1 comments/ 83479 views/ 4 favorites Domination Familliale 01 By: jean_yves La mère... Sophie Guillet de Saint-Hilaire sortit de son bureau et se dirigea vers celui de son patron, Monsieur Christian Panaris, qui l'employait depuis 2 ans comme secrétaire intérimaire dans son Cabinet. Maitre Christian Panaris est avocat à la Cour...Un avocat renommé qui possède une clientèle triées sur le volet. Membre de la haute bourgeoisie de Bordeaux. Sophie est mariée depuis plus de 20 ans à Jean-Yves Guillet de Saint- Hilaire, héritier d'une grande Famille bordelaise, également avocat à la Cour et surtout concurrent de Maitre Panaris. Au début, quand Sophie avait trouvé ce poste de secrétaire chez son principal rival en affaire, Jean-Yves n'avait pas apprécié du tout mais Sophie avait insisté pour qu'il la laisse avoir ce poste. Bourgeoise oisive s'ennuyant dans leur grande maison isolée sur les hauteurs de Bordeaux, elle n'avait rien à faire a part disputé leurs domestiques et notamment leur jardinier sénégalais qu'elle n'hésitait jamais à rabaisser. Leur fille, Ambre, jolie brune de 18 ans, étudie le droit à la Fac de Bordeaux. Sophie s'arrêta devant la porte et frappa trois coups discrets. - Entrez! La voix de son patron la fit frissonner. Monsieur Christian Panaris est un homme assez autoritaire notamment avec les femmes. On murmure dans les couloires du Cabinet. Des rumeurs qui parlent de droit de cuissage. Mais ce ne sont surement que des rumeurs se dit Sophie en pénétrant dans le bureau directorial. Maitre Christian Panaris la dévisagea avec un air sévère quand elle entra. Elle fut étonnée qu'il ne lui propose pas de s'asseoir mais ne dit rien restant debout devant le bureau. Il ne dit rien pendant quelques secondes, la détaillant de la tête aux pieds, ce qui accentua son malaise. Il lui sembla que son regard s'attardait sur ses jambes gainées de nylon noir. A 45 ans, Sophie Guillet de Saint-Hilaire est une belle femme, son corps étant parfaitement entretenu par des soins qu'elle peut se payer dans des instituts de beauté. Christian Panaris lui dit soudain. - Vous m'avez déçu, Sophie... Elle sursauta et se senti rougir. - Mais...bafouilla-t-elle, comment Monsieur? - Comment avez-vous pu me trahir? Sophie Guillet de Saint-Hilaire eut l'impression que son cœur s'arrêtait de battre et elle blêmit sous son maquillage. Il savait! Mais comment l'avait il découvert se demanda t'elle, angoissée. - Vous avez abusé de la confiance que j'avais placée en vous! cria-t-il soudain en se levant brusquement. Alors que j'avais eu la gentillesse de vous embaucher...Vous, l'épouse d'un concurrent! Vous imaginez bien qu'en temps normal je n'aurais jamais accepter. Il sembla se calmer d'un coup et continua d'une voix plus douce... - J'ai découvert que vous aviez donné des informations confidentielles sur certains de nos clients à votre mari pour qu'il puisse gagner des procés. Je vais être obligé de porter plainte, Sophie, je pense que vous serez condamné à une peine de prison. Vous et votre mari. En tout cas, il sera radié par l'Ordre des Avocats et ne pourra plus exercer... Sophie Guillet de Saint-Hilaire, effondrée, cru qu'elle allait fondre en larmes. Regrettant amèrement le jour ou son mari, Jean-Yves, lui avait effectivement demandé de lui fournir des renseignements sur certains clients de Maitre Panaris ; Elle pensait avoir été prudente mais ce n'était visiblement pas le cas. - Mais...parvint 'elle a articulé entre deux sanglots refoulés, ont peut peut-être trouver un arrangement... Quand elle vit passer la lueur de triomphe dans le regard de Maitre Christian Panaris, elle comprit qu'elle venait de franchir un pas et qu'elle ne pourrait plus revenir en arrière. - Je peux « oublier » ma