0 comments/ 33820 views/ 1 favorites Le Joeut Sexuel du Patron Ch. 01 By: Coulybaca Mon patron fait de ma femme, son jouet sexuel Ch 1. Wife Deborah Is Taken By The Boss Ch 1 Coulybaca / wifelvrman J'étais piégé. J'avais du régler plusieurs factures dont l'hypothèque de la maison et, pour faire face j'avais détourné de l'argent de ma compagnie. J'avais l'intention de rembourser d'une manière ou d'une autre, je ne m'en faisais pas pour cela, j'avais assaini notre situation, tous nos dettes étaient réglées, rien que des bonnes nouvelles. C'est alors que mon patron découvrit le pot aux roses Dan me passa un coup de fil un après-midi, me demandant de passer à son bureau. Il n'avait jamais fait cela, aussi dès ce moment j'eus peur qu'il n'ait dé-couvert mes malversations. Et en fait, il les avait constatées. Il me dit qu'il pourrait me faire arrêter, mais qu'il voulait me donner une chance, mais je devais rembourser la totalité des fonds détournés très rapidement. Je n'avais aucun moyen de le rembourser intégralement sur-le-champ. Dan jubilait, il me renvoya à mon travail m'informant qu'il me rappellerait plus tard. Il le fit une longue paire d'heures plus tard. - "En rentrant chez toi ce soir, tu raconteras à ta femme tes ce que tu as fait! ... Je passerai vous voir à 19 heures et nous discuterons tous trois de la situation! ... J'ai un plan qui devrait nous satisfaire tous trois! ..." Je rentrai chez moi vers 17 heures et demi, Déborah était déjà là, je lui racontais tout. Elle était furieuse après moi, j'essayais de lui démontrer que c'était le seul moyen de garder notre maison, mais elle se contentait de crier. Nous avions terriblement peur que je sois arrêté, que je perde mon bou-lot et que je me retrouve en taule. Dan arriva à 19 heures pétantes. Il s'assit avec nous à la table du salon. - "J'ai un plan..." commença-t-il - "Cela te permettrait d'éviter la prison, de garder ton boulot si tu es l'acceptes et que tu suives désormais mes directives! .... - "Bien sûr! ... Nous ferons n'importe quoi pour... " avons nous ré-pondu tous deux en chœur. - "J'adore cette attitude! ... Elle te permettra d'éviter de te retrouver en taule! .... J'ai de solides preuves contre toi! .. Je les transmettrai à la police demain matin si vous refusez mes conditions! ..." Nous étions toutes oreilles, aussi Dan annonça alors : - "Je rembourserai graduellement la somme totale que tu as détour-née, mois après mois, jusqu'à ce que tout soit réglé... Je déciderai moi-même de la somme que je rembourserai chaque mois et tu déposeras la somme sur le compte de la compagnie, afin que rien ne puisse me relier à cette affaire! ... Je te rendrai toutes les preu-ves prouvant ton forfait lorsque tout sera remboursé! ...." Au début nous ne parvenions pas à en croire nos oreilles, quelle chance nous avions. C'est alors que survint la chute. - "Bien sur, en contrepartie vous devrez faire certaines choses pour moi! ... Déborah tu devras m'obéir quoi que je te fasse faire! ...George t'aidera en s'occupant des enfants, ou en s'acquittant d'autres tâches selon mes désirs! ... Comprenez-vous ce que je dis? .... Avez-vous des questions? ..." Déborah demanda : - "Que veut dire tout ce que vous voulez? ...." Dan s'approcha d'elle, posa une main sur son épaule et l'autre ses ni-chons lui expliquant : - "Nous en reparlerons, mais si je dois repartir sans votre accord to-tal, j'appellerai la police dès mon retour chez moi! ..." On paniqua, on n'avait jamais envisagé qu'il fasse cela! ... Déborah est une splendide femme de presque 50 ans, Dan a tout au plus 40 ans. Cela fait de nombreuses années que nous sommes mariés, je l'avais épousée vierge, trois de nos enfants ont déjà quitté la maison, le dernier est au collège. Déborah est une femme très conservatrice, je dirai même vieux jeu, pu-dique et assez guindée. Nous en discutâmes quelques instants, elle me demanda : - "Que faire? ..." pour conclure finalement : - "Je suis bien obligée de lui obéir! ..." J'avais récupéré mon calme, nous regardâmes Dan et Déborah avança : - "Il semble bien que n'ayons pas grand choix! ...." Dan se releva et commenta : - "Bon cela me semble un bn marché! ..." on se serra les mains pour sceller notre accord. Puis Dan m'intima : - "George, déboutonne le corsage de Déborah et enlève-lui son sou-tien-gorge... » J'obéis docilement. Déborah tremblait comme une feuille, cela lui semblait très