yeux agrandis d'effroi, gargouillant des mots dans nos baillons. Moi salivant comme un bébé. Mélanie enlève le pantalon de Paul ainsi que son caleçon. Il apparaît la bite à l'air ce qui amuse beaucoup nos invités. Léa prend une badine et en assène un coup sur les fesses de Paul qui grogne derrière son bâillon. Philippe et Alain s'occupe de moi. Je suis contrainte d'aller vers eux à quatre pattes comme une bonne petite chienne. Philippe a déjà sorti son sexe en érection et il me l'enfonce dans la bouche. Suce moi salope! Depuis le temps que j'en rêve. Alain sort sa bite également et j'alterne entre les deux donnant des coups de langues sur leurs glands. Par moments, ils m'enfoncent leurs deux queues dans la bouche m'étouffant à moitié. J'entends les gémissements de Paul. Léa et Mélanie lui malaxent les couilles sans douceur. Léa le branle sans ménagements et il a une érection d'enfer. Mélanie lui donne des coups de badine sur son sexe et mon pauvre mari fait des sauts de carpe en couinant. Alain m'agrippe les cheveux et fait coulisser sa bite dans ma bouche. Philippe se leva, fit le tour, et enfonça ses doigts dans ma chatte. Il agite ses doigts violemment me faisant gémir. Il me pénétra et , agrippant mes hanches, se mit à me pilonner comme une brute son ventre venant claquer contre mes fesses. Léa est revenu de la cuisine avec une bouteille d'huile. Elle s'amuse a enduire le corps de Paul d'huile. Mélanie verse de l'huile sur le gode-ceinture qu'elle a autour de la taille. - Je vais t'enculer, lance t'elle à l'attention de Paul, et après tu iras sucer les bites de Alain et Philippe quand ils auront fini de baiser ta femme. Paul a les yeux exorbités en entendant cela. Ses yeux s'agrandissent d'horreur. Il tente de s'échapper mais Léa le maintient à quatre pattes. Mélanie s'approche et pointe le gode vers l'anus de Paul. Elle appui et le gode s'enfonce d'un coup faisant crier Paul à travers son bâillon. Elle agite ses reins doucement d'abord puis de plus en plus vite, ses mains crochés sur les hanches de Paul. Alain me tirant par les cheveux interrompit ma fellation et me lança : - Regarde ton mari, il se fait enculer par Mélanie. Horrifiée, je vois cette salope de Mélanie s'agiter entre les fesses de mon pauvre Paul pendant que Léa lui fouette les fesses avec sa badine. Cela donna une idée à Philippe qui décida de m'enculer également. Je sentis son gland appuyer sur mon anus et je tentais de protester. Mon trou du cul avala sa bite d'un coup et je la sens coulisser rapidement me faisant haleter. Mélanie et Léa ont inversé les rôles. Léa encule Paul et Mélanie ayant enlever le bâillon-boule oblige mon mari à sucer le gode qui vient de le sodomiser. Moi, je suis empalé sur la bite d'Alain et Philippe m'encule. Ils alternent leurs coups de reins. Cela dura une bonne partie de la nuit. Paul du sucer Philippe et Alain pendant que je dus lécher la chatte de Léa et Mélanie les faisant crier de plaisir. Je fus contrainte de sucer Paul et de m'arrêter juste avant qu'il n'éjacule. Paul dut se finir tout seul éjaculant son sperme sur le sol du salon. Sperme que nous dûmes, Paul et moi nettoyer en léchant le sol à quatre pattes fouettés par tout ce petit monde. Depuis ce jour, nous sommes les esclaves sexuels des collègues de mon mari. Paul est contraint de porter sous ses costumes des vêtements féminins. Bas, porte-jarretelles....A son travail, Léa et Mélanie ne rate pas une occasion de l'humilier et elles ont toujours leurs godes avec elles....Philippe et Alain ont mis le patron de Paul dans la confidence. Du coup, j'ai été embauché dans l'entreprise ou je sers de vides-couilles à tous les employés, du moins ceux qui sont dans la confidence. Je suis baisée par Philippe et Alain plusieurs fois par jour et bien entendu Léa et Mélanie ne se prive pas non plus. Le patron de Paul organise régulièrement des soirées privées chez lui ou Paul et moi devenons les objets sexuels de ces invités...