chère Sophie, reconnut Maitre Christian Panaris, mais alors, j'exigerais de vous une obéissance sans faille, il faudra exécuter le moindre de mes caprices! Êtes-vous prête à accepter cela? Sophie cru qu'elle allait s'évanouir...il était facile de comprendre de quoi il s'agissait. Christian Panaris voulait qu'elle devienne son esclave....Mais c'était ca ou la prison et pire que tous, le déshonneur et la ruine. - Je suis d'accord, souffla t'elle dans un murmure presque inaudible. Christian Panaris fit le tour de son bureau et s'approcha d'elle. C'est un bel homme de 50 ans aux tempes argentés qui plait aux femmes, surtout aux bourgeoises de province qui s'ennuie à la maison. Il parait qu'il a plein de maitresses et que parfois quand le client ne peut payer ses honoraires, très élevés, il se fait payer en nature. Il s'arrêta à quelques pas de Sophie qui regarde ses pieds n'osant plus lever la tête, terrifiée. Il pose ses mains sur ses hanches, la caressant. Elle ne proteste pas, elle a simplement un sursaut. Ses mains remontent vers le chemisier de soie et s'empare de ses seins. Elle supplie : - Non, je vous en prie, je vous donnerai de l'argent... - Votre fric ne m'intéresse pas Mme de Saint-Hilaire, c'est votre cul que je veux! Qu'il l'appelle par son nom est encore plus humiliant. Il malaxe ses seins à travers la soie, les triturant....Les malaxant...Sophie Guillet de Saint-Hilaire, les joues rouges, subie cette infâme attouchement sans rien dire, soumise, vaincue. L'avocat descend ses mains et remonte la jupe du tailleur, découvrant les bas et le porte-jarretelles. Mme de Saint-Hilaire aime la lingerie fine. Le souffle court, la respiration oppressée, Sophie sent la main de son patron lui caresser les jambes et remonter jusqu'au string...Il l'écarte et s'aventure dans son intimité. Il lui caresse la vulve tout doucement. Puis, il introduit un doigt dans sa chatte, le faisant aller et venir de plus en plus rapidement. Il le retire et oblige Sophie à le sucer pour le nettoyer. Au bord de l'évanouissement, écœurée, elle s'exécute sortant timidement sa langue pour sucer sa propre mouille. - Vous aimez ca, le gout de votre cyprine? Christian Panaris a un regard triomphateur! Il prend visiblement un sale plaisir à rabaisser cette bourgeoise, à l'avilir...Il se recule et observe Sophie, jupe troussée... - Veuillez ouvrir votre chemisier, Mme Guillet de Saint-Hilaire... Maitre Christian Panaris prend beaucoup de plaisir à l'appeler par son nom si distinguée et à la vouvoyer, cela donne encore plus de piment à la situation. Sophie commence à déboutonner son chemisier en tremblant...Elle l'ouvre découvrant un soutien-gorge en dentelle...L'Avocat pervers s'approche et lui baisse les balconnets du soutien-gorge, dégageant son opulente poitrine, les bouts des seins sont dressées. Il s'en empare et commence à les tordre. Sophie gémit presque malgré elle. Il malaxe les seins, les soupesant, les laissant retomber. Il les triture encore un bon moment en soufflant puis il s'arrête et recule de nouveau. - Mettez vous à genoux... Sophie croit avoir mal entendu... - Pardon? bafouille-t-elle. - A genoux! A mes pieds, salope! hurle Christian. Terrorisée, elle s'exécute, se mettant à genoux devant lui. Il s'approche et il l'a saisi par les cheveux, il l'oblige à marcher à quatre pattes dans son bureau. Elle avance se faisant mal aux genoux malgré la moquette. Ses seins ballotent par le chemisier ouvert. Il baisse le string dévoilant sa fente. Il s'assoie à son bureau et lui demande d'attendre un peu en attendant qu'il signe des papiers. Sophie Guillet de Saint-Hilaire prosternée à ses pieds, le chemisier ouvert, la jupe relevée, obéit...Elle à l'impression que son attente dure des