dur de de de-voir se laisser faire sans protester. Dan se tenait devant Déborah, il lui roula ne pelle et lui caressa les ni-bards. Il suça un de ses mamelons, puis l'autre. Elle dut alors s'asseoir et dégrafer son pantalon. Je savais ce qui allait se passer. Je savais qu'elle ne voulait pas le faire. Elle avait toujours refusé de me sucer, j'étais sûr qu'elle refuserait de le sucer. Mais avait-elle la possibilité de refuser? ..... Elle sortit sa bite de son caleçon et la lécha, bien qu'à contrecœur elle obéit. Elle lui mâchouilla ensuite les burnes, lécha sa hampe dardée, il lui inti-ma alors de le prendre en bouche. Elle hésitait. - "Obéis ou j'appelle la police! ..." la menaça-t-il sévèrement. Comme elle l'embouchait et entreprenait de le sucer, il réitéra ses mena-ces : - "A la moindre hésitation, à la moindre protestation, j'appelle la po-lice! ... T'as bien compris! ... Et ce jusqu'au règlement complet de votre dette! .... C'est bien compris, ou tu préfères voir ton mari en taule? ...." Je voyais sa bite prendre de l'ampleur dans la bouche de Déborah, elle était bien plus grosse que la mienne! ... Il tint sa tête en la prévenant : - "Je suis sur le pont de jouir, tu ferais bien d'avaler mon foutre! ..." J'aurai pu dire quand il jouit, il tenait fermement sa nuque et lui intimait de serrer les lèvres sur sa hampe tandis qu'il se vidait les couilles dans sa gorge. Elle avala son foutre avec dégoût, quelques filets de semence s'étalèrent sur ses nichons, il me dit de les lécher. - "Prends ta tenue de nuit, tu vas la passer avec moi, ma femme est absente pour la nuit! .... George te reprendra demain matin... " Déborah se tenait debout, sidérée, comme en état de choc et se remit machinalement à enfiler son soutien-gorge. Dan lui ordonna de le laisser là, ainsi que son corsage, d'enfiler quelque chose pour se couvrir et de se grouiller. Quelques instants plus tard, ils étaient partis. Le 16 juillet 2007 Traduction en français de Coulybaca, avec l'autorisation de l'auteur wifelvrman (Literotica) Le Joeut Sexuel du Patron Ch. 06 Mon patron fait de ma femme son jouet sexuel Ch. 06 Wife Deborah Is Taken By The Boss Ch 6 Coulybaca / wifelvrman Steve et Carl avaient emmené Déborah dans la chambre. J'étais sur le canapé à regarder la télé, ou tout au moins à essayer de regarder la télé. Je savais pertinemment qu'il pouvait ainsi baiser ma femme, c'était à cause du détournement auquel je m'étais livré. Mais elle n'avait-elle pas assez payé pour moi? ... Non, à entendre les sons qui me parvenaient de la chambre! ..... Cela me rendait dingue de savoir qu'ils allaient disposer de son corps toute la nuit alors que je devrais me contenter du canapé. Quelques minutes plus tard Steve me demanda de leur amener de la bière. J'en apportais une légère, une corsée et une smirnoff, exactement comme ils me l'avaient commandé. Lorsque j'entrais dans la chambre, Déborah était à genoux sur le lit, Steve la prenait par derrière, Carl était face à elle, lui aussi à genoux. J'étais horrifié lorsque je compris qu'il se faisait lécher le cul par ma femme. Je le détestais de plus en plus. Ma colère montait. Carl s'en rendit compte et, sachant que je ne pouvais rien y faire, il fit pire, appuyant sur la corde sensible. - "J'aime regarder ta femme... Je veux dire ma pute..... Se faire bai-ser tandis qu'elle me lèche le trou du cul! ....." ricana Carl impitoya-blement. - "Allez la débutant enfonce ta langue aussi profond que tu le peux, nettoie mon trou du cul, chérie.. Oui comme ça..... Et maintenant rentre ta langue...... Obéis! ...." Steve la saisit par les cheveux : - "Lèche-lui bien le cul chérie! .... Rentre et sors ta langue de son oeillet, oh oui....." Il la ramonait sauvagement, ses grosses couilles venant taper sur ses fesses à chaque coup de boutoir, il la tenait par les cheveux, gardant sa tête dans la meilleure position pour que sa langue puisse pénétrer dans le goulot de son pote. - "Assieds toi et regarde! ..." m'intima Steve. J'attirais à moi la chaise que j'avais montée la semaine dernière pour ob-server mon patron et Steve baiser ma femme de concert. - "Je vais jouir! ...." annonça-t-il d'un ton triomphant. Quelle décharge! ... Il se vidait littéralement les couilles dans son con. Je suis désolé, mais je l'appellerai désormais son con. Steve a pris la bière je lui apportais, et la bite toujours plantée dans le con de Déborah, la