heures. Puis, Maitre Christian Panaris fait pivoter son fauteuil... - Vous allez me faire une petite pipe... Il la tire de nouveau par les cheveux et la contraint à se positionner entre ses cuisses. - Qu'attendez-vous? Ouvrez ma braguette vous-même, comme une bonne petite pute... Sophie s'exécute, elle tend ses doigts aux ongles vernis et ouvre la braguette de Christian. Son sexe jaillit comme un ressort. Il a une érection impressionnante. Il est encore plus gros que celui de son mari, pense, honteuse, Sophie. Il appui sur sa nuque et sa bouche descend vers la bite de Christian. Elle a un mouvement de recul mais, impitoyable, il appuie encore plus et l'oblige à prendre son membre entre ses lèvres pulpeuses. Il donne des coups de bassin, faisant coulisser sa bite. Il observe avec délectation la tête monter et descendre le long de sa bite. Il appui dessus enfonçant sa queue dans la bouche de Sophie et celle-ci émet une protestation etouffée. Bâillonnée par cette matraque de chair, elle ne peut se plaindre. Christian Panaris lui donne des directives : - Plus vite, enroule ta langue, salope...T'as jamais sucé ton mari ou quoi? Ca ne se fait pas dans ton milieu? dit-il en ricanant. Elle s'active sur la queue, salivant dessus. La bave coule sur son menton. Il fait coulisser sa bite entre ses lèvres. Elle enroule sa langue, lui titille le gland. Il lui ordonne d'arrêter pour lécher ses couilles et elle obéit, soumise...Sophie passe sa langue sur la hampe de chair et de nouveau replonge dessus. Soudain, Christian lui dit d'arrêter. Il la relève et la courbe sur son bureau. La croupe cambrée, les seins écrasés sur le bois du bureau. Elle sent qu'il lui écarte le string et lui enfonce deux doigts dans sa chatte. S'emparant du clitoris, il commence à la branler. Les cheveux dans la figure, elle pousse un gémissement et supplie : - Non, non, je vous en prie, pas ca... Christian Panaris lui donne une claque sur ses fesses dodues. - Tais-toi, trainée! Il lui prend les hanches et s'enfonce dans son vagin en poussant un « Han ». Il lui donne de violents coups de reins et la traite de tous les noms. Ce qui l'excite encore plus et humilie encore plus Sophie Guillet de Saint-Hilaire, prise en levrette dans le bureau de son patron. Son ventre claque contre ses fesses. Il la besogne avec une telle violence que le bureau bouge tout seul! Sophie halète sous les coups de boutoir de Christian. Elle gémit...Maitre Panaris se retire par moment pour replonger dedans avec encore plus de violence. Sophie, le ventre en feu, pousse un cri quand elle sent le membre de son patron s'enfoncer encore plus dans sa chatte. Elle s'agrippe au bureau pour ne pas tomber sous les coups de reins puissants de Maitre Panaris. Il s'arrête soudain et se retire, la laissant frustrée. Il lui ordonne d'avancer dans le bureau. Il lui donne de nouveau des instructions : - Avancez! Tournez vous! Baissez vous et touchez vos pieds... Elle obéit et se penche parvenant à toucher avec le bout des ses doigts ses escarpins. Elle doit rester dans cette position pendant que Christian ayant fait le tour lui enfonce un objet dans sa chatte! Elle pousse un gémissement sourd ce demandant ce qu'il lui a enfoncé...Il la relève et l'entraine vers un miroir...Il la tourne et tournant la tête, elle découvre horrifiée que Maitre Panaris lui a enfoncé un gode rose dans son vagin. - Vous allez le garder dans votre chatte de pute, chère Mme de Saint-Hilaire quand vous retournerez travailler. Elle ne répond pas, mortifiée. Ce n'est pas possible comment peux t'elle garder cet objet en elle toute la journée? Elle doit de nouveau s'exhiber devant Maitre Panaris. Elle prend ses seins à pleines mains et les soulèves pour pourvoir elle-même sucer leur pointes. Il l'a contraint à s'allonger par terre pour se caresser la chatte. Elle déniche le clitoris et se masturbe devant lui. Il lui ordonne d'arrêter chaque fois qu'il voie qu'elle va avoir un orgasme, la laissant pantelante. Elle doit avancer à quatre pattes, le gode dépassant de sa chatte, dans le bureau. Maitre Panaris a retiré sa ceinture et lui assène quelques coups sur les fesses pour la faire avancer plus vite. Elle a le cul qui rougi et elle souffle en avançant maladroitement sur la moquette. Par moment, il manipule le gode le faisant coulisser dans sa chatte dégoulinante. Puis, elle doit se relever et sautiller sur place. Ce qui amuse beaucoup Maitre Christian, qui se réjouie de voir ses seins balloter dans tous les sens. Elle manque de tomber déséquilibrer par ses talons aiguilles. N'en pouvant plus, Christian lui ordonne de se mettre de nouveau à quatre pattes. Il lui retire le gode et l'oblige à le nettoyer. Elle donne de petits coups de langue, léchant sa propre sécrétion vaginale...Puis, Panaris s'enfonce brutalement dans sa chatte la limant avec brutalité. Elle pousse un gémissement subissant les assauts de Christian. Il la bourre violemment agrippés à ses hanches grasses. Il lui enfonce soudain un doigt dans son anus et Sophie Guillet de Saint-Hilaire pousse un cri strident. - Quoi, Mme de Saint-Hilaire, voulez vous me faire croire que vous êtes encore vierge du cul à votre âge! Il fait coulisser le doigt dans son cul et Sophie halète partagée en la souffrance d'avoir un doigt dans son cul et le plaisir qu'elle ressent d'être envahi par le membre imposant de Christian Panaris. Les coups de reins sont de plus en plus violents et l'avocat bafouille : - Ah salope, je vais tout te larguer sur ta petite gueule de bourge... Se retirant, il se positionne rapidement devant le visage ravagée de Sophie et se masturbe au dessus d'elle...De longues trainées de sperme jaillissent soudain de son pénis avec violence allant s'étaler sur son front, coulant sur ses joues et ses lèvres. Il lui enfonce sa bite dans la bouche, lui demandant de le nettoyez et elle obéit, totalement avili...Elle se relève et comme promis, Maitre Panaris lui enfonce profondément le gode dans sa chatte. Elle doit renfiler son string pour éviter que le gode ne tombe et remettre la jupe de son élégant tailleur. - Allez! Retournez travailler Mme de Saint-Hilaire, lui lance Panaris, en lui donnant une claque sur les fesses. Ce soir, avant de rentrez chez vous, vous repasserez me voir et vous me remettrez votre gode. Que vous porterez demain... Sophie Guillet de Saint-Hilaire sort du bureau, choquée, et avance dans le couloir. Gênée par le gode qui s'enfonce chaque fois qu'elle marche. Elle croise des collègues et rouge de honte, elle se demande si on peut se rendre compte que sa chatte est envahi par ce corps étranger. A suivre... Domination Familliale 02 Sophie Guillet de Saint-Hilaire se regarda dans la grande glace dans sa chambre à coucher. Le corps élancé, les longues jambes fines et son orgueilleuse poitrine faisait d'elle une fort jolie femme. Mais aujourd'hui, en s'observant dans la glace, elle ne pouvait s'empêcher de se rappeler ce qui c'était passer vendredi dernier dans le bureau de son patron, Maitre Christian Panaris. L'infâme salaud l'avait contrainte par un chantage ignoble aux pires bassesses, l'obligeant à se comporter comme la dernière des salopes. Mais elle devait obéir, elle le savait...Sinon, c'était la prison. Elle n'en avait pas encore parlé à son mari qui en ce dimanche après midi se trouve à la maison avec sa file Ambre. Le carillon de la porte d'entrée la fait sursauter...Qui cela peut il être? Elle n'attend personne...Elle entend sa fille qui va ouvrir la