tenant par les cheveux pour l'obliger à lécher le cul de Carl lui ordonnant. - "Secoue tes fesses Carl, mets-y plus de cœur salope......"Carl. Je vis de grosses larmes ruisseler sur les joues de ma femme asservie. - "C'est si bon....." hurla Carl en extase. - "Tu fais vraiment du bon boulot petite pute! ....." Steve extirpa sa bite de la chatte de Déborah, la contourna, lui saisit la chevelure et lui intima de le sucer. - "Désolé Carl mais j'ai envie d'utiliser sa bouche! ...." s'excusa Steve. - "C'est d'accord..." accepta Carl "Je vais utiliser son trou du cul; A son tour Carl contourna son corps et se posta dans son dos, il cracha une paire de fois sur son trou du cul, plongea un doigt dans son fion et m'ordonna de venir le rejoindre. - "Suce mon doigt! ...." me commanda-t-il l'extirpant du fondement de ma femme - "Goûte aux flagrances anales de ta femme! ....." Je suçais obligeamment son doigt et il m'ordonna : - "Et maintenant suce ma bite! ....." Je tombais à genoux et prit sa grosse mentule en bouche, je m'efforçais de l'humidifier le plus possible pour faciliter sa pénétration dans le fon-dement de ma malheureuse femme. Carl me repoussa - "T'as l'air d'aimer un peu trop sucer les bites, n'est ce pas? ......" Je le haïssais de plus en plus, je détestais ce que j'avais fait de ma femme. Je me rassis sur la chaise. D'un brutal coup de rein Carl enfouit son gros chibre dans l'œillet palpi-tant de ma femme, elle hurla de douleur, mais il s'en foutait totalement. Il l'enculait sauvagement. - "Je vais défoncer le trou du cul de ta femme Georges, et tu n'y pourras rien! ....." hurlait Carl avec véhémence. Steve s'était retiré de la bouche de ma femme et giflait son visage avec sa bite en semi-érection. - "George, veux-tu être un bon gars et nettoyer de la langue le foutre qui s'écoule de la chatte de ta petite femme? ...." me demanda Steve hilare. Je m'installais entre les cuisses de Carl et enfouissais mon visage dans l'entrecuisse de Déborah pour tenter de lui nettoyer le gazon. Carl qui la fourrait en cul ne me facilitait pas la tache, mais je parvins à introduire ma langue dans sa foufoune et je léchais de mon mieux les sucs qui l'engorgeaient. Je m'écartais et me rassis regardant Carl continuer à enculer âprement déborah. Il se tenait à ses miches coulissant de toutes ses forces dans son anus tuméfié. Soudain je vis ses doigts s'inscrire dans la peau tendre de ses nibards et il augmenta encore le rythme de ses coups de boutoir. J'espérais dans l'intérêt de Déborah qu'il ne tarderait pas à gicler. - "Bordel je jouis salope! ...." hurla Carl les yeux sortis de la tête. Il resta enfoui dans ses intestins le temps de cracher sa semence au fin fond de son tunnel rectal. Il y eut quelques instants de relaxation ensuite, il m'ordonna de m'éten-dre sur le lit, Déborah dut s'accroupir sur mon visage et je dus nettoyer son trou du cul alors qu'elle suçait sa bite. J'avalais la crème grumeleuse qui s'écoulait du trou du cul de ma femme. Carl était encore pire que le croyais. - "Tu m'as vraiment bien nettoyé la bite pute...... Mais j'ai envie de pisser maintenant! ...." - "Tiens bien son cul George..... Ne bougez plus! ..... Ouvre bien ta bouche salope! ....." entendis-je Carl commander. - "Non... Non... " je luttais pour m'exprimer, mais Carl l'obligeait à s'asseoir su mon visage, étouffant mes cris. Steve arriva de derrière et m'immobilisa les bras. - "S'il vous plait ne vous servez pas de ma femme comme urinoir! ....." pensais-je frénétiquement. Mais j'entendis alors Carl ordonner : - "Avale salope et avale tout ou gare à tes mignonnes petites fesses! ...." Et ce fils de pute se mit à lui pisser dans la bouche la forçant à avaler le flot acide! .... Un peu de pisse s'écoula sur son visage, sur ses miches et son estomac me gouttant sur le front. Quand ils la relâchèrent, elle suffoquait, elle se rua dans la salle de bain et claqua la porte. Tu peux redescendre au rez-de-chaussée maintenant, elle va terminer sa nuit entre nous deux. - « Nous partirons demain matin, elle devra venir au bureau demain à 16 heures...... Dan a organisé une petite fête et ta femme en est la vedette.... » me révéla Carl plié de rire. Mais avant de repartir regarder ta télé, rapporte-nous de nouvelles biè-res celle là est chaude maintenant. Le 17 août 2007 Traduction en français de Coulybaca, avec l'autorisation de l'auteur wifelvrman (Literotica)