porte. Puis des exclamations, des bruits de voix...Elle s'observe une dernière fois dans la glace...Elle est vêtu pour le week-end assez simplement d'un pull fin et d'un jean moulant sa croupe...Elle descend l'escalier et arrive dans le salon, un sourire aux lèvres s'apprêtant à demander à son mari qui a sonner...Ses mots se bloquent dans sa gorge...Elle croit s'évanouir...Maitre Christian Panaris est la qui la regarde avec un air goguenard. Jean-Yves, son époux, semble étonné de le voir se présentez à eux un dimanche. Panaris s'approche de Sophie et lui baise la main.... - Chère amie, vous n'avez pas encore parlé à votre mari de notre arrangement? Bouleversée, Sophie ne sait que répondre. Sa fille et son mari la dévisage...Que peut-elle dire? Maitre Christian Panaris prend alors la parole demandant à Jean-Yves de s'assoir sur le canapé. Il obéit et Ambre également. Elle remarque à plusieurs reprises le regard de Christian qui s'attarde sur ses jambes moulées dans le collant noir, sa petite jupe plissée remonte quand elle s'assoie dévoilant largement ses cuisses. Maitre Christian Panaris regarde tout ce petit monde, salivant déjà à l'idée qu'ils vont devenir ses jouets ...Il s'adresse à Jean-Yves et lui raconte qu'il a tout découvert et comment Sophie c'est livrée à lui vendredi. Sophie écoute, tête baissée. - Mais...comment avez-vous pu...espèce de...s'écrie Jean-Yves, hors de lui, le regard fou... - Mais comment! Chère Confrère, c'est bien vous qui avez mandaté votre femme pour qu'elle m'espionne et recueille des éléments confidentiels et les sortent du cabinet afin que vous puissiez vous en servir contre moi? Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire ne répond pas, vaincu... - Que comptez-vous faire? croassa-t-il - Je pourrais porter plainte et vous iriez moisir en prison, vous savez cela n'est ce pas? En entendant le mot « prison » la jeune Ambre pousse un petit cri. - Mais je pense que nous pouvons trouver un arrangement à l'amiable, poursuivi l'avocat. Il farfouilla dans sa mallette et en sortit un paquet de feuilles qu'il tendit à Jean-Yves. - J'ai tapé un contrat vous concernant... - Un contrat? Jean-Yves ne comprends pas ou Maitre Christian Panaris veut en venir. Il s'empare des feuilles et commence à lire le contrat. Il blêmit des la première page, à la deuxième, il se lève du canapé, fou de rage! - Hors de question! Vous entendez c'est hors de question! - Croyez-vous avoir le choix? lui lance Panaris, triomphant... Jean-Yves baisse les yeux sur le contrat qu'il a entre les mains. Un contrat d'un genre très particulier stipulant que si la famille Guillet de Saint-Hilaire ne voulais pas être déshonorée par la condamnation et la radiation du Barreau de Maitre Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire, celui-ci devais signer ce contrat acceptant sans aucune condition de mettre à la disposition de Maitre Christian Panaris sa femme Sophie Guillet de Saint-Hilaire ainsi que sa fille Ambre pour une durée indéterminée. Leur époux et père ne devrais pas protester, ne pas en parler à la police sous peine d'être lui-même envoyez en prison. Il est également précisé que Madame et Mademoiselle Guillet de Saint-Hilaire devront dorénavant accepter toutes les demandes faites par Maitre Panaris. Blême de fureur contenue, Jean-Yves repose le contrat sur la table, anéanti... Il regarde sa femme et sa fille qui l'interroge du regard ne sachant pas encore ce que contient le contrat. - Veuillez lire le contrat à haute voix, Jean-Yves, que votre femme et votre fille sache à quoi s'en tenir. Humilié comme jamais, il s'exécute...Au fur et à mesure de la lecture, Sophie devient blanche et Ambre pousse des cris se refugiant dans les bras de sa mère. Celle-ci tente une négociation... - Je vous en prie, faites ce que voulez de moi mais laissez ma fille tranquille, elle n'est pour rien dans cette histoire... - Nous n'en sommes pas encore la, chère Madame. Se tournant vers Jean-Yves, il lui demanda de signer le contrat acceptant de ce fait toutes les conditions. - Jamais! lança Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire, outrée. - Très bien, dit Maitre Panaris en prenant son manteau, je m'en vais et je vais porter plainte, vous dormirez bientôt en prison! Ce fut un concert de cris et de supplications venant de la part de Sophie et d'Ambre...Comprenant qu'il était coincé, Jean-Yves Guillet de saint-Hilaire pris le stylo que lui tendait Maitre Panaris et signa le contrat ayant l'impression de signer un pacte avec le Diable... - C'est parfais, mon chère Jean-Yves, lança Panaris en rempochant le précieux contrat. Nous allons pouvoir commencer tout de suite n'est ce pas, vous n'y voyez pas d'objection? Jean-Yves ne répondit pas, totalement effondré... - Mme de saint-Hilaire, veuillez vous mettre à genoux. Rouge de honte, Sophie s'exécuta. Sous les ordres de Christian, elle se mit à marcher à quatre pattes dans le salon sous les yeux de sa fille et de son mari. Elle s'arrêta devant Panaris... - Tu vas me faire une petite pipe comme dans le bureau vendredi soir ou j'ai pu admirer tes talents de suceuse. Elle s'activa sur la braguette du pantalon de Christian et en sortit un sexe épais et dure qu'elle engouffra dans sa bouche. Horrifié, Jean-Yves regardait sa femme administrer une fellation à cet être abject sous les yeux de sa propre fille en plus. Celle-ci d'ailleurs fut bientôt appelée par Panaris qui lui demanda de venir également à quatre pattes les rejoindre. Ambre obéit et des qu'elle fut devant Panaris celui ci lui souleva sa petite jupe plissée dévoilant un cul rebondit moulée dans le collant. Il donna une petite claque sur les fesses et Ambre laissa échapper une plainte. - Dorénavant, tu ne mettras plus de petites culottes sous ton collant, tu ne mettras plus non plus de pantalon que des jupes du moins quand tu sortiras avec moi. Pareil pour vous, Mme de Saint-Hilaire jamais de pantalon et des hauts talons, lingerie raffinée, je vous veux putes toutes les deux. Sophie et Ambre frémissent en entendant cela. - Regarde ta mère, Ambre comme elle suce bien, prends des leçons, bientôt ce sera ton tour. Ambre rougit, observant sa mère s'activer sur le membre dressé de Panaris. Sa tête monte et descend avec régularité avec des bruits de succions qui lui paraisse écœurant. Sophie tête le gland, lui léchant la hampe par moment et replongeant la tête dessus. Christian Panaris donne des coups de reins pour s'enfoncer encore plus. Il appuie fermement sur la nuque de Sophie lui enfonçant encore plus sa bite au fond de la gorge. Manquant de s'étouffer, Sophie tente de protester et pousse un gémissement. Christian la repousse soudain et les entraine toutes les deux vers le canapé ou se trouve toujours Jean-Yves. Sophie doit enlever son jean et se mettre à quatre pattes sur le canapé, il ordonne à Ambre de se mettre de la même façon. Il retrousse la jupe d'Ambre et lui déchire son collant ce qui fait hurler Sophie qui supplie Jean-Yves de faire quelque chose. Celui-ci, lâchement, ne réponds pas. Il regarde, les yeux exorbités, Panaris en train de malaxer les fesses de sa fille. Il enfonce un doigt dans la chatte de sa fille et fait de même avec sa femme. Ils les branlent ainsi toutes les deux pendants de longues minutes. On n'entend plus dans le salon que les halètements de Panaris et les gémissements de Sophie et Ambre. Puis il s'arrête et se dirige vers sa mallette en lançant : - Je vous ai ramené votre jouet, Mme de Saint-Hilaire! Ne comprenant pas, Jean-Yves regarde l'objet que sort Panaris de sa mallette. Un gode! Il s'agit d'un gode rose! Se pourrait il que sa femme s'en soit déjà servi? se demande 'il, interloqué... Panaris revient et enfonce le gode dans la chatte de sa femme en lui donnant une claque sur les fesses. - Vous reconnaissez votre jouet, n'est ce pas? Je vais vous en faire cadeaux car dorénavant il faudra qu'il soit toujours dans votre sac avec vous, prés à l'emploi. Il fait coulisser le gode de plus en plus rapidement et Sophie Guillet de saint-Hilaire commence à couler. Elle remue ses fesses comme pour mieux s'empaler sur le gode. Elle halète. - Je vais pouvoir baiser votre femme, mon cher confrère, elle est prête. Panaris sort le gode et le tends a Jean-Yves... - Gode ta fille! lui ordonne-t-il. Jean-Yves le regarde avec un regard misérable... - Non ce n'est pas possible! N e ne me demandez pas de faire cela. Maitre Christian Panaris lui lance un regard dur...Méprisant. - Obéis! Sinon ... Refoulant un sanglot, Guillet de saint-Hilaire s'empare du gode et l'enfonce dans la chatte de sa fille. Celle ci pousse un gémissement sourd. - Oh papa, supplie-t-elle, non...Oh Mon Dieu... Sophie pousse un feulement rauque quand Panaris l'envahi d'un puissant coup de reins. Les mains crochées aux hanches il commence à la pilonner. Son ventre claquant sur les fesses de Sophie. Jean-Yves, sous les directives de Christian, agite de plus en plus vite le gode dans la chatte de sa fille qui secoue la tête dans tous les sens en gémissant. - Ta fille est une vraie salope, comme ta femme. Telle mère, telle fille! c'est bien connu. Je vais en faire des gagneuses de 1ere! s'exclame Panaris en haletant. Les fesses de Sophie tressautent sous les coups de reins puissants de Panaris. Il s'active encore quelques minutes arrachant des gémissements de plus en plus fort de la part de Sophie et il se retire soudain, la bite encore dressée. Il ordonne à Jean-Yves d'arrêter de « goder » sa fille et retourne Ambre pour se positionner devant elle. Ambre a un mouvement de recul en voyant la monstrueuse colonne de chair palpitant devant elle. Christian lui agrippe les cheveux et approche son visage de sa queue, l'enfonçant inexorablement dans sa bouche. Elle émet une protestation étouffée puis commence à bouger la tête. - Oui, c'est ca, l'encourage Christian, comme ta mère, une vrai suceuse...Ce doit être génétique dit il en ricanant. Ne pouvant plus se retenir, il éjacula aspergeant le palais d'Ambre Guillet de Saint-Hilaire de sa semence amer. Ambre fit la grimace et voulu recracher le sperme mais impitoyable Maitre Christian Panaris obligea la pauvre Ambre à tout avaler en lui tenant fermement la nuque. Panaris se redressa laissant les deux femmes se réconforter. Il se rajusta regardant Jean-Yves qui a toujours le gode dans la main. - Nettoie-le avant de le redonner à ta femme. Comme il se dirigeait vers la salle de bains, il lui cria : - Mais non, idiot! Avec ta langue! Suce-le! Interloqué, Jean-Yves regarde panaris se demandant si il plaisante...Mais il semble évident que non. Ecœuré, il nettoie le gode à coups de langue. Goutant la cyprine de sa propre fille...Quand le gode est bien sec, il le redonne à Sophie qui doit le ranger dans son sac à main. - Je vous rappelle qu'il faut que vous l'ayez toujours sur vous... Ou en vous...lâche Panaris en éclatant de rire. De toutes façons, pour le travaille, je vous rassure j'en ai un autre que vous devrez toujours porter sous votre jupe. Il se tourne vers Jean-Yves. - Demain soir, après le travail, je viendrais chercher ta femme et ta fille, je dois les emmener quelque part. J'ai des amis à leur présenter...Notre collaboration ne fait que commencer...